Un site situées sur le INTRONS au 5 'fin de chaque segment de l ’ immunoglobuline constantes heavy-chain recombinaison où un gène (réarrangement) survenir lors d ’ immunoglobuline ou de changer le cours. Ig interrupteur régions sont trouvées sur les gènes codant pour les cinq classes (immunoglobuline isotypes) en immunoglobuline lourde chaîne !
Légère Lymphocyte B de la génétique qui entraîne une substitution au type de heavy-chain constante région qui s'expriment. Cela permet au effecteurs réponse à changer pendant l ’ antigène liaison spécificité (région variable) reste le même. La majorité de la classe changement se produit par un événement recombinaison ADN mais ça peut aussi avoir lieu au niveau d'ARN processing.
Production de nouvelles dispositions de l ’ ADN par différents mécanismes comme assortiment et la ségrégation, traversant fini ; GENE conversion ; GENETIC transformation ; GENETIC conjugaison ; GENETIC transduction ; ou mixte une infection virale.
Gènes qui causent la epigenotype (c 'est-à-dire, les voies du développement à travers laquelle l'organisme se rèaIise adultes) pour le changement pour un deuxième portable voie lineage-related Échangez complexes contrôle l'expression des oncogènes développement fonctionnel ainsi que la transformation.
La classe de lourdes chaînes trouvé en immunoglobuline M. Ils ont un poids moléculaire d'environ 72 kDa et ils contiennent environ 57 acides aminés arrangé dans cinq domaines oligosaccharide et avoir plus de branches et une plus grande teneur glucidique, que les lourdes chaînes d ’ immunoglobuline G.
Le plus grand de polypeptide chaînes comprenant immunoglobulines. Elles contiennent 450 à 600 acides aminés par chaîne, et ont des poids moléculaires de 51-72 kDa.
Une enzyme qui catalyse la désamination de la cytidine, formant uridine. CE 3.5.4.5.
Multi-subunit fonctionner dans l'immunité des protéines qui ils sont produits par des lymphocytes B gènes de l'immunoglobuline. Ils sont composé de deux gros (immunoglobulines lourde chaîne) et deux chaînes légères de lumière (immunoglobuline, serrurerie) avec ancillary polypeptide chaînes supplémentaires selon leur isoformes. La variété des isoformes inclure protéines Monomériques ou chélateur polymérique du formes, et transmembranaires récepteurs des cellules B activées formulaires (antigène) ou sécrétés formes (anticorps). Ils sont classés par la séquence des aminoacides de leurs lourdes chaînes dans cinq classes (immunoglobuline A ; immunoglobuline D ; immunoglobuline E ; l ’ immunoglobuline G ; immunoglobuline M) et divers sous-classes.
Le major isotype cours dans l ’ immunoglobuline humaine normale, il y a plusieurs sériques des IgG sous-classes isotype, par exemple, IgG1, anti-IgG2a et IgG2B.
Cellules lymphoïdes concerné par l'immunité humorale. Ils sont sans lendemain bursa-derived cellules identiques aux lymphocytes des oiseaux dans leur production d ’ immunoglobuline sur approprié stimulation.
La séquence des purines et PYRIMIDINES dans les acides nucléiques et polynucleotides. On l'appelle aussi séquence nucléotidique.
Représente 15 à 20 % du taux sérique d ’ immunoglobulines humaines, principalement sous la 4-chain polymère chez l'homme ou dimère dans d'autres mammifères. Sécrétoires immunoglobuline A (IgA) constitue le principal, endomètre sécrétoire immunoglobulines chez sécrétions.
Une classe d ’ immunoglobuline portant mu chaînes (chaînes Lourdes Mu Des Immunoglobulines). IgM peut réparer COMPLEMENT. Le nom vient de son poids moléculaire élevé initialement être appelé un macroglobulin.
Acide aminé, spécifique des descriptions de glucides, ou les séquences nucléotides apparues dans la littérature et / ou se déposent dans et maintenu par bases de données tels que la banque de gènes GenBank, européen (EMBL laboratoire de biologie moléculaire), la Fondation de Recherche Biomedical (NBRF) ou une autre séquence référentiels.
Les gènes codant pour les différentes sous-unités des immunoglobulines, par exemple l'immunoglobuline lumière gènes alimentaire et l'immunoglobuline. La chaîne lourde gènes immunoglobuline pesante et légère... comme des gênes gênes sont présents dans les cellules germline. The completed gènes sont créés quand les segments sont battues et assemblée (Légère Lymphocyte B pendant la maturation Légère Lymphocyte B) la structure de Gene. Le gène segments de la lumière humaine et lourde chaîne germline gènes sont symbolisés V (variable), J ((constante et Michèle) et C). La chaîne lourde germline gènes ont une diversité segment D (supplémentaires).
Lourdes chaînes d ’ immunoglobuline G ayant un poids moléculaire d ’ environ 51 kDa. Elles contiennent environ 450 acides aminés dans quatre domaines et un composant d ’ oligosaccharide fragment Fc fixé à la région constante. La chaîne lourde gamma sous-classes (par exemple, gamma 1, gamma 2a et gamma 2b) de l'immunoglobuline G (IgG1, anti-IgG2a sous-classes isotype et IgG2B) se ressemble de plus près que les lourdes chaînes de l'autre isotypes d'immunoglobulines.
Le domaine de l'immunoglobuline molécules qui sont invariable dans leurs séquences d'acides aminés dans chaque classe ou sous-classe d'immunoglobuline. Ils conférer structurelles et biologique fonctions aux immunoglobulines. Chacun une lumière sur les chaînes et les chaînes lourdes C-terminus comprend la moitié de l'immunoglobuline FAB fragment et deux ou trois d'entre eux font le reste de la lourdes chaînes (tous de l'immunoglobuline FC fragment)

