Ou des particules de radiation de haute énergie extraterrestre espace qui frappent, son atmosphère, ou vaisseau et peuvent créer des radiations secondaire en cas de collision avec l'atmosphère ou vaisseau spatial.
Design, development, fabrication et l'exploitation de heavier-than-air vaisseau.
Tout type de variation de l ’ aspect de production d'énergie du soleil. (La NASA Thesaurus, 1994)
Appareils, enclenchée et inhabité, conçues pour être placé dans une orbite... à propos de la terre ou dans une trajectoire à un autre corps céleste. La NASA Thesaurus (1988)
Une structure weight-carrying pour la navigation de l'air qui est soutenue par son propre flottabilité ou par la dynamique action de l'air contre ses surfaces. (Webster, 1973)
Voyager au-delà de l'atmosphère terrestre.
Cette branche de la médecine à faire des études et les effets de vol dans l'atmosphère ou dans l'espace sur le corps humain et avec la prévention ou guérir de physiologique ou psychologique dysfonctionnements découlant de ces effets (de la NASA Thesaurus).
L 'observation, soit en permanence ou à intervalles, sur les niveaux de radiation dans un domaine déterminé, généralement dans le but d'assurer qu'ils ont pas dépassé prescrit montants, ou dans le cas de radiation déjà présentes dans la zone, s'assurant que les taux sont revenus à ces normes de sécurité acceptable.
La quantité de radiation énergie qui sont déposés dans une unité masse de documents, tels que les tissus de plantes ou les animaux. Par une radiothérapie, les radiations posologie est exprimée en unités gris Gy). (Santé en conséquence, la posologie est exprimée par le produit de la dose absorbée (G) et la qualité (facteur linéaire en fonction de transfert d'énergie), et s'appelle radiations dose équivalente dans Sievert unités (Sv).
Les radiations électromagnétiques ou particule élémentaire de haute énergie (gâteaux) capable de produire directement ou indirectement hallucination sur son passage par la matière. La longueur d'onde de de radiations ionisantes sont équivalents ou petites que celles de court (loin) et incluent les rayons gamma et radios.
Effets nocifs de non-experimental exposition aux radiations ionisantes non-ionizing ou aux vertébrés.
La relation entre la dose de quantité administrée et la réponse de l'organisme ou de tissus pour les radiations.
La capacité de certaines cellules ou tissus pour survivre doses mortelles de radiations ionisantes. Tolérance dépend de l'espèce, type de cellule, chimique et physique, et variables, y compris RADIATION-PROTECTIVE RADIATION-SENSITIZING et des agents FBI.
Travaille contenant des informations articles sur des sujets dans chaque domaine de connaissances, généralement dans l'ordre alphabétique, ou un travail similaire limitée à un grand champ ou sujet. (De The ALA Glossaire Bibliothèque et information de Science, 1983)
Cette partie du spectre électromagnétique chaleur. Généralement détectée infrarouge plus que ces ondes sont de lumière visible, ça s'étend dans le micro-ondes fréquences. Elles sont utilisées en thérapeutique chaleur et de plats chauds dans les restaurants.
Grand agrégats des étoiles ; CELESTIAL poussière cosmique ; et du gaz. (À McGraw Hill Dictionary of Terms scientifique et technique, 6e éditeur)
Particules élémentaires électriquement neutres trouvée chez les noyaux atomiques sauf lumière hydrogène ; la masse est égale à celle du proton et électron combinés et ils sont instables quand isolé du noyau, entreprenant beta décomposé. Lent, epithermal thermique, et les neutrons rapides consulter les niveaux d'énergie avec laquelle les neutrons sont éjectés de plus lourd noyaux pendant leur décomposition.
D'énergie électromagnétique pénétrant le rayonnement émis par les noyaux atomiques pendant DECAY nucléaire. La gamme des longueurs d'onde de émis des radiations est comprise entre 0,1 - 100 heures qui dépasse du plus courtes, plus énergique longueurs d'ondes radios ont difficile la distinction entre les rayons gamma et des rayons X est basé sur leur source de radiation.
Une technique utilisant divers composés positron-emitting radionucléides porte les mentions de courte durée (comme carbon-11, nitrogen-13, oxygen-15 et fluorine-18) métabolisme de la cellule pour mesurer. Il a été utile dans l'étude de des tissus mous, tels que le cancer ; CARDIOVASCULAR EUROPEEN ; et le cerveau. Single-Photon tomographie est étroitement apparentée D'par tomographie par émission de positrons, mais utilise des isotopes avec des demi-vies plus longues et la résolution est plus faible.
Les forces et les principes de l ’ action de la matière et l'énergie.

