Sinus Caverneux
Thrombose Du Sinus Caverneux
Sinus Sphénoïdal
Sinus De La Dure-Mère
Atteintes Du Nerf Abducens
Fistule Carotidocaverneuse
Malformations Vasculaires Du Système Nerveux Central
Nerfs Crâniens
Ophtalmoplégie
Thromboses Des Sinus Intracrâniens
Fosse Crânienne Moyenne
Os Sphénoïde
Dure-Mère
Sinus Maxillaire
Selle Turcique
Atteintes Du Nerf Moteur Oculaire Commun
Sinus De La Face
Fistule Artérioveineuse
Chimioembolisation Thérapeutique
Sinus Carotidien
Tumeurs De La Base Du Crâne
Angiographie Cérébrale
Tumeurs De L'Hypophyse
Sinus Frontal
Maladies Des Sinus
Tumeurs Des Sinus Maxillaires
Exophtalmie
Atteintes Des Nerfs Crâniens
Artère Carotide Interne
Nerf Trochléaire
Hémangiome Caverneux Du Système Nerveux Central
Coronary Sinus
Atteintes Du Nerf Trijumeau
Remnographie
Base Du Crâne
Kystes Du Système Nerveux Central
Hémangiome Caverneux
Syndrome De Claude Bernard-Horner
Rocher
Sinusite Sphénoïdale
Diplopie
Tumeurs Des Nerfs Crâniens
Nerf Abducens
Maladie De L'Oreillette
Sinus Ethmoïdal
Méningiome
Nerf Oculomoteur
Tomodensitomètre
Syndrome De Tolosa-Hunt
Tumeurs Des Méninges
Endoscopie
Streptococcus Constellatus
Tumeurs Vasculaires
Neuronavigation
Polyvinyles
Interventions Chirurgicales Oto-Rhino-Laryngologiques
Malformations Artérioveineuses Intracrâniennes
Tachycardie Sinusale
Adénome Hypophysaire
Anévrysme Intracrânien
Chordome
Nerf Maxillaire
Apoplexie Hypophysaire
Prolactinome
Artériopathies Carotidiennes
Hémorragie Putaminale
Fosse Crânienne Postérieure
Maladies De L'Hypophyse
Dissection
Orbital Pseudotumor
Angiographie Numérisée
Radiochirurgie
Lemierre Syndrome
Le sinus caverneux est une cavité anatomique complexe et délicate située dans la base du crâne. Il s'agit d'un sinus veineux pair, en forme de sac, qui communique avec le système veineux intracrânien et extracrânien. Le sinus caverneux est situé dans une région appelée la fosse crânienne moyenne, près du cerveau.
Il contient des vaisseaux sanguins importants, tels que les carotides internes, qui fournissent du sang au cerveau, et plusieurs nerfs crâniens, dont le VI (abducens), le III (oculomoteur) et le IV (trochléaire). Le sinus caverneux joue un rôle crucial dans la régulation de la circulation sanguine cérébrale et la protection des structures nerveuses environnantes.
Des affections telles que les thromboses du sinus caverneux, les méningiomes (tumeurs) ou d'autres processus pathologiques peuvent affecter cette région et entraîner divers symptômes neurologiques, tels que des douleurs faciales, des troubles de la vision, des maux de tête sévères et une paralysie des muscles oculaires.
La thrombose du sinus caverneux est une affection rare mais grave qui se produit lorsqu'un caillot sanguin (thrombus) se forme dans le sinus caverneux, un vaste sinus veineux situé dans la base du crâne. Le sinus caverneux reçoit le sang veineux des méninges, du cerveau, de l'oeil et du nez.
Cette condition peut être causée par une variété de facteurs, y compris les infections, les traumatismes crâniens, les troubles sanguins, la fibrillation auriculaire, l'utilisation de contraceptifs hormonaux, le cancer et la chirurgie crânienne. Les symptômes peuvent varier en fonction de la gravité de la thrombose et peuvent inclure des maux de tête sévères, une vision floue ou double, une perte de vision, une paralysie faciale, des convulsions, des étourdissements, une altération de l'état mental et dans les cas graves, un coma.
Le traitement de la thrombose du sinus caverneux dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des anticoagulants pour prévenir la croissance du caillot sanguin, des thrombolytiques pour dissoudre le caillot sanguin, des antibiotiques pour traiter une infection sous-jacente, et dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire. Il est important de diagnostiquer et de traiter rapidement cette condition car elle peut entraîner des complications graves telles que des lésions cérébrales permanentes ou la mort.
Le sinus sphénoïdal est un air sinusal pair, situé dans la partie centrale et postérieure de la base du crâne. Il est logé dans l'os sphénoïde et entouré par plusieurs structures importantes telles que les orbites, les fosses nasales, le crâne et la dure-mère.
Le sinus sphénoïdal communique généralement avec les autres sinus de la cavité nasale par l'intermédiaire de petits orifices situés dans la partie inférieure de sa paroi médiale, appelée ostium sphénoidale. Cependant, il est relativement isolé des autres sinus et a tendance à être plus petit en taille.
Comme les autres sinus paranasaux, le sinus sphénoïdal produit du mucus qui s'écoule dans la cavité nasale par l'intermédiaire de son ostium. Il est tapissé d'un épithélium respiratoire pseudo-stratifié cilié, qui aide à piéger et éliminer les particules et les agents pathogènes inspirés.
Des problèmes tels que l'inflammation, l'infection ou la sinusite peuvent survenir lorsque le drainage du sinus sphénoïdal est obstrué, entraînant une accumulation de mucus et de pression dans le sinus. Ces conditions peuvent provoquer des symptômes tels que des maux de tête, des douleurs faciales, une congestion nasale, une vision trouble et une sensibilité au toucher autour du nez et des yeux.
Le sinus de la dure-mère, également connu sous le nom de sinus sagittal superior, est un canal situé dans la couche méningée externe (dure-mère) du cerveau. Il s'étend le long de la ligne médiane de la surface interne de la calvaria (crâne) et contient du liquide céphalo-rachidien (LCR).
Le sinus de la dure-mère est divisé en deux compartiments par une fine septation. Chaque compartiment reçoit le sang des veines diploïques étoilées et des veines corticales superficielles. Le sang s'écoule ensuite dans les sinus transverses, qui se jettent dans la veine jugulaire interne.
Le sinus de la dure-mère est cliniquement important car il peut être le site de divers processus pathologiques tels que des thromboses, des infections et des tumeurs. Les thromboses du sinus de la dure-mère peuvent entraîner une augmentation de la pression intracrânienne et des symptômes tels que des maux de tête, des nausées, des vomissements et une vision floue. Les infections du sinus de la dure-mère peuvent se propager à travers le LCR et entraîner une méningite ou une encéphalite.
L'atteinte du nerf abducens, également connu sous le nom de sixième nerf crânien, est un trouble neurologique qui affecte la capacité d'un muscle à se déplacer latéralement. Le nerf abducens contrôle le muscle droit latéral, qui est responsable du mouvement de l'œil vers l'extérieur.
Les atteintes du nerf abducens peuvent être causées par une variété de facteurs, notamment des lésions cérébrales, des tumeurs, des infections, des inflammations, des accidents vasculaires cérébraux et des traumatismes crâniens. Les symptômes courants d'une atteinte du nerf abducens comprennent une diplopie (vision double), une déviation de l'œil vers l'intérieur (strabisme) et une limitation de la capacité à déplacer l'œil vers l'extérieur.
Le diagnostic d'une atteinte du nerf abducens est généralement posé par un neurologue ou un ophtalmologiste après avoir effectué un examen physique complet et des tests de diagnostic appropriés, tels qu'une imagerie par résonance magnétique (IRM) ou une tomodensitométrie (TDM). Le traitement dépendra de la cause sous-jacente de l'atteinte du nerf abducens et peut inclure des médicaments, une chirurgie ou une thérapie de réadaptation.
Une fistule carotidocaverneuse est un type rare et spécifique de communication anormale (fistule) entre l'artère carotide interne et la cavité caverneuse du crâne. La cavité caverneuse est une structure remplie d'air située dans le crâne qui abrite les artères carotides internes, les veines caverneuses et le nerf crânien VI (abducens).
Cette condition peut être congénitale ou acquise, la cause la plus fréquente étant des traumatismes à la tête ou au cou, des anévrismes rompus ou des procédures chirurgicales dans la région de la tête et du cou. Lorsqu'une fistule carotidocaverneuse se produit, le sang non oxygéné de l'artère carotide interne est détourné vers la veine caverneuse, entraînant une augmentation de la pression dans les veines du cerveau et des yeux.
Les symptômes courants d'une fistule carotidocaverneuse peuvent inclure des sifflements ou des bourdonnements dans l'oreille, des maux de tête, une diminution de la vision, une protrusion du globe oculaire (exophtalmie), un gonflement des paupières et des ecchymoses autour de l'œil (hématome orbitaire). Le diagnostic est généralement posé à l'aide d'une angiographie, qui permet de visualiser le flux sanguin anormal dans la cavité caverneuse.
Le traitement dépend de la gravité des symptômes et peut inclure une surveillance attentive, une thérapie médicale pour contrôler les symptômes ou une intervention chirurgicale pour fermer la fistule. Les options de traitement comprennent l'embolisation endovasculaire, dans laquelle des matériaux sont insérés dans l'artère pour bloquer le flux sanguin anormal, et la chirurgie ouverte, qui consiste à exposer directement la fistule et à la fermer.
Les malformations vasculaires du système nerveux central sont des anomalies congénitales ou acquises des vaisseaux sanguins dans le cerveau ou la moelle épinière. Elles peuvent être classées en deux catégories principales : les malformations artério-veineuses (MAV) et les télangiectasies.
Les MAV sont des connections anormales entre les artères et les veines, ce qui peut entraîner un flux sanguin anormal et une pression accrue dans les vaisseaux sanguins du cerveau ou de la moelle épinière. Les symptômes peuvent varier en fonction de la localisation et de la taille de la MAV, mais ils peuvent inclure des maux de tête, des convulsions, des troubles de la vision, des vertiges, des faiblesses musculaires ou des paralysies.
Les télangiectasies sont des dilatations capillaires anormales qui se produisent dans le cerveau ou la moelle épinière. Elles sont généralement de petite taille et ne présentent pas de symptômes, mais elles peuvent parfois être associées à d'autres malformations vasculaires plus graves.
Les causes des malformations vasculaires du système nerveux central ne sont pas entièrement comprises, bien que certaines mutations génétiques aient été identifiées comme facteurs de risque. Le diagnostic peut être posé à l'aide d'une imagerie médicale telle qu'une angiographie ou une résonance magnétique (IRM). Le traitement dépend de la taille, de la localisation et des symptômes de la malformation, mais il peut inclure une surveillance régulière, une intervention chirurgicale, une radiothérapie stéréotaxique ou une embolisation.
Les nerfs crâniens sont un ensemble de douze paires de nerfs qui émergent directement du cerveau et du tronc cérébral, contrairement aux nerfs spinaux qui se connectent à la moelle épinière. Ils sont responsables de la transmission des informations sensorielles vers le cerveau, telles que la vue, l'ouïe, l'odorat, le goût et les stimuli cutanés, ainsi que du contrôle des mouvements musculaires faciaux et oculomoteurs. Les nerfs crâniens sont numérotés de I à XII en fonction de leur localisation et de leurs fonctions spécifiques. Par exemple, le nerf optique (II) transmet les informations visuelles du globe oculaire au cerveau, tandis que le nerf vague (X) régule diverses fonctions autonomes telles que la respiration, la digestion et le rythme cardiaque.
L'ophtalmoplégie est un terme médical qui décrit une paralysie ou une faiblesse significative des muscles oculaires. Cela peut affecter différents muscles, entraînant une variété de symptômes. Les plus courants sont la limitation du mouvement des yeux, la déviation des yeux vers le haut, le bas, l'intérieur ou l'extérieur, et dans certains cas, la double vision.
Cette condition peut être causée par une variété de facteurs, y compris des troubles neurologiques, des infections, des traumatismes, des tumeurs ou des affections systémiques telles que le diabète et la maladie de Basedow. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente. Dans certains cas, il peut s'agir d'une complication d'une autre condition médicale qui nécessite un traitement spécifique. Dans d'autres cas, le traitement peut viser à renforcer les muscles oculaires ou à corriger la double vision.
La thrombose des sinus intracrâniens est une condition médicale dans laquelle un caillot sanguin (thrombus) se forme dans les sinus veineux situés à l'intérieur du crâne. Les sinus veineux sont des vaisseaux sanguins qui drainent le sang hors du cerveau et de la dure-mère, la membrane externe qui entoure le cerveau.
Les thromboses des sinus intracrâniens peuvent survenir en raison de divers facteurs, tels que des infections, des traumatismes crâniens, des troubles sanguins ou l'utilisation de contraceptifs hormonaux. Les symptômes peuvent varier et dépendent de la gravité et de l'emplacement de la thrombose. Ils peuvent inclure des maux de tête sévères, des nausées, des vomissements, une vision floue ou double, des convulsions, une perte d'équilibre, une faiblesse ou un engourdissement d'un côté du corps, des difficultés à parler ou à comprendre le langage, et dans les cas graves, une confusion mentale ou un coma.
Le diagnostic de la thrombose des sinus intracrâniens peut être posé en utilisant des techniques d'imagerie médicale telles que l'angiographie par résonance magnétique (ARM) ou le scanner cérébral. Le traitement dépend de la gravité et de l'emplacement de la thrombose, mais peut inclure des anticoagulants pour prévenir la croissance du caillot sanguin, des thrombolytiques pour dissoudre le caillot, ou une intervention chirurgicale pour retirer le caillot. Dans les cas graves, une hospitalisation peut être nécessaire pour assurer une surveillance étroite et un traitement agressif.
La fosse crânienne moyenne est une cavité dans la base du crâne située entre la fosse crânienne antérieure et la fosse crânienne postérieure. Elle contient plusieurs structures importantes telles que le lobe temporal du cerveau, les nerfs crâniens II (optique), III (oculomoteur), IV (trochléaire), V (trigéminal), VI (abducens) et le VII (facial) avant qu'il ne sorte du crâne. La fosse crânienne moyenne contient également les vaisseaux sanguins importants tels que la carotide interne, les sinus caverneux et les méninges. Elle est séparée de l'orbite par une fine paroi osseuse appelée lame papyracée.