La région switch des immunoglobulines, également connue sous le nom de "switch régions" ou "regions de commutation," fait référence à des segments d'ADN situés dans les gènes des chaînes lourdes des anticorps (immunoglobulines). Ces régions switch sont localisées en amont des différents gènes codant pour les domaines constants des chaînes lourdes des immunoglobulines, et elles permettent le processus de commutation isotypique.

La commutation isotypique est un mécanisme par lequel les lymphocytes B modifient la classe (isotype) d'une immunoglobuline sans changer sa spécificité antigénique, c'est-à-dire qu'ils peuvent passer d'un isotype à un autre (par exemple, de IgM à IgG, IgA ou IgE) en réarrangeant les régions switch. Ce processus est médié par des réactions de recombinaison V(D)J dépendantes de l'activation des lymphocytes B spécifiques d'un antigène donné, et il permet à ces cellules de produire différents types d'immunoglobulines adaptées aux fonctions particulières dans la réponse immune.

La région switch est composée de séquences répétitives d'ADN, appelées "S regions" (de l'anglais "switch"), qui contiennent des motifs consensus permettant la recombinaison avec les régions upstream des différents gènes codant pour les domaines constants des chaînes lourdes. Ce mécanisme de commutation isotypique est crucial pour le développement d'une réponse immune adaptative et spécifique contre divers agents pathogènes et antigènes.

La commutation des classes d'immunoglobulines, également connue sous le nom de switching isotypique ou classe de switching, est un processus immunologique au cours duquel une cellule B active modifie la classe (isotype) de son immunoglobuline (anticorps) produite, tout en conservant la même spécificité antigénique. Ce processus se produit dans le centre germinatif des ganglions lymphatiques et est médié par un changement dans la région variable de la chaîne lourde des immunoglobulines, induit par l'activation de l'enzyme activateur de la transcription AID (activation-induced cytidine deaminase).

La commutation des classes d'immunoglobulines permet aux cellules B de produire différents types d'anticorps (par exemple, IgM, IgG, IgA, et IgE) en réponse à une infection ou à un antigène. Chaque classe d'immunoglobuline a des propriétés fonctionnelles et structurelles différentes, ce qui permet aux cellules B de fournir une réponse immunitaire adaptative appropriée contre divers types de pathogènes.

La commutation des classes d'immunoglobulines est un processus crucial pour le développement d'une réponse immune adaptative efficace et la mémoire immunologique. Des défauts dans ce processus peuvent entraîner une susceptibilité accrue aux infections et des maladies auto-immunes.

