Utilisation de hirudines comme anticoagulant dans le traitement des troubles cardiological et hématologique.
Single-Chain polypeptides de 65 acides aminés (7 kDa) de sangsues qui ont un neutre hydrophobe N terminus, un acide C hydrophile terminus, et un poudrier, noyau hydrophobe. Recombinant région manque hirudines sulfatation tyr-63, constituent 'desulfato-hirudins. Ils forment un complexe stable avec l'alpha-thrombine non-covalent, afin de supprimer sa capacité à fendre le fibrinogène.
Une enzyme formé de prothrombine qui convertit le fibrinogène en fibrine.
Des facteurs endogènes directement ainsi que par des médicaments qui inhibent l'action de thrombine, généralement en bloquant son activité enzymatique. Ils sont distingués des INDIRECT thrombine DE LA SEROTONINE, tels que HEPARIN, qui agissent en renforçant les effets inhibiteurs du antithrombine.
Le temps nécessaire à l ’ apparence de fibrine brins après le mélange de plasma avec Phospholipid substitut plaquettaire (par exemple, grossier, de soja cephalins phosphatides). C'est un test de la voie intrinsèque (facteurs VIII, IX et XI, XII) et le bon chemin (fibrinogène, du taux de prothrombine, des facteurs V et X) de coagulation du sang. Il est utilisé comme une projection test HEPARIN et de suivre une thérapie.
Deux petites chaînes peptidiques retiré du N-terminal segment de la chaîne alpha du fibrinogène par l'action de thrombine pendant le processus de coagulation sanguine. Chaque chaîne peptidique contient 18 acides aminés. In vivo, fibrinopeptide A est utilisé comme un marqueur pour déterminer le taux de conversion du fibrinogène en fibrine par la thrombine.
Annelids de la classe Hirudinea. Certaines espèces, les suceurs de sang peut devenir temporairement parasitaire, sur les animaux même homme. Sangsues médicinales (Hirudo Medicinalis) ont été utilisées en thérapeutique pour verser le sang depuis l'Antiquité.
Une acidité élevée mucopolysaccharide constitué de parties égales de sulfated la D-glucosamine et D-glucuronic acide avec sulfaminic ponts. Le poids moléculaire est comprise entre 6 à 20 000. Héparine survient et est obtenue de foie, poumon, mastocytes, etc., des vertébrés. Sa fonction est inconnue, mais il est utilisé pour prévenir la formation de caillots sanguins in vitro et in vivo, sous la forme de nombreux plusieurs sels.
Deux petites chaînes peptidiques retiré du N-terminal segment du beta chaînes du fibrinogène par l'action de la thrombine. Chaque chaîne peptidique contient 20 acides aminés. La suppression des en fibrinopeptides B est pas requise pour la coagulation.
Une famille de Par La Protéinase récepteurs qui sont spécifique de thrombine. Ils se retrouve essentiellement sur PLAQUETTES et sur des cellules endothéliales. Activation des récepteurs se produit par la thrombine protéolytique, action de la thrombine clive le N-terminal du récepteur peptide de révéler un nouveau N-terminal peptide c'est une énigme pour ligand du récepteur. Les récepteurs signal par HETEROTRIMERIC PROTEINS sous-unités. Petits peptides synthétiques qui contiennent les démasqué N-terminal peptide séquence peut aussi activer le récepteur en l'absence d'activité protéolytique.
Protéines préparé par la technique de l ’ ADN recombinant.
Un écran plasma alpha 2 glycoprotéine qui représente la principale activité antithrombine de plasma normal et inhibe également plusieurs autres enzymes. Il est membre des superfamille Serpin.
Fibrinolysin ou d ’ agents convertir le plasminogène à Fibrinolysin.
Le processus de l'interaction de la coagulation du sang FACTEURS qui en résulte une insoluble caillot fibrineux.
Par la thrombine coagulé plasma glycoprotéine composée d'un dimère d non-jumelle trois paires de polypeptide chaînes (alpha, bêta, gamma) tenu ensemble par disulfures obligations. Fibrinogène sanguine impliquant sol-gel changement moléculaire complexe arrangements ; considérant que le fibrinogène est fendu par la thrombine pour former polypeptides A et B, l'action de rendements d ’ autres enzymes protéolytiques fibrinogène différents produits de dégradation.
Une espèce de sangsues d'eau douce européenne utilisé du sang dans les temps anciens et aussi pour des fuites dans les temps modernes.
L 'application des sangsues au corps pour prélever du sang à des fins thérapeutiques. Ces sangsues, une ancienne pratique médicale, est encore utilisées en microchirurgie et le traitement de congestion veineuse ou une obstruction.
Hormones produites par les invertébrés, généralement des insectes, mollusques, annelids et helminthes.
Travaille contenant des informations articles sur des sujets dans chaque domaine de connaissances, généralement dans l'ordre alphabétique, ou un travail similaire limitée à un grand champ ou sujet. (De The ALA Glossaire Bibliothèque et information de Science, 1983)
Les corps cellulaires normaux dans les groupes d'invertébrés. Invertébré ganglions peut également comprendre les processus et non-neuronal soutenant cellules neuronales. De nombreux sujets invertébré ganglions sont favorables pour la recherche parce qu'ils ont de petits nombres de types neuronal fonctionnelle qui peuvent être identifiés d'un animal à un autre.
Ponction dans une veine pour prélever du sang à des fins thérapeutiques. Saignée thérapie a été utilisée en médecine indienne talmudiques et depuis le Moyen Âge. Et il était encore pratiqué largement dans le 18e et 19e siècles. Son homologue moderne est phlébotomie.
Un phénéthylamine c'est un de l'éphédrine isomère qui est moins des effets sur le système nerveux central et l'utilisation est principalement pour decongestion des voies respiratoires.
Sympathomimétique qui agit principalement en stimulant la libération de noradrénaline mais a aussi directe activité agoniste des récepteurs adrénergiques, c'est le plus couramment utilisé comme un vasoconstricteur nasale et un appétit dépresseur.
Agents qui empêchent la coagulation.
Trouvé dans un phénéthylamine ephedra SINICA. La pseudoéphédrine est un isomère. C'est un agoniste bêta-adrénergique alpha- et qui peuvent également accroître la libération de noradrénaline. Il a été utilisé pour l ’ asthme, défaillance cardiaque, rhinite, et incontinence urinaire, et pour ses effets stimulation du système nerveux central dans le traitement de la narcolepsie et dépression. Celle-ci est devenue moins largement utilisée avec l'avènement des agonistes plus sélectives.