L'os sphénoïde est un os impair et complexe situé dans la base du crâne, entre les deux orbites. Il joue un rôle important dans la formation des fosses crâniennes moyenne et postérieure, ainsi que dans la constitution de la base du crâne antérieure.
L'os sphénoïde se compose de plusieurs parties, dont le corps, les deux grandes ailes, deux petites ailes, deux processus ptérygoïdes, et deux apophyses mastoïdes. Le corps de l'os sphénoïde contient la selle turcique, une dépression qui abrite le hypophyse. Les grandes ailes forment les parois latérales des fosses crâniennes moyennes et participent à la formation du toit de l'orbite. Les petites ailes se trouvent en arrière des grandes ailes et contribuent à former la partie antérieure de la fosse crânienne postérieure.
Les processus ptérygoïdes sont des prolongements latéraux qui s'articulent avec les os voisins, tels que l'os temporal et l'os palatin. Enfin, les apophyses mastoïdes sont de petites projections osseuses situées à l'arrière des processus ptérygoïdes, qui servent d'attache aux muscles sterno-cléido-mastoïdiens.
L'os sphénoïde est impliqué dans plusieurs fonctions importantes, notamment la protection des structures nerveuses et vasculaires du cerveau, la formation de cavités pour les organes sensoriels (comme l'oreille moyenne), et la participation à la mastication grâce aux articulations qu'il forme avec les os maxillaire et mandibulaire.
La dure-mère, également connue sous le nom de pachyméninge, est la couche externe fibreuse et la plus robuste des trois membranes qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière. Elle est composée de tissu conjonctif dense et contient des vaisseaux sanguins. La dure-mère est attachée à la surface interne du crâne et du canal rachidien, offrant une protection mécanique au système nerveux central. Elle est divisée en deux couches : la partie endostiale (interne) qui tapisse les os crâniens et la moelle épinière, et la partie éctoméninge (externe) qui forme les méninges de la tête et du cou. La dure-mère joue également un rôle dans la régulation du liquide cérébrospinal (LCS), car elle contient des granulations arachnoïdiennes qui aident à réabsorber le LCS dans la circulation sanguine.
Les veines de l'encéphale sont des vaisseaux sanguins qui sont responsables du retour du sang veineux vers le cœur à partir du cerveau et du cervelet. Contrairement aux artères, qui transportent le sang riche en oxygène depuis le cœur vers les tissus, les veines transportent le sang pauvre en oxygène vers le cœur pour qu'il soit réoxygéné.
Les veines de l'encéphale se forment à partir d'un réseau capillaire dense qui recouvre le cerveau et le cervelet. Ces veines se rejoignent ensuite pour former des veines plus grandes, qui se regroupent finalement en deux principaux systèmes veineux : le système veineux superficiel et le système veineux profond.
Le système veineux superficiel est composé de veines situées près de la surface du cerveau, telles que les veines corticales et les veines cerebri magna. Ces veines se rejoignent pour former la grande veine sagittale supérieure, qui draine le sang vers la veine jugulaire interne.
Le système veineux profond est composé de veines situées plus profondément dans le cerveau, telles que les veines thalamostriales et les veines galéniques. Ces veines se rejoignent pour former la veine de Galien, qui draine le sang vers la veine jugulaire interne.
Les veines de l'encéphale sont importantes car elles permettent d'évacuer les déchets métaboliques produits par le cerveau et de réguler la pression intracrânienne. Les troubles de la circulation veineuse peuvent entraîner des complications graves, telles que des accidents vasculaires cérébraux ou une augmentation de la pression intracrânienne.
Le sinus maxillaire est l'un des plus grands parmi les cavités remplies d'air, appelées sinus, situés dans les os crâniens. Il est logé dans la partie supérieure de la mâchoire supérieure ou maxillaire et est rempli de liquide et tapissé de muqueuse, similaire à celle qui tapisse le nez. Chaque sinus maxillaire communique généralement avec les méats moyens du nez par un petit orifice, appelé ostium.
Son rôle principal est d'alléger la pression des os de la face et de réchauffer, humidifier et filtrer l'air inspiré grâce aux muqueuses qui les tapissent. Cependant, il peut être sujet à une inflammation ou une infection connue sous le nom de sinusite maxillaire lorsqu'il est bloqué par un rhume, des allergies ou d'autres causes, entraînant des symptômes tels que douleur faciale, congestion nasale, maux de tête et écoulement postnasal.
La selle turcique, également connue sous le nom de fosse cranielle postérieure, est une structure anatomique importante située dans la base du crâne. Elle est formée par un ensemble d'os, y compris l'os occipital, les parties petites et grandes des os temporaux, et le clivus de l'os sphénoïde.
La selle turcique abrite la glande pituitaire, qui est une glande endocrine majeure responsable de la sécrétion d'hormones importantes telles que l'hormone de croissance, l'hormone thyroïdienne, l'hormone adrénocorticotrope, la prolactine, et les hormones gonadotropes.
La selle turcique a une forme concave qui ressemble à une selle, d'où son nom. Elle est située en avant de la protubérance occipitale interne et en dessous du splénium du corps calleux. La selle turcique est un site important pour le diagnostic et le suivi des maladies de la glande pituitaire, telles que les adénomes hypophysaires, qui peuvent entraîner une hypertrophie de la selle turcique et une compression de la glande pituitaire.
Le nerf moteur oculaire commun (NMOC) est un nerf crânien qui contrôle les mouvements des muscles oculaires responsables de la convergence et de la divergence des yeux. Les atteintes du NMOC peuvent entraîner une variété de symptômes, tels que :
* Diplopie (vision double)
* Strabisme (yeux qui ne sont pas alignés)
* Limitation des mouvements oculaires
* Ptose (affaissement de la paupière supérieure)
Les atteintes du NMOC peuvent être causées par divers facteurs, notamment des lésions nerveuses, des compressions nerveuses, des tumeurs cérébrales, des infections, des maladies auto-immunes et des traumatismes crâniens. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une chirurgie ou une thérapie de réadaptation.
Il est important de consulter un médecin si vous présentez des symptômes d'atteintes du NMOC, car une prise en charge précoce peut aider à prévenir les complications et améliorer le pronostic.
Les sinus de la face, également connus sous le nom de sinus paranasaux, sont des cavités remplies d'air dans les os de la face autour du nez. Ils sont tapissés de muqueuse et produisent un mucus qui humidifie l'air que nous inspirons par le nez. Les sinus de la face comprennent :
1. Le sinus frontal, situé dans l'os frontal juste au-dessus des sourcils.
2. Les sinus maxillaires, les plus grands, situés dans les os maxillaires de chaque côté du nez.
3. Les sinus ethmoïaux, situés entre l'œil et le nez, dans l'os ethmoïde.
4. Le sinus sphénoïdal, situé plus en profondeur dans la tête, dans l'os sphénoïde.
Les sinus de la face peuvent être sujets à des infections, appelées sinusites, qui peuvent provoquer une congestion nasale, un écoulement nasal, une douleur faciale et une fièvre.
Une fistule artérioveineuse (FAV) est une communication anormale et directe entre une artère et une veine, contournant ainsi le lit capillaire. Cela entraîne une augmentation du débit sanguin dans les veines, ce qui peut provoquer des dilatations veineuses visibles sous la peau. Les FAV peuvent survenir spontanément ou être iatrogènes, c'est-à-dire causées par une intervention médicale, comme une ponction artérielle ou une chirurgie. Elles peuvent se former dans diverses parties du corps, mais les plus fréquentes sont celles des membres inférieurs et du bassin. Les symptômes dépendent de la localisation et de la taille de la fistule, allant d'une douleur locale à des complications graves telles qu'une ischémie (manque d'apport sanguin) des tissus environnants ou une insuffisance cardiaque congestive en cas de fistules importantes. Le diagnostic repose sur l'imagerie médicale, comme l'échographie Doppler ou l'angiographie. Le traitement dépend de la gravité et de la localisation de la fistule, allant du suivi médical à des interventions chirurgicales pour fermer la communication artérioveineuse.
Le sinus de l'aorte, également connu sous le nom de seno di Valsalva, sont des dilatations situées dans la paroi supérieure de la racine de l'aorte. Ils forment une poche à l'arrière de chacune des trois valves sigmoïdes qui relient l'aorte au ventricule droit du cœur. Les sinus de l'aorte sont importants pour la fonction de la valve aortique, qui empêche le sang de refluer dans le ventricule gauche pendant que celui-ci se détend entre les contractions cardiaques.
Les sinus de l'aorte peuvent être affectés par certaines conditions médicales, telles que l'anévrisme de la racine aortique ou l'endocardite infectieuse, une infection des revêtements internes du cœur. Dans certains cas, des procédures chirurgicales peuvent être nécessaires pour réparer les dommages causés aux sinus de l'aorte.
Les tumeurs des sinus de la face sont des croissances anormales dans les cavités remplies d'air (sinus) situées dans les os autour de votre nez, des yeux et des joues. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les symptômes courants incluent une congestion nasale persistante, des écoulements nasaux, des maux de tête, des douleurs faciales et une perte d'odorat. Dans certains cas, les tumeurs peuvent également provoquer une protrusion des yeux ou une déformation faciale. Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur, mais il peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie. Il est important de consulter un médecin si vous présentez des symptômes persistants ou inquiétants, car un diagnostic et un traitement précoces peuvent améliorer les résultats.
La chimioembolisation thérapeutique est une procédure interventionnelle utilisée dans le traitement du cancer. Elle consiste à administrer des médicaments chimiothérapeutiques directement dans la artère qui alimente la tumeur, tout en bloquant simultanément l'apport sanguin à la tumeur en y insérant des particules.
Cela permet de délivrer une concentration plus élevée de médicaments anticancéreux directement dans la tumeur, tout en minimisant l'exposition du reste de l'organisme aux effets secondaires toxiques de ces médicaments. La procédure est généralement réalisée par un radiologue interventionnel dans un cadre hospitalier.
Les particules utilisées pour bloquer l'apport sanguin peuvent être en polymère, en gel ou en micro-sphères, et sont souvent combinées avec des agents de contraste pour permettre une visualisation radiologique pendant la procédure. La chimioembolisation thérapeutique est couramment utilisée dans le traitement du cancer du foie, mais peut également être utilisée pour traiter d'autres types de tumeurs, telles que les tumeurs du rein et du système nerveux central.
Les avantages de cette procédure comprennent une réduction de la taille de la tumeur, un soulagement des symptômes associés à la tumeur, et dans certains cas, une amélioration de la survie globale du patient. Cependant, comme pour toute procédure médicale, il existe également des risques potentiels associés à la chimioembolisation thérapeutique, notamment des réactions allergiques aux agents de contraste, des dommages aux vaisseaux sanguins environnants, et une augmentation temporaire des symptômes de la maladie.
Le sinus carotidien est une petite dilatation ou sac situé dans la paroi postérieure de la bifurcation commune de l'artère carotide interne et externe. Il s'agit d'une structure anatomique normale, mais elle est souvent confondue avec une anomalie vasculaire appelée anévrisme carotidien. Le sinus carotidien contient des barorécepteurs qui jouent un rôle important dans la régulation de la pression artérielle en répondant aux changements de la tension de la paroi artérielle. Cependant, il peut très rarement être le site d'une hémorragie potentiellement fatale connue sous le nom de sinus carotidien rupturé.
Les tumeurs de la base du crâne sont des growths anormaux qui se développent dans la région située à la base du crâne, où le cerveau s'interface avec le reste du système nerveux et les vaisseaux sanguins. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les symptômes dépendent de la taille et de l'emplacement de la tumeur, mais ils peuvent inclure des maux de tête, des vertiges, des problèmes d'audition, des troubles visuels, des difficultés à avaler ou à parler, des engourdissements ou des faiblesses dans le visage, et des changements de comportement ou de personnalité. Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur, mais il peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie.
L'angiographie cérébrale est un examen radiologique qui permet de visualiser les vaisseaux sanguins du cerveau et de détecter d'éventuelles anomalies telles que des rétrécissements, des dilatations ou des occlusions des vaisseaux sanguins. Cette procédure consiste à injecter un produit de contraste opaque aux rayons X dans l'artère qui alimente le cerveau, généralement l'artère carotide ou l'artère vertébrale. Les images sont ensuite capturées à l'aide d'une machine à rayons X spécialisée, appelée angiographe.
L'angiographie cérébrale est souvent utilisée pour diagnostiquer des conditions telles que les anévrismes, les dissections artérielles, les sténoses (rétrécissements) des vaisseaux sanguins, les malformations artério-veineuses et les tumeurs cérébrales. Elle peut également être utilisée pour planifier un traitement chirurgical ou endovasculaire de ces conditions.
Cependant, l'angiographie cérébrale est une procédure invasive qui comporte des risques, notamment une réaction allergique au produit de contraste, des saignements, des infections et des dommages aux vaisseaux sanguins. Par conséquent, elle n'est généralement recommandée que lorsque d'autres tests non invasifs ne peuvent pas fournir les informations nécessaires pour poser un diagnostic ou planifier un traitement approprié.
Les tumeurs de l'hypophyse sont des growths anormaux qui se développent dans la glande pituitaire, une petite glande endocrine située à la base du cerveau. La plupart des tumeurs de l'hypophyse sont bénignes (non cancéreuses) et sont appelées adénomes hypophysaires.
Les adénomes hypophysaires peuvent varier en taille, allant de petits à grands, et peuvent produire des hormones supplémentaires qui peuvent affecter les niveaux d'hormones dans le corps. Les symptômes associés aux tumeurs de l'hypophyse dépendent du type de tumeur, de sa taille et de la quantité d'hormones qu'elle produit.
Les types courants de tumeurs de l'hypophyse comprennent :
* Adénomes non sécrétants : Ces tumeurs ne produisent pas d'hormones supplémentaires et peuvent causer des symptômes en raison de leur taille, qui peut comprimer les structures voisines du cerveau. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision.
