Réflexe H
Nerf Tibial
Réflexe Monosynaptique
Electromyography
Réflexes Anormaux
Muscles Squelettiques
Recrutement Neurophysiologique
Traumatismes De La Moëlle
Tractus Pyramidaux
Stimulation
Nerf Fibulaire Commun
Potentiels
Moelle Spinale
Massage
Pied
Locomotion
Réflexe
Articulation Talocrurale
Transcutaneous Electric Nerve Stimulation
Conditionnement (Psychologie)
Spasticité Musculaire
Conditionnement Opérant
Contraction Musculaire
Marche
Inhibition Nerveuse
Noyaux Du Cervelet
Syndromes De Compression Nerveuse
Plasticité Nerveuse
Chiropraxie
Racines Des Nerfs Spinaux
Réflexe
Encyclopedias as Topic
Troubles Dystoniques
Dystonie Musculaire Déformante
Le réflexe H, également connu sous le nom de réflexe palmo-mentonnier ou réflexe de Hoffmann, est un réflexe involontaire de la fermeture des doigts qui est déclenché en stimulant le tendon flexor digital communis d'un doigt. Ce réflexe est généralement évalué lors de l'examen neurologique et peut indiquer une lésion au niveau du faisceau corticospinal ou de la moelle épinière.
Dans un contexte clinique, le réflexe H est testé en pliant brusquement la distale phalange d'un doigt vers la paume de la main, ce qui provoque une contraction involontaire des muscles fléchisseurs des doigts et une flexion des interphalangiennes proximales. Ce réflexe est asymétrique ou absent chez les personnes en bonne santé, mais il peut être exagéré ou présent du côté affecté chez les personnes atteintes de certaines affections neurologiques, telles que la sclérose en plaques ou une lésion cérébrale.
Il est important de noter que le réflexe H peut être absent chez les personnes âgées ou celles qui ont des neuropathies périphériques, il doit donc être interprété dans le contexte de l'examen neurologique complet.
Le nerf tibial est un important nerf mixed (transportant à la fois des fibres sensorielles et motrices) dans l'anatomie humaine. Il est une branche terminale du nerf sciatique, qui est le nerf le plus large et le plus long dans le corps humain.
Le nerf tibial descend dans la jambe par la partie postérieure de la cuisse et passe derrière le genou. Il continue sa course vers le bas dans la jambe, où il donne des branches pour les muscles du mollet (les muscles gastrocnémien et soléaire) qui permettent la flexion de la jambe au niveau du genou et la flexion plantaire du pied.
Le nerf tibial fournit également des innervations sensorielles aux zones cutanées situées sur la plante du pied, ainsi qu'aux articulations de la cheville et du pied. Il joue donc un rôle crucial dans la motricité fine et la sensation sensitive de la jambe inférieure et du pied.
Un réflexe monosynaptique est un type de réflexe dans lequel il n'existe qu'une seule synapse entre l'élément sensoriel et l'élément moteur au sein du arc réflexe. Dans cette configuration, l'information sensorielle est transmise directement d'un neurone sensoriel afférent à un neurone moteur efférent via une connexion unique dans la moelle épinière ou le tronc cérébral.
Un exemple classique de réflexe monosynaptique est le réflexe myotatique, qui se produit lorsque les muscles sont étirés au-delà d'une certaine longueur. Dans ce réflexe, les fibres musculaires sensibles à l'étirement (fibres musculaires Ia) détectent l'allongement et envoient des signaux au niveau de la moelle épinière. Ces signaux sont transmis directement aux neurones moteurs qui innervent le muscle étiré, entraînant une contraction réflexe pour s'opposer à l'étirement.
Ces réflexes monosynaptiques permettent des réponses rapides et automatiques aux stimuli sensoriels, contribuant ainsi à la régulation du tonus musculaire et à la protection des tissus corporels contre les dommages potentiels.
L'électromyographie (EMG) est un examen diagnostique qui enregistre l'activité électrique des muscles au repos et pendant la contraction. Il utilise des aiguilles ou des électrodes de surface pour détecter ces impulsions électriques, known as action potentials, qui sont générées par les cellules musculaires lorsqu'elles sont stimulées.
L'EMG est utilisé pour diagnostiquer diverses affections neuromusculaires, telles que les maladies des nerfs moteurs, les lésions nerveuses, les troubles de la jonction neuromusculaire, les maladies musculaires et les conditions liées à la douleur ou à la faiblesse musculaire. Les résultats de l'EMG peuvent aider à déterminer la cause sous-jacente des symptômes du patient, à guider le plan de traitement et à évaluer la gravité et la progression de la maladie.
L'examen comporte deux parties : l'enregistrement au repos et l'enregistrement pendant la contraction volontaire. L'enregistrement au repos vise à détecter toute activité spontanée anormale, telle que des fasciculations ou des potentiels de fibrillation, qui peuvent indiquer une neuropathie ou une myopathie. L'enregistrement pendant la contraction volontaire évalue l'intégrité du nerf moteur et de la fonction musculaire en examinant la forme, l'amplitude et la durée des potentiels d'action générés par les muscles lorsqu'ils se contractent.
L'EMG est généralement considéré comme sûr et bien toléré, bien que certains patients puissent ressentir un certain degré d'inconfort ou de douleur pendant l'insertion des aiguilles. Les risques associés à l'examen sont minimes et comprennent généralement des ecchymoses, une infection ou une blessure nerveuse rare.
Les réflexes anormaux sont des réponses involontaires et inappropriées du corps à des stimuli normaux, dus à des perturbations du système nerveux. Ils peuvent être un signe de divers troubles neurologiques ou traumatismes. Les réflexes anormaux peuvent se manifester par des mouvements excessifs, absents ou inadéquats. Par exemple, certains réflexes présents à la naissance qui devraient disparaître avec le développement normal du cerveau, comme le réflexe de Babinski, peuvent persister en signe d'anomalie sous-jacente. D'autres réflexes anormaux peuvent apparaître à la suite d'une lésion cérébrale ou médullaire, tels que les réflexes pathologiques des membres supérieurs et inférieurs dans la paralysie cérébrale.