Le rayonnement cosmique est un terme utilisé en médecine et en physique pour décrire les particules chargées et les radiations électromagnétiques qui proviennent de l'espace extra-atmosphérique. Ces particules et radiations sont principalement composées d'électrons, de protons, d'ions lourds et de rayons gamma de haute énergie.

Le rayonnement cosmique est divisé en deux catégories principales : le rayonnement cosmique galactique et le rayonnement cosmique solaire. Le rayonnement cosmique galactique provient de l'espace interstellaire et est composé de particules à haute énergie qui se déplacent à des vitesses proches de la vitesse de la lumière. Le rayonnement cosmique solaire, quant à lui, est produit par le soleil et est principalement composé de particules chargées telles que des protons et des électrons.

L'exposition au rayonnement cosmique peut avoir des effets néfastes sur la santé humaine, en particulier pour les astronautes qui voyagent dans l'espace. L'exposition à long terme peut augmenter le risque de cancer et d'autres maladies liées au rayonnement. Les effets aigus du rayonnement cosmique comprennent des symptômes tels que la fatigue, les nausées et les vomissements.

En médecine nucléaire, le rayonnement cosmique peut également affecter la précision des mesures de dose de radiothérapie et de diagnostic par imagerie. Par conséquent, il est important de prendre en compte l'exposition au rayonnement cosmique lors de la planification et de l'exécution de ces procédures médicales.

Je suis désolé, mais "aviation" ne fait pas partie des termes médicaux couramment utilisés. L'aviation se réfère généralement à l'activité ou aux pratiques concernant le vol et la navigation d'aéronefs comme les avions. Cela relève plutôt de la domaine de l'ingénierie aéronautique, des transports et de l'armée dans certains cas. Si vous cherchez un terme médical, veuillez me fournir plus d'informations afin que je puisse vous aider au mieux.

L'activité solaire se réfère à l'émission de particules et de rayonnement électromagnétique du soleil. Les éruptions solaires et les éjections de masse coronale (CME) sont des exemples d'activités solaires qui peuvent avoir un impact sur le système solaire, y compris la Terre. Ces événements peuvent produire des tempêtes géomagnétiques qui peuvent affecter les communications radio, les réseaux électriques et les satellites en orbite autour de la Terre. Les taches solaires, qui sont des zones plus froides et plus sombres à la surface du soleil, sont également un indicateur de l'activité solaire. L'activité solaire suit généralement un cycle d'environ 11 ans, avec une augmentation et une diminution de l'activité au fil du temps.

Je suis désolé, mais il semble y avoir une certaine confusion dans votre question. Un "véhicule spatial" n'est pas un terme médical. C'est plutôt un terme utilisé dans le domaine de l'astronautique et de l'aérospatiale pour décrire un engin conçu pour voyager dans l'espace, au-delà de l'atmosphère terrestre.

Un véhicule spatial peut inclure des satellites, des sondes interplanétaires, des vaisseaux habités comme la navette spatiale ou la Station spatiale internationale, et même les futurs concepts de taxis spatiaux ou colonies lunaires/marsiennes. Ils sont équipés de systèmes de propulsion, de contrôle environnemental, de communication et de navigation pour fonctionner dans l'espace.

Si vous aviez une question médicale, n'hésitez pas à me la poser et je ferai de mon mieux pour y répondre.

