Sweat-producing structures qui sont intégrés dans le derme. Chaque glande se compose d'un tube, un corps enroulé superficielle, et un conduit.
Les tumeurs des glandes sudoripares sont des croissances anormales qui peuvent être bénignes ou malignes, développées à partir des cellules des glandes sudoripares, entraînant une production excessive de sueur et éventuellement d'autres symptômes physiques.
Le fluide excrété par le sueur glandes. Il est constitué d'eau contenant du chlorure de sodium, phosphate, l'urée, ammoniac et autres déchets.
Tumeurs ou un cancer des glandes salivaires.
Les tumeurs des glandes sébacées sont des croissances anormales et généralement non cancéreuses (bénignes) qui se développent dans les glandes sébacées, souvent sous forme de nodules ou kystes, pouvant parfois causer douleur, infection ou défiguration.
Tumeurs ou un cancer de la glande anale.
Simple glandes sudoripares qui sécrètent sueur directement sur la peau.
Les glandes périanales, également connues sous le nom de glandes circumanales chez certains animaux, font référence à un groupe de petites glandes sudoripares et sébacées situées dans la région péri-anale de l'être humain, qui contribuent au système olfactif des primates mais sont vestigiales et souvent asymptomatiques chez l'homme.
Tumeurs des glandes sublingual.
Une tumeur bénigne, lentement, plus fréquemment de la glande salivaire, survenant comme un petit nodule cabinet indolore, généralement de la glande parotide, mais a aussi trouvé dans une grande ou complice glande salivaire n'importe où dans la cavité buccale. C'est souvent observée chez les femmes dans le cinquantième. Plan histologique, la tumeur cadeaux une variété de cellules : Cuboidal, columnar, et les cellules squameuses, montrant toutes les formes de la croissance épithélial. (Dorland, 27 e)
Tumeurs ou un cancer de la parotide GLAND.
Une tumeur des deux faibles et néoplasies malignes. La faible poussent lentement, apparaît-il dans un groupe d'âge, et sont rapidement guérie par excision. Réagissons trop vigoureusement la haute, largement infiltrer la glande salivaire et produire atteinte ganglionnaire ou métastases. Mucoepidermoid carcinomes représentent environ 21 % des tumeurs malignes de la glande parotide et 10 % de la glande sublingual. Ils sont les plus courants tumeur maligne (à partir de la parotide. DeVita Jr et al., Cancer : Principes & Practice en cancérologie, Ed, 3D p575 ; Holland et al., Cancer Medicine, 3d Ed, p1240)
Une tumeur bénigne des cellules épithéliales provenant de glandes sudoripares. (Stedman, 25e éditeur)
Le processus de exocrine sécrétion des glandes hutte, y compris la sueur de l'empreinte aqueuse glandes fluides visqueux et que le complexe du apocrine glandes.
Cancer de la tumeur ni PALATE, y compris ceux de la voûte palatine, le palais et uvule.
Toxique, éventuellement, monomère carcinogène de néoprène, un caoutchouc synthétique ; endommage plaques, poumons, reins, foie, du SNC, cellules sanguines et fœtus. Synonyme : 2-chlorobutadiene.
Carcinome caractérisée par des groupes ou cylindres d'hyalinized ou Mucinous stroma séparer ou entouré de nids ou vocales de petites cellules épithéliales. Quand les cylindres se produire en masse de cellules épithéliales, ils donnent le tissu une perforation, sievelike, ou apparition cribiforme. Ces tumeurs survenir dans les glandes mammaires, la glande des voies respiratoires supérieures et inférieures, et les glandes salivaires. Ils sont malveillants mais lentement, et ont tendance à répandre localement via les nerfs. (Dorland, 27 e)
Une tumeur bénigne généralement constitué principalement de myoepithelial cellules.
Une tumeur bénigne caractérisé par l ’ épithélium columnar histologie dans un grand tissu lymphoïde stroma. C'est habituellement trouvé dans les glandes salivaires, surtout la parotide.
Les maladies de la hutte glandes.
Grand, ramifiés glandes sudoripares vide, spécialisé dans la partie supérieure d'un cheveux follicule au lieu de directement sur la peau.
Les tumeurs de la glande sous-maxillaire sont des croissances anormales qui peuvent être bénignes ou malignes, se développant dans la glande salivaire submandibulaire, pouvant causer un gonflement, des douleurs et d'autres complications.
Complicité glandes salivaires situés dans la lèvre, joue, langue, étage de la bouche, palais et intramaxillary.
Protéines transmembranaire appartenant au facteur de nécrose tumorale superfamille qui jouent un rôle essentiel dans l'évolution normale de plusieurs organes dérivés ectodermally. Plusieurs isoformes du ectodysplasins exister grâce à de l'ARNm Epissage MONDIAL multiples pour la protéine. Les isoformes et Ectodysplasin Ectodysplasin A1 A2 sont considérés comme distincts et chaque lie biologiquement active les récepteurs Ectodysplasin. Des mutations génétiques qui induire une perte de fonction de Ectodysplasin entraîner ectodermal dysplasie Anhidrotique De Type 1.
Glandes qui sécrètent SALIVA dans la bouche. Il y a trois paires de glandes salivaires (parotide GLAND ; sublingual ; sous-mandibulaire GLAND GLAND).
Tumeurs ni cancer des glandes endocrines.
Glandes de la sécrétion externe qui libèrent ses sécrétions au corps les caries, organes ou surface, à travers un conduit.
Petit, sacculated organes trouvés dans le derme. Chaque glande a un seul canal qui surgit d'un groupe de ovales alvéoles. Chaque alvéole se compose d'un sous-sol transparent entourant membrane des cellules épithéliales. Les conduits de la plupart des glandes sébacées ouvre sur un cheveux follicule, mais certains ouverte sur la surface de la peau. Des glandes sébacées sécrètent sébum..
Un groupe de désordres héréditaires impliquant les tissus et des structures dérivées des ectoderme embryonnaires. Se caractérisent par la présence d'anomalies à la naissance, la participation des deux l'épiderme et la peau appendices. Ils sont généralement nonprogressive et diffus. Existe diverses formes, y compris Anhidrotic et hidrotic dysplasias, avec une hypoplasie DERMAL congenita cutanée et d ’ érythroblastopénie.
Histochemical Localisation de substances immunoréactifs utilisant étiqueté comme anticorps réactifs.
Les glandes mammaires dans animales de mammifères.
Deux glandes salivaires dans le cou, situé dans l'espace liée par les deux ventres du muscle digastric et l'angle de la mâchoire. Il fait feu par le canal sous-mandibulaire sécrétion. Les unités sont principalement sérieux même si quelques des alvéoles, dont certains d, apparaissent demilunes séreuse, 25e Stedman. (Éditeur)
Membres de la famille des récepteurs du TNF spécifiques pour Ectodysplasin. Au moins deux sous-types du récepteur Ectodysplasin existent, chaque être spécifique pour l'isoforme Ectodysplasin. Signaux par Ectodysplasin récepteurs joue un rôle essentiel dans le développement normal ectodermal. Les défauts génétiques que causer une perte de fonction récepteur Ectodysplasin résultats ectodermal dysplasie.
Tumeurs composé de sébacées sueur ou les tissus de peau ou des tissus d'autres appendices. Le concept ne vise pas néoplasmes situés dans les glandes sudoripares ou sébacées ou dans l'autre peau appendices.
Anormalement diminués ou absents transpiration segmentés. Tous les deux et généralisée (diminution ou absence de transpiration dans restreintes emplacements) formes de la maladie sont généralement associées à une autre condition sous-jacente.
Une tumeur maligne de la peau appendices, qui incluent les cheveux, ongles, glandes sébacées, les glandes sudoripares et les glandes mammaires. (De Dorland, 27 e)
Un lent hydrolysé agoniste muscariniques sans effets. Nicotinique utilisé comme myotique pilocarpine et dans le traitement du glaucome.
Le plus grand des trois paires de glandes salivaires. Ils mentent sur les côtés du visage immédiatement en dessous et devant l'oreille.
Transpiration excessive. Dans le genre localisée, sites les plus fréquemment sont les paumes, pieds : Axillae inguinale, jette, la zone perineal. Ses principaux cause peut être émotif. Généralisé hyperhidrose peut être stimulé par un environnement chaud et humide, par une fièvre, ou par l ’ exercice vigoureux.
Une tumeur bénigne de la sueur qui est habituellement de multiples et les résultats des malformations majeures chez canaux sudoripares. C'est peu fréquente et plus fréquentes chez les femmes que chez les hommes. C'est le plus de chance d'apparaître à l'adolescence, et d'autres lésions peuvent se développer lors vie d'adulte. Ça ne semble pas être héréditaire. (Rook et al., Le manuel de dermatologie, Ed, pp2407-8) 4
Le capuchon extérieur de la protection de l'organisme qui le protège de l'environnement. Il est composé de la peau et dans l'épiderme.
Reconstitution de érodé ou blessés par l ’ épithélium de la prolifération et de migration des cellules épithéliales derrière ou adjacent au site endommagé.
Protéines de transport amine vésiculaire ce transport le neurotransmetteur acétylcholine en petites protéines sécrétrices les vésicules. De cette famille contiennent 12 domaines transmembranaire et échange vésiculaire cytoplasmique protons pour l'acétylcholine.
La glande salivaire sur chaque côté de la bouche sous la langue.
Tumeurs ou un cancer du pancréas. Selon les types de ilôt des cellules présentes dans les tumeurs, peut être plusieurs hormones sécrétées par des cellules alpha du pancréas : Glucagon ; INSULIN de BETA du pancréas ; et des cellules de la somatostatine SOMATOSTATIN-SECRETING. La plupart sont des sauf le insulin-producing tumeurs malignes (insulinome).
Une maladie génétique autosomale récessif exocrine glandes. Elle est provoquée par des mutations dans le gène codant pour la mucoviscidose conductance de transmembranaire régulateur exprimés dans plusieurs organes incluant le poumon, le pancréas, le système biliaire, et la hutte glandes. Mucoviscidose est caractérisé par un dysfonctionnement de sécrétion épithéliales ductal entraînant associée à une obstruction des voies aériennes respiratoires chroniques OBSTRUCTION ; INFECTIONS ;, insuffisance pancréatique maldigestion ; une déplétion hydrosodée ; et chaleur prostration.
Canal water-specific Aquaporine 5 est une protéine qui est exprimée principalement chez trachéale alvéolaires et le haut l ’ administration par voie inhalée. Il joue un rôle important dans le maintien d ’ eau homéostasie dans les poumons et peut également réguler libération de SALIVA et des larmes dans les glandes salivaires et lacrymales la GLAND.
La force dans la peau de liquide, ou d ’ autres médicaments, de fluides organiques avec une aiguille creuse, perçant le sommet de la peau couche.
Un antagoniste des récepteurs adrénergiques alpha.
Un groupe des composés qui sont des dérivés du beta-methylacetylcholine (méthacholine).
La couche externe, non vasculaires de la peau. Il est composé de l'intérieur vers l'extérieur, de cinq couches de l'épithélium : (1) (strate arrêtée couche basale basale epidermidis) ; (2) (strate arrêtée couche épineux spinosum epidermidis) ; (3) (strate arrêtée couche granuleuse granulosum epidermidis) ; (4) (strate arrêtée couche claire lucidum epidermidis) ; et (5) excité couche (stratum corneum epidermidis).
Un récepteur Ectodysplasin spécifiques pour Ectodysplasin A1... et signifiera EDAR-ASSOCIATED signaux via le domaine spécifique à l ’ adaptateur de protéines. Perte de fonction du récepteur edar est associé à autosomiques Anhidrotic récessif ectodermal dysplasie et ectodermal dysplasie Anhidrotique De Type 3.
Une glande sébacée ça, chez certains animaux, agit comme complice de la glande lacrimale. La glande harderian excrète fluide qui facilite mouvement de la paupière.
Une paire de glandes situées au poteau crânienne de chacun des deux reins. Chaque glande surrénale se compose de deux différents tissus embryonnaires endocriniens avec des origines, le cortex surrénalien produisant des stéroides et le médullosurrénale produisant neurotransmetteurs.
Un facteur de nécrose tumorale Receptor-Associated qui agit comme un facteur des protéines spécifiques à l ’ adaptateur pour le récepteur EDAR et joue un rôle important dans le développement ectodermal. Il se lie aux récepteurs edar via son propeptide C-terminal mort domaine région spécifique et à d ’ autres facteurs Associé Aux Récepteurs Du Tnf N-terminal via son domaine. Perte des fonctions de edar-associated mort domaine protéine est associée à autosomiques Anhidrotic récessif ectodermal dysplasie.
4 (1-Naphthylvinyl) une N-oxydation du noyau pyridine hydrochloride. Inhibiteur de la cholinesterase. Synonyme : Yub 25.
Nouvelle croissance anormale des néoplasmes malins des tissus. Montrent un degré plus élevé de anaplasia et avoir les propriétés d'invasion et les métastases, comparé à des néoplasmes bénins.
Les processus de chauffage et refroidissement qu'un organisme utilise pour contrôler sa température.
L'extrémité distale de la jambe aux vertébrés, composé des tarse (cheville) ; métatarse ; phalanges ; et les tissus mous autour de ces os.
Une rare Néoplasme malignes des glandes sudoripares. Le plus souvent se développe à une forme de la dégénérescence d'une bénigne eccrine POROMA.
Tumeurs ou un cancer des glandes surrénales.
Les fonctions de la peau dans le corps humain et animal. Il inclut les couleurs de peau.
Une forme de dysplasie ectodermal X-linked résultant de mutations du gène codant pour Ectodysplasin.
Une profonde cicatrice chéloïde, ressemblent à une, mais ce qui ne veut pas se répandre dans les tissus environnants. C'est formé à l ’ hypertrophie et la prolifération de tissus cicatriciels et régresse spontanément.
Tumeurs contenant cyst-like formations ou produire Mucin ou de sérum.
Tumeurs ou un cancer de la peau.
Fibres nerveuses libérateur catécholamines à une synapse après une impulsion.
Les médicaments qui lie et active les récepteurs muscariniques cholinergiques (.), muscariniques muscariniques agonistes dopaminergiques sont plus utilisés quand il est souhaitable d 'augmenter bon tonus musculaire, en particulier dans le tube digestif, la vessie et les yeux. Ils peuvent également être utilisé pour réduire la fréquence cardiaque.
Une classe de protéines fibreux ou scleroproteins qui représente le principal composant du épiderme ; cheveux ; ongles ; excité des tissus biologiques, et la matrice organique d'émail dentaire conformational. Deux principaux groupes ont été décrite, alpha-keratin, dont le peptide dorsale forme une structure alpha hélicoïdale coiled-coil composée de TYPE je kératine et de type II kératine et beta-keratin, dont la colonne vertébrale forme un zigzag ou plissée drap murs, alpha-Keratins ont été classés dans au moins 20 sous-types. En outre plusieurs isoformes de sous-types a peut être dû à Gene DUPLICATION.