La thérapie hirudine est l'utilisation thérapeutique de sangsues (Hirudo medicinalis) dans le traitement de diverses affections médicales. L'hirudine est une substance anticoagulante trouvée dans la salive des sangsues qui empêche la coagulation du sang pendant et après la morsure de la sangsue. Cette propriété anticoagulante est utilisée en médecine pour traiter certaines conditions telles que les troubles circulatoires, les thromboses veineuses, l'hypertension artérielle, les inflammations articulaires et d'autres maladies cardiovasculaires.

Lorsqu'une sangsue mord la peau, elle libère de l'hirudine dans le sang de la victime, ce qui empêche la coagulation du sang pendant et après le repas. Les médecins peuvent utiliser des sangsues élevées en laboratoire pour traiter certains patients. Après avoir mordu la peau et sucé une petite quantité de sang, les sangsues sont retirées et l'hirudine reste dans le corps du patient, où elle peut aider à fluidifier le sang et à améliorer la circulation sanguine.

Cependant, il est important de noter que l'utilisation de la thérapie hirudine est limitée en raison des risques d'infection et d'autres complications associées à l'utilisation de sangsues vivantes. Par conséquent, des formes synthétiques d'hirudine sont également utilisées dans le traitement de certaines affections médicales, telles que les thromboses veineuses profondes et les embolies pulmonaires.

Les Hirudinés sont un ordre de vers aquatiques non segmentés, qui comprend les sangsues médicinales et les sangsues d'eau douce. Ils sont caractérisés par leur régime alimentaire principalement hématophage (se nourrissant de sang) et par la sécrétion d'un anticoagulant puissant appelé hirudine, qui empêche la coagulation du sang pendant qu'ils se nourrissent. Les hirudines sont souvent utilisées en médecine alternative pour des traitements thérapeutiques tels que la phlébotomie et la thrombose veineuse profonde. Elles peuvent également être utilisées dans la recherche médicale pour étudier les propriétés anticoagulantes de l'hirudine.

Il est important de noter qu'il existe des risques associés à l'utilisation des hirudines, tels que des infections et une réaction allergique, il est donc crucial de consulter un professionnel de santé qualifié avant d'envisager ce traitement.

La thrombine, également connue sous le nom de factor IIa, est une enzyme essentielle dans la coagulation sanguine. Elle est produite à partir d'un précurseur inactif, la prothrombine, par l'action de la factor Xa en présence de calcium et de phospholipides sur les membranes cellulaires.

