Polyurie
Polydipsia
Diabète Insipide
Aquaporine 2
Diabète Insipide Central
Antidiurétiques
Kidney Concentrating Ability
Diabète Insipide Néphrogénique
Déamino-Arginine Vasopressine
Aquaporine 3
Aquaporine 6
Solute Carrier Family 12, Member 1
Syndrome De Bartter
Nycturie
Nocturnal Enuresis
Vasopressines
Aquaporines
Arginine Vasopressine
Symporteurs Ions Sodium-Potassium-Chlorure
Agents Rénaux
Médulla Rénale
Lithium
Léthargie
Enuresis
Neurohypophyse
Urine
Tubules Collecteurs Rénaux
Concentration Osmolaire
Aquaporine 1
Neurophysine
Potassium, Carence
Diurèse
Poids Spécifique
Hydronéphrose
Encyclopedias as Topic
Diabète De Type 2
Travel Medicine
Acétazolamide
Médecine Navale
Drug Labeling
Navires
La polyurie est un terme médical qui décrit la production excessive d'urine, généralement définie comme la production de plus de 2,5 à 3 litres d'urine par jour. Cette condition peut être le résultat de diverses affections, y compris des problèmes rénaux, des déséquilibres électrolytiques, une consommation excessive de liquides, ou certaines maladies telles que le diabète sucré et insipide. Les personnes atteintes de polyurie peuvent ressentir une soif accrue (polydipsie) pour compenser la perte de liquides. Il est important de consulter un professionnel de la santé si vous remarquez des changements dans votre volume urinaire ou si vous avez des symptômes associés à la polyurie, tels que la fatigue, la faiblesse, la confusion ou une sécheresse buccale.
La polydipsie est un terme médical qui décrit une soif excessive. C'est un symptôme courant où une personne ressent et satisfait régulièrement une forte envie de boire. La polydipsie peut être un signe d'une condition sous-jacente, telle que le diabète sucré ou insipide, des désordres psychiatriques, des lésions cérébrales ou d'autres affections médicales. Dans certains cas, la polydipsie peut entraîner une consommation excessive de liquides, ce qui peut perturber l'équilibre électrolytique de l'organisme et entraîner des complications supplémentaires. Il est important d'évaluer et de traiter la cause sous-jacente de la polydipsie pour gérer correctement ce symptôme.
Le diabète insipide est un trouble endocrinien rare caractérisé par une production excessive d'urine diluée (polyurie) et une soif intense (polydipsie). Contrairement au diabète sucré, qui implique une altération du métabolisme du glucose, le diabète insipide est dû à un déficit en hormone antidiurétique (ADH) ou à une résistance des reins à l'hormone ADH.
Il existe deux types de diabète insipide :
1. Diabète insipide central : Il se produit lorsque le cerveau ne produit pas ou ne sécrète pas suffisamment d'hormone antidiurétique (ADH) en raison d'une lésion ou d'une maladie de l'hypothalamus ou de la post-hypophyse. Les causes courantes comprennent des tumeurs, des traumatismes crâniens, des infections, des troubles auto-immuns, des mutations génétiques et la chirurgie de la région hypothalamo-hypophysaire.
2. Diabète insipide néphrogénique : Il est dû à une résistance des reins à l'action de l'hormone ADH, ce qui entraîne une production excessive d'urine et une soif accrue. Les causes comprennent des anomalies génétiques héréditaires ou acquises, des médicaments néphrotoxiques, des affections rénales sous-jacentes telles que la pyélonéphrite, l'hypertension rénine-dépendante et l'insuffisance rénale chronique.
Le diagnostic du diabète insipide repose sur l'évaluation des antécédents médicaux, des examens physiques, des analyses d'urine et de sang, ainsi que des tests de privation de liquides et de stimulation par vasopressine. Le traitement dépend du type et de la cause sous-jacente du diabète insipide. Pour le diabète insipide central, des médicaments tels que la desmopressine peuvent être prescrits pour remplacer l'hormone ADH manquante ou déficiente. Dans le cas du diabète insipide néphrogénique, le traitement vise à éliminer les causes sous-jacentes et à gérer les symptômes avec des médicaments tels que les diurétiques thiazidiques, les inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (ECA) et les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).
L'aquaporine 2 (AQP2) est un type d'aquaporine, qui est une protéine membranaire spécialisée dans le transport de l'eau. Plus précisément, l'AQP2 se trouve dans les cellules du tubule collecteur distal et du tube contouré médullaire du rein.
L'AQP2 joue un rôle crucial dans la réabsorption d'eau dans le rein en formant des canaux d'eau à travers la membrane cellulaire. Lorsque l'hormone antidiurétique (ADH) se lie aux récepteurs de la cellule, elle déclenche une cascade de signaux qui entraîne la translocation de l'AQP2 vers la membrane cellulaire, ce qui permet à l'eau de pénétrer dans la cellule et d'être réabsorbée dans le sang.
Les mutations du gène AQP2 peuvent entraîner des maladies rénales telles que le diabète insipide néphrogénique, une condition caractérisée par une production excessive d'urine et une soif intense.
Le diabète insipide central est un trouble endocrinien rare caractérisé par une production inadéquate d'hormone antidiurétique (ADH) ou une résistance à son action, entraînant une polyurie sévère (production excessive d'urine) et une polydipsie (soif extrême). Contrairement au diabète sucré, qui implique une altération du métabolisme du glucose, le diabète insipide central n'a aucun lien avec les taux de sucre dans le sang.
L'hormone antidiurétique est produite par l'hypothalamus et stockée dans la neurohypophyse. Elle joue un rôle crucial dans la régulation de l'équilibre hydrique de l'organisme en augmentant la réabsorption d'eau au niveau des tubules rénaux, ce qui diminue la production d'urine. Dans le diabète insipide central, une lésion ou une maladie affectant l'hypothalamus ou la neurohypophyse peut entraîner une déficience en ADH et provoquer les symptômes typiques du diabète insipide central.
Les causes possibles du diabète insipide central comprennent des tumeurs cérébrales, des traumatismes crâniens, des méningites, des encéphalites, des malformations congénitales, une intervention chirurgicale au cerveau et certaines affections auto-immunes. Dans certains cas, la cause peut rester inconnue, ce qui est alors qualifié de diabète insipide idiopathique central.
Le diagnostic du diabète insipide central repose généralement sur des tests de privation d'eau et des mesures des taux d'hormone antidiurétique. Le traitement consiste souvent en un apport supplémenentaire d'une forme synthétique d'hormone antidiurétique (desmopressine) pour compenser le déficit en ADH. Une fois le traitement instauré, les symptômes du diabète insipide central peuvent être bien contrôlés et la qualité de vie des patients peut être améliorée de manière significative.
Les antidiurétiques sont des substances, généralement des hormones ou des médicaments synthétiques, qui régulent la réabsorption d'eau dans les reins. Ils aident à maintenir l'équilibre hydrique de l'organisme en prévenant une perte excessive d'eau via l'urine.
L'hormone antidiurétique naturelle est appelée vasopressine ou ADH (de l'anglais « Antidiuretic Hormone »). Elle est produite par l'hypothalamus et stockée dans la neurohypophyse. Lorsque le taux de sodium dans le sang est élevé ou que le volume sanguin est faible, la libération d'ADH est stimulée, ce qui entraîne une concentration plus élevée de l'urine et une réduction de sa production.
