Une maladie caractérisée par une douleur rayonnant depuis l'arrière dans le muscle fessier et postérieure / des aspects latéraux de la jambe. Sciatique peut être une manifestation de sciatique une neuropathie, radiculopathie (impliquant les racines sang-froid échoué ; L4 et L5, S1, S2, souvent associée Intervertebral Secrétaire DISPLACEMENT) ; ou lésions de la queue de cheval.
Un Intervertebral y dans lequel le noyaux pulposus a protruded par entourant cartilage. Cela arrive le plus fréquemment dans la région lombaire inférieure.
Maladie entraînant un nerf racine spinale (voir échoué racines sang-froid) pouvant résulter de compression liés au Secrétaire Intervertebral DISPLACEMENT ; colonne vertébrale ; blessures échoué maladies ; et d'autres maladies. Les signes cliniques inclure radiculaire, faiblesse, perte de la sensibilité et de structures referable innervated impliqué par la racine nerveuse.
Une douleur pelvienne, caractérisée par la douleur chronique dans le muscle fessier pouvant rayonner vers postérieures de la jambe. C'est provoqué par la masse musculaire Piriformis irritant la sciatique ou culot dû à un traumatisme, une hypertrophie, inflammation ou d ’ une même variations.
L'injection de drogues, le plus souvent des analgésiques dans le canal rachidien sans perforer la dure-mère.
Excision, en partie ou ensemble, d'un y Intervertebral. Le plus fréquent indication est disque déplacement ou hernie Outre ablation chirurgicale standard, ça peut être réalisée par diskectomy percutanée (,) ou par percutanée DISKECTOMY diskectomy laparoscopique, l'ancien étant le plus commun.
Vertèbres dans la région du bas de retour en dessous de la génétique qui thoraciques et au-dessus de la génétique qui du sacrum.
Un résidu cystéine Endopeptidase isolés de papaye latex, la préférence à l'acide glutamique clivage et l ’ acide aspartique résidus. CE 3.4.22.6.
Des douleurs aiguës ou chroniques ou lombaire régions du sacrum, qui peuvent être associées à des entorses musculo-ligamentous ET STRAINS ; Secrétaire Intervertebral DISPLACEMENT ; et d'autres maladies.
Des paquets de sang-froid appariés fibres entrant ou sortant des colonne vertébrale à chaque segment. La nageoire dorsale et racines nerveuses ventral pour former un mélange de rejoindre segmentaire, nerfs rachidiens. La nageoire dorsale racines sont généralement sensitifs, formée par la racine dorsale de la moelle () ganglions cellules sensorielle, et l'aire racines sont efferent, comprenant les axones motrices et Preganglionic autonome de fibres.
Mécanique compression des nerfs ou des racines de causes internes ou externes. Ils peuvent entraîner un blocage de la conduction des impulsions nerveuses (dû à un dysfonctionnement il myéline) ou perte axonale. Du nerf et blessures gaine des nerfs peuvent être dues à une ischémie ; inflammation ou un effet de mécanique directe.
La disparition du noyau pulposus, le tissu d'un semi-gelatinous Intervertebral déplacée. Ça y est généralement obtenue par l'injection directe de l'enzyme protéolytique, surtout CHYMOPAPAIN, dans la hernie discale.
Et niveau lombaire plexuses pris ensemble. Les fibres du plexus lombo-sacrée originaires de la lombaire et le haut du niveau de la moelle épinière (L1 innerve vers S3) et les extrémités inférieures.
L ’ un des 23 plaques de cartilage trouvé entre les corps de génétique qui adjacent.
Balance, questionnaires, les tests et les méthodes utilisées pour évaluer la douleur d'intensité et en durée chez les patients ou des animaux expérimentaux pour aider au diagnostic, traitement, les études et physiologique.
Maladie ou de blessure impliquant de multiples échoué sang-froid racines. Polyradiculitis fait référence à l ’ inflammation de la moelle épinière racines.
Un type de cartilage qui contient de grosses liasses de matrice collagène TYPE I. cartilage est généralement trouvé dans la symphyse PUBIC Secrétaire Intervertebral ; ; ; et MENISCI tibiale disquettes articulaire synovial des articulations. (De Ross et. al., Histologie, 3ème, p132,136)
La partie inférieure de la colonne vertébrale composé des lombaires, et du sacrum coccygeal racines nerveuses.
La cavité de la échoué mensuelle par laquelle la colonne vertébrale passe.
Tumeurs inhérents à tissu nerveux périphérique. Cela inclut NEUROFIBROMAS ; SCHWANNOMAS ; granuleux cellule tumeurs malignes ; et il se sang-froid périphérique tumeurs. (De DeVita Jr et al., Cancer : Principes et Pratique en cancérologie, Ed, pp1750-1) 5
Facteur XIII activée, une forme de transglutaminase, qui stabilisent la formation du caillot fibrineux (polymère terminant la cascade de coagulation sanguine).
Os qui constituent chaque moitié de la ceinture pelvienne aux vertébrés, formée par la fusion de l'os iliaque ; ischium ; et PUBIC os.
Service DE BUDAPEST bibliothèque nationale pour des professionnels de santé et des consommateurs, elle donne des informations du National Institutes of Health et autres revues sources d'information sur certaines maladies et les conditions.
L'espace ou compartiment entouré par la ceinture pelvienne (bassin osseux). C'est subdivisée en le plus grand bassin et du bassin Diaconesse. La ceinture pelvienne sont formés par l'os pelvien et sacrum.
C'est un nouveau type de tissu conjonctif le constituant principal du squelette. Le principe de la composante cellulaire se compose d'ostéoblastes ; ostéocytes ; et ostéoclastes, pendant que FIBRILLAR Fibrillaires et MATRIX hydroxyapatite cristaux se forment les os.