La thrombine convertit le fibrinogène, une protéine plasmatique, en fibrine, ce qui entraîne la formation d'un caillot sanguin (thrombus). En plus de son rôle dans la coagulation, la thrombine peut également activer certaines cellules et stimuler l'inflammation, contribuant ainsi à la réponse globale de l'organisme aux lésions tissulaires. Un déséquilibre ou une dysfonction de la cascade de coagulation, y compris la production excessive ou insuffisante de thrombine, peuvent entraîner des troubles de la coagulation sanguine, tels que la thrombose (coagulation excessive) ou l'hémorragie (saignement excessif).

L'antithrombine, également connue sous le nom d'antithrombine III, est une protéine plasmatique qui inhibe la coagulation sanguine en régulant la formation de caillots sanguins. Elle fonctionne en neutralisant les facteurs de coagulation actifs, tels que la thrombine et le facteur Xa, qui sont des enzymes essentielles dans la cascade de coagulation sanguine.

L'antithrombine est une protéase sérique qui inactive plusieurs enzymes de la coagulation sanguine en se liant à elles et en accélérant leur inactivation par l'héparane sulfate, un glycosaminoglycane présent dans les cellules endothéliales. Cette interaction entraîne une réduction de la formation de caillots sanguins anormaux ou excessifs, ce qui peut prévenir des complications telles que la thrombose veineuse profonde et l'embolie pulmonaire.

L'antithrombine est également utilisée comme médicament dans le traitement et la prévention de la maladie thromboembolique, telle que la thrombose veineuse profonde et l'embolie pulmonaire. Les déficits congénitaux en antithrombine sont associés à un risque accru de thrombose veineuse profonde et d'embolie pulmonaire.

Le Temps Céphaline-Kaolin (TCK) est un test de laboratoire utilisé en hématologie pour évaluer l'activité fonctionnelle des plaquettes sanguines et la coagulation. Ce test consiste à mesurer le temps nécessaire à la formation d'un caillot sanguin après l'ajout d'un activateur de coagulation, la céphaline, mélangée à du kaolin, qui favorise l'activation des facteurs de la coagulation. Un résultat anormalement élevé de TCK peut indiquer un trouble de la coagulation ou une thrombopénie (diminution du nombre de plaquettes sanguines). Ce test est souvent utilisé en combinaison avec d'autres tests de coagulation pour diagnostiquer et surveiller les troubles hémorragiques.

Le fibrinopeptide A est un peptide qui est clivé et libéré lors de la conversion du fibrinogène en fibrine pendant le processus de coagulation sanguine. Il s'agit d'une protéine soluble qui joue un rôle crucial dans la formation des caillots sanguins.

Lorsque la fibrine se forme, elle crée un réseau fibreux qui aide à arrêter le saignement en stabilisant le caillot sanguin. Le clivage et la libération du fibrinopeptide A sont des marqueurs de l'activation de la coagulation et peuvent être utilisés comme biomarqueurs pour évaluer l'état de coagulation dans certaines conditions médicales, telles que la thrombose, l'hémophilie et les traumatismes.

La mesure du taux de fibrinopeptide A peut également être utile pour le diagnostic et le suivi des troubles de la coagulation et des maladies cardiovasculaires, ainsi que pour évaluer l'efficacité de certains médicaments anticoagulants.

Hirudinea est un sous-embranchement de la classe des Annelida, qui comprend les sangsues. Les sangsues sont des vers aquatiques ou terrestres, longs et minces, souvent parasites, qui se nourrissent du sang d'autres animaux. Elles possèdent une ventouse antérieure et postérieure pour s'accrocher à leur hôte. Certaines espèces peuvent être des vecteurs de maladies telles que la bilharziose et la fièvre pourprée des montagnes rocheuses. Les sangsues sont également utilisées en médecine dans le cadre de certaines thérapies dérivées du sang, comme le traitement de certains types d'ulcères ou de troubles circulatoires.

Voici une définition médicale plus précise :
Hirudinea est un sous-embranchement d'Annelida comprenant des espèces parasitaires et non parasitaires. Les membres de ce groupe sont caractérisés par leur forme allongée, leurs ventouses antérieure et postérieure, et leur régime alimentaire hématophage (se nourrissant de sang). Certaines espèces peuvent être des vecteurs de maladies telles que la bilharziose et la fièvre pourprée des montagnes rocheuses. Les sangsues sont également utilisées en médecine dans le cadre de certaines thérapies dérivées du sang, comme le traitement de certains types d'ulcères ou de troubles circulatoires.

