La fine membrane séreuse enveloppent les poumons (poumon) et remplissant les thoraciques CAVITY. Plèvre composée de deux couches, la plèvre viscérale allongé près du parenchyme pulmonaire et sur la plèvre pariétale. Entre les 2 couches est l'épanchement CAVITY qui contient une fine couche de liquide.
Tumeurs de la mince membrane qui séreuse enveloppes les poumons et des lignes la cavité thoracique. Épanchement néoplasmes sont extrêmement rares et sont généralement pas diagnostiqué jusqu'à ce qu'ils soient moderne parce qu'au début ils produisent aucun symptôme.
Une rare Néoplasme, en général, bénignes, provenant des fibroblastes mésenchymateuses submesothelial située dans la doublure de la plèvre. En dépit de ses différentes synonymes, il n'a aucune caractéristiques de mesothelial des cellules et est indépendante de malignant mesothelioma ou l'amiante.
Les maladies de la plèvre, ou pneumopathies séreuses, regroupent un ensemble d'affections pathologiques affectant la membrane séreuse entourant les poumons, incluant l'épanchement pleural, les processus inflammatoires, infectieux et néoplasiques, ainsi que les affections congénitales ou traumatiques.
Une tumeur provenant de tissu mesothelial (péritoine, plèvre, péricarde). Il semble aussi large couches de cellules, avec certaines régions contenant spindle-shaped, sarcoma-like des cellules et d'autres régions. Épanchement mesotheliomas adénomateux montrant modèles ont été associés à l ’ exposition à l'amiante. (Dorland, 27 e)
Présence de liquide dans la cavité pleurale résultant de l ’ exsudation ou transudation excessive de la surface pleurale ? C'est un signe de maladie et pas un diagnostic en soi.
Mais séparé apparié cavité de l'incision thoracico-abdominale CAVITY. Elle consiste en l'espace entre les os pariétal et plèvre viscérale et normalement contient une couche de capillaire, lubrifiant le fluide, sécheresse de la surface pleurale ?
Tumeurs composé de tissus fibreux, l'ordinaire du tissu conjonctif du corps, en majorité des fibres jaunes ou blancs. Le concept ne vise pas néoplasmes situées dans des tissus fibreux.
De l'amiante fibreux incombustible composé de minéraux et de calcium magnésium silicates avec ou sans autres éléments. C'est relativement inerte chimiquement et utilisé dans l'isolation thermique et l'ignifugation. Inhalation de poussière provoque le cancer du poumon et tumeurs gastro-intestinales et plus tard.
Un examen endoscopique, le traitement ou une chirurgie de la cavité pleurale.
Incision chirurgicale dans la paroi thoracique.
Rare ’ origine mésenchymateuses, en général, bénignes et plus fréquemment impliquant la plèvre (voir solitaire tumeur fibreuse, épanchement). Elles sont également retrouvés dans extrapleural sites.
Une forme de pneumoconiose causée par inhalation de fibres d'amiante puissant qui obtenir des réponses inflammatoires dans le parenchyme du poumon. La maladie est caractérisé par une fibrose interstitielle du poumon et varie de dispersés aux lésions au niveau des sites interstitium alvéolaires.
Tomographie en utilisant un algorithme d'ordinateur radio transmission et de reconstruire l'image.
Une accumulation d ’ air ou gaz dans l'épanchement CAVITY, pouvant apparaître spontanément soit suite à un traumatisme ou processus pathologique. Le gaz peut également être présenté, pendant... PNEUMOTHORAX délibérément.
Plèvre, inflammation de la paroi du poumon. Quand plèvre pariétale est impliqué, il y a pleuritic poitrine la douleur.
Une rare agressif variante de Chondrosarcome histologique, se caractérisant par un schéma biphasique compacte intermixed avec de petites cellules des îlots de matrice cartilagineux. Mesenchymal chondrosarcomas ont une prédilection pour l'appartement os ; tubulaire os sont rarement affectés. Ils se produisent dans le groupe d ’ âge inférieur et sont hautement métastatiques. (DeVita Jr et al., Cancer : Principes & Practice en cancérologie, Ed, 3D p1456)
Mort résultant de la présence d'une maladie dans un individu, comme indiqué par un seul rapport ou un nombre limité de patients. Ça devrait être différenciés des physiologique l ’ arrêt de mort, la vie et d'une époque, une surveillance épidémiologique ou concept statistique.
Présence de pus dans un organe creux ou corps.
Longtemps, pliable, ou produit naturel cohésive filaments de différentes longueurs. Ils forment la structure de certains minéraux. Le médecin signification réside dans leur potentiel faculté à créer différents types de PNEUMOCONIOSIS (par exemple, asbestose) après Occupational ou environnement de McGraw-Hill. (Dictionnaire de termes scientifique et technique, 4e Ed, p708)
La production de adhérences entre l'os pariétal et plèvre viscérale. La procédure est utilisé dans le traitement de fistules bronchopleural, malignes et épanchement pleural, pneumothorax et implique l ’ instillation de produits chimiques ou autres agents dans l'espace pleural causant, en effet, un pleuritis qui scelle la fuite. (De Fishman Pulmonaire Diseases, Ed, 2d p2233 & Dorland, 27 e)
La chirurgie endoscopique de la cavité pleurale réalisée par la visualisation via transmission vidéo.
Présence de liquide dans l'épanchement CAVITY comme complication d'une affection maligne. Malignes épanchement pleural souvent effective contiennent des cellules malignes.
X-ray visualisation de la poitrine et organes de la cavité thoracique. C'est pas limité à la visualisation des poumons.
Un cours d'amiante qui inclut silicates en fer, de magnésium, calcium et du sodium. Les fibres sont généralement cassants et ne peut pas penser, mais elles sont plus résistants aux produits chimiques et de chaleur que compressée, Slalome. (De Hawley est tronquée Chemical Dictionary, 11e éditeur)
Un type de l'amiante qui survient chez nature comme les dihydraté de silicate de magnésium. Ça existe sous deux formes : Antigorite, une variété, et plaqué chrysotile, une variété fibreux. Le dernier qui fasse le 95 % des produits d'amiante. (De Merck Index, 11e Ed, p.893)
Hémorragie dans la cavité pleurale.
Sécheresse de la tuberculose du thorax et tapissant la membrane entourant les poumons.
Une opération sur le thoraciques organes, plus fréquemment les poumons et le cœur.
Les tumeurs du thorax sont des croissances anormales qui peuvent être bénignes ou malignes, situées dans la cavité thoracique, affectant les poumons, le médiastin, le cœur, la plèvre ou les vaisseaux sanguins.
Une tumeur bénigne de fibre ou développé des tissus conjonctifs.
Plus de la paire d'organes occupant la cavité du thorax cet effet l'aération du sang.
Zéolites. Un groupe d'hydraté cristalline alkali-aluminum silicates. Ils sont présents en roches volcaniques et sédimentaires, altération des minerais basalts, dépôts, et Clay. 40 connu la zéolite minéraux et un grand nombre de zeolites synthétiques sont disponibles sur le marché de Merck Index. (Éditeur) 11
Non pigmenté un mélanome malin. C'est un mélanome composée de cellules mutées dérivés de melanoblasts mais pas former de la mélanine. (Dorland, 27 e ; Stedman, 25e éditeur)
Une membrane dans la ligne médiane du thorax de mammifères. C'est elle qui distingue les poumons entre le sternum devant et Ies vertebraIes mensuelle derrière qui entoure le cœur, du cœur, oesophage, le thymus, et LYMPH NODES.
Amiante, grunerite. Une forme d'amphibole monoclinic à fibres d'amiante et une haute teneur en fer. Il est utilisé en isolation. (Dictionnaire de McGraw-Hill Terms scientifique et technique, 4e éditeur)
Calbindin sélectionne une protéine qui est exprimé dans des populations distinctes de neurones dans le vertébrés et invertébrés et qu ’ il module le système nerveux neuronal intrinsèque caractérisée par une excitabilité et influences ÉVOLUTION une potentialisation. C'est également retrouvés dans poumon, du testicule, de l ’ ovaire, de rein, et, et est exprimé dans de nombreux tumeur types trouvent dans ces tissus. Il est souvent utilisé comme un marqueur pour immunohistochimique mésothéliome.
Tumeurs ou un cancer du péritoine.
Finement silicate hydrous indigène en poudre. Il est utilisé comme du talc, seul ou avec féculents ou l'acide borique, pour les préparations et toilettes. Il est également excipient et du remplissage pour des pilules, tablettes, et pour dépoussiérer comprimé moules. (De Merck Index, 11e éditeur)
Tumeurs ou un cancer du poumon.
Otite moyenne chronique purulente inflammation de l'espace pleural.
Néoplasme caractérisé par une rare malignes prolifèrent rapidement, largement infiltrer, cellules mutées provenant de vaisseaux sanguins et remplissant blood-filled irrégulier ou un œdème espaces. (Stedman, 25e éditeur)
Un service de douze incurvé os qui relient postérieurement à la colonne vertébrale, et le virer antérieurement comme cartilage costal. Ensemble, ils forment un protecteur autour de la cage thoracique interne organes.
Résultats de l'autopsie.
Une tumeur tenosynovial Néoplasme provenant du tissu synovial des articulations ou des cellules de tendons et les jambes bursae l'endroit le plus commun, mais la tumeur peut survenir chez les abdominaux et d'autre malle muscles. Il y a deux types : A reconnu le monophasiques (caractérisée par des préservatifs de monotone fuseau biphasique) et les cellules (caractérisé par des espaces slit-like ou crevasses dans la tumeur, bordé de cuboidal ou grand columnar sarcomes des cellules épithéliales). Ces troubles surviennent plus fréquemment chez les deuxième et quatrième décennies de la vie. (De Dorland, 27 e ; DeVita Jr et al., Cancer : Principes & Practice en cancérologie, Ed, 3D p1363)
L'excision du tissu pulmonaire incluant partielle ou totale pulmonaire lobectomie.
Processus pathologiques impliquant aucune partie du poumon.
Endoscope pour examiner la cavité pleurale.
Nanometer-scale câbles à base de matériaux que conduire l'électricité. Ils peuvent être couverts de molécules telles que des anticorps qui va lier aux protéines et d ’ autres substances.
Et de lavande, acid-resistant amiante.
Une seule lésion des poumons qui se manifeste par une masse de tissu tout ronds, mesurant moins de 1 cm de diamètre, et ça peut être détecté par radiographie thoracique. Un nodule pulmonaire unique peut être associée à Néoplasme, tuberculose, kyste, ou autres anomalies dans le poumon, la poitrine du mur, ou la plèvre.
Tumeurs ou un cancer du médiastin.
Histochemical Localisation de substances immunoréactifs utilisant étiqueté comme anticorps réactifs.
Tubes de Nanometer-sized CARBON. Ces nanotubes sont utilisées comme structurelles et de haute résolution sondes pour imagerie chimique biomolécules avec force atomique de microscope.
Infections des poumons de parasites, plus fréquemment par les vers parasitaires (helminthes).
Les plus fréquemment vu communication anormale entre deux organes internes, ou entre un organe et la surface du corps.

La plèvre est une membrane séreuse qui enveloppe les poumons et tapisse la cavité thoracique. Elle est composée de deux feuillets, pariétal (externe) et viscéral (interne), qui sont en contact étroit et glissent l'un sur l'autre grâce au liquide pleural présent entre eux. Cette structure permet aux poumons de se mouvoir librement lors des cycles respiratoires. La plèvre joue également un rôle dans la protection et l'humidification des poumons, ainsi que dans le maintien de la pression négative nécessaire à leur expansion. Des pathologies telles que l'épanchement pleural ou le pneumothorax peuvent perturber son fonctionnement normal.