La sciatique est un symptôme, pas une condition médicale spécifique. Il s'agit d'une douleur qui irradie le long du nerf sciatique, le plus grand nerf du corps humain. Cette douleur peut se propager de la région lombaire (bas du dos) à travers les fesses et jusqu'au mollet ou même au pied.

La sciatique est généralement causée par une compression ou une irritation du nerf sciatique, souvent résultant d'une hernie discale lombaire, d'une sténose spinale (rétrécissement du canal rachidien), d'un spasme musculaire, d'un épaississement de la membrane qui entoure le nerf ou d'une tumeur rare.

Les personnes atteintes de sciatique peuvent également ressentir des picotements, un engourdissement ou une faiblesse dans les jambes. Dans la plupart des cas, la douleur est ressentie d'un seul côté du corps. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments contre la douleur, la physiothérapie ou, dans certains cas, une intervention chirurgicale.

L'Intervertébral Disc Displacement, également connu sous le nom de Hernie discale, est un trouble de la colonne vertébrale où une partie du disque intervertébral (le coussin rembourré entre les vertèbres) sort de sa position normale. Cela peut se produire en raison d'une dégénération discale due au vieillissement, à des mouvements répétitifs ou brusques, à une surcharge ou à un traumatisme.

Lorsque le disque intervertébral est déplacé, il peut exercer une pression sur les nerfs rachidiens environnants, ce qui peut provoquer des douleurs, des engourdissements, des faiblesses musculaires et parfois même une perte de contrôle de la vessie ou des intestins. Les symptômes peuvent varier en fonction de la gravité de la hernie discale et de l'emplacement du disque déplacé le long de la colonne vertébrale.

Le traitement de l'Intervertébral Disc Displacement peut inclure des médicaments contre la douleur, une thérapie physique, des injections de corticostéroïdes ou, dans les cas graves, une intervention chirurgicale.

La radiculopathie est un terme médical qui décrit la condition dans laquelle il y a une lésion ou une inflammation des racines nerveuses situées juste à la sortie de la moelle épinière. Ces racines nerveuses, appelées radicules, sont responsables de la transmission des signaux nerveux entre le cerveau et différentes parties du corps.

La lésion ou l'inflammation peuvent être causées par divers facteurs, tels que une hernie discale, une sténose spinale, une infection, une tumeur ou un traumatisme. Les symptômes courants de la radiculopathie comprennent des douleurs intenses, des picotements, des engourdissements et une faiblesse musculaire dans les zones du corps desservies par le nerf affecté.

Par exemple, si la radiculopathie affecte les racines nerveuses cervicales (dans le cou), elle peut provoquer des douleurs, des picotements ou une faiblesse dans le bras et la main. De même, si elle affecte les racines lombaires (dans le bas du dos), elle peut causer des douleurs, des engourdissements ou une faiblesse dans la jambe et le pied.

Le traitement de la radiculopathie dépend de la cause sous-jacente. Il peut inclure des médicaments contre la douleur, de la physiothérapie, des injections de corticostéroïdes ou, dans certains cas graves, une intervention chirurgicale.

Le syndrome du muscle piriforme est un trouble neuromusculaire qui se produit lorsque le muscle piriforme, situé dans le bassin, comprime ou irrite le nerf sciatique. Ce muscle assiste à la rotation de la hanche et fonctionne normalement en équilibrant les forces autour de la articulation de la hanche. Cependant, lorsqu'il devient tendu, enflammé ou se spasme, il peut comprimer le nerf sciatique qui passe juste à côté ou dans certains cas, traverse directement le muscle.