Je suis désolé, mais il y a apparemment une confusion dans votre demande. La "navigation aérienne" ne fait pas partie des termes médicaux reconnus. La navigation aérienne est plutôt un domaine associé à l'aviation et aux systèmes de transport aérien. Il s'agit de la science et de l'art de contrôler et de guider les aéronefs, y compris les avions, les hélicoptères et les drones, en toute sécurité et efficacement vers leur destination.

Si vous cherchez une définition médicale ou liée à la santé, pouvez-vous svp préciser votre demande ? Je suis heureux de vous aider.

Le vol spatial est un terme utilisé dans le domaine médical et aérospatial pour décrire le mouvement d'un véhicule ou d'une personne au-delà de l'atmosphère terrestre, dans l'espace extra-atmosphérique. Selon la Federal Aviation Administration (FAA) des États-Unis, le vol spatial commence lorsqu'un engin dépasse une altitude de 50 miles (environ 80 kilomètres) au-dessus du niveau moyen de la mer.

Dans ce contexte, les voyages spatiaux présentent des défis uniques pour la santé humaine en raison des conditions extrêmes et uniques rencontrées dans l'espace, notamment le manque de gravité, l'exposition aux rayonnements cosmiques, l'isolement et la confinement. Les effets sur la santé peuvent inclure des modifications du système cardiovasculaire, une diminution de la densité osseuse, une altération de la fonction immunitaire, des problèmes sensoriels et cognitifs, ainsi que des risques psychologiques.

Par conséquent, les médecins et les scientifiques spécialisés dans l'aérospatiale doivent travailler en étroite collaboration pour évaluer, atténuer et gérer ces effets sur la santé afin de garantir la sécurité et le bien-être des astronautes pendant les missions spatiales.

La médecine aérospatiale est une spécialité médicale qui se concentre sur la santé et le bien-être des astronautes pendant les vols spatiaux. Elle combine plusieurs domaines de la médecine, y compris la médecine d'urgence, la médecine interne, la cardiologie, la neurologie, la psychologie et la toxicologie.

Les médecins aérospatiaux sont responsables de la sélection, de l'entraînement et de la surveillance médicale des astronautes avant, pendant et après les vols spatiaux. Ils étudient également les effets de la microgravité et des radiations spatiales sur le corps humain, ce qui peut aider à développer des contre-mesures pour atténuer ces effets.

De plus, la médecine aérospatiale s'intéresse à la conception ergonomique des vaisseaux spatiaux et des équipements pour assurer un environnement sécuritaire et confortable pour les astronautes. Elle joue également un rôle crucial dans le développement de stratégies pour les missions spatiales de longue durée, y compris les voyages vers Mars et d'autres destinations lointaines.

Le contrôle des radiations dans un contexte médical fait référence aux procédures et pratiques mises en place pour assurer la sécurité et protéger les patients, le personnel médical et l'environnement contre les effets nocifs des rayonnements ionisants utilisés à des fins diagnostiques ou thérapeutiques.

Cela comprend une gamme d'activités telles que :

1. La surveillance de l'exposition aux radiations : Cela implique la mesure et le suivi des niveaux de rayonnement auxquels les patients et le personnel sont exposés pendant les procédures médicales.

2. L'optimisation des techniques d'imagerie : Il s'agit d'utiliser la quantité minimale de rayonnement nécessaire pour obtenir une image diagnostique de qualité acceptable, réduisant ainsi l'exposition globale aux radiations.

3. La formation et l'éducation du personnel : Tous les professionnels de santé qui travaillent avec des sources de rayonnement doivent être correctement formés sur les risques associés, les précautions de sécurité et les procédures d'urgence.

4. Le respect des normes réglementaires : Les établissements médicaux doivent se conformer aux lois et règlements locaux, nationaux et internationaux relatifs à l'utilisation des sources de rayonnement.