Les tumeurs de la plèvre, également connues sous le nom de mésothéliomes pleuraux, sont des cancers agressifs qui se développent dans les fines membranes (la plèvre) qui entourent les poumons. La plupart des cas de mésothéliomes pleuraux sont liés à une exposition antérieure à l'amiante.

Il existe deux types principaux de tumeurs de la plèvre : le mésothéliome épithélial et le mésothéliome sarcomatoïde. Le mésothéliome épithélial est le type le plus courant et a généralement un meilleur pronostic que le mésothéliome sarcomatoïde.

Les symptômes des tumeurs de la plèvre peuvent inclure une douleur thoracique, une toux persistante, une difficulté à respirer, une perte d'appétit et une perte de poids involontaire. Le diagnostic est souvent difficile car les symptômes sont similaires à ceux d'autres maladies pulmonaires courantes.

Le traitement dépend du stade et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que de l'état général de santé du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, et/ou une chimiothérapie pour ralentir la croissance de la tumeur. Malheureusement, le pronostic est généralement mauvais pour les patients atteints de tumeurs de la plèvre, avec un taux de survie à cinq ans inférieur à 10%.

Un solitary fibrous tumor, pleural (SFT, pulmonaire) est un type rare de tumeur des membranes qui entourent les poumons (la plèvre). Bien que la plupart des SFT soient bénins, certains d'entre eux peuvent être malins et envahir les structures avoisinantes ou se propager à d'autres parties du corps. Les SFT peuvent varier en taille et peuvent atteindre une grande taille avant de provoquer des symptômes.

Les symptômes courants des SFT, pulmonaires comprennent la toux, des douleurs thoraciques, des difficultés respiratoires et une sensation de malaise général. Dans certains cas, les SFT peuvent également sécréter des substances qui provoquent une hypertension artérielle pulmonaire, ce qui peut entraîner une insuffisance cardiaque droite.

Le diagnostic d'un SFT, pulmonaire est généralement posé à l'aide d'une combinaison de tests d'imagerie, tels qu'une radiographie thoracique ou une tomodensitométrie (TDM), et d'une biopsie des tissus affectés. Le traitement dépend du stade et du grade de la tumeur et peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses restantes.

Il est important de noter que les SFT, pulmonaires sont rares et qu'il est donc essentiel de consulter un médecin expérimenté dans le traitement des tumeurs pulmonaires pour obtenir un diagnostic et un plan de traitement appropriés.

Les maladies de la plèvre se réfèrent à un ensemble de conditions qui affectent la plèvre, qui est le revêtement séreux entourant les poumons et la paroi thoracique. La plèvre a deux couches : la couche viscérale, qui est en contact avec les poumons, et la couche pariétale, qui tapisse la paroi thoracique. L'espace entre ces deux couches est rempli d'un liquide lubrifiant appelé liquide pleural, ce qui permet aux poumons de glisser facilement lors de la respiration.

Les maladies de la plèvre peuvent être classées en plusieurs catégories, notamment :

1. Inflammation de la plèvre (pleurite) : Il s'agit d'une inflammation de la plèvre qui peut être causée par une infection, une maladie auto-immune ou une irritation chimique. Les symptômes peuvent inclure une douleur thoracique aiguë et une respiration difficile.
2. Épaississement de la plèvre (fibrose pleurale) : Il s'agit d'un épaississement et d'un durcissement de la plèvre qui peuvent être causés par une inflammation chronique, une exposition à des toxines ou une radiothérapie. Les symptômes peuvent inclure une respiration difficile et une réduction de la capacité pulmonaire.
3. Accumulation de liquide dans l'espace pleural (dans la plèvre) : Cela peut être dû à une inflammation, une infection, une tumeur ou une insuffisance cardiaque congestive. Les symptômes peuvent inclure une respiration difficile et une douleur thoracique.
4. Tumeurs de la plèvre : Il s'agit de tumeurs bénignes ou malignes qui se développent dans la plèvre. Les tumeurs malignes peuvent être primaires (se développant dans la plèvre) ou secondaires (se propageant à partir d'autres parties du corps).

Le traitement dépendra de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie.

Le mésothéliome est un type rare et agressif de cancer qui se développe dans la membrane protectrice (la mésothélium) qui recouvre les poumons, le cœur, l'estomac et d'autres organes internes. La majorité des cas de mésothéliome sont liés à une exposition antérieure à l'amiante.

Il existe plusieurs types de mésothéliomes, mais le plus courant est le mésothéliome pleural, qui affecte les membranes entourant les poumons. Les symptômes peuvent inclure une douleur thoracique, une toux persistante, un essoufflement, une perte de poids et une accumulation de liquide dans la cavité thoracique (dite épanchement pleural).

Le diagnostic de mésothéliome est souvent difficile car les symptômes peuvent être similaires à ceux d'autres maladies pulmonaires. Des examens d'imagerie, tels que des radiographies ou des tomodensitométries, ainsi qu'une biopsie sont généralement nécessaires pour confirmer le diagnostic.

Le traitement du mésothéliome peut inclure une chirurgie, une chimiothérapie et/ou une radiothérapie, en fonction du stade et de l'emplacement de la tumeur. Malheureusement, le pronostic pour les personnes atteintes de mésothéliome est généralement mauvais, avec un taux de survie à cinq ans inférieur à 10%.

Il est important de noter que l'exposition à l'amiante est la principale cause de mésothéliome et qu'il existe des lois et réglementations pour protéger les travailleurs contre l'exposition à ce matériau dangereux. Si vous pensez avoir été exposé à l'amiante, il est important de consulter un médecin pour un dépistage et une surveillance régulière de votre santé pulmonaire.

Une pleurésie est une accumulation anormale de liquide dans l'espace pleural, qui est l'espace situé entre les deux feuillets (pariétal et viscéral) de la plèvre qui recouvrent les poumons. Normalement, cet espace contient une petite quantité de liquide lubrifiant pour permettre aux feuillets de glisser facilement l'un contre l'autre lors des mouvements respiratoires.

Cependant, diverses conditions pathologiques peuvent entraîner une augmentation de la perméabilité ou de la production de liquide dans l'espace pleural, entraînant ainsi une accumulation excessive de liquide connu sous le nom de pleurésie. Les causes courantes de pleurésie comprennent l'insuffisance cardiaque congestive, l'inflammation pulmonaire, la pneumonie, les tumeurs malignes, les traumatismes thoraciques et les infections du poumon ou de la plèvre (empyème pleural).

Les symptômes de la pleurésie peuvent varier en fonction de la cause sous-jacente et de la quantité de liquide accumulée. Les symptômes courants comprennent une douleur thoracique aiguë ou chronique, qui peut s'aggraver en inspirant profondément ou en toussant, ainsi qu'une toux sèche ou productive. Dans les cas graves, la pleurésie peut entraîner une détresse respiratoire et une diminution de l'oxygénation du sang.

Le diagnostic de pleurésie est généralement posé par imagerie médicale, telle qu'une radiographie pulmonaire ou une tomodensitométrie (TDM), qui peuvent révéler une opacité ou une augmentation de la transparence du poumon affecté. L'analyse du liquide pleural peut également fournir des informations sur la cause sous-jacente de la pleurésie, telles que la présence d'infections bactériennes ou de cellules cancéreuses.

Le traitement de la pleurésie dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des antibiotiques pour les infections, des analgésiques pour la douleur thoracique, des anti-inflammatoires pour réduire l'enflure et des procédures telles que la thoracentèse ou la drainage pleural pour éliminer l'excès de liquide accumulé. Dans les cas graves ou récurrents de pleurésie, une chirurgie peut être nécessaire pour retirer la plèvre affectée ou pour prévenir la récidive.

La cavité pleurale est l'espace situé entre les deux feuillets de la membrane séreuse qui tapisse la surface interne de la paroi thoracique et recouvre les poumons. Cette membrane est appelée la plèvre, et elle est composée d'un feuillet viscéral (qui recouvre les poumons) et d'un feuillet pariétal (qui tapisse la paroi thoracique).

Dans des conditions normales, ces deux feuillets sont en contact étroit l'un avec l'autre, et l'espace entre eux est rempli d'une petite quantité de liquide lubrifiant appelé liquide pleural. Ce liquide permet aux feuillets de glisser facilement les uns sur les autres lors des mouvements respiratoires.

Cependant, en cas de maladie ou de lésion, il peut y avoir une accumulation excessive de liquide dans la cavité pleurale, ce qui est appelé un épanchement pleural. Cela peut être dû à diverses causes, telles que l'inflammation, l'infection, la tumeur ou la traumatisme. Un épanchement pleural important peut comprimer le poumon et entraver la respiration.

Dans certains cas, il peut également y avoir une accumulation d'air dans la cavité pleurale, ce qui est appelé un pneumothorax. Cela peut se produire en raison d'une blessure à la poitrine ou de la rupture d'une bulle d'air dans les poumons (emphysème). Un pneumothorax peut également causer des problèmes respiratoires en comprimant le poumon.

En résumé, la cavité pleurale est l'espace situé entre les deux feuillets de la plèvre qui tapisse la paroi thoracique et recouvre les poumons. Normalement, cet espace contient une petite quantité de liquide lubrifiant, mais en cas de maladie ou de traumatisme, il peut s'accumuler de l'air ou du liquide dans cette cavité, ce qui peut causer des problèmes respiratoires.

Les tumeurs du tissu fibreux sont des excroissances anormales qui se développent dans les tissus conjonctifs ou les structures fibreuses de l'organisme. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes comprennent le fibrome, qui est une croissance lente et généralement indolore des cellules du tissu conjonctif. Les fibromes sont courants chez les femmes et peuvent se développer dans l'utérus ou d'autres parties du corps.

Les tumeurs malignes des tissus fibreux, également appelées sarcomes des tissus mous, sont des cancers qui se développent dans les cellules du tissu conjonctif. Ils peuvent se propager à d'autres parties du corps et peuvent être difficiles à traiter. Les types courants de sarcomes des tissus mous comprennent le liposarcome, le leiomyosarcome et le synovialosarcome.

Les symptômes des tumeurs du tissu fibreux dépendent de leur taille, de leur emplacement et de leur type. Les petites tumeurs bénignes peuvent ne pas causer de symptômes, tandis que les grandes tumeurs ou les tumeurs malignes peuvent causer des douleurs, des gonflements, des ecchymoses ou des difficultés à bouger une partie du corps. Le traitement dépend du type, de la taille et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que de la santé générale du patient. Les options de traitement peuvent inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie ou une combinaison de ces traitements.

L'amiante est un terme général qui décrit un groupe de minéraux à base de silicate qui sont résistants à la chaleur et au feu. Il existe deux principaux types d'amiante : serpentine et amphibole. L'amiante serpentine a une structure en forme de feuille et ne comprend qu'un seul minéral, le chrysotile. L'amiante amphibole a une structure fibreuse rigide et comprend plusieurs minéraux, tels que l'amosite, la crocidolite, la tremolite, l'actinolite et l'anthophyllite.