Les médicaments antidiurétiques sont souvent utilisés pour traiter certains types de diabètes insipides, une condition caractérisée par une production excessive d'urine due à un déficit en ADH ou à une résistance à son action. Ils peuvent également être employés dans le cadre du traitement de certaines formes d'épilepsie et pour prévenir la déshydratation lors d'interventions chirurgicales ou chez des patients souffrant de maladies graves.
Parmi les exemples de médicaments antidiurétiques, on peut citer la desmopressine, la lypressamine et la vasopressine. Comme pour tout traitement médical, l'utilisation d'antidiurétiques doit être encadrée par un professionnel de santé afin de minimiser les risques potentiels liés à une mauvaise utilisation ou à des contre-indications.
La capacité de concentration rénale fait référence à la capacité des reins à concentrer l'urine et à maintenir l'équilibre hydrique dans le corps. Cela est mesuré par la teneur en urine en créatinine, qui est un déchet produit par les muscles et éliminé du corps par les reins. Une capacité de concentration rénale normale se situe entre 400 et 800 mOsmol/kg d'eau. Une capacité de concentration rénale réduite peut être un signe de maladie rénale, de déshydratation ou d'autres conditions médicales.
Le diabète insipide néphrogénique est un trouble rare du système urinaire caractérisé par une production excessive de grande quantité d'urine très diluée, en dépit de niveaux élevés de consommation de liquides. Contrairement au diabète sucré, qui implique des problèmes avec la régulation du sucre dans le sang, le diabète insipide néphrogénique est dû à une incapacité des reins à concentrer l'urine en raison d'un dysfonctionnement de la réabsorption de l'eau dans les tubules rénaux.
Cette forme de diabète insipide peut être causée par des mutations génétiques, des maladies rénales sous-jacentes, certains médicaments ou une production insuffisante d'une hormone appelée vasopressine (ADH). Les symptômes comprennent une soif intense et excessive, une miction fréquente et abondante, des épisodes de déshydratation et, dans les cas graves, des désordres électrolytiques. Le diagnostic repose généralement sur des tests de laboratoire spécifiques, tels que la mesure de la densité urinaire et la réponse à une administration de vasopressine synthétique.
Le traitement du diabète insipide néphrogénique dépend de sa cause sous-jacente. Dans les cas dus à des mutations génétiques, le traitement peut inclure des modifications du régime alimentaire et une hydratation adéquate pour prévenir la déshydratation. Lorsque le diabète insipide néphrogénique est causé par une production insuffisante de vasopressine, un médicament de remplacement de l'hormone peut être prescrit. Dans d'autres cas, des mesures telles que la réduction de la dose de certains médicaments peuvent être nécessaires pour atténuer les symptômes.
La soif est une sensation subjective qui déclenche la recherche et l'ingestion de liquides pour maintenir l'équilibre hydrique du corps. Elle est généralement ressentie lorsque le volume sanguin diminue ou que la concentration en électrolytes dans le sang augmente, ce qui provoque une activation des récepteurs de la soif situés dans l'hypothalamus. Ces récepteurs sont sensibles à la concentration en sodium et au volume sanguin, entre autres stimuli. Lorsqu'ils sont activés, ils déclenchent des signaux vers le cerveau pour inciter une personne à boire. La soif est donc un mécanisme physiologique important qui aide à prévenir la déshydratation et à maintenir l'homéostasie du corps.
La Déamino-Arginine Vasopressine (DAVP ou desmopressine) est un analogue synthétique de l'hormone antidiurétique naturelle, l'arginine vasopressine. Elle est utilisée en médecine pour traiter certains troubles liés à l'équilibre hydrique et électrolytique du corps.
La DAVP agit en augmentant la réabsorption d'eau dans les tubules rénaux, ce qui entraîne une diminution de la production d'urine (diurèse) et une augmentation de la concentration des urines. Elle a également un effet vasoconstricteur sur les vaisseaux sanguins, ce qui peut être utile dans le traitement de certaines formes d'hypotension.
La DAVP est utilisée pour traiter les troubles de l'équilibre hydrique tels que le diabète insipide central, une condition caractérisée par une production excessive d'urine et une soif intense due à une déficience en hormone antidiurétique. Elle est également utilisée dans le traitement de l'hémorragie urinaire chez les patients atteints de troubles héréditaires de la coagulation sanguine, tels que l'hémophilie A et B.
Comme avec tout médicament, la DAVP peut avoir des effets secondaires, notamment des maux de tête, des nausées, des étourdissements, une hyponatrémie (faible teneur en sodium dans le sang) et une rétention hydrique. Il est important que les patients soient informés des risques potentiels associés à l'utilisation de ce médicament et qu'ils soient surveillés régulièrement par un professionnel de la santé pendant le traitement.
L'aquaporine 3 est un type d'aquaporine, qui sont des protéines intrinsèques à la membrane qui facilitent la diffusion de l'eau à travers les membranes cellulaires. L'aquaporine 3 se trouve principalement dans les épithéliums des reins, du côlon, de la peau et de la muqueuse buccale.
L'aquaporine 3 joue un rôle important dans l'absorption et la sécrétion d'eau dans ces tissus. Dans les reins, il aide à réabsorber l'eau filtrée par le glomérule pour concentrer l'urine. Dans la peau, il facilite le mouvement de l'eau entre les cellules cutanées et l'environnement extérieur, ce qui contribue à maintenir l'hydratation de la peau.
Des mutations dans le gène AQP3, qui code pour l'aquaporine 3, ont été associées à certaines maladies, telles que des troubles de la sueur et une sécheresse cutanée excessive. De plus, des niveaux réduits d'expression de l'AQP3 ont été observés dans certaines affections cutanées, telles que le psoriasis et le vitiligo, ce qui suggère qu'elle peut également jouer un rôle dans la pathogenèse de ces maladies.
L'aquaporine 6 (AQP6) est une protéine qui fait partie de la famille des aquaglycéroporines, qui sont des canaux hydriques sélectifs trouvés dans les membranes cellulaires. Cette protéine est exprimée principalement dans les reins et joue un rôle important dans le transport des ions et de l'eau à travers la membrane.
L'AQP6 est capable de conduire non seulement l'eau, mais aussi d'autres molécules telles que les anions tels que le bicarbonate, le chlorure et l'hydrogénophosphate. Elle peut également être perméable aux protons, ce qui en fait une aquaporine unique avec des propriétés de transport ionique supplémentaires.
Dans les reins, l'AQP6 est localisée dans les cellules alpha intercalées de la couche médullaire du néphron, où elle participe au processus de réabsorption des ions et de l'eau dans le tubule contourné distal. Elle peut également être régulée par des facteurs tels que le pH et le potentiel électrochimique, ce qui permet une modulation fine de son activité en fonction des besoins de l'organisme.
Des études ont montré que l'AQP6 peut être impliquée dans certaines maladies rénales, telles que la néphropathie interstitielle et la polykystose rénale, bien que son rôle précis dans ces conditions reste à élucider.
La "Solute Carrier Family 12, Member 1" (SLC12A1) est une protéine qui appartient à la famille des transporteurs de solutés. Elle est également connue sous le nom de "Na-K-2Cl cotransporter isoforme 1" (NKCC1). Cette protéine est exprimée dans divers tissus, y compris les reins, le cerveau et l'oreille interne.
