Median Eminence
Tuber Cinéréum
Hypothalamus
Hormone De Libération Des Gonadotrophines
Axe Hypothalamohypophysaire
Troisième Ventricule
Hypophyse
Ependyma
Adénohypophyse
Noyau Arqué
Prooestrus
Hypothalamus Médial
Corticolibérine
Hormone Lutéinisante
Télencéphale
Polydipsia
Système Neuroendocrine
Neurohypophyse
Galanine
Hormone Corticotrope
Neurones
Hormones Hypothalamiques
Prolactine
Vasopressines
Photomicrographie
Endorphines
Lignées Consanguines De Rats
Biochimie Encéphale
Oxytocine
Dosage Radioimmunologique
Arginine Vasopressine
Neurokinine B
Diencéphale
Kisspeptins
Terminaisons Nerveuses
Hormones Hypophysaires
Encéphale
Ventricules Cérébraux
Dynorphine
Névroglie
Axe Hypophysosurrénalien
Hormones Hypothalamiques Hypophysotropes Libératrices
Encyclopedias as Topic
Chiasma Optique
Strie Vasculaire
La saillie médiane est une structure anatomique située à la base du troisième ventricule dans le cerveau. Il s'agit d'une petite élévation arrondie sur la partie inférieure de la lame terminale, une fine plaque de tissu qui sépare les deux thalamus. La saillie médiane est importante car elle contient un certain nombre de structures neurales critiques, y compris l'organe vasculaire de Lanteri et l'infundibulum, qui se connecte à l'hypophyse.
L'organe vasculaire de Lanteri est une structure vasculaire spécialisée qui joue un rôle clé dans la régulation de la circulation sanguine dans le cerveau. L'infundibulum, également connu sous le nom de tige pituitaire, est un prolongement de l'hypothalamus qui se connecte à l'hypophyse et transporte des hormones hypothalamiques vers l'hypophyse.
La saillie médiane est également un site important pour la neurogenèse adulte, qui est le processus de formation de nouveaux neurones dans le cerveau adulte. Des recherches récentes ont montré que cette région contient des cellules souches neurales qui peuvent se différencier en différents types de neurones et jouer un rôle important dans la réparation et la régénération des tissus cérébraux après une lésion ou une maladie.
En raison de son emplacement critique et de ses fonctions importantes, toute anomalie ou dommage à la saillie médiane peut entraîner une variété de troubles neurologiques et endocriniens. Par exemple, des tumeurs ou des lésions de la saillie médiane peuvent perturber la production et la sécrétion d'hormones hypophysaires, ce qui peut entraîner une gamme de symptômes allant de la fatigue et de la faiblesse à l'infertilité et au diabète.
Le tuber cinéréum, également connu sous le nom de tuberculum sellae, est une structure situé à la base du cerveau dans la région antérieure de la selle turcique. Il s'agit d'une petite protubérance triangulaire qui se trouve sur la face inférieure de l'hypothalamus et qui forme la partie postérieure de la glande pituitaire (l'hypophyse).
Le tuber cinéréum contient plusieurs noyaux importants, tels que les noyaux supraoptiques et paraventriculaires, qui sont responsables de la libération d'hormones telles que l'ocytocine et la vasopressine (aussi appelée hormone antidiurétique) dans le sang. Ces hormones jouent un rôle crucial dans la régulation de divers processus corporels, tels que la pression artérielle, la soif, l'appétit et l'accouchement.
Des lésions ou des tumeurs du tuber cinéréum peuvent perturber le fonctionnement normal de ces noyaux et entraîner une variété de symptômes, tels que des troubles de la vision, des maux de tête, une augmentation de la soif et de la miction, ainsi que des problèmes de croissance et de développement chez les enfants.
L'hypothalamus est une petite glande endocrine située dans le diencéphale du cerveau. Il joue un rôle crucial dans de nombreuses fonctions essentielles à la survie, notamment la régulation de la température corporelle, du rythme cardiaque, de l'appétit, de la soif, du sommeil, de l'humeur et des émotions.
L'hypothalamus sert également de centre de contrôle pour le système endocrinien en influençant la sécrétion d'hormones par l'hypophyse, une glande située juste au-dessous de lui. Par exemple, il produit des facteurs qui stimulent ou inhibent la libération des hormones thyroïdiennes, des stéroïdes sexuels et de l'hormone de croissance par l'hypophyse.
En outre, l'hypothalamus contient des neurones qui produisent des neurotransmetteurs et des neuropeptides qui régulent divers processus physiologiques, tels que la douleur, le plaisir, la récompense, l'addiction, l'agressivité et la parentalité.
Des troubles de l'hypothalamus peuvent entraîner une variété de symptômes, selon la région spécifique affectée et la fonction qu'elle régule. Ces troubles peuvent être causés par des lésions cérébrales, des tumeurs, des infections, des maladies génétiques ou d'autres facteurs sous-jacents.
L'hormone de libération des gonadotrophines (GnRH, selon son acronyme en anglais) est une hormone peptidique constituée de 10 acides aminés. Elle est également connue sous le nom d'hormone de libération de la lutéinisante (LHRH).
La GnRH est produite et sécrétée par les neurones situés dans l'hypothalamus, une région du cerveau. Cette hormone joue un rôle crucial dans la régulation des systèmes reproducteurs chez les mammifères, y compris les humains.
La GnRH agit en stimulant la libération de deux autres hormones produites par l'hypophyse antérieure : la follicle-stimulating hormone (FSH) et la luteinizing hormone (LH). Ces dernières sont responsables de la régulation des fonctions reproductives, telles que la maturation des ovules chez les femmes et la production de spermatozoïdes chez les hommes.
La sécrétion de GnRH est soumise à un contrôle complexe, qui implique des boucles de rétroaction positives et négatives impliquant les hormones stéroïdiennes produites par les gonades (ovaires et testicules). Ainsi, la GnRH est un élément clé du système de régulation hypothalamo-hypophysaire qui contrôle la fonction reproductive.
L'aire préoptique est une région située dans le hypothalamus, une partie du cerveau qui régule certaines fonctions autonomes et homeostatiques. Plus précisément, l'aire préoptique se trouve dans la partie antérieure de l'hypothalamus.
Cette région est impliquée dans un large éventail de fonctions physiologiques et comportementales, y compris:
* La régulation de la température corporelle
* Le contrôle de la soif et de l'apport hydrique
* La modulation des rythmes circadiens et du sommeil-éveil
* L'expression des comportements maternels et sexuels
* La régulation de la consommation d'énergie et de l'appétit.
Les neurones dans l'aire préoptique sont sensibles à divers stimuli internes et externes, tels que les changements de température, les niveaux hormonaux et les signaux sociaux. Ces neurones peuvent ensuite déclencher des réponses physiologiques ou comportementales appropriées pour maintenir l'homéostasie du corps.
Des études ont montré que l'aire préoptique joue un rôle important dans la régulation de la température corporelle en détectant les changements de température et en initiant des réponses pour maintenir une température interne stable. Elle est également impliquée dans le contrôle de l'apport hydrique, en stimulant la soif en réponse à une déshydratation ou à une augmentation de la concentration sanguine en sodium.
De plus, l'aire préoptique est connue pour être impliquée dans la régulation des rythmes circadiens et du sommeil-éveil. Les neurones dans cette région peuvent détecter les signaux lumineux et réguler ainsi l'horloge interne qui contrôle le cycle veille-sommeil.