L'amiante est dangereux pour la santé lorsqu'il est inhalé sous forme de fibres microscopiques. Ces fibres peuvent se loger dans les poumons et entraîner une variété de problèmes de santé, notamment des maladies pulmonaires telles que l'asbestose, le cancer du poumon et le mésothéliome, qui est un type rare de cancer qui affecte la membrane qui tapisse les poumons et la cavité thoracique.

Historiquement, l'amiante a été utilisé dans une variété d'applications industrielles et commerciales en raison de ses propriétés isolantes, résistantes au feu et ignifuges. Il a été utilisé dans des matériaux de construction tels que le ciment, les tuiles de toiture, les joints d'étanchéité et les conduits de ventilation, ainsi que dans des produits tels que les freins et les garnitures de freins automobiles.

Cependant, en raison des risques pour la santé associés à l'exposition à l'amiante, son utilisation a été largement interdite ou restreinte dans de nombreux pays, y compris aux États-Unis et dans l'Union européenne. Les réglementations actuelles exigent que les bâtiments contenant de l'amiante soient inspectés et que des mesures soient prises pour éliminer ou contenir l'amiante afin de protéger la santé publique.

La thoracoscopie est une procédure diagnostique et thérapeutique minimement invasive utilisée en médecine et en chirurgie. Elle consiste à insérer un thoracoscope, qui est un tube rigide ou flexible muni d'une caméra et d'une source lumineuse, dans l'espace pleural (l'espace entre la paroi de la cage thoracique et les poumons) après avoir insufflé du gaz carbonique pour créer un espace de travail.

Cette procédure permet au médecin d'examiner les structures internes de la cavité thoracique, telles que les poumons, le médiastin (la région centrale de la cage thoracique contenant le cœur, l'œsophage, la trachée et les vaisseaux sanguins), le diaphragme et la plèvre (membrane qui entoure les poumons).

La thoracoscopie peut être utilisée pour diagnostiquer des maladies telles que les pneumonies, les tumeurs malignes ou bénignes, les épanchements pleuraux et les inflammations de la plèvre. Elle peut également être utilisée pour traiter certaines conditions, comme la biopsie pulmonaire guidée par thoracoscopie, le traitement des fuites d'air dans la cavité pleurale (pneumothorax), l'ablation de tumeurs ou de nodules pulmonaires, et la division du ligament suspenseur du poumon dans certaines procédures chirurgicales.

La thoracoscopie est généralement réalisée sous anesthésie générale et nécessite une hospitalisation courte. Les complications potentielles de cette procédure comprennent des saignements, des infections, des lésions nerveuses ou vasculaires, et la formation de pneumothorax post-procédural.

Une thoracotomie est une procédure chirurgicale dans laquelle une incision est pratiquée sur la paroi thoracique pour accéder à la cavité thoracique. Cette intervention peut être effectuée pour diverses raisons, telles que l'évacuation d'un pneumothorax ou d'un hémothorax, l'examen direct des poumons, du cœur ou d'autres organes thoraciques, la résection d'une tumeur, la réparation d'une plaie traumatique ou la réalisation d'une transplantation cardiaque ou pulmonaire.

Selon l'emplacement et la raison de l'intervention, une thoracotomie peut être classée en différents types :

1. Thoracotomie antérieure : L'incision est pratiquée sur le sternum (sternotomie médiane) ou sur le côté du sternum. Elle permet d'accéder aux deux cavités thoraciques et est souvent utilisée pour les interventions cardiaques.

2. Thoracotomie latérale : L'incision est pratiquée sur le côté de la cage thoracique, sous l'aisselle (axillaire) ou à travers les côtes postérieures. Elle permet d'accéder à une cavité thoracique spécifique et est souvent utilisée pour les interventions pulmonaires, telles que la résection d'une tumeur.

3. Thoracotomie postérieure : L'incision est pratiquée dans le dos, entre les côtes, pour accéder à la cavité thoracique postérieure. Elle est souvent utilisée pour traiter les pathologies de la colonne vertébrale ou des nerfs intercostaux.

Comme toute intervention chirurgicale, une thoracotomie comporte des risques et des complications potentielles, tels qu'une douleur postopératoire sévère, des infections, des lésions nerveuses ou vasculaires, des pneumothorax (affaissement pulmonaire) et des hémothorax (saignement dans la cavité thoracique). Les patients doivent être informés de ces risques avant de subir une telle intervention.

Les tumeurs solitaires fibreuses (TSF) sont des tumeurs rares et généralement indolentes qui peuvent se développer dans divers emplacements du corps, y compris le thorax, l'abdomen, le pelvis, la tête et le cou. Elles prennent naissance dans les membranes qui entourent les organes internes (les enveloppes fibreuses) et sont composées de cellules fusiformes entourées d'un tissu conjonctif abondant.

Les TSF peuvent varier en taille, allant de quelques millimètres à plusieurs centimètres de diamètre. Bien qu'elles soient généralement bénignes, certaines TSF peuvent devenir malignes et envahir les tissus avoisinants ou se propager (métastaser) vers d'autres parties du corps.

Les symptômes associés aux TSF dépendent de leur localisation. Les patients peuvent présenter des douleurs, une sensation de masse, des difficultés à avaler, des saignements ou des problèmes respiratoires, selon l'emplacement et la taille de la tumeur. Le diagnostic repose sur l'imagerie médicale (TDM, IRM) et la confirmation histopathologique après une biopsie ou une résection chirurgicale.

Le traitement des TSF consiste généralement en une résection chirurgicale complète de la tumeur. Dans les cas où une résection complète n'est pas possible ou si la tumeur est maligne, d'autres options thérapeutiques peuvent être envisagées, telles que la radiothérapie et/ou la chimiothérapie. Le pronostic dépend du type de tumeur, de sa taille, de son emplacement et de l'extension de la maladie au moment du diagnostic.

L'asbestose est une maladie pulmonaire interstitielle irréversible et progressive, causée par l'inhalation de fibres d'amiante. Cette pathologie se caractérise par une fibrose pulmonaire, qui entraîne une réduction de la fonction respiratoire, des essoufflements, une toux persistante et, dans les cas graves, une hypertension artérielle pulmonaire et un cœur pulmonaire. L'asbestose se développe généralement après plusieurs années d'exposition à l'amiante et peut augmenter le risque de cancer du poumon, en particulier chez les fumeurs. Il n'existe actuellement aucun traitement curatif pour cette maladie, et la prévention consiste principalement à éviter toute exposition aux fibres d'amiante.

Un tomodensitomètre, également connu sous le nom de scanner CT (Computed Tomography), est un équipement d'imagerie médicale avancé qui utilise des rayons X pour produire des images détaillées et croisées du corps humain. Il fonctionne en prenant une série de plusieurs rotations autour du patient, capturant des images à angles multiples. Ensuite, ces données sont traitées par un ordinateur qui les combine pour créer des sections transversales du corps, fournissant ainsi des vues détaillées des os, des muscles, des graisses et des organes internes.

Cet outil diagnostique est largement utilisé pour identifier divers types de maladies telles que les tumeurs, les fractures, les hémorragies internes, les infections, les inflammations et d'autres affections médicales. Il offre une visualisation tridimensionnelle et précise, ce qui permet aux médecins de poser un diagnostic plus précis et de planifier des traitements appropriés. Cependant, comme il utilise des radiations, son utilisation doit être pesée par rapport aux bénéfices potentiels pour chaque patient.

Un pneumothorax est une condition médicale où il y a la présence d'air dans la cavité pleurale, l'espace entre les poumons et la paroi thoracique. Cet espace est normalement rempli de liquide, appelé le liquide pleural, qui permet aux poumons de glisser facilement lors de la respiration. Lorsque de l'air s'infiltre dans cet espace, il crée une pression sur les poumons, ce qui entraîne une partie ou la totalité du poumon à se collapser.

Il existe deux types principaux de pneumothorax : le pneumothorax spontané et le pneumothorax traumatique. Le pneumothorax spontané se produit sans cause évidente, en particulier chez les personnes atteintes d'une maladie pulmonaire sous-jacente telle que l'emphysème ou la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). Le pneumothorax traumatique est causé par une blessure directe à la poitrine, comme lors d'un accident de voiture ou d'une plaie par arme blanche ou par balle.

Les symptômes du pneumothorax peuvent inclure une douleur thoracique soudaine et aiguë, essoufflement, palpitations, fatigue, anxiété, toux et respiration rapide. Dans les cas graves, le pneumothorax peut entraîner une détresse respiratoire aiguë et une insuffisance cardiaque. Le diagnostic est généralement posé par une radiographie thoracique ou une tomodensitométrie (TDM) de la poitrine.

Le traitement du pneumothorax peut inclure l'observation, l'administration d'oxygène, l'insertion d'une aiguille ou d'un tube dans la cavité pleurale pour évacuer l'air accumulé et, dans les cas graves, une intervention chirurgicale. La prévention du pneumothorax peut inclure l'arrêt du tabagisme et le traitement des maladies pulmonaires sous-jacentes.

La pleurésie est une inflammation des membranes (appelées plèvre) qui tapissent la cavité thoracique et enveloppent les poumons. La plèvre est composée de deux feuillets, un se trouvant à la surface des poumons (la plèvre viscérale) et l'autre tapissant la paroi interne de la cage thoracique (la plèvre pariétale). Sous des conditions normales, ces deux feuillets glissent facilement l'un contre l'autre, permettant aux poumons de se déplacer librement lors de la respiration.

Cependant, lorsque la plèvre devient enflammée, comme dans le cas d'une pleurésie, ces feuillets peuvent s'irriter et frotter l'un contre l'autre, entraînant une douleur thoracique caractéristique et un essoufflement. L'inflammation peut également conduire à une accumulation de liquide entre les deux feuillets, appelée épanchement pleural, ce qui restreint encore plus le mouvement des poumons et aggrave les symptômes.

Les causes de la pleurésie sont variées, allant d'infections bactériennes ou virales à des maladies auto-immunes, des traumatismes thoraciques, des tumeurs malignes ou bénignes et des effets secondaires de certains médicaments. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente et peut inclure des analgésiques pour soulager la douleur, des antibiotiques pour combattre une infection bactérienne, des anti-inflammatoires pour réduire l'enflure et des procédures visant à drainer tout excès de liquide accumulé dans la cavité pleurale.

Le chondrosarcome mésenchymateux est un type rare et agressif de tumeur maligne qui se développe à partir du tissu conjonctif (mésenchyme) dans le corps. Contrairement aux autres types de chondrosarcomes, qui se forment généralement dans les os ou les cartilages, cette forme particulière peut survenir n'importe où dans le corps, y compris dans les muscles, les tendons et les ligaments.

Les chondrosarcomes mésenchymateux ont tendance à se développer rapidement et peuvent envahir les tissus environnants, ce qui rend leur traitement difficile. Ils sont souvent résistants à la radiothérapie et à la chimiothérapie, ce qui signifie que la chirurgie est généralement le principal traitement recommandé pour enlever la tumeur autant que possible.

Les facteurs de risque associés au développement d'un chondrosarcome mésenchymateux ne sont pas entièrement compris, mais il a été noté qu'il peut être lié à des antécédents de radiothérapie ou de certains types de tumeurs bénignes. Les symptômes peuvent varier en fonction de la localisation de la tumeur, mais peuvent inclure une masse palpable, une douleur, une faiblesse ou une limitation de la mobilité.

En raison de sa rareté et de son agressivité, le diagnostic et le traitement d'un chondrosarcome mésenchymateux nécessitent généralement l'expertise d'une équipe multidisciplinaire de spécialistes en oncologie.