5. L'assurance qualité et le contrôle de la qualité : Ces processus garantissent que les équipements de radiologie fonctionnent correctement et produisent des images précises, minimisant ainsi la nécessité de répéter les examens et donc l'exposition aux radiations.

6. La gestion des déchets radioactifs : Les déchets provenant d'appareils à rayons X ou de traitements de radiothérapie doivent être éliminés en toute sécurité pour éviter toute contamination environnementale.

7. La planification et la réponse aux situations d'urgence : Des plans doivent être en place pour faire face à tout accident ou incident impliquant des sources de rayonnement, y compris les fuites, les incendies et les actes malveillants.

La dosimétrie des rayonnements est la science et la pratique de mesurer ou de calculer les doses de différents types de rayonnements ionisants reçues par des personnes, des animaux ou des objets inanimés. Elle vise à déterminer avec précision l'exposition aux radiations et les effets potentiels sur la santé ou la fonction des systèmes biologiques.

La dosimétrie des rayonnements est essentielle dans de nombreux domaines, tels que la médecine nucléaire, la radiothérapie, l'industrie nucléaire et les situations d'urgence radiologique. Les dosimètres sont souvent utilisés pour mesurer directement l'exposition aux rayonnements, tandis que des calculs complexes peuvent être effectués pour estimer les doses dans des scénarios plus complexes.

Les unités de dose standard utilisées en dosimétrie des rayonnements comprennent le gray (Gy), qui mesure l'énergie absorbée par unité de masse, et le sievert (Sv), qui tient compte à la fois de l'énergie absorbée et de la nature biologiquement nocive du type de rayonnement.

La dosimétrie des rayonnements est une discipline hautement spécialisée qui nécessite une connaissance approfondie des propriétés des différents types de rayonnements, ainsi que des principes et des techniques de mesure et de calcul appropriés.

Le rayonnement ionisant est un type de radiation capable de produire ions ou paires d'ions en traversant la matière. Il possède suffisamment d'énergie pour arracher des électrons des atomes ou des molécules, ce qui les charge électriquement et les ionise.

Ce type de rayonnement comprend des radiations telles que les rayons X, les rayons gamma, les particules bêta (électrons à haute vitesse) et les particules alpha (noyaux d'hélium). L'ionisation produite par ces radiations peut endommager les cellules vivantes, altérer l'ADN et provoquer des mutations génétiques, entraînant divers effets biologiques néfastes, y compris des dommages tissulaires et des risques accrus de cancer.

Les sources de rayonnement ionisant peuvent être naturelles, comme le rayonnement cosmique et les radionucléides présents dans le sol, l'eau et l'air, ou artificielles, provenant d'activités humaines telles que la médecine nucléaire, la radiothérapie, l'imagerie médicale, l'industrie nucléaire et les centrales électriques. La protection contre le rayonnement ionisant implique généralement une réduction de l'exposition en limitant l'accès aux sources de rayonnement, en utilisant des boucliers protecteurs ou en minimisant la durée d'exposition.

Les lésions radio-induites sont des dommages ou des changements tissulaires qui se produisent à la suite de l'exposition aux rayonnements ionisants. Ces lésions peuvent affecter divers systèmes et organes du corps, en fonction de la dose, de la durée et de la fréquence de l'exposition. Les effets des radiations peuvent être aigus, apparaissant rapidement après l'exposition, ou chroniques, se développant progressivement sur une période plus longue.

Les lésions radio-induites peuvent entraîner une variété de symptômes et de conditions, allant d'effets mineurs tels que des rougeurs et des brûlures cutanées à des dommages graves aux organes internes, y compris le risque accru de cancer. Les cellules sanguines, la peau, les poumons, le cœur et le système nerveux central sont particulièrement sensibles aux effets des radiations.

Le traitement des lésions radio-induites dépend de la gravité et de l'étendue des dommages. Dans les cas graves, il peut inclure des soins de soutien pour aider le patient à faire face aux symptômes, ainsi que des interventions telles que la chirurgie, la radiothérapie ou la chimiothérapie pour éliminer les cellules endommagées et favoriser la guérison.