Les glandes sudoripares sont un type de glande exocrine dans la peau qui sécrètent une substance aqueuse et salée appelée sueur. Il existe deux types de glandes sudoripaires: les glandes eccrines et les glandes apocrines. Les glandes eccrines sont réparties sur tout le corps, en particulier sur la paume des mains, la plante des pieds et le front, et sont responsables de la production de sueur qui aide à réguler la température corporelle. Les glandes apocrines, en revanche, sont principalement situées dans les aisselles et autour des organes génitaux et deviennent actives à la puberté, sécrétant une sueur qui peut se mélanger aux bactéries de la peau et produire une odeur caractéristique.

Les tumeurs des glandes sudoripares sont des growths anormaux qui se développent dans les glandes sudoripares, qui sont responsables de la production de sueur pour aider à réguler la température du corps. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).

Les tumeurs bénignes des glandes sudoripares comprennent les syringomes, qui sont des petites papules de croissance généralement sur le visage et la région autour des yeux. Ils sont généralement inoffensifs et ne nécessitent aucun traitement à moins qu'ils ne causent des problèmes esthétiques ou fonctionnels.

Les tumeurs malignes des glandes sudoripares, également connues sous le nom de carcinomes des glandes sudoripares, sont rares mais agressifs. Ils peuvent se développer dans n'importe quelle partie du corps où il y a des glandes sudoripares, mais ils sont plus fréquents dans les zones où la peau est exposée au soleil, comme le visage, le cou et les bras. Les symptômes peuvent inclure des bosses ou des plaques sur la peau qui peuvent être rouges, enflées, douloureuses ou prurigineuses.

Le traitement dépend du type et de l'étendue de la tumeur. Les options de traitement peuvent inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie ou une combinaison de ces traitements. Il est important de consulter un médecin si vous remarquez des changements cutanés inhabituels ou si vous ressentez des symptômes qui pourraient indiquer une tumeur des glandes sudoripares.

Dans un contexte médical, la sueur est le liquide produit par les glandes sudoripares dans la peau des mammifères, y compris les humains. Elle joue un rôle crucial dans la régulation de la température corporelle en s'évaporant à la surface de la peau et en refroidissant ainsi le corps.

La sueur est essentiellement composée d'eau, mais elle contient également des électrolytes tels que le sodium, le potassium, le chlore et l'acide lactique. Les glandes sudoripares sont stimulées par le système nerveux sympathique pour sécréter la sueur en réponse à divers facteurs, notamment l'exercice physique, les émotions fortes, la fièvre, certaines maladies et les conditions environnementales telles que la chaleur ou le stress thermique.

Il existe deux types de glandes sudoripares : les glandes eccrines et les glandes apocrines. Les glandes eccrines sont réparties sur tout le corps, en particulier sur les paumes des mains, la plante des pieds et le front, et elles sécrètent une sueur claire et inodore qui sert principalement à la thermorégulation. Les glandes apocrines, quant à elles, sont concentrées dans certaines régions telles que les aisselles, l'aine et autour des mamelons, et elles sécrètent une sueur plus épaisse et plus riche en protéines qui peut être décomposée par des bactéries pour produire des odeurs caractéristiques.

Il est important de noter que la production excessive de sueur, appelée hyperhidrose, peut être un problème médical traitable lorsqu'elle interfère avec les activités quotidiennes ou cause une détresse émotionnelle significative.

Les tumeurs des glandes salivaires sont des croissances anormales qui se forment dans les glandes salivaires. Ces glandes sont responsables de la production de salive pour aider à la digestion et maintenir la muqueuse buccale humide. Les glandes salivaires principales sont situées dans la mâchoire inférieure et juste en avant de l'oreille (parotides), tandis que les glandes salivaires accessoires sont plus petites et se trouvent dans la bouche, le nez et la gorge.

Les tumeurs des glandes salivaires peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes sont généralement plus fréquentes et se développent lentement, ne mettant pas la vie en danger. Cependant, elles peuvent continuer à croître et causer des problèmes, tels que des douleurs, des gonflements ou des difficultés à avaler ou à parler, en fonction de leur emplacement.

Les tumeurs malignes, quant à elles, sont plus agressives et peuvent se propager à d'autres parties du corps. Elles peuvent provoquer des symptômes similaires à ceux des tumeurs bénignes, mais peuvent également entraîner une perte de poids, une fièvre ou des ganglions lymphatiques enflés.

Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur. Les options thérapeutiques comprennent la chirurgie pour enlever la tumeur, la radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses et la chimiothérapie pour tuer les cellules cancéreuses qui se sont propagées. Dans certains cas, une surveillance attentive peut être recommandée si la tumeur est petite et ne cause pas de symptômes.

Les tumeurs des glandes sébacées sont des croissances anormales qui se développent dans les glandes sébacées, qui sont responsables de la production de sébum pour lubrifier la peau et les cheveux. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).

Les tumeurs des glandes sébacées bénignes les plus courantes sont les adénomes sébacés et les kystes épidermiques. Elles se présentent généralement sous la forme de petites bosses ou nodules sur la peau, souvent sur le visage, le cou, le dos ou le torse. Bien qu'elles soient généralement indolores, elles peuvent parfois causer des inconforts esthétiques ou mécaniques en fonction de leur localisation et de leur taille.

Les tumeurs des glandes sébacées malignes, également appelées carcinomes sébacés, sont beaucoup plus rares. Elles se développent généralement chez les personnes âgées et peuvent se présenter sous la forme de petites papules ou nodules qui s'ulcèrent et saignent facilement. Les carcinomes sébacés ont tendance à se développer lentement, mais ils peuvent se propager à d'autres parties du corps s'ils ne sont pas traités rapidement.

Le traitement des tumeurs des glandes sébacées dépend de leur type et de leur gravité. Les tumeurs bénignes peuvent souvent être enlevées chirurgicalement, tandis que les tumeurs malignes peuvent nécessiter une intervention chirurgicale plus importante, ainsi qu'une radiothérapie ou une chimiothérapie.

Les tumeurs de la glande périanale, également connues sous le nom de tumeurs de la glande de Skene ou de la prostate féminine, se réfèrent à des growths anormaux dans les glandes de Skene, qui sont situées près de l'urètre et de l'ouverture vaginale. Ces glandes sont analogues à la prostate masculine.

Les tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes comprennent les adénomes, qui sont des growths non cancéreux des glandes. Les tumeurs malignes comprennent le carcinome à cellules acineuses et le carcinome adénoïde kystique.

Les symptômes courants des tumeurs de la glande périanale peuvent inclure des douleurs ou des saignements pendant les rapports sexuels, des douleurs lors de la miction, des pertes vaginales anormales et des douleurs pelviennes. Le traitement dépend du type et de l'étendue de la tumeur et peut inclure une surveillance attentive, une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie.

Il est important de consulter un médecin si vous présentez des symptômes suspects, car un diagnostic et un traitement précoces peuvent améliorer les résultats.

Les glandes eccrines sont un type de glandes sudoripares situées dans la peau des mammifères, y compris les humains. Elles sont responsables de la production et de la sécrétion de la sueur, qui aide à réguler la température corporelle en s'évaporant sur la surface de la peau. Contrairement aux glandes apocrines, qui sont également des glandes sudoripares mais sont associées aux follicules pileux et produisent une sueur plus odorante, les glandes eccrines sont réparties sur tout le corps et sécrètent une sueur inodore principalement composée d'eau et de sels. Les glandes eccrines sont stimulées par des facteurs tels que l'exercice, la température élevée, l'anxiété ou le stress émotionnel, ce qui entraîne une augmentation de la transpiration.

Les glandes périanales, également connues sous le nom de glandes anales chez certains animaux, sont des petites glandes situées autour de l'anus chez l'homme. Chez l'homme, il y a généralement entre 5 à 10 glandes périanales qui se trouvent dans la muqueuse anale, dans le tissu conjonctif sous-muqueux et dans la couche musculaire du sphincter externe de l'anus.

Ces glandes produisent un liquide sébacé qui lubrifie et protège la peau autour de l'anus. Les sécrétions des glandes périanales peuvent être à l'origine d'une infection bactérienne ou d'un abcès si elles ne parviennent pas à s'écouler correctement, entraînant ainsi une inflammation et une douleur dans la région périanale. Dans de rares cas, une infection non traitée peut se propager et former une fistule anale, qui est une communication anormale entre le canal anal et la peau environnante.

Les tumeurs de la glande sublinguale sont des croissances anormales qui se forment dans la glande sublinguale, une petite glande salivaire située sous la langue. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes sont généralement plus fréquentes et se développent lentement, sans se propager à d'autres parties du corps. Elles peuvent cependant causer des problèmes en exerçant une pression sur les structures voisines.

Les tumeurs malignes, en revanche, sont plus agressives et ont le potentiel de se propager à d'autres parties du corps. Les symptômes associés aux tumeurs de la glande sublinguale peuvent inclure une masse sous la langue, un gonflement du plancher de la bouche, des difficultés à avaler ou à parler, une douleur faciale ou une sensation de picotement. Le traitement dépend du type et de l'étendue de la tumeur et peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie.

Un adénome pléomorphe est un type rare et généralement bénin de tumeur qui se développe dans les glandes salivaires des régions parotide, submandibulaire et sous-maxillaire de la tête et du cou. Il s'agit d'une tumeur mixte, ce qui signifie qu'elle contient plusieurs types de cellules différents, y compris des cellules épithéliales et des cellules myoépithéliales.

Les adénomes pléomorphes sont généralement indolents et se développent lentement au fil du temps. Ils peuvent varier en taille de quelques millimètres à plusieurs centimètres de diamètre. Les symptômes courants associés à un adénome pléomorphe comprennent une masse ou un gonflement dans la région de la joue, du cou ou de la mâchoire, ainsi que des douleurs, des engourdissements ou des picotements faciaux.

Le diagnostic d'un adénome pléomorphe est généralement posé après une biopsie et une évaluation histopathologique des tissus prélevés. Le traitement standard consiste en une chirurgie complète de la tumeur, suivie d'une surveillance régulière pour détecter toute récidive potentielle. Dans de rares cas, si la tumeur est grande ou envahit les structures environnantes, une radiothérapie ou une chimiothérapie peut être recommandée.

Dans l'ensemble, bien que les adénomes pléomorphes soient considérés comme des tumeurs bénignes, ils peuvent quand même causer des problèmes importants s'ils ne sont pas traités correctement. Il est donc important de consulter un médecin ou un spécialiste en tête et en cou si vous remarquez des symptômes suspects ou des changements dans la région de votre visage, de votre cou ou de votre mâchoire.

Les tumeurs de la parotide se réfèrent à des growths anormaux dans la glande parotide, qui est la plus grande glande salivaire située juste devant chaque oreille. La plupart des tumeurs de la parotide sont bénignes (non cancéreuses), mais certaines peuvent être malignes (cancéreuses). Les symptômes courants des tumeurs de la parotide comprennent une masse ou un gonflement visible dans la région de la joue, en face de l'oreille. La douleur peut également être présente, en particulier dans le cas de tumeurs malignes.

Les facteurs de risque de développer des tumeurs de la parotide comprennent l'exposition à des radiations, le tabagisme et certains troubles génétiques. Le diagnostic de ces tumeurs implique généralement une combinaison d'imagerie médicale, telles que les ultrasons ou les tomodensitométries, et une biopsie pour déterminer le type de tumeur.

Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur. Les tumeurs bénignes peuvent souvent être observées ou retirées chirurgicalement si elles causent des symptômes. Les tumeurs malignes, en revanche, nécessitent généralement une intervention chirurgicale pour les enlever, suivie d'une radiothérapie ou d'une chimiothérapie dans certains cas. Le pronostic dépend du type et du stade de la tumeur au moment du diagnostic.

Un carcinome mucoépidermoïde est un type rare de cancer qui peut se développer dans les glandes salivaires des adultes. Il peut également se produire, mais plus rarement, dans d'autres endroits, tels que le nez, la cavité nasale, les sinus paranasaux, les poumons, l'oreille moyenne, le tractus gastro-intestinal et la peau.

Ce type de cancer se caractérise par la croissance de cellules anormales qui ont des propriétés à la fois glandulaires (mucoïdes) et squameuses (épidermoïdes). Les tumeurs peuvent être de bas grade, intermédiaire ou de haut grade, selon leur apparence au microscope et leur potentiel de croissance et d'invasion.

Les symptômes du carcinome mucoépidermoïde dépendent de sa localisation. Dans la glande salivaire, il peut provoquer un gonflement ou une masse dans la région de la joue, de la mâchoire ou du cou, ainsi que des douleurs, des difficultés à avaler, une paralysie faciale et une altération du mouvement de la langue.

Le traitement dépend du grade de la tumeur, de sa taille, de son emplacement et de l'étendue de sa propagation. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses restantes, et une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses à distance. Dans certains cas, une surveillance attentive peut être recommandée si la tumeur est de bas grade et ne cause pas de symptômes.

Un hidradénome est un type rare et généralement bénin de tumeur des glandes sudoripares qui se développe le plus souvent dans les zones où la peau se plie, comme les aisselles, l'aine, les organes génitaux et sous les seins. Il existe deux principaux types d'hidradénomes : l'hidradénome nodulaire et l'hidradénome cystique (également appelé hidradénome papillaire).

L'hidradénome nodulaire est une tumeur solide qui se développe généralement dans la partie inférieure de la peau. Il est souvent petit (moins de 1,5 cm de diamètre) et peut être de couleur chair, rouge ou bleuâtre. Les symptômes peuvent inclure une masse douloureuse ou indolore sous la peau, qui peut s'infecter ou se rompre et provoquer un écoulement de liquide.

L'hidradénome cystique est une tumeur remplie de fluide qui se développe dans les glandes sudoripares apocrines, situées principalement dans les aisselles et l'aine. Il peut être plus grand que l'hidradénome nodulaire (jusqu'à 3 cm de diamètre) et est généralement indolore. Les symptômes peuvent inclure une masse mobile sous la peau, qui peut se rompre et provoquer un écoulement de liquide clair ou teinté de sang.

Dans de rares cas, les hidradénomes peuvent devenir malins (cancéreux) et se transformer en carcinomes sudoripares. Les facteurs de risque de développement d'un hidradénome malin comprennent l'âge avancé, la présence d'une tumeur depuis longtemps et des antécédents de radiothérapie dans la région affectée.

Le traitement de l'hidradénome dépend du type et de la taille de la tumeur, ainsi que de sa localisation. Les options de traitement peuvent inclure la chirurgie d'excision, la cryochirurgie (utilisant du froid pour détruire les cellules anormales) ou la radiothérapie. Dans certains cas, une surveillance régulière peut être recommandée pour surveiller l'évolution de la tumeur.

La sudation, également appelée transpiration, est le processus naturel par lequel les glandes sudoripares des mammifères produisent et excrètent une solution aqueuse contenant divers sels et substances organiques, dans le but de réguler la température corporelle. Cette sueur atteint la surface de la peau par les pores et, en s'évaporant, refroidit le corps. La sudation est un mécanisme réflexe contrôlé par le système nerveux autonome, qui augmente son activité en réponse à l'augmentation de la température centrale du corps ou à des stimuli émotionnels tels que le stress, la peur ou l'anxiété. La sudation excessive peut être un symptôme de certaines affections médicales, comme l'hyperhidrose primaire.

En termes médicaux, la sudation est définie comme "l'excrétion de sueur par les glandes sudoripares". La sueur est composée d'eau, de sels et de traces de substances organiques telles que l'acide lactique, l'urée et l'ammoniac. Chez l'homme, il existe deux types de glandes sudoripares : les glandes eccrines, qui sont réparties sur tout le corps et sont responsables de la régulation thermique, et les glandes apocrines, qui sont concentrées dans des zones spécifiques telles que les aisselles et le cuir chevelu et sont associées aux odeurs corporelles.

La sudation est un processus essentiel au maintien de l'homéostasie du corps, en particulier pendant l'exercice ou dans des conditions environnementales chaudes et humides. Lorsque la température centrale du corps augmente, le cerveau envoie des signaux au système nerveux autonome pour accélérer la sudation et abaisser la température corporelle par évaporation de la sueur sur la peau. Ce mécanisme permet de réguler la température interne du corps et de prévenir les dommages causés par la chaleur excessive, tels que l'épuisement ou le coup de chaleur.

Cependant, un déséquilibre dans le processus de sudation peut entraîner des problèmes de santé. Par exemple, une sudation excessive (hyperhidrose) peut être gênante et entraîner une déshydratation, tandis qu'une sudation insuffisante (anhidrose) peut perturber la régulation thermique du corps et provoquer une élévation de la température corporelle. De plus, certaines affections médicales telles que les infections, les maladies neurologiques ou les troubles endocriniens peuvent affecter le fonctionnement des glandes sudoripares et entraîner une sudation anormale.

En conclusion, la sudation est un processus complexe et vital qui permet au corps de réguler sa température interne et de maintenir l'homéostasie. Comprendre les mécanismes sous-jacents à ce processus peut aider à prévenir ou à traiter les problèmes de santé liés à une sudation anormale et à améliorer la qualité de vie des personnes concernées.

Les tumeurs du palais, également connues sous le nom de tumeurs de la cavité buccale, peuvent se référer à divers types de croissances anormales dans la région du palais. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).

Les tumeurs bénignes courantes du palais comprennent les papillomes, les fibromes, les granulomes et les kystes. Ces tumeurs sont généralement traitées par une excision chirurgicale complète et ont tendance à avoir un bon pronostic.

Les tumeurs malignes du palais sont plus graves et comprennent le carcinome épidermoïde, qui est le type de cancer buccal le plus courant. Le tabagisme, la consommation excessive d'alcool, une mauvaise hygiène bucco-dentaire et une infection par le papillomavirus humain (HPV) sont des facteurs de risque connus pour ces tumeurs.

Le traitement dépend du type, de la taille, de l'emplacement et de l'étendue de la tumeur, mais peut inclure une combinaison de chirurgie, de radiothérapie et de chimiothérapie. Le pronostic dépend du stade au moment du diagnostic, mais en général, un diagnostic et un traitement précoces améliorent les chances de guérison.

Le chloroprène est un composé organique volatil qui est principalement utilisé dans la production industrielle de polychloroprène, un type de caoutchouc synthétique. Le chloroprène a pour formule chimique CH2=CCl-CH=CH2.

L'exposition au chloroprène peut se produire dans les milieux professionnels où il est utilisé, comme l'industrie du caoutchouc et la fabrication de pneus. Les effets sur la santé associés à une exposition aiguë au chloroprène comprennent des symptômes respiratoires tels que la toux, l'essoufflement et les douleurs thoraciques. Une exposition chronique peut entraîner des effets plus graves sur la santé, notamment une augmentation du risque de cancer du foie et des voies respiratoires supérieures, ainsi que des problèmes neurologiques et reproductifs.

Il est important de noter que le chloroprène n'est pas couramment utilisé dans les applications médicales ou cliniques. Par conséquent, il n'y a pas de définition médicale spécifique pour ce composé.

Le carcinome adénoïde kystique est un type rare de cancer qui se développe généralement dans les glandes salivaires. Il est appelé "adénoïde" parce qu'il ressemble à des glandes adénoïdes, et "kystique" en raison de sa tendance à former des kystes ou des cavités remplies de liquide.

Ce type de cancer se développe lentement et peut mettre des années avant de provoquer des symptômes. Les symptômes dépendent de la localisation du cancer, mais peuvent inclure des gonflements douloureux ou indolores dans la région de la tête et du cou, une difficulté à avaler, une paralysie faciale, un engourdissement ou des picotements dans le visage.

Le carcinome adénoïde kystique peut être traité par une combinaison de chirurgie, de radiothérapie et de chimiothérapie. Le pronostic dépend du stade et de l'emplacement du cancer au moment du diagnostic. Les taux de survie à cinq ans varient selon le stade du cancer, mais sont généralement bons pour les cancers diagnostiqués à un stade précoce.

Il est important de noter que bien que le carcinome adénoïde kystique soit un type rare de cancer, il est important de consulter un médecin si vous remarquez des symptômes persistants ou inexpliqués dans la région de la tête et du cou.

Un myoépithéliome est un type rare et généralement bénin de tumeur qui se développe dans les glandes sudoripares ou salivaires. Ces tumeurs sont composées de cellules myoépithéliales, qui ont des propriétés contractiles similaires à celles des muscles lisses. Les myoépithéliomes peuvent se manifester n'importe où dans le corps où il y a des glandes sudoripares ou salivaires, mais ils sont les plus fréquents dans la tête et le cou.

Les symptômes d'un myoépithéliome dépendent de sa localisation et de sa taille. Les tumeurs plus grandes peuvent causer une douleur, un gonflement ou une sensation de masse dans la région affectée. Dans certains cas, les myoépithéliomes peuvent devenir malins (malignes) et se propager à d'autres parties du corps.

Le traitement d'un myoépithéliome dépend de sa taille, de sa localisation et de son caractère bénin ou malin. Les options de traitement peuvent inclure la chirurgie pour enlever la tumeur, la radiothérapie ou la chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses. Dans certains cas, une surveillance attentive peut être recommandée si la tumeur est petite et ne cause pas de symptômes.

Il est important de noter que les myoépithéliomes sont rares et que la plupart d'entre eux sont bénins. Si vous pensez avoir un myoépithéliome ou présentez des symptômes qui vous inquiètent, il est important de consulter un médecin pour obtenir un diagnostic et un traitement appropriés.

Un adénolymphome est un type rare de tumeur qui se développe dans les ganglions lymphatiques et peut contenir des cellules épithéliales glandulaires, d'où le préfixe "adéno-" qui signifie "glandulaire". Ce terme est souvent utilisé de manière interchangeable avec le terme "carcinome lymphoïde à grandes cellules", qui est un type particulier de lymphome non hodgkinien.

Les adénolymphomes se développent généralement dans les ganglions lymphatiques situés dans le cou, l'aisselle ou l'aine, et peuvent également affecter d'autres organes tels que la rate, le foie et les poumons. Les symptômes courants comprennent des gonflements indolores des ganglions lymphatiques, de la fièvre, des sueurs nocturnes et une perte de poids inexpliquée.

Le traitement dépend du stade et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que de l'âge et de l'état général de santé du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, ou une thérapie ciblée qui utilise des médicaments pour perturber la croissance et la propagation des cellules cancéreuses.

Les maladies des glandes sudoripares sont des affections qui affectent le fonctionnement des glandes sudoripares, qui sont responsables de la production de sueur pour aider à réguler la température corporelle. Il existe deux types principaux de glandes sudoripaires : les glandes eccrines, qui sont réparties sur tout le corps et produisent une sueur claire et inodore, et les glandes apocrines, qui sont concentrées dans les aisselles et les régions génitales et sécrètent une sueur plus épaisse et odorante.

Les maladies des glandes sudoripares peuvent inclure une production excessive de sueur (hyperhidrose), une production insuffisante de sueur (hypohidrose ou anhidrose), des infections bactériennes ou fongiques, des inflammations, des obstructions des conduits sudoripares, des tumeurs bénignes ou malignes, et d'autres affections.

Les symptômes courants des maladies des glandes sudoripares comprennent une transpiration excessive, des odeurs corporelles fortes, des éruptions cutanées, des démangeaisons, des douleurs et des gonflements. Le traitement dépend de la cause sous-jacente de la maladie et peut inclure des changements de mode de vie, des médicaments, des procédures médicales ou chirurgicales.

Les glandes apocrines sont un type de glandes sudoripares présentes dans la peau humaine, en particulier dans les régions axillaires (aisselles) et génitales. Contrairement aux glandes eccrines qui produisent la sueur pour refroidir le corps, les glandes apocrines sécrètent une substance composée de lipides et de protéines. Cette sécrétion est généralement inodore mais peut se mélanger avec les bactéries sur la peau, ce qui entraîne une odeur caractéristique. Les glandes apocrines deviennent actives à la puberté et jouent un rôle possible dans le système olfactif des humains, bien que leur fonction exacte ne soit pas complètement comprise.

Les tumeurs de la glande sous-maxillaire se réfèrent à des croissances anormales dans la glande salivaire sous-maxillaire, qui est située en dessous de la mâchoire inférieure. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes sont généralement plus fréquentes et se développent plus lentement, sans se propager à d'autres parties du corps. D'un autre côté, les tumeurs malignes peuvent se développer rapidement, envahir les tissus environnants et se propager à d'autres parties du corps.

