Résistance Hormone Thyroïdienne, Syndrome
Hormones Thyroïdiennes
Récepteur Hormone Parathyroïdienne
Récepteurs Bêta Des Hormones Thyroïdiennes
Triiodothyronine
Pseudohypoparathyroïdie
Glande Thyroide
Mutation
Insulinorésistance
Résistance Aux Médicaments
Dysplasie Fibreuse Polyostotique
Sous-Unités Alpha Gs De La Protéine De Liaison Au Gtp
Thyroxine
Récepteurs Alpha Des Hormones Thyroïdiennes
Hypothyroïdie
Tsh
Syndrome Métabolique X
Iodide Peroxidase
Angor
Récepteur Somatostatine
Insuline
Résistance Médicament Antinéoplasique
Hyperthyroïdie
Exploration Fonctionnelle Thyroïdienne
Hormone Thyréotrope
Récepteur Trh
Encyclopedias as Topic
Prolactine
Le syndrome de résistance hormonale thyroïdienne (RHT) est un trouble rare caractérisé par une réponse altérée des tissus périphériques à l'hormone thyroïdienne malgré des taux sériques normaux ou même élevés d'hormones thyroïdiennes et de thyréostimuline (TSH). Il a été décrit pour la première fois en 1967.
Dans le RHT, il y a une résistance au niveau des récepteurs des hormones thyroïdiennes dans les tissus cibles, ce qui entraîne des symptômes d'hypothyroïdie malgré des niveaux normaux ou élevés d'hormones thyroïdiennes. Les patients atteints de RHT peuvent présenter une variété de symptômes, notamment une fatigue, une prise de poids, une intolérance au froid, une constipation, une bradycardie, des troubles menstruels et une faiblesse musculaire. Cependant, contrairement à l'hypothyroïdie primaire, ces patients n'ont pas d'augmentation des taux de TSH sérique.
Le RHT est généralement héréditaire et est souvent causé par des mutations dans le gène du récepteur de la thyroxine (TR). Ces mutations peuvent entraîner une diminution de l'affinité des récepteurs pour les hormones thyroïdiennes ou une altération de leur fonctionnement. Dans certains cas, le RHT peut être acquis en raison d'une maladie auto-immune ou d'un médicament qui affecte la fonction des récepteurs des hormones thyroïdiennes.
Le diagnostic de RHT est souvent difficile car les symptômes peuvent ressembler à ceux d'autres troubles, tels que l'hypothyroïdie primaire ou secondaire. Le diagnostic repose généralement sur une combinaison de tests sanguins, d'une évaluation clinique et d'une étude génétique. Le traitement du RHT dépend de la gravité des symptômes et peut inclure des médicaments pour augmenter les niveaux d'hormones thyroïdiennes dans le corps ou une thérapie de remplacement hormonal.
Les hormones thyroïdiennes sont des régulateurs métaboliques essentiels dans le corps humain, produits par la glande thyroïde. Il existe trois types principaux d'hormones thyroïdiennes: la triiodothyronine (T3), la thyroxine (T4) et la calcitonine.
La T3 et la T4 sont des iodothyronines dérivées de l'acide aminé tyrosine et contiennent respectivement trois ou quatre atomes d'iode. Elles jouent un rôle crucial dans la régulation du métabolisme basal, la croissance et le développement, la différenciation cellulaire, et maintiennent l'homéostasie du corps.
La calcitonine, quant à elle, est une petite protéine qui aide à réguler les niveaux de calcium et de phosphate dans le sang en inhibant l'activité des ostéoclastes, cellules responsables de la résorption osseuse.
Des anomalies dans la production ou la fonction des hormones thyroïdiennes peuvent entraîner divers troubles de santé, y compris l'hypothyroïdie (faible activité thyroïdienne) et l'hyperthyroïdie (activité thyroïdienne excessive).
Le récepteur hormonal parathyroïdien (PTH1R) est un type de récepteur couplé aux protéines G qui se trouve dans les membranes cellulaires. Il est spécifiquement conçu pour se lier à l'hormone parathyroïdienne (PTH), une hormone importante régulant le métabolisme du calcium et du phosphore dans le corps.
La PTH agit en se liant au récepteur de la PTH, ce qui entraîne une cascade de réactions chimiques à l'intérieur de la cellule qui conduisent finalement à une augmentation des niveaux de calcium dans le sang. Cela se produit en activant certaines protéines qui augmentent la libération de calcium des os, diminuent la réabsorption du calcium dans les reins et augmentent l'activité des enzymes qui décomposent les vitamines D dans le foie.
Les mutations du gène PTH1R peuvent entraîner des maladies telles que l'hypoparathyroïdie, une condition caractérisée par de faibles niveaux d'hormone parathyroïdienne et des taux anormalement bas de calcium dans le sang. D'autres conditions associées à des mutations du gène PTH1R comprennent l'ostéogenèse imparfaite, une maladie osseuse héréditaire caractérisée par des os fragiles et sujets aux fractures.
Les récepteurs bêta des hormones thyroïdiennes sont des protéines transmembranaires qui se lient spécifiquement aux hormones thyroïdiennes triiodothyronine (T3) et tétraiodothyronine (T4). Ces récepteurs sont largement distribués dans les tissus corporels, en particulier dans le cœur, le cerveau, les muscles squelettiques, les os et la glande thyroïde elle-même.
Lorsqu'une hormone thyroïdienne se lie à un récepteur bêta, il en résulte une cascade de réactions qui aboutissent à l'activation de la transcription des gènes et à la synthèse des protéines. Cela entraîne une augmentation du métabolisme cellulaire, ce qui se traduit par une augmentation de la consommation d'oxygène, de la production d'énergie et de la dégradation des molécules organiques.
Les récepteurs bêta des hormones thyroïdiennes jouent donc un rôle crucial dans la régulation du métabolisme énergétique, de la croissance et du développement, ainsi que de la fonction cardiovasculaire et neurologique. Les déséquilibres dans l'activité de ces récepteurs peuvent entraîner une variété de troubles médicaux, notamment des maladies thyroïdiennes, des maladies cardiovasculaires et des troubles neuropsychologiques.
La triiodothyronine (T3) est une hormone thyroïdienne essentielle à la régulation du métabolisme, du développement et de la croissance des organismes. Elle est produite par la glande thyroïde soit directement, soit à partir de la thyroxine (T4) via l'action d'un déiodinase en périphérie.
