Une méthode pour la détection des très petites quantités d ’ anticorps dans lequel le antigen-antibody-complement complexe adhérerait indicateur cellules, habituellement les érythrocytes ni primate nonprimate plaquettes sanguines. La réaction dépend du nombre de Bound C3 molécules de C3B des récepteurs de l 'indicateur cellule.
Tests de mesurer certains antigènes sensibles, des anticorps ou virus, en utilisant leur capacité à agglutinate certains les érythrocytes. (De Stedman, 26ème éditeur)
Sites moléculaire sur ou dans des lymphocytes B et les macrophages qui reconnaissent et se combinent avec COMPLEMENT C3B. La structure primaire de ces récepteurs n ’ ont révélé qu ’ ils contiennent transmembranaire domaines et cytoplasmique, avec leur partie extracellulaire entièrement composée de trente courte consensus répète chaque avoir 60 à 70 acides aminés.
Les examens mesurant sérologique anti-hemadsorption des agents tels que des anticorps antiviral bloc VIRAL HEMAGGLUNININS d'adhérer à la surface des globules rouges.
Basé sur des tests sérologiques inactivation de complément par le complexe antigen-antibody (étape 1). La liaison de libre complément peut être visualisée par plus de seconde antigen-antibody système comme les globules rouges et globules rouges (anticorps approprié hemolysin) nécessitant complément à son perfectionnement (stade 2). Échec de la lyse de globules rouges indique qu ’ une réaction antigen-antibody spécifique a eu lieu au stade 1. Si les globules rouges lyse, libre complément restants antigen-antibody indiquant aucune réaction est survenue au stade 1.
Glycoprotéines sérique participant au mécanisme de défense de COMPLEMENT ACTIVATION hôte qui crée la membrane COMPLEMENT glycoprotéines ATTACK COMPLEXE. Parmi ceux-ci se trouvent dans les différents courants de l'activation du complément (bercer ; COMPLEMENT COMPLEMENT MONDIAL ; et Lectin COMPLEMENT voie).
Les molécules à la surface des lymphocytes B et les macrophages, qui reconnaissent et se combine aux C3B, C3D, C1Q, et du complément C4B composantes.
Le complexe formé par la liaison des molécules. Des anticorps et la déposition de grands complexes antigen-antibody menant à l'abri provoque des lésions tissulaires complexe maladies.
Un genre de PICORNAVIRIDAE naturellement hépatite provoque chez l'homme et chez les autres primates expérimentalement. C'est transmise dans contamination fécale nourriture ni eau. L'hépatite A VIRUS est le genre espèce.
La période de récupération suite à une maladie.
Une glycoprotéine qui joue un rôle central dans les deux le classique et l'alternative voie de COMPLEMENT ACTIVATION. C3 peut être déchirée en COMPLEMENT C3A et COMPLEMENT C3B spontanément à basse altitude ou par C3 Convertase à haut niveau. Le plus petit fragment Anaphylatoxin et C3A est un médiateur de processus inflammatoires locales. Le plus gros fragment C3B se lie avec C3 Convertase pour former C5 Convertase.
Coopération volontaire du patient en te droguer, y compris médicaments comme prescrit timing, la posologie, et par fréquence.
Globules rouges. Mature, les érythrocytes ont biconcave non-nucleated disques contenant hémoglobine dont la fonction est de transporter en oxygène.
Les immunoglobulines produits en réponse au VIRAL antigènes.

Le test d'immunoadhérence (IHA) est un examen de laboratoire utilisé en médecine pour aider au diagnostic et au suivi de certaines maladies infectieuses. Il s'agit d'un test qui met en évidence la présence d'antigènes spécifiques ou d'anticorps dans le sang, ce qui permet de déterminer si une personne a été exposée à une infection particulière.

Le principe du test repose sur l'adhérence (l'attachement) des anticorps présents dans un échantillon sanguin à des antigènes fixés sur une surface solide, telle qu'une puce ou une lame de verre. Lorsque les anticorps se lient aux antigènes, ils forment des complexes immuns qui peuvent être visualisés sous un microscope après ajout d'un colorant approprié.

L'IHA est souvent utilisé pour détecter la présence d'anticorps contre certaines bactéries telles que Streptococcus pyogenes (streptocoque du groupe A), qui peut causer des infections telles que la pharyngite streptococcique et l'impétigo. Il peut également être utilisé pour détecter des anticorps contre certains virus, tels que le virus de l'hépatite B.