Les symptômes courants des tumeurs de la glande sous-maxillaire comprennent un gonflement ou une masse dans la région située en dessous de la mâchoire inférieure, une douleur faciale ou au cou, un engourdissement ou une faiblesse des muscles du visage, des difficultés à avaler ou à parler, et une perte de poids inexpliquée.

Le diagnostic de ces tumeurs implique généralement une combinaison d'examens physiques, d'imagerie médicale (telle que la tomodensitométrie ou l'IRM) et d'analyses de tissus prélevés par biopsie. Le traitement dépend du type et de l'étendue de la tumeur, mais peut inclure une surveillance attentive, une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie.

Les glandes salivaires mineures sont des petites glandes situées dans la muqueuse de la bouche et du nez. Elles sont responsables de produire la salive qui humidifie continuellement la bouche et le nez. Contrairement aux trois grandes glandes salivaires (parotides, sous-maxillaires et sublinguales), les glandes salivaires mineures ne possèdent pas de conduits dédiés pour évacuer leur sécrétion. Leur secretion s'écoule directement dans la cavité buccale par des petits canaux situés dans la muqueuse. Elles représentent environ 10% de la production salivaire totale. Les glandes salivaires mineures peuvent être affectées par diverses affections, y compris les infections, les inflammations et les tumeurs, bien que ces dernières soient généralement bénignes.

Les ectodysplasines sont un groupe de protéines qui jouent un rôle crucial dans le développement des structures de l'ectoderme, qui est l'une des trois couches germinales principales pendant le développement embryonnaire. Ces structures comprennent la peau, les cheveux, les ongles, les dents et certaines glandes telles que les glandes sudoripares et sébacées.

Les ectodysplasines sont particulièrement importantes pour la signalisation cellulaire pendant le développement de ces structures. Elles aident à réguler la croissance, la différenciation et la migration des cellules. Les mutations dans les gènes qui codent pour les ectodysplasines peuvent entraîner des maladies génétiques graves connues sous le nom d'ectodermal dysplasias, qui sont caractérisées par des anomalies dans ces structures.

Par exemple, les personnes atteintes de certaines formes d'ectodermal dysplasia peuvent avoir moins de cheveux, des dents anormales ou manquantes, une sudation réduite et une peau sèche et squameuse. Il est important de noter que les ectodysplasines ne sont pas seulement actives pendant le développement, mais continuent également à jouer un rôle dans la maintenance et la réparation des tissus tout au long de la vie.

Les glandes salivaires sont des glandes exocrines qui produisent et sécrètent la salive dans la cavité buccale. Elles jouent un rôle crucial dans la digestion des aliments en lubrifiant la bouche et les aliments, facilitant ainsi l'avalement et la décomposition chimique des molécules alimentaires par les enzymes salivaires.

Il existe trois principales paires de glandes salivaires :

1. Les glandes parotides, situées près de l'oreille, sont les plus grandes et produisent principalement une salive aqueuse riche en amylase, une enzyme qui dégrade les glucides.
2. Les glandes submandibulaires, situées sous la mâchoire inférieure, sécrètent un mélange de salive mucoïde et séreuse, contenant des ions bicarbonates pour neutraliser l'acidité et faciliter la digestion.
3. Les glandes sublinguales, situées sous la langue, produisent principalement une salive mucoïde qui lubrifie la bouche et adhère aux papilles gustatives pour favoriser la perception des saveurs.

Des petites glandes salivaires accessoires sont également réparties dans la muqueuse buccale, ajoutant à la production globale de salive. Les dysfonctionnements des glandes salivaires peuvent entraîner une sécheresse buccale (xérostomie), ce qui peut affecter la mastication, la déglutition, la parole et la santé dentaire.

Les tumeurs des glandes endocrines sont des growths anormaux qui se développent dans les glandes endocrines, qui sont responsables de la production d'hormones dans le corps. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs des glandes endocrines peuvent affecter la fonction de la glande et entraîner une variété de symptômes, en fonction de la glande touchée.

Les glandes endocrines comprennent la glande thyroïde, les parathyroïdes, les glandes surrénales, le pancréas, l'hypothalamus et l'hypophyse. Les tumeurs peuvent se développer dans n'importe laquelle de ces glandes et peuvent entraîner une production excessive ou diminuée d'hormones.

Les symptômes associés aux tumeurs des glandes endocrines dépendent de la glande touchée. Par exemple, une tumeur de la glande thyroïde peut entraîner une hyperthyroïdie, avec des symptômes tels qu'une augmentation du rythme cardiaque, une intolérance à la chaleur, une perte de poids et une augmentation de l'appétit. Une tumeur de la glande surrénale peut entraîner une production excessive de cortisol, avec des symptômes tels qu'une prise de poids, une hypertension artérielle, une faiblesse musculaire et une fatigue.

Le traitement des tumeurs des glandes endocrines dépend du type de tumeur, de sa localisation et de son stade. Le traitement peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, ou un traitement médicamenteux pour contrôler les symptômes associés à la production excessive d'hormones.

Les glandes exocrines sont un type de glandes du système endocrinien qui produisent et sécrètent des substances telles que des enzymes, des hormones et d'autres molécules dans les cavités corporelles ou directement sur la surface de la peau par l'intermédiaire de canaux excréteurs. Contrairement aux glandes endocrines qui sécrètent des substances directement dans le sang, les glandes exocrines libèrent leurs sécrétions dans des espaces fermés ou sur la surface du corps pour aider à la digestion, la protection contre les agents pathogènes et la lubrification des surfaces.

Les exemples de glandes exocrines comprennent les glandes sudoripares, sébacées, salivaires, lacrymales et mammaires. Les glandes sudoripares sécrètent la sueur pour réguler la température corporelle, les glandes sébacées produisent du sébum pour lubrifier la peau et les cheveux, les glandes salivaires sécrètent de la salive pour faciliter la digestion, les glandes lacrymales produisent des larmes pour protéger et humidifier les yeux, et les glandes mammaires sécrètent du lait maternel pendant l'allaitement.

Les glandes sébacées sont des glandes situées dans la peau qui sécrètent du sébum, une substance huileuse qui aide à garder la peau et les cheveux hydratés. Elles sont attachées aux follicules pileux et se trouvent principalement sur le visage, le haut du dos et le torse. Le sébum produit par ces glandes peut obstruer les pores de la peau, ce qui peut entraîner l'acné et d'autres problèmes de peau lorsque les glandes sont surestimulées ou lorsque les pores sont bloqués.

La dysplasie ectodermique est un terme général utilisé pour décrire un groupe hétérogène de troubles génétiques caractérisés par des anomalies dans le développement et la fonction des structures dérivées de l'ectoderme, qui est une des trois principales couches du embryon au stade précoce. Ces structures comprennent la peau, les cheveux, les ongles, les dents et certaines glandes (comme les glandes sudoripares et sébacées).

Les symptômes spécifiques varient considérablement selon le type de dysplasie ectodermique. Certains types affectent principalement la peau, causant une sécheresse extrême (xérose), des rougeurs, des cloques et un risque accru d'infections. D'autres types peuvent entraîner des problèmes de croissance des cheveux, des anomalies dentaires, des ongles anormaux ou une sudation réduite. Dans les cas graves, plusieurs de ces symptômes peuvent être présents.

Les dysplasies ectodermiques sont généralement héritées selon un mode autosomique dominant ou récessif, ce qui signifie qu'une personne ne doit recevoir qu'une seule copie du gène anormal pour développer la maladie. Cependant, dans certains cas, les mutations peuvent survenir spontanément chez un individu sans antécédents familiaux de la maladie.

Le diagnostic de dysplasie ectodermique est généralement posé sur la base des symptômes cliniques et peut être confirmé par des tests génétiques. Le traitement est principalement axé sur les symptômes et peut inclure des hydratants pour la peau sèche, des soins dentaires spécialisés, des médicaments pour traiter les infections cutanées récurrentes et d'autres mesures de soutien. Dans certains cas, une greffe de moelle osseuse peut être envisagée comme traitement potentiel.

L'immunohistochimie est une technique de laboratoire utilisée en anatomopathologie pour localiser les protéines spécifiques dans des tissus prélevés sur un patient. Elle combine l'utilisation d'anticorps marqués, généralement avec un marqueur fluorescent ou chromogène, et de techniques histologiques standard.

Cette méthode permet non seulement de déterminer la présence ou l'absence d'une protéine donnée dans une cellule spécifique, mais aussi de déterminer sa localisation précise à l'intérieur de cette cellule (noyau, cytoplasme, membrane). Elle est particulièrement utile dans le diagnostic et la caractérisation des tumeurs cancéreuses, en permettant d'identifier certaines protéines qui peuvent indiquer le type de cancer, son stade, ou sa réponse à un traitement spécifique.

Par exemple, l'immunohistochimie peut être utilisée pour distinguer entre différents types de cancers du sein en recherchant des marqueurs spécifiques tels que les récepteurs d'œstrogènes (ER), de progestérone (PR) et HER2/neu.

Dans l'anatomie animale, les glandes mammaires sont des glandes sudoripares modifiées qui se trouvent chez la plupart des mammifères. Elles sont principalement responsables de la production de lait après la naissance pour nourrir les petits. Chez les femelles, ces glandes se développent et deviennent fonctionnellement actives pendant la période de reproduction et de lactation.

Elles sont composées de lobules, qui sont des groupements de sacs alvéolaires où le lait est produit, et de canaux galactophores, qui transportent le lait jusqu'au mamelon. Les glandes mammaires sont sensibles aux hormones stéroïdes telles que les œstrogènes, la progestérone et la prolactine, qui régulent leur développement et la production de lait.

Les mâles animaux ont également des glandes mammaires, mais elles sont généralement moins développées et non fonctionnelles, sauf chez certains primates. Chez l'homme, par exemple, les glandes mammaires peuvent se développer de manière anormale et devenir fonctionnelles, ce qui est connu sous le nom de galactorrhée.

La glande submandibulaire est une glande salivaire importante située dans le cou, plus précisément sous la mandibule (la mâchoire inférieure). Elle mesure environ 5 cm de long, 3 cm de large et 2 cm d'épaisseur. Chez l'adulte, elle pèse entre 10 à 15 grammes. Chaque personne a deux glandes submandibulaires, une de chaque côté du visage.

La fonction principale de la glande submandibulaire est de produire la salive, qui contribue à la digestion des aliments en les humidifiant et en les décomposant chimiquement grâce aux enzymes qu'elle contient. La salive aide également à maintenir la bouche propre et saine en neutralisant les acides produits par les bactéries, ce qui réduit le risque de caries dentaires et de maladies des gencives.

La glande submandibulaire est constituée de nombreux lobules remplis de cellules sécrétrices responsables de la production de salive. Les conduits excréteurs transportent ensuite la salive vers le canal de Wharton, qui se jette dans la cavité buccale au niveau du plancher de la bouche, derrière les incisives inférieures.

Comme d'autres glandes exocrines, la glande submandibulaire peut être affectée par divers troubles et maladies, tels que les infections bactériennes ou virales, les calculs (lithiases salivaires), les tumeurs bénignes ou malignes, et les inflammations chroniques. Ces affections peuvent entraîner des symptômes variés, notamment une douleur, un gonflement, une difficulté à avaler ou à parler, et une production anormale de salive.

Les tumeurs des annexes cutanées sont des growths anormaux qui se développent dans les structures situées dans et sous la peau, appelées annexes cutanées. Ces annexes comprennent les glandes sudoripares, les glandes sébacées, les follicules pileux et les récepteurs sensoriels de la peau.

Les tumeurs des annexes cutanées peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes sont courantes et généralement ne se propagent pas à d'autres parties du corps. Elles peuvent inclure des types de tumeurs telles que les kystes epidermoides, les trichoépisomes, les névi de la graisse pilaire et les syringomes.

Les tumeurs malignes des annexes cutanées sont relativement rares, mais peuvent être très agressives et se propager à d'autres parties du corps. Les exemples incluent le carcinome des glandes sudoripares, le carcinome des glandes sébacées et le carcinome épidermoïde de la tige pilaire.

Le traitement dépend du type de tumeur, de sa taille, de son emplacement et de son stade. Les options de traitement peuvent inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie ou une combinaison de ces méthodes.

Hypohidrose est un terme médical qui se réfère à une diminution de la production de sueur, soit en général ou dans certaines régions du corps. C'est l'opposé de l'hyperhidrose, qui est une production excessive de sueur. L'hypohidrose peut être causée par des lésions nerveuses, des maladies de la peau, le vieillissement ou certains médicaments. Elle peut également survenir comme une complication d'une chirurgie des glandes sudoripares. Dans les cas graves, elle peut entraîner une élévation de la température corporelle et même un coup de chaleur, en particulier dans des environnements chauds et humides.

Le carcinome des annexes cutanées est un type rare de cancer qui se développe dans les glandes sudoripares ou sébacées, les follicules pileux ou d'autres structures situées dans la peau. Il existe deux principaux types de carcinomes des annexes cutanées : le carcinome eccrine et le carcinome apocrine.

Le carcinome eccrine est un cancer qui se développe dans les glandes sudoripares eccrines, qui sont responsables de la production de sueur pour refroidir le corps. Ce type de cancer est plus fréquent chez les adultes d'âge moyen et âgés, en particulier ceux qui ont des antécédents d'exposition au rayonnement ou à certains produits chimiques.