Les muscles squelettiques, également connus sous le nom de muscles striés squelettiques, sont des types spécifiques de tissus musculaires qui se connectent aux os et à d'autres structures via des tendons. Ils sont responsables de la production de force et de mouvements volontaires du corps. Les muscles squelettiques sont constitués de nombreuses fibres musculaires individuelles, organisées en faisceaux et recouvertes d'une membrane protectrice appelée épimysium. Chaque fibre musculaire est elle-même composée de plusieurs myofibrilles, qui contiennent des protéines contractiles telles que l'actine et la myosine. Ces protéines glissent les unes sur les autres lorsque le muscle se contracte, entraînant ainsi le mouvement des os auxquels elles sont attachées. Les muscles squelettiques peuvent également jouer un rôle dans la stabilisation articulaire, la posture et la thermorégulation du corps.
Les motoneurones sont des neurones situés dans la moelle épinière et le tronc cérébral qui ont pour rôle de transmettre les impulsions nerveuses aux muscles squelettiques, ce qui entraîne leur contraction et permet ainsi la mobilité volontaire. Ils constituent la dernière étape du système nerveux moteur avant la jonction neuromusculaire. Les motoneurones ont un corps cellulaire généralement large et des dendrites nombreuses qui reçoivent des informations en provenance de diverses sources, dont les neurones sensoriels, les interneurones et les neurones supra-spinaux. Leurs axones sont longs et myélinisés, ce qui leur permet de transmettre rapidement et efficacement les influx nerveux jusqu'aux plaques motrices des muscles squelettiques, où ils libèrent des neurotransmetteurs tels que l'acétylcholine pour déclencher la contraction musculaire. Les maladies ou les lésions affectant les motoneurones peuvent entraîner une paralysie, une faiblesse musculaire ou d'autres troubles moteurs.
Le recrutement neurophysiologique est un terme utilisé en médecine et en neurologie pour décrire la réponse des nerfs périphériques à une stimulation électrique. Il s'agit d'un processus permettant d'évaluer la fonction nerveuse et la conductivité nerveuse en appliquant une faible impulsion électrique sur un nerf, ce qui entraîne une réponse musculaire mesurable. Cette méthode est souvent utilisée dans le diagnostic de divers troubles neurologiques, tels que les neuropathies périphériques et les lésions nerveuses.
Lors d'un recrutement neurophysiologique, un électrodiagnostic est réalisé pour enregistrer l'activité musculaire en réponse à la stimulation nerveuse. Les résultats de ce test peuvent aider les médecins à déterminer la localisation et la gravité des dommages nerveux, ainsi qu'à suivre l'évolution de la maladie ou de la guérison au fil du temps.
Il est important de noter que le recrutement neurophysiologique ne doit pas être confondu avec d'autres tests neurophysiologiques tels que l'électroencéphalogramme (EEG) ou l'étude de conduction nerveuse, qui mesurent respectivement l'activité électrique du cerveau et la vitesse de transmission des impulsions nerveuses le long des nerfs.
Les tractus pyramidaux sont des faisceaux de fibres nerveuses dans le système nerveux central qui transmettent les mouvements volontaires et la sensibilité tactile discriminative depuis le cortex moteur primaire dans le cerveau vers les noyaux situés dans la moelle épinière. Ces fibres nerveuses descendent verticalement à travers la substance blanche de la moelle épinière, formant deux colonnes distinctes dans la partie antérieure et médiane de la moelle épinière, appelées respectivement la pyramide bulbaire et la pyramide cervicale. Les fibres du tractus pyramidal contrôlent les mouvements musculaires volontaires en transmettant des signaux moteurs aux neurones moteurs alpha dans la moelle épinière, qui à leur tour activent les muscles squelettiques correspondants.
Le nerf fibulaire commun, également connu sous le nom de nerf péronier commun, est un nerf mixte (transportant à la fois des informations sensorielles et motrices) qui émerge du faisceau postérieur de la moelle épinière au niveau de la quatrième ou de la cinquième vertèbre lombaire. Il descend dans la jambe en passant derrière le muscle biceps fémoral, puis traverse la loge postérieure de la jambe en compagnie des vaisseaux sanguins poplités superficiels.
Dans la loge postérieure de la jambe, il donne des branches musculaires qui innervent les muscles de la loge postérieure (par exemple, le muscle gastrocnémien, le muscle soléaire, le muscle plantaire). Il se divise ensuite en deux branches terminales : le nerf fibulaire superficiel et le nerf fibulaire profond.
Le nerf fibulaire superficiel chemine sous la membrane interosseuse de la jambe et donne des branches sensorielles aux régions cutanées latérales de la jambe et du dos du pied, ainsi que des branches motrices aux muscles de la loge antérieure de la jambe (par exemple, le muscle long fibulaire, le muscle court fibulaire).
Le nerf fibulaire profond chemine entre les deux muscles tête du péronier et aponévrose interosseuse et innerve les muscles de la loge antérieure de la jambe (par exemple, le muscle tibial antérieur, le muscle long extenseur des orteils, le muscle long extenseur de l'hallux). Il donne également une branche articulaire pour l'articulation de la cheville et du pied.
Des lésions ou des compressions du nerf fibulaire commun peuvent entraîner une perte de sensation dans les régions cutanées innervées, ainsi qu'une faiblesse ou une paralysie des muscles innervés, ce qui peut se traduire par des difficultés à marcher et à maintenir l'équilibre.
La cheville est une articulation complexe située entre le tibia et le péroné, deux os de la jambe, et l'astragale, un os du pied. Elle permet la flexion d'extension et la rotation latérale de la jambe par rapport au pied. La cheville est également composée de ligaments qui assurent la stabilité de l'articulation et des tendons qui relient les muscles aux os. Les problèmes courants affectant la cheville comprennent les entorses, les foulures, les fractures et l'arthrite. La douleur à la cheville peut être le signe d'une blessure ou d'une maladie sous-jacente et devrait être évaluée par un professionnel de la santé.