La T3 possède une activité biologique plus forte que la T4 car elle se lie plus étroitement aux récepteurs nucléaires et stimule ainsi la transcription des gènes cibles. Son taux sanguin est régulé par l'hormone de libération de la thyroxine (TRH) produite par l'hypothalamus, qui stimule la sécrétion de thyréostimuline (TSH) par l'antéhypophyse, entraînant une augmentation de la production et de la libération des hormones thyroïdiennes.
Des niveaux anormaux de T3 peuvent indiquer un dysfonctionnement thyroïdien, comme l'hyperthyroïdie ou l'hypothyroïdie. Des taux élevés de T3 peuvent accélérer le métabolisme, entraînant une perte de poids, une augmentation du rythme cardiaque, des tremblements et une irritabilité, tandis que des niveaux bas peuvent ralentir le métabolisme, provoquant une prise de poids, une fatigue, une sensibilité au froid, une constipation et une dépression.
La pseudohypoparathyroïdie est un trouble endocrinien rare caractérisé par une résistance à l'hormone parathyroïdienne (PTH), ce qui entraîne des niveaux anormalement élevés de PTH dans le sang. Cette condition est causée par des mutations génétiques qui affectent les récepteurs de la PTH dans les reins et d'autres tissus, empêchant ainsi l'hormone de réguler correctement les niveaux de calcium et de phosphore dans le corps.
Les symptômes courants de la pseudohypoparathyroïdie comprennent une faible teneur en calcium sérique, une teneur élevée en phosphate, des taux sériques élevés d'hormone parathyroïdienne et souvent des anomalies du squelette telles que des déformations osseuses et des bosses sur les os du crâne. Les patients peuvent également présenter des caractéristiques physiques distinctives, notamment un visage arrondi, une petite taille, une obésité et des anomalies dentaires.
Il existe plusieurs types de pseudohypoparathyroïdie, qui diffèrent par leur mode d'héritage, leurs manifestations cliniques et leur réponse au traitement. Le type le plus courant est la pseudohypoparathyroïdie de type Ia, qui est héritée de manière autosomique dominante et est associée à des anomalies génétiques du gène GNAS1. D'autres types comprennent la pseudohypoparathyroïdie de type Ib, la pseudohypoparathyroïdie de type II et l'hétérotopie d'Albright.
Le traitement de la pseudohypoparathyroïdie vise à corriger les niveaux anormaux de calcium et de phosphore dans le sang en administrant des suppléments de calcium, de vitamine D et, dans certains cas, du thyrocalcitonine. Le traitement peut être complexe et nécessiter une surveillance étroite par un endocrinologue pédiatrique ou adulte expérimenté dans le traitement des troubles hormonaux.
Un syndrome, dans le contexte médical, est un ensemble de symptômes ou de signes cliniques qui, considérés dans leur globalité, suggèrent l'existence d'une pathologie spécifique ou d'un état anormal dans le fonctionnement de l'organisme. Il s'agit essentiellement d'un ensemble de manifestations cliniques qui sont associées à une cause sous-jacente commune, qu'elle soit connue ou inconnue.
Un syndrome n'est pas une maladie en soi, mais plutôt un regroupement de signes et symptômes qui peuvent être liés à différentes affections médicales. Par exemple, le syndrome métabolique est un ensemble de facteurs de risque qui augmentent la probabilité de développer des maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2. Ces facteurs comprennent l'obésité abdominale, l'hypertension artérielle, l'hyperglycémie à jeun et les taux élevés de triglycérides et de faibles taux de HDL-cholestérol.
La définition d'un syndrome peut évoluer avec le temps, alors que la compréhension des mécanismes sous-jacents s'améliore grâce aux recherches médicales et scientifiques. Certains syndromes peuvent être nommés d'après les professionnels de la santé qui ont contribué à leur identification ou à leur description, comme le syndrome de Down (trisomie 21) ou le syndrome de Klinefelter (XXY).
Il est important de noter que la présence d'un syndrome ne permet pas toujours d'établir un diagnostic définitif, car plusieurs affections médicales peuvent partager des symptômes similaires. Cependant, l'identification d'un syndrome peut aider les professionnels de la santé à orienter le diagnostic et le traitement vers des causes probables ou à fournir des informations sur le pronostic et la prise en charge globale du patient.
La glande thyroïde est une glande endocrine majeure située dans la région anterieure du cou, plus précisément dans la partie inférieure du larynx et de la trachée. Elle est composée de deux lobes reliés par un isthme et a approximativement la forme d'un papillon. La glande thyroïde joue un rôle crucial dans la régulation du métabolisme, de la croissance et du développement de l'organisme grâce à la production de deux hormones principales : la triiodothyronine (T3) et la thyroxine (T4), qui contiennent respectivement trois et quatre atomes d'iode.
L'iode est capté par la glande thyroïde à partir de précurseurs alimentaires, tels que le iodure, et est essentiel à la synthèse des hormones thyroïdiennes. La production et la libération de ces hormones sont régulées par l'hormone stimulant la thyroïde (TSH), sécrétée par l'antéhypophyse, une glande située à la base du cerveau.
Les hormones thyroïdiennes agissent sur presque tous les tissus de l'organisme en augmentant le taux métabolique de base, ce qui se traduit par une augmentation de la consommation d'oxygène et de la production d'énergie. Elles sont également importantes pour le développement du système nerveux central, la croissance et la différenciation cellulaire, ainsi que pour le maintien de la température corporelle et du poids corporel.
Des dysfonctionnements de la glande thyroïde peuvent entraîner des affections telles que l'hypothyroïdie (diminution de la production d'hormones thyroïdiennes) ou l'hyperthyroïdie (excès de production d'hormones thyroïdiennes), qui peuvent avoir des conséquences importantes sur la santé et la qualité de vie.
En génétique, une mutation est une modification permanente et héréditaire de la séquence nucléotidique d'un gène ou d'une région chromosomique. Elle peut entraîner des changements dans la structure et la fonction des protéines codées par ce gène, conduisant ainsi à une variété de phénotypes, allant de neutres (sans effet apparent) à délétères (causant des maladies génétiques). Les mutations peuvent être causées par des erreurs spontanées lors de la réplication de l'ADN, l'exposition à des agents mutagènes tels que les radiations ou certains produits chimiques, ou encore par des mécanismes de recombinaison génétique.
Il existe différents types de mutations, telles que les substitutions (remplacement d'un nucléotide par un autre), les délétions (suppression d'une ou plusieurs paires de bases) et les insertions (ajout d'une ou plusieurs paires de bases). Les conséquences des mutations sur la santé humaine peuvent être très variables, allant de maladies rares à des affections courantes telles que le cancer.