* Adénomes sécrétants : Ces tumeurs produisent des hormones supplémentaires et peuvent causer des symptômes en fonction du type d'hormone qu'elles produisent. Par exemple, les adénomes producteurs de prolactine peuvent entraîner une production excessive de lait maternel chez les femmes et une baisse de la libido chez les hommes et les femmes. Les adénomes producteurs d'hormone de croissance peuvent entraîner une acromégalie, caractérisée par une augmentation de la taille des mains, des pieds et du visage.
* Tumeurs hypophysaires invasives : Ces tumeurs se développent rapidement et peuvent envahir les structures voisines du cerveau. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision.
* Craniopharyngiomes : Ce sont des tumeurs bénignes qui se développent à partir des restes embryonnaires situés près de la glande pituitaire. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision, ainsi qu'une prise de poids et une fatigue excessive.
Le traitement dépend du type et de la taille de la tumeur, ainsi que de l'âge et de l'état général du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses ou une thérapie médicamenteuse pour contrôler la production d'hormones. Dans certains cas, une combinaison de traitements peut être recommandée.
Les interventions neurochirurgicales sont des procédures médico-chirurgicales complexes qui impliquent l'intervention directe sur le système nerveux central (cerveau et moelle épinière) ou périphérique (nerfs crâniens, racines nerveuses et plexus nerveux). Ces interventions sont généralement effectuées par des médecins spécialisés appelés neurochirurgiens.
Elles peuvent être réalisées pour diverses raisons telles que le traitement de tumeurs cérébrales ou spinaux, la décompression des nerfs comprimés, la stabilisation de la colonne vertébrale dans les cas de fractures ou de maladies dégénératives, l'épilepsie, les anévrismes et autres malformations vasculaires cérébrales, les mouvements anormaux comme la maladie de Parkinson, etc.
Les techniques utilisées dans ces interventions varient considérablement, allant de procédures minimales invasives telles que la rhizotomie percutanée et la stimulation cérébrale profonde, à des opérations plus complexes nécessitant une craniotomie ou une laminectomie. Récemment, avec l'avancée de la technologie, certaines interventions neurochirurgicales peuvent également être effectuées à l'aide de robots chirurgicaux contrôlés par le médecin.
Comme toute intervention chirurgicale, les interventions neurochirurgicales comportent des risques et des complications potentielles, y compris, mais sans s'y limiter, l'hémorragie, l'infection, la réaction adverse à l'anesthésie, les dommages aux structures nerveuses environnantes et les effets indésirables liés à la pathologie sous-jacente. Par conséquent, une évaluation approfondie et un consentement éclairé sont essentiels avant de procéder à ces interventions.
Le sinus frontal est un type de sinus paranasal, qui sont des cavités remplies d'air dans les os du visage. Plus précisément, le sinus frontal est situé au-dessus des sourcils, dans la partie supérieure et interne des os frontaux de votre crâne. Chaque personne a normalement deux sinus frontaux, un de chaque côté du sillon médian du front.
Ces cavités sont tapissées d'une muqueuse qui produit du mucus pour humidifier et réchauffer l'air que vous inspirez par le nez. Les sinus frontaux communiquent généralement avec les autres sinus paranasaux (sinus maxillaire, sinus ethmoïdal et sinus sphénoïdal) via des petits passages appelés ostia.
L'inflammation ou l'infection de ces sinus peut entraîner une sinusite frontale, caractérisée par des symptômes tels que douleur et gonflement au-dessus des sourcils, maux de tête, congestion nasale, écoulement nasal et sensibilité à la lumière.
Les maladies des sinus, également connues sous le nom de sinusite, sont des infections ou une inflammation des muqueuses qui tapissent les sinus paranasaux. Les sinus paranasaux sont des cavités creuses dans les os autour du nez et des yeux.
Les maladies des sinus peuvent être causées par une infection virale, bactérienne ou fongique. Elles peuvent également être déclenchées par des allergies, un traumatisme facial ou une déviation de la cloison nasale. Les symptômes courants des maladies des sinus comprennent :
* Un nez bouché ou qui coule
* Douleur et pression dans les joues, le front ou les dents
* Réduction de l'odorat
* Toux
* Maux de tête
* Fatigue
* Fièvre (dans certains cas)
Les maladies des sinus peuvent être aiguës, subaiguës ou chroniques. Les formes aiguës durent généralement moins de quatre semaines, tandis que les formes subaiguës et chroniques peuvent durer plus longtemps.
Le traitement des maladies des sinus dépend de la cause sous-jacente. Dans les cas légers à modérés, des médicaments en vente libre tels que des décongestionnants ou des analgésiques peuvent aider à soulager les symptômes. Dans les cas plus graves, des antibiotiques ou une intervention chirurgicale peuvent être nécessaires.
Les tumeurs des sinus maxillaires se réfèrent à des croissances anormales dans la cavité du sinus maxillaire, qui est l'un des quatre paired sinus paranasaux situés dans la partie inférieure de l'os facial appelé l'os maxillaire. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).
Les tumeurs bénignes comprennent des affections telles que les polypes, les fibromes, les ostéomes et les chondromes. Elles ont tendance à se développer plus lentement et sont moins susceptibles de se propager vers d'autres parties du corps. Cependant, même si elles sont non cancéreuses, elles peuvent encore causer des problèmes en raison de leur croissance et de leur emplacement, entraînant une pression sur les structures environnantes telles que les nerfs et les vaisseaux sanguins.
Les tumeurs malignes des sinus maxillaires sont généralement des carcinomes, y compris le carcinome épidermoïde et l'adénocarcinome. Ces tumeurs ont tendance à se développer plus agressivement et peuvent se propager vers d'autres parties du corps. Les facteurs de risque pour les tumeurs malignes des sinus maxillaires comprennent l'exposition professionnelle à certains produits chimiques, le tabagisme et une infection antérieure par le papillomavirus humain (VPH).
Les symptômes courants des tumeurs des sinus maxillaires peuvent inclure un nez bouché ou qui coule, des douleurs faciales, des maux de dents, des engourdissements ou des picotements du visage, une perte d'audition et des problèmes de vision. Le diagnostic est généralement posé par imagerie médicale telle qu'une tomodensitométrie (TDM) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM), suivie d'une biopsie pour confirmer le type de tumeur. Le traitement dépend du type et du stade de la tumeur, mais peut inclure une chirurgie, une radiothérapie et/ou une chimiothérapie.
L'exophtalmie est un terme médical qui décrit la projection ou la saillie anormale du globe oculaire hors de son orbite, ce qui donne l'apparence d'yeux sortants. Cette condition peut affecter un ou les deux yeux et entraîner une modification de l'apparence des paupières et des tissus environnants.
L'exophtalmie peut être causée par plusieurs facteurs, notamment des affections thyroïdiennes (comme la maladie de Basedow ou le Graves'), des tumeurs orbitaires, des inflammations, des infections, des traumatismes ou une augmentation de la pression dans l'orbite. Les symptômes associés à l'exophtalmie peuvent inclure une vision floue, une douleur oculaire, une sensibilité à la lumière, un larmoiement accru et des difficultés à fermer complètement les paupières.
Le diagnostic de l'exophtalmie repose généralement sur un examen clinique approfondi, comprenant des mesures de la projection oculaire et des tests visuels. Des examens d'imagerie tels que la tomodensitométrie (TDM) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM) peuvent être nécessaires pour déterminer la cause sous-jacente de l'exophtalmie. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, des radiothérapies, une chirurgie ou une combinaison de ces options.
Les nerfs crâniens sont des nerfs qui émergent directement du cerveau et du tronc cérébral pour innerver les structures de la tête et du cou. Il y a 12 paires de nerfs crâniens au total, chacun ayant une fonction spécifique.
Les atteintes des nerfs crâniens se réfèrent à des dommages ou des lésions qui affectent un ou plusieurs de ces nerfs. Les causes les plus courantes d'atteintes des nerfs crâniens comprennent les traumatismes crâniens, les tumeurs cérébrales, les infections, les accidents vasculaires cérébraux et les maladies neurologiques dégénératives.
Les symptômes d'atteintes des nerfs crâniens varient en fonction du nerf ou des nerfs affectés. Par exemple, une atteinte du nerf optique peut entraîner une perte de vision, tandis qu'une atteinte du nerf facial peut provoquer une paralysie faciale. D'autres symptômes peuvent inclure des douleurs, des engourdissements, des picotements, des faiblesses musculaires et des troubles de l'équilibre ou de la coordination.
Le diagnostic d'atteintes des nerfs crâniens implique généralement un examen neurologique approfondi, y compris une anamnèse détaillée, un examen physique et des tests diagnostiques tels que des imageries cérébrales ou des électromyogrammes. Le traitement dépend de la cause sous-jacente de l'atteinte nerveuse et peut inclure des médicaments, une chirurgie, une radiothérapie ou une réadaptation.
L'artère carotide interne est une artère majeure de la tête et du cou qui fournit le sang oxygéné au cerveau, aux yeux et au visage. Il s'agit d'une branche terminale de l'artère carotide commune, qui se divise en deux à la base du cou, donnant naissance à l'artère carotide interne et à l'artère carotide externe.
L'artère carotide interne monte dans le crâne par le trou carotidien pour atteindre la base du cerveau. Elle donne plusieurs branches qui fournissent du sang aux membranes protectrices du cerveau (les méninges), au lobe temporal du cerveau, à l'hypothalamus, à l'hypophyse et à d'autres structures cérébrales.
La sténose de l'artère carotide interne, ou le rétrécissement de la lumière de l'artère en raison de l'athérosclérose, est un facteur de risque important pour les accidents vasculaires cérébraux ischémiques. Par conséquent, il est important de maintenir une bonne santé cardiovasculaire grâce à des habitudes de vie saines, telles qu'une alimentation équilibrée, une activité physique régulière et l'évitement du tabagisme.
Le nerf trochléaire, également connu sous le nom de nerf IV ou nerf cérébral controlatéral droit, est un nerf crânien mince et spécialisé dans le système nerveux humain. Il est unique car il s'agit du seul nerf crânien qui émerge de la face dorsale du tronc cérébral, plus précisément de la souche inférieure du mesencéphale.
Le nerf trochléaire a pour fonction exclusive d'innervrer le muscle oblique supérieur de l'œil. Ce muscle est responsable de la rotation médiale et de l'abaissement de l'œil, contribuant aux mouvements oculaires et à la convergence des yeux lors de la focalisation sur des objets proches. Toute dysfonction ou dommage au nerf trochléaire peut entraîner une diplopie (vision double) et d'autres anomalies de la motricité oculaire.
Un hémangiome caverneux du système nerveux central est un type rare de tumeur vasculaire benigne qui se développe dans les vaisseaux sanguins du cerveau ou de la moelle épinière. Ces lésions sont composées de cavités remplies de sang et sont entourées d'une paroi faite de tissu conjonctif. Les hémangiomes caverneux peuvent varier en taille, allant de quelques millimètres à plusieurs centimètres de diamètre.
Les symptômes dépendent de la localisation et de la taille de la lésion. Dans certains cas, les hémangiomes caverneux ne causent aucun symptôme et sont découverts par hasard lors d'une imagerie cérébrale effectuée pour une autre raison. Cependant, si la tumeur grossit ou saigne, elle peut provoquer des symptômes tels que des maux de tête, des convulsions, des troubles visuels, des vertiges, des faiblesses musculaires, des engourdissements ou des picotements dans différentes parties du corps.
Le diagnostic d'un hémangiome caverneux est généralement posé à l'aide d'une imagerie médicale, telle qu'une IRM ou une angiographie par résonance magnétique (ARM). Le traitement dépend de la taille et de la localisation de la tumeur, ainsi que des symptômes présentés par le patient. Dans certains cas, aucun traitement n'est nécessaire si la tumeur ne cause pas de symptômes. Cependant, si la tumeur grossit ou provoque des symptômes invalidants, une intervention chirurgicale peut être recommandée pour enlever la lésion. Dans certains cas, une radiothérapie stéréotaxique fractionnée (RSF) ou une embolisation peuvent également être envisagées comme options de traitement.
Le sinus coronaire est un petit canal situé dans le cœur, plus précisément dans l'atrium gauche. Il reçoit le sang des veines cardiaques, également appelées veines coronaires, qui drainent le muscle cardiaque. Le sinus coronaire se trouve sur la surface postérieure de l'atrium gauche et s'ouvre dans le droit atrial via l'ostium du sinus coronaire. Il joue un rôle crucial dans le système veineux du cœur en fournissant une voie pour que le sang se retire du myocarde vers les cavités cardiaques.
Le nerf trijumeau, également connu sous le nom de cinquième nerf crânien, est un nerf mixte qui transmet les sensations du visage et contrôle certains muscles de la mastication. Les atteintes du nerf trijumeau peuvent se produire en raison de diverses affections, telles que des lésions nerveuses, des infections, des tumeurs, des accidents vasculaires cérébraux ou des maladies dégénératives.
Les atteintes du nerf trijumeau peuvent entraîner une variété de symptômes, notamment :
1. Anesthésie ou engourdissement du visage
2. Douleur faciale lancinante ou brûlante
3. Perte de sensibilité au goût
4. Difficulté à mâcher ou à avaler
5. Mouvements involontaires des muscles du visage
6. Paralysie faciale unilatérale (Hemifacial Spasm)
7. Troubles de l'équilibre et de la coordination
8. Vision floue ou double
9. Sensibilité accrue au bruit ou à la lumière
Le diagnostic des atteintes du nerf trijumeau implique généralement un examen physique approfondi, y compris une évaluation de la fonction musculaire et sensorielle du visage. Des tests d'imagerie tels que l'IRM ou le scanner peuvent également être utilisés pour identifier toute lésion nerveuse sous-jacente.
Le traitement des atteintes du nerf trijumeau dépend de la cause sous-jacente. Dans certains cas, des médicaments tels que les anticonvulsivants ou les analgésiques peuvent être prescrits pour soulager la douleur et l'inconfort. La physiothérapie peut également être bénéfique pour améliorer la fonction musculaire et sensorielle du visage. Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour corriger toute lésion nerveuse sous-jacente.