Enfin, l'aire préoptique est également connue pour être impliquée dans la reconnaissance des signaux sociaux et dans la régulation des comportements sociaux. Des études ont montré que les dommages à cette région peuvent entraîner une altération de la reconnaissance des émotions faciales et des comportements sociaux appropriés.
L'axe hypothalamo-hypophysaire est un système neuroendocrinien crucial qui régule plusieurs fonctions physiologiques dans le corps. Il s'agit d'un réseau complexe de communication entre l'hypothalamus, une structure du cerveau, et l'hypophyse, une glande située à la base du crâne.
L'hypothalamus produit des facteurs de libération et d'inhibition qui régulent la sécrétion des hormones hypophysaires. Ces facteurs sont transportés le long des vaisseaux sanguins spécialisés appelés les artères porte hypophysaire jusqu'à l'hypophyse antérieure, où ils influencent la production et la libération d'hormones spécifiques.
Les hormones hypophysaires régulent à leur tour plusieurs autres glandes endocrines dans le corps, telles que la thyroïde, les glandes surrénales, et les ovaires ou les testicules. Par conséquent, l'axe hypothalamo-hypophysaire joue un rôle essentiel dans la régulation de nombreuses fonctions corporelles, y compris la croissance, le développement, la reproduction, le métabolisme, et la réponse au stress.
Des dysfonctionnements de l'axe hypothalamo-hypophysaire peuvent entraîner divers troubles endocriniens, tels que le syndrome de Cushing, l'acromégalie, ou l'hypopituitarisme.
Le troisième ventricule est une structure cavitaire situé dans le cerveau. Il s'agit d'une petite cavité remplie de liquide céphalo-rachidien (LCR) qui se trouve dans le diencéphale, une région située entre le telencéphale et le tronc cérébral.
Le troisième ventricule est situé au-dessus du pont et de la moelle allongée, et il communique avec les deux ventricules latéraux via les foramens interventriculaires et avec le quatrième ventricule via l'aqueduc cérébral.
Le troisième ventricule contient des structures importantes telles que l'organe pinéal, la chorioïde plexus, et les noyaux prétectaux. Il joue un rôle crucial dans la circulation du LCR et dans la régulation de l'humeur et du sommeil grâce à la présence des noyaux prétectaux et de l'organe pinéal.
Des anomalies congénitales ou acquises peuvent affecter le troisième ventricule, entraînant une hydrocéphalie, une hypertension intracrânienne, ou d'autres troubles neurologiques.
L'hypophyse, également connue sous le nom de glande pituitaire, est une petite glande endocrine située à la base du cerveau. Elle est composée de deux parties principales : l'antéhypophyse (ou adénohypophyse) et la posthypophyse (ou neurohypophyse).
L'antéhypophyse produit et sécrète plusieurs hormones différentes, dont certaines régulent le fonctionnement d'autres glandes endocrines dans le corps. Les hormones sécrétées par l'antéhypophyse comprennent la thyrotropine (TSH), l'adrénotropine (ACTH), la prolactine, la somatotropine (GH ou hormone de croissance) et les gonadotrophines folliculo-stimulante (FSH) et lutéinisante (LH).
La posthypophyse stocke et libère deux hormones produites dans l'hypothalamus : l'ocytocine et la vasopressine (également appelée hormone antidiurétique ou ADH). L'ocytocine provoque des contractions utérines pendant le travail et favorise également la libération de lait maternel. La vasopressine régule la concentration d'eau dans le sang en affectant la perméabilité des tubules rénaux à l'eau.
En résumé, l'hypophyse joue un rôle crucial dans la régulation de nombreuses fonctions corporelles importantes, telles que la croissance, le développement sexuel, la réponse au stress et l'homéostasie hydrique.
L'épendyme est une fine couche de cellules ciliées épithéliales qui tapissent les ventricules cérébraux et le canal central de la moelle épinière. Ces cellules ont plusieurs fonctions importantes, notamment la production du liquide céphalo-rachidien (LCR), la circulation de ce liquide dans le système nerveux central, et la protection des tissus cérébraux en agissant comme une barrière entre le LCR et le tissu nerveux sous-jacent. Les cellules épendymaires peuvent également jouer un rôle dans les processus de réparation et de régénération des tissus après une lésion cérébrale. Des anomalies ou des dommages aux cellules épendymaires peuvent être associés à divers troubles neurologiques, tels que l'hydrocéphalie et certaines formes de maladie neurodégénérative.
L'adénohypophyse, également connue sous le nom de glande pituitaire antérieure, est une petite glande endocrine située à la base du cerveau. Elle produit et sécrète plusieurs hormones importantes qui régulent divers processus corporels. Ces hormones comprennent :
1. Hormone de croissance (GH): stimule la croissance et le métabolisme des protéines dans les tissus corporels.
2. Prolactine (PRL): stimule la production de lait chez les femmes allaitantes.
3. Thyrotropin (TSH): régule la fonction thyroïdienne en stimulant la production des hormones thyroïdiennes T3 et T4.
4. Adrénocorticotrope (ACTH): stimule la libération d'hormones stéroïdes par les glandes surrénales.
5. Folliculo-stimulante (FSH): régule la fonction des organes reproducteurs en stimulant la croissance des follicules ovariens et la production de spermatozoïdes.
6. Luteinizing (LH): stimule la maturation des ovules et la libération d'œstrogènes et de progestérone dans les ovaires, ainsi que la production de testostérone dans les testicules.
7. Endorphines: jouent un rôle dans la régulation de l'humeur et de la douleur.
8. Ocytocine: stimule l'accouchement et la lactation.
9. Vasopressine (ADH): régule l'équilibre hydrique et la pression artérielle en contrôlant la réabsorption d'eau dans les reins.
L'adénohypophyse est régulée par l'hypothalamus, qui libère des facteurs de libération et d'inhibition pour contrôler la production et la sécrétion d'hormones par l'adénohypophyse.
Le noyau arqué est une structure dans le tronc cérébral qui joue un rôle important dans la régulation des fonctions automatiques telles que la respiration, la toux, la déglutition et les mouvements vomitifs. Il est situé dans la médulla oblongata et a une forme caractéristique en forme de virgule ou d'arc. Le noyau arqué est composé de deux parties : le noyau ventral respiratoire (NVR) et le noyau caudal ventral (NCV). Le NVR est responsable de la génération du rythme respiratoire, tandis que le NCV régule les mouvements de la déglutition et de la toux. Des dommages au noyau arqué peuvent entraîner des troubles respiratoires et d'autres dysfonctionnements automatiques.
Le proœstrus est une phase du cycle œstraux des animaux à reproduction induite, tels que la chienne, la chatte et certaines espèces de rongeurs. Pendant cette phase, les ovaires commencent à développer des follicules ovariens et à produire des œstrogènes, ce qui entraîne des changements physiologiques et comportementaux dans l'animal. Ces changements peuvent inclure une augmentation de la réceptivité sexuelle et des sécrétions vaginales. Le proœstrus est suivi de l'œstrus, au cours duquel l'animal est réceptif à l'accouplement et peut devenir enceinte.
Il est important de noter que le cycle œstraux est différent du cycle menstruel chez les humains et certaines primates, qui comprend une phase de menstruation pendant laquelle le revêtement utérin est évacué. Les animaux à reproduction induite, comme ceux mentionnés ci-dessus, n'ont pas de phase équivalente de menstruation.