L'insulinorésistance est un état physiopathologique dans lequel les cellules du corps deviennent moins sensibles ou résistantes à l'insuline, une hormone produite par le pancréas. Normalement, l'insuline se lie aux récepteurs des cellules pour permettre l'entrée du glucose sanguin dans ces cellules. Cela aide à réguler les niveaux de sucre dans le sang et fournit de l'énergie aux cellules.
Cependant, en cas d'insulinorésistance, même si les niveaux d'insuline sont normaux ou élevés, les cellules ne répondent pas adéquatement à son signal. Par conséquent, le pancréas doit produire davantage d'insuline pour maintenir des niveaux de glycémie normaux.
L'insulinorésistance est un facteur de risque majeur pour le développement du syndrome métabolique, du prédiabète et du diabète de type 2. Elle peut également être associée à d'autres affections telles que l'obésité, l'hypertension artérielle, les troubles lipidiques et les maladies cardiovasculaires.
La résistance aux médicaments, également appelée résistance antimicrobienne, se produit lorsqu'un micro-organisme devient insensible à un médicament qui était auparavant efficace pour le traiter. Cela signifie que le médicament n'est plus capable de tuer ou d'inhiber la croissance du micro-organisme, ce qui peut entraîner des infections difficiles à traiter et potentially life-threatening.
La résistance aux médicaments peut être naturelle ou acquise. La résistance naturelle est lorsqu'un micro-organisme est intrinsèquement résistant à un certain médicament en raison de ses caractéristiques génétiques. D'autre part, la résistance acquise se produit lorsque le micro-organisme développe une résistance au fil du temps en raison d'une exposition répétée au même médicament.
La résistance aux antibiotiques est un type courant de résistance aux médicaments et constitue une préoccupation majeure en matière de santé publique dans le monde entier. Elle peut être causée par plusieurs mécanismes, tels que la modification des cibles du médicament, l'efflux accru de médicaments ou la production d'enzymes qui détruisent le médicament.
La résistance aux médicaments peut être prévenue ou retardée en utilisant des antibiotiques et d'autres agents antimicrobiens de manière appropriée et prudente, en évitant les surprescriptions et les sous-prescriptions, et en encourageant l'hygiène et la prévention des infections.
La dysplasie fibreuse polyostotique (DFP) est une maladie génétique rare des os qui se caractérise par la croissance anormale de tissus fibreux dans et autour des os. Cela peut entraîner une fragilité osseuse, des déformations et une augmentation du risque de fractures. La DFP affecte généralement plusieurs os (d'où le terme "polyostotique"), en particulier ceux de la colonne vertébrale, du bassin, des jambes et des bras.
Les symptômes peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre, allant de légers à sévères. Ils peuvent inclure des douleurs osseaires, une boiterie, une courbure de la colonne vertébrale (scoliose), une réduction de la croissance et une déformation des os affectés. Dans certains cas, la DFP peut également affecter d'autres systèmes du corps, tels que les dents, la peau et les hormones.
La DFP est causée par une mutation dans le gène GNAS1. Cette maladie est héréditaire, mais elle peut aussi se produire spontanément chez les personnes sans antécédents familiaux de la maladie. Le diagnostic de la DFP est généralement posé sur la base des symptômes et des résultats d'imagerie médicale, tels que les radiographies et les scanners osseux. Dans certains cas, une biopsie osseuse peut être nécessaire pour confirmer le diagnostic.
Le traitement de la DFP vise à gérer les symptômes et à prévenir les complications. Il peut inclure des médicaments pour renforcer les os, une thérapie physique pour améliorer la force musculaire et la mobilité, et dans certains cas, une chirurgie pour corriger les déformations osseuses graves. Les personnes atteintes de DFP doivent également être surveillées régulièrement par un médecin pour dépister d'éventuelles complications liées à la maladie.
Les tumeurs de la thyroïde sont des growths anormaux qui se développent dans la glande thyroïde, une petite glande en forme de papillon située à la base du cou. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).
Les tumeurs bénignes de la thyroïde sont courantes et ne mettent généralement pas la vie en danger. Elles peuvent inclure des adénomes, qui sont des growths solides ou remplis de liquide qui se développent dans les cellules folliculaires de la glande thyroïde. Les nodules thyroïdiens sont également une forme courante de tumeur bénigne et peuvent être solitaires ou multiples.
Les tumeurs malignes de la thyroide, en revanche, sont des cancers qui peuvent se propager à d'autres parties du corps. Les types courants de cancer de la thyroïde comprennent le carcinome papillaire, le carcinome folliculaire, le carcinome médullaire et le carcinome anaplasique.
Les symptômes des tumeurs de la thyroïde peuvent inclure un nodule ou une masse visible dans le cou, une gêne ou une douleur dans le cou, des difficultés à avaler ou à respirer, et un enrouement de la voix. Cependant, de nombreuses tumeurs thyroïdiennes ne présentent aucun symptôme et sont découvertes lors d'examens médicaux de routine.
Le diagnostic des tumeurs de la thyroïde implique généralement une combinaison de tests, y compris une échographie, une biopsie à l'aiguille fine (FNA) et une tomodensitométrie (TDM) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM). Le traitement dépend du type et de la gravité de la tumeur et peut inclure une surveillance attentive, une chirurgie, une radiothérapie ou une thérapie médicamenteuse.
Les sous-unités alpha G du complexe de protéines de liaison au GTP sont des protéines qui se lient et hydrolysent le guanosine triphosphate (GTP) pour réguler divers processus cellulaires, tels que la signalisation cellulaire, le trafic membranaire et la division cellulaire. Ces sous-unités font partie du complexe hétérotrimérique G protein, qui se compose de trois sous-unités distinctes : alpha, beta et gamma.
La sous-unité alpha G existe en plusieurs isoformes (alpha Gs, alpha Gi, alpha Go, etc.) qui sont codées par différents gènes et ont des fonctions spécifiques. La sous-unité alpha Gs est activée lorsqu'elle se lie à un récepteur couplé à la protéine G (GPCR) stimulé par un ligand, ce qui entraîne un changement conformationnel qui active l'hydrolyse du GTP en guanosine diphosphate (GDP). Ce processus active la sous-unité alpha Gs, qui peut ensuite activer d'autres protéines effectrices telles que l'adénylate cyclase, entraînant une cascade de réactions biochimiques qui régulent divers processus cellulaires.