L'héparine est un anticoagulant utilisé dans le traitement et la prévention des caillots sanguins. Il s'agit d'un glycosaminoglycane, une longue chaîne de molécules de sucre sulfatées, qui se lie à l'antithrombine III, une protéine sanguine, et l'active. L'héparine active accélère la neutralisation des facteurs de coagulation IIa (thrombine) et Xa dans le sang, ce qui empêche la formation de caillots sanguins.

L'héparine est généralement administrée par injection sous-cutanée ou par perfusion intraveineuse. Elle est utilisée pour traiter et prévenir les maladies thromboemboliques telles que la thrombose veineuse profonde, l'embolie pulmonaire et les accidents vasculaires cérébraux. L'héparine est également utilisée pendant la dialyse rénale pour prévenir la formation de caillots dans le circuit extracorporel.

Il existe différents types d'héparine, notamment l'héparine non fractionnée (HNF), l'héparine de bas poids moléculaire (HBPM) et l'héparine à faible biodisponibilité. Chaque type a des propriétés pharmacocinétiques et un spectre d'activité anticoagulante différents, ce qui les rend adaptés à des utilisations cliniques spécifiques.

Bien que l'héparine soit un médicament efficace pour prévenir et traiter les maladies thromboemboliques, elle peut entraîner des complications telles que des saignements excessifs, une thrombocytopénie induite par l'héparine (TIH) et une ostéoporose chez les patients recevant un traitement à long terme. Par conséquent, il est important de surveiller étroitement les patients recevant de l'héparine et d'ajuster la dose en fonction de leur réponse individuelle au médicament.

Le fibrinopeptide B est une petite molécule qui est clivée et libérée lors de la conversion du fibrinogène en fibrine pendant le processus de coagulation sanguine. Le fibrinogène est une protéine plasmatique majeure, synthétisée par le foie, qui joue un rôle crucial dans la formation des caillots sanguins.

Lorsque le fibrinogène est converti en fibrine sous l'action de la thrombine, il subit une série de modifications chimiques qui aboutissent à la formation d'un réseau tridimensionnel de fibres de fibrine, stabilisé par des facteurs de coagulation et des protéines plasmatiques.

Le fibrinopeptide B est libéré lorsque la thrombine clive spécifiquement les résidus d'arginine aux extrémités des chaînes alpha et beta du fibrinogène, ce qui entraîne la formation de monomères de fibrine. Ces monomères peuvent alors polymériser pour former des fibres de fibrine, qui forment finalement le caillot sanguin.

Par conséquent, la mesure du taux de fibrinopeptide B dans le sang peut être utilisée comme marqueur de l'activation de la coagulation et de la formation de caillots sanguins. Des niveaux élevés de fibrinopeptide B peuvent indiquer une activation excessive de la coagulation, ce qui peut se produire dans certaines conditions pathologiques telles que la thrombose, l'infarctus du myocarde et les accidents vasculaires cérébraux.

Un récepteur de thrombine est une protéine qui se lie et est activée par la thrombine, une enzyme essentielle dans la coagulation sanguine. Dans le corps humain, ces récepteurs sont présents à la surface des plaquettes sanguines (thrombocytes) et des cellules endothéliales qui tapissent les vaisseaux sanguins.

Lorsqu'un vaisseau sanguin est endommagé, la cascade de coagulation est déclenchée, aboutissant à la formation d'un caillot sanguin pour arrêter le saignement. La thrombine joue un rôle clé dans ce processus en convertissant le fibrinogène en fibrine, une protéine qui forme un réseau tridimensionnel dans lequel les plaquettes et les globules rouges sont piégées, formant ainsi un caillot.

Les récepteurs de thrombine, lorsqu'ils sont activés par la thrombine, déclenchent une série de réponses cellulaires qui favorisent l'agrégation plaquettaire, la libération de médiateurs pro-inflammatoires et la activation des cellules endothéliales. Ces événements contribuent à la stabilisation du caillot sanguin et au déclenchement d'une réponse inflammatoire locale.

Cependant, une activation excessive ou persistante de ces récepteurs peut entraîner des complications thrombotiques et inflammatoires, telles que la thrombose veineuse profonde et l'athérosclérose. Par conséquent, les récepteurs de thrombine sont considérés comme des cibles thérapeutiques importantes pour le traitement et la prévention des maladies cardiovasculaires et thromboemboliques.

