Injection intramusculaire suppuration du gros muscles squelettiques. Elle est associée à infection tels que Staphylococcus aureus et des pyodermites. C'était connu comme une maladie tropicale mais augmente parmi les immunodéprimé (immunodéprimé HOST). Les symptômes incluent douleurs musculaires, de fièvre et leucocytose. Il a été diagnostiqué par IRM SCANS.
Une inflammation des muscles ou les muscles.
Antibiotique de la cloxacilline analogique.
Accumulation de matériau purulente dans les tissus, organes ou restreintes espaces, associée habituellement à des signes d'infection.
Un processus pathologique consistant en la formation de pus.
Abcès des muscles psoas résultant habituellement d'une maladie de tassements vertebraux, avec le pus qui descend dans la gaine musculaire. L'infection à staphylocoques est généralement ou tuberculeux.
Profonde des muscles du dos dont la fonction consiste à étendre et de tourner le dos et maintenez posture. Elle consiste splenius, muscle, multifidus, rotatores, interspinales, intertransversarii et sacrospinalis.
Les infections à bactéries du genre Staphylococcus.
La partie de la jambe dans les humains et d'autres animaux trouvé entre les branchés et genou.
Une douleur pelvienne, caractérisée par la douleur chronique dans le muscle fessier pouvant rayonner vers postérieures de la jambe. C'est provoqué par la masse musculaire Piriformis irritant la sciatique ou culot dû à un traumatisme, une hypertrophie, inflammation ou d ’ une même variations.
Deux protubérances inférieure charnue postérieure à la rubrique de la malle ou primates HIP chez l'homme sur lequel une personne ou un animal s'assoit, constitué de muscles fessier et gros.
Le plus grand de 3 os qui composent chaque moitié de la ceinture pelvienne.
La suppression des liquides ou renvois de l'organisme, comme d'une blessure, endolorie ou carie.
Un abcès situés dans la cavité abdominale, c 'est-à-dire, la cavité entre le diaphragme au-dessus et le pelvis ci-dessous. (De Dorland, 27 e)
Maladies impliquant plusieurs muscles caractérisée par une inflammation. Ça peut être due à une maladie aiguë ou chronique par des médicaments associés (drogue) ; HEPATIQUE tissu conjonctif maladies ; les infections : Tumeurs malignes ; et d ’ autres troubles. Le terme polymyosite est souvent utilisé pour décrire une entité clinique spécifique ou lentement subaiguë caractérisé par une progression faiblesses affectant principalement la proximale branche et coffre muscles. La maladie peut survenir à tout âge, mais est plus fréquente dans le 4e à sixième décennie de vie. Faiblesse des muscles du larynx et pharyngée, pneumopathie interstitielle, et inflammation du myocarde peuvent également survenir. Biopsie révèle une destruction totale de segments de fibres musculaires et une inflammation. (Réponse cellulaire Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème pp1404-9)

La pyomyosite est une infection aiguë des muscles striés, généralement causée par le staphylocoque doré. Elle se caractérise par la formation de pus dans les tissus musculaires. La maladie débute souvent par une douleur et un gonflement localisés dans le muscle affecté, suivis d'une sensation de chaleur et de rougeur de la peau. Des symptômes systémiques tels que fièvre, frissons et malaise peuvent également être présents.

La pyomyosite peut toucher n'importe quel muscle du corps, mais elle est le plus souvent observée dans les muscles des membres inférieurs. Elle affecte souvent les personnes atteintes de certaines conditions sous-jacentes telles que le diabète sucré, l'insuffisance rénale chronique, l'immunodéficience ou les maladies tropicales.

Le diagnostic de pyomyosite est généralement posé sur la base des antécédents médicaux du patient, d'un examen physique et de résultats d'imagerie tels qu'une échographie ou une IRM. Le traitement consiste en une antibiothérapie appropriée et souvent en une intervention chirurgicale pour drainer l'abcès musculaire. Une prise en charge précoce et agressive est importante pour prévenir les complications telles que la propagation de l'infection, la septicémie et les dommages musculaires permanents.

La myosite est un terme général utilisé pour décrire l'inflammation des muscles squelettiques, qui sont les muscles volontaires que nous contrôlons pour bouger nos corps. Il existe plusieurs types spécifiques de myosites, dont la plus courante est la dermatomyosite, suivie de la polymyosite et de l'inclusion body myositis. Les symptômes communs comprennent une faiblesse musculaire progressive, souvent dans les muscles proches du tronc, comme ceux des hanches et des épaules, ainsi que des douleurs et une sensibilité musculaires. Dans certains cas, la myosite peut également affecter d'autres organes tels que la peau, l'oesophage et les poumons. Le diagnostic est généralement posé en combinant l'histopathologie musculaire, les tests sanguins et l'imagerie médicale. Le traitement dépend du type de myosite et peut inclure des corticostéroïdes, d'autres immunosuppresseurs et une thérapie physique pour aider à maintenir la force musculaire et la fonction.