Les déséquilibres dans la fonction des sous-unités alpha G du complexe de protéines de liaison au GTP ont été associés à un certain nombre de maladies, notamment les troubles cardiovasculaires, le cancer et les troubles neurologiques.
La thyroxine, également connue sous le nom de T4, est une hormone produite par la glande thyroïde. Elle joue un rôle crucial dans la régulation du métabolisme, de la croissance et du développement de l'organisme. La thyroxine est synthétisée à partir de tyrosine (un acide aminé) et d'iode. Une fois sécrétée, une partie de la thyroxine se lie à des protéines de transport dans le sang, tandis que l'autre partie reste sous forme libre (FT4). Les taux anormaux de thyroxine peuvent entraîner des déséquilibres hormonaux, tels qu'une hyperthyroïdie (taux élevés) ou une hypothyroïdie (taux bas), qui peuvent provoquer divers symptômes et complications médicales.
Les récepteurs alpha des hormones thyroïdiennes sont des protéines transmembranaires qui se lient spécifiquement aux hormones thyroïdiennes triiodothyronine (T3) et tétraiodothyronine (T4). Ces récepteurs sont largement distribués dans le corps humain, en particulier dans le cerveau, le cœur, le foie, les reins et les muscles squelettiques.
Lorsque les hormones thyroïdiennes se lient à ces récepteurs, elles activent une cascade de réactions cellulaires qui régulent divers processus physiologiques tels que la croissance, le développement, le métabolisme et la différenciation cellulaire. Les récepteurs alpha des hormones thyroïdiennes appartiennent à la superfamille des récepteurs nucléaires et sont capables de se lier directement à l'ADN pour réguler la transcription des gènes.
Des anomalies dans les récepteurs alpha des hormones thyroïdiennes peuvent entraîner diverses maladies, notamment des troubles métaboliques, cardiovasculaires et neurologiques. Par exemple, une diminution de l'activité des récepteurs alpha des hormones thyroïdiennes a été associée à la maladie d'Alzheimer et à d'autres formes de démence.
Les maladies de la thyroïde sont un groupe de conditions qui affectent la glande thyroïde, une petite glande en forme de papillon située dans la base du cou. La thyroïde est responsable de la production des hormones thyroxine (T4) et triiodothyronine (T3), qui régulent le métabolisme, la croissance et le développement du corps.
Les maladies de la thyroïde peuvent entraîner une production excessive d'hormones thyroïdiennes (hyperthyroïdie) ou une production insuffisante (hypothyroïdie). Les symptômes de l'hyperthyroïdie peuvent inclure une augmentation du rythme cardiaque, une intolérance à la chaleur, des tremblements, une perte de poids et une anxiété accrue. Les symptômes de l'hypothyroïdie peuvent inclure une prise de poids, une fatigue, une sensibilité au froid, une sécheresse de la peau et une constipation.
Les maladies de la thyroïde peuvent également inclure des nodules thyroïdiens, qui sont des gonflements ou des bosses sur la glande thyroïde, et le cancer de la thyroïde. Le traitement dépendra du type et de la gravité de la maladie thyroïdienne. Il peut inclure des médicaments, une intervention chirurgicale, une thérapie radioactive ou une combinaison de ces options.
L'hypothyroïdie est un trouble endocrinien dans lequel la glande thyroïde ne produit pas suffisamment d'hormones thyroïdiennes. Cela peut entraîner une variété de symptômes, tels que la fatigue, la prise de poids, la sensibilité au froid, la constipation, la peau sèche, la perte de cheveux, des ralentissements cognitifs et des menstruations abondantes ou irrégulières chez les femmes.
L'hypothyroïdie peut être causée par une maladie de la thyroïde elle-même, comme la thyroïdite de Hashimoto (une inflammation auto-immune de la glande thyroïde), ou par un problème avec l'hypothalamus ou l'hypophyse, qui régulent la production d'hormones thyroïdiennes.
Le diagnostic de l'hypothyroïdie est généralement posé sur la base des symptômes et des résultats d'un test sanguin qui mesure les niveaux d'hormones thyroïdiennes dans le sang. Le traitement de l'hypothyroïdie consiste souvent à prendre un médicament contenant de l'hormone thyroïdienne, ce qui peut aider à rétablir les niveaux hormonaux normaux et à soulager les symptômes.
La TSH (Thyroid-Stimulating Hormone) est une hormone glycoprotéique produite et sécrétée par l'antéhypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. Elle joue un rôle crucial dans le maintien de l'homéostasie thyroïdienne en régulant la production des hormones thyroïdiennes triiodothyronine (T3) et thyroxine (T4).
La TSH agit sur le tissu thyroïdien en se liant aux récepteurs de la TSH situés à la surface des cellules folliculaires de la glande thyroïde. Cela stimule la production et la libération des hormones thyroïdiennes dans la circulation sanguine.
Le taux de TSH est souvent mesuré en médecine pour évaluer le fonctionnement de la thyroïde. Un taux de TSH élevé peut indiquer une hypothyroïdie, tandis qu'un taux bas peut suggérer une hyperthyroïdie. Cependant, il est important de noter que certains états de santé et médicaments peuvent influencer les niveaux de TSH, ce qui doit être pris en compte lors de l'interprétation des résultats des tests.
Le Syndrome Métabolique X est un terme proposé pour décrire une association de facteurs de risque cardiovasculaires et métaboliques qui vont au-delà du syndrome métabolique traditionnel. Il comprend généralement le syndrome métabolique (résistance à l'insuline, obésité abdominale, dyslipidémie et hypertension), mais il est également caractérisé par une inflammation de bas grade, une coagulation sanguine accrue, une activation du système nerveux sympathique et des perturbations du métabolisme osseux. Ce syndrome est associé à un risque élevé de développer des maladies cardiovasculaires et le diabète de type 2. Cependant, il convient de noter que la reconnaissance et la définition du Syndrome Métabolique X ne sont pas encore largement acceptées ou standardisées dans la communauté médicale.
L'iodure peroxydase (IPO) est une enzyme hémi-hème contenant du cuivre qui joue un rôle crucial dans la biosynthèse des hormones thyroïdiennes dans la glande thyroïde. Elle catalyse les réactions d'oxydoréduction, en particulier la réaction entre l'iodure et l'eau oxygénée pour produire de l'iode élémentaire et du peroxyde d'hydrogène. L'iode libéré est ensuite utilisé pour ioder les tyrosines des protéines thyroglobulines, un processus essentiel à la production des hormones triiodothyronine (T3) et thyroxine (T4). La peroxydase d'iodure est également exprimée dans d'autres tissus en dehors de la glande thyroïde, où elle participe à divers processus physiologiques et immunitaires.