Le noyau paraventriculaire de l'hypothalamus (NPV) est une région importante du cerveau située dans l'hypothalamus postérieur, près des ventricules latéraux. Il joue un rôle crucial dans la régulation de diverses fonctions physiologiques et comportementales, notamment la libération de certaines hormones et neurotransmetteurs.
Le NPV est composé de plusieurs sous-régions contenant des neurones qui sécrètent différents neuropeptides et neurohormones. Parmi les plus importants, on trouve la vasopressine (ADH) et l'ocytocine, qui sont libérées dans la circulation sanguine par le biais de la néurohypophyse.
Le NPV est également impliqué dans la régulation de la pression artérielle, de la soif, de l'appétit, du sommeil, de la température corporelle, de la réponse au stress et des émotions. Des anomalies dans le fonctionnement du NPV ont été associées à divers troubles tels que l'hypertension artérielle, le diabète sucré, l'obésité, les troubles de l'humeur et certaines maladies neurodégénératives.
L'hypothalamus médian est une région spécifique de l'hypothalamus, qui est elle-même une structure située dans le diencéphale du cerveau. L'hypothalamus a un rôle crucial dans la régulation des fonctions autonomes et de nombreux processus physiologiques, y compris les rythmes circadiens, la température corporelle, la faim et la soif, ainsi que les émotions et le comportement.
L'hypothalamus médian est particulièrement important pour la régulation de l'homéostasie des hormones et des neurotransmetteurs. Il contient plusieurs noyaux neuronaux qui produisent et libèrent des neuropeptides et des neurohormones qui influencent directement ou indirectement les systèmes endocriniens et nerveux périphériques.
Parmi ces noyaux, on trouve le noyau arqué (ou infundibular), qui produit la neurohormone de libération de l'hormone de croissance (GHRH) et la somatostatine, qui régulent la sécrétion de l'hormone de croissance par l'antéhypophyse. Le noyau arqué contient également des neurones à dopamine qui inhibent la libération de prolactine par l'antéhypophyse.
Le noyau ventromédian (VMN) est un autre noyau important situé dans l'hypothalamus médian, qui joue un rôle crucial dans la régulation de l'appétit et de la prise alimentaire. Les neurones du VMN expriment des neuropeptides tels que la cocaine-et amphétamine-régulée transcript (CART) et le neuropeptide Y (NPY), qui sont des modulateurs clés de l'appétit et de la prise alimentaire.
Le noyau paraventriculaire (PVN) est un autre noyau important situé dans l'hypothalamus médian, qui produit des neuropeptides tels que la corticotropin-releasing hormone (CRH), l'ocytocine et la vasopressine. La CRH régule la libération de cortisol par la glande surrénale en réponse au stress, tandis que l'ocytocine et la vasopressine sont des neuropeptides qui jouent un rôle important dans la régulation de l'homéostasie hydrique et du comportement social.
En résumé, l'hypothalamus médian est une région cruciale du cerveau qui joue un rôle central dans la régulation de nombreux processus physiologiques importants tels que la croissance, l'appétit, le stress et l'homéostasie hydrique. Les neurones situés dans cette région produisent des neuropeptides et d'autres neurotransmetteurs qui régulent ces processus en modulant la sécrétion de diverses hormones et en influençant le comportement.
La corticotrophin-releasing hormone (CRH), également connue sous le nom de corticolibérine, est une hormone peptidique composée de 41 acides aminés. Elle est produite et stockée dans les neurones du noyau paraventriculaire de l'hypothalamus. La corticolibérine joue un rôle crucial dans la régulation du système neuroendocrinien hypothalamo-hypophysaire, en particulier dans la réponse au stress.
Lorsqu'elle est libérée dans la circulation sanguine, la corticolibérine se lie à des récepteurs spécifiques dans l'antéhypophyse (ou glande pituitaire antérieure), déclenchant la production et la libération de l'hormone adrénocorticotrope (ACTH). En retour, l'ACTH stimule la libération des glucocorticoïdes, principalement le cortisol, à partir de la glande surrénale.
Les glucocorticoïdes ont un large éventail d'effets dans l'organisme, notamment en régulant le métabolisme des glucides, des protéines et des lipides, en modulant l'inflammation et l'immunité, et en affectant la fonction cognitive et émotionnelle.
Par conséquent, la corticolibérine est un élément clé de la régulation du stress et de la réponse homéostatique de l'organisme aux facteurs de stress physiologiques et psychologiques.
L'hormone lutéinisante (LH) est une hormone pituitaire glycoprotéique qui joue un rôle crucial dans la régulation du système reproducteur chez les mammifères. Chez les femmes, juste avant l'ovulation, il y a une forte augmentation de la LH connue sous le nom de pic de LH. Cela déclenche la libération d'un ovule mature par l'ovaire, un processus appelé ovulation.
Dans le corps masculin, la LH stimule les cellules interstitielles dans les testicules pour produire et sécréter de la testostérone, une hormone androgène essentielle au développement des caractères sexuels secondaires mâles.
La production et la libération de LH sont contrôlées par l'hypothalamus via l'hormone de libération de gonadotrophine (GnRH). Des niveaux élevés d'œstrogènes ou de testostérone dans le sang inhibent la production de GnRH, ce qui entraîne une diminution de la sécrétion de LH. Cela fait partie d'un système de rétroaction négative qui aide à réguler les niveaux hormonaux dans l'organisme.
Le télencéphale est la plus grande et la plus rostrale (antérieure) division du cerveau des vertébrés. Chez les mammifères, il comprend principalement le cortex cérébral ou écorce, qui est responsable de fonctions cognitives supérieures telles que la pensée consciente, l'apprentissage, la mémoire et la perception sensorielle complexe. Le télencéphale contient également des structures sous-corticales importantes, y compris le striatum, le pallidum, le thalamus et l'hippocampus. Ces régions sont associées à divers processus, notamment la motivation, l'émotion, la cognition spatiale et la mémoire déclarative. Des troubles neurologiques et psychiatriques peuvent résulter de maladies ou de dommages affectant le télencéphale.
La polydipsie est un terme médical qui décrit une soif excessive. C'est un symptôme courant où une personne ressent et satisfait régulièrement une forte envie de boire. La polydipsie peut être un signe d'une condition sous-jacente, telle que le diabète sucré ou insipide, des désordres psychiatriques, des lésions cérébrales ou d'autres affections médicales. Dans certains cas, la polydipsie peut entraîner une consommation excessive de liquides, ce qui peut perturber l'équilibre électrolytique de l'organisme et entraîner des complications supplémentaires. Il est important d'évaluer et de traiter la cause sous-jacente de la polydipsie pour gérer correctement ce symptôme.
Le système neuroendocrine est un réseau complexe et interactif de glandes et de cellules dispersées dans tout l'organisme, qui régulent une variété de fonctions physiologiques via la libération de médiateurs chimiques. Il s'agit d'un système de communication efficace entre le système nerveux et le système endocrinien. Les cellules neuroendocrines sont capables de détecter des modifications dans l'environnement interne et externe et de répondre en sécrétant des hormones ou des neuropeptides qui agissent comme messagers chimiques.
Ces cellules et glandes neuroendocrines sont situées dans divers endroits du corps, notamment les poumons, le tractus gastro-intestinal, la thyroïde, les parathyroïdes, les glandes surrénales, l'hypothalamus et le pancréas. Elles régulent un large éventail de processus corporels, tels que la croissance et le développement, la réponse au stress, la réparation des tissus, la fonction immunitaire, la reproduction et la métabolisme énergétique.