La flucloxacilline est un antibiotique de la classe des pénicillines, qui est utilisé pour traiter les infections bactériennes causées par des staphylocoques sensibles, y compris les souches résistantes à la méthicilline (MRSA) qui sont résistantes à d'autres antibiotiques de la pénicilline. Elle est souvent utilisée pour traiter les infections de la peau et des tissus mous, ainsi que les infections osseuses et articulaires. La flucloxacilline agit en inhibant la synthèse du peptidoglycane, une composante essentielle de la paroi cellulaire bactérienne, ce qui entraîne la mort des bactéries.

Elle est généralement administrée par voie intraveineuse ou intramusculaire, en fonction de la gravité de l'infection et de la réponse du patient au traitement. Les effets secondaires courants comprennent des nausées, des vomissements, des diarrhées et des éruptions cutanées. Dans de rares cas, elle peut provoquer une réaction allergique grave connue sous le nom d'anaphylaxie. Il est important de noter que la flucloxacilline ne doit pas être utilisée pour traiter les infections virales, telles que le rhume ou la grippe, car elle n'est pas efficace contre ces agents pathogènes.

Un abcès est une accumulation localisée de pus provoquée par une infection bactérienne dans les tissus du corps. Il se forme lorsque le système immunitaire réagit à l'infection en envoyant des globules blancs pour combattre les bactéries, créant ainsi une collection de cellules mortes, de liquide et de débris bactériens.

Habituellement, un abcès est entouré d'une paroi fibreuse qui le sépare des tissus sains environnants. Les symptômes courants d'un abcès comprennent la douleur, l'enflure, la rougeur et la chaleur dans la zone touchée.

Les abcès peuvent se former dans divers endroits du corps, tels que la peau, les poumons, le foie, la cavité abdominale ou le cerveau. Le traitement dépend de la taille et de l'emplacement de l'abcès, mais il peut inclure des antibiotiques pour éliminer l'infection et une intervention chirurgicale pour drainer le pus accumulé.

Il est important de consulter un médecin si vous soupçonnez la présence d'un abcès, car une infection non traitée peut se propager dans tout le corps et entraîner des complications graves.

La suppuration est un processus pathologique qui implique la production et l'accumulation de pus dans les tissus vivants à la suite d'une infection bactérienne, fongique ou parasitaire. Le pus est un liquide jaunâtre ou vertâtre, souvent malodorant, composé de débris cellulaires, de leucocytes morts (principalement des neutrophiles), de liquide séreux et de micro-organismes pathogènes ou de leurs toxines.

La suppuration peut se produire dans diverses parties du corps, y compris la peau, les poumons, les voies urinaires, le cerveau et d'autres organes internes. Les symptômes associés à la suppuration peuvent inclure rougeur, douleur, gonflement, chaleur et perte de fonction dans la région touchée. Dans certains cas, la suppuration peut entraîner des complications graves telles que la septicémie, l'abcès, la cellulite ou la pneumonie, qui peuvent mettre la vie en danger si elles ne sont pas traitées rapidement et adéquatement.

Le traitement de la suppuration dépend de sa cause sous-jacente et de son emplacement dans le corps. Il peut inclure des antibiotiques pour éradiquer l'infection, des incisions et des drainages pour évacuer le pus accumulé, ou dans certains cas, une intervention chirurgicale pour enlever les tissus nécrotiques.

Un abcès du psoas est une collection de pus (un liquide purulent) qui se forme dans le muscle iliaque ou psoas, un grand muscle situé dans la région pelvienne et abdominale. Cette condition est généralement causée par une infection qui s'est propagée depuis une autre partie du corps, telle que l'appareil digestif, les voies urinaires ou les poumons.

Les symptômes d'un abcès du psoas peuvent inclure des douleurs abdominales ou pelviennes sévères et persistantes, une fièvre élevée, des frissons, une fatigue extrême, une perte d'appétit et une perte de poids. Le diagnostic peut être posé à l'aide d'une combinaison de tests d'imagerie, tels qu'une tomodensitométrie (TDM) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM), ainsi que d'analyses de sang et d'autres tests de laboratoire.