Un récepteur somatostatine est un type de récepteur membranaire qui se lie à la somatostatine, un peptide hormonal inhibiteur. Il existe cinq types de récepteurs somatostatines (SSTR1 à SSTR5) identifiés jusqu'à présent, chacun ayant des séquences d'acides aminés et des distributions tissulaires différentes.
Ces récepteurs sont couplés aux protéines G et inhibent l'activité de l'adénylate cyclase, ce qui entraîne une diminution du niveau d'AMPc intracellulaire. Ils régulent également d'autres voies de signalisation, telles que la voie de MAPK, pour moduler divers processus cellulaires, tels que la croissance cellulaire, la différenciation et l'apoptose.
Les récepteurs somatostatines sont largement distribués dans le corps humain, en particulier dans les systèmes nerveux central et périphérique, ainsi que dans les glandes endocrines. Ils jouent un rôle important dans la régulation de nombreuses fonctions physiologiques, telles que la sécrétion hormonale, la neurotransmission, la circulation sanguine et la croissance cellulaire.
En médecine, les analogues de la somatostatine qui se lient aux récepteurs somatostatines sont utilisés pour traiter une variété de maladies, telles que l'acromégalie, le gigantisme, les tumeurs neuroendocrines et certains types de cancer.
L'insuline est une hormone essentielle produite par les cellules bêta du pancréas. Elle joue un rôle crucial dans le métabolisme des glucides, des lipides et des protéines en régulant le taux de sucre dans le sang (glucose sanguin). Après avoir mangé, lorsque la glycémie augmente, l'insuline est libérée pour permettre aux cellules du corps d'absorber le glucose et l'utiliser comme source d'énergie ou de le stocker sous forme de glycogène dans le foie et les muscles. L'insuline favorise également la synthèse des protéines et des lipides à partir du glucose.
Dans certaines conditions, telles que le diabète sucré, la production ou l'action de l'insuline peut être altérée, entraînant une hyperglycémie (taux élevé de sucre dans le sang). Les personnes atteintes de diabète de type 1 doivent recevoir des injections d'insuline pour remplacer l'hormone manquante, tandis que les personnes atteintes de diabète de type 2 peuvent être traitées par des modifications du mode de vie, des médicaments oraux ou une insulinothérapie dans certains cas.
La résistance des médicaments antinéoplasiques, également connue sous le nom de résistance aux agents chimiothérapeutiques ou résistance aux médicaments cytotoxiques, fait référence à la capacité des cellules cancéreuses à survivre et à se développer en présence de médicaments antinéoplasiques, qui sont conçus pour détruire les cellules cancéreuses. Cette résistance peut être innée, ce qui signifie que les cellules cancéreuses sont résistantes aux médicaments dès le début du traitement, ou acquise, ce qui signifie que la résistance se développe au fil du temps en raison de modifications génétiques et épigénétiques dans les cellules cancéreuses. La résistance aux médicaments antinéoplasiques est un défi majeur dans le traitement du cancer, car elle peut entraîner une récidive de la maladie et une diminution de l'efficacité du traitement.
L'hyperthyroïdie est une condition médicale dans laquelle la glande thyroïde produit et sécrète excessivement les hormones thyroïdiennes, à savoir la triiodothyronine (T3) et la thyroxine (T4). Ces hormones jouent un rôle crucial dans le métabolisme, la croissance et le développement du corps.
Lorsque la glande thyroïde devient hyperactive, elle accélère les processus métaboliques de l'organisme, entraînant une augmentation du rythme cardiaque, une intolérance à la chaleur, des tremblements, une perte de poids, des selles fréquentes et une augmentation de l'appétit. D'autres symptômes peuvent inclure des sautes d'humeur, de l'agitation, de l'insomnie, de la fatigue, des irrégularités menstruelles chez les femmes et une diminution de la libido.
Les causes courantes d'hyperthyroïdie comprennent la maladie de Basedow (une maladie auto-immune), l'augmentation du nodule thyroïdien, le goitre toxique diffus et l'inflammation de la glande thyroïde. Le diagnostic repose généralement sur une combinaison d'examens physiques, de tests sanguins pour mesurer les niveaux d'hormones thyroïdiennes et de TSH (thyrotropine stimulante), ainsi que d'imageries médicales telles que l'échographie ou la scintigraphie.
Le traitement de l'hyperthyroïdie dépend de sa cause sous-jacente. Les options thérapeutiques peuvent inclure des médicaments antithyroïdiens, des bêta-bloquants pour contrôler les symptômes cardiovasculaires, l'iode radioactif pour détruire une partie de la glande thyroïde et, dans certains cas, la chirurgie pour retirer partiellement ou complètement la glande thyroïde. Après le traitement, il est important de surveiller régulièrement les niveaux d'hormones thyroïdiennes et de TSH pour ajuster le traitement si nécessaire et prévenir les complications à long terme telles que l'hypothyroïdie.
L'exploration fonctionnelle thyroïdienne est un ensemble de tests diagnostiques utilisés pour évaluer la fonction et la structure de la glande thyroïde. Elle vise à déterminer la capacité de la glande à produire les hormones thyroïdiennes thyroxine (T4) et triiodothyronine (T3), ainsi qu'à réguler leur sécrétion grâce à l'hormone stimulant la thyroïde (TSH).
Les tests couramment inclus dans une exploration fonctionnelle thyroïdienne sont :
1. Dosage de la TSH : Il s'agit d'une analyse de sang qui mesure le taux d'hormone stimulant la thyroïde produite par l'hypophyse. Un taux élevé de TSH peut indiquer une hypothyroïdie, tandis qu'un taux bas peut suggérer une hyperthyroïdie.
2. Dosage des hormones thyroïdiennes libres (FT4 et FT3) : Ces analyses de sang mesurent les niveaux d'hormones thyroïdiennes actives dans le sang. Des taux anormalement élevés ou bas peuvent indiquer une hyperthyroïdie ou une hypothyroïdie, respectivement.
3. Test de radio-iode (scan) : Cette procédure consiste à administrer une faible dose de iode radioactif (I-123 ou I-131) par voie orale, puis à utiliser un scanner pour suivre la distribution du iode dans la glande thyroïde. Ce test permet d'identifier les nodules chauds (qui captent excessivement le iode), froids (qui ne capturent pas le iode) ou fonctionnels normaux.