Le système neuroendocrine joue un rôle crucial dans l'homéostasie en maintenant l'équilibre interne du corps face aux changements environnementaux et internes. Des dysfonctionnements du système neuroendocrine peuvent entraîner divers troubles, tels que des maladies endocriniennes, des cancers neuroendocriniens et d'autres affections chroniques.
La neurohypophyse, également connue sous le nom de glande pituitaire postérieure, est un petit lobe situé à la base du cerveau qui stocke et sécrète des hormones antidiurétiques (ADH) et de l'ocytocine dans la circulation sanguine. L'ADH aide à réguler l'équilibre hydrique de l'organisme en contrôlant la réabsorption d'eau dans les reins, tandis que l'ocytocine joue un rôle important dans l'accouchement, l'allaitement et les comportements sociaux.
La neurohypophyse est une structure nerveuse, plutôt qu'une glande endocrine typique, car elle ne produit pas réellement ces hormones mais les stocke et les libère en réponse à des stimuli nerveux spécifiques. Les axones des neurones hypothalamiques sécrètent ces hormones dans la neurohypophyse, où elles sont stockées dans des granules avant d'être libérées dans le sang.
Les troubles de la neurohypophyse peuvent entraîner une variété de symptômes, tels qu'une soif excessive et une augmentation de la miction (diabète insipide), ainsi que des problèmes de lactation et d'accouchement. Ces troubles peuvent être causés par des lésions cérébrales, des tumeurs, des infections ou des maladies auto-immunes.
La galanine est un neuropeptide, ce qui signifie qu'il s'agit d'une petite protéine utilisée pour la communication entre les cellules nerveuses. Elle a été identifiée pour la première fois dans le cerveau de bovins en 1954 et est largement distribuée dans le système nerveux central et périphérique des mammifères.
La galanine est composée d'une chaîne de 29 ou 30 acides aminés, selon la source. Elle joue un rôle important dans divers processus physiologiques tels que la régulation de la pression artérielle, la libération d'hormones, le contrôle de la douleur et l'homéostasie énergétique.
Des études ont également suggéré son implication dans certaines pathologies comme le diabète, l'obésité, les maladies cardiovasculaires et certains types de cancer. Cependant, davantage de recherches sont nécessaires pour comprendre pleinement ses fonctions et son rôle dans ces conditions.
L'hormone corticotrope, également connue sous le nom d'hormone adrénocorticotrope (ACTH), est une hormone peptidique sécrétée par l'antéhypophyse, précisément par la partie médiane du lobe antérieur ou par les cellules corticotropes. Elle joue un rôle crucial dans la régulation des glandes surrénales et de la réponse au stress dans le corps humain.
L'ACTH stimule la synthèse et la libération des hormones corticosurrénaliennes, principalement le cortisol, mais aussi d'autres glucocorticoïdes et androgènes, à partir de la couche externe ou cortex des glandes surrénales. Le cortisol est une hormone stéroïde qui intervient dans un large éventail de processus physiologiques, notamment le métabolisme des glucides, des protéines et des lipides, la régulation de la pression artérielle, la réponse immunitaire et l'homéostasie.
La sécrétion d'ACTH est contrôlée par le système de rétroaction négative de l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HHS). Lorsque les taux de cortisol dans la circulation sanguine sont bas, le corticotropin-releasing hormone (CRH) est sécrété par l'hypothalamus, ce qui entraîne la libération d'ACTH par l'antéhypophyse. Le cortisol résultant exerce ensuite un effet négatif sur la production de CRH et d'ACTH, rétablissant ainsi l'homéostasie des hormones corticosurrénaliennes.
Des déséquilibres dans la sécrétion d'ACTH peuvent entraîner diverses affections, telles que le syndrome de Cushing (trop de cortisol) ou l'insuffisance surrénalienne (pas assez de cortisol). Par conséquent, une compréhension approfondie du rôle et de la régulation de l'ACTH est essentielle pour diagnostiquer et traiter ces conditions.
Les neurones, également connus sous le nom de cellules nerveuses, sont les unités fonctionnelles fondamentales du système nerveux. Ils sont responsables de la réception, du traitement, de la transmission et de la transduction des informations dans le cerveau et d'autres parties du corps. Les neurones se composent de trois parties principales : le dendrite, le corps cellulaire (ou soma) et l'axone.
1. Les dendrites sont des prolongements ramifiés qui reçoivent les signaux entrants d'autres neurones ou cellules sensoriques.
2. Le corps cellulaire contient le noyau de la cellule, où se trouvent l'ADN et les principales fonctions métaboliques du neurone.
3. L'axone est un prolongement unique qui peut atteindre une longueur considérable et transmet des signaux électriques (potentiels d'action) vers d'autres neurones ou cellules effectrices, telles que les muscles ou les glandes.
Les synapses sont les sites de communication entre les neurones, où l'axone d'un neurone se connecte aux dendrites ou au corps cellulaire d'un autre neurone. Les neurotransmetteurs sont des molécules chimiques libérées par les neurones pour transmettre des signaux à travers la synapse vers d'autres neurones.
Les neurones peuvent être classés en différents types en fonction de leur morphologie, de leurs propriétés électriques et de leur rôle dans le système nerveux. Par exemple :
- Les neurones sensoriels capturent et transmettent des informations sensorielles provenant de l'environnement externe ou interne vers le cerveau.
- Les neurones moteurs transmettent les signaux du cerveau vers les muscles ou les glandes pour provoquer une réponse motrice ou hormonale.
- Les interneurones sont des neurones locaux qui assurent la communication et l'intégration entre les neurones sensoriels et moteurs dans le système nerveux central.
Les hormones hypothalamiques sont des substances chimiques produites et sécrétées par l'hypothalamus, une glande endocrine située dans le cerveau. L'hypothalamus régule de nombreuses fonctions corporelles importantes, telles que la température corporelle, l'appétit, le sommeil, l'humeur et les émotions, ainsi que les fonctions endocriniennes et reproductives.
Les hormones hypothalamiques peuvent être classées en deux catégories principales : les facteurs de libération et d'inhibition des hormones (FRIH) et les neurohormones. Les FRIH régulent la sécrétion des hormones de l'hypophyse antérieure, tandis que les neurohormones sont sécrétées directement dans la circulation sanguine pour atteindre d'autres organes cibles.
Les exemples d'hormones hypothalamiques comprennent :
* La vasopressine (ou ADH) : régule la concentration des électrolytes et le volume sanguin en augmentant la réabsorption d'eau dans les reins.
* L'ocytocine : stimule les contractions utérines pendant l'accouchement et favorise la lactation maternelle.
* La corticotrophine releasing hormone (CRH) : stimule la sécrétion de l'hormone adrénocorticotrope (ACTH) par l'hypophyse antérieure, ce qui entraîne une augmentation des niveaux de cortisol dans le sang.
* La gonadotrophine releasing hormone (GnRH) : stimule la sécrétion des hormones folliculo-stimulante (FSH) et lutéinisante (LH) par l'hypophyse antérieure, ce qui régule les fonctions reproductives.
* La somatotrophine releasing hormone (SRH) : stimule la sécrétion de l'hormone de croissance (GH) par l'hypophyse antérieure.