Un résultat fatal en médecine se réfère à un décès ou au fait de causer la mort. C'est un terme utilisé pour décrire un résultat particulièrement grave d'une maladie, d'un traumatisme ou d'une procédure médicale. Un résultat fatal peut être attendu dans certaines situations, comme dans le cas de maladies avancées et terminaux, ou peut être imprévu et survenir même avec un traitement approprié. Dans les deux cas, il s'agit d'un événement tragique qui a des implications importantes pour les patients, leurs familles et les professionnels de la santé qui les prennent en charge.

Un empyème est une collection de pus dans un espace ou cavité naturellement stérile du corps, le plus souvent dans la cavité pleurale qui entoure les poumons. Cela se produit généralement à la suite d'une infection bactérienne, comme une pneumonie, qui se propage au-delà de la surface des tissus pulmonaires affectés vers l'espace pleural. L'empyème peut provoquer une inflammation et une irritation supplémentaires dans la cavité thoracique, entraînant éventuellement une douleur thoracique, une toux, de la fièvre et des difficultés respiratoires. Le traitement d'un empyème peut inclure des antibiotiques, des procédures de drainage ou une chirurgie pour éliminer le pus accumulé et prévenir les complications supplémentaires.

Les fibres minérales sont des structures filiformes, généralement rigides et allongées, composées de minéraux inorganiques. Dans un contexte médical, les fibres minérales les plus souvent mentionnées sont les fibres d'amiante, qui peuvent être retrouvées dans l'environnement et inhalées par les êtres humains. Ces fibres d'amiante sont constituées de silicate de calcium magnésium (chrysotile) ou de silicate de fer et de magnésium (tremolite, actinolite, anthophyllite). L'inhalation répétée de ces fibres minérales peut entraîner des maladies pulmonaires graves, telles que l'asbestose, le cancer du poumon et le mésothéliome.

Il est important de noter que les fibres minérales peuvent également inclure d'autres types de fibres inorganiques, telles que les fibres de verre ou de céramique, qui sont utilisées dans divers matériaux industriels et de consommation. Cependant, ces fibres ne présentent pas les mêmes risques pour la santé que les fibres d'amiante lorsqu'elles sont manipulées correctement et ne sont pas inhalées en grande quantité.

La pleurodèse est une procédure thérapeutique utilisée en médecine pour traiter l'effusion pleurale récurrente ou le pneumothorax récurrent. Il s'agit d'une intervention qui provoque délibérément une inflammation et ultimately une fusion des deux feuillets de la plèvre (la membrane qui tapisse les poumons et la cavité thoracique), restreignant ainsi l'espace dans lequel se produit le liquide ou l'air.

Cela peut être accompli en insérant un agent irritant dans l'espace pleural, comme du talc stérile en poudre, qui provoque une réaction inflammatoire et finalement cause les deux feuillets de la plèvre à coller ensemble. Une fois la procédure terminée, l'espace pour l'accumulation de liquide ou d'air est considérablement réduit, ce qui aide à prévenir les récidives.

La pleurodèse peut être réalisée par thoracoscopie (VATS), sous guidage radiologique ou par une méthode chirurgicale ouverte. Les effets secondaires peuvent inclure la douleur, la fièvre et la difficulté à respirer dans les premiers jours suivant la procédure.

La chirurgie thoracique vidéo-assistée (VATS), également connue sous le nom de chirurgie thoracique assistée par vidéo, est une technique chirurgicale minimement invasive utilisée pour diagnostiquer et traiter diverses affections thoraciques.

Dans cette procédure, un petit tube avec une caméra à son extrémité (thoracoscope) est inséré dans la cavité thoracique par une petite incision. La caméra transmet des images vidéo en direct de l'intérieur de la poitrine sur un écran, offrant au chirurgien une vue détaillée de la zone cible.

D'autres petites incisions sont ensuite faites pour insérer des instruments chirurgicaux spéciaux qui permettent au chirurgien de réaliser l'intervention sans avoir à ouvrir complètement la poitrine. Cela entraîne moins de douleur, une récupération plus rapide et un risque réduit de complications par rapport aux techniques chirurgicales traditionnelles.

La VATS peut être utilisée pour traiter diverses affections telles que le cancer du poumon, les maladies pulmonaires bénignes, les infections thoraciques et certaines conditions cardiovasculaires.

Une «pleurésie maligne» ou «épanchement pleural malin» est un type d'accumulation anormale de liquide dans l'espace pleural (l'espace entre les deux feuillets de la plèvre qui recouvrent les poumons) causée par la propagation (métastase) du cancer depuis ses sites d'origine vers la plèvre. Ce liquide peut exercer une pression sur le poumon, ce qui entraîne des difficultés respiratoires.

Les cancers primitifs les plus souvent associés à cette condition sont le cancer du poumon, le lymphome malin et le cancer du sein. Cependant, presque tous les types de cancer peuvent métastaser vers la plèvre et provoquer une pleurésie maligne.

Les symptômes comprennent une toux, des douleurs thoraciques, une respiration difficile (dyspnée), une fatigue et une perte de poids involontaire. Le diagnostic est généralement posé en examinant le liquide prélevé par ponction dans la cavité pleurale (thoracentèse). Ce liquide est analysé pour déterminer la nature maligne des cellules cancéreuses et le type de cancer d'origine.

Le traitement vise à soulager les symptômes en éliminant l'excès de liquide et peut inclure une thoracentèse répétée, l'utilisation de tubes de drainage thoraciques, la chimiothérapie, la radiothérapie ou la chirurgie. Malheureusement, dans de nombreux cas, la pleurésie maligne est un signe avancé d'un cancer étendu et la maladie peut être difficile à contrôler.

Une radiographie thoracique, également appelée radiographie de la poitrine, est un examen d'imagerie médicale utilisant des rayons X pour produire des images du cœur, des vaisseaux sanguins, des poumons, des os de la cage thoracique, des côtes et des diaphragmes. Il s'agit d'un outil diagnostique commun utilisé pour détecter une variété de conditions médicales telles que les pneumonies, les emphysèmes, les fibroses pulmonaires, les cancer du poumon, les maladies cardiovasculaires et les fractures costales. Pendant l'examen, le patient est généralement assis ou debout avec les bras levés. Un technologue en radiologie positionne le patient et prend une image à l'aide d'une machine à rayons X. L'image résultante aide les médecins à évaluer l'état des organes et des tissus du thorax et à poser un diagnostic ou à surveiller la réponse au traitement.

L'amiante amphibole est un terme utilisé pour décrire un groupe de minéraux fibreux qui sont caractérisés par leurs longues et fines fibres rigides. Ces minéraux comprennent notamment le crocidolite, l'amosite, la tremolite, l'actinolite et l'anthophyllite.

L'amiante amphibole est considéré comme plus dangereux pour la santé que d'autres types d'amiante, tels que le chrysotile (ou amiante serpentine), en raison de sa forme et de ses dimensions fibreuses qui peuvent pénétrer profondément dans les poumons et y rester coincées, ce qui peut entraîner des maladies respiratoires graves telles que l'asbestose, le cancer du poumon et le mésothéliome.

Les fibres d'amiante amphibole sont résistantes à la chaleur, au feu et aux produits chimiques, ce qui a historiquement conduit à leur utilisation dans une variété de produits industriels et grand public, tels que les matériaux de construction, les freins et les garnitures de frein, les textiles et les revêtements.

Cependant, en raison des risques pour la santé associés à l'exposition à l'amiante amphibole, son utilisation est maintenant strictement réglementée ou interdite dans de nombreux pays.

L'amiante serpentine est un type de minéral à texture fibreuse qui est classé comme un type de roche asbestiforme. Il se compose principalement du minéral chrysotile, qui est le type d'amiante le plus couramment utilisé dans l'industrie.

Le chrysotile a une structure en forme de tube et se tord facilement sans se briser, ce qui le rend utile pour être tissé ou tordu en fils pour une variété d'applications industrielles et commerciales. Cependant, l'inhalation de fibres d'amiante a été associée à des maladies pulmonaires graves, telles que l'asbestose, le cancer du poumon et le mésothéliome, une forme rare de cancer qui affecte la membrane qui tapisse les poumons et la cavité thoracique.

En raison des risques pour la santé associés à l'amiante, son utilisation est strictement réglementée ou interdite dans de nombreux pays, y compris aux États-Unis et dans l'Union européenne.

L'hémothorax est un terme médical qui décrit l'accumulation anormale de sang dans l'espace pleural, qui est le revêtement séreux qui entoure les poumons et tapisse la cavité thoracique. Cette condition peut résulter d'une lésion traumatique ou non traumatique des vaisseaux sanguins situés dans la cavité thoracique, tels que les artères ou les veines intercostales, les artères sous-clavières, la veine cave supérieure, l'aorte et ses branches, ou les petits vaisseaux capillaires.

Les causes traumatiques courantes d'hémothorax comprennent les accidents de la route, les chutes, les coupures profondes, les côtes fracturées, les lésions pulmonaires et les interventions chirurgicales thoraciques. Les causes non traumatiques peuvent inclure des maladies vasculaires telles que l'hypertension artérielle, la dissection aortique, la rupture de l'anévrisme aortique, la coagulopathie, les tumeurs malignes ou bénignes dans la cavité thoracique, les infections telles que la pneumonie et l'empyème, et les maladies pulmonaires telles que la tuberculose et la sarcoïdose.

Les symptômes de l'hémothorax peuvent varier en fonction de la quantité de sang accumulée dans l'espace pleural. Les patients peuvent présenter une douleur thoracique aiguë, un essoufflement, une toux sanguinolente, des palpitations, une hypotension artérielle, une tachycardie et une diminution de la saturation en oxygène. Le diagnostic d'hémothorax peut être posé par l'examen physique, la radiographie pulmonaire, la tomodensitométrie thoracique ou l'échographie.

Le traitement de l'hémothorax dépend de la cause sous-jacente et de la quantité de sang accumulée dans l'espace pleural. Les patients présentant une hémorragie active peuvent nécessiter une intervention chirurgicale d'urgence pour arrêter le saignement. Les patients présentant une accumulation importante de sang dans l'espace pleural peuvent bénéficier d'une thoracocentèse ou d'un drainage thoracique par un tube de drainage thoracique. Les patients présentant une coagulopathie peuvent nécessiter une correction de la coagulation sanguine.

En conclusion, l'hémothorax est une affection potentiellement mortelle qui peut résulter d'une variété de causes sous-jacentes. Le diagnostic et le traitement précoces sont essentiels pour prévenir les complications graves telles que la défaillance respiratoire et cardiovasculaire. Les professionnels de la santé doivent être conscients des symptômes et des signes de l'hémothorax et prendre des mesures appropriées pour assurer un diagnostic et un traitement rapides et efficaces.

La tuberculose pleurale est une forme spécifique d'infection à Mycobacterium tuberculosis qui affecte la plèvre, la membrane qui recouvre les poumons. Elle se produit généralement lorsque le bacille de Koch, l'agent causal de la tuberculose, atteint la plèvre soit directement depuis les poumons voisins, soit par le biais du système sanguin.

L'inflammation résultante provoque une accumulation de liquide dans l'espace pleural (appelé épanchement pleural), ce qui peut causer des douleurs thoraciques, une toux et des difficultés respiratoires. Dans les cas graves, la plèvre peut se épaissir et fusionner avec le tissu pulmonaire sous-jacent, restreignant ainsi la capacité pulmonaire et entraînant une invalidité permanente.