4. Test de stimulation à la TSH : Il s'agit d'une injection intraveineuse d'hormone stimulant la thyroïde recombinante humaine (rhTSH), suivie d'un dosage des hormones thyroïdiennes libres. Ce test permet de déterminer si une glande thyroïde supprimée par un traitement antérieur fonctionne correctement.
5. Test de la thyroglobuline (Tg) : Cette analyse de sang mesure les niveaux de thyroglobuline, une protéine produite par les cellules thyroïdiennes. Des taux élevés peuvent indiquer une récidive ou une persistance d'une maladie thyroïdienne après un traitement.
6. Test de marqueurs tumoraux : D'autres analyses de sang, telles que le dosage des anticorps anti-thyroglobuline (TgAb) et des anticorps anti-peroxydase thyroïdienne (TPOAb), peuvent être utiles pour diagnostiquer et surveiller certaines affections thyroïdiennes, telles que la maladie de Basedow ou le cancer de la thyroïde.
En conclusion, les tests de diagnostic des troubles thyroïdiens comprennent une variété d'analyses de sang, d'imageries et d'autres procédures qui aident à évaluer la fonction thyroïdienne, à détecter les anomalies structurelles et à diagnostiquer les maladies thyroïdiennes. Les résultats de ces tests sont généralement interprétés en combinaison avec l'anamnèse du patient, l'examen physique et d'autres facteurs cliniques pour établir un diagnostic précis et recommander le traitement approprié.
L'hormone thyréotrope, également connue sous le nom d'hormone stimulante de la thyroïde (TSH), est une hormone produite et sécrétée par l'antéhypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. La TSH régule la fonction thyroïdienne en agissant sur le tissu thyroïdien pour stimuler la production et la libération des hormones thyroïdiennes, la triiodothyronine (T3) et la thyroxine (T4).
La sécrétion de TSH est régulée par l'hypothalamus, qui produit de la thyréotropin-releasing hormone (TRH), une hormone qui stimule la production de TSH. La concentration de T3 et T4 dans le sang agit également sur l'hypothalamus et l'antéhypophyse pour réguler la sécrétion de TRH et de TSH, créant ainsi un système de rétroaction négative qui maintient les niveaux d'hormones thyroïdiennes dans une plage normale.
Une faible concentration de T3 et T4 entraîne une augmentation de la production de TRH et de TSH, tandis qu'une concentration élevée de ces hormones thyroïdiennes inhibe la production de TRH et de TSH. Les anomalies de la fonction thyroïdienne, telles que l'hypothyroïdie ou l'hyperthyroïdie, peuvent entraîner des perturbations de la sécrétion de TSH et des niveaux anormaux d'hormones thyroïdiennes.
Le récepteur TRH, ou récepteur de la thyrotropin-releasing hormone, est un type de récepteur couplé aux protéines G qui se trouve à la surface des cellules. Il est activé par la libération de la thyrotropin-releasing hormone (TRH), une hormone peptidique composée de trois acides aminés, qui est produite dans l'hypothalamus et joue un rôle important dans la régulation de la fonction thyroïdienne.
Lorsque la TRH se lie au récepteur TRH, elle déclenche une série de réactions chimiques à l'intérieur de la cellule qui entraînent la libération d'autres hormones, telles que la thyréostimuline (TSH) et la prolactine, à partir de la glande pituitaire antérieure. Ces hormones régulent ensuite la production et la libération des hormones thyroïdiennes triiodothyronine (T3) et thyroxine (T4) dans la glande thyroïde.
Les récepteurs TRH sont également présents dans d'autres parties du corps, telles que le cerveau, où ils jouent un rôle dans la régulation de divers processus physiologiques, tels que l'appétit, la température corporelle et l'humeur. Les mutations du gène du récepteur TRH ont été associées à des troubles tels que l'obésité, le diabète de type 2 et les troubles de l'humeur.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
La prolactine est une hormone polypeptidique, sécrétée par la glande pituitaire antérieure (adénohypophyse), qui joue un rôle crucial dans la physiologie de la reproduction. Sa fonction principale est d'induire et de maintenir la lactation après l'accouchement, d'où son nom de "hormone de la lactation". Cependant, elle a également d'autres rôles dans le corps, tels que la régulation du système immunitaire, la croissance des cellules mammaires pendant le développement pubertaire et la grossesse, ainsi que l'influence sur les comportements sexuels et maternel.
Dans des conditions normales, la sécrétion de prolactine est stimulée par la succion du mamelon, l'ocytocine, le stress, l'exercice physique, l'hypoglycémie et certaines hormones thyroïdiennes. En revanche, les œstrogènes et la dopamine inhibent sa libération. Des taux anormalement élevés de prolactine peuvent entraîner une galactorrhée (écoulement mammaire inapproprié) chez les femmes et les hommes, ainsi que des irrégularités menstruelles et une diminution de la libido chez les femmes. Des taux bas de prolactine sont généralement asymptomatiques mais peuvent être associés à une insuffisance hypophysaire.
Des affections médicales telles que l'adénome de la glande pituitaire (un type de tumeur bénigne) ou certains médicaments, comme les antidépresseurs et les antipsychotiques, peuvent entraîner une hyperprolactinémie (taux élevés de prolactine). Ces conditions nécessitent un traitement approprié pour normaliser les taux de prolactine et prévenir d'éventuelles complications.