La recombinaison des protéines est un processus biologique au cours duquel des segments d'ADN sont échangés entre deux molécules différentes de ADN, généralement dans le génome d'un organisme. Ce processus est médié par certaines protéines spécifiques qui jouent un rôle crucial dans la reconnaissance et l'échange de segments d'ADN compatibles.

Dans le contexte médical, la recombinaison des protéines est particulièrement importante dans le domaine de la thérapie génique. Les scientifiques peuvent exploiter ce processus pour introduire des gènes sains dans les cellules d'un patient atteint d'une maladie génétique, en utilisant des vecteurs viraux tels que les virus adéno-associés (AAV). Ces vecteurs sont modifiés de manière à inclure le gène thérapeutique souhaité ainsi que des protéines de recombinaison spécifiques qui favorisent l'intégration du gène dans le génome du patient.

Cependant, il est important de noter que la recombinaison des protéines peut également avoir des implications négatives en médecine, telles que la résistance aux médicaments. Par exemple, les bactéries peuvent utiliser des protéines de recombinaison pour échanger des gènes de résistance aux antibiotiques entre elles, ce qui complique le traitement des infections bactériennes.

En résumé, la recombinaison des protéines est un processus biologique important impliquant l'échange de segments d'ADN entre molécules différentes de ADN, médié par certaines protéines spécifiques. Ce processus peut être exploité à des fins thérapeutiques dans le domaine de la médecine, mais il peut également avoir des implications négatives telles que la résistance aux médicaments.

L'antithrombine III, également connue sous le nom d'heparin cofactor II, est une protéine plasmatique qui inhibe la coagulation sanguine. Elle fonctionne en se liant à la thrombine et à d'autres protéases de la coagulation, ce qui empêche ces enzymes de convertir le fibrinogène en fibrine, un composant clé du caillot sanguin.

L'antithrombine III est activée par l'héparine et d'autres glycosaminoglycanes, ce qui accélère sa capacité à inactiver les protéases de la coagulation. L'activation de l'antithrombine III par l'héparine est un mécanisme important pour prévenir la formation de caillots sanguins dans le corps.

Les déficits en antithrombine III peuvent augmenter le risque de thrombose veineuse profonde et d'embolie pulmonaire, deux complications graves de la coagulation sanguine. Les personnes atteintes de déficits congénitaux en antithrombine III peuvent recevoir des suppléments d'antithrombine III pour prévenir les épisodes thrombotiques.

Les fibrinolytiques sont des médicaments utilisés pour dissoudre les caillots sanguins en décomposant la fibrine, une protéine qui forme la structure principale des caillots. Ces médicaments agissent en activant le système fibrinolytique naturel du corps, qui est responsable de la dissolution des caillots sanguins lorsqu'ils ne sont plus nécessaires. Les fibrinolytiques sont souvent utilisés pour traiter les urgences vasculaires telles que l'infarctus du myocarde (crise cardiaque) et l'embolie pulmonaire, ainsi que pour prévenir ou traiter la thrombose veineuse profonde et l'embolie.

Les exemples courants de fibrinolytiques comprennent l'alteplase (Activase), la rtéplase (Retavase) et la ténectéplase (TNKase). Ces médicaments sont généralement administrés par voie intraveineuse dans un hôpital sous surveillance médicale étroite en raison de leur potentiel à provoquer des saignements excessifs. Les effets secondaires courants des fibrinolytiques comprennent des saignements, des ecchymoses, des maux de tête et une pression artérielle basse.

La coagulation sanguine, également appelée hémostase, est un processus complexe et vital qui empêche la perte excessive de sang après une blessure ou une lésion vasculaire. Il existe deux principales phases dans ce processus :

1. Hémostase primaire : Cette phase implique la constriction des vaisseaux sanguins endommagés et l'activation plaquettaire pour former un bouchon temporaire appelé thrombus plaquettaire ou « caillot blanc ». Les facteurs de coagulation ne sont pas encore impliqués à ce stade.

2. Hémostase secondaire : Dans cette phase, une cascade enzymatique complexe est déclenchée, aboutissant à la formation d'un caillot sanguin stable ou « caillot rouge ». Ce processus implique plusieurs facteurs de coagulation (protéines plasmatiques) qui s'activent mutuellement et convertissent le fibrinogène en fibrine, créant ainsi un réseau tridimensionnel dans lequel les globules rouges et les autres composants cellulaires du sang sont piégés.