Cette compression peut provoquer une douleur, une sensation de brûlure, des picotements, des engourdissements ou une faiblesse dans la fesse, la cuisse, derrière le genou et parfois jusqu'au pied, le long du trajet du nerf sciatique. Les symptômes peuvent être aggravés par des activités qui étirent ou contractent le muscle piriforme, telles que s'asseoir pendant de longues périodes, marcher, courir, monter les escaliers ou faire du vélo.

Le syndrome du muscle piriforme est souvent diagnostiqué après avoir exclu d'autres conditions qui peuvent causer des douleurs sciatiques, telles que une hernie discale ou une sténose spinale. Le traitement peut inclure du repos, des étirements, de la physiothérapie, des massages, des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et, dans certains cas, des injections de corticostéroïdes ou une intervention chirurgicale.

Une discectomie est un type de chirurgie spinale qui consiste à enlever tout ou partie d'un disque intervertébral dans la colonne vertébrale. Ce disque, qui agit comme un coussin entre les vertèbres, peut hernier ou glisser hors de sa position normale, ce qui peut causer une pression sur les nerfs rachidiens environnants et entraîner des douleurs, des engourdissements ou une faiblesse dans les membres.

L'objectif d'une discectomie est de soulager ces symptômes en retirant la partie du disque qui cause la pression sur le nerf. Cette procédure peut être réalisée de différentes manières, selon la gravité et l'emplacement de la hernie discale. Dans certains cas, une petite incision peut être faite dans le dos pour accéder au disque, tandis que dans d'autres cas, une microdiscectomie peut être effectuée à l'aide d'un endoscope pour minimiser la taille de l'incision.

Il est important de noter que la discectomie est généralement considérée comme un traitement de dernier recours, lorsque les autres options de traitement telles que la physiothérapie, les médicaments et les injections de corticostéroïdes ont échoué. Comme toute intervention chirurgicale, la discectomie comporte des risques et des complications potentielles, tels qu'une infection, une lésion nerveuse ou une fuite de liquide céphalorachidien. Par conséquent, il est important de discuter avec un médecin pour déterminer si cette procédure est appropriée dans chaque cas particulier.

Les vertèbres lombaires sont les cinq segments inférieurs de la colonne vertébrale, situés dans la région lombaire du dos. Elles sont généralement désignées par les lettres L1 à L5. Chacune de ces vertèbres a un corps vertébral robuste qui supporte la majeure partie du poids du haut du corps. Les vertèbres lombaires ont des processus épineux et transverses plus grands et plus robustes que les autres parties de la colonne vertébrale, ce qui offre une large surface pour l'insertion des muscles érecteurs du rachis et d'autres muscles du dos.

Elles ont également un grand trou vertébral dans chaque corps vertébral, qui forme ensemble le canal rachidien où passe la moelle épinière. Les vertèbres lombaires sont responsables de la flexion et de la rotation du tronc, ainsi que de la stabilité de la colonne vertébrale. Des problèmes au niveau des vertèbres lombaires peuvent entraîner des douleurs dorsales importantes et des limitations fonctionnelles.

La chymopapaïne est une enzyme protéolytique extraite de la papaye Carica papaya L., spécifiquement du latex de la tige et des feuilles de la plante. Elle appartient à la classe des cystéine proteases et est couramment utilisée en médecine comme agent thérapeutique dans le traitement de certaines affections musculo-squelettiques, telles que les douleurs lombaires, la sciatique et les hernies discales. La chymopapaïne agit en dégradant les protéines qui composent les tissus endommagés ou inflammés, favorisant ainsi leur élimination et facilitant la guérison. Il est important de noter que l'utilisation de la chymopapaïne doit être supervisée par un professionnel de la santé en raison du risque potentiel d'effets indésirables graves, tels que des réactions allergiques et une neurotoxicité.

La lombalgie, également connue sous le nom de mal de dos, est un terme général qui décrit la douleur ou la gêne dans la région lombaire ou bas du dos. Cela peut impliquer une ou plusieurs structures de la colonne vertébrale, y compris les disques intervertébraux, les facettes articulaires, les ligaments, les muscles et les nerfs. La lombalgie peut être causée par une variété de facteurs, y compris la surutilisation, les mauvaises postures, les mouvements brusques, les blessures, les conditions dégénératives ou certaines maladies. Les symptômes peuvent varier de légers à sévères et peuvent être accompagnés d'autres signes, tels que des engourdissements, des picotements ou une faiblesse dans les jambes. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, des thérapies physiques, des injections ou, dans certains cas, une intervention chirurgicale.

Les racines nerveuses spinaux, également connues sous le nom de radicules spinales, se réfèrent aux parties initiales des nerfs rachidiens qui émergent de la moelle épinière à travers les foramens intervertébraux (ou trous entre les vertèbres) dans la colonne vertébrale. Chaque racine nerveuse spinale est formée par l'union d'un axone moteur provenant de neurones situés dans la moelle épinière et d'axones sensoriels en provenance des récepteurs sensoriels du corps.