La recombinaison génétique est un processus biologique qui se produit pendant la méiose, une forme spécialisée de division cellulaire qui conduit à la production de cellules sexuelles (gamètes) dans les organismes supérieurs. Ce processus implique l'échange réciproque de segments d'ADN entre deux molécules d'ADN homologues, résultant en des combinaisons uniques et nouvelles de gènes sur chaque molécule.

La recombinaison génétique est importante pour la diversité génétique au sein d'une population, car elle permet la création de nouveaux arrangements de gènes sur les chromosomes. Ces nouveaux arrangements peuvent conférer des avantages évolutifs aux organismes qui les portent, tels qu'une meilleure adaptation à l'environnement ou une résistance accrue aux maladies.

Le processus de recombinaison génétique implique plusieurs étapes, y compris la synapse des chromosomes homologues, la formation de chiasmas (points où les chromosomes s'entrecroisent), l'échange de segments d'ADN entre les molécules d'ADN homologues et la séparation finale des chromosomes homologues. Ce processus est médié par une série de protéines spécialisées qui reconnaissent et lient les séquences d'ADN homologues, catalysant ainsi l'échange de segments d'ADN entre elles.

La recombinaison génétique peut également se produire dans des cellules somatiques (cellules non sexuelles) en réponse à des dommages à l'ADN ou lors de processus tels que la réparation de brèches dans l'ADN. Ce type de recombinaison génétique est appelé recombinaison homologue et peut contribuer à la stabilité du génome en réparant les dommages à l'ADN.

Cependant, une recombinaison génétique excessive ou incorrecte peut entraîner des mutations et des instabilités chromosomiques, ce qui peut conduire au développement de maladies telles que le cancer. Par conséquent, la régulation de la recombinaison génétique est essentielle pour maintenir l'intégrité du génome et prévenir les maladies associées à des mutations et des instabilités chromosomiques.

Je suis désolé, mais la phrase "gène switch" ne correspond pas à une définition médicale standard ou à un terme technique spécifique dans le domaine de la génétique ou de la médecine. Cependant, le terme "switch" peut être utilisé dans un contexte biologique pour faire référence à des mécanismes qui régulent l'expression des gènes, c'est-à-dire l'activation ou la désactivation de la production de protéines à partir d'un gène donné. Ces mécanismes peuvent inclure des facteurs de transcription, des épigénétiques et d'autres régulateurs de l'expression génique. Sans plus de contexte, il est difficile de fournir une définition médicale précise du terme "gène switch".

Les chaînes lourdes mu des immunoglobulines sont une partie constitutive des anticorps, qui sont des protéines essentielles du système immunitaire participant à la défense de l'organisme contre les agents pathogènes. Les immunoglobulines, également appelées anticorps, sont composées de deux chaînes lourdes (α, γ, δ ou μ) et deux chaînes légères (κ ou λ).

Dans le cas des chaînes lourdes mu, elles sont spécifiquement associées aux immunoglobulines de type IgM. Les IgM sont les premiers anticorps produits en réponse à une infection et jouent un rôle crucial dans l'activation du système immunitaire complémentaire.

Les chaînes lourdes mu contiennent plusieurs domaines constants et variables, qui déterminent la spécificité de liaison de l'anticorps à un antigène donné. Les régions variables des chaînes lourdes mu sont particulièrement importantes pour la reconnaissance et la liaison aux épitopes des antigènes.

En résumé, les chaînes lourdes mu des immunoglobulines sont une composante clé des anticorps de type IgM, qui jouent un rôle essentiel dans la reconnaissance et l'élimination des agents pathogènes.

Les chaînes lourdes des immunoglobulines sont des protéines structurelles importantes qui constituent une partie essentielle des anticorps, également connus sous le nom d'immunoglobulines. Les anticorps sont des molécules protectrices produites par notre système immunitaire pour neutraliser ou éliminer les agents pathogènes tels que les virus, les bactéries et les toxines.