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Hormones12
- TSH et TRH sont responsables de l'augmentation de la captation d'iode, de la synthèse des hormones thyroïdiennes et de leur mise en circulation dans le sang. (wikipedia.org)
- du syndrome de résistance hypophysaire sélective ou préférentielle aux hormones thyroïdiennes. (wikipedia.org)
- Dans le traitement des cancers thyroïdiens évolutifs, la stimulation de la TSH par la protiréline n'a plus aucune utilité dans la confirmation du caractère freinateur d'un traitement par les hormones thyroïdiennes. (wikipedia.org)
- An inherited autosomal recessive trait, characterized by peripheral resistance to THYROID HORMONES and the resulting elevation in serum levels of THYROXINE and TRIIODOTHYRONINE. (bvsalud.org)
- Les hormones thyroïdiennes sont nécessaires au développement cérébral et tissulaire normal chez le fœtus et le nouveau-né, et, quel que soit l'âge, elles régulent le métabolisme protéique, glucidique et lipidique. (msdmanuals.com)
- La TBG transporte habituellement environ 75% des hormones thyroïdiennes liées. (msdmanuals.com)
- Les experts affirment que même un léger déséquilibre des hormones telles que les hormones thyroïdiennes, le cortisol, la progestérone et la testostérone, peut avoir un effet significatif sur le métabolisme de l'organisme. (lemediateaseur.fr)
- Il est également impliqué dans la formation des hormones thyroïdiennes et sexuelles, favorise le développement musculaire, favorise la cicatrisation des plaies et prévient la chute des cheveux. (germanembassyottawa.org)
- Les hormones thyroïdiennes et la quantité d'exercice que vous faites sont deux facteurs, parmi ceux d'autres, qui ont un effet sur votre métabolisme quand vous ne faites rien. (infonaturel.ca)
- En excès, elle est responsable de la stimulation de notre très chère testostérone (l'une des hormones masculines potentiellement présente en excès dans le SOPK) via notamment le renforcement de notre hormone lutéinisante, la LH (hormone que ton médecin te fait régulièrement doser) en dépit d'une autre hormone qu'est la FSH. (sova-care.com)
- En cas d'insulino-résistance , nos hormones masculines ont plus de mal à se convertir en hormones féminines et nous nous retrouvons avec une hyperandrogénie , c'est-à-dire un excès d'hormones masculines , caractéristique du SOPK. (sova-care.com)
- Ils ont ainsi montré que ces récepteurs constituent une famille multigénique qui comprend d'autres récepteurs hormonaux aux hormones thyroïdiennes, aux acides rétinoïques et aux prostaglandines, mais aussi des membres qui, soit ne fixent aucune molécule connue, soit fixent de multiples molécules avec une faible spécificité Laudet et Stéhelin, 1993. (academiadeflori.ro)
L'insuline6
- Certains médecins considèrent le syndrome métabolique comme un syndrome de résistance à l'insuline également. (lemediateaseur.fr)
- Ces aliments riches en glucides stimulent la sécrétion de l'insuline, une hormone qui va entraîner le stockage des aliments sous forme de graisses. (maela-le-borgne-nutrition.fr)
- Contrairement aux SOPK venant des ovaires, ce type de SOPK n'est PAS induit pas une résistance à l'insuline, ou tout autre situation (intolérances… inflammation…) qui peut empêcher l'ovulation, et dont je parle plus en détails ici . (beaute-pure.com)
- Tu as déjà peut-être entendu parler de la résistance à l'insuline , aussi appelée insulino-résistance. (sova-care.com)
- La résistance à l'insuline est aujourd'hui citée comme l'un des mécanismes principaux du Syndrome des Ovaires Polykystiques. (sova-care.com)
- Comme expliqué précédemment, la résistance à l'insuline induit ce que l'on appelle une hyperinsulinémie (un taux élevé d'insuline dans le sang). (sova-care.com)
Thyroxine1
- Un anticorps dirigé contre le récepteur de la TSH ou une mutation activatrice du récepteur provoquent une hypersécrétion d'hormone thyroïdienne (thyroxine T4 et triiodothyronine T3), responsable d'une hyperthyroïdie qui peut être la cause de la maladie de Basedow. (wikipedia.org)
Cortisol1
- Lorsque le cortisol est produit en excès naturellement par les surrénales, on parle de syndrome de Cushing "endogène" . (femmeactuelle.fr)
L'hormone3
- L'hormone thyréotrope (TRH, de l'anglais : thyrotropin-releasing hormone), également appelée thyréolibérine ou protiréline sous sa forme synthétique, est une hormone peptidique produite par l'hypothalamus qui stimule la synthèse et la libération de la thyréostimuline (TSH) et de la prolactine par l'hypophyse antérieure. (wikipedia.org)
- La tyrosine au contact de la membrane des cellules folliculaires est iodée sur 1 (mono-iodotyrosine) ou 2 (di-iodotyrosine) sites et ensuite couplée afin de produire les 2 formes de l'hormone thyroïdienne. (msdmanuals.com)
- Cela s'explique par le fait qu'il pourrait avoir un lien étroit avec la résistance de l'organisme à l'hormone appelée insuline. (lemediateaseur.fr)
D'un1
- Les principaux symptômes d'un syndrome de Cushing sont la prise de poids avec une anomalie de la répartition des graisses , appelée obésité facio-tronculaire (obésité localisée sur le tronc et sur le visage qui devient bouffi, arrondi et rouge). (femmeactuelle.fr)
Fonction2
- Le zinc joue également un rôle dans la stabilisation des structures des cellules et des organes, la fonction immunitaire, la division cellulaire, la croissance, la coagulation sanguine, la fonction thyroïdienne, la vision, le goût et l'odorat. (germanembassyottawa.org)
- Fonction thyroïdienne. (academiadeflori.ro)
Poids1
- Ces facteurs empêchent notre foie de décomposer ou d'émulsionner correctement les gras et font que nos cellules emmagasinent trop de gras, favorisant ainsi le gain de poids ou la résistance à la perte de poids. (infonaturel.ca)
Cushing10
- Le syndrome de Cushing est un ensemble de symptômes qui apparaît lorsque l'organisme est exposé à un excès de glucocorticoïdes. (femmeactuelle.fr)
- dans ce cas, on parle de syndrome de Cushing "iatrogène" . (femmeactuelle.fr)
- Le syndrome de Cushing chez le cheval est de plus en plus identifié et diagnostiqué. (hippodromes-parisiens.fr)
- Le syndrome de Cushing, également appelé « Dysfonctionnement de la Pars Intermédiaire Hypophysaire » (DPIH), est une maladie neurodégénérative qui se manifeste le plus souvent chez les chevaux âgés de plus de 15 ans. (hippodromes-parisiens.fr)
- Le syndrome de Cushing chez le cheval est causé par une dégénérescence des neurones de l'hypothalamus, entraînant une diminution de la production de dopamine. (hippodromes-parisiens.fr)