La moelle épinière est la partie centrale du système nerveux situé dans le canal rachidien formé par la colonne vertébrale. Elle s'étend du tronc cérébral, à partir de la région médullaire inférieure, jusqu'au niveau des premières lumbares (L1-L2) où elle se rétrécit pour former le filum terminale.
La moelle épinière est protégée par les os de la colonne vertébrale et contient environ un million de neurones qui transmettent des informations sensorielles et motrices entre le cerveau et le reste du corps. Elle est organisée en segments correspondant aux nerfs spinaux sortants qui innerve différentes régions anatomiques.
La moelle épinière est également responsable de certaines réflexes simples, tels que le retrait rapide de la main lorsqu'elle touche une surface chaude, sans nécessiter l'intervention du cerveau.
En médecine, un massage est décrit comme une manipulation des tissus mous du corps, y compris le muscle, le tissu conjonctif, les tendons, les ligaments et les lignes nerveuses, grâce à une variété de mouvements manuels. Ces mouvements peuvent inclure l'effleurage, le pétrissage, la friction, la percussion et le tapotement, exécutés avec différents degrés de pression et de vitesse.
Le massage est utilisé à des fins thérapeutiques pour promouvoir la relaxation, améliorer la circulation sanguine et lymphatique, soulager le stress, la douleur et les tensions musculaires, réduire l'anxiété et favoriser une meilleure qualité de sommeil. Il peut également aider à accélérer le processus de guérison des blessures et à améliorer la mobilité articulaire.
Il existe différents types de massages thérapeutiques, tels que le massage suédois, le massage deep tissue, le massage sportif, le massage shiatsu et le massage thaïlandais, chacun ayant ses propres techniques et bienfaits spécifiques. Cependant, il est important de noter que le massage ne doit pas être utilisé comme substitut aux soins médicaux appropriés et qu'il peut ne pas être recommandé dans certaines conditions médicales, telles que les troubles de la coagulation sanguine, les lésions cutanées ou les infections.
En médecine, le pied est la partie distale et inférieure de la jambe qui se compose de 26 os (phalanges, métatarsiens, cunéiformes, cuboïde, naviculaire et tarse) et d'une multitude de muscles, tendons, ligaments, vaisseaux sanguins et nerfs. Il est divisé en trois parties : le talon (calcaneus), l'arche plantaire (formée par les os du tarse et des métatarsiens) et les orteils (phalanges).
Le pied joue un rôle crucial dans la posture, la marche, la course et l'équilibre. Il absorbe les chocs lors de la marche et sert de levier pour propulser le corps vers l'avant. Le pied est également une zone sensible riche en terminaisons nerveuses qui permettent de recevoir des informations tactiles, thermiques et proprioceptives (position dans l'espace).
Des problèmes au niveau du pied peuvent entraîner des douleurs, des déformations, des difficultés à marcher et des troubles posturaux. Les affections courantes du pied comprennent les pieds plats, les oignons, les orteils en marteau, les inflammations des tendons (tendinite), les fractures de stress, les infections fongiques et les cors/durillons.
En termes médicaux, la locomotion se réfère au mouvement ou à la capacité de se déplacer d'un endroit à un autre. Cela implique généralement l'utilisation des membres et du tronc pour se déplacer dans l'environnement. La locomotion est une fonction motrice complexe qui nécessite une coordination adéquate entre les systèmes nerveux central et périphérique, ainsi que la force et l'endurance musculaires appropriées.
Les personnes atteintes de certaines conditions médicales, telles que des lésions de la moelle épinière ou des maladies neurodégénératives comme la sclérose en plaques, peuvent avoir des difficultés avec la locomotion. Des interventions thérapeutiques, y compris la physiothérapie et l'entraînement à la marche, peuvent être utiles pour améliorer la capacité de locomotion chez ces individus.
Il est important de noter que la définition de la locomotion peut varier légèrement en fonction du contexte médical ou scientifique spécifique. Par exemple, dans le domaine de la robotique, la locomotion peut se référer au mouvement d'un robot ou d'un appareil prosthétique.
L'articulation talocrurale est l'articulation située entre le talus (un os du tarse) et les os du tibia et du fibula (os de la jambe). Elle est également connue sous le nom d'articulation de la cheville. Cette articulation permet la flexion dorsale et plantaire (pointage des orteils vers le haut ou vers le bas) et la rotation latérale de la cheville. Les mouvements de l'articulation talocrurale sont importants pour la marche, la course et d'autres activités physiques. Des problèmes avec cette articulation peuvent entraîner des douleurs et une limitation de la mobilité.
Les aptitudes motrices sont des compétences et capacités physiques qui permettent à un individu de se déplacer et d'effectuer des mouvements corporels précis, contrôlés et efficaces. Elles incluent la force, l'endurance, la souplesse, la coordination, l'équilibre, la réactivité et la rapidité des mouvements. Les aptitudes motrices sont importantes pour les activités quotidiennes telles que marcher, courir, sauter, attraper un objet, se pencher ou se retourner dans le lit. Elles sont également essentielles pour les performances sportives et la réadaptation fonctionnelle après une blessure ou une maladie. Les aptitudes motrices peuvent être améliorées grâce à l'entraînement et l'exercice réguliers, ainsi qu'à des interventions thérapeutiques spécifiques telles que la physiothérapie ou l'ergothérapie.
La stimulation électrique nerveuse transcutanée (TENS) est une méthode non invasive et à faible risque de traiter la douleur en appliquant des impulsions électriques à travers la peau. Elle vise à stimuler les nerfs situés près de la surface de la peau, dans le but de provoquer une modification de la perception de la douleur par le cerveau.