Plusieurs facteurs de coagulation, précurseurs inactifs (zymogènes), sont stockés dans le foie sous forme de protéines plasmatiques. Ils peuvent être activés par des traumatismes tissulaires directs ou indirectement via des voies de activation extrinsèque, intrinsèque et commune. Les déséquilibres dans ce système complexe peuvent entraîner des troubles hémostatiques, tels que des coagulations excessives (thrombose) ou insuffisantes (hémorragie).

Le fibrinogène est une protéine plasmatique produite par le foie qui joue un rôle crucial dans la coagulation sanguine. Dans des conditions physiologiques, il circule dans le sang sous forme inactive. Lorsqu'il est activé au cours du processus de coagulation, il est converti en fibrine, une protéine essentielle à la formation d'un caillot sanguin solide. Cette conversion est déclenchée par la thrombine, une autre protéine impliquée dans la coagulation. Le fibrinogène a donc un rôle central dans l'hémostase, le processus qui permet de stopper les saignements après une blessure. Des taux anormaux de fibrinogène peuvent être associés à des troubles de la coagulation, comme l'hypofibrinogénémie (taux bas) ou la dysfibrinogénémie (anomalie de la structure du fibrinogène).

'Hirudo medicinalis' est le nom scientifique d'une espèce de sangsue médicinale commune, également connue sous le nom de sangsue médicinale européenne. Ces sangsues sont souvent utilisées en médecine comme thérapie par hirudothérapie, dans laquelle elles sont appliquées sur un patient pour sucer son sang et sécréter des salives contenant des composés anticoagulants, analgésiques et anti-inflammatoires. Cela peut aider à améliorer la circulation sanguine, à réduire l'inflammation et à soulager la douleur dans certaines conditions médicales telles que l'arthrite, les troubles circulatoires et les affections musculo-squelettiques.

Il est important de noter que seules les sangsues élevées en laboratoire contrôlé devraient être utilisées à des fins médicales, car celles capturées dans la nature peuvent transmettre des maladies infectieuses telles l'hirudinose.

Je suis désolé, mais la combinaison de mots "Application Sangsues" ne correspond à aucun terme médical standard ou concept que j'ai pu identifier dans ma formation et mon expérience en tant que médecin. Il est possible qu'il y ait une confusion ou une faute d'orthographe dans la question. Si vous cherchez des informations sur l'utilisation de sangsues à des fins médicales, je peux vous fournir certaines informations à ce sujet.

L'hirudothérapie est la pratique consistant à utiliser des sangsues médicinales (Hirudo medicinalis) dans un but thérapeutique. Cette méthode a été utilisée pendant des siècles en médecine traditionnelle et alternative pour traiter diverses affections, telles que les troubles circulatoires, l'inflammation et la douleur. Les sangsues sont appliquées sur la peau à des endroits spécifiques où une incision est pratiquée pour permettre à l'insecte de prélever du sang.

Les sécrétions salivaires des sangsues contiennent plusieurs substances bioactives, telles que l'hirudine, qui possède des propriétés anticoagulantes et antiplaquettaires, ainsi que d'autres composants aux effets anti-inflammatoires, analgésiques et vasodilatateurs. Ces substances peuvent contribuer à améliorer la circulation sanguine locale, à réduire l'enflure et la douleur, et à favoriser la guérison des tissus.

Cependant, il convient de noter que l'utilisation de sangsues en médecine est limitée et ne fait pas partie des pratiques médicales conventionnelles dans la plupart des pays développés. Elle peut être envisagée dans certains cas particuliers, tels que les troubles de la circulation sanguine ou les lymphoedèmes réfractaires aux traitements conventionnels, mais uniquement sous la supervision d'un professionnel de santé qualifié et après avoir évalué soigneusement les bénéfices potentiels et les risques associés à cette thérapie.

Les hormones des invertébrés se réfèrent à un large éventail de substances chimiques messagères qui régulent divers processus physiologiques chez les invertébrés. Contrairement aux mammifères et aux vertébrés, les systèmes endocriniens des invertébrés sont beaucoup moins bien compris. Cependant, on sait que certaines hormones jouent un rôle crucial dans la croissance, le développement, la reproduction, l'homéostasie et la régulation du comportement chez les invertébrés.

Les exemples d'hormones des invertébrés comprennent :

1. Ecdysone : Cette hormone stéroïde est responsable de la mue (ecdysis) et de la croissance chez les arthropodes tels que les insectes, les crustacés et les acariens. Elle déclenche la synthèse des enzymes nécessaires à la dégradation de la cuticule existante et stimule la production d'une nouvelle cuticule.