Cependant, il convient de noter que ce test a été largement remplacé par d'autres méthodes plus sensibles et spécifiques, telles que les tests ELISA (Enzyme-Linked Immunosorbent Assay) ou les tests de Western blot. L'IHA reste cependant encore utilisé dans certains contextes en raison de sa simplicité et de son coût relativement faible.

L'hémagglutination est une réaction dans laquelle des hématies (globules rouges) s'agglutinent ou se regroupent ensemble, formant des grappes visibles à l’œil nu. Cette réaction est souvent utilisée en laboratoire pour le diagnostic de diverses maladies infectieuses telles que la grippe, les infections à streptocoques et certaines formes d'hépatite.

Dans ce processus, des anticorps spécifiques se lient aux antigènes situés sur la surface des hématies, créant ainsi une agglutination. Les antigènes peuvent être des protéines ou des polysaccharides présents à la surface des globules rouges infectés par un agent pathogène particulier. Lorsque ces antigènes rencontrent les anticorps correspondants dans un milieu liquide, ils se lient et entraînent l'agglutination des hématies.

Cette méthode est couramment employée dans des tests de dépistage sérologiques pour diagnostiquer une infection en cours ou établir une preuve d'une infection antérieure. Par exemple, le test de VCA-IgM et VCA-IgG pour la mononucléose infectieuse (maladie des maux de gorge) est basé sur ce principe.

Toutefois, il convient de noter que certains facteurs peuvent influencer les résultats de ces tests, tels qu'un faible titre d'anticorps, la présence d'inhibiteurs dans le sérum ou des variantes antigéniques. Par conséquent, il est crucial d'interpréter les résultats avec prudence et de les considérer en conjonction avec d'autres informations cliniques pertinentes.

Le récepteur du complément 3b (abréviation : CR3 ou CD11b/CD18) est un type de protéine trouvée à la surface des cellules telles que les neutrophiles, les monocytes et les macrophages. Il s'agit d'un récepteur d'opsonines qui se lie aux fragments de protéines du complément C3b et iC3b, ce qui permet à ces cellules immunitaires de reconnaître et d'éliminer plus efficacement les agents pathogènes, telles que les bactéries et les parasites.

Le CR3 est un membre de la famille des récepteurs d'intégrine et se compose de deux sous-unités, CD11b (ou integrin αM) et CD18 (ou integrin β2). Ces sous-unités s'associent pour former une structure complexe qui peut se lier aux fragments du complément ainsi qu'à d'autres molécules sur la surface des agents pathogènes.

Le CR3 joue un rôle important dans l'activation et la régulation de la réponse immunitaire, en particulier dans les processus inflammatoires et les mécanismes d'adhésion cellulaire. Des mutations ou des défauts dans le gène codant pour le CR3 peuvent entraîner une susceptibilité accrue aux infections et à certaines maladies auto-immunes.

Le test d'inhibition d'hémadsorption (TIHA) est un examen de laboratoire utilisé pour la détection et la mesure des anticorps dirigés contre le virus de l'influenza dans un échantillon de sérum sanguin. Ce test est basé sur la capacité du virus de l'influenza à infecter les hématies (globules rouges) de certains animaux, tels que les poulets ou les cobayes, et à former des agrégats visibles à l'œil nu.

Dans le cadre du TIHA, le sérum du patient est mélangé avec des hématies infectées par le virus de l'influenza. Si des anticorps dirigés contre ce virus sont présents dans le sérum, ils se lieront aux antigènes viraux à la surface des hématies et empêcheront la formation d'agrégats (hémadsorption). Cette inhibition de l'hémadsorption est alors détectée et mesurée pour évaluer la quantité d'anticorps présents dans le sérum.

Le TIHA est un test sensible et spécifique qui permet de diagnostiquer une infection récente par le virus de l'influenza ou une vaccination contre ce virus. Cependant, il est progressivement remplacé par des méthodes plus modernes et plus sensibles, telles que la détection d'acides nucléiques viraux par PCR en temps réel.