Le carcinome apocrine, quant à lui, se développe dans les glandes sudoripares apocrines, qui sont principalement situées dans les aisselles et autour des organes génitaux. Ce type de cancer est plus rare que le carcinome eccrine et affecte généralement les personnes âgées de 50 ans et plus.

Les symptômes du carcinome des annexes cutanées peuvent inclure l'apparition d'une masse ou d'une bosse sur la peau, qui peut être rouge, enflée ou douloureuse. Dans certains cas, la tumeur peut se développer lentement et ne pas provoquer de symptômes pendant une longue période.

Le traitement du carcinome des annexes cutanées dépend du type et de l'étendue de la tumeur. Les options de traitement peuvent inclure la chirurgie, la radiothérapie ou la chimiothérapie. Dans certains cas, une combinaison de ces traitements peut être recommandée pour éliminer complètement la tumeur et prévenir sa récidive.

Il est important de noter que le carcinome des annexes cutanées est un type rare de cancer et que les chances de guérison sont généralement bonnes lorsqu'il est détecté et traité à un stade précoce. Si vous remarquez des changements dans votre peau ou si vous présentez des symptômes qui vous inquiètent, il est important de consulter un médecin dès que possible pour obtenir un diagnostic et un traitement appropriés.

La pilocarpine est un agent parasympathomimétique, ce qui signifie qu'il imite l'action de l'acétylcholine, un neurotransmetteur dans le corps qui stimule certaines cellules nerveuses et muscles.

Plus spécifiquement, la pilocarpine active les récepteurs muscariniques de la jonction neuromusculaire et des glandes exocrines, entraînant une augmentation de la sécrétion de sueur, de salive et d'autres sécrétions.

Elle est souvent utilisée dans le traitement du glaucome pour réduire la pression intraoculaire en augmentant le flux d'humeur aqueuse hors de l'œil. Elle peut également être utilisée pour traiter la bouche sèche sévère (xérostomie) causée par des médicaments ou des radiations dans la tête et le cou.

Les effets secondaires courants de la pilocarpine comprennent une sudation excessive, des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, des maux de tête et des troubles visuels. Dans de rares cas, elle peut provoquer des réactions allergiques graves.

La glande parotide est la plus grande des glandes salivaires, située dans chaque joue, devant et juste en dessous de l'oreille. Elle produit une substance liquide appelée salive qui aide à décomposer les aliments lorsqu'ils sont mâchés. La salive passe par un petit tube appelé canal de Stensen avant d'atteindre la cavité buccale, dans la région située entre la joue et les dents supérieures (à côté du deuxième hauteur des molaires).

La glande parotide est recouverte de peau et de tissu conjonctif à l'extérieur, tandis qu'à l'intérieur, elle se compose de lobules remplis de cellules qui sécrètent la salive. Ces lobules sont reliés entre eux par des canaux plus petits qui conduisent la salive vers le canal de Stensen.

La glande parotide peut être affectée par diverses affections, y compris l'inflammation (parotidite ou maladie des mâchoires), les tumeurs bénignes et malignes, et la formation de calculs dans le canal salivaire.

L'hyperhidrose est un trouble médical caractérisé par une production excessive de sueur, bien au-delà des besoins physiologiques de refroidissement du corps. Cela peut se produire dans tout le corps ou être localisé dans certaines zones telles que les aisselles, les mains, les pieds ou le visage. L'hyperhidrose peut affecter la qualité de vie d'une personne en causant des problèmes sociaux, émotionnels et professionnels. Les causes peuvent être variées, allant de facteurs environnementaux à des troubles médicaux sous-jacents, tels que l'anxiété ou certaines maladies neurologiques. Le diagnostic est généralement posé sur la base des antécédents médicaux et d'un examen physique. Le traitement peut inclure des changements de mode de vie, des médicaments, des interventions cutanées ou même la chirurgie dans les cas graves et résistants aux autres traitements.

Un syringome est un type rare et généralement bénin de tumeur cutanée qui se développe dans les glandes sudoripares eccrines, qui sont responsables de la production de sueur. Ces lésions se présentent le plus souvent comme des petites papules ou des plaques sur la peau, souvent autour des yeux, mais peuvent également apparaître sur d'autres parties du corps. Les syringomes peuvent être isolés ou multiples et sont plus fréquents chez les femmes que chez les hommes.

Les syringomes peuvent être classés en deux types principaux : les syringomes simples et les syringomes composites. Les syringomes simples sont les plus courants et se composent d'une seule cavité remplie de liquide, tandis que les syringomes composites ont plusieurs cavités.

Bien que la plupart des syringomes soient bénins, certains types peuvent évoluer vers une forme maligne ou cancéreuse. Les facteurs de risque associés au développement d'un syringome comprennent l'exposition au soleil, les antécédents familiaux de syringomes et certaines affections cutanées sous-jacentes.

Le traitement des syringomes dépend généralement de leur taille, de leur localisation et du nombre de lésions. Les options thérapeutiques comprennent la chirurgie d'excision, la cryochirurgie (utilisant du froid pour détruire les cellules anormales), l'électrodessication (utilisant une décharge électrique pour brûler les lésions) et le laser. Cependant, il est important de noter que ces traitements peuvent entraîner des cicatrices ou des changements de pigmentation de la peau.

La peau est le plus grand organe du corps humain, servant de barrière physique entre l'intérieur du corps et son environnement extérieur. Elle a plusieurs fonctions importantes, y compris la protection contre les agents pathogènes, les dommages mécaniques, les variations de température et les rayons ultraviolets du soleil.

La peau est composée de trois couches principales : l'épiderme, le derme et l'hypoderme. L'épiderme est la couche externe, constituée principalement de cellules mortes qui sont constamment shed and replaced. The dermis, just below the epidermis, contains tough connective tissue, sweat glands, hair follicles, and blood vessels. The hypodermis is the deepest layer, composed of fat and connective tissue that provides padding and insulation for the body.

In addition to providing protection, the skin also plays a role in sensation through nerve endings that detect touch, temperature, and pain. It helps regulate body temperature through sweat glands that release perspiration to cool the body down when it's hot. Furthermore, the skin synthesizes vitamin D when exposed to sunlight.

Maintaining healthy skin is important for overall health and well-being. Proper care includes protecting it from excessive sun exposure, keeping it clean, moisturized, and nourished with essential nutrients.

La re-épithélialisation est un processus naturel de guérison dans le domaine de la médecine et de la dermatologie. Il décrit la régénération et la croissance de nouveaux épithéliums, qui sont des tissus composés de cellules plates et squameuses, souvent en réponse à une lésion ou une plaie cutanée.

Après une blessure, les cellules situées à la périphérie de la plaie migrent progressivement vers le centre pour combler le déficit tissulaire. Ce mouvement cellulaire est accompagné d'une prolifération et différenciation accrues des kératinocytes, les principales cellules constituant l'épithélium.

La re-épithélialisation permet ainsi de rétablir l'intégrité de la barrière cutanée, prévenant ainsi les infections et favorisant la cicatrisation des plaies. Ce processus est influencé par divers facteurs locaux, tels que le type et l'étendue de la lésion, ainsi que par des facteurs systémiques, comme la nutrition, l'âge ou certaines maladies sous-jacentes. Une cicatrisation optimale dépend d'une re-épithélialisation adéquate et efficace.

Les transporteurs vésiculaires de l'acétylcholine, également connus sous le nom de vésicules synaptiques, sont des structures membranaires spécialisées trouvées dans les neurones. Ils sont responsables du stockage, du transport et de la libération de l'acétylcholine, qui est un neurotransmetteur important dans la transmission des impulsions nerveuses.

Ces vésicules se lient à l'acétylcholine grâce à une protéine de transport spécifique et la concentrent à l'intérieur de leur lumière. Lorsqu'un signal nerveux (action potential) atteint la terminaison nerveuse, les vésicules fusionnent avec la membrane cellulaire et libèrent leur contenu dans l'espace synaptique, permettant ainsi à l'acétylcholine de se lier aux récepteurs postsynaptiques et de transmettre l'influx nerveux.

Les transporteurs vésiculaires de l'acétylcholine jouent donc un rôle crucial dans la fonction neuromusculaire et dans d'autres processus régulés par l'acétylcholine, tels que la mémoire et l'apprentissage.

La glande sublinguale est une glande salivaire située sous la muqueuse du plancher de la bouche, juste derrière les incisives inférieures. C'est la plus grande des glandes salivaires accessoires et elle est constituée de nombreux lobules séparés par des cloisons fibreuses. Elle sécrète une salive mucineuse et séreuse qui contribue à la lubrification de la bouche et à l'initiation du processus digestif. La glande sublinguale peut être affectée par certaines affections, telles que les infections, les tumeurs bénignes ou malignes, et les maladies auto-immunes comme la sialoadénite de Sjögren.

Les tumeurs du pancréas sont des croissances anormales qui se forment dans le tissu du pancréas. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes ne se propagent pas à d'autres parties du corps et peuvent souvent être traitées par une intervention chirurgicale. Cependant, certaines tumeurs bénignes peuvent devenir cancéreuses avec le temps.

Les tumeurs malignes du pancréas sont des cancers qui se forment dans les cellules du pancréas et peuvent se propager à d'autres parties du corps. Les adénocarcinomes sont les types de cancer du pancréas les plus courants et représentent environ 90% de tous les cas. Ils se développent dans les cellules qui tapissent les conduits du pancréas qui produisent des enzymes digestives.

Les autres types de tumeurs malignes du pancréas comprennent les tumeurs neuroendocrines, qui se forment dans les cellules hormonales du pancréas, et les sarcomes, qui se développent dans le tissu conjonctif du pancréas.

Les symptômes des tumeurs du pancréas peuvent inclure une douleur abdominale supérieure, une perte de poids inexpliquée, une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), des nausées et des vomissements. Le traitement dépend du type et de l'étendue de la tumeur, mais peut inclure une intervention chirurgicale, une chimiothérapie ou une radiothérapie.

La mucoviscidose, également connue sous le nom de fibrose kystique, est une maladie génétique autosomique récessive qui affecte principalement les glandes exocrines des poumons, du pancréas et d'autres organes. Elle est causée par des mutations dans le gène CFTR (Cystic Fibrosis Transmembrane Conductance Regulator).

Normalement, ce gène produit une protéine qui régule le mouvement des ions chlorure à travers la membrane cellulaire. Lorsque cette protéine est défectueuse ou manquante en raison de mutations génétiques, les sécrétions des glandes exocrines deviennent épaisses et collantes, entraînant une obstruction des voies respiratoires et digestives.

Les symptômes courants de la mucoviscidose comprennent une toux persistante, des expectorations épaisses et collantes, des infections pulmonaires fréquentes, des difficultés à respirer, une mauvaise absorption des nutriments, une croissance lente et un retard de développement. Actuellement, il n'existe pas de cure pour la mucoviscidose, mais les traitements peuvent aider à soulager les symptômes et à ralentir la progression de la maladie.

L'aquaporine 5 (AQP5) est un type d'aquaporine, qui est une protéine membranaire qui facilite la diffusion de l'eau à travers les membranes cellulaires. Plus précisément, l'AQP5 se trouve dans les membranes des cellules épithéliales des glandes salivaires, des poumons et des yeux. Il joue un rôle important dans la sécrétion de salive, la régulation de l'humidité dans les poumons et le maintien de la transparence de la cornée. Les mutations du gène AQP5 peuvent entraîner des troubles tels que la sécheresse oculaire et buccale.

Voici une définition médicale plus détaillée :

L'aquaporine 5 (AQP5) est un membre de la famille des aquaporines, qui sont des canaux d'eau hautement sélectifs présents dans les membranes cellulaires. L'AQP5 est une protéine membranaire intégrale composée de six segments transmembranaires et deux boucles cytoplasmiques contenant des résidus conservés d'asparagine liés à la sialylation. Il est exprimé principalement dans les cellules épithéliales des glandes salivaires, des poumons et des yeux.

Dans les glandes salivaires, l'AQP5 joue un rôle crucial dans la sécrétion de salive en facilitant le mouvement de l'eau vers l'extérieur de la cellule dans le lumen des glandes salivaires. Cette fonction est régulée par les hormones et les neurotransmetteurs qui activent des voies de signalisation intracellulaire spécifiques, entraînant la translocation de l'AQP5 vers la membrane apicale des cellules épithéliales.

Dans les poumons, l'AQP5 est exprimé dans les pneumocytes de type I et facilite l'absorption d'eau du liquide alvéolaire vers le sang. Il est également impliqué dans la régulation de la fonction pulmonaire pendant la respiration, car il peut être modulé par des stimuli tels que l'hypoxie et les cytokines inflammatoires.

Dans les yeux, l'AQP5 est exprimé dans le cornea et les glandes lacrymales, où il facilite le mouvement de l'eau vers l'extérieur de la cellule, contribuant ainsi à maintenir une surface oculaire humide.