Les racines nerveuses spinaux sont classées anatomiquement en deux groupes : les racines antérieures (ou ventrales) et les racines postérieures (ou dorsales). Les racines antérieures contiennent principalement des fibres motrices qui transmettent les signaux moteurs du système nerveux central vers les muscles squelettiques. En revanche, les racines postérieures sont constituées de fibres sensorielles qui conduisent les informations sensorielles provenant de la peau, des articulations et des organes internes vers le système nerveux central.

Les lésions ou compressions des racines nerveuses spinaux peuvent entraîner une variété de symptômes neurologiques, tels que des douleurs neuropathiques, des faiblesses musculaires, des engourdissements, des picotements et une perte de réflexes. Ces conditions peuvent être causées par divers processus pathologiques, notamment les hernies discales, la sténose spinale, les traumatismes, les tumeurs ou les infections.

Les syndromes de compression nerveuse sont un groupe de conditions dans lesquelles un nerf ou plusieurs nerfs sont comprimés ou endommagés, entraînant une variété de symptômes. Ces symptômes peuvent inclure des douleurs, des picotements, des engourdissements, des faiblesses musculaires et une perte de sensation dans la zone du corps où le nerf est affecté.

Les syndromes de compression nerveuse peuvent être causés par une variété de facteurs, y compris une pression anormale sur un nerf due à une blessure, une maladie sous-jacente, une mauvaise posture ou des mouvements répétitifs. Certains exemples courants de syndromes de compression nerveuse comprennent le syndrome du canal carpien, qui affecte le nerf médian dans la main, et le syndrome du tunnel tarsien, qui affecte le nerf tibial postérieur dans le pied.

Le traitement des syndromes de compression nerveuse dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des changements de mode de vie, des médicaments pour soulager la douleur et l'inflammation, une thérapie physique ou une intervention chirurgicale dans les cas graves. Il est important de consulter un médecin si vous ressentez des symptômes de compression nerveuse, car une détection et un traitement précoces peuvent aider à prévenir des dommages nerveux permanents.

Je suis désolé, mais la phrase que vous avez demandée de définir semble être un terme médical peu courant et ne figure pas dans les sources médicales standardisées. Il est possible qu'il y ait une faute d'orthographe ou une erreur dans la formulation du terme.

Cependant, je peux vous fournir des informations sur les deux concepts qui composent ce terme :

1. Disque intervertébral : Il s'agit de la structure fibreuse située entre chaque vertèbre de la colonne vertébrale. Le disque intervertébral agit comme un coussin amortisseur, permettant des mouvements flexibles et réduisant les chocs lors des activités quotidiennes.

2. Chimolyse : Ce terme est dérivé de deux mots grecs "khemeia" (chimie) et "lysis" (dissolution). Dans un contexte médical, la chimolyse fait référence à la destruction ou à la dissolution d'un tissu corporel par des moyens chimiques.

Si vous cherchiez une procédure ou un traitement spécifique lié à l'utilisation de substances chimiques pour traiter les problèmes du disque intervertébral, je vous recommande de consulter un professionnel de la santé ou des sources médicales fiables pour obtenir des informations précises et adaptées à votre situation.

Le plexus lombosacral, également connu sous le nom de plexus lombo-sacré, est un réseau complexe de nerfs situé dans la région lombaire et sacrée de la colonne vertébrale. Il est formé par les racines nerveuses antérieures des quatrième à cinquième nerfs lombaires (L4-L5) et des premier à troisième nerfs sacrés (S1-S3). Ces racines nerveuses s'entremêlent et forment plusieurs troncs nerveux qui innervent les muscles et la peau des membres inférieurs, ainsi que certaines structures pelviennes.

Le plexus lombosacral est responsable de la innervation sensitive et motrice des régions cutanées et musculaires du bas-ventre, de la région fessière, de la face postérieure de la cuisse, de la jambe et du pied. Il joue également un rôle important dans le contrôle des fonctions sphinctériennes et sexuelles.

Des lésions ou des compressions du plexus lombosacral peuvent entraîner une variété de symptômes, tels que des douleurs neuropathiques, des faiblesses musculaires, des engourdissements, des picotements ou une perte de réflexes dans les membres inférieurs. Ces conditions peuvent être causées par des traumatismes, des hernies discales, des tumeurs, des infections ou des maladies systémiques.

Un disque intervertébral est un composant important du système squelettique et se trouve spécifiquement dans la colonne vertébrale. Il s'agit d'une structure fibreuse et souple située entre chaque paire de vertèbres, à l'exception de la première et de la deuxième cervicale.

Un disque intervertébral est constitué de deux parties : le nucleus pulposus, qui forme le centre mou et gélatineux, et l'annulus fibrosus, qui est la couche extérieure composée de fibres de collagène disposées en anneaux concentriques.