Le NKCC1 est un transporteur de sodium, potassium et chlore qui joue un rôle important dans la régulation du volume cellulaire et de l'équilibre électrolytique. Il permet le transport simultané de deux ions sodium (Na+), un ion potassium (K+) et deux ions chlore (Cl-) dans la cellule, contre leur gradient de concentration. Cette activité est alimentée par l'hydrolyse de l'ATP et permet de maintenir un équilibre osmotique entre le milieu extracellulaire et le milieu intracellulaire.
Des mutations dans le gène SLC12A1 peuvent entraîner des maladies telles que l'oreille interne sévère congénitale, la surdité neurosensorielle et certaines formes d'épilepsie. Des anomalies de fonctionnement du NKCC1 ont également été associées à des troubles tels que l'hypertension artérielle et l'œdème cérébral.
La privation hydrique, également connue sous le nom de déshydratation, est un état pathologique qui se produit lorsqu'il y a une perte excessive d'eau et de sels minéraux du corps, entraînant ainsi un déséquilibre des électrolytes et une perturbation du fonctionnement normal des organes. Cela peut être causé par une consommation insuffisante d'eau, des vomissements, de la diarrhée, une transpiration excessive, une fièvre élevée ou certaines maladies qui affectent la capacité du corps à réguler l'équilibre hydrique et électrolytique.
Les symptômes de la privation hydrique peuvent varier en fonction de sa gravité. Les signes précoces incluent une soif accrue, des mictions moins fréquentes, une bouche sèche, des yeux enfoncés, une diminution de la transpiration et une urine concentrée de couleur foncée. Dans les cas plus graves, cela peut entraîner des étourdissements, des vertiges, une confusion, une faiblesse musculaire, une pression artérielle basse, une accélération du rythme cardiaque et, dans les cas extrêmes, un coma ou même la mort.
Il est important de noter que la privation hydrique peut être prévenue en s'assurant de boire suffisamment d'eau, surtout pendant l'exercice, les journées chaudes ou lorsqu'on souffre de maladies qui causent des vomissements ou de la diarrhée. Dans les cas où la privation hydrique est sévère, un traitement médical immédiat est nécessaire pour restaurer l'équilibre hydrique et électrolytique du corps.
Le syndrome de Bartter est un trouble rare des reins qui affecte l'équilibre électrolytique du corps. Il est caractérisé par une perte excessive de potassium dans l'urine, ce qui peut entraîner une faiblesse musculaire, des crampes, une fatigue, une soif accrue et une production excessive d'urine. Ce syndrome est généralement présent à la naissance ou se développe dans les premiers mois de vie.
Les symptômes du syndrome de Bartter comprennent également des niveaux faibles de potassium dans le sang, des niveaux élevés de calcium dans le sang et une pression artérielle basse. Les bébés atteints de cette maladie peuvent avoir des difficultés à grandir et à prendre du poids, et elles peuvent également présenter des retards de développement.
Le syndrome de Bartter est causé par des mutations dans les gènes qui sont responsables de la régulation des niveaux de sodium et de potassium dans le corps. Ces mutations entraînent une activation anormale des canaux sodium-potassium dans les reins, ce qui entraîne une perte excessive de potassium dans l'urine.
Le traitement du syndrome de Bartter consiste généralement en une combinaison de suppléments de potassium, de médicaments pour aider à réguler les niveaux d'électrolytes et de liquides, et un régime alimentaire restrictif en sel. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour corriger les anomalies structurelles des reins.
La nycturie est un terme médical qui décrit le fait de se réveiller pendant la nuit pour uriner, ce qui perturbe le schéma normal du sommeil. C'est une condition courante, en particulier chez les personnes âgées. La nycturie peut être causée par divers facteurs, notamment une augmentation de la production d'urine pendant la nuit (nycturie nocturne), une diminution de la capacité de la vessie, des problèmes urinaires sous-jacents ou certaines conditions médicales. Elle peut également être un effet secondaire de certains médicaments. Dans certains cas, plusieurs facteurs peuvent contribuer à la nycturie. Cette condition peut entraîner une altération de la qualité du sommeil, des symptômes liés aux troubles du sommeil et une fatigue diurne. Il est important de consulter un professionnel de la santé pour en déterminer la cause sous-jacente et recevoir un traitement approprié.
La nycturie ou l'énurésie nocturne est un trouble de la miction involontaire pendant le sommeil, qui se produit chez les enfants de plus de 5 ans et les adultes. Elle est caractérisée par une production excessive d'urine pendant la nuit, entraînant une fuite involontaire d'urine pendant le sommeil. Cela peut être causé par divers facteurs, tels qu'un trouble du développement de la vessie, des problèmes rénaux, un diabète non diagnostiqué ou des facteurs psychologiques. Dans certains cas, l'énurésie nocturne peut être héréditaire et affecter plusieurs membres d'une famille. Elle peut entraîner une gêne sociale et émotionnelle pour les personnes qui en souffrent, mais il existe des traitements disponibles pour aider à gérer et à résoudre ce problème.
La vasopressine, également connue sous le nom d'arginine vasopressine (AVP) ou hormone antidiurétique (ADH), est une hormone peptidique composée de neuf acides aminés. Elle est produite et stockée dans les neurones du noyau supraoptique et paraventriculaire de l'hypothalamus et est libérée dans la circulation sanguine par l'hypophyse postérieure en réponse à une augmentation de l'osmolarité ou à une diminution du volume sanguin.
La vasopressine a deux actions principales :
1. Vasoconstriction : elle provoque une constriction des vaisseaux sanguins, ce qui entraîne une augmentation de la pression artérielle et une redistribution du débit sanguin vers les organes vitaux.
2. Action antidiurétique : elle augmente la réabsorption d'eau dans le tubule distal du néphron rénal, ce qui entraîne une diminution de la diurèse et une augmentation de la concentration urinaire.
La vasopressine joue donc un rôle crucial dans la régulation de l'équilibre hydrique et électrolytique de l'organisme, ainsi que dans la maintenance de la pression artérielle et du débit sanguin.
Les aquaporines sont des protéines membranaires qui forment des canaux sélectivement perméables à l'eau. Elles facilitent la diffusion rapide et hautement régulée de l'eau à travers les membranes cellulaires, en maintenant l'intégrité osmotique et la homeostasie cellulaire.
Les aquaporines sont largement distribuées dans divers tissus corporels, notamment les reins, le cerveau, les poumons, la peau, les yeux et les glandes salivaires. Elles jouent un rôle crucial dans de nombreuses fonctions physiologiques, telles que l'excrétion d'urine, la régulation du volume cellulaire, le transport neuronal, la sécrétion exocrine et la réponse immunitaire.
Les aquaporines sont également impliquées dans divers processus pathologiques, tels que les désordres hydriques et électrolytiques, l'hypertension, l'œdème cérébral, la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) et certains cancers.
Il existe plusieurs sous-types d'aquaporines identifiés chez les mammifères, chacun ayant des propriétés spécifiques en termes de perméabilité, de distribution tissulaire et de régulation. La compréhension des fonctions et des rôles pathologiques des aquaporines a ouvert de nouvelles perspectives pour le développement de thérapies ciblées dans divers domaines médicaux.
L'arginine vasopressine, également connue sous le nom de vasopressine ou ADH (hormone antidiurétique), est une hormone peptidique composée de neuf acides aminés. Elle est produite et stockée dans le cerveau, plus précisément dans le lobe postérieur de la glande pituitaire.