* La thyrotropin releasing hormone (TRH) : stimule la sécrétion de l'hormone thyréotrope (TSH) par l'hypophyse antérieure, ce qui régule les fonctions métaboliques et de croissance.
* La prolactine inhibiting hormone (PIH) : inhibe la sécrétion de prolactine par l'hypophyse antérieure.
La prolactine est une hormone polypeptidique, sécrétée par la glande pituitaire antérieure (adénohypophyse), qui joue un rôle crucial dans la physiologie de la reproduction. Sa fonction principale est d'induire et de maintenir la lactation après l'accouchement, d'où son nom de "hormone de la lactation". Cependant, elle a également d'autres rôles dans le corps, tels que la régulation du système immunitaire, la croissance des cellules mammaires pendant le développement pubertaire et la grossesse, ainsi que l'influence sur les comportements sexuels et maternel.
Dans des conditions normales, la sécrétion de prolactine est stimulée par la succion du mamelon, l'ocytocine, le stress, l'exercice physique, l'hypoglycémie et certaines hormones thyroïdiennes. En revanche, les œstrogènes et la dopamine inhibent sa libération. Des taux anormalement élevés de prolactine peuvent entraîner une galactorrhée (écoulement mammaire inapproprié) chez les femmes et les hommes, ainsi que des irrégularités menstruelles et une diminution de la libido chez les femmes. Des taux bas de prolactine sont généralement asymptomatiques mais peuvent être associés à une insuffisance hypophysaire.
Des affections médicales telles que l'adénome de la glande pituitaire (un type de tumeur bénigne) ou certains médicaments, comme les antidépresseurs et les antipsychotiques, peuvent entraîner une hyperprolactinémie (taux élevés de prolactine). Ces conditions nécessitent un traitement approprié pour normaliser les taux de prolactine et prévenir d'éventuelles complications.
La vasopressine, également connue sous le nom d'arginine vasopressine (AVP) ou hormone antidiurétique (ADH), est une hormone peptidique composée de neuf acides aminés. Elle est produite et stockée dans les neurones du noyau supraoptique et paraventriculaire de l'hypothalamus et est libérée dans la circulation sanguine par l'hypophyse postérieure en réponse à une augmentation de l'osmolarité ou à une diminution du volume sanguin.
La vasopressine a deux actions principales :
1. Vasoconstriction : elle provoque une constriction des vaisseaux sanguins, ce qui entraîne une augmentation de la pression artérielle et une redistribution du débit sanguin vers les organes vitaux.
2. Action antidiurétique : elle augmente la réabsorption d'eau dans le tubule distal du néphron rénal, ce qui entraîne une diminution de la diurèse et une augmentation de la concentration urinaire.
La vasopressine joue donc un rôle crucial dans la régulation de l'équilibre hydrique et électrolytique de l'organisme, ainsi que dans la maintenance de la pression artérielle et du débit sanguin.
La photomicrographie est une technique qui consiste à prendre des photos d'images observées sous un microscope. Elle permet de documenter et de partager des observations microscopiques détaillées. Cela peut être utilisé dans divers domaines médicaux, y compris la pathologie, la bactériologie et la recherche en biologie cellulaire, pour enregistrer et analyser des échantillons tels que des tissus, des cellules ou des micro-organismes. Les photomicrographies de haute qualité peuvent aider les professionnels de la santé à diagnostiquer des maladies et à faire progresser la recherche médicale.
Le noyau supraoptique est un groupe de neurones situé dans la région antérieure et inférieure de l'hypothalamus, juste au-dessus du chiasma optique. Ces neurones sont largement connus pour produire et libérer l'hormone vasopressine (ADH), qui joue un rôle crucial dans la régulation de l'équilibre hydrique de l'organisme en contrôlant la réabsorption d'eau au niveau des tubules rénaux.
Le noyau supraoptique est également impliqué dans d'autres fonctions, telles que la libération d'oxytoxine, une hormone qui participe à la contraction utérine pendant le travail et à la libération de lait chez les femmes allaitantes. Les neurones du noyau supraoptique sont sensibles aux variations des niveaux de sodium et de volume sanguin, ce qui leur permet d'ajuster la sécrétion d'hormones en conséquence pour maintenir l'homéostasie de l'organisme.
Les endorphines sont des peptides opioïdes endogènes, c'est-à-dire des neurotransmetteurs et des neuropeptides produits dans le corps humain, qui agissent sur les récepteurs opioïdes du cerveau pour aider à minimiser la perception de la douleur. Elles sont également connues pour provoquer une sensation d'euphorie, ce qui leur vaut souvent l'appellation d'"hormones du bonheur". Les endorphines sont libérées en réponse à des situations stressantes ou douloureuses, ainsi qu'à des activités agréables telles que l'exercice physique, le rire, l'orgasme et la consommation d'aliments épicés. Elles contribuent au sentiment général de bien-être et jouent un rôle important dans les processus régulateurs du stress et de la dépendance.
L'ovariectomie est une procédure chirurgicale qui consiste en l'ablation des ovaires. Cette intervention est couramment réalisée chez les femmes pour traiter diverses affections médicales telles que les kystes ovariens, le cancer des ovaires, les saignements vaginaux anormaux, l'endométriose sévère, la douleur pelvienne chronique et dans certains cas, pour réduire le risque de cancer du sein. Chez les animaux de compagnie tels que les chats et les chiens, l'ovariectomie est souvent pratiquée à des fins de stérilisation.
L'ablation des ovaires entraîne une ménopause artificielle, ce qui signifie que la production d'hormones sexuelles féminines telles que l'estrogène et la progestérone cesse. Cela peut entraîner des symptômes tels que les bouffées de chaleur, la sécheresse vaginale, l'ostéoporose et d'autres changements dans le corps. Toutefois, ces symptômes peuvent être gérés avec un traitement hormonal substitutif ou d'autres thérapies médicales.
Il existe deux principaux types d'ovariectomie : l'ovariectomie laparoscopique et l'ovariectomie ouverte. L'ovariectomie laparoscopique est une procédure moins invasive qui utilise une petite caméra pour guider le chirurgien pendant la procédure. Cette méthode entraîne généralement moins de douleur, une récupération plus rapide et un risque réduit de complications postopératoires. L'ovariectomie ouverte, en revanche, nécessite une incision plus grande dans l'abdomen pour accéder aux ovaires. Cette méthode est généralement utilisée lorsque des complications sont attendues ou si le patient présente des antécédents de chirurgies abdominales importantes.
Les lignées consanguines de rats sont des souches de rats qui sont issus d'une reproduction continue entre des individus apparentés, tels que des frères et sœurs ou des parents et leurs enfants. Cette pratique de reproduction répétée entre les membres d'une même famille entraîne une augmentation de la consanguinité, ce qui signifie qu'ils partagent un pourcentage plus élevé de gènes identiques que les individus non apparentés.
Dans le contexte de la recherche médicale et biologique, l'utilisation de lignées consanguines de rats est utile pour étudier les effets des gènes spécifiques sur des traits particuliers ou des maladies. En éliminant la variabilité génétique entre les individus d'une même lignée, les scientifiques peuvent mieux contrôler les variables et isoler les effets de certains gènes.