Les chaînes lourdes sont des segments protéiques plus grands qui s'associent à d'autres segments protéiques appelés chaînes légères pour former un anticorps fonctionnel. Les chaînes lourdes sont composées de différents domaines, y compris le domaine variable responsable de la reconnaissance et de la liaison aux antigènes, ainsi que plusieurs domaines constants qui contribuent à la structure et à la fonction de l'anticorps.

Il existe cinq types différents de chaînes lourdes, désignées par les lettres grecques α (alpha), δ (delta), ε (epsilon), γ (gamma) et μ (mu). Chaque type de chaîne lourde correspond à un type spécifique d'anticorps : IgA, IgD, IgE, IgG et IgM. Les différents types d'anticorps ont des fonctions et des distributions tissulaires distinctes, ce qui permet au système immunitaire de répondre de manière appropriée aux divers types de menaces pour la santé.

Les mutations ou les anomalies dans les gènes codant pour les chaînes lourdes peuvent entraîner des troubles du système immunitaire, tels que les déficits immunitaires primaires, qui prédisposent une personne à des infections récurrentes et sévères. Des recherches sont en cours pour comprendre comment les chaînes lourdes contribuent à la fonction et à la régulation du système immunitaire et pour développer de nouvelles thérapies pour traiter les maladies liées aux troubles du système immunitaire.

La cytidine déaminase est une enzyme qui catalyse la réaction chimique de déamination de la cytidine et de la déoxycytidine en uridine et désoxyuridine, respectivement. Cette enzyme joue un rôle important dans le métabolisme des nucléotides et est également associée à la résistance aux médicaments antiviraux utilisés dans le traitement de certaines maladies, telles que le VIH et l'hépatite B.

La déamination de la cytidine et de la déoxycytidine entraîne la conversion des bases nucléiques cytosine en uracile. Dans l'ADN, cette modification est réparée par des mécanismes de réparation de l'ADN pour éviter les mutations. Dans l'ARN, l'uracile est normalement reconnu et éliminé par des processus de maturation de l'ARN.

La cytidine déaminase est exprimée dans divers tissus, notamment le foie, les reins, les intestins et les globules blancs. Des niveaux élevés d'activité de cette enzyme ont été observés chez certains patients infectés par le VIH, ce qui peut entraîner une résistance aux médicaments antiviraux qui contiennent des analogues de la cytidine, tels que la zidovudine et la stavudine. De même, dans l'hépatite B, une activité élevée de cytidine déaminase peut entraîner une résistance à certains médicaments antiviraux, tels que la lamivudine et l'emtricitabine.

En plus de son rôle dans le métabolisme des nucléotides et de la résistance aux médicaments, la cytidine déaminase est également associée à d'autres processus biologiques, tels que l'inactivation de certains ARN messagers et la régulation de l'expression génique.

Les immunoglobulines, également connues sous le nom d'anticorps, sont des glycoprotéines sécrétées par les plasmocytes (un type de cellule B différenciée) en réponse à l'exposition à un antigène. Ils jouent un rôle crucial dans l'humoral de la réponse immunitaire, où ils se lient spécifiquement aux antigènes étrangers et les neutralisent ou les marquent pour être détruits par d'autres cellules du système immunitaire.

Les immunoglobulines sont constituées de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, liées par des ponts disulfure. Il existe cinq classes différentes d'immunoglobulines (IgA, IgD, IgE, IgG et IgM), chacune ayant des rôles spécifiques dans la réponse immunitaire. Par exemple, l'IgG est la principale immunoglobuline sérique et protège contre les infections bactériennes et virales en facilitant la phagocytose, la cytotoxicité cellulaire dépendante des anticorps et la complémentation.

Les immunoglobulines peuvent être trouvées dans le sang, la lymphe et d'autres fluides corporels, et elles sont souvent utilisées comme thérapeutiques pour traiter une variété de conditions médicales, y compris les déficits immunitaires primaires et secondaires, les maladies auto-immunes et les infections.

L'immunoglobuline G (IgG) est un type d'anticorps, qui sont des protéines produites par le système immunitaire pour aider à combattre les infections et les agents pathogènes. L'IgG est la plus abondante et la plus diversifiée des cinq classes d'immunoglobulines (IgA, IgD, IgE, IgG et IgM) trouvées dans le sang et les tissus corporels.