La vasopressine a deux fonctions principales :
1. Régulation de l'équilibre hydrique : La vasopressine agit sur les reins pour contrôler la réabsorption d'eau dans le corps. Lorsque le taux de vasopressine est élevé, les reins réabsorbent plus d'eau dans la circulation sanguine, ce qui entraîne une diminution de la production d'urine et une augmentation de la concentration des urines. À l'inverse, lorsque le taux de vasopressine est faible, les reins éliminent plus d'eau dans les urines, ce qui entraîne une augmentation de la production d'urine et une dilution des urines.
2. Vasoconstriction : La vasopressine provoque également une constriction des vaisseaux sanguins, ce qui peut aider à maintenir une pression artérielle adéquate en cas de perte de sang ou de déshydratation sévère.
La libération de vasopressine est régulée par plusieurs facteurs, notamment la concentration sanguine en eau et en électrolytes, ainsi que la pression artérielle. Des niveaux élevés de vasopressine peuvent être observés dans certaines conditions médicales, telles que la déshydratation, l'insuffisance cardiaque congestive et certains types de tumeurs cérébrales. Inversement, des niveaux faibles de vasopressine peuvent être observés dans des conditions telles que le diabète insipide central, une maladie rare caractérisée par une production insuffisante d'hormone antidiurétique (ADH), y compris la vasopressine.
En médecine, « boire » se réfère au fait d'ingérer une liquide, généralement de l'eau ou d'autres boissons, par la bouche et par le biais du processus de déglutition. Ce processus permet à notre corps de s'hydrater, de maintenir les niveaux de fluides corporels adéquats et de faciliter la digestion des aliments.
Il est important de boire suffisamment de liquides chaque jour pour prévenir la déshydratation, qui peut entraîner une variété de problèmes de santé, notamment des étourdissements, une fatigue, une confusion, une pression artérielle basse et une fréquence cardiaque rapide.
Les personnes atteintes de certaines conditions médicales, telles que les maladies rénales ou cardiaques, peuvent avoir besoin de limiter leur consommation de liquides pour prévenir la rétention d'eau et d'autres complications. Dans ces cas, il est important de suivre les instructions de votre médecin en matière de consommation de liquides.
Les symporters d'ions sodium-potassium-chlorure, également connus sous le nom de cotransporteurs Na+-K+-2Cl-, sont un type de protéines membranaires qui facilitent le mouvement simultané de trois ions - sodium (Na+), potassium (K+) et chlore (Cl-) - à travers la membrane cellulaire. Ces cotransporteurs jouent un rôle crucial dans le maintien de l'équilibre électrolytique et osmotique dans les cellules, en particulier dans les cellules épithéliales des reins, des intestins et des glandes sudoripares.
Le symporteur Na+-K+-2Cl- est alimenté par un gradient électrochimique généré par la pompe sodium-potassium (Na+/K+-ATPase), qui extrude les ions sodium de la cellule et transporte les ions potassium dans la cellule. Ce gradient fournit l'énergie nécessaire pour que le symporteur Na+-K+-2Cl- absorbe simultanément un ion sodium, un ion potassium et deux ions chlore de l'espace extracellulaire vers l'intérieur de la cellule.
L'activation du symporteur Na+-K+-2Cl- entraîne une dépolarisation de la membrane cellulaire, ce qui peut influencer l'activité des canaux ioniques voisins et participer à la génération d'un potentiel d'action. Des anomalies dans le fonctionnement des symporters Na+-K+-2Cl- ont été associées à plusieurs affections pathologiques, telles que les désordres du transport d'ions rénaux, l'hypertension et certaines formes de surdité.
Les agents rénaux sont des substances, y compris les médicaments, qui ont un effet sur les reins. Ils peuvent affecter la fonction rénale en modifiant le débit de filtration glomérulaire (DFG), en altérant le flux sanguin rénal ou en influençant d'autres processus rénaux. Certains agents rénaux peuvent être néphrotoxiques, ce qui signifie qu'ils peuvent endommager les reins et entraîner une insuffisance rénale aiguë ou chronique.
Les exemples d'agents rénaux comprennent des médicaments tels que les inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (IEC), les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II (ARA II), les diurétiques, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et les antibiotiques aminoglycosides. D'autres substances, telles que le contrast agent utilisé lors des procédures de radiologie, peuvent également avoir un effet sur la fonction rénale.
Il est important de surveiller la fonction rénale chez les patients qui prennent des médicaments néphrotoxiques ou qui sont exposés à d'autres agents rénaux. Cela peut inclure la mesure de la créatinine sérique et du débit de filtration glomérulaire, ainsi que l'évaluation de la fonction rénale en utilisant des échelles d'évaluation standardisées. Les professionnels de la santé doivent également être conscients des facteurs de risque de néphrotoxicité, tels que l'âge avancé, les maladies rénales préexistantes et l'utilisation concomitante de médicaments néphrotoxiques.
La médulla rénale est la région interne du rein située profondément dans la substance corticale. Elle est composée de plusieurs pyramides de cellules en forme de cône, chacune contenant des tubes collecteurs qui recueillent l'urine des néphrons, les unités fonctionnelles du rein. La médulla rénale joue un rôle crucial dans la concentration de l'urine grâce aux contre-courants de solutés et d'eau qui se produisent dans les tubes collecteurs et les vaisseaux sanguins environnants. Cette région est très sensible à la privation d'oxygène et peut être endommagée en cas d'hypotension artérielle, de déshydratation ou de certaines maladies rénales.
Le lithium est un métal alcalin utilisé principalement dans le domaine médical comme stabilisateur de l'humeur, en particulier dans le traitement des troubles bipolaires. Il fonctionne en modifiant la chimie du cerveau, en particulier les niveaux de certains neurotransmetteurs tels que la sérotonine et la dopamine. Le lithium est disponible sous forme de carbonate de lithium, de citrate de lithium et d'autres sels de lithium, qui sont tous convertis en ions de lithium dans le corps.
Le lithium doit être prescrit et surveillé par un médecin en raison de son étroite marge thérapeutique, ce qui signifie qu'il y a une petite différence entre les doses thérapeutiques et toxiques. Les niveaux sanguins de lithium doivent être régulièrement surveillés pour prévenir une intoxication au lithium, qui peut provoquer des symptômes tels que des nausées, des vomissements, de la diarrhée, une instabilité musculaire, une somnolence et dans les cas graves, un coma ou même la mort.
En plus de son utilisation dans le traitement des troubles de l'humeur, le lithium peut également être utilisé hors AMM pour traiter certaines autres conditions, telles que la prévention des migraines et le traitement de certains types de claquage.
La léthargie est un terme médical décrivant un état d'extreme somnolence ou de faible niveau de conscience pendant la majeure partie de la journée. Les personnes atteintes de léthargie peuvent être difficiles à réveiller et peuvent présenter une réduction des interactions et des réponses avec leur environnement. La léthargie est souvent un symptôme d'une maladie sous-jacente, telle qu'une infection, un désordre métabolique ou une lésion cérébrale. Elle peut également être un effet secondaire de certains médicaments. Il est important de consulter un professionnel de la santé si vous ressentez de la léthargie, car elle peut indiquer un problème médical grave qui nécessite une attention immédiate.
L'énurésie, également connue sous le nom de «pipi au lit», est un trouble de la miction involontaire pendant le sommeil. Elle se produit chez les enfants de plus de 5 ans et peut également affecter les adultes. Il existe deux types d'énurésie : l'énurésie nocturne primaire, où l'enfant n'a jamais été propre la nuit, et l'énurésie nocturne secondaire, où l'enfant recommence à mouiller son lit après une période d'au moins six mois de propreté nocturne. Les causes peuvent inclure des facteurs génétiques, des problèmes de développement de la vessie, des troubles du sommeil, des infections des voies urinaires et du stress émotionnel. Le traitement peut comprendre des changements de mode de vie, des médicaments et une thérapie comportementale.