La réaction de fixation du complément, également connue sous le nom de réaction classique du complément, est un processus dans le système immunitaire qui se produit lorsque un antigène, tel qu'un anticorps ou une protéine du complément, se lie à un anticorps déjà présent sur la surface d'une cellule cible. Cela entraîne une cascade de réactions enzymatiques qui aboutissent à la liaison et à l'activation des composants du système du complément, ce qui entraîne la lyse (la destruction) de la cellule cible.

Le processus de fixation du complément est important dans l'immunité humorale et joue un rôle clé dans la défense de l'hôte contre les agents pathogènes tels que les bactéries et les virus. Cependant, il peut également contribuer au développement de maladies auto-immunes et d'inflammation lorsque le système immunitaire cible à tort des cellules et des protéines du soi.

La réaction de fixation du complément se produit en plusieurs étapes. Tout d'abord, un anticorps se lie à un antigène spécifique sur la surface de la cellule cible. Ensuite, le fragment cristallisable (Fc) de l'anticorps se lie aux protéines du complément, telles que le C1, le C4 et le C2, qui sont présentes dans le sérum sanguin. Cette liaison active les protéases du complément, ce qui entraîne la formation d'un complexe d'attaque membranaire (C5b-9) qui perfore la membrane de la cellule cible et provoque sa lyse.

La réaction de fixation du complément peut être mesurée en laboratoire en utilisant des tests tels que le test CH50, qui mesure l'activité globale du système du complément, et le test AH50, qui mesure la capacité d'un échantillon de sérum à inhiber la réaction de fixation du complément. Des niveaux anormaux de ces tests peuvent indiquer une activation excessive ou insuffisante du système du complément, ce qui peut être associé à un certain nombre de maladies auto-immunes et inflammatoires.

Le système du complément est un ensemble de protéines sériques et membranaires qui jouent un rôle crucial dans la défense de l'hôte contre les agents pathogènes. Il s'agit d'une cascade enzymatique complexe qui, une fois activée, aboutit à la lyse des cellules étrangères et à la modulation de diverses réponses immunitaires innées et adaptatives.

Les protéines du système du complément sont un groupe de plus de 30 protéines plasmatiques et membranaires qui interagissent les unes avec les autres pour former des complexes multiprotéiques. Ces complexes peuvent se lier aux agents pathogènes, aux cellules infectées ou à d'autres molécules présentes dans le milieu extracellulaire, ce qui entraîne leur activation et l'initiation de divers processus biologiques, tels que la phagocytose, l'opsonisation, la libération de médiateurs inflammatoires et la lyse cellulaire.

Le système du complément peut être activé par trois voies différentes : la voie classique, la voie alterne et la voie des lectines. Chacune de ces voies aboutit à l'activation d'une protéase sérique clé appelée C3 convertase, qui clive une protéine du complément appelée C3 en deux fragments, C3a et C3b. Le fragment C3b peut se lier aux agents pathogènes ou aux cellules cibles, ce qui entraîne la formation d'un complexe multiprotéique appelé membrane d'attaque complémentaire (MAC). La MAC est capable de perforer la membrane plasmique des cellules cibles, entraînant leur lyse et la mort.

Les protéines du système du complément jouent également un rôle important dans la régulation de l'inflammation et de l'immunité adaptative. Elles peuvent moduler l'activité des cellules immunitaires, telles que les macrophages et les lymphocytes T, et participer à la présentation d'antigènes aux cellules T. De plus, certaines protéines du complément peuvent agir comme chémokines ou cytokines, attirant et activant d'autres cellules immunitaires sur le site de l'inflammation.

Dans l'ensemble, les protéines du système du complément sont des molécules multifonctionnelles qui jouent un rôle crucial dans la défense de l'hôte contre les agents pathogènes et la régulation de l'inflammation et de l'immunité adaptative. Cependant, une activation excessive ou inappropriée du complément peut contribuer au développement de diverses maladies inflammatoires et auto-immunes.

Les récepteurs du complément sont des protéines présentes à la surface de diverses cellules du système immunitaire, telles que les neutrophiles, les monocytes, les macrophages et les lymphocytes. Ils se lient aux composants activés du système du complément, qui est une cascade enzymatique importante du système immunitaire inné.

Le système du complément joue un rôle crucial dans la défense de l'organisme contre les agents pathogènes en marquant les cellules infectées pour être éliminées par les cellules du système immunitaire. Les récepteurs du complément reconnaissent et se lient aux fragments de protéines du complément qui sont fixés à la surface des cellules cibles, telles que les bactéries ou les cellules infectées.