Le diagnostic de tuberculose pleurale repose sur des tests de laboratoire, y compris l'analyse du liquide pleural pour la présence de bacilles acido-alcoolo-résistants (BAAR), qui sont les formes infectieuses de Mycobacterium tuberculosis. Des tests d'imagerie, tels que la radiographie thoracique et la tomodensitométrie (TDM), peuvent également être utilisés pour évaluer l'étendue des dommages aux poumons.

Le traitement de la tuberculose pleurale implique généralement une combinaison d'antibiotiques spécifiquement conçus pour tuer Mycobacterium tuberculosis, administrés pendant une période prolongée (généralement six mois ou plus). Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour drainer l'excès de liquide accumulé dans la cavité pleurale et soulager les symptômes.

La prévention de la tuberculose pleurale repose sur des mesures visant à réduire l'exposition à Mycobacterium tuberculosis, telles que la vaccination avec le BCG (bacille Calmette-Guérin) et l'isolement des personnes infectées. Il est également important de dépister et de traiter rapidement les cas de tuberculose pulmonaire pour prévenir la transmission de l'infection à d'autres personnes.

Une intervention chirurgicale thoracique est un type de procédure chirurgicale qui est effectuée sur le thorax, qui comprend la région du corps délimitée par le cou, la colonne vertébrale, les côtes et le diaphragme. Cette région contient des organes importants tels que les poumons, le cœur, l'œsophage, la trachée, les vaisseaux sanguins majeurs et le médiastin (la zone centrale de la cavité thoracique qui contient le cœur, la trachée, l'oesophage et les gros vaisseaux sanguins).

Les interventions chirurgicales thoraciques peuvent être effectuées pour diverses raisons, telles que le traitement de maladies pulmonaires, de cancer du poumon ou d'autres tumeurs thoraciques, de malformations congénitales, de blessures traumatiques, de maladies des vaisseaux sanguins thoraciques, de troubles de l'œsophage et de divers autres problèmes de santé.

Les techniques chirurgicales thoraciques peuvent varier considérablement en fonction de la nature et de la gravité de la maladie ou de la blessure traitée. Certaines interventions chirurgicales thoraciques peuvent être effectuées à l'aide de techniques mini-invasives, telles que la vidéothoracoscopie ou la thoracoscopie assistée par robot, qui nécessitent de petites incisions et permettent une récupération plus rapide. D'autres interventions chirurgicales thoraciques peuvent nécessiter une incision plus large dans la poitrine, connue sous le nom de thoracotomie, qui peut entraîner une récupération plus longue et des cicatrices plus importantes.

Comme pour toute intervention chirurgicale, les interventions chirurgicales thoraciques comportent des risques et des complications potentielles, notamment des saignements, des infections, des lésions nerveuses, des problèmes pulmonaires et cardiaques, et des réactions indésirables à l'anesthésie. Il est important de discuter avec votre médecin des avantages et des risques potentiels de toute intervention chirurgicale thoracique proposée.

Les tumeurs du thorax se réfèrent à toute croissance anormale dans la région du thorax, qui comprend les poumons, la plèvre (membrane qui recouvre les poumons), le médiastin (la zone entre les poumons), le cœur et les vaisseaux sanguins. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).

Les tumeurs pulmonaires peuvent être classées en deux types principaux : les carcinomes pulmonaires, qui se développent à partir des cellules des poumons, et les sarcomes pulmonaires, qui se développent à partir des tissus de soutien. Les carcinomes pulmonaires sont plus fréquents et peuvent être further classés en deux types : le cancer du poumon à petites cellules et le cancer du poumon non à petites cellules.

Les tumeurs de la plèvre, également connues sous le nom de mésothéliomes, peuvent être causées par l'exposition à l'amiante. Les tumeurs du médiastin peuvent inclure des lymphomes, des thymomes et des tumeurs neurogènes.

Les symptômes des tumeurs du thorax dépendent de leur emplacement et de leur taille. Ils peuvent inclure une toux persistante, des douleurs thoraciques, des difficultés respiratoires, une perte de poids inexpliquée, des sueurs nocturnes et des hoquets fréquents. Le traitement dépend du type et du stade de la tumeur, et peut inclure une chirurgie, une radiothérapie, une chimiothérapie ou une thérapie ciblée.

Un fibrome est un type courant de tumeur non cancéreuse (bénigne) qui se développe dans ou autour du muscle lisse de l'utérus (matrice). Il est également connu sous le nom de leiomyome ou fibromyome. Les fibromes peuvent varier en taille, allant de très petits à assez grands pour déformer et augmenter la taille de l'utérus.

Ces tumeurs sont composées de muscle lisse et de tissu conjonctif et peuvent se produire individuellement ou en groupes. Bien que les fibromes soient généralement bénins, ils peuvent encore causer une gamme de symptômes désagréables, notamment des menstruations abondantes et prolongées, des douleurs pelviennes, une pression sur la vessie ou le rectum, et dans de rares cas, l'infertilité.

Les fibromes sont courants chez les femmes en âge de procréer, en particulier entre 30 et 40 ans. Cependant, ils peuvent affecter les femmes de tous âges. Leur cause exacte est inconnue, mais il a été démontré que des facteurs tels que l'hérédité, les hormones, l'âge et le surpoids ou l'obésité augmentent le risque de développer un fibrome.

Un poumon est un organe apparié dans le système respiratoire des vertébrés. Chez l'homme, chaque poumon est situé dans la cavité thoracique et est entouré d'une membrane protectrice appelée plèvre. Les poumons sont responsables du processus de respiration, permettant à l'organisme d'obtenir l'oxygène nécessaire à la vie et d'éliminer le dioxyde de carbone indésirable par le biais d'un processus appelé hématose.

Le poumon droit humain est divisé en trois lobes (supérieur, moyen et inférieur), tandis que le poumon gauche en compte deux (supérieur et inférieur) pour permettre l'expansion de l'estomac et du cœur dans la cavité thoracique. Les poumons sont constitués de tissus spongieux remplis d'alvéoles, où se produit l'échange gazeux entre l'air et le sang.

Les voies respiratoires, telles que la trachée, les bronches et les bronchioles, conduisent l'air inspiré dans les poumons jusqu'aux alvéoles. Le muscle principal de la respiration est le diaphragme, qui se contracte et s'allonge pour permettre l'inspiration et l'expiration. Les poumons sont essentiels au maintien des fonctions vitales et à la santé globale d'un individu.

Les zéolites sont un type spécifique de minéraux microporeux qui sont largement distribués dans la nature. Ils sont composés de silicate aluminium hydraté et ont une structure cristalline caractérisée par des cavités et des canaux remplis d'ions d'eau et d'autres molécules.

Dans un contexte médical, les zéolites sont parfois utilisées comme agents de décontamination en raison de leur capacité à échanger des ions avec des substances nocives telles que les métaux lourds et les radionucléides. Cela permet de réduire l'exposition de l'organisme à ces toxines et de favoriser leur élimination.

Cependant, il convient de noter que l'utilisation médicale des zéolites est encore expérimentale et ne fait pas partie des traitements standard pour la plupart des affections. De plus, certaines formes de zéolites peuvent être toxiques si elles sont ingérées ou inhalées en grande quantité, il est donc important de consulter un professionnel de santé avant de les utiliser à des fins médicales.

Le mélanome achromique, également connu sous le nom de mélanome amelanotique ou vitiligo-associé, est une forme rare de cancer de la peau qui se caractérise par l'absence ou la faible présence de mélanine, le pigment qui donne à la peau sa couleur. Contrairement aux mélanomes typiques qui sont souvent noirs ou bruns, les mélanomes achromiques peuvent être roses, rouges, blancs ou de la même couleur que la peau environnante.

Les mélanomes achromiques ont tendance à se développer plus fréquemment chez les personnes atteintes de vitiligo, une maladie auto-immune qui entraîne la dépigmentation de la peau. Cependant, ils peuvent également survenir chez des personnes sans antécédents de vitiligo.

Les facteurs de risque du mélanome achromique comprennent une exposition excessive au soleil, l'utilisation de lits de bronzage, des antécédents personnels ou familiaux de mélanome et un système immunitaire affaibli. Les symptômes peuvent inclure des taches cutanées inhabituelles qui changent de forme, de taille ou de couleur, des plaies qui ne guérissent pas, des démangeaisons, des saignements ou des douleurs.

Le diagnostic du mélanome achromique peut être difficile en raison de son apparence atypique et nécessite souvent une biopsie pour confirmation. Le traitement dépend du stade et de l'emplacement du cancer, mais peut inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie ou l'immunothérapie.

Il est important de noter que le mélanome achromique est une forme agressive de cancer de la peau et qu'il est crucial de consulter un médecin dès que possible si vous remarquez des changements cutanés inhabituels ou des symptômes suspects.

Le médiastin est une région anatomique située dans le thorax, ou la cavité thoracique, qui sépare les deux poumons. Il contient un certain nombre d'organes et de tissus vitaux, notamment le cœur, les gros vaisseaux sanguins (comme l'aorte et la veine cave supérieure), le thymus, la trachée, l'œsophage, les nerfs récurrents, les ganglions lymphatiques et les conduits lymphatiques. Le médiastin est divisé en plusieurs compartiments, notamment le médiastin antérieur, le médiastin moyen et le médiastin postérieur, qui contiennent des structures organiques spécifiques. Les affections médicales telles que les infections, les tumeurs, les malformations congénitales et les traumatismes peuvent affecter le médiastin et ses structures associées, entraînant une variété de symptômes et de complications.

L'amosite, également connue sous le nom de grunerite amphibole, est un type de minéral d'amiante qui a été largement utilisé dans l'industrie en raison de ses propriétés ignifuges et isolantes. Il s'agit d'un silicate de fer magnésien hydraté, avec une structure fibreuse similaire à d'autres minéraux d'amiante tels que le chrysotile.

L'amosite est considérée comme l'une des formes les plus dangereuses d'amiante en raison de sa grande capacité à provoquer des maladies pulmonaires graves, telles que l'asbestose, le cancer du poumon et le mésothéliome. Ces maladies sont généralement causées par une exposition prolongée aux fibres d'amosite, qui peuvent être inhalées profondément dans les poumons et rester piégées dans les tissus pulmonaires pendant des années.

L'utilisation de l'amosite a été largement interdite dans de nombreux pays en raison de ses risques pour la santé, mais elle peut encore être trouvée dans certains bâtiments et matériaux plus anciens. Les professionnels de la santé et les travailleurs de la construction doivent prendre des précautions particulières lorsqu'ils travaillent avec des matériaux contenant de l'amosite pour éviter une exposition inutile à ce minéral dangereux.

La calbindine 2 est une protéine qui se lie au calcium et qui joue un rôle important dans la régulation du calcium intracellulaire. Elle est exprimée principalement dans les neurones du cerveau, en particulier dans les cellules de Purkinje dans le cervelet et dans certaines populations de neurones dans le cortex cérébral et l'hippocampus.

La calbindine 2 appartient à la famille des protéines de liaison au calcium EF-hand, qui contiennent des domaines structurels en forme de doigt capables de se lier aux ions calcium. Ces protéines sont importantes pour le contrôle du calcium intracellulaire, car le calcium est un ion essentiel pour de nombreux processus cellulaires, tels que la transmission des signaux nerveux et la régulation de l'excitabilité neuronale.