Des mutations ou des variations dans l'expression de l'AQP5 ont été associées à plusieurs conditions pathologiques, notamment la sécheresse buccale, les maladies pulmonaires et les troubles oculaires. Par conséquent, une meilleure compréhension de la structure, de la fonction et de la régulation de l'AQP5 peut fournir des informations importantes sur le développement de stratégies thérapeutiques pour traiter ces conditions.

Une injection intradermique est un type d'injection où la substance médicamenteuse est administrée dans la couche superficielle de la peau, entre l'épiderme et le derme. Cette méthode est couramment utilisée pour administrer des vaccins vivants atténués, des tests cutanés à la tuberculine (PPD), certains médicaments contre les réactions allergiques et certaines solutions de coloration dans les procédures diagnostiques.

L'aiguille utilisée pour ce type d'injection est généralement courte, fine et insérée à un angle peu profond par rapport à la surface de la peau. L'injection intradermique crée une petite papule ou une «bulle» sous la peau, qui disparaît généralement en quelques heures.

Il est important que les injections intradermiques soient administrées correctement pour éviter l'infiltration du médicament dans le tissu sous-cutané ou dans le muscle. Une technique d'injection incorrecte peut entraîner une absorption plus lente du médicament, un effet thérapeutique réduit ou des réactions locales indésirables.

Je suis désolé, mais 'Dibenzyl-2-Chloroéthyl-Amine' ne semble pas être une substance répertoriée dans les ressources médicales standard. Il s'agit probablement d'une substance chimique de synthèse, et si elle est utilisée dans un contexte médical ou biologique, ce serait très certainement comme un composant spécifique d'un produit pharmaceutique ou d'une expérience de recherche particulière.

Cependant, en termes de chimie générale, 'Dibenzyl-2-Chloroéthyl-Amine' peut être décrit comme suit : c'est un composé organique qui contient deux groupes benzyl (un groupe benzyl est un groupe phénylemethyle), un groupe 2-chloroéthylamino. L'amine est un groupe fonctionnel avec une formule générale NH2, RNH, ou R2NH, où R représente un groupe alkyle ou aryle.

Comme pour tous les composés chimiques, mais surtout ceux qui peuvent être utilisés dans des contextes médicaux ou biologiques, il est important de manipuler cette substance avec soin, en suivant toutes les directives et précautions appropriées pour éviter tout risque potentiel pour la santé.

La méthacholine est un composé chimique qui est couramment utilisé en médecine pour tester la fonction pulmonaire et diagnostiquer l'asthme. Il s'agit d'un agoniste des récepteurs muscariniques des voies respiratoires, ce qui signifie qu'il provoque une constriction des muscles des bronches et des bronchioles lorsqu'il est inhalé.

Les composés de la méthacholine sont des sels ou des esters de la méthacholine, qui ont des propriétés similaires à celles de la méthacholine elle-même. Ils peuvent être utilisés pour provoquer une réponse bronchoconstricteur dans le cadre d'un test de provocation bronchique, qui est utilisé pour diagnostiquer l'asthme et évaluer sa gravité.

Lors d'un tel test, le patient inhale progressivement des doses croissantes de méthacholine ou de son composé, et la fonction pulmonaire est mesurée après chaque dose. Si la respiration du patient se détériore de manière significative en réponse à la méthacholine, cela peut indiquer que le patient souffre d'asthme ou d'une autre maladie des voies respiratoires.

Il est important de noter que la méthacholine et ses composés ne doivent être utilisés que sous la supervision d'un professionnel de la santé qualifié, car ils peuvent provoquer des effets indésirables graves chez certaines personnes.

L'épiderme est la couche externe et la plus fine de la peau. Il s'agit d'une structure stratifiée composée de cellules mortes et vivantes qui fournit une barrière protectrice contre les agents pathogènes, les substances chimiques et les dommages physiques. L'épiderme est principalement constitué de kératinocytes, qui produisent la kératine, une protéine fibreuse qui confère à la peau sa résistance et sa rigidité.

L'épiderme se compose de plusieurs couches : la couche basale, la couche spinuleuse, la couche granuleuse et la couche cornée. La couche basale est la plus profonde et contient des cellules souches qui peuvent se diviser et différencier en kératinocytes matures. Au fur et à mesure que les kératinocytes mûrissent, ils migrent vers la surface de la peau et traversent les différentes couches de l'épiderme.

Au cours de ce processus, les kératinocytes subissent des changements morphologiques et fonctionnels qui leur permettent de remplir leurs fonctions protectrices. Par exemple, dans la couche cornée, les kératinocytes sont complètement différenciés et remplis de kératine, ce qui les rend rigides et imperméables à l'eau.

En plus des kératinocytes, l'épiderme contient également d'autres types de cellules telles que les mélanocytes, qui produisent le pigment mélanine responsable de la couleur de la peau, et les cellules de Langerhans, qui jouent un rôle important dans le système immunitaire de la peau.

Des affections telles que l'eczéma, le psoriasis et le cancer de la peau peuvent affecter l'épiderme et perturber sa fonction protectrice.

Le récepteur Edar, également connu sous le nom d'Eda récepteur A (EDA-R), est un type de protéine qui se trouve à la surface des cellules et joue un rôle crucial dans le développement et la fonction normaux de la peau, des cheveux et des glandes sudoripares. Il s'agit d'un récepteur de signalisation qui interagit avec une autre protéine appelée ectodysplasine A (Eda), qui est un ligand pour le récepteur Edar.

Lorsque l'Eda se lie au récepteur Edar, cela déclenche une cascade de réactions chimiques à l'intérieur de la cellule qui conduisent finalement à l'activation des gènes qui contrôlent la croissance et le développement des cheveux, des dents et des glandes sudoripares. Des mutations dans les gènes qui codent pour le récepteur Edar ou son ligand Eda peuvent entraîner des anomalies congénitales telles que l'ectodermose dysplasie, une maladie génétique caractérisée par un sous-développement des cheveux, des dents et des glandes sudoripares.

Le récepteur Edar est également exprimé dans d'autres tissus en dehors de la peau, y compris les organes reproducteurs masculins et féminins, où il joue un rôle important dans le développement des caractères sexuels secondaires. Des études ont montré que le récepteur Edar est également impliqué dans l'inflammation et la réponse immunitaire, bien que son rôle exact dans ces processus ne soit pas encore entièrement compris.

La glande de Harder, également connue sous le nom de glande bulbourethrale ou glande de Cowper, est une petite glande situées juste en dessous de la prostate dans les hommes. Elle fait partie du système reproducteur masculin et se compose de deux structures qui sécrètent un liquide clair et visqueux déchargé dans l'urètre pendant le rapport sexuel. Ce liquide, appelé pré-éjaculat ou lubrifiant, sert à lubrifier et à neutraliser l'acidité de l'urètre avant l'éjaculation, facilitant ainsi le mouvement des spermatozoïdes lors de l'activité sexuelle. Les sécrétions de la glande de Harder contiennent également certaines enzymes et protéines qui protègent et nourrissent les spermatozoïdes.

Les glandes surrénales sont des glandes endocrines situées au-dessus des kidneys dans le corps humain. Elles sont composées de deux parties distinctes : la cortexe et la medulla.

La cortexe, qui forme la majeure partie de la glande, est responsable de la production des hormones stéroïdes telles que le cortisol, l'aldostérone et les androgènes. Le cortisol aide à réguler le métabolisme, à réduire l'inflammation et à répondre au stress. L'aldostérone régule la pression artérielle en contrôlant les niveaux de sodium et de potassium dans le corps. Les androgènes sont des hormones sexuelles masculines qui contribuent au développement des caractéristiques sexuelles secondaires chez les hommes.

La medulla, qui est la partie interne de la glande, produit des catécholamines telles que l'adrénaline (également appelée épinéphrine) et la noradrénaline (également appelée norepinephrine). Ces hormones préparent le corps à répondre au stress en augmentant le rythme cardiaque, la respiration et le flux sanguin vers les muscles.

Les glandes surrénales jouent donc un rôle crucial dans la régulation de diverses fonctions corporelles, notamment le métabolisme, la pression artérielle, l'équilibre électrolytique et la réponse au stress.

EDARADD (Ectodermal Dysplasia Receptor Associated Adapter Protein) est une protéine adaptatrice qui joue un rôle crucial dans la signalisation des récepteurs dans les cellules. Plus spécifiquement, EDARADD est associée au récepteur de la mort programmée 1 (DR1 ou TRAF6), qui est un membre de la famille des récepteurs de la mort TNF (TNFR).

EDARADD transduit les signaux du récepteur EDAR (Ectodysplasin A Receptor) vers le noyau de la cellule, ce qui entraîne une cascade d'événements qui régulent la différenciation et la morphogenèse des structures ectodermiques pendant le développement embryonnaire. Ces structures comprennent la peau, les cheveux, les dents, les glandes sudoripares et les glandes salivaires.

Les mutations dans le gène EDARADD ont été associées à certaines formes de dysplasie ectodermique, une maladie génétique caractérisée par des anomalies congénitales dans ces structures ectodermiques.

Je suis désolé, mais 'Naphtylvinylpyridine' ne semble pas être un terme reconnu dans la littérature médicale ou scientifique. Il est possible qu'il s'agisse d'un terme utilisé dans un contexte spécifique à une recherche ou à une étude particulière.

En général, cependant, la Naphtylvinylpyridine est une substance chimique qui appartient à la classe des composés organiques aromatiques hétérocycliques. Elle est constituée d'un noyau de pyridine substitué par un groupe naphtylvinyle. Ces types de composés peuvent avoir diverses applications en chimie et en science des matériaux, mais ils ne sont pas typically utilisés dans un contexte médical direct.

Je vous recommande de rechercher ce terme dans des sources spécifiques à la chimie ou à la science des matériaux pour obtenir une définition plus précise et un contexte d'utilisation approprié.

En médecine, une tumeur est une augmentation anormale et localisée de la taille d'un tissu corporel due à une croissance cellulaire accrue. Les tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).

Les tumeurs bénignes sont généralement des masses arrondies, bien circonscrites et ne se propagent pas aux tissus environnants. Elles peuvent cependant causer des problèmes si elles compriment ou déplacent des organes vitaux.

Les tumeurs malignes, en revanche, ont tendance à envahir les tissus voisins et peuvent se propager (métastaser) vers d'autres parties du corps via le système sanguin ou lymphatique. Elles sont souvent désignées sous le terme de «cancer».

Il est important de noter que toutes les augmentations anormales de la taille d'un tissu ne sont pas nécessairement des tumeurs. Par exemple, un œdème (gonflement) ou une inflammation peuvent également entraîner une augmentation temporaire de la taille d'une zone spécifique du corps.

La thermorégulation corporelle est le processus physiologique qui permet à l'organisme de maintenir la température centrale du corps dans une fourchette étroite, généralement autour de 37 degrés Celsius, en dépit des variations de température extérieure. Ce mécanisme implique un ensemble complexe de processus régulés par le système nerveux central, plus précisément par l'hypothalamus, qui agit comme un thermostat. Lorsque la température corporelle augmente ou diminue, des réponses physiologiques sont mises en œuvre pour rétablir l'équilibre. Cela peut inclure des mécanismes de conservation de la chaleur tels que la constriction des vaisseaux sanguins cutanés et la production de frissons, ou des mécanismes de dissipation de la chaleur comme la dilatation des vaisseaux sanguins cutanés et la sudation.

En médecine, le pied est la partie distale et inférieure de la jambe qui se compose de 26 os (phalanges, métatarsiens, cunéiformes, cuboïde, naviculaire et tarse) et d'une multitude de muscles, tendons, ligaments, vaisseaux sanguins et nerfs. Il est divisé en trois parties : le talon (calcaneus), l'arche plantaire (formée par les os du tarse et des métatarsiens) et les orteils (phalanges).

Le pied joue un rôle crucial dans la posture, la marche, la course et l'équilibre. Il absorbe les chocs lors de la marche et sert de levier pour propulser le corps vers l'avant. Le pied est également une zone sensible riche en terminaisons nerveuses qui permettent de recevoir des informations tactiles, thermiques et proprioceptives (position dans l'espace).

Des problèmes au niveau du pied peuvent entraîner des douleurs, des déformations, des difficultés à marcher et des troubles posturaux. Les affections courantes du pied comprennent les pieds plats, les oignons, les orteils en marteau, les inflammations des tendons (tendinite), les fractures de stress, les infections fongiques et les cors/durillons.

L'eccrine porocarcinoma est un type rare et agressif de cancer de la peau qui se développe à partir des glandes eccrines, qui sont les glandes sudoripares responsables de la production de sueur. Ce cancer affecte généralement les personnes âgées et peut apparaître n'importe où sur le corps, bien que cela soit plus fréquent sur les membres inférieurs, le tronc et la tête.

L'eccrine porocarcinoma se présente souvent sous la forme d'une petite papule ou nodule qui peut être rose, rouge, brun ou noir. Il peut saigner facilement et peut être accompagné de démangeaisons, de douleurs ou de sensibilité au toucher. Le cancer a tendance à se développer lentement, mais il peut se propager rapidement aux tissus environnants et aux ganglions lymphatiques voisins s'il n'est pas traité.