Ces disques ont plusieurs fonctions cruciales : ils permettent la flexion, l'extension, la torsion et la rotation de la colonne vertébrale ; ils absorbent également les chocs et répartissent les forces lors des mouvements, protégeant ainsi les vertèbres et le cordon nerveux spinaux.

Cependant, avec l'âge ou en raison d'une blessure, ces disques peuvent se détériorer, ce qui peut entraîner une hernie discale où le nucleus pulposus sort de son emplacement normal et exerce une pression sur les nerfs voisins, provoquant des douleurs et d'autres symptômes neurologiques.

La mesure de la douleur est un processus standardisé utilisé pour évaluer et quantifier l'intensité, la durée et le caractère de la douleur ressentie par un individu. Il s'agit d'une pratique essentielle dans la gestion de la douleur, car elle permet aux professionnels de la santé de comprendre objectivement la gravité de la douleur d'un patient et de suivre l'efficacité des traitements analgésiques.

Les méthodes de mesure de la douleur comprennent généralement des auto-évaluations verbales ou écrites, telles que les échelles numériques (où les patients classent leur douleur sur une échelle de 0 à 10), les échelles visuelles analogiques (où les patients marquent leur niveau de douleur sur une ligne continue) ou les questionnaires détaillés. Dans certains cas, des observations comportementales peuvent également être utilisées pour estimer la douleur, en particulier chez les nourrissons, les jeunes enfants et les personnes ayant des difficultés de communication verbale ou cognitive.

Il est important de noter que la mesure de la douleur peut varier considérablement d'une personne à l'autre en raison de facteurs tels que la tolérance individuelle à la douleur, les expériences antérieures de douleur et les émotions associées. Par conséquent, il est crucial d'utiliser des méthodes de mesure standardisées et validées pour garantir une évaluation précise et cohérente de la douleur chez tous les patients.

La polyradiculopathie est un terme médical qui décrit une affection des racines nerveuses multiples dans le système nerveux périphérique. Les racines nerveuses sont les parties des nerfs qui se ramifient à partir de la moelle épinière et transmettent les signaux entre le cerveau et le reste du corps.

Dans la polyradiculopathie, plusieurs racines nerveuses deviennent enflammées ou endommagées, ce qui peut entraîner une variété de symptômes, tels que des douleurs, des faiblesses, des picotements, des engourdissements et une perte de réflexes dans les membres affectés. Les causes courantes de polyradiculopathie comprennent les infections virales, les maladies auto-immunes, les traumatismes, la compression nerveuse et l'exposition à des toxines.

Le traitement de la polyradiculopathie dépend de la cause sous-jacente de l'affection. Il peut inclure des médicaments pour réduire l'inflammation, des analgésiques pour soulager la douleur, des thérapies physiques pour renforcer les muscles et améliorer la fonction nerveuse, et dans certains cas, une intervention chirurgicale pour soulager la compression nerveuse.

Le cartilage est un type de tissu conjonctif ferme et flexible qui se trouve dans plusieurs parties du corps humain. Il est composé de cellules appelées chondrocytes, qui sont entourées d'une matrice extracellulaire riche en collagène et protéoglycanes.

Le cartilage a plusieurs fonctions importantes dans le corps humain. Tout d'abord, il sert de revêtement articulaire lisse entre les os, réduisant ainsi la friction et permettant un mouvement facile et indolore des articulations. Deuxièmement, il joue un rôle important dans la croissance et le développement des os en fournissant une structure de soutien pour la formation osseuse. Enfin, le cartilage agit comme un amortisseur dans certaines parties du corps, telles que les oreilles et le nez, où il aide à maintenir leur forme et leur fonction.

Il existe trois principaux types de cartilage dans le corps humain : le cartilage hyalin, le cartilage élastique et le cartilage fibreux. Le cartilage hyalin est le type le plus courant et se trouve dans les articulations, les côtes et le nez. Il a une texture lisse et blanche et est très résistant à la compression. Le cartilage élastique, comme son nom l'indique, est flexible et peut s'étirer sans se déformer. On le trouve dans les oreilles et le nez. Enfin, le cartilage fibreux est le type le plus rigide et se trouve dans les articulations entre les vertèbres de la colonne vertébrale.

Le cartilage peut être endommagé par des blessures ou des maladies telles que l'arthrose, qui entraînent une dégradation progressive du tissu cartilagineux et peuvent causer de la douleur et de la raideur articulaires. Dans certains cas, le traitement peut inclure des médicaments pour soulager la douleur et l'inflammation, ainsi que des exercices de physiothérapie pour renforcer les muscles autour de l'articulation. Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour remplacer ou réparer le cartilage endommagé.