La neurohypophyse, également connue sous le nom de glande pituitaire postérieure, est un petit lobe situé à la base du cerveau qui stocke et sécrète des hormones antidiurétiques (ADH) et de l'ocytocine dans la circulation sanguine. L'ADH aide à réguler l'équilibre hydrique de l'organisme en contrôlant la réabsorption d'eau dans les reins, tandis que l'ocytocine joue un rôle important dans l'accouchement, l'allaitement et les comportements sociaux.
La neurohypophyse est une structure nerveuse, plutôt qu'une glande endocrine typique, car elle ne produit pas réellement ces hormones mais les stocke et les libère en réponse à des stimuli nerveux spécifiques. Les axones des neurones hypothalamiques sécrètent ces hormones dans la neurohypophyse, où elles sont stockées dans des granules avant d'être libérées dans le sang.
Les troubles de la neurohypophyse peuvent entraîner une variété de symptômes, tels qu'une soif excessive et une augmentation de la miction (diabète insipide), ainsi que des problèmes de lactation et d'accouchement. Ces troubles peuvent être causés par des lésions cérébrales, des tumeurs, des infections ou des maladies auto-immunes.
L'hypernatrémie est un trouble électrolytique caractérisé par un taux anormalement élevé de sodium dans le sang (supérieur à 145 mEq/L). Cela se produit généralement lorsque l'organisme perd trop d'eau par rapport à la quantité de sodium, entraînant une concentration excessive de sodium. Les symptômes peuvent inclure soif extrême, confusion, faiblesse, irritabilité, nausées, convulsions et dans les cas graves, coma. L'hypernatrémie peut être causée par des maladies sous-jacentes telles que le diabète insipide, une déshydratation sévère, une consommation excessive de sodium ou une incapacité à boire suffisamment d'eau. Il est important de traiter cette condition rapidement pour prévenir les dommages aux organes et potentialités complications.
L'urine est un liquide biologique généralement stérile produit par les reins, qui ont pour fonction d'éliminer les déchets et l'excès de liquide du sang. Les reins filtrent le sang, retiennent les substances utiles telles que les glucides, les protéines, les sels minéraux et l'eau, et évacuent les déchets sous forme d'urine.
La composition de l'urine comprend principalement de l'eau, ainsi que des déchets tels que l'urée, la créatinine, l'acide urique et d'autres composés azotés, qui sont les produits finaux du métabolisme des protéines. L'urine peut également contenir des pigments comme l'urobiline et la bilirubine, ainsi que des électrolytes (sodium, potassium, chlore, calcium) et d'autres substances en petites quantités.
La couleur de l'urine varie du jaune pâle au jaune foncé, selon le volume d'eau consommée et la concentration des déchets dans l'urine. Une urine plus claire et diluée est généralement le signe d'une bonne hydratation, tandis qu'une urine plus concentrée et foncée peut indiquer une déshydratation ou la présence de certaines affections médicales.
La production quotidienne d'urine chez un adulte en bonne santé se situe généralement entre 800 et 2000 millilitres, selon la quantité de liquide consommée et les besoins du corps.
Les tubules collecteurs rénaux sont des structures anatomiques importantes dans le néphron, qui est l'unité fonctionnelle de base du rein. Ils sont responsables de la réabsorption sélective des solutés et de l'eau à partir de l'urine primaire formée par les tubules proximaux et distaux. Les tubules collecteurs rénaux se composent de deux segments, le tubule collecteur cortical et le tubule collecteur médullaire.
Le tubule collecteur cortical est situé dans la région externe du rein, appelée la cortex rénal. Il reçoit l'urine des tubules distaux et continue le processus de réabsorption des solutés et de l'eau. Le tubule collecteur médullaire se trouve dans la région interne du rein, appelée la médullaire rénale, et est divisé en deux segments, le tubule collecteur médullaire externe et le tubule collecteur médullaire interne. Ces segments sont responsables de la réabsorption finale des solutés et de l'eau pour former l'urine finale.
Les tubules collecteurs rénaux sont également impliqués dans la régulation du volume d'eau corporel et de la pression artérielle en sécrétant ou en réabsorbant de l'hormone vasopressine (ADH) dans le sang. De plus, ils jouent un rôle important dans la régulation du pH sanguin en réabsorbant ou en sécrétant des ions hydrogène et des bicarbonates.
Les maladies rénales peuvent affecter les tubules collecteurs rénaux, entraînant une altération de leur fonction et des anomalies dans la composition de l'urine. Par exemple, certaines formes de diabète insipide sont dues à une altération de la capacité des tubules collecteurs rénaux à réabsorber l'eau en réponse à l'hormone vasopressine.
La concentration osmolale est un terme utilisé en médecine et en biologie pour décrire la concentration d'osmoles (unités de soluté) dans un kilogramme de solvant, qui est généralement de l'eau. Plus précisément, elle représente le nombre de osmoles de solutés dissous par kilogramme de solvant.
Dans le contexte médical, la concentration osmolale est souvent utilisée pour décrire l'osmolarité du plasma sanguin, qui est maintenue dans une fourchette étroite dans un organisme en bonne santé. Une concentration osmolale élevée dans le sang peut indiquer une déshydratation ou une hyperglycémie sévère, tandis qu'une concentration osmolale faible peut être observée dans des conditions telles que l'hyponatrémie syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique (SIADH).
La concentration osmolale est mesurée en osmoles par kilogramme (osm/kg) et peut être calculée à partir des concentrations de sodium, de glucose et d'urée dans le sang. Une formule couramment utilisée pour calculer la concentration osmolale est:
Concentration osmolale = 2 x (Na+ en mmol/L) + (glucose en mmol/L) + (urée en mmol/L)
où Na+ représente la concentration de sodium dans le sang.
Un rein est un organe en forme de haricot situé dans la région lombaire, qui fait partie du système urinaire. Sa fonction principale est d'éliminer les déchets et les liquides excessifs du sang par filtration, processus qui conduit à la production d'urine. Chaque rein contient environ un million de néphrons, qui sont les unités fonctionnelles responsables de la filtration et du réabsorption des substances utiles dans le sang. Les reins jouent également un rôle crucial dans la régulation de l'équilibre hydrique, du pH sanguin et de la pression artérielle en contrôlant les niveaux d'électrolytes tels que le sodium, le potassium et le calcium. En outre, ils produisent des hormones importantes telles que l'érythropoïétine, qui stimule la production de globules rouges, et la rénine, qui participe au contrôle de la pression artérielle.
L'aquaporine 1 (AQP1) est une protéine qui agit comme un canal sélectivement perméable à l'eau, permettant son passage à travers la membrane cellulaire. Elle est largement exprimée dans les tissus épithéliaux et endothéliaux des reins, du cerveau, des poumons, de la cornée et d'autres organes.
Dans les reins, l'AQP1 joue un rôle crucial dans la réabsorption de l'eau au niveau du tubule proximal du néphron, aidant ainsi à maintenir l'équilibre hydrique et osmotique de l'organisme. Dans le cerveau, elle facilite le mouvement de l'eau entre les cellules gliales et les neurones, contribuant au maintien de la pression intracrânienne et à la régulation du métabolisme cérébral.