Le dispositif TENS utilisé pour ce traitement comporte généralement une boîte de commande portable qui génère des impulsions électriques et deux ou plusieurs électrodes autocollantes qui sont placées sur la peau à proximité de la zone douloureuse. Les patients peuvent souvent régler l'intensité, la fréquence et la durée des impulsions en fonction de leurs préférences et de leur niveau de confort.
L'efficacité de la TENS pour le traitement de la douleur est variable d'un patient à l'autre. Certaines études ont montré que la TENS peut être bénéfique pour certains types de douleurs, telles que la douleur aiguë et chronique, la douleur neuropathique et la douleur musculo-squelettique. Cependant, d'autres études n'ont pas été en mesure de démontrer clairement ses avantages par rapport à un placebo ou à d'autres traitements.
Il est important de noter que la TENS ne doit être utilisée qu'après avoir consulté un professionnel de santé qualifié, qui pourra évaluer l'état du patient et déterminer si ce traitement est approprié dans son cas.
La spasticité musculaire est un trouble du tonus musculaire caractérisé par une augmentation du réflexe tendineux et une résistance accrue au mouvement passif. Elle résulte généralement d'une lésion ou d'une maladie du cerveau ou de la moelle épinière, qui perturbe les voies nerveuses responsables du contrôle musculaire.
Dans des conditions normales, notre système nerveux régule le tonus musculaire pour permettre des mouvements fluides et contrôlés. Cependant, lorsque ces voies sont endommagées, comme dans la sclérose en plaques ou une lésion cérébrale traumatique, les muscles peuvent devenir raides et difficiles à déplacer.
La spasticité peut affecter n'importe quel muscle du corps mais elle est souvent plus prononcée dans les membres inférieurs. Les symptômes varient d'une personne à l'autre, allant de légers jusqu'à sévères. Ils peuvent inclure des raideurs musculaires, des mouvements involontaires, des secousses musculaires, une démarche rigide ou boiteuse, et des douleurs.
Le traitement de la spasticité vise à gérer les symptômes et à améliorer la fonction et la qualité de vie. Il peut inclure des médicaments, des thérapies physiques, des interventions chirurgicales ou l'utilisation d'appareils orthopédiques.
Le conditionnement opérant, également connu sous le nom d'apprentissage instrumental ou d'apprentissage operant, est un type d'apprentissage associatif dans lequel un comportement est modifié en fonction de ses conséquences. Il a été largement étudié dans le domaine de la psychologie et de l'apprentissage animal.
Dans le conditionnement opérant, un organisme apprend à associer une réponse spécifique à une conséquence particulière. Cette conséquence peut être soit positive (récompense) ou négative (punition). Par exemple, dans l'apprentissage par renforcement positif, un comportement est suivi d'une récompense, ce qui augmente la probabilité que le comportement se produise à nouveau dans des situations similaires à l'avenir. Inversement, dans l'apprentissage par punition négative, un comportement est suivi de l'élimination d'une conséquence désagréable, ce qui augmente également la probabilité que le comportement se produise à nouveau dans des situations similaires.
Le conditionnement opérant diffère du conditionnement classique (ou répondant) en ce que dans ce dernier, un stimulus est associé à une réponse involontaire ou inconditionnelle, plutôt qu'à un comportement volontaire ou appris. Dans le conditionnement opérant, c'est le comportement qui est modifié en fonction des conséquences, plutôt que la réponse à un stimulus spécifique.
Le conditionnement opérant a été largement étudié dans les laboratoires de psychologie et d'apprentissage animal en utilisant des techniques telles que l'entraînement shaping, dans lequel un comportement complexe est progressivement façonné à partir d'un comportement plus simple grâce à une série de renforcements positifs. Cette méthode a été utilisée pour entraîner les animaux à effectuer une variété de tâches et de comportements, y compris la résolution de problèmes et l'utilisation d'outils.
Une contusion, également connue sous le nom de bleu, est un type de blessure qui se produit lorsqu'un vaisseau sanguin est endommagé mais pas rompu, entraînant un hématome ou une accumulation de sang dans les tissus mous. Cela se produit généralement en raison d'un traumatisme contondant, comme une chute, un coup ou un impact avec une surface dure.
Les symptômes d'une contusion peuvent inclure :
1. Douleur et sensibilité dans la zone touchée
2. Rougeur et gonflement
3. Raideur musculaire
4. Ecchymose ou décoloration de la peau, qui peut apparaître progressivement et changer de couleur au fil du temps, passant du bleu-violet au vert, jaune et finalement brun avant de disparaître complètement.
Dans la plupart des cas, les contusions sont bénignes et ne nécessitent aucun traitement particulier, sauf peut-être l'application de glace pour réduire le gonflement et soulager la douleur. Cependant, dans certains cas, une ecchymose importante ou douloureuse peut indiquer des dommages plus graves aux tissus sous-jacents, comme les os, les muscles, les tendons ou les ligaments, ce qui peut nécessiter un traitement médical supplémentaire.
Il est important de consulter un professionnel de la santé si vous ressentez une douleur intense, une incapacité à bouger la zone touchée, une ecchymose inhabituelle ou des signes de complications, tels qu'une fièvre, des rougeurs croissantes, un gonflement important ou une décharge provenant de la zone blessée.
Les neurones afférents, également connus sous le nom de neurones sensoriels ou neurones sensorielles, sont une catégorie de neurones qui transmettent des informations en provenance de l'environnement extérieur ou des organes internes vers le système nerveux central. Ils constituent la première partie du chemin sensoriel et sont responsables de la détection et de la transduction des stimuli physiques, chimiques ou mécaniques en impulsions électriques, appelées potentiels d'action.
Ces neurones afférents ont leurs cellules situées dans les organes sensoriels tels que la rétine pour la vision, la cochlée pour l'audition, ou encore dans la peau pour le toucher. Les axones de ces neurones se regroupent ensuite en nerfs crâniens ou spinaux pour transmettre les informations au cerveau ou à la moelle épinière.