Je suis désolé, mais le terme "queue de cheval" n'a pas de définition médicale standard. Cependant, dans un contexte non médical, "queue de cheval" se réfère à un style de coiffure où les cheveux sont rassemblés et attachés ensemble, généralement à l'arrière de la tête, pour ressembler à une queue d'animal comme celle d'un cheval. Si vous faites référence à quelque chose de différent par "queue de cheval", pouvez-vous s'il vous plaît préciser et je serai heureux de vous aider.

Le canal vertébral est une structure anatomique importante dans la colonne vertébrale. Il s'agit d'un canal central situé à l'intérieur des vertèbres, qui abrite et protège la moelle épinière. La moelle épinière est une longue structure nerveuse qui transmet les messages entre le cerveau et le reste du corps.

Le canal vertébral est formé par les corps vertébraux, les lames, les processus spinaux et les disques intervertébraux. Les parois de ce canal sont recouvertes d'une membrane protectrice appelée dure-mère. Le liquide céphalo-rachidien circule dans le canal épidural qui entoure la moelle épinière et la protège davantage.

Des pathologies telles que les hernies discales, les sténoses rachidiennes ou les tumeurs peuvent comprimer la moelle épinière à l'intérieur du canal vertébral, entraînant des douleurs, des faiblesses musculaires, des engourdissements ou des paralysies. Par conséquent, il est important de maintenir la santé et l'intégrité structurelle de la colonne vertébrale pour prévenir les problèmes liés au canal vertébral.

Les tumeurs du système nerveux périphérique (TSNP) sont des growths anormaux qui se développent dans le tissu nerveux en dehors de la boîte crânienne et de la moelle épinière. Contrairement au système nerveux central, qui est protégé par ces structures osseuses, le système nerveux périphérique est plus exposé aux dommages et aux maladies.

Les TSNP peuvent être bénignes ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes sont généralement moins agressives et ne se propagent pas à d'autres parties du corps, tandis que les tumeurs malignes ont tendance à se développer plus rapidement, à envahir les tissus environnants et peuvent se propager à d'autres endroits du corps.

Les TSNP peuvent affecter n'importe quelle partie du système nerveux périphérique, y compris les nerfs crâniens, les ganglions nerveux autonomes, les plexus nerveux et les nerfs périphériques individuels. Les symptômes dépendent de la localisation et de la taille de la tumeur, mais peuvent inclure des douleurs, des engourdissements, des faiblesses musculaires, des picotements ou une perte de sensation dans les zones innervées par le nerf affecté.

Le diagnostic des TSNP implique généralement une combinaison d'examens physiques, d'imagerie médicale (telle que la résonance magnétique ou la tomodensitométrie) et de biopsies pour évaluer la nature bénigne ou maligne de la tumeur. Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur, mais peut inclure une surveillance attentive, une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie.

Le facteur XIIIa est une protéine de coagulation sanguine également connue sous le nom de fibrinoligase. Il joue un rôle crucial dans la dernière étape du processus de coagulation sanguine en stabilisant les caillots sanguins formés.

Après l'activation du facteur XIII en facteur XIIIa par la thrombine, il catalyse la réaction entre le fibrinogène et l'ion calcium pour former des liaisons covalentes entre les molécules de fibrine, ce qui entraîne la formation d'un caillot sanguin solide et stable.

Une carence en facteur XIIIa peut entraîner un risque accru de saignement et de difficultés à contrôler les hémorragies chez les patients atteints de cette maladie.

L'os coxal, également connu sous le nom d'os iliaque, est la plus grande des pièces osseuses qui composent le bassin. Chez l'être humain, chaque os coxal se forme à partir de trois fusionnes pendant la croissance : l'ilion, l'ischion et le pubis. Les os coxaux forment les cavités pelviennes protégées où sont logés les organes abdominaux et reproducteurs internes. Ils s'articulent avec le sacrum à l'arrière et forment la hanche en se connectant à l'os du fémur au niveau de la tête du fémur par l'intermédiaire de la articulation de la hanche. Les os coxaux jouent un rôle crucial dans la stabilité posturale, le soutien et les mouvements du tronc et des membres inférieurs.

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Le bassin, ou pelvis en terme médical, se réfère à la structure osseuse complexe et rigide située dans la partie inférieure du tronc qui soutient les organes abdominaux et pelviens. Il est composé de plusieurs os fusionnés : le sacrum (une série de vertèbres fusionnées) à l'arrière, les deux coxales (os iliaques) sur les côtés, et le coccyx (os de la queue) à l'extrémité postérieure.

Le pelvis a deux fonctions principales : protéger les organes internes tels que la vessie, le rectum et les organes reproducteurs ; et fournir une base pour la marche et la posture en transférant le poids du haut du corps vers les jambes.