Les artères méningées sont des vaisseaux sanguins qui irriguent le crâne et la membrane entourant le cerveau, appelée la méninge. Il existe plusieurs artères méningées différentes qui proviennent de diverses branches des artères carotides internes et des artères vertébrales.
Les artères méningées les plus importantes comprennent:
1. Artère méningée moyenne: C'est la plus grande des artères méningées et elle provient de la partie antérieure de l'artère carotide interne. Elle se divise en deux branches, la branche orbitaire et la branche méninge. La branche orbitaire fournit du sang à la cavité orbitaire et aux muscles oculaires, tandis que la branche méninge approvisionne la dure-mère et les parties adjacentes du crâne.
2. Artère méningée antérieure: Elle provient également de l'artère carotide interne et se dirige vers l'avant pour fournir du sang à la dure-mère antérieure et aux structures voisines.
3. Artères méningées postérieures: Elles sont généralement deux, provenant des artères vertébrales et de l'artère basilaire. Elles s'anastomosent avec les branches de l'artère méningée moyenne pour former un cercle artériel appelé le polygone de Willis, qui assure la circulation collatérale entre les deux systèmes artériels cérébraux.
Les artères méningées jouent un rôle crucial dans l'apport sanguin au crâne et aux membranes entourant le cerveau. Des problèmes tels que des lésions, des inflammations ou des thromboses de ces artères peuvent entraîner des complications graves, telles que des maux de tête, des accidents vasculaires cérébraux et d'autres troubles neurologiques.
En termes médicaux, l'orbite se réfère à la cavité osseuse dans le crâne qui abrite et protège l'œil ainsi que les structures associées. C'est essentiellement un socket composé de plusieurs os, y compris le frontal, sphenoid, zygomatique (os malaire), et maxillaire supérieur.
L'orbite contient non seulement l'œil mais aussi les muscles qui contrôlent ses mouvements (les muscles extraoculaires), les nerfs crâniens qui fournissent l'innervation sensorielle et motrice, des vaisseaux sanguins, la glande lacrymale pour la production de larmes, et le canal nasolacrimal par où les larmes s'écoulent.
Des affections telles que les fractures, les tumeurs, les infections ou l'inflammation peuvent affecter l'orbite, pouvant entraîner une variété de symptômes allant d'une simple douleur à des problèmes visuels graves.
Une remnographie est un type d'examen d'imagerie médicale qui utilise une faible dose de radiation pour produire des images détaillées des structures internes du corps. Contrairement à une radiographie standard, une remnographie implique l'utilisation d'un milieu de contraste, comme un produit de contraste à base d'iode, qui est ingéré ou injecté dans le patient avant l'examen.
Le milieu de contraste permet aux structures internes du corps, telles que les vaisseaux sanguins, les organes creux ou les tissus mous, d'être plus visibles sur les images radiographiques. Cela peut aider les médecins à diagnostiquer une variété de conditions médicales, y compris les maladies gastro-intestinales, les maladies rénales et les troubles vasculaires.
Les remnographies sont généralement considérées comme sûres, bien que comme avec toute procédure médicale qui utilise des radiations, il existe un risque minimal de dommages aux tissus ou au matériel génétique. Les avantages potentiels d'un diagnostic précis et opportun sont généralement considérés comme dépassant ce faible risque.
Il est important de noter que les remnographies ne doivent être effectuées que lorsqu'elles sont médicalement nécessaires, car l'exposition répétée aux radiations peut augmenter le risque de dommages à long terme. Les médecins et les technologues en imagerie médicale prennent des précautions pour minimiser l'exposition aux radiations pendant les procédures de remnographie.
Les maladies de l'orbite se réfèrent à un large éventail de conditions qui affectent la région orbitaire, qui est la cavité osseuse située dans le crâne qui abrite l'œil et ses annexes (muscles, vaisseaux sanguins, nerfs, graisse, etc.). Ces maladies peuvent être causées par des infections, des inflammations, des tumeurs bénignes ou malignes, des traumatismes, des malformations congénitales ou des processus dégénératifs.
Les symptômes associés aux maladies de l'orbite peuvent varier considérablement en fonction de la nature et de la gravité de la condition sous-jacente. Cependant, certains symptômes courants comprennent:
* Protrusion ou saillie de l'œil (exophtalmie)
* Douleur oculaire ou dans la région orbitaire
* Vision floue ou double
* Rougeur et gonflement des paupières
* Limitation du mouvement oculaire
* Paralysie des muscles oculaires
* Sensation de pression ou de plénitude dans l'orbite
* Modifications du champ visuel
Le diagnostic des maladies de l'orbite nécessite généralement un examen approfondi par un ophtalmologiste ou un spécialiste des maladies orbitaires. Des tests d'imagerie tels que la tomodensitométrie (TDM) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM) peuvent être utilisés pour évaluer l'étendue et la gravité de la maladie. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente de la maladie et peut inclure des médicaments, une chirurgie ou une radiothérapie.
La base du crâne est la partie inférieure et postérieure de la boîte crânienne qui forme le fond de la cavité crânienne. Elle est composée de plusieurs os, dont l'os occipital, les deux temporaux, les deux pariétaux, l'ethmoïde, et le sphénoïde. La base du crâne contient également plusieurs ouvertures, appelées foramen, qui permettent el passage de vaisseaux sanguins et de nerfs entre la cavité crânienne et le cou.
La base du crâne est divisée en trois régions: l'anterior (rostrale), la middle (moyenne) et la posterior (postérieure). Chaque région a des structures spécifiques qui y passent, telles que les nerfs optique, olfactif et auditif.
Des pathologies telles que les tumeurs, les fractures ou les infections peuvent affecter la base du crâne et causer divers symptômes, en fonction de la région et des structures touchées.
Les kystes du système nerveux central sont des sacs fermés remplis de liquide qui se forment dans les tissus du cerveau ou de la moelle épinière. Ces kystes peuvent varier en taille, de très petits à assez grands, et peuvent causer une variété de symptômes en fonction de leur emplacement et de leur taille. Les kystes peuvent comprimer le tissu cérébral environnant ou les nerfs, entraînant des maux de tête, des nausées, des vomissements, des vertiges, des faiblesses musculaires, des problèmes de coordination, des engourdissements, des picotements ou des troubles cognitifs.
Les kystes du système nerveux central peuvent être congénitaux, c'est-à-dire présents à la naissance, ou acquis plus tard dans la vie en raison d'une blessure ou d'une maladie. Les causes courantes de kystes du système nerveux central comprennent les tumeurs cérébrales, les accidents vasculaires cérébraux, les infections, les traumatismes crâniens et certaines maladies génétiques.
Le diagnostic des kystes du système nerveux central peut être posé à l'aide d'une imagerie médicale telle qu'une tomodensitométrie (TDM) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM). Le traitement dépend de la taille et de la localisation du kyste, ainsi que des symptômes associés. Dans certains cas, les kystes peuvent être surveillés sans traitement si les symptômes sont légers ou absents. Cependant, dans d'autres cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour drainer le kyste et soulager la pression sur le tissu cérébral environnant.
Un hémangiome caverneux est un type rare de tumeur bénigne des vaisseaux sanguins qui se développe généralement dans le cerveau ou la moelle épinière. Il est composé de cavités remplies de sang, entourées d'une fine paroi de tissu. Ces lésions peuvent varier en taille et peuvent causer divers symptômes en fonction de leur localisation et de leur croissance. Les hémangiomes caverneux peuvent provoquer des saignements, une pression sur les structures voisines du cerveau ou de la moelle épinière, ce qui entraîne des maux de tête, des convulsions, des problèmes de vision, des vertiges, des troubles de l'équilibre, des faiblesses musculaires et des engourdissements. Le traitement peut inclure une surveillance attentive, une radiothérapie ou une intervention chirurgicale pour enlever la tumeur.
Le syndrome de Claude Bernard-Horner, également connu sous le nom de syndrome d'Horner, est un trouble du système nerveux sympathique caractérisé par une série de signes et symptômes qui se produisent d'un côté du visage et de l'œil. Il est nommé d'après les médecins Claude Bernard et Johann Friedrich Horner qui ont contribué à sa description.
Les principaux signes du syndrome de Claude Bernard-Horner comprennent :
1. Ptosis: C'est la diminution ou la disparition de la capacité de soulever la paupière supérieure, ce qui entraîne un affaissement de la paupière.
2. Miosis: Il s'agit d'une constriction anormale de la pupille, ce qui signifie que la pupille apparaît plus petite que d'habitude.
3. Anhidrose: C'est une diminution ou une absence de sudation du côté affecté du visage.
4. Enopthalmie: Il s'agit d'un retrait de l'œil dans l'orbite, ce qui donne l'impression que l'œil est plus enfoncé dans la cavité orbitaire.
5. Éversion de la paupière inférieure: Cela signifie que la muqueuse interne de la paupière inférieure est plus visible que d'habitude.
Le syndrome de Claude Bernard-Horner peut être causé par une variété de conditions, y compris les lésions de la moelle épinière, les tumeurs, les anévrismes et les infections. Dans certains cas, la cause peut rester inconnue (idiopathique). Le diagnostic est généralement posé en combinant l'examen clinique avec des tests spécifiques, tels que la pharmacologie topique de la pupille et l'imagerie médicale. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une surveillance étroite, des médicaments ou une intervention chirurgicale.
Je suis désolé, mais le terme «rocher» ne fait pas partie de la terminologie médicale standard. Il est plutôt un terme utilisé dans la description géologique pour désigner un grand corps de roche exposé à la surface de la terre. Dans certains contextes informels, il peut également être utilisé en référence à une accumulation de calculs dans les voies urinaires, mais ce n'est pas une définition médicale généralement acceptée.
La sinusite sphénoïdale est une infection ou une inflammation du sinus sphénoïdal, qui se trouve dans la base du crâne derrière les yeux. Bien que moins fréquente que d'autres types de sinusites, elle peut être plus grave en raison de sa proximité avec le cerveau et les yeux. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête sévères, une douleur derrière les yeux ou dans la région temporale, une vision floue, une sensibilité à la lumière, une congestion nasale, une fièvre, des nausées et des vomissements. Elle peut être causée par une infection bactérienne, virale ou fongique. Le diagnostic est généralement posé par un examen médical complet, y compris une endoscopie nasale et une imagerie par résonance magnétique (IRM) ou tomodensitométrie (TDM). Le traitement peut inclure des antibiotiques, des stéroïdes, des analgésiques et des irrigations nasales. Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour drainer le sinus.
La diplopie est un terme médical qui décrit la vision double, c'est-à-dire lorsqu'une personne perçoit deux images d'un seul objet. Cette condition peut affecter un ou les deux yeux et peut survenir en raison de divers problèmes nerveux, musculaires ou oculaires. La diplopie est généralement le résultat d'un désalignement des yeux, ce qui entraîne la perception de deux images différentes par chaque œil. Les causes possibles de cette affection comprennent des affections neurologiques telles que les accidents vasculaires cérébraux, les tumeurs cérébrales, les traumatismes crâniens ou les infections, ainsi que des problèmes musculaires tels que la myasthénie grave ou la paralysie oculaire. Le traitement de la diplopie dépend de sa cause sous-jacente et peut inclure des lunettes spéciales, des exercices oculaires, une intervention chirurgicale ou des médicaments pour contrôler les affections sous-jacentes.
Les tumeurs des nerfs crâniens sont des croissances anormales qui se développent dans ou autour des nerfs crâniens, qui sont les nerfs qui émergent directement du cerveau et contrôlent les fonctions importantes telles que la vision, l'ouïe, l'équilibre, le goût, le mouvement facial et d'autres fonctions sensorielles. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).
Les tumeurs des nerfs crâniens peuvent causer une variété de symptômes, en fonction de la localisation et de la taille de la tumeur. Les symptômes courants comprennent des maux de tête, des vertiges, des nausées, des troubles de l'équilibre, des faiblesses ou des engourdissements d'un côté du visage, des changements dans la vision, de l'ouïe ou du goût, et des mouvements faciaux anormaux.
Le traitement dépend du type, de la taille et de la localisation de la tumeur, ainsi que de l'état général de santé du patient. Les options de traitement peuvent inclure une surveillance attentive, une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie. Dans certains cas, une combinaison de ces traitements peut être utilisée pour obtenir les meilleurs résultats possibles.
Le nerf abducens, également connu sous le nom de sixième nerf crânien, est un nerf crânien responsable de l'innervation des muscles droits latéraux de l'œil. Ces muscles sont responsables du mouvement des yeux vers l'extérieur, ou abduction. Le nerf abducens a son origine dans le tronc cérébral et émerge de la base du crâne près du rocher. Il traverse ensuite le crâne par le foramen ovale pour atteindre l'orbite et innerver le muscle droit latéral. Des problèmes avec ce nerf peuvent entraîner une difficulté à déplacer les yeux vers l'extérieur, une condition appelée strabisme ou paralysie du sixième nerf.
La "maladie de l'oreillette" est un terme général utilisé pour décrire une affection anormale ou une dysfonction de l'atrium cardiaque gauche, qui est la plus grande des deux chambres supérieures du cœur. Bien que ce terme puisse englober plusieurs conditions spécifiques, il fait le plus souvent référence à la fibrillation auriculaire (FA), qui est une arythmie cardiaque courante caractérisée par des contractions rapides et irrégulières de l'oreillette.
La fibrillation auriculaire peut entraîner une mauvaise circulation du sang dans l'oreillette, ce qui peut provoquer la formation de caillots sanguins. Si ces caillots se déplacent vers d'autres parties du corps, comme le cerveau, ils peuvent entraîner des accidents vasculaires cérébraux ischémiques. La fibrillation auriculaire peut également entraîner une insuffisance cardiaque congestive, une fatigue et un essoufflement, en particulier pendant l'exercice.
Outre la fibrillation auriculaire, d'autres affections de l'oreillette peuvent inclure des maladies inflammatoires telles que la myocardite ou l'endocardite, des tumeurs cardiaques primitives ou secondaires, et des malformations congénitales telles que la communication interauriculaire. Le traitement de la maladie de l'oreillette dépendra de la condition spécifique sous-jacente et peut inclure des médicaments, des procédures de catheter ablation, des chirurgies cardiaques ou une combinaison de ces options.