Cependant, il est important de noter que la consanguinité élevée peut également entraîner une augmentation de la fréquence des maladies génétiques récessives, ce qui peut limiter l'utilité des lignées consanguines pour certains types d'études. Par ailleurs, les résultats obtenus à partir de ces lignées peuvent ne pas être directement applicables aux populations humaines, qui sont beaucoup plus génétiquement diversifiées.
La biochimie de l'encéphale se réfère à la branche de la biochimie qui étudie les processus chimiques et biochimiques qui se produisent dans le cerveau. Il s'agit d'une sous-spécialité de la neurochimie, qui traite des aspects chimiques du système nerveux central.
La biochimie de l'encéphale implique l'étude des molécules et des processus biochimiques dans le cerveau, y compris les neurotransmetteurs, les enzymes, les protéines, les lipides, les glucides et d'autres composés chimiques. Ces études peuvent être menées à la fois in vivo (dans des organismes vivants) et in vitro (dans des systèmes de laboratoire).
Les recherches en biochimie de l'encéphale ont des applications importantes dans la compréhension des maladies neurologiques et psychiatriques, telles que la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson, la dépression et l'anxiété. En étudiant les changements biochimiques qui se produisent dans ces conditions, les scientifiques peuvent développer de nouveaux traitements et thérapies pour améliorer la santé du cerveau et du système nerveux central.
L'oxytocine est une hormone neurotransmetteur qui joue un rôle crucial dans la régulation des processus sociaux et physiologiques. Dans un contexte médical, elle est souvent mentionnée pour ses effets sur le travail et l'accouchement. L'oxytocine stimule les contractions utérines pendant le travail et peut être utilisée comme médicament pour induire ou accélérer le travail lors de la naissance d'un bébé.
En outre, elle est également libérée en réponse à l'allaitement maternel, ce qui favorise la production de lait et renforce le lien entre la mère et son enfant. De plus, des recherches ont montré que l'oxytocine peut être associée à divers autres processus, tels que la reconnaissance et la confiance sociales, les émotions positives, l'empathie, l'anxiété et le stress réduits, ainsi qu'une diminution de la douleur.
Cependant, il est important de noter que les effets de l'oxytocine sur ces processus sociaux sont encore largement étudiés et ne sont pas entièrement compris.
Un dosage radioimmunologique (RIA) est une méthode sensible et spécifique de mesure quantitative des concentrations d'une substance, généralement une hormone ou un médicament, dans un échantillon biologique. Cette technique repose sur l'utilisation d'un anticorps spécifique qui se lie à la substance d'intérêt, appelée analyte.
Dans un RIA, l'échantillon est mélangé avec une quantité connue de l'analyte marqué radioactivement (généralement avec un isotope de faible énergie et courte demi-vie, comme l'iode 125). Ce mélange est ensuite incubé pour permettre à l'anticorps de se lier à l'analyte, qu'il soit présent dans l'échantillon ou sous forme marquée.
Après l'incubation, un séparateur d'immunoprécipitation est ajouté pour précipiter les complexes anticorps-analyte, qui peuvent être séparés du liquide résiduel par centrifugation ou filtration. Le niveau de radioactivité dans le surnageant et le précipité est mesuré à l'aide d'un détecteur de gamma.
La quantité d'analyte présente dans l'échantillon est inversement proportionnelle à la quantité de radioactivité détectée dans le surnageant, ce qui permet de calculer sa concentration en utilisant une courbe de calibration établie avec des standards connus.
Les RIA ont été largement remplacés par d'autres méthodes plus modernes et plus simples, telles que les dosages immuno-enzymatiques (EIA) ou les tests immunochimiluminescents (CLIA), qui n'utilisent pas de matières radioactives. Cependant, ils restent utiles dans certaines applications spécialisées où une grande sensibilité est requise.
L'arginine vasopressine, également connue sous le nom de vasopressine ou ADH (hormone antidiurétique), est une hormone peptidique composée de neuf acides aminés. Elle est produite et stockée dans le cerveau, plus précisément dans le lobe postérieur de la glande pituitaire.
La vasopressine a deux fonctions principales :
1. Régulation de l'équilibre hydrique : La vasopressine agit sur les reins pour contrôler la réabsorption d'eau dans le corps. Lorsque le taux de vasopressine est élevé, les reins réabsorbent plus d'eau dans la circulation sanguine, ce qui entraîne une diminution de la production d'urine et une augmentation de la concentration des urines. À l'inverse, lorsque le taux de vasopressine est faible, les reins éliminent plus d'eau dans les urines, ce qui entraîne une augmentation de la production d'urine et une dilution des urines.
2. Vasoconstriction : La vasopressine provoque également une constriction des vaisseaux sanguins, ce qui peut aider à maintenir une pression artérielle adéquate en cas de perte de sang ou de déshydratation sévère.
La libération de vasopressine est régulée par plusieurs facteurs, notamment la concentration sanguine en eau et en électrolytes, ainsi que la pression artérielle. Des niveaux élevés de vasopressine peuvent être observés dans certaines conditions médicales, telles que la déshydratation, l'insuffisance cardiaque congestive et certains types de tumeurs cérébrales. Inversement, des niveaux faibles de vasopressine peuvent être observés dans des conditions telles que le diabète insipide central, une maladie rare caractérisée par une production insuffisante d'hormone antidiurétique (ADH), y compris la vasopressine.
La neurokinine B est un neuropeptide qui appartient à la famille des tachykinines. Il est synthétisé dans le cerveau et le système nerveux central à partir d'un précurseur commun, la protéine pré-protéine de la neurokinine A et de la neurokinine B (PPNKA/B). La neurokinine B se lie et active les récepteurs NK3, qui sont largement distribués dans le cerveau et le système nerveux périphérique.
Les fonctions de la neurokinine B comprennent la modulation de la douleur, de l'anxiété, de la dépression et de la régulation de l'appétit. Elle joue également un rôle dans la physiopathologie de certaines maladies neurologiques et psychiatriques, telles que la maladie de Parkinson, la schizophrénie et les troubles de l'humeur.
La neurokinine B est une cible thérapeutique potentielle pour le développement de nouveaux traitements pour ces conditions, ainsi que pour d'autres affections telles que l'obésité et la toxicomanie. Des antagonistes des récepteurs NK3 sont actuellement à l'étude dans le cadre de ces efforts de recherche et de développement.
Le diencéphale est une structure importante du cerveau situé dans la région centrale. Il est composé de plusieurs structures essentielles, y compris le thalamus et l'hypothalamus. Le thalamus sert de relais pour les signaux sensoriels en provenance du corps vers le cortex cérébral, tandis que l'hypothalamus régule certaines fonctions autonomes telles que la température corporelle, la faim et la soif, et les rythmes circadiens. Le diencéphale joue également un rôle important dans le traitement des émotions et de la mémoire. Des lésions ou des troubles du diencéphale peuvent entraîner une variété de symptômes, tels que des changements de personnalité, des problèmes de mémoire et de régulation de la température corporelle.
Les kisspeptines sont des neuropeptides qui jouent un rôle crucial dans la régulation de l'axe hypothalamo-hypophyso-gonadique (HHG), qui contrôle les fonctions reproductives. Ils sont produits par le gène KISS1 et se lient aux récepteurs du kisspeptine, appelés RKRP ou GPR54.
Dans l'organisme humain, les kisspeptines sont exprimées principalement dans l'hypothalamus, en particulier dans le noyau arcuatus et le noyau préoptique médian. Elles agissent comme des neuromodulateurs pour réguler la libération de gonadolibérine (GnRH), une hormone clé qui déclenche la cascade d'événements hormonaux responsables du développement et de la fonction reproductive.