La calbindine 2 a été étudiée dans le contexte de diverses maladies neurologiques, telles que les maladies neurodégénératives et les troubles épileptiques. Des niveaux réduits de calbindine 2 ont été observés dans certaines populations de neurones dans ces conditions, ce qui suggère qu'elle pourrait jouer un rôle protecteur contre le stress oxydatif et l'excitotoxicité associés à ces maladies.

En résumé, la calbindine 2 est une protéine importante qui régule les niveaux de calcium intracellulaire dans les neurones du cerveau. Elle a été étudiée dans le contexte de diverses maladies neurologiques et pourrait avoir des propriétés neuroprotectrices.

Les tumeurs du péritoine sont des masses anormales qui se développent dans la membrane séreuse appelée péritoine, qui recouvre les organes abdominaux et la paroi interne de l'abdomen. Ces tumeurs peuvent être bénignes ou malignes (cancéreuses).

Les tumeurs malignes du péritoine sont souvent associées au cancer des ovaires, qui se propage fréquemment dans la cavité abdominale et peut former des nodules sur le péritoine. Ce phénomène est connu sous le nom de carcinose péritonéale.

Les tumeurs bénignes du péritoine comprennent les lipomes, les fibromes, les cystadénomes et les tumeurs desmoides. Ces tumeurs sont généralement asymptomatiques, mais peuvent causer des douleurs abdominales, une sensation de satiété précoce, des nausées ou des vomissements si elles deviennent volumineuses.

Le diagnostic des tumeurs du péritoine repose sur l'imagerie médicale (échographie, scanner ou IRM) et peut être confirmé par une biopsie chirurgicale. Le traitement dépend du type de tumeur, de son stade et de sa localisation. Il peut inclure la chirurgie, la radiothérapie et/ou la chimiothérapie.

Le talc est un minéral naturel composé principalement de silicate de magnésium hydraté avec la formule Mg3Si4O10(OH)2. Il est couramment utilisé dans les produits pharmaceutiques, cosmétiques et alimentaires en raison de sa douceur, de son absorption, de ses propriétés lubrifiantes et de sa blancheur. Dans le domaine médical, il peut être utilisé comme glaçage sur des compresses ou comme agent de remplissage dans certains médicaments solides. Cependant, l'utilisation de talc dans les produits d'hygiène féminine a été associée à un risque accru de cancer de l'ovaire, ce qui a conduit à des préoccupations et à des restrictions réglementaires.

Les tumeurs pulmonaires sont des croissances anormales dans les tissus du poumon. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).

Les tumeurs pulmonaires bénignes ne se propagent pas au-delà du poumon et sont généralement traitées par une intervention chirurgicale pour enlever la tumeur. Cependant, même si elles sont bénignes, certaines d'entre elles peuvent continuer à se développer et provoquer des problèmes respiratoires en raison de l'occupation d'espace dans le poumon.

Les tumeurs pulmonaires malignes, également appelées cancer du poumon, sont beaucoup plus graves. Elles peuvent se propager à d'autres parties du corps par le système sanguin ou lymphatique. Il existe deux principaux types de cancer du poumon : le carcinome pulmonaire à petites cellules et le carcinome pulmonaire non à petites cellules. Le premier type se développe plus rapidement et a tendance à se propager plus tôt que le second.

Le tabagisme est la cause la plus fréquente de cancer du poumon. L'exposition à certains produits chimiques, la pollution atmosphérique ou l'hérédité peuvent également contribuer au développement de ces tumeurs. Les symptômes courants incluent une toux persistante, des douleurs thoraciques, un essoufflement, des expectorations sanglantes et une perte de poids inexpliquée. Le traitement dépend du type et du stade de la tumeur, mais peut inclure une combinaison de chirurgie, de radiothérapie et de chimiothérapie.

Un empyème pleural est une infection et une accumulation de pus dans l'espace pleural, qui est l'espace situé entre les deux feuillets de la plèvre (membrane séreuse) qui tapissent les poumons et la paroi thoracique. Cette condition peut survenir à la suite d'une pneumonie, d'une bronchite, d'une tuberculose, d'une intervention chirurgicale thoracique ou d'une blessure traumatique à la poitrine. Les symptômes peuvent inclure une douleur thoracique aiguë et persistante, une toux, de la fièvre, des frissons et un essoufflement. Le diagnostic est généralement posé par radiographie pulmonaire ou tomodensitométrie (TDM) et confirmé par analyse du liquide pleural prélevé à l'aide d'une ponction pleurale. Le traitement de l'empyème pleural implique généralement une combinaison d'antibiotiques pour éradiquer l'infection, de drainage du pus accumulé dans la cavité pleurale et parfois d'interventions chirurgicales telles que la décortication pleurale ou la débridement vidéo-assisté.

L'hémangiosarcome est un type rare et agressif de cancer qui se développe à partir des cellules endothéliales, qui tapissent les parois des vaisseaux sanguins. Ce cancer peut survenir dans divers organes du corps, tels que le foie, la rate, le cœur, les poumons, les reins et la peau.

Les hémangiosarcomes se développent généralement sans symptômes précoces et peuvent atteindre une taille considérable avant d'être détectés. Les signes et symptômes de cette maladie dépendent de l'emplacement et de la taille de la tumeur, mais ils peuvent inclure :

* Une masse ou gonflement dans l'abdomen ou la poitrine
* Douleurs abdominales ou thoraciques
* Faiblesse, fatigue, essoufflement et pâleur due à une anémie (liée à des saignements internes)
* Perte d'appétit et perte de poids
* Vomissements et diarrhée

Le diagnostic de l'hémangiosarcome repose sur des examens d'imagerie tels que la tomodensitométrie (TDM), l'imagerie par résonance magnétique (IRM) ou l'échographie, ainsi que sur une biopsie de la tumeur pour analyse histopathologique.

Le traitement de cette maladie dépend du stade et de l'emplacement de la tumeur. Les options thérapeutiques peuvent inclure la chirurgie, la radiothérapie et/ou la chimiothérapie. Malheureusement, le pronostic pour les patients atteints d'hémangiosarcome est généralement mauvais, en raison de sa nature agressive et de sa tendance à se propager rapidement dans tout l'organisme.

Dans un contexte médical, les côtes sont des os longs et courbes qui forment la cage thoracique chez l'être humain et de nombreux autres vertébrés. Chez l'homme adulte, il y a généralement 24 côtes : douze paires, dont sept paires sont reliées à la colonne vertébrale par leur extrémité postérieure et s'articulent avec le sternum (os plat situé au milieu de la poitrine) par leur extrémité antérieure via des cartilages costaux.

Les fonctions principales des côtes sont de protéger les poumons, le cœur et d'autres organes vitaux situés dans la cavité thoracique contre les traumatismes physiques. En outre, elles jouent également un rôle important dans le processus de respiration en permettant aux poumons de se gonfler et de se dégonfler lorsque les muscles intercostaux entre les côtes se contractent et s'étirent respectivement.

Toute pathologie affectant les côtes, telles qu'une fracture, une inflammation ou une tumeur, peut entraîner des douleurs thoraciques significatives et éventuellement compromettre la fonction respiratoire normale.

Une autopsie, également appelée examen post-mortem ou nécropsie, est un examen détaillé d'un cadavre humain afin de déterminer la cause de la mort et les processus pathologiques y afférents. Il s'agit d'une procédure invasive qui implique généralement une dissection complète du corps et l'examen des organes internes, des tissus et des fluides corporels.

Les autopsies peuvent être demandées par les familles pour diverses raisons, telles que la clarification de circonstances douteuses entourant le décès, l'obtention de réponses sur une maladie ou une blessure inexpliquée, ou dans certains cas, pour des raisons juridiques ou médico-légales. Les autopsies sont généralement effectuées par des médecins spécialisés dans ce domaine, appelés pathologistes.

Les autopsies peuvent fournir des informations importantes sur la santé humaine et les maladies, contribuant ainsi à l'avancement de la médecine et de la recherche médicale. Cependant, elles font souvent l'objet de débats éthiques en raison de considérations culturelles, religieuses et personnelles concernant le traitement des cadavres et le respect des souhaits des défunts et de leurs familles.

Un sarcome synovial est un type rare et spécifique de cancer des tissus mous qui se développe généralement dans les membranes synoviales qui tapissent les articulations. Bien que son nom puisse prêter à confusion, ce type de sarcome ne dérive pas directement des cellules synoviales normales. Il s'agit plutôt d'une tumeur maligne qui présente certaines caractéristiques et une apparence similaires aux cellules synoviales lorsqu'elle est vue au microscope.

Les sarcomes synoviaux se produisent le plus souvent dans les extenseurs des membres inférieurs, en particulier près du genou, mais ils peuvent également se développer dans d'autres parties du corps, comme les bras, les mains, les pieds, la tête et le tronc. Ils ont tendance à survenir chez les jeunes adultes, avec un pic d'incidence entre 30 et 40 ans, mais ils peuvent affecter des personnes de tous âges.

Les symptômes du sarcome synovial peuvent inclure une masse ou un gonflement dans la région touchée, souvent accompagnés de douleur, de raideur articulaire et d'une limitation de la mobilité. La tumeur peut également provoquer des douleurs nocturnes et une fatigue générale. Le diagnostic repose sur l'examen clinique, les images médicales (telles que les radiographies, les IRM ou les TDM) et la biopsie de la tumeur pour analyse histopathologique.

Le traitement du sarcome synovial implique généralement une combinaison de chirurgie, de chimiothérapie et de radiothérapie. L'objectif principal est d'enlever complètement la tumeur tout en préservant autant que possible la fonction articulaire et musculaire. Les taux de survie à long terme pour le sarcome synovial dépendent du stade au moment du diagnostic, de l'emplacement de la tumeur et de la réponse au traitement.

Une pneumonectomie est un type de chirurgie thoracique où tout ou partie d'un poumon est complètement enlevé. Cette procédure est généralement effectuée pour traiter des conditions graves telles que le cancer du poumon, les infections pulmonaires sévères et récurrentes, la tuberculose extensive ou d'autres maladies pulmonaires avancées et irréversibles.

Il existe deux types de pneumonectomie : la pneumonectomie simple, qui consiste en l'enlèvement total d'un poumon, et la pneumonectomie élargie, où une partie du tissu environnant est également retirée.

Cette intervention chirurgicale majeure nécessite une anesthésie générale et une incision importante dans la poitrine pour accéder au poumon. Les patients peuvent s'attendre à une période de récupération prolongée, avec des soins intensifs postopératoires et une physiothérapie respiratoire pour aider à rétablir la fonction pulmonaire restante.

Les risques associés à cette procédure comprennent l'infection, les saignements, les caillots sanguins, les problèmes cardiaques, les lésions nerveuses et la pneumonie. Les patients peuvent également ressentir des douleurs thoraciques persistantes et une diminution de la tolérance à l'exercice après la chirurgie.

Les maladies pulmonaires sont un groupe divers de conditions qui affectent les poumons et le système respiratoire, entravant la capacité d'une personne à respirer correctement. Elles peuvent être causées par des infections, des allergies, des irritants environnementaux, une génétique défavorable ou un mauvais mode de vie. Les exemples courants comprennent l'asthme, la bronchite, l'emphysème, la pneumonie, la fibrose kystique, la tuberculose et le cancer du poumon. Les symptômes varient en fonction du type de maladie pulmonaire mais peuvent inclure une toux persistante, des expectorations, une respiration sifflante, une douleur thoracique, un essoufflement ou une fatigue excessive. Le traitement dépend du diagnostic spécifique et peut inclure des médicaments, une thérapie physique, une oxygénothérapie ou, dans les cas graves, une transplantation pulmonaire.