Le sinus ethmoïdal est un type de sinus paranasal, qui sont des cavités remplies d'air dans les os du crâne situés autour du nez. Plus précisément, le sinus ethmoïdal se trouve dans l'ethmoïde, un os situé entre les yeux et derrière le front. Il y a généralement trois à six cellules ethmoïdales par sinus, qui sont des petites cavités remplies d'air. Les sinus ethmoïdaux sont relativement petits mais importants pour la fonction respiratoire normale et la protection contre les infections. Ils contribuent également à la réduction du poids de la tête et à la production de mucus qui humidifie et nettoie l'air inspiré.
Un méningiome est un type de tumeur non cancéreuse (bénigne) qui se développe à partir des membranes qui entourent le cerveau et la moelle épinière (les méninges). Ces tumeurs grossissent généralement lentement et peuvent devenir assez grandes avant de présenter des symptômes. Les symptômes dépendent de la localisation et de la taille de la tumeur mais peuvent inclure des maux de tête, des convulsions, des problèmes de vision, des troubles auditifs, des difficultés à avaler ou des faiblesses musculaires. Dans certains cas, les méningiomes ne causent aucun symptôme et sont découverts par hasard lors d'examens d'imagerie pour d'autres problèmes de santé. Le traitement dépend de la taille, de la localisation et des symptômes de la tumeur. Il peut inclure une surveillance attentive, une radiothérapie ou une chirurgie pour enlever la tumeur.
Le nerf oculomoteur, également connu sous le nom de nervus oculomotorius ou troisième nerf crânien, est un nerf mixte qui émerge de la surface antérieure du mésencéphale dans le tronc cérébral. Il est responsable de l'innervation des muscles extraoculaires qui contrôlent les mouvements oculaires et de la innervation parasympathique du muscle sphincter de l'iris et du muscle ciliaire.
Les muscles extraoculaires qu'il innerve sont :
1. Le muscle droit supérieur, qui permet à l'œil de se tourner vers le haut et légèrement vers l'extérieur.
2. Le muscle droit médial, qui permet à l'œil de se tourner vers l'intérieur.
3. Le muscle oblique inférieur, qui permet à l'œil de se tourner vers le bas et vers l'intérieur.
4. Le muscle levator palpebrae supérieure, qui éleve la paupière supérieure.
La innervation parasympathique qu'il fournit est responsable de la constriction pupillaire et de l'accommodation visuelle, ce qui permet à l'œil de se concentrer sur des objets proches. Les affections du nerf oculomoteur peuvent entraîner une diplopie (vision double), une ptosis (paupière tombante) et des anomalies pupillaires.
Un tomodensitomètre, également connu sous le nom de scanner CT (Computed Tomography), est un équipement d'imagerie médicale avancé qui utilise des rayons X pour produire des images détaillées et croisées du corps humain. Il fonctionne en prenant une série de plusieurs rotations autour du patient, capturant des images à angles multiples. Ensuite, ces données sont traitées par un ordinateur qui les combine pour créer des sections transversales du corps, fournissant ainsi des vues détaillées des os, des muscles, des graisses et des organes internes.
Cet outil diagnostique est largement utilisé pour identifier divers types de maladies telles que les tumeurs, les fractures, les hémorragies internes, les infections, les inflammations et d'autres affections médicales. Il offre une visualisation tridimensionnelle et précise, ce qui permet aux médecins de poser un diagnostic plus précis et de planifier des traitements appropriés. Cependant, comme il utilise des radiations, son utilisation doit être pesée par rapport aux bénéfices potentiels pour chaque patient.
Le syndrome de Tolosa-Hunt est un trouble rare caractérisé par des douleurs faciales intenses d'un côté de la tête et une paralysie des muscles oculaires, entraînant une diplopie (vision double). La douleur est généralement décrite comme profonde, lancinante et située autour de l'œil ou derrière le globe oculaire. Elle peut durer plusieurs semaines avant de s'améliorer spontanément. Les épisodes récurrents sont possibles.
Ce syndrome est causé par une inflammation d'une structure du cerveau appelée nerf optique et des nerfs crâniens environnants, en particulier le III, IV et VI. Ces nerfs contrôlent les mouvements oculaires et la sensation de la peau autour de l'œil. L'inflammation entraîne une pression sur ces nerfs, provoquant des symptômes.
La cause exacte du syndrome de Tolosa-Hunt n'est pas claire, mais il est généralement considéré comme une forme de névrite ou de inflammation nerveuse. Il peut être associé à d'autres conditions médicales telles que les infections, les tumeurs et les maladies auto-immunes. Le diagnostic est posé sur la base des symptômes typiques et des résultats de l'imagerie par résonance magnétique (IRM) ou de la ponction lombaire.
Le traitement du syndrome de Tolosa-Hunt implique généralement des corticostéroïdes pour réduire l'inflammation. La plupart des personnes atteintes connaissent une amélioration significative de leurs symptômes après le traitement. Cependant, sans traitement, les symptômes peuvent persister pendant plusieurs mois. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour soulager la pression sur les nerfs.
La microchirurgie est une branche spécialisée de la chirurgie qui utilise des loupes ou des microscopes opératoires pour observer et manipuler des structures anatomiques très petites, généralement mesurant moins de 2 millimètres. Elle nécessite une formation et des compétences techniques spécifiques en raison de la complexité des procédures et de la précision requise.
Les interventions microchirurgicales peuvent inclure des sutures de vaisseaux sanguins, de nerfs ou de tissus mous délicats. Elles sont souvent effectuées lors de transplantations d'organes ou de membres, de réparations de lésions nerveuses ou vasculaires, et dans certains domaines de la chirurgie plastique et reconstructive.
Cette technique permet des réparations extrêmement fines et précises, améliorant ainsi les chances de succès thérapeutique et minimisant le traumatisme tissulaire.
Les tumeurs des méninges sont des growths anormaux qui se développent dans les membranes protectrices (les méninges) qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les symptômes dépendent de la taille et de l'emplacement de la tumeur, mais peuvent inclure des maux de tête, des nausées, des vomissements, des convulsions, des changements de comportement ou de personnalité, des problèmes d'équilibre et de coordination, une faiblesse musculaire ou une paralysie. Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur et peut inclure une chirurgie, une radiothérapie et/ou une chimiothérapie.
L'endoscopie est un procédé médical qui consiste à examiner l'intérieur du corps humain de façon non invasive. Cela se fait en insérant un endoscope, un tube flexible et éclairé, dans une cavité ou un orifice naturel du patient, comme la bouche, le nez, l'anus ou l'urètre.
L'extrémité de l'endoscope contient des lentilles et une source lumineuse qui permettent à un médecin de visualiser les tissus internes en détail sur un écran. Certains endoscopes sont équipés de canaux permettant d'insuffler de l'air pour gonfler les cavités corporelles, facilitant ainsi la visualisation. Ils peuvent également être munis d'instruments permettant de prélever des échantillons de tissus (biopsie) ou de réaliser certaines interventions thérapeutiques directement via l'endoscope.
Les types courants d'endoscopies comprennent la gastroscopie (examen de l'estomac), la colonoscopie (examen du côlon), la bronchoscopie (examen des voies respiratoires) et la cystoscopie (examen de la vessie).
Streptococcus constellatus est un type de streptocoque, qui sont des bactéries gram-positives souvent à l'origine d'infections. S. constellatus fait partie du groupe Streptococcus milleri, également connu sous le nom de Streptococcus anginosus group (SAG). Ces streptocoques sont normalement présents dans la bouche, le tube digestif et les voies respiratoires supérieures d'environ 20 à 40% des adultes en bonne santé.
Cependant, S. constellatus peut parfois provoquer des infections opportunistes, surtout lorsque l'hôte est affaibli ou immunodéprimé. Ces infections peuvent affecter divers sites du corps, notamment les poumons, le cerveau, la peau, les os et les articulations, entraînant des maladies telles que l'abcès cérébral, l'endocardite infectieuse, l'arthrite septique, la méningite et la pneumonie.
S. constellatus est souvent associé à des infections mixtes, travaillant en synergie avec d'autres bactéries pour provoquer une maladie plus grave que celle causée par chaque bactérie seule. Le diagnostic de S. constellatus repose généralement sur l'isolement et l'identification de la bactérie à partir d'un échantillon clinique, suivis d'une analyse en laboratoire pour confirmer son identité.
Le traitement des infections à S. constellatus implique généralement une antibiothérapie à large spectre, souvent avec des pénicillines ou des céphalosporines. Cependant, la résistance aux antibiotiques est un problème croissant avec ce type de streptocoque, et les isolats cliniques doivent être testés pour déterminer la sensibilité aux agents antimicrobiens avant de commencer le traitement.
Les tumeurs vasculaires sont des growths anormaux qui se développent dans les vaisseaux sanguins ou lymphatiques. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs vasculaires bénignes comprennent les hémangiomes, qui sont des growths faits de vaisseaux sanguins anormaux, et les lymphangiomes, qui sont des growths faits de vaisseaux lymphatiques anormaux. Les tumeurs vasculaires malignes comprennent le sarcome angiosarcome, qui est un cancer rare des vaisseaux sanguins.
Les tumeurs vasculaires peuvent se produire n'importe où dans le corps, mais elles sont les plus fréquentes dans la peau, le cerveau et le foie. Les symptômes dépendent de l'emplacement et de la taille de la tumeur. Certaines tumeurs vasculaires ne causent aucun symptôme et sont découvertes par hasard lors d'examens médicaux de routine. D'autres peuvent causer des douleurs, des saignements, des ecchymoses faciles, une pression sur les organes voisins ou des problèmes de fonctionnement des organes.
Le traitement dépend du type, de la taille, de l'emplacement et de l'étendue de la tumeur. Les options de traitement peuvent inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie ou une combinaison de ces traitements. Dans certains cas, une observation attentive peut être recommandée si la tumeur est petite et ne cause aucun symptôme. Il est important de consulter un médecin si vous remarquez des changements dans votre peau ou si vous présentez des symptômes qui pourraient indiquer une tumeur vasculaire.
Une craniotomie est une procédure chirurgicale neurochirurgicale où une partie du crâne est temporairement enlevée pour accéder au cerveau. Cela permet aux médecins de traiter diverses affections, telles que les tumeurs cérébrales, les hématomes, les anévrismes cérébraux, ou d'autres conditions qui nécessitent un accès direct au cerveau. Après l'intervention, le bone flap (os du crâne) est généralement remis en place et fixé avec des plaques et des vis. Cependant, dans certains cas, le bone flap peut être retiré de façon permanente, ce qui est alors appelé une craniectomie.
La neuronavigation est une technologie avancée utilisée en neurochirurgie pour guider avec précision les instruments chirurgicaux vers des structures cérébrales spécifiques pendant une intervention. Elle permet la visualisation et l'identification tridimensionnelles des structures cérébrales en temps réel, ce qui aide les médecins à planifier et à exécuter leurs procédures avec une plus grande précision et sécurité.
Le processus implique généralement la fusion d'images préopératoires du cerveau du patient (généralement obtenues par IRM ou TDM) dans un système informatisé spécial. Ce système est ensuite combiné à des instruments stéréotaxiques, tels que des microscopes opératoires équipés de caméras et de trackers, qui peuvent suivre en continu la position et l'orientation des outils chirurgicaux dans l'espace.
En combinant ces informations, le système de neuronavigation peut fournir au chirurgien une représentation tridimensionnelle actualisée de la région cérébrale cible et des structures avoisinantes, ce qui facilite l'identification et la préservation des zones critiques du cerveau pendant la procédure. Cela peut améliorer les résultats chirurgicaux en réduisant le risque de complications et d'effets indésirables.
Je suis désolé, mais la requête "Polyvinyles" ne donne pas de résultats clairs en ce qui concerne une définition médicale spécifique. Le terme "polyvinyle" fait généralement référence à un groupe de polymères synthétiques contenant des chaînes de molécules de carbone avec des groupes vinyle (-CH2-CH-) attachés. Les matériaux en polyvinyle les plus courants sont peut-être le polyvinylchlorure (PVC) et le polyéthylène, qui ont des applications médicales dans des domaines tels que les dispositifs médicaux et les emballages stériles.
Cependant, sans un contexte plus précis, il est difficile de fournir une définition médicale exacte pour "Polyvinyles". Si vous pouvez me donner plus d'informations ou de clarifier votre question, je serais heureux de vous aider davantage.
Un adénome est un type de tumeur non cancéreuse (bénigne) qui se développe dans les glandes. Il peut se former dans divers endroits du corps où il y a des glandes, mais ils sont le plus souvent trouvés dans la prostate, les glandes surrénales et les glandes hypophysaires. Les adénomes sont généralement lents à se développer et ne se propagent pas à d'autres parties du corps. Cependant, selon leur taille et leur emplacement, ils peuvent causer des problèmes de santé en comprimant les tissus voisins ou en interférant avec leur fonction normale.
Les adénomes peuvent ne pas provoquer de symptômes, surtout s'ils sont petits. Cependant, selon l'emplacement et la taille de la tumeur, des symptômes peuvent apparaître. Par exemple, un adénome de la prostate peut causer des problèmes de miction, tandis qu'un adénome de la glande pituitaire peut entraîner une production excessive d'hormones ou une vision floue.
Le traitement dépend de la taille et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que des symptômes qu'elle provoque. Dans certains cas, aucun traitement n'est nécessaire et la tumeur est simplement surveillée. Dans d'autres cas, une intervention chirurgicale ou une radiothérapie peut être recommandée pour enlever la tumeur ou réduire sa taille.
Les tumeurs du crâne sont des croissances anormales qui se forment dans ou autour du crâne. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes ont tendance à se développer lentement et sont moins susceptibles de se propager, tandis que les tumeurs malignes se développent rapidement et peuvent envahir les tissus voisins ou se propager à d'autres parties du corps.