Le pelvis est également divisé en deux parties : le petit bassin (pelvis supérieur ou false pelvis) et le grand bassin (pelvis inférieur ou true pelvis). Le petit bassin est plus large et moins profond, formant la partie supérieure du pelvis ; il contient principalement des intestins. Le grand bassin est la partie inférieure, plus étroite et profonde, qui abrite les organes reproducteurs et urinaires.

La forme et la taille du pelvis peuvent varier considérablement entre les individus, en particulier entre les sexes, ce qui peut influencer la facilité ou la difficulté de l'accouchement.

Définition médicale de 'Os' et 'Tissu Osseux':

Un os est une structure rigide, dure et organisée dans le corps qui forme la principale composante du squelette. Les os servent à plusieurs fonctions importantes, notamment en fournissant une structure et un soutien à notre corps, en protégeant les organes internes, en stockant les minéraux tels que le calcium et le phosphore, et en produisant des cellules sanguines dans la moelle osseuse.

Le tissu osseux est un type de tissu conjonctif spécialisé qui constitue les os. Il se compose de quatre types différents de cellules: les ostéoblastes, les ostéocytes, les ostéoclastes et les hématopoïétiques. Les ostéoblastes sont responsables de la formation et du dépôt de matrice osseuse, tandis que les ostéoclastes sont responsables de la résorption osseuse. Les ostéocytes sont des cellules matures qui maintiennent l'homéostasie minérale dans l'os. Enfin, les cellules hématopoïétiques sont responsables de la production de cellules sanguines dans la moelle osseuse.

Le tissu osseux est composé d'une matrice organique et inorganique. La matrice organique se compose principalement de collagène, qui donne à l'os sa flexibilité et sa résistance à la traction. La matrice inorganique est constituée de cristaux d'hydroxyapatite, qui confèrent à l'os sa rigidité et sa résistance à la compression.

Les os peuvent être classés en deux catégories principales: les os longs, tels que les fémurs et les humérus, et les os plats, tels que le crâne et les côtes. Les os longs ont une forme allongée et sont composés d'une diaphyse centrale creuse entourée de deux épiphyses à chaque extrémité. Les os plats ont une forme aplatie et sont généralement constitués de plusieurs couches d'os compact entrecoupées de trabécules d'os spongieux.

Les os jouent un rôle important dans la protection des organes internes, tels que le cerveau et le cœur, ainsi que dans le soutien du corps et la mobilité. Les os sont également impliqués dans la régulation de l'homéostasie calcique et phosphatée, ainsi que dans la production de cellules sanguines.