Cette interaction entre les récepteurs du complément et les composants activés du complément déclenche une série de réponses immunitaires, y compris la phagocytose, la cytotoxicité et l'activation des lymphocytes T. Les récepteurs du complément sont donc essentiels pour une réponse immunitaire efficace contre les infections et les agents pathogènes.

Les mutations dans les gènes qui codent pour les récepteurs du complément peuvent entraîner des déficits immunitaires et une susceptibilité accrue aux infections. Des anomalies dans les récepteurs du complément ont également été associées à certaines maladies auto-immunes, telles que le lupus érythémateux disséminé et la vascularite.

Le système immunitaire est un réseau complexe de cellules, tissus, et organes qui travaillent ensemble pour détecter et éliminer les agents pathogènes étrangers tels que les bactéries, virus, parasites, et champignons, ainsi que les cellules cancéreuses et autres substances nocives pour l'organisme. Il est divisé en deux parties principales: le système immunitaire inné et le système immunitaire adaptatif (également appelé système immunitaire acquis).

Le système immunitaire inné est la première ligne de défense contre les agents pathogènes. Il comprend des barrières physiques telles que la peau et les muqueuses, ainsi que des cellules et molécules qui peuvent détecter et éliminer rapidement les menaces sans avoir besoin d'une reconnaissance préalable.

Le système immunitaire adaptatif, quant à lui, est plus spécifique et sophistiqué. Il s'agit d'un système de défense qui apprend à reconnaître et à se souvenir des agents pathogènes spécifiques qu'il a déjà rencontrés, ce qui lui permet de monter une réponse plus rapide et plus efficace lors d'une future exposition. Ce système est divisé en deux parties: l'immunité humorale (ou immunité à médiation humorale), qui implique la production d'anticorps par les lymphocytes B, et l'immunité cellulaire (ou immunité à médiation cellulaire), qui implique l'activation des lymphocytes T pour détruire directement les cellules infectées ou cancéreuses.

Le terme "complexe immun" peut faire référence à l'ensemble du système immunitaire, mais il est souvent utilisé dans un contexte plus spécifique pour décrire des interactions complexes entre différentes cellules et molécules du système immunitaire qui sont importantes pour la reconnaissance, la régulation et la réponse aux agents pathogènes. Par exemple, le complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) est un ensemble de protéines présent sur la surface des cellules qui permettent la présentation d'antigènes aux lymphocytes T pour qu'ils puissent reconnaître et répondre aux agents pathogènes.

L'hépatovirus est un genre de virus à ARN simple brin de la famille des Picornaviridae. Il comprend plusieurs espèces qui peuvent causer l'hépatite virale, une inflammation du foie. Les deux espèces les plus courantes sont l'Hepatovirus A et l'Hepatovirus C, qui sont responsables respectivement de l'hépatite A et de l'hépatite C.

L'Hepatovirus A est généralement transmis par la consommation d'eau ou d'aliments contaminés par des matières fécales infectées. Il provoque une maladie aiguë qui peut varier en gravité de milder à sévère, mais il est rarement mortel et ne devient pas chronique.

D'autre part, l'Hepatovirus C est principalement transmis par le contact avec du sang infecté, par exemple par le partage d'aiguilles ou lors de transfusions sanguines non sécurisées. Il peut causer une maladie aiguë, mais il a tendance à devenir chronique dans la plupart des cas, ce qui peut entraîner des complications graves telles que la cirrhose et le cancer du foie.

Il est important de noter qu'il existe également d'autres virus hépatotropes qui peuvent causer l'hépatite, tels que les virus de l'hépatite B et D, qui appartiennent à des familles virales différentes.

La convalescence est le processus de récupération après une maladie grave, une intervention chirurgicale ou un traumatisme physique. Pendant cette période, le corps se régénère et reprend des forces pour retourner à un état de santé et de fonctionnement normaux. La convalescence peut inclure une variété de soins, tels que la prise de médicaments, la thérapie physique, une alimentation équilibrée et beaucoup de repos.

La durée de la convalescence dépend de la gravité de l'état initial du patient et de sa réponse au traitement. Pendant cette période, il est important de surveiller les signes de complications ou de problèmes de santé sous-jacents qui pourraient affecter le processus de guérison. Les patients en convalescence peuvent également bénéficier d'un soutien psychologique et émotionnel pour faire face aux changements dans leur vie quotidienne et à leurs capacités physiques.