Le traitement d'un abcès du psoas implique généralement une intervention chirurgicale pour drainer le pus accumulé, ainsi qu'une antibiothérapie pour éradiquer l'infection sous-jacente. Dans certains cas, des soins de soutien peuvent également être nécessaires pour aider à gérer les symptômes et à prévenir les complications.

Il est important de noter que sans traitement approprié, un abcès du psoas peut entraîner des complications graves, telles qu'une septicémie (infection sanguine), une insuffisance respiratoire ou une défaillance d'organe. Par conséquent, il est essentiel de consulter un médecin dès que possible si vous présentez des symptômes suggestifs d'un abcès du psoas.

Les muscles paraspinaux sont un groupe de muscles situés le long des deux côtés de la colonne vertébrale, s'étendant du crâne jusqu'au sacrum. Ils sont appelés "paraspinaux" car ils courent longitudinalement et sont positionnés à côté (para) des processus épineux des vertèbres (spinaux). Ces muscles jouent un rôle crucial dans la stabilisation de la colonne vertébrale, la protection des structures neurales contenues dans le canal rachidien et la mobilité de la colonne vertébrale.

Il existe deux couches principales de muscles paraspinaux :

1. Les muscles érecteurs du rachis (erector spinae): Ce sont les muscles les plus superficiels et les plus larges de la région paraspinale. Ils se composent de trois colonnes distinctes: la colonne iliocostale, la colonne longissima et la colonne spinale. Ces colonnes s'étendent le long de la colonne vertébrale et se divisent en plusieurs faisceaux musculaires individuels qui se fixent sur les côtes, le bassin et la tête.
2. Les muscles multifides: Ce sont des muscles plus profonds et plus petits situés sous les muscles érecteurs du rachis. Ils s'étendent de la sacrum ou du coccyx jusqu'aux vertèbres cervicales supérieures, formant plusieurs faisceaux musculaires qui remplissent l'espace entre chaque processus épineux des vertèbres.

Les muscles paraspinaux travaillent ensemble pour permettre une grande variété de mouvements de la colonne vertébrale, tels que la flexion, l'extension, la rotation et la latéralisation. Ils sont également importants dans la posture et le maintien d'une bonne alignment vertébrale. Des problèmes avec les muscles paraspinaux peuvent entraîner une douleur et une gêne considérables, ainsi que des limitations fonctionnelles de la colonne vertébrale.

En termes médicaux, la cuisse se réfère à la partie supérieure et antérieure de la jambe humaine, comprise entre la hanche et le genou. Elle est constituée de deux os longs, le fémur et la rotule, ainsi que de plusieurs groupes de muscles qui assurent la flexion, l'extension, la rotation et l'abduction de la cuisse. La peau de la cuisse peut être recouverte de poils, surtout chez les hommes, et elle contient également des vaisseaux sanguins et des nerfs importants qui assurent la circulation sanguine et l'innervation de la région. Des douleurs, des gonflements ou des ecchymoses dans la cuisse peuvent être le signe d'une blessure ou d'une maladie sous-jacente nécessitant une évaluation médicale.

Le syndrome du muscle piriforme est un trouble neuromusculaire qui se produit lorsque le muscle piriforme, situé dans le bassin, comprime ou irrite le nerf sciatique. Ce muscle assiste à la rotation de la hanche et fonctionne normalement en équilibrant les forces autour de la articulation de la hanche. Cependant, lorsqu'il devient tendu, enflammé ou se spasme, il peut comprimer le nerf sciatique qui passe juste à côté ou dans certains cas, traverse directement le muscle.

Cette compression peut provoquer une douleur, une sensation de brûlure, des picotements, des engourdissements ou une faiblesse dans la fesse, la cuisse, derrière le genou et parfois jusqu'au pied, le long du trajet du nerf sciatique. Les symptômes peuvent être aggravés par des activités qui étirent ou contractent le muscle piriforme, telles que s'asseoir pendant de longues périodes, marcher, courir, monter les escaliers ou faire du vélo.

Le syndrome du muscle piriforme est souvent diagnostiqué après avoir exclu d'autres conditions qui peuvent causer des douleurs sciatiques, telles que une hernie discale ou une sténose spinale. Le traitement peut inclure du repos, des étirements, de la physiothérapie, des massages, des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et, dans certains cas, des injections de corticostéroïdes ou une intervention chirurgicale.