Les kisspeptines sont également connues pour jouer un rôle dans la régulation des fonctions énergétiques, de l'homéostasie glucidique et de la prise alimentaire. Des études récentes ont montré que les kisspeptines peuvent être impliquées dans d'autres processus physiologiques tels que le contrôle de la pression artérielle, l'anxiété sociale et la dépendance à la drogue.
Les anomalies du système kisspeptine-RKRP ont été associées à des troubles de la reproduction tels que le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), la puberté précoce et la puberté retardée, ainsi qu'à d'autres maladies telles que l'obésité et le cancer.
Les terminaisons nerveuses sont les extrémités des neurones, ou cellules nerveuses, qui sont responsables de la transmission des impulsions nerveuses vers d'autres cellules, telles que les muscles ou d'autres neurones. Elles peuvent avoir différentes formes et structures en fonction de leur rôle et de la façon dont elles transmettent ces impulsions.
Par exemple, certaines terminaisons nerveuses forment des synapses où elles libèrent des neurotransmetteurs dans l'espace synaptique pour communiquer avec d'autres neurones. D'autres peuvent former des jonctions neuromusculaires pour transmettre les impulsions nerveuses aux muscles et provoquer leur contraction.
Les terminaisons nerveuses peuvent être exposées à des dommages mécaniques, chimiques ou thermiques, ce qui peut entraîner une altération de la fonction nerveuse et des symptômes tels que des douleurs, des engourdissements ou des faiblesses musculaires.
Les hormones hypophysaires sont des substances chimiques produites et sécrétées par l'hypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. L'hypophyse est divisée en deux parties : le lobe antérieur (ou adénohypophyse) et le lobe postérieur (ou neurohypophyse). Chaque partie de l'hypophyse produit et sécrète des types spécifiques d'hormones.
Les hormones hypophysaires les plus importantes comprennent :
1. Hormone de croissance (GH ou somatotropine) - stimule la croissance et le métabolisme des protéines, des graisses et des glucides dans l'organisme.
2. Thyrotropin (TSH) - stimule la glande thyroïde pour produire et sécréter les hormones thyroïdiennes T3 et T4.
3. Adrénocorticotrope (ACTH) - stimule la corticale surrénale pour produire et sécréter des hormones stéroïdes telles que le cortisol et les androgènes.
4. Prolactine (PRL) - stimule la production de lait dans les glandes mammaires pendant la grossesse et l'allaitement.
5. Folliculo-stimulante (FSH) et luteinisante (LH) - régulent la fonction des organes reproducteurs chez les hommes et les femmes. Chez les femmes, la FSH stimule la croissance des follicules ovariens et la production d'estradiol, tandis que la LH déclenche l'ovulation et la production de progestérone. Chez les hommes, la FSH stimule la spermatogenèse dans les testicules, et la LH stimule la production de testostérone.
6. Hormone melanotrope (MSH) - régule la pigmentation de la peau et des cheveux en influençant la production de mélanine.
7. Endorphines et enképhalines - sont des neuropeptides qui agissent comme analgésiques naturels et modulent l'humeur et le comportement alimentaire.
8. Oxytocine - stimule l'accouchement et la lactation, et joue un rôle dans les liens sociaux et affectifs.
9. Vasopressine (ADH) - régule la pression artérielle et le volume sanguin en influençant la rétention d'eau par les reins.
L'encéphale est la structure centrale du système nerveux situé dans la boîte crânienne. Il comprend le cerveau, le cervelet et le tronc cérébral. L'encéphale est responsable de la régulation des fonctions vitales telles que la respiration, la circulation sanguine et la température corporelle, ainsi que des fonctions supérieures telles que la pensée, la mémoire, l'émotion, le langage et la motricité volontaire. Il est protégé par les os de la boîte crânienne et recouvert de trois membranes appelées méninges. Le cerveau et le cervelet sont floating dans le liquide céphalo-rachidien, qui agit comme un coussin pour amortir les chocs et les mouvements brusques.
En termes médicaux, la reproduction est le processus biologique par lequel les organismes vivants produisent des descendants, assurant ainsi la continuité de leur espèce. Chez les êtres humains et de nombreux autres animaux, cela implique généralement la fécondation, qui est le processus d'union d'un ovule (ovocyte) femelle avec un spermatozoïde mâle pour former une cellule œuf ou zygote. Cette cellule zygote contient tout le matériel génétique nécessaire pour se développer en un nouvel organisme, grâce au processus de division cellulaire et de différenciation des tissus connus sous le nom de développement embryonnaire.
Chez les humains, la reproduction implique non seulement des aspects physiologiques et moléculaires complexes, mais aussi des comportements et des interactions sociaux. La capacité de se reproduire est fortement influencée par une variété de facteurs, tels que l'âge, la nutrition, la santé générale, l'exposition à des substances toxiques et le mode de vie. De plus, la reproduction humaine implique souvent des considérations éthiques, morales et sociales complexes liées à la planification familiale, à la contraception, aux droits reproductifs et à la santé sexuelle et reproductive.
Les ventricules cérébraux sont des cavités remplies de liquide dans le cerveau. Il y a quatre ventricules au total : deux ventricules latéraux, le troisième ventricule et le quatrième ventricule. Le liquide céphalo-rachidien (LCR) est produit dans les ventricules et circule dans tout le système nerveux central pour protéger le cerveau et la moelle épinière en absorbant les chocs et en éliminant les déchets. Les ventricules sont également responsables de la régulation du volume et de la pression du LCR. Toute anomalie dans la structure ou la fonction des ventricules cérébraux peut entraîner divers troubles neurologiques, tels que l'hydrocéphalie, qui se caractérise par une accumulation excessive de LCR dans les ventricules et une augmentation de la pression intracrânienne.
La dynorphine est un peptide opioïde endogène qui se lie aux récepteurs opioïdes kappa dans le cerveau. Elle est synthétisée à partir d'une protéine précurseur appelée prodynorphine, qui peut également être clivée pour former d'autres peptides opioïdes tels que les big dynorphines et les leu-enképhalines. La dynorphine est largement distribuée dans le système nerveux central et joue un rôle important dans la modulation de la douleur, de l'anxiété, de l'humeur et des fonctions cognitives. Elle est également connue pour être impliquée dans la dépendance aux drogues et peut contribuer à la toxicomanie et aux comportements liés à la recherche de récompenses.
La névrogliose, également appelée glie, se réfère aux cellules non neuronales du système nerveux central qui fournissent un soutien structurel et nutritif pour les neurones. Ils protègent également les neurones, régulent l'environnement extracellulaire et participent à la signalisation intercellulaire. Les types de cellules névrogliques comprennent les astrocytes, les oligodendrocytes, les microglies et les épendymes. Contrairement aux neurones, les cellules névrogliques peuvent se reproduire et remplacer après une lésion. Cependant, un déséquilibre de la névrogliose peut contribuer au développement de divers troubles neurologiques.
L'axe hypothalamo-hypophyso-surrénal (HPA) est un système complexe de communication neuroendocrinienne qui régule les réponses du corps au stress et maintient l'homéostasie. Il se compose de trois parties principales :
1. L'hypothalamus, situé dans le cerveau, qui détecte les changements internes et externes dans l'environnement et répond en sécrétant des facteurs de libération appropriés.