L'IgG est produite en réponse à la plupart des infections et joue un rôle crucial dans l'immunité humorale, qui est la composante du système immunitaire responsable de la production d'anticorps pour neutraliser ou éliminer les agents pathogènes. L'IgG peut traverser la barrière placentaire et offrir une protection passive contre certaines infections aux nourrissons pendant leurs premiers mois de vie.

L'IgG se compose de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, formant une molécule en forme de Y avec deux sites d'affinité pour les antigènes. Cela permet à l'IgG de se lier à plusieurs parties d'un agent pathogène, ce qui améliore sa capacité à neutraliser ou marquer les agents pathogènes pour une élimination ultérieure par d'autres cellules du système immunitaire.

L'IgG est également connue pour son rôle dans l'activation du complément, un groupe de protéines qui aident à éliminer les agents pathogènes et les cellules mortes ou endommagées. De plus, l'IgG peut activer certaines cellules immunitaires, comme les neutrophiles et les macrophages, pour faciliter la phagocytose (processus d'ingestion et de destruction des agents pathogènes).

En raison de sa longue demi-vie (environ 21 jours) et de son rôle important dans l'immunité humorale, l'IgG est souvent utilisée comme biomarqueur pour évaluer la réponse immunitaire à une vaccination ou une infection.

Les lymphocytes B sont un type de globules blancs qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire adaptatif. Ils sont responsables de la production d'anticorps, des protéines qui marquent les agents pathogènes étrangers pour une destruction ultérieure par d'autres éléments du système immunitaire.

Après s'être développés dans la moelle osseuse, les lymphocytes B migrent vers la rate et les ganglions lymphatiques où ils mûrissent et deviennent des cellules capables de produire des anticorps spécifiques. Lorsqu'un lymphocyte B rencontre un agent pathogène qu'il peut cibler, il se différencie en une plasmocyte qui sécrète alors des quantités massives d'anticorps contre cet agent pathogène particulier.

Les maladies associées à un dysfonctionnement des lymphocytes B comprennent le déficit immunitaire commun variable, la gammapathie monoclonale de signification indéterminée (GMSI), et certains types de leucémie et de lymphome.

Une séquence nucléotidique est l'ordre spécifique et linéaire d'une série de nucléotides dans une molécule d'acide nucléique, comme l'ADN ou l'ARN. Chaque nucléotide se compose d'un sucre (désoxyribose dans le cas de l'ADN et ribose dans le cas de l'ARN), d'un groupe phosphate et d'une base azotée. Les bases azotées peuvent être adénine (A), guanine (G), cytosine (C) et thymine (T) dans l'ADN, tandis que dans l'ARN, la thymine est remplacée par l'uracile (U).

La séquence nucléotidique d'une molécule d'ADN ou d'ARN contient des informations génétiques cruciales qui déterminent les caractéristiques et les fonctions de tous les organismes vivants. La décodage de ces séquences, appelée génomique, est essentiel pour comprendre la biologie moléculaire, la médecine et la recherche biologique en général.

L'immunoglobuline A (IgA) est un type d'anticorps présent dans le corps humain. Il s'agit d'une protéine essentielle du système immunitaire qui joue un rôle crucial dans la défense contre les infections. L'IgA se trouve principalement dans les sécrétions corporelles, telles que les larmes, la salive, le suc gastrique, le mucus des poumons et des voies respiratoires supérieures, ainsi que les fluides génitaux et les sécrétions intestinales.

Il existe deux sous-types d'IgA : l'IgA1 et l'IgA2. L'IgA1 est la forme prédominante dans le sang et les sécrétions, tandis que l'IgA2 est plus abondante dans les muqueuses des voies respiratoires inférieures et du tractus gastro-intestinal.

L'IgA agit en se liant aux antigènes, tels que les bactéries, les virus et les toxines, pour empêcher leur adhésion et leur pénétration dans les muqueuses. Cela contribue à prévenir l'infection et l'inflammation des tissus environnants. De plus, l'IgA peut également neutraliser directement certains agents pathogènes en inhibant leur capacité à se répliquer ou à provoquer une infection.