Dans le contexte médical, les fesses, également connues sous le nom de fessier ou natis, se réfèrent aux deux masses charnues et musculaires situées dans la région inférieure du tronc, juste au-dessus des cuisses. Elles sont principalement composées de trois muscles : le grand glutéal, le moyen glutéal et le petit glutéal. Les fesses jouent un rôle important dans la stabilité du bassin, la marche, la course et d'autres activités physiques. Elles servent également à protéger les os du bassin et à amortir les chocs lors de la marche ou de la course.

L'ilium est la partie la plus large et la plus grande des os coxaux (os de la hanche) dans le corps humain. Il s'agit de la structure osseuse qui forme la partie supérieure et postérieure du bassin. L'ilium se connecte à l'os sacrum en formant une articulation sacro-iliaque, qui permet une certaine mobilité entre ces deux structures osseuses. La surface supérieure de l'ilium présente une cavité peu profonde appelée fosse iliaque, qui est palpable et souvent utilisée comme point de repère en anatomie clinique. Les ilions sont les parties latérales de l'ilium, qui forment la crête iliaque, une structure osseuse palpable le long de la ligne médiane de l'abdomen.

En médecine, des pathologies telles que la bursite trochantérienne peuvent affecter la région iliaque et causer des douleurs et de l'inconfort dans cette zone. De plus, les fractures de l'ilium peuvent survenir en raison de traumatismes importants, tels que ceux causés par des accidents de voiture ou des chutes sévères, et nécessitent souvent une intervention médicale pour assurer une guérison adéquate.

En médecine, le drainage est une procédure utilisée pour éliminer l'excès de fluide, de pus ou de sang d'un espace fermé dans le corps. Cela peut être accompli en créant un petit trou ou incision dans la peau pour accéder à la zone affectée, puis en insérant un tube fin (appelé drain) pour permettre au liquide de s'écouler. Le drainage peut aider à prévenir les infections, à réduire la pression et la douleur, et à favoriser la guérison.

Il existe différents types de drainage médical, tels que le drainage chirurgical, qui est souvent utilisé pendant ou après une intervention chirurgicale pour prévenir l'accumulation de fluides dans la zone opérée. Le drainage thermique, comme l'utilisation de compresses chaudes ou froides, peut également être utilisé pour aider à soulager la douleur et à réduire l'enflure.

Le drainage lymphatique est une autre forme de thérapie qui vise à stimuler le système lymphatique pour éliminer les toxines et les déchets du corps. Cette méthode peut être utilisée pour traiter diverses conditions, telles que les gonflements, les ecchymoses et les infections.

Dans tous les cas, le drainage doit être effectué sous la supervision d'un professionnel de la santé qualifié pour minimiser les risques d'infection ou de complications.

Un abcès abdominal est une collection de pus (liquide purulent) qui se forme dans la cavité abdominale en raison d'une infection. Il peut être causé par diverses affections, y compris l'appendicite, la diverticulite, les infections intra-abdominales postopératoires, les péritonites bactériennes spontanées et les maladies inflammatoires de l'intestin.

Les symptômes d'un abcès abdominal peuvent inclure une douleur abdominale sévère et localisée, de la fièvre, des nausées, des vomissements, une perte d'appétit et une sensation générale de malaise. Le diagnostic est généralement posé par imagerie médicale telle qu'une tomodensitométrie (TDM) ou une IRM.

Le traitement d'un abcès abdominal implique généralement une intervention chirurgicale pour drainer le pus et des antibiotiques pour traiter l'infection sous-jacente. Dans certains cas, un drain peut être laissé en place après la chirurgie pour permettre au pus de continuer à s'écouler. La récupération dépendra de la gravité de l'abcès et de toute maladie sous-jacente.

La polymyosite est une maladie rare et inflammatoire qui cause une faiblesse musculaire progressive. Elle affecte généralement les muscles proximaux, c'est-à-dire ceux situés près du tronc du corps, tels que les épaules, les bras et les hanches. Dans certains cas, elle peut également affecter le cœur, les poumons et d'autres organes.

La polymyosite est considérée comme une maladie auto-immune, ce qui signifie que le système immunitaire du corps attaque par erreur ses propres tissus musculaires sains. Les symptômes peuvent inclure une fatigue générale, une douleur et une raideur musculaires, une difficulté à monter les escaliers, à se lever d'une chaise ou à lever les bras.

Le diagnostic de la polymyosite est généralement posé sur la base d'un examen physique, d'analyses sanguines et d'une biopsie musculaire. Le traitement peut inclure des corticostéroïdes, des immunosuppresseurs et d'autres médicaments pour aider à contrôler l'inflammation et à renforcer les muscles. La kinésithérapie et l'exercice peuvent également être recommandés pour aider à améliorer la force musculaire et la fonction.

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