2. La glande pituitaire (ou hypophyse), également située dans le cerveau, qui reçoit les signaux de l'hypothalamus et sécrète des hormones spécifiques en réponse.
3. Les glandes surrénales, situées au-dessus des reins, qui produisent une variété d'hormones stéroïdiennes et catecholamines en réponse aux signaux de la glande pituitaire.
Dans l'axe HPA, les facteurs de libération hypothalamiques stimulent la sécrétion de l'hormone adrénocorticotrope (ACTH) par la glande pituitaire. L'ACTH stimule ensuite la production et la libération des corticostéroïdes, y compris le cortisol, par les glandes surrénales. Le cortisol a de nombreux effets dans tout le corps, notamment en régulant le métabolisme des glucides, des protéines et des lipides, en supprimant l'inflammation et en aidant à répondre au stress.
Un dysfonctionnement de l'axe HPA peut entraîner une variété de symptômes et de conditions médicales, notamment le syndrome de Cushing, la maladie d'Addison et la dépression.
Les hormones hypothalamiques hypophysiotropes libératrices sont des substances chimiques produites et sécrétées par l'hypothalamus, une région du cerveau. Ces hormones ont pour fonction de réguler la sécrétion d'autres hormones par l'hypophyse, une glande située à la base du cerveau.
Les hormones hypothalamiques libératrices sont transportées depuis l'hypothalamus jusqu'à l'hypophyse via un vaisseau sanguin spécialisé appelé le système porte hypothalamo-hypophysaire. Une fois dans l'hypophyse, ces hormones stimulent la libération de certaines hormones spécifiques par les cellules de l'hypophyse.
Par exemple, l'hormone de libération de la thyrotropine (TRH) est une hormone hypothalamique libératrice qui stimule la production et la sécrétion de l'hormone thyréostimuline (TSH) par l'hypophyse. La TSH, à son tour, stimule la glande thyroïde pour produire et sécréter des hormones thyroïdiennes.
D'autres exemples d'hormones hypothalamiques libératrices comprennent l'hormone de libération de la corticotropine (CRH), l'hormone de libération de la gonadotrophine (GnRH) et l'hormone de libération de la prolactine (PRL). Ensemble, ces hormones jouent un rôle crucial dans la régulation des fonctions corporelles telles que la croissance, le développement sexuel, la reproduction, la réponse au stress et la production de lait maternel.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
Le chiasma optique est une structure anatomique du cerveau où les nerfs optiques se croisent. Plus précisément, il s'agit du point où la moitié des fibres nerveuses de chaque nerf optique se croise, permettant ainsi aux informations visuelles provenant de chaque côté de l'espace visuel d'être transmises au cerveau opposé.
Ce processus est important pour la perception de la profondeur et de la localisation des objets dans l'espace. Les troubles du chiasma optique peuvent entraîner une variété de symptômes visuels, tels qu'une vision double ou une perte de vision périphérique.
Le chiasma optique est situé juste en avant de la glande pituitaire et au-dessus du corps calleux, qui est la structure qui relie les deux hémisphères cérébraux. Il s'agit d'une structure complexe qui implique non seulement le croisement des fibres nerveuses, mais aussi l'intégration de diverses informations sensorielles et régulatrices du système nerveux autonome.
Une strie vasculaire, également connue sous le nom de strie rubra ou strie physiologique, est une ligne linéaire rougeâtre ou violacée qui apparaît sur la peau en raison d'une dilatation des vaisseaux sanguins superficiels. Ces marques peuvent apparaître après une activité physique intense, comme soulever des poids ou faire du sport, lorsque la peau est étirée de manière significative et que les vaisseaux sanguins sont comprimés. Les stries vasculaires sont généralement indolores et disparaissent d'elles-mêmes en quelques jours à une semaine sans traitement spécifique.
Cependant, il existe une autre forme de strie qui est plus large, plus longue et souvent associée à une peau fragile et atrophique. Ces stries peuvent être le résultat d'une croissance rapide pendant la puberté, une prise ou une perte de poids soudaine, une grossesse ou l'utilisation de corticostéroïdes sur une longue période. Contrairement aux stries vasculaires, ces stries peuvent être permanentes et nécessiter un traitement pour améliorer leur apparence.
La barrière hémato-encéphalique (BHE) est une structure physiologique qui régule le passage des substances entre la circulation sanguine et le tissu cérébral. Elle est composée de cellules endothéliales étroitement jointes qui tapissent les capillaires cérébraux, ainsi que de cellules gliales (astrocytes) et de membranes basales.
La BHE protège le cerveau en limitant l'entrée de substances potentiellement nocives telles que les toxines, les pathogènes et les cellules du système immunitaire dans le tissu cérébral. En même temps, elle permet la diffusion contrôlée des nutriments essentiels et des molécules de signalisation vers le cerveau.
Certaines maladies neurologiques peuvent être causées par une altération de la fonction de la barrière hémato-encéphalique, ce qui permet aux substances nocives d'atteindre le cerveau ou empêche l'apport adéquat de nutriments. Des exemples de telles maladies comprennent la sclérose en plaques, la maladie d'Alzheimer et les lésions cérébrales traumatiques.
Éminence médiane
Aponévrose palmaire
Cteniza sauvagesi
Éminence thénar
Moraine
Symphyse de la mandibule
Main neurologique
Écaille de l'os frontal
Montgaillard (Hautes-Pyrénées)
Corps du sphénoïde
Enceinte gallo-romaine de Tours
Biseridens
Ulna
Montgailhard
Montagnes Noires
Julos
Montgey
Fémur
Aimargues
Montregard
Flaumont-Waudrechies
Tiarajudens
Radius (os)
Colonie romaine de Cosa
Tubercule olfactif
Saint-Puy
Gourdan-Polignan
Gimont
Baudinard-sur-Verdon
Schiltigheim
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D'une2
- À l'échographie, l'apparence du kyste se caractérise souvent par la présence d'une éminence dermoïde très échogène (nodule de Rokitansky), partie solide au centre du kyste qui contient des follicules pileux, des glandes sébacées, de l'adiposité et des substances calcifiées. (medscape.com)
- date de réfection de 1837 sur le claveau médian d'une porte de l'ancienne nef). (occitanie-rando.fr)
Trouve1
- L'éminence médiane se trouve à la base de l'hypothalamus dans le cerveau humain. (wikipedia.org)
Complexe1
- Quant à l'innervation, complexe, elle est assurée par les nerfs médian et cubital pour la région palmaire, par les nerfs médian, radial et cubital pour la région dorsale. (free.fr)
Hormones2
- L'éminence médiane est une partie de l'hypothalamus d'où les hormones régulatrices sont libérées. (wikipedia.org)
- Pour être précis, c'est dans l'éminence médiane que les sécrétions de l'hypothalamus (hormones régulatrices libératrices et inhibitrices, dites « hormones hypophysiotropes ») se rassemblent avant d'entrer dans le système porte. (wikipedia.org)
Partie2
- À la partie inférieure du troisième ventricule cérébral, les parois de l'hypothalamus fusionnent pour former l'éminence médiane, qui forme un petit renflement sur le tuber cinereum postérieur à l'infundibulum au sommet de la tige pituitaire. (wikipedia.org)
- La pars nervosa (partie de la neurohypophyse) est continue avec l'éminence médiane de l'hypothalamus par l'intermédiaire de la tige pituitaire. (wikipedia.org)