Les tumeurs du crâne peuvent être primaires, ce qui signifie qu'elles ont commencé dans le crâne, ou secondaires, ce qui signifie qu'elles se sont propagées au crâne à partir d'une autre partie du corps. Les tumeurs primaires du crâne peuvent être classées en fonction de leur emplacement anatomique, telles que les tumeurs de la fosse crânienne postérieure, les tumeurs de la base du crâne, et les tumeurs des parois du crâne.
Les symptômes des tumeurs du crâne dépendent de leur emplacement et de leur taille. Ils peuvent inclure des maux de tête, des nausées, des vomissements, des troubles de la vision, des étourdissements, des problèmes d'audition, des faiblesses musculaires, des engourdissements, des convulsions, et des changements de comportement ou de personnalité.
Le traitement dépend du type, de la taille, de l'emplacement et de la gravité de la tumeur. Il peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, et une chimiothérapie pour tuer les cellules cancéreuses. Dans certains cas, une combinaison de ces traitements peut être utilisée.
Les interventions chirurgicales oto-rhino-laryngologiques, également connues sous le nom d'ORL, sont des procédures médicales effectuées sur les structures de l'oreille, du nez, de la gorge et des zones connexes du cou et de la tête. Ces interventions peuvent être réalisées pour diverses raisons, y compris la correction des déformations congénitales, le traitement des infections, des tumeurs ou des traumatismes, l'amélioration de la fonction physiologique, ou la restauration de l'apparence esthétique.
Voici quelques exemples d'interventions chirurgicales ORL :
1. La tympanoplastie : une procédure visant à réparer le tympan (la membrane fine qui sépare l'oreille externe de l'oreille moyenne) en utilisant un greffon de tissu. Cette intervention est souvent réalisée pour traiter les perforations du tympan ou les infections chroniques de l'oreille moyenne.
2. La mastoïdectomie : une procédure qui consiste à enlever la mastoïde, une structure osseuse derrière l'oreille, pour traiter des infections chroniques de l'oreille moyenne ou des cholestéatomes (des croissances anormales de peau et de kératine dans l'oreille moyenne).
3. La septoplastie : une intervention visant à corriger les déformations du septum nasal, la paroi qui sépare les deux narines. Cette procédure est souvent réalisée pour améliorer la respiration nasale.
4. L'uvulopalatopharyngoplastie (UPPP) : une intervention visant à enlever une partie de l'amygdale et du palais mou pour traiter le ronflement sévère ou l'apnée obstructive du sommeil.
5. La turbinoplastie : une procédure qui consiste à réduire la taille des cornets nasaux, des structures osseuses et de tissus mous dans les narines, pour améliorer la respiration nasale.
6. La thyroïdectomie : une intervention visant à enlever tout ou partie de la glande thyroïde, généralement pour traiter des nodules thyroïdiens, un cancer de la thyroïde ou une hyperthyroïdie sévère.
7. La parotidectomie : une intervention visant à enlever la glande parotide, généralement pour traiter des tumeurs bénignes ou malignes de cette glande salivaire.
8. La lobectomie pulmonaire : une procédure qui consiste à enlever un lobe du poumon, souvent pour traiter un cancer du poumon ou d'autres affections pulmonaires graves.
9. La gastrectomie totale : une intervention visant à enlever tout le estomac, généralement pour traiter un cancer de l'estomac ou des ulcères récidivants et sévères.
10. La colectomie : une procédure qui consiste à enlever une partie ou la totalité du côlon, souvent pour traiter un cancer colorectal, une maladie inflammatoire de l'intestin ou des polypes intestinaux.
11. La cystectomie : une intervention visant à enlever la vessie, généralement pour traiter un cancer de la vessie ou d'autres affections vésicales graves.
12. L'hystérectomie : une procédure qui consiste à enlever l'utérus, souvent pour traiter des fibromes utérins, un cancer du col de l'utérus ou d'autres affections gynécologiques graves.
13. L'oophorectomie : une intervention visant à enlever un ou les deux ovaires, généralement pour traiter des kystes ovariens, un cancer de l'ovaire ou d'autres affections ovariennes graves.
14. La prostatectomie : une procédure qui consiste à enlever la prostate, souvent pour traiter un cancer de la prostate ou des hypertrophies bénignes de la prostate.
15. La thyroïdectomie : une intervention visant à enlever tout ou partie de la glande thyroïde, généralement pour traiter un cancer de la thyroïde ou d'autres affections thyroïdiennes graves.
16. La parotidectomie : une procédure qui consiste à enlever la glande parotide, souvent pour traiter des tumeurs bénignes ou malignes de la glande parotide.
17. La lobectomie pulmonaire : une intervention visant à enlever un lobe du poumon, souvent pour traiter un cancer du poumon ou d'autres affections pulmonaires graves.
18. La pneumonectomie : une procédure qui consiste à enlever tout le poumon, souvent pour traiter un cancer du poumon ou d'autres affections pulmonaires graves.
19. La gastrectomie totale : une intervention visant à enlever tout l'estomac, souvent pour traiter un cancer de l'estomac ou des ulcères gastro-duodénaux récidivants.
20. La colectomie droite : une procédure qui consiste à enlever le côlon droit, souvent pour traiter un cancer du côlon ou des maladies inflammatoires de l'intestin.
21. La colectomie gauche : une intervention visant à enlever le côlon gauche, souvent pour traiter un cancer du côlon ou des maladies inflammatoires de l'intestin.
22. La sigmoïdectomie : une procédure qui consiste à enlever le sigmoïde, souvent pour traiter un cancer du côlon ou des diverticulites récidivantes.
23. La proctocolectomie totale avec iléostomie permanente : une intervention visant à enlever tout le côlon et le rectum, souvent pour traiter une maladie de Crohn sévère ou un cancer du côlon avancé.
24. La pancréatectomie céphalique : une procédure qui consiste à enlever la tête du pancréas, souvent pour traiter un cancer du pancréas localisé ou des tumeurs neuroendocrines du pancréas.
25. La duodénopancréatectomie céphalique : une intervention visant à enlever la tête du pancréas, le duodénum et une partie de l'estomac, souvent pour traiter un cancer du pancréas localisé ou des tumeurs neuroendocrines du pancréas.
26. La splénopancréatectomie céphalique : une procédure qui consiste à enlever la tête du pancréas, la rate et une partie de l'estomac, souvent pour traiter un cancer du pancréas localisé ou des tumeurs neuroendocrines du pancréas.
27. La pancréatectomie gauche : une intervention visant à enlever la queue et le corps du pancréas, souvent pour traiter un cancer du pancréas localisé ou des tumeurs neuroendocrines du pancréas.
28. La distal pancreatectomy with splenectomy : une procédure qui consiste à enlever la queue et le corps du pancréas ainsi que la rate, souvent pour traiter un cancer du pancréas localisé ou des tumeurs neuroendocrines du pancréas.
29. La lobectomie pulmonaire : une intervention visant à enlever une partie du poumon atteint d'un cancer ou d'une autre maladie pulmonaire.
30. La pneumonectomie : une procédure qui consiste à enlever tout le poumon atteint d'un cancer ou d'une autre maladie pulmonaire.
31. La gastrectomie totale : une intervention visant à enlever tout l'estomac atteint
Les malformations artério-veineuses intracrâniennes (MAVIC) sont des anomalies vasculaires congénitales du cerveau où il y a une connexion anormale directe entre les artères et les veines, contournant le lit capillaire normale. Cela peut entraîner un shunt artério-veineux, ce qui signifie qu'il y a un flux sanguin excessif et turbulent dans les vaisseaux affectés.
Les MAVIC peuvent se produire n'importe où dans le cerveau ou la moelle épinière, mais elles sont le plus souvent trouvées dans le lobe temporal ou pariétal du cerveau. Elles varient en taille et en complexité, allant de petites formations simples à des réseaux vasculaires complexes et étendus.
Les MAVIC peuvent être asymptomatiques et découvertes accidentellement lors d'une imagerie cérébrale pour une autre raison. Cependant, certaines personnes peuvent présenter des symptômes tels que des maux de tête, des convulsions, des saignements intracrâniens, des faiblesses musculaires ou des problèmes de coordination en fonction de la localisation et de l'étendue de la malformation.
Le traitement dépend de la taille, de la localisation et des symptômes de la MAVIC. Il peut inclure une surveillance régulière, une intervention chirurgicale pour enlever la malformation, une radiothérapie stéréotaxique ou une embolisation endovasculaire pour bloquer le shunt artério-veineux.
Les tumeurs de l'orbite sont des croissances anormales qui se développent dans la région orbitaire, qui est l'espace rempli de graisse entourant les yeux et contenant les muscles, les nerfs, les vaisseaux sanguins et les glandes lacrymales. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses) et peuvent provenir de divers types de tissus orbitaires.
Les tumeurs bénignes comprennent des néoplasmes tels que les adipocytes (tumeurs graisseuses), les fibroblastes (tumeurs du tissu conjonctif) et les vaisseaux sanguins anormaux. Les tumeurs malignes peuvent inclure des cancers primaires de l'orbite, tels que les sarcomes et les carcinomes, ou des métastases de cancers d'autres parties du corps.
Les symptômes des tumeurs de l'orbite dépendent de leur taille, de leur emplacement et de leur croissance. Ils peuvent inclure une protrusion oculaire, une limitation des mouvements oculaires, une douleur, un gonflement ou une ecchymose autour de l'œil, une vision floue ou double, des maux de tête et une sensation de pression dans l'orbite.
Le diagnostic des tumeurs de l'orbite implique généralement une combinaison d'examens physiques, d'imagerie médicale (telles que les tomodensitométries ou les IRM) et de biopsies pour déterminer le type et la gravité de la tumeur. Le traitement dépend du type et de l'étendue de la tumeur, mais peut inclure une surveillance étroite, une radiothérapie, une chimiothérapie ou une chirurgie pour enlever la tumeur.
La tachycardie sinusale est un type de rythme cardiaque anormalement rapide où le cœur bat plus vite que la normale, à un rythme supérieur à 100 battements par minute. Dans ce cas, c'est le nœud sinusal, le pacemaker naturel du cœur, qui provoque une décharge électrique anormalement rapide, entraînant ainsi des contractions cardiaques accélérées.
Cette condition peut survenir chez des personnes en bonne santé, sans aucune maladie sous-jacente, en particulier lors d'activités physiques intenses ou d'émotions fortes. Cependant, elle peut aussi être associée à certaines affections médicales telles que l'anémie, la fièvre, les troubles thyroïdiens, la consommation de drogues ou d'alcool, ainsi qu'à des effets secondaires de certains médicaments.
Dans la plupart des cas, la tachycardie sinusale est bénigne et ne nécessite pas de traitement spécifique. Toutefois, si elle est associée à des symptômes gênants tels que des palpitations, des étourdissements, une fatigue ou un essoufflement, il peut être recommandé d'identifier et de traiter la cause sous-jacente. Dans certains cas, des mesures telles que la réduction de la consommation de caféine, l'arrêt du tabac ou la modification des médicaments peuvent aider à soulager les symptômes.
L'anatomie comparée est une branche de la biologie et de l'anatomie qui consiste en l'étude des structures et des fonctions du corps des différentes espèces animales et végétales, dans le but de mettre en évidence les similitudes et les différences entre elles.
Cette discipline permet de comprendre l'évolution des organismes vivants et de dégager des principes généraux sur la structure et le fonctionnement des êtres vivants. Elle a été fondée au XVIIIe siècle par le naturaliste français Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon, et a connu un essor important grâce aux travaux du zoologiste allemand Johann Friedrich Blumenbach.
L'anatomie comparée est utilisée dans divers domaines, tels que la médecine, la biologie évolutive, la paléontologie et l'ingénierie biomimétique. Elle permet de mieux comprendre les relations entre les différents groupes d'espèces et de déterminer leur place dans l'arbre phylogénétique.
En anatomie humaine, l'anatomie comparée peut être utilisée pour mettre en évidence des similitudes ou des différences entre les structures anatomiques humaines et celles d'autres animaux, ce qui peut aider à comprendre leur fonction et leur évolution. Par exemple, l'étude de la structure du cœur et des vaisseaux sanguins chez différents mammifères peut fournir des informations sur les mécanismes de régulation de la pression artérielle et du débit cardiaque.
En somme, l'anatomie comparée est une discipline essentielle pour comprendre la diversité et la complexité du monde vivant, ainsi que les processus évolutifs qui ont conduit à cette diversité.
Un anévrisme intracrânien est une dilatation localisée et focale de la paroi d'une artère ou d'une veine dans le cerveau. Il se forme lorsque la paroi de ces vaisseaux sanguins devient faible ou endommagée, entraînant la formation d'une poche ou d'un sac rempli de sang.
Les anévrismes intracrâniens peuvent survenir n'importe où dans le cerveau, mais ils sont les plus fréquents aux artères à la base du cerveau, appelées cercle de Willis. Les anévrismes intracrâniens ont tendance à se développer à partir d'un point faible ou d'une zone affaiblie dans la paroi des vaisseaux sanguins, souvent là où les artères se bifurquent.
Les anévrismes intracrâniens peuvent varier en taille de quelques millimètres à plusieurs centimètres. Ils sont souvent asymptomatiques et découverts par hasard lors d'examens d'imagerie cérébrale effectués pour des raisons autres que l'anévrisme.
Cependant, les anévrismes intracrâniens peuvent également provoquer des symptômes, tels qu'une douleur derrière ou autour de l'œil, une dilatation d'un ou des deux pupilles, une vision double ou floue, un engourdissement ou une faiblesse d'un côté du visage, des maux de tête sévères et soudains, ou une perte de conscience.
Les anévrismes intracrâniens peuvent être traités par chirurgie ou par embolisation endovasculaire, qui consiste à insérer un cathéter dans une artère de la jambe et à le guider jusqu'à l'anévrisme. Les deux traitements visent à empêcher le saignement de l'anévrisme en fermant ou en renforçant les parois de l'anévrisme.
Le risque de rupture d'un anévrisme intracrânien dépend de plusieurs facteurs, tels que la taille et la localisation de l'anévrisme, l'âge et le sexe du patient, ainsi que les antécédents médicaux et familiaux. Les personnes atteintes d'un anévrisme intracrânien doivent être surveillées régulièrement par un médecin pour détecter tout signe de changement ou de croissance de l'anévrisme.