En résumé, les neurones afférents sont des neurones sensoriels qui détectent et transmettent des stimuli vers le système nerveux central, permettant ainsi la perception consciente de notre environnement et de notre état interne.
La contraction musculaire est un processus physiologique où les fibres musculaires raccourcissent, s'épaississent et génèrent de la force. Cela se produit lorsque l'activité électrique stimule le muscle pour contracter, ce qui entraîne le mouvement des os ou d'autres structures corporelles. Les contractions musculaires peuvent être volontaires, comme soulever un objet, ou involontaires, comme le battement de cœur. Elles sont essentielles au fonctionnement normal du corps humain, permettant la mobilité, la circulation sanguine, la respiration et d'autres fonctions vitales.
La neurophysiologie est une sous-spécialité de la physiologie et de la neurologie qui étudie les fonctions des systèmes nerveux central et périphérique. Elle examine comment les neurones et les cellules gliales communiquent entre eux et avec d'autres types de cellules pour générer des réponses fonctionnelles complexes. La neurophysiologie utilise souvent des enregistrements électrophysiologiques pour examiner l'activité neuronale à différents niveaux, allant du potentiel d'action unique au potentiel de champ local ou aux réponses des ondes cérébrales. Cette discipline médicale contribue à notre compréhension des mécanismes sous-jacents à divers processus cognitifs et comportementaux, ainsi qu'à la base physiologique de nombreuses maladies neurologiques.
En termes médicaux, la jambe se réfère généralement à la partie inférieure de l'extrémité inférieure, situé sous le genou et s'étendant jusqu'au pied. Il comprend trois segments : la cuisse (partie supérieure), le mollet (partie centrale) et le avant-pied/tarse/pied (partie inférieure). La jambe contient plusieurs os, y compris la fibula et le tibia dans le mollet, ainsi que plusieurs muscles, tendons, ligaments, artères, veines et nerfs qui travaillent ensemble pour permettre la mobilité et assurer la fonction de la jambe.
La marche est un mouvement rythmique et alterné des membres inférieurs qui permet à un individu de se déplacer d'un endroit à un autre en position verticale et bipède. Elle implique une coordination complexe entre les systèmes musculo-squelettiques, nerveux et sensoriels pour maintenir l'équilibre, la posture et le mouvement. La marche peut être décrite comme une série de cycles comportant deux phases : la phase d'appui (lorsque le pied est en contact avec le sol) et la phase de balancier (lorsque le pied est en l'air). Cette activité physique courante et essentielle joue un rôle important dans la santé cardiovasculaire, respiratoire, neuromusculaire et cognitive.
L'inhibition nerveuse est un processus physiologique dans le système nerveux où les neurones, ou cellules nerveuses, régulent l'activité des autres neurones en diminuant leur excitabilité et leur taux de décharge. Cela se produit lorsqu'un neurone inhibiteur libère des neurotransmetteurs inhibiteurs, tels que le GABA (acide gamma-aminobutyrique) ou le glycine, dans la fente synaptique, ce qui entraîne une hyperpolarisation de la membrane postsynaptique du neurone cible. En conséquence, il devient plus difficile pour le neurone cible d'atteindre le seuil d'activation et de générer des potentiels d'action, réduisant ainsi son activité globale.
L'inhibition nerveuse joue un rôle crucial dans la modulation de l'activité neuronale et contribue à la régulation des circuits neuronaux impliqués dans divers processus physiologiques et comportementaux, tels que la perception sensorielle, la motricité, la cognition et l'humeur. Un déséquilibre de l'inhibition nerveuse a été associé à plusieurs troubles neurologiques et psychiatriques, y compris l'épilepsie, l'anxiété, la dépression et les troubles neurodégénératifs.
Les noyaux du cervelet, également connus sous le nom de noyaux profonds ou noyaux vestibulaires, sont des groupes de neurones situés dans la région centrale du cervelet. Ils jouent un rôle crucial dans l'intégration et le traitement des informations sensorielles et motrices pour coordonner les mouvements volontaires et involontaires.
Il existe quatre principaux noyaux du cervelet :
1. Noyau fastigial : situé dans la partie médiane du cervelet, il reçoit des afférences principalement du cortex cérébelleux et du tronc cérébral. Il est impliqué dans le contrôle de la posture, de l'équilibre et des mouvements oculaires.
2. Noyau globose : situé latéralement au noyau fastigial, il reçoit des afférences du cortex cérébelleux et des noyaux vestibulaires du tronc cérébral. Il contribue aux mouvements oculaires et à la coordination des membres supérieurs.
3. Noyau emboliforme : situé latéralement au noyau globose, il reçoit également des afférences du cortex cérébelleux et des noyaux vestibulaires. Il est responsable de la coordination des mouvements des membres supérieurs et inférieurs.
4. Noyau dentelé : le plus latéral et le plus volumineux des noyaux, il reçoit des afférences principalement du cortex cérébelleux et est responsable de la planification et de l'exécution des mouvements complexes, tels que ceux nécessaires à l'écriture ou à la manipulation d'objets.
Les noyaux du cervelet sont interconnectés avec d'autres structures cérébrales, telles que le thalamus et le cortex moteur, formant des boucles de rétroaction qui permettent une régulation fine et un contrôle précis des mouvements volontaires.
Les syndromes de compression nerveuse sont un groupe de conditions dans lesquelles un nerf ou plusieurs nerfs sont comprimés ou endommagés, entraînant une variété de symptômes. Ces symptômes peuvent inclure des douleurs, des picotements, des engourdissements, des faiblesses musculaires et une perte de sensation dans la zone du corps où le nerf est affecté.
Les syndromes de compression nerveuse peuvent être causés par une variété de facteurs, y compris une pression anormale sur un nerf due à une blessure, une maladie sous-jacente, une mauvaise posture ou des mouvements répétitifs. Certains exemples courants de syndromes de compression nerveuse comprennent le syndrome du canal carpien, qui affecte le nerf médian dans la main, et le syndrome du tunnel tarsien, qui affecte le nerf tibial postérieur dans le pied.