Il est important de noter que l'exposition aux rayonnements ionisants doit être évitée dans la mesure du possible, car même des doses relativement faibles peuvent entraîner des lésions radio-induites et augmenter le risque de développer des problèmes de santé à long terme.

La relation dose-réponse en radioprotection est une caractérisation quantitative de la manière dont l'effet d'une radiation ionisante sur un organisme ou un tissu biologique varie en fonction de la dose reçue. Elle décrit essentiellement le fait que, à des doses plus élevées de rayonnement, les effets nocifs sont également plus probables et/ou plus sévères.

Le modèle linéaire sans seuil (LNT) est souvent utilisé pour décrire cette relation dose-réponse. Selon ce modèle, même des expositions très faibles à des radiations peuvent entraîner des effets stochastiques (aléatoires), tels que le risque accru de cancer, bien qu'il n'y ait pas de dose minimale en dessous de laquelle ces effets ne se produiraient pas.

Cependant, il convient de noter que certains scientifiques contestent l'applicabilité du modèle LNT à des doses très faibles de rayonnement, arguant qu'il existe plutôt un seuil en dessous duquel aucun effet nocif ne se produit. Cette question reste un sujet de débat dans la communauté scientifique.

La radiotolérance est un terme utilisé en médecine et en radiobiologie pour décrire la capacité d'un tissu, d'une cellule ou d'un organisme à tolérer une exposition à des radiations sans subir de dommages importants ou durables. Cela est généralement mesuré par la dose de radiation que le tissu ou l'organe peut supporter avant de subir des effets délétères.

Les différents tissus et organes du corps ont des niveaux variés de radiotolérance. Par exemple, les cellules souches hématopoïétiques dans la moelle osseuse sont relativement radiorésistantes, ce qui signifie qu'elles peuvent tolérer des doses élevées de radiation sans être détruites. En revanche, les cellules du système nerveux central et les cellules de l'intestin grêle sont très radiosensibles et peuvent être gravement endommagées par des expositions relativement faibles à la radiation.

La compréhension de la radiotolérance est importante dans le traitement du cancer, car de nombreux traitements contre le cancer utilisent des radiations pour détruire les cellules cancéreuses. Cependant, ces radiations peuvent également endommager les tissus sains environnants, ce qui peut entraîner des effets secondaires indésirables. En connaissant la radiotolérance de différents tissus et organes, les médecins peuvent planifier des traitements qui maximisent l'efficacité de la radiation contre le cancer tout en minimisant les dommages aux tissus sains.

Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.

Le rayonnement infrarouge (IR) est une forme de radiation électromagnétique avec des longueurs d'onde plus longues que la lumière visible, mais plus courtes que les ondes radio. Dans le contexte médical, l'exposition aux IR est souvent liée au traitement thermique, comme dans la thérapie par la chaleur infrarouge.

Les rayons IR sont classiquement divisés en trois catégories : proche (700-1400 nm), moyen (1400-3000 nm) et lointain (3000 nm-1 mm). Le rayonnement infrarouge peut pénétrer la peau à des profondeurs variables selon sa longueur d'onde. Alors que le rayonnement IR proche est principalement absorbé par la surface de la peau, provoquant une élévation locale de la température, le rayonnement IR lointain peut pénétrer plus profondément dans les tissus, ce qui entraîne une augmentation générale de la température des tissus.

L'utilisation thérapeutique du rayonnement infrarouge est basée sur ses effets biologiques, notamment l'augmentation du flux sanguin local, la stimulation de la guérison des plaies et le soulagement de la douleur. Cependant, une exposition excessive ou inappropriée aux IR peut entraîner des brûlures cutanées et d'autres dommages tissulaires.

Je suis désolé, mais il semble y avoir une certaine confusion dans votre question. "Galaxies" est un terme pluriel et il fait référence à des systèmes massifs d'étoiles, de gaz, de poussières et d'objets astronomiques divers qui sont liés ensemble par la gravité. Une galaxie est un système en soi, il ne peut pas être défini comme un terme médical car ce n'est pas un concept lié à la médecine.