Le diagnostic d'eccrine porocarcinoma est généralement posé après une biopsie de la peau suspecte, suivie d'une analyse histopathologique pour confirmer le type et l'étendue du cancer. Le traitement standard consiste en une chirurgie complète pour enlever toute la tumeur avec des marges saines de tissu normal environnant. La radiothérapie et/ou la chimiothérapie peuvent être recommandées dans certains cas, en particulier si le cancer s'est propagé à d'autres parties du corps.

Le pronostic dépend de plusieurs facteurs, tels que l'emplacement et la taille de la tumeur, l'âge et l'état général de santé du patient, ainsi que l'étendue de la propagation du cancer. Les taux de récidive sont élevés, ce qui signifie qu'une surveillance étroite est nécessaire après le traitement initial pour détecter toute réapparition précoce du cancer.

Les tumeurs surrénaliennes sont des growths anormaux qui se développent dans les glandes surrénales. Les glandes surrénales sont des petites glandes situées au-dessus des reins qui produisent plusieurs hormones importantes telles que l'adrénaline, le cortisol et les androgènes.

Les tumeurs surrénaliennes peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes sont appelées adénomes surrénaliens et sont relativement courantes, affectant environ 3 à 10 personnes sur 100 000. La plupart des adénomes surrénaliens ne causent pas de symptômes et ne nécessitent aucun traitement.

Cependant, certaines tumeurs surrénales peuvent produire des niveaux excessifs d'hormones, ce qui peut entraîner une variété de symptômes. Par exemple, les tumeurs surrénales qui produisent de l'adrénaline peuvent causer des palpitations cardiaques, de l'anxiété, de la transpiration et des tremblements. Les tumeurs surrénales qui produisent du cortisol peuvent entraîner une prise de poids, un visage bouffi, une pression artérielle élevée, une faiblesse musculaire et une fragilité osseuse.

Les tumeurs surrénales malignes sont appelées phéochromocytomes ou corticosurrénalomes, selon l'hormone qu'elles produisent. Ces tumeurs sont rares mais peuvent être très dangereuses car elles peuvent entraîner une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral ou même la mort si elles ne sont pas traitées rapidement.

Le diagnostic des tumeurs surrénales implique généralement une combinaison de tests d'imagerie et de tests sanguins pour déterminer la taille, l'emplacement et le type de tumeur. Le traitement dépend du type et de la gravité de la tumeur mais peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie.

Je suis désolé, "Skin Physiological Phenomena" est trop large et vague comme terme, car la physiologie de la peau couvre de nombreux aspects et processus différents. Cela peut inclure des phénomènes tels que la transpiration, la production de sébum, la croissance et le renouvellement des cellules cutanées, la réponse inflammatoire, la pigmentation, la cicatrisation des plaies, et bien d'autres.

Permettez-moi de vous donner une brève explication de certains de ces phénomènes physiologiques de la peau :

1. Transpiration : La transpiration est un processus par lequel les glandes sudoripares sécrètent une solution aqueuse pour réguler la température corporelle en s'évaporant à la surface de la peau.

2. Production de sébum : Les glandes sébacées produisent du sébum, une substance huileuse qui maintient la peau et les cheveux hydratés et protégés. Un déséquilibre dans la production de sébum peut entraîner des problèmes de peau tels que l'acné.

3. Croissance et renouvellement des cellules cutanées : La peau est constamment exposée à des dommages environnementaux, il est donc essentiel qu'elle puisse se réparer et se régénérer. Les cellules de la peau, appelées kératinocytes, se développent dans les couches inférieures de la peau, migrent vers la surface et sont finalement exfoliées. Ce processus prend environ 28 jours.

4. Réponse inflammatoire : La peau est capable de réagir aux agents pathogènes et aux dommages tissulaires en déclenchant une réponse inflammatoire, qui implique la libération de médiateurs chimiques pour attirer les cellules immunitaires vers le site de l'inflammation.

5. Pigmentation : La peau contient des mélanocytes qui produisent de la mélanine, un pigment qui protège la peau des dommages causés par les rayons UV. Les différences dans la production et la distribution de mélanine déterminent la couleur de la peau.

La Dysplasie Ectodermique Anhidrotique de Type 1 (DEA-Type 1), également connue sous le nom de Syndrome de Christ-Siemens-Touraine, est une forme héréditaire rare de dysplasie ectodermique. Il s'agit d'un trouble génétique qui affecte le développement des structures dérivées de l'ectoderme, qui est la couche externe de cellules qui donne naissance à la peau, aux cheveux, aux ongles, aux dents et aux glandes sudoripares.

La DEA-Type 1 se caractérise principalement par une anhidrose congénitale sévère (incapacité à transpirer), associée à des anomalies des cheveux, des ongles, des dents et de la peau. Les personnes atteintes de cette condition ont souvent des cheveux clairsemés, fragiles ou cassants, une absence ou une hypoplasie des glandes sudoripares, ce qui entraîne une intolérance à la chaleur et un risque accru d'hyperthermie. Elles peuvent également présenter des anomalies dentaires, telles que des dents coniques ou malformées, et des ongles anormaux ou fragiles.

La DEA-Type 1 est généralement héritée selon un mode autosomique récessif, ce qui signifie qu'un individu doit hériter de deux copies du gène muté (une de chaque parent) pour développer la maladie. Les mutations responsables de cette condition sont localisées dans le gène *MBTPS2*.

Le traitement de la DEA-Type 1 est principalement symptomatique et vise à prévenir les complications associées à l'anhidrose, telles que l'hyperthermie et les infections cutanées. Il peut inclure des mesures d'hygiène appropriées, une ventilation adéquate, le port de vêtements légers et la limitation de l'exposition à la chaleur et à l'humidité. Dans certains cas, des médicaments peuvent être prescrits pour réduire la transpiration excessive chez les membres de la famille qui ne sont pas atteints de la maladie mais qui en sont porteurs.

Une cicatrice hypertrophique est une forme anormalement exagérée de cicatrisation qui se produit lorsque la peau guérit après une blessure, une brûlure, une intervention chirurgicale ou tout autre traumatisme. Contrairement aux cicatrices normales, les cicatrices hypertrophiques sont épaisses, rouges, surélevées et souvent irritantes. Elles peuvent être douloureuses et prurigineuses (c'est-à-dire provoquer des démangeaisons).

Les cicatrices hypertrophiques se forment lorsque le processus de guérison de la peau produit trop de collagène, une protéine qui donne à la peau sa force et sa élasticité. Ce surplus de collagène entraîne un épaississement de la cicatrice. Bien que ces cicatrices ne dépassent généralement pas les limites de la plaie initiale, elles peuvent s'étendre sur plusieurs mois avant de s'aplatir et de blanchir.

Les facteurs de risque de développement d'une cicatrice hypertrophique comprennent la localisation de la plaie (par exemple, les zones où la peau est plus tendue), l'âge (les jeunes patients sont plus sujets aux cicatrices hypertrophiques), la couleur de peau (les personnes à la peau plus foncée ont un risque accru) et certains types de traumatismes cutanés.

Le traitement des cicatrices hypertrophiques peut inclure des corticoïdes topiques ou injectables pour réduire l'inflammation et aplatir la cicatrice, une compression mécanique pour empêcher la cicatrice de s'étendre, la silicone gel ou sheets pour hydrater la cicatrice et réguler la production de collagène, la chirurgie pour enlever l'excès de tissu cicatriciel, les lasers pour améliorer l'apparence de la cicatrice. Il est important de noter que les cicatrices hypertrophiques peuvent récidiver après le traitement, il est donc crucial de suivre les recommandations du médecin pour prévenir une nouvelle apparition.

Les tumeurs kystiques, mucineuses et séreuses sont des types spécifiques de lésions qui peuvent se former dans divers organes du corps. Bien qu'ils aient des caractéristiques similaires, ils présentent certaines différences au niveau histopathologique.

1. Tumeurs kystiques: Ce sont des lésions remplies de fluide ou de matériel semi-solide. Les kystes peuvent être uniques ou multiples et peuvent se former dans presque tous les organes du corps. Ils peuvent être congénitaux (présents depuis la naissance) ou acquis (apparaissant plus tard dans la vie). Leur taille varie de quelques millimètres à plusieurs centimètres.

2. Tumeurs mucineuses: Ces tumeurs sont caractérisées par la production excessive de mucus, une substance visqueuse sécrétée par certaines cellules du corps. Les tumeurs mucineuses peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Elles sont souvent associées aux glandes muqueuses, telles que les poumons, le tractus gastro-intestinal et les glandes salivaires.

3. Tumeurs séreuses: Ces tumeurs produisent un liquide clair et aqueux appelé liquide séreux. Comme les tumeurs mucineuses, elles peuvent être bénignes ou malignes. Les tumeurs séreuses sont souvent trouvées dans les ovaires, où elles sont appelées cystadénomes séreux, et peuvent également se développer dans d'autres organes, comme la glande pancréatique.

Il est important de noter que ces types de tumeurs nécessitent une évaluation et un traitement appropriés par un professionnel de la santé, en fonction de leur localisation, de leur taille, de leurs caractéristiques histopathologiques et du stade de la maladie.

Les tumeurs de la peau sont des croissances anormales qui se forment dans les tissus cutanés. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes ne mettent généralement pas la vie en danger et ne se propagent pas à d'autres parties du corps, mais elles peuvent parfois causer des problèmes esthétiques ou fonctionnels. Les tumeurs malignes, en revanche, peuvent envahir les tissus environnants et se propager (métastases) à d'autres parties du corps.

Les types courants de tumeurs bénignes de la peau comprennent les naevus (grains de beauté), les kystes epidermiques, les lipomes, les fibromes, et les papillomes. Les naevus melanocytaires sont les grains de beauté les plus courants et sont généralement inoffensifs, bien que certains puissent évoluer en mélanomes malins.

Les types courants de tumeurs malignes de la peau comprennent le carcinome basocellulaire, le carcinome spinocellulaire (ou carcinome épidermoïde), et le mélanome malin. Le carcinome basocellulaire est le type le plus courant de cancer de la peau et se développe généralement à partir des cellules basales de la peau. Il se propage rarement aux autres parties du corps, mais peut détruire les tissus environnants s'il n'est pas traité. Le carcinome spinocellulaire est moins courant que le carcinome basocellulaire, mais il a un potentiel de métastase plus élevé. Le mélanome malin est le type de cancer de la peau le plus agressif et peut se propager rapidement aux autres parties du corps s'il n'est pas traité à temps.

Les facteurs de risque pour les cancers de la peau comprennent une exposition excessive au soleil, des antécédents personnels ou familiaux de cancer de la peau, une peau claire, des grains de beauté anormaux, un système immunitaire affaibli, et l'utilisation de certains médicaments. Il est important de se protéger du soleil en portant des vêtements protecteurs, en utilisant un écran solaire avec un FPS d'au moins 30, en évitant les heures les plus chaudes de la journée, et en effectuant des auto-examens réguliers de la peau pour détecter tout changement anormal.

Les neurofibres adrénergiques sont des fibres nerveuses spécialisées qui relèvent du système nerveux sympathique et qui libèrent des neurotransmetteurs, tels que la noradrénaline et l'adrénaline. Ces neurotransmetteurs jouent un rôle crucial dans la régulation de diverses fonctions corporelles, notamment la fréquence cardiaque, la pression artérielle, la respiration, le métabolisme énergétique et la réponse au stress.

Les neurofibres adrénergiques peuvent être classées en deux catégories principales : les fibres postganglionnaires et les fibres préganglionnaires. Les fibres préganglionnaires sont des neurones qui ont leur origine dans la moelle épinière et se terminent dans les ganglions sympathiques, où elles établissent des synapses avec des neurones postganglionnaires. Les fibres postganglionnaires, quant à elles, sont des neurones qui ont leur origine dans les ganglions sympathiques et se terminent dans les organes cibles, tels que le cœur, les poumons, les vaisseaux sanguins et les glandes sudoripares.

Les neurofibres adrénergiques sont souvent activées en réponse à des situations stressantes ou dangereuses, ce qui permet au corps de se préparer à une réaction de "lutte ou fuite". Cette réaction implique une augmentation de la fréquence cardiaque et de la pression artérielle, une dilatation des pupilles, une augmentation de la respiration et une mobilisation de l'énergie pour permettre une réponse rapide et efficace à la menace perçue.

Les troubles ou les dommages aux neurofibres adrénergiques peuvent entraîner divers symptômes, tels qu'une pression artérielle basse, une fréquence cardiaque lente, une sudation excessive, des pupilles dilatées et une faiblesse musculaire. Ces troubles peuvent être causés par des maladies neurologiques, des traumatismes ou des médicaments qui affectent le système nerveux sympathique.

Les agonistes muscariniques sont des composés pharmacologiques qui se lient et activent les récepteurs muscariniques, qui sont un type de récepteur des neurotransmetteurs situés dans le système nerveux parasympathique. Ces récepteurs sont activés par l'acétylcholine, un neurotransmetteur important pour la régulation de divers processus physiologiques tels que la contraction musculaire lisse, la sécrétion glandulaire, et la fonction cognitive.

Les agonistes muscariniques peuvent être utilisés dans le traitement de diverses affections médicales telles que les maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC), la maladie d'Alzheimer, et certains troubles oculaires. Cependant, ils peuvent également entraîner des effets secondaires indésirables tels que des nausées, des vomissements, des diarrhées, des sueurs, des mictions fréquentes, et une augmentation de la salivation et des sécrétions bronchiques.