Le traitement des syndromes de compression nerveuse dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des changements de mode de vie, des médicaments pour soulager la douleur et l'inflammation, une thérapie physique ou une intervention chirurgicale dans les cas graves. Il est important de consulter un médecin si vous ressentez des symptômes de compression nerveuse, car une détection et un traitement précoces peuvent aider à prévenir des dommages nerveux permanents.
La plasticité nerveuse, également connue sous le nom de neuroplasticité, est la capacité du cerveau et des nerfs à changer et à s'adapter en réponse à des expériences nouvelles, des lésions ou des processus de développement. Cela peut inclure des changements dans la structure, la fonction, les connexions et les processus chimiques des neurones (cellules nerveuses) et des circuits neuronaux.
La plasticité nerveuse est un mécanisme important qui permet au cerveau de se réorganiser et de compenser les dommages, tels que ceux causés par une lésion cérébrale ou une maladie dégénérative. Elle joue également un rôle crucial dans l'apprentissage et la mémoire, en permettant au cerveau de stocker et d'accéder à des informations nouvelles.
La plasticité nerveuse peut se produire à différents niveaux, allant de changements moléculaires dans les synapses (les points de contact entre les neurones) à des réorganisations plus importantes des circuits et des régions cérébrales entières. Elle peut être influencée par une variété de facteurs, y compris l'expérience sensorimotrice, l'apprentissage, la dégénérescence neuronale, les lésions et les traitements thérapeutiques.
La chiropraxie est une profession de la santé qui se concentre sur le diagnostic, le traitement et la prévention des troubles du système musculo-squelettique et des nerfs. Les praticiens de la chiropraxie, appelés chiropracteurs, utilisent des ajustements ou manipulations vertébrales manuelles pour corriger les désalignements de la colonne vertébrale et améliorer la fonction nerveuse.
Les chiropracteurs peuvent également utiliser d'autres thérapies complémentaires telles que la thérapie physique, l'exercice, le conseil nutritionnel et les soins de soutien pour aider à gérer les douleurs chroniques, les maux de tête, les douleurs articulaires et d'autres conditions liées au système musculo-squelettique.
La chiropraxie est considérée comme une médecine complémentaire et alternative (MCA) dans de nombreux pays, mais elle est reconnue comme une profession de la santé réglementée dans de nombreuses juridictions à travers le monde. Les chiropracteurs doivent suivre une formation rigoureuse et obtenir une licence pour pratiquer leur métier.
Il est important de noter que, bien que la chiropraxie puisse être bénéfique pour certaines conditions, elle peut ne pas être appropriée ou sans risque pour tous. Avant de commencer un traitement en chiropraxie, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des conseils médicaux et déterminer si la chiropraxie est une option de traitement appropriée pour vous.
Les racines nerveuses spinaux, également connues sous le nom de radicules spinales, se réfèrent aux parties initiales des nerfs rachidiens qui émergent de la moelle épinière à travers les foramens intervertébraux (ou trous entre les vertèbres) dans la colonne vertébrale. Chaque racine nerveuse spinale est formée par l'union d'un axone moteur provenant de neurones situés dans la moelle épinière et d'axones sensoriels en provenance des récepteurs sensoriels du corps.
Les racines nerveuses spinaux sont classées anatomiquement en deux groupes : les racines antérieures (ou ventrales) et les racines postérieures (ou dorsales). Les racines antérieures contiennent principalement des fibres motrices qui transmettent les signaux moteurs du système nerveux central vers les muscles squelettiques. En revanche, les racines postérieures sont constituées de fibres sensorielles qui conduisent les informations sensorielles provenant de la peau, des articulations et des organes internes vers le système nerveux central.
Les lésions ou compressions des racines nerveuses spinaux peuvent entraîner une variété de symptômes neurologiques, tels que des douleurs neuropathiques, des faiblesses musculaires, des engourdissements, des picotements et une perte de réflexes. Ces conditions peuvent être causées par divers processus pathologiques, notamment les hernies discales, la sténose spinale, les traumatismes, les tumeurs ou les infections.
Un réflexe, dans le contexte de la médecine et de la physiologie, est une réponse involontaire et automatique du corps à un stimulus spécifique. Il s'agit d'un mécanisme de contrôle rapide et efficace qui permet au système nerveux de réguler certaines fonctions corporelles sans passer par le processus conscient de la pensée ou de la décision. Les réflexes sont médiés par des circuits neuronaux spécifiques appelés arcs réflexes, qui impliquent généralement une voie afférente sensorielle et une voie efférente motrice. Un exemple classique d'un réflexe est le réflexe myotatique, ou réflexe du genou, dans lequel la percussion du tendon rotulien provoque une contraction rapide du muscle quadriceps, entraînant une extension soudaine de la jambe. Les réflexes sont des mécanismes importants pour maintenir l'homéostasie et protéger le corps contre les dommages potentiels.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
Les troubles dystoniques sont un groupe de mouvements anormaux et de postures causés par des dysfonctionnements dans le système nerveux qui contrôle les muscles. Dans ces troubles, les muscles se contractent involontairement, entraînant des répétitions de mouvements involontaires, des postures tordues ou des contorsions. Ces mouvements peuvent être douloureux et affecter un seul muscle ou un groupe de muscles. Les troubles dystoniques peuvent affecter n'importe quelle partie du corps, y compris le visage, la langue, le cou, les bras, les mains, les jambes et les pieds.
Les exemples courants de troubles dystoniques comprennent la dystonie cervicale (torticolis spasmodique), dans laquelle les muscles du cou se contractent involontairement, entraînant une tête penchée ou tournée; la dystonie focale, qui affecte un muscle ou un groupe de muscles spécifiques; et la dystonie généralisée, qui affecte tout le corps.