La Voie Lactée, notre propre galaxie, contient environ 100 à 400 milliards d'étoiles et plusieurs centaines de milliards de planètes et autres corps célestes. Les galaxies sont souvent classées en fonction de leur forme et de leur taille. Les trois types les plus courants sont les galaxies spirales, les galaxies elliptiques et les galaxies irrégulières.

Si vous cherchiez une définition médicale pour un terme spécifique, veuillez me fournir le terme correct et je serai heureux de vous aider.

Un neutron est une particule subatomique neutre, ce qui signifie qu'elle n'a pas de charge électrique. Il s'agit d'un composant fondamental du noyau atomique, avec les protons. Les neutrons sont légèrement plus massifs que les protons, avec environ 1,008665 u (unités atomiques de masse) ou 1,6749 x 10^-27 kg.

Bien que les neutrons soient normalement stables lorsqu'ils sont à l'intérieur du noyau atomique, les neutrons libres sont instables et se désintègrent spontanément avec une demi-vie d'environ 10 minutes et 11 secondes. La désintégration d'un neutron libre produit un proton, un électron (aussi connu sous le nom de particule bêta) et un antineutrino.

Dans un contexte médical, les neutrons peuvent être utilisés en radiothérapie pour traiter certains types de cancer. Les neutrons à haute énergie sont capables de pénétrer profondément dans les tissus et d'endommager l'ADN des cellules cancéreuses, ce qui peut entraver leur capacité à se diviser et à croître. Cependant, en raison de leurs propriétés particulières, les neutrons peuvent également endommager les tissus sains environnants, ce qui peut entraîner des effets secondaires indésirables. Par conséquent, l'utilisation de la radiothérapie aux neutrons doit être soigneusement équilibrée pour maximiser les bénéfices thérapeutiques tout en minimisant les risques pour le patient.

Le rayonnement gamma est une forme de radiation électromagnétique à haute énergie et de courte longueur d'onde. Il s'agit d'un type de radiation ionisante qui peut endommager ou détruire les cellules de l'organisme en altérant leur ADN. Les rayonnements gamma sont produits par la désintégration radioactive des noyaux atomiques, tels que ceux du cobalt-60 et du césium-137, ainsi que par certains processus dans le soleil et les étoiles. Dans un contexte médical, les rayonnements gamma sont utilisés pour traiter des cancers et d'autres maladies en détruisant les cellules cancéreuses ou en endommageant leur capacité à se reproduire. Cependant, une exposition excessive aux rayonnements gamma peut également entraîner des effets néfastes sur la santé, tels que des brûlures cutanées, une suppression du système immunitaire et un risque accru de cancer.

Les processus physiques, dans le contexte de la médecine et de la biologie, se réfèrent aux changements et aux événements qui se produisent au niveau des structures et fonctions corporelles, régis par les lois de la physique. Cela peut inclure une variété de processus tels que:

1. Les processus électriques dans le cœur qui assurent la contraction cardiaque normale (par exemple, la dépolarisation et la repolarisation).
2. Les processus mécaniques impliqués dans la respiration, tels que la contraction des muscles respiratoires pour déplacer l'air dans et hors des poumons.
3. Les processus thermodynamiques qui régissent les échanges de chaleur et d'énergie entre le corps et l'environnement.
4. Les processus optiques et acoustiques impliqués dans la perception sensorielle, tels que la transmission des ondes sonores et lumineuses vers les organes sensoriels.
5. Les processus de diffusion et d'osmose qui régissent le mouvement des molécules à travers les membranes cellulaires.
6. Les processus hydrauliques impliqués dans la circulation sanguine, où le cœur agit comme une pompe pour déplacer le sang dans tout le corps.

En général, les processus physiques sont essentiels au maintien de l'homéostasie et à la régulation des fonctions corporelles, et toute altération de ces processus peut entraîner des dysfonctionnements ou des maladies.

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