- Le diagnostic du syndrome de Cushing chez le cheval se fait principalement par le dosage de l'ACTH, une hormone dont le taux varie selon l'heure du jour et de la nuit. (hippodromes-parisiens.fr)
- Le syndrome de Cushing chez le cheval se manifeste par différents symptômes. (hippodromes-parisiens.fr)
- Même s'il n'existe pas de traitement curatif pour le syndrome de Cushing chez le cheval, il existe plusieurs traitements capables de soulager les symptômes et d'améliorer la qualité de vie et l'état physique de l'animal. (hippodromes-parisiens.fr)
- Par exemple il recherchera si vous avez une hyperplasie surrénalienne (une maladie génétique), ou une tumeur androgèno-sécrétante ou un syndrome de Cushing . (beaute-pure.com)
- Le Syndrome de Cushing (SC) est causé par une exposition chronique à un excès de glucocorticoïdes, soit endogènes soit exogènes, et se caractérise par des symptomes cliniques sévères comme l'obésité centrale, des stries pourpres (vergétures), une faiblesse musculaire proximale, de l'acné, de l'hirsutisme, et des désordres neurophysiologiques. (actuscimed.com)
Insuline1
- Pour que les cellules absorbent le glucose qui s'y trouve, elles ont besoin d'une hormone particulière appelée insuline. (lemediateaseur.fr)
Cellules3
- L'iode, ingéré dans les aliments et l'eau sous forme d'iodure, est activement concentré par la thyroïde et converti en iode organique (organification) dans les cellules folliculaires par la peroxydase thyroïdienne. (msdmanuals.com)
- Une fois à l'intérieur des cellules folliculaires thyroïdiennes, la T3 et la T4 sont libérées de la thyroglobuline. (msdmanuals.com)
- Pour gérer ce problème, l'organisme produit donc de plus en plus de cette hormone, afin que le glucose pénètre dans les cellules. (lemediateaseur.fr)
L'axe1
- L'élévation de la TSH est sensée refléter la sensibilité de l'axe hypothalamo-hypophysaire à un taux inadéquat en hormone thyroïdienne dans le sang (taux bas) qui correspondrait à l'hypothyroïdie. (aimsib.org)
Musculaire1
- Un esprit sain dans un corps sain, c'est le but final de l'acte de bouger : une activité physique simple augmente l'endurance cardiaque et respiratoire, la résistance musculaire, la solidité osseuse, les réflexes, la souplesse, l'agilité, etc. (zoelho.com)
Thyrotropin-releasi1
- Un test appelé test de stimulation par la TRH (Thyrotropin Releasing Hormone) peut aider à distinguer l'origine du trouble au niveau hypothalamo-hypophysaire. (aimsib.org)
D'une2
- Une personne est cinq fois plus susceptible de développer un diabète si elle présente plus d'une de ces conditions du syndrome métabolique. (lemediateaseur.fr)
- La mesure de la TSH (thyroid stimulating hormone) est généralement considérée comme le meilleur test de dépistage d'une maladie de la thyroïde. (aimsib.org)
Acquise1
- SIDA - Syndrome d'immunodéficience acquise. (lymphoma.org.au)
Traitement3
- traitement visant à freiner la sécrétion de TSH lors des cancers thyroïdiens évolutifs. (wikipedia.org)
- Le traitement le plus efficace à ce jour est le pergolide, qui agit sur l'hypophyse et restaure l'apport en dopamine pour limiter la production d'hormones thyroïdiennes. (hippodromes-parisiens.fr)
- Des patients soumis à une ICP pour syndrome coronaire aigu ou angine de poitrine stable ont été répartis au hasard pour génotypage rapide ou traitement standard. (actuscimed.com)
L'on appelle1
- Une progestine est une hormone synthétique, que l'on appelle souvent de manière erronée « progestérone » mais qui n'est surtout pas à confondre avec la progestérone naturelle fabriquée par vos ovaires. (beaute-pure.com)
Ovaires polykystiques1
- Cependant, beaucoup plus courants sont les cas de SOPK (syndrome des ovaires polykystiques) dont l'origine est surrénalienne. (beaute-pure.com)
Cardiaque1
- Elle a pour rôle de préparer le corps à agir face à un danger en facilitant l'apport d'énergie aux muscles (augmentation du taux de sucre dans le sang, du rythme cardiaque, de la pression artérielle), la résistance à la douleur ou au manque d'oxygène. (femmeactuelle.fr)
Faible1
- Céfuroxime qui remplace la faible hormone thyroïdienne dans les installations de défense. (antibiotiqueaugmentin.com)
Taux2
- Normalement, l'hypophyse sécrète la TSH en réponse à des taux circulants d'hormones thyroïdiennes bas (T4 libre et/ou T3 libre). (aimsib.org)
- Ce test donne une mesure précise de la TSH sérique mais pas la hauteur des taux d'hormones thyroïdiennes circulantes. (aimsib.org)
Restent1
- Les personnes qui incluent beaucoup de fruits et de légumes dans leur alimentation quotidienne, sont celles qui restent les moins vulnérables au développement du syndrome métabolique. (lemediateaseur.fr)
Thyroid hormone2
- This syndrome is caused by mutations of gene THRB encoding the THYROID HORMONE RECEPTORS BETA in target cells. (bvsalud.org)
- HYPOTHYROIDISM in these patients is partly overcome by the increased thyroid hormone levels. (bvsalud.org)
Stimule1
- La somatolibérine ou GHRH Growth Hormone Releasing Hormone stimule la sécrétion de GH et la somatostatine ou GHIH Growth Hormone Inhibiting Hormone l'inhibe. (kisanudyogindia.com)
Qu'une1
- Il est évident de comprendre que le simple fait d'avoir l'un de ces facteurs ne suffit pas pour dire qu'une personne souffre du syndrome métabolique. (lemediateaseur.fr)
Donne1
- Cet article vous donne également quelques informations de base sur l'état du syndrome métabolique. (lemediateaseur.fr)
SOPK1
- Si tel est le cas, tu fais peut-être partie des 7 5 % des femmes atteintes de SOPK qui ont également été diagnostiquées avec cette résistance. (sova-care.com)
Parfois2
- L'adrénaline (80% des sécrétions de la médullosurrénale), surnommée parfois "hormone du stress" , est sécrétée en cas d'émotion intense (peur, colère, stress…) ou d'activité physique importante. (femmeactuelle.fr)
- La mangue est parfois associée au syndrome oral (symptômes souvent limités autour de la bouche), une condition associée à de nombreuses allergies croisées fruits-pollen. (biron.com)
L'hypothalamus1
- L'hypothalamus sécrète de la dopamine, une hormone qui joue un rôle régulateur sur l'hypophyse. (hippodromes-parisiens.fr)
Autour1
- Pour accentuer la difficulté, vous pouvez utiliser une bande de résistance que vous placez autour de vos cuisses. (saraleephotography.com)
Parle1
- Cet article vous parle de la prévention du syndrome métabolique à l'aide de quelques mesures d'autosoins à la maison. (lemediateaseur.fr)
Diagnostic1
- Elle est utilisée pour effectuer des tests à la TRH dans le cadre de l'exploration fonctionnelle pour le diagnostic des affections thyroïdiennes et dans l'étude de la sécrétion de la prolactine. (wikipedia.org)