L'AQP1 est également présente dans les érythrocytes (globules rouges), où elle facilite le passage de l'eau lors du passage des globules rouges dans les capillaires serrés, tels que ceux trouvés dans le cerveau et la rétine.
Des mutations ou des dysfonctionnements de l'AQP1 ont été associés à certaines maladies, telles que l'hypertension intracrânienne idiopathique et certains troubles oculaires. La recherche sur les aquaporines, y compris l'AQP1, offre des perspectives prometteuses pour le développement de thérapies ciblées dans divers domaines médicaux, tels que la néphrologie, la neurologie et l'ophtalmologie.
La neurophysine est une petite protéine neurohypophysaire qui est co-sécrétée avec les neuropeptides ocytocine et vasopressine à partir des terminaisons nerveuses du lobe postérieur de la glande pituitaire. Il existe trois isoformes de neurophysines (neurophysine 1, neurophysine 2 et neurophysine 3) qui sont codées par différents gènes.
La neurophysine joue un rôle important dans le stockage, la libération et l'inactivation des neuropeptides auxquels elle est associée. Elle se lie spécifiquement à ces neuropeptides et forme des complexes qui sont stockés dans les granules sécrétoires des neurones neurohypophysaires. Lorsque ces neurones sont stimulés, les granules sont exocytosées et libèrent leurs contenus, y compris la neurophysine et le neuropeptide associé, dans l'espace extracellulaire.
La neurophysine est également capable de se lier au calcium, ce qui contribue à réguler la libération des neuropeptides. De plus, certaines isoformes de neurophysine ont été identifiées comme étant des antigènes associés aux tumeurs, telles que les tumeurs hypophysaires et les cancers du poumon à petites cellules. Par conséquent, la détection des anticorps dirigés contre la neurophysine peut être utilisée comme marqueur diagnostique de ces tumeurs.
Une carence en potassium, également connue sous le nom d'hypokaliémie, est un trouble électrolytique caractérisé par des taux anormalement bas de potassium sérique (moins de 3,5 mEq/L). Le potassium est un minéral essentiel qui joue un rôle crucial dans la régulation de l'équilibre électrolytique, de la fonction cardiaque et de la transmission neuromusculaire. Une carence en potassium peut entraîner une variété de symptômes, notamment des faiblesses musculaires, des crampes, des arythmies cardiaques, une fatigue, une constipation et dans les cas graves, une paralysie.
Les causes courantes d'une carence en potassium comprennent une perte excessive de potassium due à la diarrhée, aux vomissements ou à l'utilisation de diurétiques, ainsi qu'une diminution de l'apport alimentaire en potassium. Les maladies rénales et certaines conditions médicales telles que la malabsorption intestinale, l'hyperaldostéronisme et la prise de certains médicaments peuvent également contribuer à une carence en potassium.
Le traitement d'une carence en potassium dépend de sa gravité et des causes sous-jacentes. Dans les cas légers, il peut être possible de corriger la carence en augmentant l'apport alimentaire en potassium ou en prenant des suppléments oraux. Dans les cas plus graves, une hospitalisation peut être nécessaire pour administrer des perfusions intraveineuses de potassium et surveiller étroitement la fonction cardiaque.
La diurèse est un terme médical qui décrit le processus d'élimination de l'urine par les reins. Plus spécifiquement, il se réfère au volume total d'urine produite par les reins pendant une certaine période de temps. La diurèse peut être mesurée en tant que taux, exprimé en millilitres ou en litres par heure.
Le processus de diurèse commence dans les glomérules des reins, où le sang est filtré pour éliminer les déchets et l'excès de liquide. L'urine formée à partir de ce processus passe ensuite dans les tubules rénaux, où certains minéraux et substances utiles peuvent être réabsorbés dans le sang. Le reste de l'urine continue alors dans les uretères et la vessie, jusqu'à ce qu'elle soit finalement éliminée du corps par l'urètre lors de la miction.
La diurèse peut être influencée par divers facteurs, tels que l'apport hydrique, la consommation de certains médicaments ou aliments, les maladies rénales et d'autres conditions médicales sous-jacentes. Par exemple, une augmentation de la diurèse peut être observée en réponse à une augmentation de l'apport hydrique ou à la prise de diurétiques, qui sont des médicaments utilisés pour éliminer l'excès de liquide du corps. À l'inverse, une diminution de la diurèse peut être observée dans des conditions telles que la déshydratation, l'insuffisance rénale ou l'utilisation de certains médicaments qui affectent la fonction rénale.
Il est important de noter que la mesure de la diurèse peut être un outil utile dans le diagnostic et le traitement de diverses affections médicales, telles que les maladies rénales, l'insuffisance cardiaque congestive et d'autres conditions qui peuvent affecter la fonction rénale et l'équilibre hydrique du corps.
Le poids spécifique est un terme utilisé en physiologie et en pathologie pour décrire le rapport entre le poids d'un liquide ou d'un tissu corporel et son volume. Il est généralement exprimé en unités de poids par unité de volume, telles que grammes par millilitre (g/mL).
Dans le contexte médical, le poids spécifique est souvent utilisé pour décrire les caractéristiques des liquides corporels, tels que le sérum, l'urine ou le liquide céphalo-rachidien. Par exemple, dans l'état pathologique connu sous le nom de syndrome néphrotique, les patients présentent une protéinurie sévère, ce qui entraîne une baisse du poids spécifique de l'urine en raison d'une diminution de la concentration des protéines dans celle-ci.
Il est important de noter que le poids spécifique ne doit pas être confondu avec la densité, qui est définie comme la masse par unité de volume et s'exprime en kilogrammes par mètre cube (kg/m³). Bien que les deux termes soient souvent utilisés de manière interchangeable dans le langage courant, ils ont des définitions techniques différentes et sont utilisés dans des contextes différents.
L'hydronéphrose est un terme médical qui décrit la dilatation anormale des calices et du bassinet du rein, souvent due à l'obstruction de l'écoulement de l'urine. Cette obstruction peut être causée par divers facteurs, tels que des calculs rénaux, une tumeur, une sténose de l'uretère ou une malformation congénitale.
Dans les cas d'hydronéphrose, l'urine s'accumule dans le rein, ce qui peut entraîner une augmentation de la pression dans le système rénal et endommager les tissus rénaux. Les symptômes peuvent inclure des douleurs abdominales ou dorsales, des nausées, des vomissements, des infections des voies urinaires récurrentes, des mictions fréquentes ou urgentes, et dans les cas graves, une insuffisance rénale.
Le diagnostic de l'hydronéphrose peut être posé à l'aide d'examens d'imagerie tels qu'une échographie, une tomodensitométrie (TDM) ou une urographie intraveineuse (UIV). Le traitement dépend de la cause sous-jacente de l'obstruction et peut inclure des procédures telles que la dilatation de l'uretère, l'ablation de calculs rénaux ou la mise en place d'un stent pour maintenir la perméabilité de l'uretère. Dans les cas graves, une néphrectomie (ablation du rein) peut être nécessaire.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
Le diabète de type 2 est une maladie métabolique caractérisée par une résistance à l'insuline et une incapacité relative de l'organisme à produire suffisamment d'insuline pour maintenir une glycémie normale. Il s'agit du type le plus courant de diabète, représentant environ 90 à 95% des cas de diabète.