Les causes des troubles dystoniques peuvent être génétiques, liées à une lésion cérébrale ou à une maladie neurologique sous-jacente, ou être d'origine inconnue. Le traitement peut inclure des médicaments, la physiothérapie, la thérapie occupationnelle, les injections de toxine botulique et, dans certains cas, la chirurgie.
La dystonie musculaire déformante (DMD) est un trouble du mouvement caractérisé par des contractions musculaires involontaires prolongées qui peuvent entraîner des postures et des mouvements répétitifs, anormaux et souvent douloureux. Les symptômes de la DMD peuvent affecter n'importe quel muscle du corps, mais ils sont le plus souvent localisés dans les muscles du visage, de la langue, de la mâchoire, du cou, des bras et des jambes.
Dans certains cas, la dystonie peut être généralisée, affectant de nombreux groupes musculaires simultanément. La sévérité des symptômes peut varier considérablement d'une personne à l'autre, allant de légers à graves. Dans les cas graves, la dystonie peut entraîner une déformation et une incapacité fonctionnelle importantes.
La cause exacte de la DMD est inconnue dans la plupart des cas, mais elle est souvent associée à des anomalies génétiques qui affectent la transmission des signaux entre le cerveau et les muscles. Dans certains cas, la dystonie peut être un effet secondaire d'une lésion cérébrale ou d'une maladie neurologique sous-jacente.
Le traitement de la DMD dépend de la gravité des symptômes et de leur impact sur la fonction quotidienne. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments, des injections de toxine botulique, des thérapies physiques et de réadaptation, et dans certains cas, la chirurgie.
Réflexe
Réflexe achilléen
Réflexe archaïque
Réflexe autonome
Réflexe crémastérien
Réflexe ostéotendineux
Arc réflexe
Réflexe (homonymie)
Réflexe photomoteur
Réflexe stapédien
Réflexe glabellaire
Réflexe cornéen
Réflexe d'Unken
Réflexe idiomusculaire
Réflexe rouge
Réflexe respiratoire
Réflexe photo-sternutatoire
Réflexe cutané plantaire
Réflexe de flexion
Réflexe de grattage
Réflexe vestibulo-oculaire
Réflexe du cintre
Réflexe de Moro
Réflexe de Ferguson
Réflexe optico-palpébral
Réflexe de préhension
Arc réflexe (arme)
Réflexe gusto-facial
Le Réflexe de survie
Réflexe de Bezold-Jarisch
Réflexe - Wikipedia
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Adopter3
- Pour profiter pleinement, découvrez les bons réflexes à adopter. (magazine-avantages.fr)
- Pour lutter contre les cambriolages, adopter les bons réflexes et les règles de bon sens permet de réduire les risques. (mairie-ramonville.fr)
- Les invités, qui ont pu se déplacer et que nous remercions, ont assisté à une table ronde centrée sur les bons réflexes à adopter autour d'une cyberattaque, à partir du témoignage du président-directeur général de la société Altran . (gouv.fr)
D'un8
- Une activité réflexe est produite par un « arc réflexe », le mécanisme de réponse intégrée d'un centre nerveux sans intervention du cerveau et de la volonté consciente. (wikipedia.org)
- C'est la raison pour laquelle le premier réflexe à avoir lors d'un sinistre est d'appeler votre assurance afin de faire jouer vos garanties . (repp.org)
- Il s'agit d'une bonne pratique issue du livre « Les Réflexes des Entrepreneurs motivés et déterminés » et confirmée par un expert en motivation lors d'un discours TEDx, Reggie Rivers. (portail-des-pme.fr)
- L'enregistrement de l'activité électrique d'une fibre afférente et d'une fibre efférente lors d'un réflexe myotatique montre que les messages sensitifs et moteurs sont différents. (maxicours.com)
- Au cours d'un réflexe myotatique, l'enregistrement des réponses nerveuses au niveau des fibres nerveuses afférentes et efférentes de la moelle épinière montre que le délai mis par le message pour aller d'une paire d'électrodes réceptrices à l'autre est relativement court. (maxicours.com)
- Pour rechercher le signe de Babinski, on stimule d'arrière en avant le bord latéral de la plante du pied avec un abaisse-langue ou le manche d'un marteau à réflexes. (msdmanuals.com)
- Parfois le réflexe de toux peut être majoré, « déréglé » du fait d'un excès de sensibilité des récepteurs de la toux : ceci va entraîner une toux disproportionnée, inadaptée. (medscape.com)
- Les facteurs pronostiques selon l'analyse uni variée étaient: un antécédent d'hypoacousie controlatérale, la présence d'un vertige associé, la sévérité de la perte auditive initiale, une courbe audiométrique de type E, l'absence du réflexe stapédien et le recours à l'oxygénothérapie hyperbare (OHB). (bvsalud.org)
Ayez1
- Mois de la prévention de la fraude : ayez le bon réflexe! (protegez-vous.ca)
D'une2
- Comme toute réflexothérapie, elle cherche à provoquer un réflexe capable de rétablir l'équilibre d'une ou plusieurs fonctions. (afme.org)
- Québec, le 21 avril 2022 - L'adoption d'une charte des régions est un excellent moyen pour mettre en place le Réflexe région, un sujet qui anime les discussions des membres de la Fédération québécoise des Municpalités (FQM). (fqm.ca)
Musculaire1
- Un réflexe est une réponse musculaire involontaire, stéréotypée et très rapide à un stimulus. (wikipedia.org)
N'est1
- Ce réflexe n'est pas utile pour les humains, mais il permet aux petits de certains mammifères de marcher dès leur naissance. (naitreetgrandir.com)
Myotatique5
- Cette réponse du muscle en réponse à son propre étirement est qualifiée de réflexe myotatique . (maxicours.com)