En résumé, l'immunoglobuline A est un anticorps essentiel qui contribue à la défense immunitaire contre les infections en se liant aux agents pathogènes et en empêchant leur adhésion et pénétration dans les muqueuses.

L'immunoglobuline M (IgM) est un type d'anticorps présent dans le sang et les fluides corporels. C'est la première ligne de défense du système immunitaire contre les agents pathogènes tels que les bactéries et les virus. Les IgM sont les plus grands des anticorps et se lient aux antigènes (substances étrangères) pour aider à neutraliser ou éliminer ces menaces. Ils agissent en activant le système du complément, ce qui entraîne la destruction des cellules infectées ou cancéreuses. Les IgM sont produites par les plasmocytes, un type de globule blanc, en réponse à une infection aiguë. Cependant, leur concentration dans le sang diminue rapidement après la disparition de l'antigène.

Les données de séquence moléculaire se réfèrent aux informations génétiques ou protéomiques qui décrivent l'ordre des unités constitutives d'une molécule biologique spécifique. Dans le contexte de la génétique, cela peut inclure les séquences d'ADN ou d'ARN, qui sont composées d'une série de nucléotides (adénine, thymine, guanine et cytosine pour l'ADN; adénine, uracile, guanine et cytosine pour l'ARN). Dans le contexte de la protéomique, cela peut inclure la séquence d'acides aminés qui composent une protéine.

Ces données sont cruciales dans divers domaines de la recherche biologique et médicale, y compris la génétique, la biologie moléculaire, la médecine personnalisée, la pharmacologie et la pathologie. Elles peuvent aider à identifier des mutations ou des variations spécifiques qui peuvent être associées à des maladies particulières, à prédire la structure et la fonction des protéines, à développer de nouveaux médicaments ciblés, et à comprendre l'évolution et la diversité biologique.

Les technologies modernes telles que le séquençage de nouvelle génération (NGS) ont rendu possible l'acquisition rapide et économique de vastes quantités de données de séquence moléculaire, ce qui a révolutionné ces domaines de recherche. Cependant, l'interprétation et l'analyse de ces données restent un défi important, nécessitant des méthodes bioinformatiques sophistiquées et une expertise spécialisée.

Les gènes des chaînes légères des immunoglobulines sont un ensemble de gènes qui codent les protéines des chaînes légères des immunoglobulines, également connues sous le nom d'anticorps. Les chaînes légères sont des molécules constituantes importantes des immunoglobulines, avec une masse moléculaire inférieure à celle des chaînes lourdes. Elles se composent de deux domaines: un domaine variable (V) et un domaine constant (C). Le domaine variable est responsable de la reconnaissance et de la liaison aux antigènes, tandis que le domaine constant participe à la médiation des effets biologiques des immunoglobulines.

Il existe deux types de chaînes légères: kappa (κ) et lambda (λ). Les gènes correspondants sont situés sur différents chromosomes. Les gènes des chaînes légères comprennent plusieurs segments, notamment les segments variables (V), diversifiants (D) et jointifs (J), qui subissent un processus de recombinaison génétique au cours du développement des lymphocytes B pour produire une grande diversité d'anticorps. Ce processus permet aux lymphocytes B de reconnaître et de répondre à un large éventail d'antigènes.

Les gènes des chaînes légères sont essentiels au fonctionnement du système immunitaire, car ils contribuent à la production d'anticorps spécifiques qui protègent l'organisme contre les agents pathogènes et autres substances étrangères. Les mutations ou les variations de ces gènes peuvent entraîner des maladies telles que les déficits immunitaires, les maladies auto-immunes et certains types de cancer.

Les chaînes lourdes gamma des immunoglobulines, également connues sous le nom de chaînes gamma des anticorps, sont un type de protéine présent dans le système immunitaire. Les immunoglobulines, ou anticorps, sont des molécules protéiques produites par le système immunitaire pour aider à combattre les infections et les maladies.

Les chaînes lourdes gamma font partie de la structure des immunoglobulines G (IgG), qui sont les anticorps les plus courants dans le sang humain. Les IgG sont essentiels pour protéger l'organisme contre les infections bactériennes et virales, ainsi que contre d'autres agents pathogènes.