Un thoracoscope est un instrument médico-chirurgical utilisé dans la procédure appelée thoracoscopie. Il s'agit d'un type d'endoscope, qui est une longue tubulure munie d'une source lumineuse et d'une lentille de caméra à son extrémité. Le thoracoscope est inséré dans la cavité thoracique par une petite incision pour permettre aux médecins d'examiner les poumons, le péricarde (le sac qui entoure le cœur), et la plèvre (les membranes qui tapissent les poumons et la paroi interne du thorax). Cette procédure est couramment utilisée pour diagnostiquer et traiter diverses affections pulmonaires et thoraciques, telles que les tumeurs, l'inflammation, les infections ou l'épanchement pleural (liquide accumulé dans la cavité pleurale).

Les nanofils sont des structures filiformes avec au moins une dimension extérieure mesurant entre 1 et 100 nanomètres. Ils sont souvent fabriqués à partir de matériaux tels que les métaux, les oxydes métalliques, les polymères ou les composites. Les nanofils présentent des propriétés uniques dues à leur petite taille et à leur grande surface relative, ce qui les rend utiles dans une variété d'applications médicales, telles que la délivrance de médicaments ciblée, le diagnostic précoce des maladies et l'ingénierie tissulaire.

Dans le domaine de la nanotechnologie médicale, les nanofils peuvent être utilisés pour créer des capteurs ultra-sensibles qui détectent les biomarqueurs des maladies à un stade précoce. Ils peuvent également être fonctionnalisés avec des molécules spécifiques pour cibler et délivrer des médicaments directement aux cellules malades, améliorant ainsi l'efficacité et la sécurité des traitements.

Cependant, il convient de noter que les nanofils sont encore un domaine de recherche actif et que davantage d'études sont nécessaires pour comprendre pleinement leurs propriétés et leur potentiel dans le domaine médical.

L'amiante crocidolite, également connu sous le nom de riebeckite, est un type de minéral à base de silicate qui appartient au groupe des amphiboles. Il s'agit d'une forme fibreuse et bleu-grisâtre d'amiante qui se trouve naturellement dans certaines roches et est extraite principalement en Australie, en Afrique du Sud et en Bolivie.

La crocidolite est considérée comme l'un des types d'amiante les plus dangereux pour la santé humaine. Les fibres minces et longues de la crocidolite peuvent être inhalées profondément dans les poumons, ce qui peut entraîner une inflammation chronique, des cicatrices pulmonaires (fibrose), un essoufflement et, finalement, un risque accru de développer un cancer du poumon ou un mésothéliome, un type rare de cancer qui affecte la membrane qui tapisse les poumons et la cavité thoracique.

L'utilisation de la crocidolite dans l'industrie a été largement interdite en raison de ses risques pour la santé, mais elle peut encore être trouvée dans certains matériaux plus anciens tels que les isolants, les revêtements de sol et les produits de construction. Les personnes qui ont été exposées à la crocidolite devraient faire l'objet d'un suivi médical régulier pour dépister tout signe de maladie liée à l'amiante.

Un Solitary Pulmonary Nodule (SPN), également connu sous le nom de « nodule pulmonaire solitaire », est défini en médecine comme une opacité ronde bien circonscrite, d'une taille maximale de 3 cm, présente dans un lobe pulmonaire et entourée de poumon sain. Il est généralement découvert accidentellement sur une radiographie thoracique ou un scanner thoracique effectué pour une autre raison. La grande majorité des SPN sont bénins, mais certains peuvent être malins, en particulier ceux qui ont un diamètre supérieur à 1 cm.

Les causes courantes de SPN comprennent les granulomes inflammatoires dus à des infections telles que la tuberculose ou l'histoplasmose, les hamartomes pulmonaires (tumeurs bénignes), les adénomes pulmonaires (tumeurs bénignes) et les métastases de cancers primitifs d'autres organes.

Des examens complémentaires tels qu'une tomodensitométrie thoracique avec injection de produit de contraste, une scintigraphie osseuse ou une biopsie peuvent être nécessaires pour déterminer la nature bénigne ou maligne du SPN. Le suivi par imagerie est également important pour surveiller l'évolution de la lésion dans le temps.

Les tumeurs du médiastin se réfèrent à des masses anormales qui se développent dans le médiastin, qui est la région située entre les poumons dans la cavité thoracique. Le médiastin contient divers organes et structures, y compris le cœur, les gros vaisseaux sanguins, le thymus, les nerfs, les ganglions lymphatiques et les tissus conjonctifs.

Les tumeurs du médiastin peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes sont généralement moins préoccupantes, car elles ne se propagent pas à d'autres parties du corps et peuvent souvent être enlevées chirurgicalement. Cependant, certaines tumeurs bénignes peuvent encore causer des problèmes si elles exercent une pression sur les structures voisines ou bloquent les voies respiratoires ou les vaisseaux sanguins.

Les tumeurs malignes du médiastin sont plus graves et peuvent se propager à d'autres parties du corps. Les types courants de tumeurs malignes du médiastin comprennent le lymphome, le sarcome et le cancer des poumons qui s'est propagé au médiastin.

Les symptômes des tumeurs du médiastin peuvent varier en fonction de leur taille, de leur emplacement et de leur type. Les symptômes courants comprennent la toux, l'essoufflement, la douleur thoracique, les ganglions lymphatiques enflés dans le cou ou sous les aisselles, la fatigue, la fièvre et la perte de poids inexpliquée.

Le diagnostic des tumeurs du médiastin implique généralement une combinaison d'imagerie médicale, y compris la radiographie pulmonaire, la tomodensitométrie (TDM) et l'imagerie par résonance magnétique (IRM), ainsi que des tests sanguins et des biopsies pour confirmer le type de tumeur. Le traitement dépend du type et du stade de la tumeur, mais peut inclure une chirurgie, une radiothérapie, une chimiothérapie ou une thérapie ciblée.

L'immunohistochimie est une technique de laboratoire utilisée en anatomopathologie pour localiser les protéines spécifiques dans des tissus prélevés sur un patient. Elle combine l'utilisation d'anticorps marqués, généralement avec un marqueur fluorescent ou chromogène, et de techniques histologiques standard.

Cette méthode permet non seulement de déterminer la présence ou l'absence d'une protéine donnée dans une cellule spécifique, mais aussi de déterminer sa localisation précise à l'intérieur de cette cellule (noyau, cytoplasme, membrane). Elle est particulièrement utile dans le diagnostic et la caractérisation des tumeurs cancéreuses, en permettant d'identifier certaines protéines qui peuvent indiquer le type de cancer, son stade, ou sa réponse à un traitement spécifique.

Par exemple, l'immunohistochimie peut être utilisée pour distinguer entre différents types de cancers du sein en recherchant des marqueurs spécifiques tels que les récepteurs d'œstrogènes (ER), de progestérone (PR) et HER2/neu.

Les nanotubes de carbone sont une forme de nanomatériau en graphite qui se présentent sous la forme de tubes creux, généralement fermés à une ou aux deux extrémités. Ils ont un diamètre nanométrique et peuvent être jusqu'à plusieurs millimètres de long. Il existe deux types de nanotubes de carbone : les nanotubes de carbone à simple paroi (SWNT) et les nanotubes de carbone à multi-parois (MWNT). Les nanotubes de carbone présentent des propriétés uniques, telles qu'une grande résistance mécanique, une conductivité électrique et thermique élevée, et une capacité de charge élevée. En raison de ces propriétés, les nanotubes de carbone ont suscité un intérêt considérable pour diverses applications potentielles en médecine, notamment dans le domaine des dispositifs médicaux, des thérapies et des diagnostics.

Cependant, il convient de noter que les nanotubes de carbone peuvent également présenter des risques potentiels pour la santé humaine, tels que l'inflammation pulmonaire et la toxicité cellulaire, qui doivent être soigneusement étudiés avant leur utilisation dans des applications médicales.

Les parasitoses pulmonaires sont des infections causées par des parasites qui affectent les poumons. Ces parasites peuvent atteindre les poumons après avoir été ingérés, inhalés ou après s'être propagés depuis d'autres parties du corps via la circulation sanguine.

Les symptômes courants des parasitoses pulmonaires comprennent la toux, la fièvre, la douleur thoracique, l'essoufflement, les expectorations sanglantes et parfois des crises d'asthme. Les exemples de parasites qui peuvent causer des infections pulmonaires comprennent les nématodes (comme Ascaris lumbricoides), les cestodes (comme Echinococcus granulosus) et les protozoaires (comme Plasmodium malariae).

Le diagnostic de ces infections peut être difficile et nécessite souvent des tests spécialisés, tels que des analyses de sang, des expectorations ou des biopsies. Le traitement dépend du type de parasite en cause et peut inclure des médicaments antiparasitaires spécifiques. Dans certains cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour éliminer le parasite.

Il est important de noter que les infections pulmonaires parasitaires sont relativement rares dans les pays développés, mais peuvent être plus fréquentes dans les régions où l'hygiène est précaire et où la malnutrition est répandue. La prévention de ces infections passe par une bonne hygiène personnelle, une alimentation saine et cuite correctement, ainsi que des mesures de contrôle des parasites dans les zones à risque.

Une fistule, dans le contexte médical, est une communication anormale et persistante entre deux organes, deux vaisseaux sanguins ou un organe et la surface cutanée. Elle résulte souvent d'une infection, d'une inflammation chronique, d'une tumeur ou d'une intervention chirurgicale. Les fistules peuvent se former dans diverses régions du corps, y compris le tractus gastro-intestinal, urogénital et cutané. Elles peuvent causer des symptômes variés tels que douleur, infection, fuite de liquide organique et mauvaise cicatrisation des plaies. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des antibiotiques, des soins locaux, une intervention chirurgicale ou une combinaison de ces options.