... (du grec ισχιαδικος « qui concerne la goutte sciatique », dérivé de ισχιον « os du bassin ») est un nom ou un ... la névralgie sciatique, une pathologie liée à l'atteinte d'une racine de ce nerf. (Homonymie). ... adjectif en rapport avec l'ischion, une partie de l'os coxal (un des os du bassin). Il peut désigner : le nerf sciatique, un ...
Sciatique : douleur suivant le territoire du nerf S1 ou L5 atteint au niveau du rachis lombaire ou à sa proximité immédiate. ... Il s'agit d'une sciatique. L'arthrite, l'usure des cartilages, peut affecter n'importe quel os du corps humain. Dans le cas du ... Par exemple, le phénomène de sciatique est le résultat du pincement d'une racine nerveuse. Récemment[évasif], il a été mis en ... Stéroïdes Sous forme orale, ils peuvent être bénéfiques pour le traitement des sciatiques aiguës. Sous forme d'injections ...
Considérations sur la sciatique ». Arch Gén Méd II 1864; 7: 558-580 Stanislas de Sèze. « Histoire de la sciatique ». Rev. ... Son nom reste attaché à un signe clinique (signe de Lasègue) observé dans la névralgie sciatique, une affection à laquelle il ...
... le nerf sciatique poplité externe ; SPE Strovolos Nicosie, club de handball chypriote ; Sony Pictures Entertainment, producteur ...
diminution des douleurs lors du ménagement ou du repos ; accompagnée de radiculalgies ou sciatique ; La durée des symptômes est ...
Sciatique chronique d'origine discale. Traitement conservateur ou discectomie chirurgicale ? », sur Le Quotidien du médecin, 25 ...
Il peut provenir du nerf sciatique. Parfois il reçoit les rameaux dorsaux du premier nerf sacré et encore plus rarement du ...
... sciatiques. Il existe deux formats de compétition d'aérobic : la gymnastique aérobique (développée par la Fédération ...
Une sciatique très douloureuse l'empêche de jouer trois mois. Il revient à Saint-Étienne où il se marie en fin d'année. Sa ...
Le plexus sacral se termine par le nerf sciatique. Nerf du muscle obturateur interne, Nerf du muscle carré fémoral Nerf ...
... la réduction des crampes des jambes dues au nerf sciatique est obtenue par une compression sur les deux branches du sciatique.[ ... prémisses de sciatiques ; pathologie surrénalienne ; pathologie parathyroidienne ; alcoolisme ; cirrhose du foie ; de 29 % à 88 ...
Il venait de faire paraître sa Dissertation sur la sciatique. Depuis cette époque sa clientèle devint considérable. Il ne ... Cotugno divise la sciatique en arthritique et nerveuse, et subdivise cette dernière en antérieure et postérieure ; il regarde ... comme cause de la maladie une humeur acre, lymphatique, épanchée entre la substance du nerf sciatique et ses membranes, ou dans ...
... à ce que l'on retrouve dans la sciatique. Il ne faut pas la confondre avec la sciatique qui est causée par le nerf sciatique et ... Les causes sont les mêmes que pour la sciatique : Hernie discale Processus tumoral (bénin ou malin) Processus infectieux ( ... Les traitements sont les mêmes que ceux de la sciatique. Signe de gravité : cruralgie paralysante, cruralgie hyperalgique. ...
Elle quitte le pelvis par la grande ouverture sciatique au niveau du canal infra-piriforme. Elle est en rapport à ce niveau ... l'épine ischiatique sur sa face glutéale et pénètre dans la fosse ischio-rectale en passant par la petite ouverture sciatique, ... avec : médialement le nerf pudendal et les vaisseaux glutéaux inférieurs ; latéralement les nerfs sciatique, glutéal inférieur ...
Dans environ 80% de la population, le nerf sciatique passe sous le muscle piriforme. Chez 17 % des personnes, le nerf sciatique ... Du fait de la proximité du nerf sciatique avec le muscle piriforme, voire son passage à travers ce muscle, sa sollicitation ... Ceci peut avoir pour conséquence l'apparition d'un syndrome de type sciatique appelé syndrome du piriforme. Sacrum, face ...
... est de confession musulmane, depuis qu'il est converti à l'islam en 1992,. Mike Tyson est atteint de sciatique ...
Le duc, obèse et souffrant d'une sciatique, en perdit le souffle. Il a épousé, le 6 août 1576, Henriette de Savoie-Villars († ...
... étirement du nerf sciatique. Dans le dossier médical, il est écrit « sciatique poplité externe distendu ». Le nerf sciatique ...
Ses médecins pensent à une sciatique mais en fait, c'est une gangrène. 1er septembre : Mort de Louis XIV à Versailles François ...
Le terme "nerf sciatique poplité interne" correspond à cette partie du nerf. A ce niveau ils donnent des branches musculaires, ... Nerf tibial Le nerf tibial (ou nerf sciatique poplité interne ou nerf tibial postérieur) est un nerf mixte de la jambe. Le nerf ... Nerf sciatique poplité interne », sur le dictionnaire de l'Académie nationale de médecine Portail de l'anatomie Portail des ...
Le nerf sciatique permet l'innervation motrice des muscles de la loge postérieure. Il se divise en deux branches, les nerfs ... Les principaux nerfs issus du plexus sacré sont les nerfs sciatique et cutané postérieur de la cuisse. Le nerf cutané ...
En thérapeutique, il imagine le traitement des névralgies et de la sciatique. Alors que le bacille de Koch vient d'être ...
... préférentiellement sans symptomatologie sciatique associée. Les complications spécifiques sont d'ordre vasculaire ou ...
Tous ces muscles sont innervés par le nerf ischiatique (ou grand sciatique). Ses racines métamériques sont L4-L5 (tronc lombo- ...
En septembre, il se fait opérer d'une hernie discale et d'une sciatique. En janvier 2015, lors des Universiades disputées à ...
Cuite avec de l'huile de sésame, c'est une embrocation pour la sciatique... ». La cervelle et le cœur de chauve-souris ont ...
Ses maux comprenaient une perte de mémoire à court terme et une sciatique. Le 27 mars 1854, il succède à son père en tant que ...
... étirement du nerf sciatique. Détecte les radiculalgies provenant de racine participant à la formation du nerf sciatique. ... Point de compression douloureux sur le trajet du nerf sciatique. Vincent (Signe de) : Anesthésie labio-mentonnière, retrouvée ...
J. Lhermitte (1918), Hypertrophie des muscles de la jambe consécutive à une lésion du nerf sciatique par balleRev. Neurol. ( ... Étude clinique et histologique d'une observation d'hypertrophie consécutive à une sciatique Rev. Neurol. (Paris), 128 (1973), ... dans un cas induite par une coupure du nerf sciatique par balle,. Cet article est partiellement ou en totalité issu de ...
C'est une des deux branches terminales du nerf sciatique avec le nerf tibial. Il longe le biceps fémoral et, sous la tête de la ... Nerf fibulaire commun Le nerf fibulaire commun (ou nerf péronier commun, ou nerf sciatique poplité externe) est un nerf de la ...

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