Les chaînes lourdes gamma sont composées de plusieurs domaines protéiques différents, y compris le domaine variable, qui est responsable de la reconnaissance et de la liaison aux antigènes, et les domaines constants, qui sont importants pour l'activation du système immunitaire. Les chaînes lourdes gamma contiennent également des sites de fixation pour les compléments, ce qui permet d'activer le système du complément et de faciliter la destruction des agents pathogènes.

Les mutations ou les anomalies dans les gènes codant pour les chaînes lourdes gamma peuvent entraîner des troubles du système immunitaire, tels que le déficit immunitaire commun variable (DICV) et la gammapathie monoclonale de signification indéterminée (GMSI). Ces conditions peuvent augmenter le risque d'infections, de maladies auto-immunes et de certains types de cancer.

Les régions constantes des immunoglobulines, également connues sous le nom de régions C, sont des parties structuralement et fonctionnellement conservées des chaînes lourdes et légères des molécules d'immunoglobulines (anticorps). Ces régions sont constituées de trois domaines globulaires en forme de feuillet (Domaines Ig), chacun contenant environ 110 acides aminés. Les régions constantes sont responsables de la détermination des effets biologiques spécifiques des anticorps, tels que la fixation du complément et l'opsonisation (marquage d'une cellule ou d'une particule étrangère pour être reconnue par les cellules du système immunitaire).

Il existe cinq types différents de chaînes lourdes dans les immunoglobulines, notées α, δ, ε, γ et μ. Chaque type a une région constante distincte qui détermine la fonction et la classe de l'immunoglobuline. Par exemple, les IgG, qui sont les anticorps les plus abondants dans le sang humain, ont une région constante composée de trois domaines Cγ. De même, les IgM, qui sont les premiers anticorps produits en réponse à une infection, ont une région constante composée de cinq domaines Cμ.

Les régions constantes des immunoglobulines sont codées par des gènes situés sur des chromosomes spécifiques et subissent un processus de recombinaison génétique au cours du développement des lymphocytes B, ce qui permet la production d'une grande diversité d'anticorps pour faire face à une variété d'agents pathogènes.