Il existe plusieurs types d'agonistes muscariniques, qui se lient préférentiellement à différents sous-types de récepteurs muscariniques (M1 à M5). Certains agonistes muscariniques sont sélectifs pour un sous-type particulier de récepteur, tandis que d'autres ont une affinité plus large pour plusieurs sous-types. La sélectivité des agonistes muscariniques peut influencer leur efficacité thérapeutique et leur profil d'effets secondaires.

Les kératines sont des protéines fibreuses qui composent la structure de divers tissus épithéliaux dans le corps humain. Elles sont particulièrement concentrées dans la couche externe de la peau, les cheveux et les ongles. Dans ces structures, les kératines forment des chaînes rigides qui leur confèrent une grande résistance à la traction et aux dommages mécaniques.

Dans la cornée de l'œil, qui est également constituée de cellules épithéliales, les kératines jouent un rôle important dans le maintien de la transparence et de la forme de cette structure essentielle à la vision. Les kératines sont synthétisées par des cellules spécialisées appelées kératinocytes.

Les mutations dans les gènes codant pour les différentes formes de kératine peuvent entraîner diverses affections cutanées, telles que le psoriasis, l'eczéma et certaines formes de dermatite. Des anomalies dans la structure des kératines peuvent également être associées à des maladies génétiques rares affectant les cheveux, la peau et les ongles, telles que la trichorrhée nodulaire ou le syndrome des ongles fragiles.

Elles sont développées aux dépens des annexes cutanées : glandes sudoripares ou sébacées principalement. Portail de la médecine ... Tumeurs cutanées annexielles Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide) Les tumeurs cutanées ... annexielles sont un groupe de tumeurs cutanées de la Classification internationale des maladies oncologiques. ...
Son nom est associé à la maladie de Verneuil, une suppuration affectant les glandes sudoripares apocrines également connue sous ... On retrouve également son nom dans un plexiforme neurinome, tumeur constituée de faisceaux torsadés de nerfs, parfois appelé ...
... tels que les glandes sudoripares, les follicules pileux, les ongles ou les dents. Son gène est le EDA situé sur le chromosome X ... à la famille des facteurs suppresseurs de tumeurs et qui agit dans la signalisation entre cellules en particulier dans le ...
Ils peuvent entraîner la destruction des glandes sudoripares (le risque augmentant avec le nombre de traitements). (en) Goldman ... syndrome induit par des tumeurs du système neuroendocrinien) ; Syndrome de CREST (variant de la sclerodermie) ; traitement par ... à des anomalies de développement peuvent imiter le comportement de tumeurs bénignes vasculaires). Origine traumatique ( ...
... de diverses glandes cutanées (telles que les glandes sudoripares) et des vibrisses. Cependant, certains reptiles présentent une ... Ceci est à peu près cohérent avec l'odontome humain, le type de tumeur odontogène le plus fréquent, qui ne s'étendait ... également eu des glandes sudoripares ou de la fourrure, et par extension des vibrisses et des structures associées. Leur ... une glande pituitaire, et une forme globalement allongée, dans l'ensemble ressemblant à un cerveau « reptilien ». La boîte ...
... mais aussi des glandes sébacées ou sudoripares. Ce coussinet, aussi dit ROOF par les anglophones (pour « retro-orbicularis ... 1906). Diagnostic des tumeurs du sourcil (Doctoral dissertation). Moumine, M., Steve, M., & Nassih, M. (2013). Une tumeur de la ... tumeurs congénitales du groupe des choristomes et autres tumeurs, ; les formes dites orbitaires sont plus sérieuses car plus ... Ces tumeurs sont généralement traitées par la chirurgie ptôse du sourcil, qui correspond à une position anormalement basse du ...
... glandes sébacées et sudoripares) ; la greffe de peau mince en filet : selon le même procédé que précédemment, mais au lieu de ... Tumeurs bénignes (exérèse de nævus) Tumeurs malignes (carcinome basocellulaire, carcinome spinocellulaire, mélanome...) Tumeurs ... Dans ces localisations multiples, elle traite des conséquences de traumatismes ou d'infections, de tumeurs, ainsi que des ... après exérèse de tumeurs ou post-chirurgie délabrante) Pansements en stérile pour les brûlés en attente de greffe de peau ...
Troubles des glandes sudoripares (706) Troubles des glandes sébacées (706.1) Acné (707) Ulcération chronique de la peau (708) ... Tumeur maligne secondaire, appareil respiratoire et digestif (198) Autres tumeurs malignes secondaires (199) Tumeur maligne de ... Glande parotide (142.1) Glande sous-maxillaire (142.2) Glande sublinguale (142.8) Glandes salivaires, autres (148.9) Glandes ... Troubles de la glande parathyroïde (253) Troubles de l'hypophyse et de son contrôle hypothalamique (253.3) Déficience en homone ...
... avec des poils et des glandes sébacées et sudoripares, les lèvres sont recouvertes à l'intérieur par une muqueuse avec un ... avant et après ablation de la tumeur ; A. Ly, Groupe chirurgical de la SFD ; Journées de Dermatologie Interventionnelle de ... épithélium de type pavimenteux pluristratifié non kératinisé, avec des glandes salivaires (séreuses et muqueuses). La ...
... éliminées par les glandes sudoripares et la muqueuse de l'intestin. Il est aussi éliminé en partie par les glandes salivaires ... Quand il subsiste des restes de tumeur ou des métastases, ou qu'une récidive locale apparaît, il faut d'abord essayer de ... Affections de la glande thyroïde Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide) La radiothérapie à ... Les deux augmentent le débit de salive, raccourcissent la durée de séjour de l'iode radioactif dans la glande et y diminue donc ...
  • Ils peuvent affecter diverses parties du corps, y compris le système tégumentaire, qui comprend la peau, les cheveux, les ongles et les glandes sudoripares. (petsoundness.com)
  • Ces dysplasies affectent la peau, les cheveux, les ongles et les glandes sudoripares. (frmedbook.com)
  • La maladie de Paget du mamelon se développe principalement au niveau du mamelon, secondairement à la propagation à la peau d'un cancer des canaux d'écoulement du lait (lactifères) de la glande mammaire. (msdmanuals.com)
  • La glande sébacée est chargée de produire le sébum (ou graisse) qui, avec l'eau provenant des glandes sudoripares, crée la couche de peau couvrant et protégeant le cuir chevelu. (soindescheveux.org)
  • Tumeur développée au dépends d'une glande sébacée (glandes situées dans la partie épidermique de la peau, sécrétant une substance grasse appelée sébum). (docteur-benchimol.com)
  • Il loge aussi les glandes sudoripares et sébacées, qui gardent la peau hydratée, et les lymphocytes défensifs, chargés de la protection. (vitalitequebec-magazine.com)
  • grosseur rougeâtre superficielle à l'aisselle : elle est souvent due à une infection bénigne d'une des structures de la peau, en général d'un follicule pileux (furoncle) ou d'une glande sudoripare. (physicalfullness.be)
  • nombreuses glandes sébacées : rend la peau grasse et est responsable de l'odeur forte surtout pendant la période de reproduction (intervention des hormones sexuelles). (veterinaires-bruxelles.be)
  • La détection rapide d'une formation kystique aide à prévenir sa rupture et sa dégénérescence en une tumeur maligne. (dovemedicalclinic.com)
  • Il se développe avec une mauvaise nutrition ou une alimentation longue et stricte, un diabète sucré et une tumeur maligne du pancréas. (me-medical.com)
  • Le système parasympathique cholinergique libère un neurotransmetteur l' acétylcholine qui provoque une hyperstimulation des glandes eccrines. (afme.org)
  • Les sueurs aux aisselles trouvent leur origine dans l'activation des glandes sudoripares eccrines et apocrines. (dorsup.com)
  • Par contre, la sudation causée par le stress via les glandes apocrines et eccrines engendre un liquide laiteux composé de lipides, de cholestérol et de protéines. (dorsup.com)
  • Les glandes sudoripares eccrines ne sont pas annexées aux poils. (biologiedelapeau.fr)
  • En cas de consommation fréquente de vitamine C sous forme de comprimés, la muqueuse de l'œsophage se brûle (en raison d'une concentration trop élevée), ce qui provoque l'apparition de tumeurs malignes de l'œsophage, du larynx et de la cavité buccale. (whshealthscience.com)
  • Une personne peut ne pas être immédiatement informée de la croissance d'une tumeur dans la tête. (me-medical.com)
  • Elles sont représentées essentiellement par les kystes fonctionnels et les tumeurs bégnines dont le plus fréquent est le tératome ovarien mature. (panafrican-med-journal.com)
  • Il faut alors suspecter des kystes ou des tumeurs . (ouest-france.fr)
  • Produit par l'ovaire, les testicules et le cortex surrénalien (glande endocrine à l'extrémité supérieure des reins) dans le but de réguler le cycle menstruel (œstrus), l'œstrogène est vital. (petsoundness.com)
  • Les tumeurs de l'ovaire, que ce soit kystique, solide, ou les deux, sont considérées comme rares dans la population pédiatrique [ 1 ]. (panafrican-med-journal.com)
  • Tumeur développée au dépens de l'ovaire, à contenu le plus souvent liquidien. (docteur-benchimol.com)
  • Kyste de l'ovaire contenant des formations normalement présentes dans le derme ou dans l'épiderme (follicules pilosébacés, glandes sudoripares, dents). (docteur-benchimol.com)
  • L'odeur caractéristique de la transpiration aux aisselles se doit aux fluides de protéines générés par les glandes apocrines. (dorsup.com)
  • Le follicule pilo-sébacé comporte le poil et ses gaines, la glande sébacée et, dans certaines régions du corps, un muscle arrecteur et/ou des glandes sudoripares (= sudorales) apocrines. (biologiedelapeau.fr)
  • Plus communément appelée tumeur, une tumeur est un amas anormal de croissance cellulaire. (petsoundness.com)
  • Plus communément appelée tumeur, une tumeur est un groupe anormal de croissance cellulaire. (petsoundness.com)
  • On pense que si vous prenez ces vitamines régulièrement et en quantités suffisantes, vous pouvez empêcher le développement de tumeurs malignes, ainsi que la croissance des tumeurs existantes. (whshealthscience.com)
  • Elle peut se développer à l'aine ou dans la région génitale, ou autour de l'anus, secondairement à la propagation d'un cancer des glandes sudoripares sous-jacentes ou même de structures proches comme la vessie, l'anus et le rectum. (msdmanuals.com)
  • Le mot « tumeur » est un terme général qui correspond au développement d'un tissu nouvellement formé dans un tissu normal. (acspm.fr)
  • Les étapes de diagnostic précoce, de suivi et de traitement des tumeurs cutanées bénignes et malignes sont effectuées avec la dermatologie-oncologie. (maltepehastanesi.com.tr)
  • Le but du traitement est d'assurer un bon contrôle glycémique pendant toute la durée de la grossesse, les glandes sudoripares dégagent de l'humidité (transpiration). (argentliongames.com)
  • Ce système de thermorégulation est sous contrôle hypothalamique (cerveau) par le système nerveux sympathique, en stimulant les glandes sudoripares pour fabriquer la sueur. (afme.org)
  • Les deux types de glandes sudoripares cités précédemment provoquent cette transpiration car elles s'activent durant des situations stressantes. (dorsup.com)
  • Situées dans la zone des aisselles, la transpiration générée par la glande apocrine diffère des sueurs liées à la chaleur et à l'activité physique. (dorsup.com)
  • Elles sont développées aux dépens des annexes cutanées : glandes sudoripares ou sébacées principalement. (wikipedia.org)
  • Les annexes épidermiques regroupent les glandes cutanées et les phanères. (biologiedelapeau.fr)
  • De temps en temps, ces glandes augmentent de façon anormale leur production, provoquant un excès de graisse. (soindescheveux.org)
  • Lorsque ces hormones augmentent, on assiste à une sur-activation des glandes sudoripares du corps. (dorsup.com)
  • Au toucher, un kyste du pôle supérieur du rein gauche ne peut être détecté que si la tumeur mesure plus de 10 cm. (dovemedicalclinic.com)
  • elle est produite naturellement par les glandes sudoripares pour évacuer le surplus de chaleur du corps afin de maintenir une température à 37° C. (afme.org)
  • La tomodensitométrie permet de voir la nature de la tumeur dans le rein. (dovemedicalclinic.com)
  • Dans l'ensemble, les cancers du sein, du rein, des bronches, de la prostate, de la glande thyroïde ou du côlon ont potentiellement un risque plus élevé de récidive car ils ont métastasé plus fréquemment. (acspm.fr)
  • The time period the tumor continues to respond to treatment Période pendant laquelle la tumeur continue de répondre au traitement. (pierre-fabre.com)
  • La tumeur est causée par un dysfonctionnement du développement cellulaire. (acspm.fr)
  • Il s'agit de l'accumulation de mucus produit par les glandes de l' endocol (épithélium cylindrique) ne pouvant s'évacuer du fait du recouvrement physiologique de la glande par de l'épithélium malpighien (phénomène de réparation). (docteur-benchimol.com)
  • Le cancer du sein commence généralement dans les glandes qui produisent. (msdmanuals.com)