2. Juvenile Hormone (JH) : Chez les insectes, cette hormone régule le développement et la différenciation des cellules. Les niveaux élevés de JH empêchent la métamorphose en un stade adulte, tandis que des niveaux décroissants permettent à l'insecte de se transformer en une forme adulte.

3. Molécules de signalisation neuronales : Chez les céphalopodes tels que les calmars et les pieuvres, certaines molécules de signalisation neuronale peuvent fonctionner comme des hormones, régulant le métabolisme, la croissance et d'autres fonctions physiologiques.

4. Neuropeptides : Les neuropeptides sont des peptides courts qui agissent comme des neurotransmetteurs ou des hormones dans les systèmes nerveux et endocriniens des invertébrés. Ils régulent une variété de fonctions, y compris l'appétit, la croissance, le comportement reproducteur et la douleur.

5. Écdysone : Cette hormone stéroïde contrôle la mue et la métamorphose chez les insectes et certains autres arthropodes. Elle stimule la production d'enzymes qui dégradent la cuticule existante, permettant à l'animal de se libérer de son exosquelette et de se développer dans une nouvelle forme.

6. Hormone thyroïdienne : Chez les crustacés, l'hormone thyroïdienne régule la mue et la croissance en stimulant la synthèse des protéines et le métabolisme.

7. Insuline : L'insuline est une hormone peptidique qui régule le métabolisme du glucose, des lipides et des protéines chez les invertébrés, tout comme chez les vertébrés.

Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.

Je suis désolé, mais la phrase que vous avez demandée de définir est incorrecte. Il n'y a pas de "ganglions" spécifiques aux invertébrés, car les ganglions sont des structures nerveuses typiquement trouvées dans le système nerveux central des animaux à symétrie bilatérale, y compris les vertébrés et certains groupes d'invertébrés.

Cependant, chez de nombreux invertébrés, tels que les arthropodes (par exemple, les insectes, les crustacés) et les annélides (par exemple, les vers de terre), le système nerveux est organisé en ganglions discrets qui sont responsables du contrôle des différentes parties du corps. Chez ces animaux, les ganglions peuvent être considérés comme des centres nerveux locaux qui traitent et intègrent les informations sensorielles et motrices pour réguler les fonctions corporelles spécifiques.

Par conséquent, il serait plus approprié de demander une définition du système nerveux des invertébrés ou des ganglions dans certains groupes d'invertébrés, plutôt que de chercher une définition spécifique pour les "ganglions des invertébrés".

Une saignée, dans le contexte médical, est une procédure où une certaine quantité de sang est délibérément retirée du corps à l'aide d'instruments médicaux tels que des aiguilles et des tubes. Cette intervention était couramment pratiquée dans le passé à des fins thérapeutiques, avant la compréhension actuelle des mécanismes physiologiques du sang et de la circulation sanguine.

Cependant, aujourd'hui, les saignées sont rarement utilisées et ne sont généralement pratiquées que dans certaines situations spécifiques telles que:

1. Traitement de l'hémochromatose, une maladie héréditaire qui entraîne une absorption excessive de fer par l'organisme, ce qui peut provoquer des dommages aux organes internes.
2. Gestion des overdoses médicamenteuses ou des intoxications, en particulier lorsque d'autres méthodes de traitement ne sont pas disponibles ou ont échoué.
3. Traitement du trouble de la coagulation sanguine connu sous le nom de polycythémie vraie, dans lequel les niveaux excessifs de globules rouges entraînent une viscosité accrue du sang et une mauvaise circulation sanguine.

Il est important de noter que la saignée est une procédure médicale invasive qui comporte des risques potentiels, tels qu'une infection, une réaction allergique aux anticoagulants utilisés pendant la procédure et une baisse dangereuse de la pression artérielle. Par conséquent, elle ne doit être pratiquée que sous la supervision directe d'un professionnel de la santé qualifié et dans des installations médicales appropriées.

La pseudoéphédrine est un décongestionnant utilisé dans le traitement des symptômes du rhume et des allergies. Il agit en rétrécissant les vaisseaux sanguins dans la muqueuse nasale, ce qui permet de soulager la congestion nasale.

La pseudoéphédrine est un stimulant sympathomimétique alpha-adrénergique. Elle peut être trouvée sous forme de comprimés, de gélules, de sirops et de sprays nasaux en vente libre ou sur ordonnance.