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... épanchements liquidiens de la plèvre • Question 4. Opacité ronde solitaire intr...Lire la suite ...
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dans la plèvre. Linflammation des poumons (pneumonie lupique), qui provoque un essoufflement, est rare, même si les ...
... appelée plèvre, recouvrent les poumons. Il est normal que les deux membranes se touchent. Cependant, lespace entre les ...
Respirer des poussières damiante expose à de graves maladies pulmonaires (asbestose, cancers du poumon et de la plèvre...) qui ...
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Maladie dans laquelle la plèvre et les poumons sont simultanément enflammés.. *plicatile. adj. des deux genres. T. de Botanique ...
Plèvre. C384. 1982 - 2013. Os. C40-C41. 1982 - 2013. Mélanome de la peau. C44. 1982 - 2013. ...
Mots-clés : amiante/amines/aromatiques/benzène/bois/cancer/cerveau/expositions/foie/leucémie/maladie/peintures/plèvre/poumon/ ... Expositions professionnelles à rechercher pour un cancer de la plèvre, du péritoine, du péricarde. *Poussières damiante * ... Expositions professionnelles à rechercher pour un cancer de la plèvre, du péritoine, du péricarde. Expositions professionnelles ...
Cétait collé aux alentours des ganglions axillaires, mammaires, de la plèvre pulmonaire. Cétait un petit carnage. ...
sous-pleural, -ale, -aux Qui se trouve, qui se produit sous la plèvre. Dans 11 cas sur 25 il ny avait quun seul foyer ...
Plaques pleurales et mésothélium (cancer de la plèvre). 3.4.4. Examens à lembauche. *Obligatoires : *Création dune fiche ...
Pleuro-pneumonie double ; épanchement dans la plèvre droite ; guérison par les saignées, le tartre stibié et la suppression des ... idem dans la plèvre droite ; rupture du foie et de la rate non suivie dépanchement de sang ; diverses ecchymoses internes ; ... idem dans la plèvre droite ; rupture du foie et de la rate non suivie dépanchement de sang ; diverses ecchymoses internes ; ... de la plèvre, etc. ; large perforation de lestomac ; par M. Fabre... / [Correspondance]. [D. Boudrie, P. Viger Devarennes, ...
PLEURALE : se rapporte à la plèvre. La plèvre est une membrane qui enveloppe les poumons.. ...
Mésothéliome malin primitif de la plèvre, du péritoine, du péricarde. Poussières damiante. 30. 47. ...
Prise en charge tardivement, la plèvre sépaissit et peut engendrer des séquelles respiratoires. Une échographie se prête ... à-dire linfection de la plèvre, cette membrane qui recouvre les poumons et tapisse lintérieur de la cage thoracique. La ...
Epaississement de la plèvre viscérale, soit diffus soit localisé lorsquil est associé à des bandes parenchymateuses ou à une ... D - Mésothéliome malin primitif de la plèvre, du péritoine, du péricarde.. 40 ans. Travaux déquipement, dentretien ou de ...
Enfin, dernière hypothèse : une irritation de la plèvre causée par un mauvais rythme respiratoire. ...
  • En anatomie, la plèvre est une membrane séreuse délimitant un espace virtuel (c'est-à-dire vide dans les situations normales) situé entre les poumons en dedans et la cage thoracique en dehors. (wikipedia.org)
  • On distingue la plèvre pariétale, située contre la paroi thoracique, de la plèvre viscérale, accolée aux poumons. (wikipedia.org)
  • En anatomie, la plèvre est une membrane lisse et brillante située entre les poumons et la paroi thoracique . (journaldesfemmes.fr)
  • La plèvre a notamment pour rôle de protéger les poumons. (chuliege.be)
  • Les poumons sont entourés d'une membrane humide composée de deux couches, la plèvre. (chuv.ch)
  • La plèvre est une membrane qui enveloppe les poumons. (lecturel.com)
  • Quand les patients ressentent de surcroit des douleurs thoraciques et ont une toux sèche, il faut alors évoquer la pleurésie, c'est-à-dire l'infection de la plèvre, cette membrane qui recouvre les poumons et tapisse l'intérieur de la cage thoracique. (senioractu.com)
  • A fin avril, la Jurassienne a dû refaire un séjour à l'hôpital pour une inflammation de la plèvre, l'enveloppe qui entoure les poumons. (20min.ch)
  • Le mésothéliome pleural prend naissance dans la plèvre, la membrane qui recouvre les poumons. (cancer.ca)
  • Très exceptionnellement plèvre et poumons sont atteints. (alternativesante.fr)
  • Une fois arrivé dans les voies respiratoires, les particules peuvent interagir avec les cellules des organes où elles se trouvent (dont le larynx, les bronches, les poumons et la plèvre) ou avec des cellules sanguines qui peuvent alors les disséminer vers d'autres organes (dont les ovaires, le colon, le rectum, l'estomac) et développer des maladies. (ligue-cancer.net)
  • Ce qui signifie que le liquide se fraie un chemin entre les feuillets de la plèvre recouvrant vos poumons causant un essoufflement. (informationhospitaliere.com)
  • Maladie également connue sous l'appellation de pneumothorax, le décollement de la plèvre est une accumulation anormale d'air dans l'espace situé entre le poumon et la paroi thoracique. (aihus.fr)
  • Respirer des poussières d'amiante expose à de graves maladies pulmonaires (asbestose, cancers du poumon et de la plèvre. (inrs.fr)
  • On peut découvrir une tache au poumon , témoin d'un foyer infectieux, d'un épaississement de la plèvre, d'une lésion des bronches, ou une anomalie localisée de l'aération du poumon (rétraction ou distension), des calcifications sur de vieux foyers infectieux. (docteurclic.com)
  • Plus de 1/2 est des métastases d'organes distants ou des envahissements directs d'organes adjacents (sein, poumon, plèvre, médiastin). (merckmanuals.com)
  • La fibrose touche la plèvre viscérale (plèvre en contact avec le poumon) et est généralement associée à une atteinte parenchymateuse (du poumon) sous-jacente. (fiva.fr)
  • Ecouter de la musique à un volume très élevé peut déclencher un pneumothorax spontané (épanchement d'air dans la plèvre, membrane entourant le poumon), estiment des. (notrefamille.com)
  • Parmi les causes bronchopulmonaires, on retrouve les affections bronchiques (asthme, bronchopneumopathie chronique obstructive, présence d'un corps étranger ou d'une tumeur dans les bronches), les troubles pulmonaires (œdème aigu, infection ou tumeur du poumon, embolie pulmonaire, pneumopathie interstitielle), les anomalies de la plèvre (pleurésie, pneumothorax) ou de la cage thoracique (scoliose grave) gênant les mouvements du poumon. (larousse.fr)
  • Un épaississement d'une plèvre sera essentiellement visualisé par tomographie ou par résonance magnétique. (wikipedia.org)
  • Le Professeur SCHERPEREEL, médecin et chercheur lillois, a présenté le 5 juin 2017 les résultats d'une étude nationale portant sur le cancer de la plèvre à Chicago durant un congrès mondial sur le cancer. (eurasante.com)
  • Cette étude conduite sur 125 patients atteint d'une tumeur primitive de la plèvre présente des résultats encourageants. (eurasante.com)
  • Il s'agit d'une tumeur rare, sa forme la plus fréquente est le mésothéliome pleural malin, soit un cancer si situant au niveau de la plèvre. (ligue-cancer.net)
  • Elles se manifestent par l'apparition d'une fibrose (formation de fibres de collagène au sein des organes atteints) sur la plèvre externe (pariétale), qui peut se calcifier. (fiva.fr)
  • Grand absent de la délégation tricolore en Russie, Yannick Agnel se remet doucement d'une pleurésie (inflammation de la plèvre). (telestar.fr)
  • L'air peut pénétrer dans la plèvre en cas de blessure ouverte dans la paroi thoracique ou de déchirure du tissu pulmonaire. (aihus.fr)
  • Utilisés à l'origine pour le diagnostic des maladies de la plèvre, les endoscopes jouent désormais un rôle essentiel lors des interventions majeures en chirurgie thoracique. (karlstorz.com)
  • Le mésothélium est une fine membrane protectrice qui enveloppe la cage thoracique (la plèvre), le cœur (le péricarde) et les intestins (le péritoine). (ligue-cancer.net)
  • Elle montre les épanchements dans la plèvre, que ce soit du liquide ou de l'air. (docteurclic.com)
  • C'est la présence de liquide entre la plèvre externe et la plèvre viscérale (interne). (fiva.fr)
  • Pneumothorax » est le terme médical utilisé pour désigner le décollement de la plèvre. (aihus.fr)
  • Article détaillé : Anatomie de la plèvre et de la cavité pleurale. (wikipedia.org)
  • Elle est séparée de l'autre feuillet (la plèvre viscérale) par la cavité pleurale . (journaldesfemmes.fr)
  • PLEURALE : se rapporte à la plèvre. (lecturel.com)
  • C'était collé aux alentours des ganglions axillaires, mammaires, de la plèvre pulmonaire. (francetvinfo.fr)
  • Le cancer de la plèvre est une maladie souvent secondaire à l'inhalation au long cours d'amiante : il s'agit alors d'un mésothéliome. (wikipedia.org)
  • Pour accéder aux contenus publiés sur Edimark.fr vous devez posséder un compte et vous identifier au moyen d'un email et d'un mot de passe. (edimark.fr)
  • Les symptômes du décollement de la plèvre varient en fonction de la forme de la maladie. (aihus.fr)
  • Le mésothéliome, redoutable cancer de la plèvre, est une maladie «signature» de l'amiante. (alterechos.be)
  • Prise en charge tardivement, la plèvre s'épaissit et peut engendrer des séquelles respiratoires. (senioractu.com)
  • Une atteinte de la plèvre peut être associée à une infection (tuberculose) ou à une tumeur. (journaldesfemmes.fr)
  • En anatomie, la plèvre est une membrane séreuse délimitant un espace virtuel (c'est-à-dire vide dans les situations normales) situé entre les poumons en dedans et la cage thoracique en dehors. (wikipedia.org)
  • On distingue la plèvre pariétale, située contre la paroi thoracique, de la plèvre viscérale, accolée aux poumons. (wikipedia.org)
  • En revanche, la plèvre pariétale est la couche externe qui se connecte à la paroi thoracique, le médiastin et le diaphragme. (mabiologie.com)
  • Le mésothélium est une fine membrane protectrice qui enveloppe la cage thoracique (la plèvre), le cœur (le péricarde) et les intestins (le péritoine). (ligue-cancer.net)
  • Le service de chirurgie thoracique réalise des interventions portant sur les poumons, sur la trachée, les bronches, sur la plèvre et sur la cage thoracique. (chu-dijon.fr)
  • Parfois l'imagerie thoracique aide à avancer plus vite dans le diagnostic étiologique, en particulier la TDM thoracique qui peut montrer une plèvre nodulaire tumorale et le TEP scanner confirme le caractère hypermétabolique et l'étendue tumorale. (medscape.com)
  • La fibroscopie n'a pas d'intérêt en première intention (les bronches et la plèvre ne communiquant pas). (medscape.com)
  • Il s'agit d'une tumeur rare, sa forme la plus fréquente est le mésothéliome pleural malin, soit un cancer si situant au niveau de la plèvre. (ligue-cancer.net)
  • Le pneumologue a reçu une formation qui l'autorise à prendre en charge des patients atteints d'asthme bronchique, d'allergie respiratoire, de maladies liées à la consommation de tabac, que ce soit la bronchique chronique, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), l'emphysème et le cancer bronchique, de maladies infectieuses comme la tuberculose, les maladies de la plèvre, du médiastin, les pathologies interstitielles diffuses et l'ensemble des troubles ventilatoires liées au sommeil. (saintluc.be)
  • Présidente de l'Association des familles des victimes de Casale Monferrato, petite ville où, chaque semaine, une personne meurt encore du mésothéliome, le cancer de la plèvre marqueur de l'exposition à l'amiante, Mme Romana Blasotti Pavesi est très entourée : au fil des ans, elle a perdu cinq de ses proches. (monde-diplomatique.fr)
  • Le cancer de la plèvre est une maladie souvent secondaire à l'inhalation au long cours d'amiante : il s'agit alors d'un mésothéliome. (wikipedia.org)
  • Par exemple, les essoufflements ou les douleurs thoraciques peuvent être dus à d'autres pathologies que l'insuffisance cardiaque : il peut également s'agir d'un symptôme d'infarctus du myocarde ou de pneumopathie avec atteinte de la plèvre. (heartfailurematters.org)
  • A 16 ans, l'adolescent est opéré du cœur après une grave infection de la plèvre. (parismatch.com)
  • Normalement, après le 4e-5e jour, l'hémothorax - s'il était présent - disparaît et après 10-15 jours ( sauf dans certains rares cas), il n'est plus nécessaire d'aspirer les liquides, car la plèvre est revenue à la normale. (curenaturalicancro.com)