Dans le diabète de type 2, les cellules du corps deviennent résistantes à l'action de l'insuline, ce qui signifie qu'elles ne répondent pas correctement à l'insuline produite par le pancréas. Au fil du temps, cette résistance à l'insuline entraîne une augmentation de la glycémie, car les cellules ne peuvent plus absorber le glucose aussi efficacement qu'auparavant.
Le pancréas réagit en produisant davantage d'insuline pour tenter de maintenir des niveaux de sucre sanguin normaux, mais à long terme, il ne peut pas suivre la demande et la production d'insuline diminue. Cela entraîne une augmentation encore plus importante de la glycémie, ce qui peut entraîner des complications graves telles que des maladies cardiovasculaires, des lésions nerveuses, des maladies rénales et des problèmes oculaires.
Le diabète de type 2 est généralement associé à des facteurs de risque tels qu'un surpoids ou une obésité, un manque d'activité physique, une mauvaise alimentation, l'âge avancé et des antécédents familiaux de diabète. Il peut être géré grâce à des changements de mode de vie, tels qu'une alimentation saine, une activité physique régulière et la perte de poids, ainsi que par des médicaments pour abaisser la glycémie si nécessaire.
La médecine des voyages est une spécialité médicale qui se concentre sur la prévention et le traitement des problèmes de santé qui peuvent survenir avant, pendant et après les déplacements à l'étranger. Elle comprend des conseils de vaccination, la prévention des maladies infectieuses telles que le paludisme et l'hépatite, la gestion des problèmes de santé préexistants, la gestion des risques liés aux activités de loisirs telles que la plongée sous-marine ou les sports extrêmes, et la prise en charge des urgences médicales qui peuvent survenir pendant le voyage. Les médecins spécialistes en médecine des voyages fournissent également des informations sur l'accès aux soins de santé dans les destinations de voyage et sur la couverture d'assurance maladie à l'étranger.
Je suis désolé, mais votre demande est un peu ambiguë. Le terme « voyage » n'a pas de définition médicale spécifique. Cependant, dans un contexte plus large de la santé et du bien-être, le « voyage » peut faire référence à un processus ou une expérience impliquant le déplacement ou le passage d'un état de santé, de bien-être ou de conscience à un autre. Par exemple, un voyage de guérison est un terme utilisé pour décrire un cheminement vers la guérison physique, émotionnelle ou spirituelle.
Si vous cherchez une définition médicale d'un terme spécifique commençant par « voyage », veuillez me fournir plus de détails et je serais heureux de vous aider.
L'acétazolamide est un médicament sulfonamide qui est souvent utilisé pour traiter le glaucome, l'épilepsie et les troubles respiratoires de haute altitude. Il agit en réduisant la production d'humour acqueux dans l'œil, ce qui abaisse la pression intraoculaire. Dans le traitement de l'épilepsie, il agit en augmentant le seuil épileptogène et en réduisant l'excitabilité neuronale. En outre, il est également utilisé pour prévenir et traiter les symptômes du mal aigu des montagnes en réduisant la production de liquide dans les poumons et en améliorant l'apport d'oxygène aux tissus.
Les effets secondaires courants de l'acétazolamide comprennent des nausées, des vomissements, une perte d'appétit, une sensation de picotement ou d'engourdissement dans les mains et les pieds, une augmentation de la miction et une modification du goût. Dans de rares cas, il peut provoquer des réactions allergiques graves, telles que des éruptions cutanées, des démangeaisons, de l'urticaire, un gonflement du visage, des lèvres, de la langue ou de la gorge, des difficultés respiratoires et une dépression de la moelle osseuse.
Il est important de noter que l'acétazolamide peut interagir avec d'autres médicaments, il est donc essentiel d'informer votre médecin de tous les médicaments que vous prenez avant de commencer à prendre ce médicament. Les personnes présentant une insuffisance rénale ou hépatique, une hypertension artérielle non contrôlée, une acidose métabolique ou une allergie aux sulfonamides doivent éviter de prendre de l'acétazolamide.
La Médecine Navale est une spécialité médicale qui se concentre sur la santé et la médecine à bord des navires en mer, dans les bases navales et dans d'autres environnements maritimes. Elle combine les connaissances et les compétences de la médecine interne, de la médecine d'urgence, de la psychiatrie, de la toxicologie, de la santé publique et de la prévention des maladies.
Les médecins navals fournissent des soins médicaux aux membres de l'équipage en mer, ce qui peut inclure le traitement des maladies aiguës et chroniques, les blessures, les urgences médicales et les problèmes de santé mentale. Ils doivent également être capables de gérer les situations d'urgence, telles que les évacuations médicales et les catastrophes à bord des navires.
La Médecine Navale comprend également la prévention des maladies, qui est essentielle pour maintenir la santé et le bien-être de l'équipage en mer. Les médecins navals travaillent à prévenir la propagation des maladies infectieuses, telles que le typhus et le choléra, qui peuvent se propager rapidement dans les environnements confinés des navires. Ils peuvent également être impliqués dans la surveillance de l'eau potable, de la nourriture et de l'air à bord des navires pour assurer un environnement sain.
En outre, les médecins navals peuvent être appelés à fournir des soins médicaux aux populations côtières et insulaires isolées, en particulier dans les régions éloignées où l'accès aux soins de santé est limité. Ils peuvent également travailler dans des établissements de santé civils ou militaires à terre, ainsi que dans des organisations internationales et non gouvernementales dédiées à la santé mondiale.
En termes médicaux, le "drug labeling" fait référence à l'étiquetage et à l'emballage des médicaments, y compris les informations imprimées sur l'étiquette elle-même. Ces étiquettes doivent inclure des instructions détaillées pour une utilisation sûre et efficace du médicament, telles que la posologie, la fréquence d'administration, les avertissements, les précautions, les interactions médicamenteuses possibles et les effets secondaires.
Le drug labeling est réglementé par des organismes gouvernementaux tels que la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis, qui exige que toutes les informations sur l'étiquette soient claires, précises et basées sur des preuves scientifiques. Les fabricants de médicaments sont tenus de respecter ces normes pour garantir la sécurité et l'efficacité de leurs produits.
Il est important que les professionnels de santé et les patients soient informés des informations contenues dans l'étiquetage des médicaments, car cela peut avoir un impact direct sur la manière dont le médicament est prescrit, administré et utilisé. Une mauvaise compréhension ou une interprétation erronée de ces informations pourrait entraîner des risques inutiles pour la santé ou une diminution de l'efficacité du traitement.
Dans un contexte médical, le terme « navires » fait référence aux vaisseaux sanguins ou lymphatiques. Les navires sanguins sont des tubes minuscules qui transportent le sang chargé de nutriments et d'oxygène vers toutes les parties du corps. Ils forment un réseau complexe dans tout le corps, composé de artères, veines et capillaires.
Les artères sont les navires qui transportent le sang oxygéné du cœur vers les différents tissus et organes du corps. Les veines sont des vaisseaux sanguins qui retournent le sang désoxygéné du corps au cœur. Les capillaires sont de minuscules navires qui forment un réseau entre les artères et les veines, permettant l'échange de nutriments, d'oxygène et de déchets entre le sang et les tissus corporels.
Les vaisseaux lymphatiques sont similaires aux vaisseaux sanguins mais transportent la lymphe, un liquide clair contenant des globules blancs et d'autres composants, plutôt que le sang. Les navires lymphatiques aident à protéger le corps contre les infections et à éliminer les déchets et l'excès de fluide des tissus.