Un chordome est un type rare et souvent agressif de tumeur maligne qui se développe dans la base du crâne ou dans la colonne vertébrale. Il prend naissance dans les restes embryonnaires des disques intervertébraux, appelés «nodules de Hios» ou «chordomes rudimentaires».
Les chordomes représentent moins de 1% de toutes les tumeurs malignes primaires du système nerveux central. Ils se produisent généralement chez les adultes entre 50 et 60 ans, sans prédominance marquée entre les sexes. Les symptômes dépendent de la localisation de la tumeur mais peuvent inclure des maux de tête, des douleurs au cou ou au dos, des problèmes de vision, des difficultés d'audition, des troubles de l'équilibre et des engourdissements ou faiblesses dans les membres.
Le traitement standard pour un chordome est la résection chirurgicale aussi complète que possible, suivie souvent d'une radiothérapie externe ou de protons. Malgré le traitement, ces tumeurs ont tendance à se développer localement et peuvent métastaser dans environ 10% à 30% des cas. Le pronostic dépend du grade de la tumeur, de son emplacement, de sa taille et de l'étendue de la résection chirurgicale.
Le nerf maxillaire, également connu sous le nom de deuxième nerf crânien ou II parechymateux, est un important nerf mixte qui émerge du tronc cérébral et passe par la base du crâne. Il contient des fibres sensorielles, sécrétoires et motrices.
Les fibres sensorielles transmettent les informations provenant de la peau du front, de la paupière supérieure, de l'aile du nez, de la muqueuse nasale, des dents supérieures, du palais dur et mou, de la sinusite maxillaire et de certaines parties de la tête et du cou.
Les fibres sécrétoires innerve les glandes salivaires accessoires (glandes de von Ebner) dans la langue.
Les fibres motrices contrôlent les muscles masticateurs, qui sont le masséter, le temporalis, le ptérygoïdien latéral et le ptérygoïdien médial, ainsi que quelques autres muscles faciaux plus petits tels que le tenseur du voile du palais, le muscle tensor veli palatini et les muscles des oreilles moyennes.
L'apoplexie hypophysaire, également connue sous le nom de «syndrome de Sheehan», est une complication rare mais grave d'un accouchement traumatique ou d'une hémorragie post-partum sévère chez les femmes. Ce syndrome est caractérisé par un arrêt soudain de la circulation sanguine dans l'hypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau, ce qui entraîne des dommages tissulaires et une défaillance hormonale.
Les symptômes peuvent inclure une fatigue extrême, une faiblesse musculaire, une perte de poids, une intolérance au froid, une pression artérielle basse, des nausées, des vomissements, une sécheresse de la peau et des muqueuses, une constipation, une perte de cheveux, une diminution de la libido, des irrégularités menstruelles et une dépression. Dans les cas graves, il peut y avoir une confusion mentale, une perte de conscience ou même un coma.
Le diagnostic repose sur l'anamnèse, les antécédents médicaux, les symptômes cliniques et les tests de laboratoire pour évaluer le fonctionnement de la glande pituitaire. Le traitement consiste généralement en un remplacement hormonal substitutif à long terme pour compenser la défaillance hormonale. Une prise en charge précoce et agressive peut améliorer considérablement le pronostic et la qualité de vie des patientes atteintes d'apoplexie hypophysaire.
Un prolactinome est un type rare de tumeur bénigne de l'hypophyse, une glande située à la base du cerveau qui régule plusieurs hormones importantes. Cette tumeur provoque une sécrétion excessive de prolactine, une hormone qui stimule la production de lait maternel. Les symptômes peuvent inclure des irrégularités menstruelles, une diminution de la libido, une érection réduite ou un dysfonctionnement érectile chez les hommes, et dans certains cas, une production inappropriée de lait maternel (galactorrhée) chez les deux sexes. Les prolactinomes peuvent également causer des symptômes visuels si elles grossissent suffisamment pour exercer une pression sur le nerf optique. Le diagnostic est généralement posé à l'aide d'un examen sanguin pour mesurer les niveaux de prolactine et d'une imagerie par résonance magnétique (IRM) pour confirmer la présence et localiser la tumeur. Le traitement dépend de la taille de la tumeur et des symptômes, mais peut inclure des médicaments pour abaisser les niveaux de prolactine ou une intervention chirurgicale pour enlever la tumeur.
Les artériopathies carotidiennes sont des affections vasculaires qui affectent les artères carotides, qui sont les principales artères qui approvisionnent le cerveau en sang. Ces affections peuvent inclure des lésions telles que la sténose (rétrécissement) ou l'occlusion (blocage) de l'artère carotide, généralement causées par l'athérosclérose (un dépôt de graisse et de cholestérol dans les parois des artères).
La sténose carotidienne peut entraîner une diminution du flux sanguin vers le cerveau, ce qui peut provoquer des symptômes tels que des étourdissements, des maux de tête, des troubles de la vision et des accidents ischémiques transitoires (AIT) ou des accidents vasculaires cérébraux (AVC).
Le diagnostic d'artériopathies carotidiennes peut être posé à l'aide d'une série d'examens, tels que l'échographie doppler, la tomographie computérisée (TC) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM). Le traitement dépend de la gravité de la maladie et peut inclure des modifications du mode de vie, des médicaments pour contrôler les facteurs de risque cardiovasculaires, ainsi que des interventions chirurgicales telles que l'endartériectomie carotidienne ou le stenting carotidien.
Une hémorragie putaminale est un type spécifique d'hémorragie intracérébrale, ce qui signifie qu'il y a saignement dans le tissu cérébral. Plus précisément, une hémorragie putaminale se produit dans la région du striatum appelée la putamen, qui est située dans le noyau basal du cerveau. Cette région est fortement impliquée dans le contrôle des mouvements et de la cognition.
Les hémorragies putaminales peuvent être causées par divers facteurs, notamment l'hypertension artérielle non contrôlée, l'anomalie vasculaire cérébrale, l'utilisation de drogues récréatives ou d'anticoagulants, et certaines maladies neurologiques. Les symptômes peuvent varier en fonction de la taille et de l'emplacement de l'hémorragie, mais ils peuvent inclure des maux de tête soudains, des vomissements, une faiblesse ou un engourdissement d'un côté du corps, des problèmes de vision, des difficultés d'élocution, des changements de comportement ou de conscience, voire le coma.
Le traitement dépendra de la cause sous-jacente et de la gravité de l'hémorragie. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour soulager la pression intracrânienne ou arrêter le saignement. Toutefois, dans d'autres cas, un traitement médical peut être suffisant pour gérer les symptômes et prévenir les complications.
La fosse crânienne postérieure est une cavité située dans la base du crâne, à l'arrière de la tête. Elle est bordée par les os occipital, temporal et pariétal. Cette région contient plusieurs structures importantes du système nerveux central, telles que le cervelet (la partie principale), le tronc cérébral (la moelle allongée, le pont et le bulbe rachidien), les vaisseaux sanguins cérébraux majeurs (comme la veine jugulaire interne et l'artère vertébrale) et la dure-mère (une membrane protectrice entourant le cerveau). La fosse crânienne postérieure est également liée à certaines fonctions vitales, telles que la régulation de la respiration, du rythme cardiaque et du maintien de l'équilibre et de la posture. Des pathologies ou des traumatismes au niveau de cette fosse peuvent entraîner divers symptômes neurologiques, tels que des maux de tête, des vertiges, des troubles de l'équilibre, des faiblesses musculaires, des engourdissements et des difficultés à avaler ou à parler.
Les maladies de l'hypophyse sont des affections qui affectent la glande pituitaire, une petite glande endocrine située à la base du cerveau. La glande pituitaire est responsable de la production et de la sécrétion de plusieurs hormones importantes qui régulent divers processus dans le corps, tels que la croissance, le métabolisme, la reproduction et la réponse au stress.
Les maladies de l'hypophyse peuvent être classées en deux catégories principales : les troubles de la sécrétion hormonale et les troubles de la taille ou de la forme de la glande pituitaire.
Les troubles de la sécrétion hormonale peuvent entraîner une production excessive ou insuffisante d'une ou plusieurs hormones hypophysaires, ce qui peut entraîner une variété de symptômes. Par exemple, un excès d'hormone de croissance peut entraîner une acromégalie, caractérisée par une augmentation anormale de la taille des os du visage et des extrémités. À l'inverse, une insuffisance de l'hormone de croissance peut entraîner une petite taille et un retard de développement chez les enfants.
Les troubles de la taille ou de la forme de la glande pituitaire peuvent être causés par des tumeurs bénignes ou malignes, des traumatismes crâniens, des infections ou des malformations congénitales. Ces troubles peuvent comprimer la glande pituitaire et perturber sa fonction, entraînant une variété de symptômes, tels que des maux de tête, des troubles visuels, des irrégularités menstruelles et une fatigue extrême.
Le traitement des maladies de l'hypophyse dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une thérapie médicamenteuse. Il est important de consulter un médecin spécialiste de l'hypophyse pour établir un diagnostic et un plan de traitement appropriés.
En médecine, une dissection est un terme qui décrit le processus d'ensemble des méthodes anatomiques utilisées pour séparer les tissus et les structures du corps humain ou animal. Cela permet aux étudiants en médecine, aux chercheurs et aux professionnels de la santé d'examiner et de comprendre la structure, l'organisation, les relations spatiales et la fonction des différents systèmes corporels.
Cependant, dans un contexte clinique, la dissection peut également faire référence à une condition pathologique rare mais grave, appelée dissection artérielle. Il s'agit d'une séparation anormale des couches de la paroi artérielle, entraînant la formation d'une poche remplie de sang (hématome) entre ces couches. Cette situation peut provoquer une obstruction du flux sanguin et entraîner des conséquences graves, telles que des accidents vasculaires cérébraux ou des crises cardiaques, selon la localisation de la dissection artérielle.
Les manifestations oculaires sont des changements ou des symptômes que l'on peut observer dans les yeux ou la région oculaire, qui peuvent indiquer une variété de conditions médicales, allant des affections oculaires spécifiques à des problèmes de santé systémique. Ces manifestations peuvent inclure une grande diversité de signes, tels que des rougeurs, des gonflements, des sécrétions, des modifications du champ visuel, des changements de la réactivité pupillaire, des déformations de la structure oculaire, ou encore des anomalies dans les mouvements oculaires.
Par exemple, la présence de petits vaisseaux sanguins dilatés à la surface de l'œil (appelés « étoiles du vin») peut être une manifestation oculaire d'une hypertension artérielle non contrôlée. De même, des taches blanches sur la cornée (la membrane transparente à l'avant de l'œil) peuvent indiquer une infection fongique ou bactérienne.
Il est important de noter que certaines manifestations oculaires peuvent être graves et nécessiter une attention médicale immédiate, tandis que d'autres peuvent être moins préoccupantes et traitables avec des soins simples. Quoi qu'il en soit, toute modification significative ou persistante de l'apparence ou du fonctionnement des yeux devrait faire l'objet d'une évaluation médicale appropriée.
Un orbital pseudotumor, également connu sous le nom de pseudotumeur orbitaire, est un terme utilisé pour décrire une affection dans laquelle il y a une inflammation des tissus mous autour de l'œil (appelés tissus orbitaires) qui ne peut pas être attribuée à une cause spécifique identifiable. Cette condition provoque une augmentation de la taille des tissus orbitaires, ce qui peut comprimer le nerf optique et les vaisseaux sanguins de l'œil, entraînant une variété de symptômes.
Les symptômes courants d'un orbital pseudotumor comprennent une douleur oculaire, une rougeur oculaire, un gonflement des paupières, une limitation du mouvement oculaire et une vision floue ou double. Les tests d'imagerie tels que la tomodensitométrie (TDM) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM) peuvent être utilisés pour diagnostiquer cette condition en montrant une augmentation de la taille des tissus orbitaires.
Le traitement d'un orbital pseudotumor implique généralement l'utilisation de corticostéroïdes pour réduire l'inflammation et soulager les symptômes. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour drainer tout liquide accumulé dans l'orbite. Cependant, la cause sous-jacente de cette condition reste inconnue, ce qui rend difficile de prévenir sa récurrence.
L'angiographie numérisée est une technique d'imagerie médicale qui consiste à obtenir des images des vaisseaux sanguins (artères ou veines) après injection d'un produit de contraste. Contrairement à l'angiographie conventionnelle, qui utilise des films radiographiques pour enregistrer les images, l'angiographie numérisée utilise une technologie numérique pour capturer et afficher les images sur un écran d'ordinateur.
Cette méthode permet d'obtenir des images de haute qualité avec une résolution plus élevée, ce qui facilite le diagnostic et le traitement de diverses pathologies vasculaires, telles que les malformations artérioveineuses, les anévrismes, les sténoses (rétrécissements) ou les occlusions des vaisseaux sanguins.
L'angiographie numérisée peut être réalisée en utilisant différentes voies d'accès, telles que l'artère fémorale, l'artère radiale ou l'artère axillaire, selon la région du corps à examiner. Le produit de contraste est injecté dans le vaisseau sanguin pertinent, et une série d'images sont capturées en temps réel pendant que le produit circule dans le système vasculaire. Ces images peuvent ensuite être analysées par un médecin radiologue pour évaluer l'état des vaisseaux sanguins et détecter toute anomalie.
L'angiographie numérisée est considérée comme une procédure sûre, bien qu'elle comporte certains risques, tels que des réactions allergiques au produit de contraste, des saignements ou des infections à l'emplacement de l'incision. Cependant, ces complications sont rares et peuvent être gérées efficacement par une équipe médicale expérimentée.
La radiochirurgie est un traitement non invasif qui utilise des rayonnements à haute dose pour cibler et détruire des lésions ou des tissus anormaux dans le corps, tels que des tumeurs cancéreuses ou des malformations vasculaires. Contrairement à la radiothérapie conventionnelle, qui est généralement administrée en plusieurs séances de faible dose sur une période prolongée, la radiochirurgie délivre une dose unique et très concentrée de rayonnement pendant une seule session.