... la région constante (en violet sur le schéma) identique pour toutes les immunoglobulines de la même classe et une région ... La recombinaison de commutation de classe (class switch recombination, CSR) permet aux cellules B de changer leur isotype ... immunoglobuline A, immunoglobuline D, immunoglobuline E, immunoglobuline G, immunoglobuline M. Les immunoglobulines ... Les immunoglobulines D et les immunoglobulines M sont les immunoglobulines retrouvées à la surface des lymphocytes B naïfs. ...
j. Immunol,‎ 1990 (lire en ligne) cogné, « A class switch control region at the 3' end of the immunoglobulin heavy chain locus ... à la fonction des immunoglobulines des différentes classes, exprimées en tant que récepteurs à la surface des lymphocytes B, ... switch ») située dans la région terminale 3' du locus des chaînes lourdes d'immunoglobulines. En tant que professeur à la ... Science,‎ 2012 (lire en ligne) Chauveau, « Palindromic structure of the IgH 3' Locus control region », Nature Genetics,‎ 1996 ( ...
La région charnière forme un lien flexible entre les bras Fab et la partie Fc. La longueur et la flexibilité de la région ... Role of switch in the allotype-associated variation of human serum IgG3 levels. J Immunol (1992) 148(8):2555-62. Soderstrom T, ... La région de charnière inférieure de l'IgG2 (en fait codée par la région CH2) a également une suppression d'un acide aminé ( ... les régions V interagissent pour former la région de liaison à l'antigène - acquise par l'assemblage différentiel de Variable, ...
Elle est semblable au réarrangement des chaînes légères des immunoglobulines (VJ). L'assemblage d'une chaîne β et α forme le ... A developmental switch in thymic lymphocyte maturation potential occurs at the level of hematopoietic stem cells », Cell, vol. ... depuis la jonction cortico-médullaire vers la région subcapsulaire du cortex thymique. De nombreux récepteurs de chimiokines, ... Les gènes codant les protéines du récepteur des cellules T sont structurellement semblables à ceux des immunoglobulines. Ils ...
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... switch) situées en amont de chaque région constante CH (constant heavy) des chaînes lourdes des immunoglobulines. Le second ... Dans le gène codant pour les immunoglobulines, les régions constantes (définissant les différents isotypes) sont organisées de ... portée par la région variable [V] des immunoglobulines) soit modifiée. Cet événement nécessite la recombinaison somatique entre ... Lanalyse des régions variables des Ig produites localement confirme cette observation en révélant une fréquence très élevée de ...
Commutation isotypique des immunoglobulines. Switch isotypique. Code(s) darborescence:. G05.344.401.501.450. G12.500.274.501. ... Gene rearrangement of the B-lymphocyte which results in a substitution in the type of heavy-chain constant region that is ... Commutation de classe des immunoglobulines - Concept préféré Concept UI. M0026640. Terme préféré. Commutation de classe des ... Switching de Imunoglobulina Synonymes:. Commutation disotype. Commutation de classe. Commutation de classe des Ig. Commutation ...
A developmental switch in thymic lymphocyte maturation potential occurs at the level of hematopoietic stem cells. », Cell, vol. ... Les gènes codant les protéines du récepteur des cellules T sont structurellement semblables à ceux des immunoglobulines. Ils ... depuis la jonction cortico-médullaire vers la région subcapsulaire du cortex thymique[14]. De nombreux récepteurs de ... Elle est semblable au réarrangement des chaînes légères des immunoglobulines (VJ). Lassemblage dune chaîne β et α forme le ...
  • La recombinaison isotypique se produit entre deux régions switch (S), localisées en amont de chaque gène constant, excepté C δ [ 1 ]. (medecinesciences.org)
  • La recombinaison isotypique se produit donc entre deux régions S localisées en amont de chaque gène constant excepté Cδ. (medecinesciences.org)
  • Le paradigme a longtemps été « absence de région Sδ devant Cδ, donc pas de recombinaison isotypique vers les IgD » et ceci malgré la description depuis plusieurs années de myélomes à IgD avec délétion de Cμ [ 2 ]. (medecinesciences.org)
  • L'activation des cellules B est connue pour s'accompagner de remodelages des gènes d'immunoglobulines qui permettent la maturation d'affinité des régions variables d'Ig par hypermutation somatique SHM et la commutation de classe CSR. (unilim.fr)
  • Des mutations éloignées de la jonction sont interprétées comme un stigmate du ciblage d'AID sur ces régions. (medecinesciences.org)
  • elles possèdent des récepteurs pour la région du fragment cristallisable (Fc) des immunoglobulines G et du complément qui leur permettent de se lier à des complexes immuns et de présenter le complexe aux cellules B dans les centres germinatifs des organes lymphoïdes secondaires. (msdmanuals.com)
  • Les immunoglobulines sont des structures protéiques dont il existe deux formes : les immunoglobulines membranaires au niveau des lymphocytes B naïfs qui vont recevoir l'antigène du pathogène et les immunoglobulines solubles qui sont sécrétées dans le plasma par les plasmocytes (cellules dérivant des lymphocytes B). Les immunoglobulines solubles sont nommées anticorps et vont se fixer sur le pathogène. (wikipedia.org)
  • Comme récemment démontré chez la souris, la région 3'RR peut aussi être ciblée par des recombinaison médiée par AID, mais contrairement à la CSR, ce type de recombinaison qui joint la région Sμ et la 3'RR et qui s'appelle recombinaison suicide du locus IgH ou LSR entraîne une délétion complète de l'ensemble des gènes constants conduisant à la mort des cellules B par la perte de l'expression du BCR. (unilim.fr)
  • La recombinaison s'effectue toujours entre une région S donneuse (en général Sμ) et une région S receveuse variant selon l'environnement cytokinique. (medecinesciences.org)
  • Pendant la CSR, le locus IgH subit des changements tridimensionnels mettant les régions switch ciblés par AID à proximité de la région 3'RR afin de faciliter la recombinaison. (unilim.fr)