Bien que la pseudoéphédrine soit généralement considérée comme sûre lorsqu'elle est utilisée conformément aux instructions, elle peut entraîner des effets secondaires tels qu'une augmentation de la pression artérielle, des palpitations cardiaques, des maux de tête, des nausées et des étourdissements.

En outre, la pseudoéphédrine est souvent utilisée dans la fabrication illégale de méthamphétamine, ce qui a conduit à des restrictions sur sa vente dans certains pays. Il est important de suivre les instructions de dosage et de ne pas utiliser la pseudoéphédrine plus longtemps que recommandé sans consulter un professionnel de la santé.

La phénylpropanolamine est un stimulant sympathomimétique, qui agit en se liant aux récepteurs adrénergiques dans le corps. Il était souvent utilisé dans les médicaments en vente libre pour traiter la congestion nasale et comme suppressant de l'appétit dans les préparations pour maigrir. Cependant, en raison de ses effets secondaires graves, tels que l'hypertension artérielle et les accidents vasculaires cérébraux hémorragiques, la FDA a retiré l'autorisation de son utilisation dans les médicaments en vente libre aux États-Unis en 2000. Il peut encore être trouvé dans certains médicaments sur ordonnance, mais son utilisation est limitée et réglementée en raison de ses risques potentiels pour la santé.

Les anticoagulants sont une classe de médicaments utilisés pour prévenir et traiter la formation de caillots sanguins dans le corps. Ils fonctionnent en ralentissant ou en empêchant la coagulation du sang, ce qui peut aider à prévenir des complications graves telles que les accidents vasculaires cérébraux, les crises cardiaques et les embolies pulmonaires.

Les anticoagulants peuvent être classés en deux catégories principales : les anticoagulants oraux et les anticoagulants parentéraux. Les anticoagulants oraux sont pris par voie orale sous forme de comprimés ou de capsules, tandis que les anticoagulants parentéraux sont administrés par injection ou par perfusion intraveineuse.

Les anticoagulants oraux les plus couramment utilisés comprennent la warfarine, le rivaroxaban, l'apixaban et le dabigatran. La warfarine a été largement utilisée pendant de nombreuses années et fonctionne en inhibant l'action de la vitamine K, ce qui ralentit la production de certains facteurs de coagulation sanguins. Les anticoagulants oraux plus récents, tels que le rivaroxaban, l'apixaban et le dabigatran, agissent en inhibant directement certaines enzymes impliquées dans la coagulation sanguine.

Les anticoagulants parentéraux comprennent l'héparine et les héparinoïdes, qui sont des médicaments injectables qui augmentent l'activité d'une enzyme appelée antithrombine III, ce qui réduit la formation de caillots sanguins.

Bien que les anticoagulants soient souvent efficaces pour prévenir et traiter les caillots sanguins, ils peuvent également augmenter le risque de saignement. Par conséquent, il est important que les patients qui prennent des anticoagulants soient étroitement surveillés par un professionnel de la santé pour détecter tout signe de saignement ou d'autres complications.

L'éphédrine est un stimulant sympathomimétique utilisé dans les médicaments en vente libre et sur ordonnance. Il sert de décongestionnant nasal et d'aide à la perte de poids. L'éphédrine agit en resserrant les vaisseaux sanguins, ce qui peut soulager la congestion nasale. Il stimule également le système nerveux central, ce qui peut augmenter la pression artérielle et le rythme cardiaque.

L'éphédrine est également utilisée comme bronchodilatateur dans le traitement de l'asthme et d'autres maladies pulmonaires obstructives. Il fonctionne en relâchant les muscles des voies respiratoires, ce qui permet aux poumons de se remplir plus facilement d'air.

L'éphédrine peut être administrée par voie orale, intranasale ou parentérale (par injection). Les effets secondaires peuvent inclure des nausées, des vomissements, des maux de tête, des étourdissements, des palpitations cardiaques et une augmentation de la pression artérielle. L'utilisation à long terme ou à fortes doses peut entraîner une dépendance et des effets secondaires graves tels qu'une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral.

L'éphédrine est généralement considérée comme sûre lorsqu'elle est utilisée à des doses appropriées et sous la surveillance d'un professionnel de la santé. Cependant, il peut interagir avec d'autres médicaments et conditions médicales, il est donc important d'informer votre médecin de tous les médicaments que vous prenez et de toutes les conditions médicales que vous avez avant de commencer à prendre de l'éphédrine.

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