En général, la convalescence est une période cruciale pour assurer un rétablissement complet et prévenir les complications ou les récidives de la maladie ou du traumatisme initial. Il est important de suivre les instructions du médecin et de prendre soin de soi pendant cette période pour favoriser une guérison optimale.

Le complément C3 est une protéine importante du système immunitaire qui joue un rôle crucial dans la réponse inflammatoire et l'immunité humorale. Il s'agit d'une protéine centrale du système du complément, qui est une cascade enzymatique de protéines sériques qui interagissent entre elles pour aboutir à la lyse des cellules étrangères et à la régulation de l'inflammation.

Le complément C3 peut être activé par trois voies différentes : la voie classique, la voie alterne et la voie des lectines. Dans chacune de ces voies, une série de réactions enzymatiques aboutit à l'activation du complément C3 en deux fragments, C3a et C3b. Le fragment C3b peut se lier à la surface des cellules étrangères ou des pathogènes, ce qui permet d'identifier ces cellules comme cibles pour une destruction ultérieure par les cellules immunitaires.

Le complément C3 joue donc un rôle important dans la reconnaissance et l'élimination des agents pathogènes, ainsi que dans la régulation de l'inflammation et de l'immunité adaptative. Des anomalies du complément C3 peuvent être associées à un certain nombre de maladies, notamment les troubles inflammatoires et auto-immuns.

Medication adherence, also known as medication compliance, refers to the degree to which a patient correctly follows the prescribed medical treatment plan, including the timing, dosage, and frequency of medications. This includes taking the right medication, at the right time, in the right dose, for the right duration. Poor medication adherence can lead to worsening of health conditions, hospitalizations, and increased healthcare costs. It is an important aspect of patient care and involves effective communication between healthcare providers and patients.

Les érythrocytes, également connus sous le nom de globules rouges, sont des cellules sanguines qui jouent un rôle crucial dans le transport de l'oxygène et du dioxyde de carbone dans le corps. Ils sont produits dans la moelle osseuse rouge et ont une durée de vie d'environ 120 jours.

Les érythrocytes sont morphologiquement différents des autres cellules du corps en ce qu'ils n'ont pas de noyau ni d'autres organites cellulaires. Cette structure simplifiée leur permet de contenir une grande quantité d'hémoglobine, une protéine qui lie l'oxygène et le dioxyde de carbone. L'hémoglobine donne aux érythrocytes leur couleur caractéristique rouge.

Les érythrocytes circulent dans les vaisseaux sanguins et libèrent de l'oxygène dans les tissus du corps lorsqu'ils passent à travers les capillaires sanguins. Dans les tissus où l'activité métabolique est élevée, comme les muscles pendant l'exercice, les érythrocytes prennent en charge le dioxyde de carbone produit par les cellules et le transportent vers les poumons, où il est expiré.

Des niveaux anormaux d'érythrocytes peuvent indiquer des conditions médicales sous-jacentes telles que l'anémie (faible nombre d'érythrocytes) ou la polycythémie (nombre élevé d'érythrocytes). Ces conditions peuvent être le résultat de divers facteurs, notamment une mauvaise nutrition, des maladies chroniques, des troubles héréditaires ou l'exposition à des altitudes élevées.

Les anticorps antiviraux sont des protéines produites par le système immunitaire en réponse à une infection virale. Ils sont spécifiquement conçus pour se lier à des parties spécifiques du virus, appelées antigènes, et les neutraliser, empêchant ainsi le virus de pénétrer dans les cellules saines et de se répliquer.

Les anticorps antiviraux peuvent être détectés dans le sang plusieurs jours après l'infection et sont souvent utilisés comme marqueurs pour diagnostiquer une infection virale. Ils peuvent également fournir une protection immunitaire à long terme contre une réinfection par le même virus, ce qui est important pour le développement de vaccins efficaces.

Certaines thérapies antivirales comprennent des anticorps monoclonaux, qui sont des anticorps artificiels créés en laboratoire pour imiter les anticorps naturels produits par l'organisme. Ces anticorps monoclonaux peuvent être utilisés comme traitement contre certaines infections virales graves, telles que le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et le virus de l'hépatite C.

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