Je suis désolé, mais la requête « Matériel Enseignement » ne correspond pas à une définition médicale standard. Le terme "matériel d'enseignement" fait référence aux ressources utilisées pour instruire ou enseigner, que ce soit dans un contexte médical ou non. Cela peut inclure des manuels, des outils pédagogiques, des supports visuels, des équipements de démonstration, etc. Si vous cherchez une définition médicale spécifique, pouvez-vous s'il vous plaît préciser votre demande?
Polyurie
Néphrologie
Syndrome des buveurs de lait
Complications de la grossesse
Insuffisance rénale aiguë
Claviceps paspali
1913 en santé et médecine
R35
Hypothermie
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Cystinose
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Diabète insipide
Miction
Syndrome de Bardet-Biedl
Lymphocèle
Diurèse
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Lithium
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Diabète félin
Coma hyperosmolaire non cétonique
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Polydipsie
Diabète de type 1
Hypokaliémie
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Polyurie - Wikipedia
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DIURÈSE - Encyclopædia Universalis
Diurèse : définition
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L'incontinence urinaire chez la chienne | Pharmacien Giphar
Polydipsie5
- l'absorption de substances diurétiques : médicaments diurétiques, lithium, caféine, etc. une consommation importante de fluide (en particulier, de l'eau), appelée aussi polydipsie, qui peut être cause comme conséquence de la polyurie. (wikipedia.org)
- Une polydipsie primitive (cause de la polyurie) n'est pas rare chez le patient psychiatrique. (wikipedia.org)
- Informer les patients et leur entourage de la nécessité de consulter rapidement, en cas de survenue de symptômes évocateurs d'un diabète (polyurie, polydipsie, perte de poids). (sante.fr)
- Si votre chat boit beaucoup d'eau et urine également en quantité importante, c'est qu'il présente probablement des signes de polydipsie et de polyurie. (catedog.com)
- Celui-ci entraîne le défaut de réabsorption tubulaire de l'eau dans les reins, se soldant par une polyurie (urine présentant une gravité spécifique très basse) et polydipsie. (caninsulin.ch)
Urinaire2
- On parle généralement de polyurie quand le débit urinaire est supérieur ou égal à 3 litres par jour chez l'adulte, alors que chez un individu sain, la diurèse est comprise entre 0,8 et 1,5 litre. (wikipedia.org)
- On parle de polyurie lorsque le débit urinaire est supérieur à 3L par jour chez l'adulte. (mix-cite.org)
Nocturne3
- Elle peut être surtout présente à certains moments de la journée (par exemple une polyurie nocturne). (wikipedia.org)
- Déterminer si la polyurie nocturne (PN) était plus fréquente chez les patients ayant une maladie de Parkinson idiopathique (MPI) que dans la population générale du même âge (Cohorte de référence Van Doorn et al. (urofrance.org)
- La nycturie et la polyurie nocturne sont des causes potentielles des envies fréquentes la nuit. (poise.com)
D'urine4
- La polyurie se caractérise par une sécrétion excessive d'urine (ou diurèse), supérieure à 3 litres par jour. (wikipedia.org)
- La polyurie est une production ou anormalement élevée d'urine ou un nombre anormalement élevé de passages aux toilettes pour uriner, peu importe le moment de la journée. (tena.ca)
- la polyurie est une augmentation anormale du volume d'urine produit. (mix-cite.org)
- Boire trop de liquide entraîne de grandes quantités d'urine (polyurie) et peut, par conséquent, entraîner une envie pressante d'uriner et des visites fréquentes aux toilettes, car la vessie se remplit rapidement. (tena.ca)
Mictions1
- La polyurie est l'augmentation du volume des mictions . (pharmaciengiphar.com)
Parle de polyurie1
- Par extension, on parle de polyurie toute augmentation transitoire de la quantité d'urines émise (par exemple après une crise de maladie de Bouveret). (wikipedia.org)
Signes1
- L'examen clinique peut révéler aussi bien des signes de déshydratations (par exemple lors de la polyurie sur diabète) que d'hyperhydratation (polyurie d'un patient en insuffisance cardiaque sous diurétiques). (wikipedia.org)
Urines1
- La polyurie est un symptôme ou une maladie caractérisée par des urines abondantes, fréquemment rencontrée dans le cas du diabète insipide et du diabète sucré. (wikipedia.org)
Troubles1
- De plus, une hypokaliémie chronique peut engendrer des troubles rénaux, ce qui entrainera une polyurie. (informationhospitaliere.com)
Glucose1
- Ainsi la polyurie des diabétiques est-elle liée à l'excrétion de glucose. (universalis.fr)
Causes2
- Parmi les causes expliquant l'apparition de la polyurie, on reconnaîtra : le diabète sucré qui reste la cause principale et à rechercher en première intention. (wikipedia.org)
- Le diabète est l'une des causes les plus fréquentes de polyurie. (mix-cite.org)
Augmentation8
- Par extension, on parle de polyurie toute augmentation transitoire de la quantité d'urines émise (par exemple après une crise de maladie de Bouveret). (wikipedia.org)
- Boire en moyenne 10 litres d'eau par jour entraîne de la polyurie, autrement dit une augmentation du volume des urines par rapport à la moyenne, ce qui peut abîmer les reins. (cosmopolitan.fr)
- On pense notamment à la polyurie, l' augmentation du volume des urines . (cosmopolitan.fr)
- Lorsqu'un animal présente une augmentation de son émission d'urine on parle de polyurie. (vetocoquelicots.fr)
- La polyurie est une augmentation de la diurèse , c'est-à-dire une augmentation de la production d'urine. (planeteanimal.com)
- Il est important de différencier la polyurie de la pollakiurie, un signe clinique qui consiste en une augmentation du nombre de fois où l'animal urine, mais qui ne s'accompagne pas nécessairement d'une augmentation du volume d'urine. (planeteanimal.com)
- Symptômes d'une maladie rénale chez le chien : augmentation des mictions (polyurie), augmentation de la consommation d'eau. (dogbible.com)
- Augmentation du volume des urines (polyurie) se développant après la levée d'un obstacle siégeant sur les voies urinaires. (ricemeup.fr)
Urines abondantes2
- La polyurie est un symptôme ou une maladie caractérisée par des urines abondantes, fréquemment rencontrée dans le cas du diabète insipide et du diabète sucré. (wikipedia.org)
- Cette maladie se caractérise classiquement par une polyurie (urines abondantes), par une perte de poids (surtout pour les diabétiques de type 1), et par des sensations d'avoir faim et soif. (lesechos.fr)
Soif excessive1
- C'est une soif excessive et subséquente à la polyurie. (1-kaki.fr)
Poids1
- Chez les chiens, on considère qu'il y a polyurie lorsque plus de 50 ml par kg de poids corporel sont produits par jour. (planeteanimal.com)
Insipide1
- Cette polyurie peut s'atténuer au cours du traitement, mais lorsqu'elle persiste et entraîne un diabète insipide, il faut arrêter le traitement. (pharmacorama.com)
Consommation2
- La polyurie signifie que vous urinez plus de 2,5 litres par jour, surtout si vous n'avez apporté aucun changement majeur à vos habitudes alimentaires ou de consommation de liquides. (santemedicals.com)
- La polyurie provoque ce phénomène même si vous avez réduit votre consommation d'alcool avant de vous coucher ou si vous avez fait pipi plusieurs fois avant de vous coucher. (santemedicals.com)