Cette technique combine les principes de la radiothérapie et de la chirurgie pour obtenir des résultats similaires à ceux d'une intervention chirurgicale traditionnelle, mais sans incisions ni hospitalisations. La radiochirurgie est souvent utilisée pour traiter les tumeurs cérébrales et les malformations artérioveineuses (MAV) du cerveau, bien qu'elle puisse également être employée pour d'autres types de lésions dans différentes parties du corps.
Le CyberKnife et le Gamma Knife sont des exemples courants d'appareils utilisés pour la radiochirurgie. Ces systèmes sophistiqués permettent une grande précision dans la livraison du rayonnement, ce qui minimise les dommages aux tissus sains environnants et améliore l'efficacité du traitement.
Le syndrome de Lemierre, également connu sous le nom de maladie de Postanginosa suppurative séptique, est une complication rare mais grave d'une angine streptococcique aiguë. Il est caractérisé par la propagation de la infection à partir des tissus mous du pharynx vers les veines jugulaires internes, entraînant une thrombophlébite septique. Cela peut ensuite entraîner une septicémie et des embolies métastatiques, en particulier aux poumons et au foie. Les symptômes typiques comprennent une angine douloureuse et unilatérale, suivie de fièvre, frissons, malaise, douleur et gonflement du cou, et essoufflement. Le diagnostic est confirmé par l'imagerie médicale, telle qu'une échographie ou une tomodensitométrie, qui montre une thrombophlébite des veines jugulaires internes. Le traitement consiste en des antibiotiques à large spectre et, dans certains cas, une intervention chirurgicale pour drainer les abcès et éliminer le thrombus. Sans un traitement approprié, le syndrome de Lemierre peut entraîner des complications graves, voire la mort.
Le nerf ophtalmique, officiellement connu sous le nom de deuxième nerf crânien ou nerf II, est un nerf sensoriel qui transmet les informations visuelles du globe oculaire au cerveau. Il s'agit d'une branche terminale du nerf trijumeau (nerf V) et il est responsable de la sensibilité de la cornée, de la conjonctive, de la sclérotique et de la paupière. Le nerf ophtalmique contient également des fibres parasympathiques qui proviennent du noyau accessoire d'Edinger-Westphal dans le mésencéphale et sont responsables de la contraction des muscles oculomoteurs pour l'accommodation et la convergence. Des dommages ou des lésions au nerf ophtalmique peuvent entraîner une perte de vision, des douleurs oculaires et d'autres problèmes visuels.
Sinus caverneux
Sinus sphéno-pariétal
Tente de l'hypophyse
Sillon carotidien de l'os sphénoïde
Veine anastomotique supérieure
Veine émissaire
Corps du sphénoïde
Grande aile de l'os sphénoïde
Veine ophtalmique supérieure
Adénome hypophysaire
Nerf ophtalmique
Processus clinoïde postérieur
Sinus pétreux inférieur
Canal de Schlemm
Foramen déchiré
Plexus veineux basilaire
Veine centrale de la rétine
Sinus sphénoïdal
Nerf oculomoteur
Sinus paranasal
Sinus intercaverneux
Veine ophtalmique inférieure
Veine vortiqueuse
Ganglion trigéminal
Sinus pétreux supérieur
Sphénoïdite
Dissection d'une artère cervicale
Fosse crânienne moyenne
Foramen veineux
Histoire de l'anatomie
Sinus caverneux - Wikipedia
Thrombose du sinus caverneux - Troubles oculaires - Édition professionnelle du Manuel MSD
Empyème pulmonaire chez un patient schizophrène ayant une mauvaise dentition | CMAJ
Accident vasculaire cérébral ischémique - Troubles neurologiques - Édition professionnelle du Manuel MSD
Symptome Acromégalie
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Définitions : sinus - Dictionnaire de français Larousse
UE7 : Endocrinologie Sémiologie de l axe Hypothalamo-Hypophysaire
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Traitement du Méningiome Tunisie | Dr Lassaad Bsili
Prise en charge ostéopathie des troubles psychosomatiques | Blog
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Thromboses veineuse c r brale
Traumatisme cranio-facial - MedG
Sinus coronaire ??
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Arrêts de cassation rendus par la Première chambre civile de la Cour de cassation les 25 février 1997 et 7 octobre 1998
Symptômes d'angiome cérébral chez l'adulte
Sinusites d'origine dentaire. - Conseil Dentaire Dr.Hauteville
Sinus coronaire - Dictionnaire médical
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Adieu
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Selle turcique6
- Les sinus caverneux sont allongés d'avant en arrière de chaque côté de la selle turcique. (wikipedia.org)
- Dans mon cas, j'ai eu de la chance, j' ai un macro adénome qui est sorti de la selle turcique et est à la limite des sinus caverneux, j' ai de la chance, j'ai été prise à temps. (symptomes.info)
- Le terme de sinus coronaire désigne également le système veineux de forme circulaire situé en périphérie de la selle turcique et faisant communiquer les deux sinus caverneux. (sos112.fr)
- En ce qui concerne le sinus coronaire de la selle turcique, il s'agit d'une minuscule cuvette creusée transversalement à la face supérieure de l'os sphénoïde situé à la base du crâne. (sos112.fr)
- Quelques exemples de sinus veineux de la dure-mère : * Les sinus caverneux sont des sinus veineux situés de part et d'autre de la selle turcique (c'est une partie de l'os sphénoïde qui a une forme de dépression et dans laquelle vient se loger l'hypophyse). (dictionnaire-medical.net)
- Les sinus coronaires : il y en a un qui correspond à la grande veine coronaire du c ur et qui débouche dans l'oreillette droite, un autre au niveau de l'encéphale, autour de la selle turcique et qui met en communication les 2 sinus caverneux. (dictionnaire-medical.net)
Veineux3
- Les sinus veineux résultent du développement embryonnaire du tube tube cardiaque primitif dans lequel débouchaient toutes les veines de l'embryon, en communication avec l'oreillette primitive. (dictionnaire-medical.net)
- Après la naissance, on parle de sinus veineux de la dure-mère ou sinus de la dure-mère ou sinus crâniens ou sinus duremèriens, car ces cavités sont tapissées par la dure-mère. (dictionnaire-medical.net)
- Tous ces sinus drainent le sang veineux de l'encéphale vers les grandes veines jugulaires. (dictionnaire-medical.net)
Thrombose4
- La thrombose du sinus caverneux est une thrombose typiquement septique très rare du sinus caverneux, généralement provoquée par des furoncles du nez ou une sinusite bactérienne. (msdmanuals.com)
- peuvent survenir mais sont plus rares que la thrombose du sinus caverneux. (msdmanuals.com)
- Les 3e, 4e et 6e nerfs crâniens ainsi que les branches ophtalmiques et maxillaires du 5e nerf crânien sont attenants au sinus caverneux et sont fréquemment atteints dans la thrombose du sinus caverneux. (msdmanuals.com)
- On l'associe le plus souvent à des infections dentaires, mais il a déjà été isolé dans des cultures provenant de patients porteurs d'infections extrabuccales, telles qu'empyème et abcès pulmonaire, méningite, thrombose du sinus caverneux et abcès intra-abdominal 2 . (cmaj.ca)
Bulbo Caverneux2
- Évaluation de l'intérêt du Monitoring du Reflexe Bulbo Caverneux (RBC) associé aux PES corticaux dans la chirurgie du dysraphisme du jeune enfant (- de 1 an). (neurosphinx.com)
- 3. Le muscle constricteur de la vulve , muscle strié homologue du muscle bulbo-spongieux (ou bulbo-caverneux) du mâle, se différencie peu du muscle constricteur du vestibule . (vetopsy.fr)
Paroi1
- Son extrémité droite s'ouvre sur la paroi inférieure de l'atrium droit et est marquée par la valvule du sinus coronaire. (sos112.fr)
Veine jugulaire interne2
- Le sinus caverneux se draine dans les sinus pétreux supérieur et inférieur, pour se jeter en fin de compte dans la veine jugulaire interne via le sinus sigmoïde. (wikipedia.org)
- Ils sont prolongés par les sinus pétreux inférieurs qui se jettent dans la veine jugulaire interne et les sinus pétreux supérieurs, qui se terminent dans le sinus latéral. (dictionnaire-medical.net)
D'un2
- A noter : l'invasion d'un sinus caverneux ne permettrait pas d'envisager une exérèse complète. (pfizerpro.fr)
- Les dents sont en relation étroite avec les sinus maxillaires et l'anatomie est très variable d'un individu à l'autre: il est fréquent que des racines soient carrément plongées dans le sinus. (conseildentaire.com)
Cavernosus1
- Sinus caverneux Le sinus caverneux (en latin sinus cavernosus) est un des sinus pair de la dure-mère situé dans la fosse crânienne moyenne. (wikipedia.org)
Nerfs1
- Ces nerfs, à l'exception du nerf maxillaire, traversent le sinus caverneux pour entrer dans l'apex orbitaire à travers la fissure orbitaire supérieure. (wikipedia.org)
Coronaire5
- Ils forment avec les sinus intercaverneux antérieur et postérieur une structure elliptique : le sinus coronaire. (wikipedia.org)
- La veine cave supérieure, la veine cave inférieure et le sinus coronaire entrent dans l'oreillette droite. (sos112.fr)
- Le sinus coronaire est un vaisseau sanguin qui conduit le sang des veines cardiaques à l'oreillette droite du cœur. (sos112.fr)
- Le sinus coronaire est situé dans le sillon auriculo-ventriculaire, à la surface du cœur. (sos112.fr)
- 1. La grande veine du cœur (fig. 195, 196, 197), née à l'apex du cœur, monte dans le sillon interventriculaire antérieur, se coude à angle droit pour suivre le sillon atrio-ventriculaire gauche et se termine dans le sinus coronaire. (sos112.fr)
Sinusite2
- Sinusite La sinusite est une inflammation des sinus de la face due à des infections virales, bactériennes et mycosiques ou à des réactions allergiques. (msdmanuals.com)
- La thrombophlébite du sinus caverneux de la base du crâne peut aussi être une complication très grave des accidents infectieux dentaires mais n'a rien à voir avec la sinusite chronique ou aiguë que vous connaissez, et ce n'est pas notre propos pour cet article. (conseildentaire.com)
Parfois1
- Le sinus caverneux reçoit parfois directement la veine centrale de la rétine. (wikipedia.org)
Cavernous1
- en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article de Wikipédia en anglais intitulé « Cavernous sinus » (voir la liste des auteurs). (wikipedia.org)
Optique1
- Le nerf optique se trouve juste au-dessus et à l'extérieur du sinus caverneux. (wikipedia.org)
Maxillaires1
- Les sinus osseux crâniens sont pairs , droit et gauche et sont: les sinus maxillaires , les sinus frontaux , les sinus ethmoïdaux, et les sinus sphénoïdaux . (conseildentaire.com)
Interne2
- Le sinus caverneux a la particularité d'être traversé par un paquet artério-nerveux contenant l'artère carotide interne et le nerf abducens (nerf crânien VI). (wikipedia.org)
- Le sinus transverse ou sinus latéral part du pressoir d'Hérophile (c'est le point de rencontre de plusieurs sinus de la dure-mère, au niveau de la protubérance occipitale interne) et débouche dans la jugulaire interne. (dictionnaire-medical.net)
Longitudinal1
- d ficits (moteurs, sensitifs, visuels), convulsions (classiquement bascule en cas d occlusion du sinus longitudinal superficiel). (oncorea.com)
Proches1
- Si l'une des dents parmi les plus proches du sinus a une infection sur une racine il va être très probable que l'infection va se propager au sinus, comme vous le voyez sur le cliché suivant. (conseildentaire.com)
Veines2
- Le sinus caverneux reçoit en haut les veines cérébrales tant antérieures que moyennes et inférieures, en devant la veine ophtalmique supérieure et veine ophtalmique inférieure issues de l'orbite en traversant la fissure orbitaire supérieure (fente sphénoïdale), le sinus sphéno-pariétal, les sinus intercaverneux postérieur et antérieur, le plexus basilaire. (wikipedia.org)
- Les sinus caverneux sont des sinus trabéculés situés à la base du crâne et qui drainent le sang des veines de la face. (msdmanuals.com)
Maladie2
- N'attendez surtout pas car dans cette maladie, c'est un adénome qui compresse l'hypophyse, puis si on ne fait rien, fini par envahir les sinus caverneux, et quand ils sont envahis, on ne peut plus le retirer dans ces sinus caverneux parce qu'il y passe les artères, et se serait trop dangeureux de le retirer. (symptomes.info)
- Il est évident que plus les relations seront imbriquées, plus les chances de transmission aux sinus d'une maladie des racines concernées seront grandes. (conseildentaire.com)
Frontal1
- Les localisations multiples d'emblée non métastatiques sont exceptionnelles, de même que les localisations osseuses en dehors de l'axe craniorachidien (orbite, sinus frontal, maxillaire supérieur, écaille de l'occiput et omoplate). (medixdz.com)
Nerf1
- Le nerf maxillaire passe par la partie inférieure du sinus et sort par le foramen rond. (wikipedia.org)
Droit1
- 2. La petite veine du cœur occupe simplement la partie postérieure du sillon atrio-ventriculaire droit et se jette dans le sinus tout près de sa terminaison (fig. 196). (sos112.fr)
Corps1
- Le clitoris , érectile, est celui des corps caverneux et du corps spongieux du gland . (vetopsy.fr)
Latin1
- Anatomie, angiologie et médecine vasculaire N. m. * sinus : du latin sinus, qui signifie pli, repli. (dictionnaire-medical.net)
Fonction3
- Fonction sinus. (larousse.fr)
- fonction définie sur R qui, au réel x , associe le sinus de l'angle dont x est la mesure modulo 2π. (larousse.fr)
- La dérivée de la fonction sinus est la fonction cosinus. (larousse.fr)
Forme1
- Une étrange boule se forme au fond de ma gorge, mon sinus se plisse. (ploum.be)
Face1
- si le praticien vous met une lampe dans la bouche et « trans-illumine » les os de la face, le sinus atteint sera très nettement moins transparent que le sinus sain. (conseildentaire.com)