- Les muscles étant constamment soumis à la pesanteur, provoquant leur étirement, le réflexe myotatique joue un rôle prépondérant dans le maintien de la posture. (maxicours.com)
- Dans le cas du réflexe myotatique, le muscle est à la fois récepteur du stimulus, son étirement, et effecteur, par sa contraction. (maxicours.com)
- Lors de ce même réflexe myotatique, l'enregistrement effectué au niveau du motoneurone relié au muscle antagoniste montre que le délai d'enregistrement est double du précédent. (maxicours.com)
- L'étude des réflexes tendineux (réflexe d'étirement ou réflexe myotatique) renseigne sur la voie sensitive afférente, les connexions synaptiques au niveau de la moelle épinière, la voie motrice efférente et des voies motrices descendantes. (msdmanuals.com)
Rechercher1
- Pour rechercher le réflexe Chaddock, la partie latérale du pied, de la malléole externe au petit orteil, est frappée avec un objet contondant. (msdmanuals.com)
Babinski2
- signes de Babinski, de Chaddock, d'Oppenheim, de la moue, des points cardinaux, de préhension) sont des réflexes archaïques indiquant un défaut d'inhibition corticale. (msdmanuals.com)
- Les réflexes de Babinski, de Chaddock et d'Oppenheim évaluent tous la réponse plantaire. (msdmanuals.com)
Rester2
- Adoptons ensemble les bons réflexes pour rester au cœur de vos priorités et des processus qui valorisent avec efficience et concrètement vos projets. (cci.fr)
- Même si ce réflexe est présent jusqu'à l'âge de 1 an, il vaut mieux rester prudent afin d'éviter que votre tout-petit avale de l'eau et s'étouffe. (naitreetgrandir.com)
Provoquer1
- Il m'est arrivé de tirer mon lait assez fréquement sans soucis mais depuis que je le tire au boulot je n'arrive plus à provoquer le réflexe d'éjection, donc je ne fais que vider les canaux et mes seins restent plein. (magicmaman.com)
Neurologique1
- Des réflexes absents à la naissance ou qui ne disparaissent pas avec le temps peuvent indiquer certaines problématiques, comme une maladie neurologique ou une malformation cérébrale. (naitreetgrandir.com)
Gros orteil2
- Le réflexe cutané plantaire : Flexion du gros orteil lorsque l'on stimule la face plantaire du talon vers les orteils. (wikipedia.org)
- La réponse normale du réflexe cutané plantaire est la flexion du gros orteil. (msdmanuals.com)
Flexion1
- les réflexes de flexion. (wikipedia.org)
Jusqu'à2
- L'« arc réflexe » est le trajet suivi par les messages nerveux depuis le récepteur jusqu'à l'effecteur. (wikipedia.org)
- Ce réflexe est présent jusqu'à l'âge de 2 ou 3 mois. (naitreetgrandir.com)
L'approche1
- L'approche des réflexes archaïques auprès de ces enfants en difficulté va apporter de la légèreté, avec des moyens ludiques et faciles à mettre en place aux familles. (kine-formations.com)
Motrice1
- cette activité motrice repose sur des mécanismes réflexes . (maxicours.com)
Quotidien1
- Vous trouverez des pratiques à proposer en consultation et des mouvements à mettre en place au quotidien facilitant l'intégration de ces réflexes. (kine-formations.com)
Lien1
- Dans cette formation, nous étudierons certains réflexes en lien avec les difficultés scolaires comme le réflexe de Pérez ou le réflexe tonique asymétrique du cou. (kine-formations.com)
Retrait2
- Les réflexes sont souvent des réactions de défense, comme le retrait du membre en cas de brûlure, avant que le cerveau ait perçu la douleur. (wikipedia.org)
- Chez les patients sensibles, la réponse réflexe peut être masquée par un retrait volontaire rapide du pied, ce que l'on peut éviter en recherchant les signes de Chaddock ou d'Oppenheim. (msdmanuals.com)
Cerveau1
- Ces réflexes se produisent automatiquement sans que le bébé envoie de message à son cerveau. (naitreetgrandir.com)
Stimulation2
- Bassin : Le réflexe anal : contraction sphinctérienne à la piqûre de la marge anale ou l'effleurement avec un coton, au pincement du gland ou du clitoris, à l'étirement rapide de l'anus, à la toux ou à la stimulation de la plante du pied. (wikipedia.org)
- la stimulation ne doit pas être trop médiale pour ne pas induire un réflexe archaïque de préhension (grasping). (msdmanuals.com)
Formation1
- Sur les autres projets Wikimedia : réflexe, sur le Wiktionnaire Georges Canguilhem, La Formation du concept de réflexe aux XVIIè et XVIIIè siècles, Paris, PUF, 1955 Charles Scott Sherrington, Reflexes elicitable in the cat from pinna, vibrissae and jaws, J. Physiol. (wikipedia.org)
Ensemble1
- Les nouveau-nés naissent avec un ensemble de réflexes. (naitreetgrandir.com)
J'ai1
- Soyez à l'affût de notre campagne J'ai le bon réflexe . (protegez-vous.ca)
L'on1
- Étant donné qu'il est difficile de ne faire que ce que l'on aime tous les jours, l'objectif de ce réflexe sera de disséminer des « épices » de ce que vous aimez dans les tâches que vous aimez le moins. (placedesreseaux.com)
Cours1
- Tous ces réflexes de base disparaissent au cours de la première année de vie de l'enfant. (naitreetgrandir.com)
Atteindre1
- Ce réflexe peut le préparer à atteindre des objets et à les prendre dans sa main. (naitreetgrandir.com)
Gestion1
- Chaque participant s'est vu remettre le kit complet de sensibilisation aux risques numériques de Cybermalveillance.gouv.fr ainsi qu'un livrable de méthodologie sur la gestion des incidents de sécurité présentée par Syntec Numérique. (gouv.fr)
C'est1
- c'est-à-dire, troubles non liés aux noyaux gris centraux situés au-dessus de la cellule de la corne antérieure) augmentent les réflexes. (msdmanuals.com)
Niveau1
- Ce réflexe est à son niveau maximal à l'âge de 1 mois et disparaît vers l'âge de 6 mois. (naitreetgrandir.com)