Glandes Tarsales
Maladies De La Paupière
Syndromes De L'Oeil Sec
Glandes Sebacées
Cires
Appareil Lacrymal
Sébum
Neurofibres Parasympathiques Postganglionnaires
Transillumination
Conjonctive
Glandes Salivaires
Techniques Diagnostic Ophtalmologie
Fluorophotométrie
Rayonnement Infrarouge
Esters
Colorant Vert Lissamine
Encyclopedias as Topic
Biodisponibilité
Je suis désolé, mais la terminologie "glandes tarsales" ne semble pas être reconnue dans la littérature médicale standard. Il est possible que vous ayez fait une erreur ou que cette expression soit utilisée dans un contexte spécifique à une certaine spécialité médicale.
Cependant, il existe des glandes situées dans la région tarsale (la partie postérieure de l'orbite) appelées glandes de Meibomius. Elles sont responsables de la sécrétion d'une couche huileuse qui fait partie du film lacrymal protégeant la surface de l'œil.
Si vous cherchiez des informations sur les glandes de Meibomius ou une autre structure anatomique de la région tarsale, veuillez me fournir plus de détails pour que je puisse vous aider au mieux.
Les « Maladies de la paupière » est un terme général utilisé en médecine pour décrire un large éventail de conditions qui affectent les structures des paupières, y compris la peau, les cils, les glandes sébacées, les glandes de Meibomius, les muscles, les tendons et les nerfs. Voici quelques exemples de maladies de la paupière :
1. Blepharite : inflammation des paupières, souvent causée par une infection bactérienne ou une dysfonction des glandes de Meibomius.
2. Dermatite séborrhéique : une affection cutanée qui provoque des rougeurs, des démangeaisons et des squames sur la peau des paupières.
3. Chalazion : un gonflement de la glande de Meibomius due à son obstruction, ce qui entraîne une inflammation et la formation d'un kyste sur la paupière.
4. Orgelet : une infection bactérienne de la glande lacrymale ou des follicules pileux des cils, qui se traduit par un petit bouton rouge et douloureux sur la paupière.
5. Ptéygion : une croissance anormale de la membrane conjonctive de la paupière vers la cornée.
6. Ectropion : une condition où la paupière inférieure se retourne vers l'extérieur, exposant la surface interne de la paupière et du globe oculaire.
7. Entropion : une condition où la paupière inférieure se tourne vers l'intérieur, ce qui entraîne le frottement des cils contre la cornée.
8. Blépharospasme : un spasme involontaire et incontrôlable des muscles des paupières, qui peut entraîner une fermeture prolongée ou répétitive des paupières.
9. Tumeurs bénignes ou malignes de la paupière : des excroissances anormales peuvent se former sur les paupières et peuvent être bénignes ou cancéreuses.
Les paupières sont des structures mobiles qui recouvrent et protègent les yeux. Elles sont composées de plusieurs couches, y compris la peau, le tissu conjonctif, le muscle et la muqueuse. Les paupières servent à humidifier les yeux en répartissant les larmes, à protéger les yeux des corps étrangers, des rayons lumineux excessifs et des agents infectieux, et à faciliter la vision en clignant pour nettoyer et humidifier la surface de l'œil. Elles peuvent également réagir au sommeil, à la fatigue ou à d'autres stimuli émotionnels en se fermant partiellement ou complètement.
Dans un contexte médical, les larmes sont des sécrétions liquides produites par les glandes lacrymales situées dans les orbites des yeux. Elles ont plusieurs fonctions importantes pour la santé et le confort oculaires :
1. Lubrification : Les larmes maintiennent la surface de l'œil humide, ce qui permet aux paupières de glisser facilement sur la cornée et prévient ainsi l'irritation et les dommages mécaniques.
2. Protection : Les larmes contiennent des anticorps et des enzymes (comme la lysozyme) qui aident à combattre les infections et à éliminer les particules étrangères ou les micro-organismes qui pourraient pénétrer dans l'œil.
3. Nutrition : Les larmes contribuent également à fournir des nutriments essentiels à la cornée, qui est avasculaire et dépend donc en partie de ce apport nutritionnel.
4. Réaction émotionnelle : Outre leurs fonctions physiologiques, les larmes peuvent aussi être produites en réponse à des émotions fortes telles que la tristesse, la joie, le rire ou la douleur. Dans ce cas, elles sont souvent accompagnées de modifications du rythme cardiaque, de la respiration et d'autres signes physiologiques.
Il est important de noter que des problèmes avec la production ou la composition des larmes peuvent entraîner divers troubles oculaires, tels que la sécheresse oculaire, les infections ou les irritations de la cornée.
La blépharite est une inflammation des paupières qui affecte généralement les follicules des cils et/ou le bord libre des paupières. Elle peut être causée par une infection bactérienne, une maladie de la peau sous-jacente ou un dysfonctionnement des glandes sébacées situées dans les paupières. Les symptômes courants de la blépharite comprennent des rougeurs, des démangeaisons, des brûlures, une sensation de sable dans les yeux, un épaississement des cils et des croûtes sur les paupières, en particulier le matin.
Il existe deux principaux types de blépharite : la blépharite antérieure, qui affecte la partie extérieure des paupières et est souvent causée par une infection bactérienne ou une réaction allergique ; et la blépharite postérieure, qui affecte la partie interne des paupières et est généralement causée par un dysfonctionnement des glandes de Meibomius.
Le traitement de la blépharite dépend de sa cause sous-jacente. Les options de traitement peuvent inclure des nettoyages réguliers des paupières, des antibiotiques topiques ou oraux, des stéroïdes anti-inflammatoires et des changements dans les habitudes d'hygiène personnelle. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour éliminer les croûtes ou les lésions sur les paupières. Il est important de consulter un médecin ou un ophtalmologiste si vous présentez des symptômes de blépharite, car cette condition peut entraîner des complications telles que des ulcères cornéens et une perte de cils si elle n'est pas traitée correctement.
Le syndrome des yeux secs, également connu sous le nom de keratoconjunctivitis sicca, est un trouble oculaire courant qui se caractérise par une production insuffisante ou une qualité réduite des larmes. Les larmes sont essentielles pour maintenir l'humidification, la lubrification et la protection de la surface de l'œil. Lorsqu'elles sont déficientes, cela peut entraîner une variété de symptômes inconfortables et potentiallement nocifs pour la santé oculaire.
Les causes sous-jacentes du syndrome des yeux secs peuvent être multiples, y compris l'âge avancé, les troubles auto-immuns tels que le syndrome de Sjögren, les maladies systémiques telles que le diabète et la polyarthrite rhumatoïde, les effets secondaires des médicaments, les dommages causés par une exposition excessive à des environnements secs ou venteux, l'utilisation excessive d'appareils numériques, le port de lentilles de contact et la chirurgie oculaire récente.
Les symptômes courants du syndrome des yeux secs comprennent une sensation de brûlure, de picotement ou de grain de sable dans les yeux, une rougeur, une fatigue oculaire, une sensibilité accrue à la lumière, un larmoiement excessif (paradoxal), une vision trouble et des difficultés à porter des lentilles de contact. Dans les cas graves, le syndrome des yeux secs peut entraîner des dommages à la cornée, tels que des ulcères ou des cicatrices, qui peuvent affecter la vision.
Le diagnostic du syndrome des yeux secs est généralement posé sur la base d'un examen ophtalmologique complet et de l'anamnèse du patient. Des tests spécifiques peuvent être effectués pour évaluer la quantité et la qualité des larmes, tels que le test de Schirmer ou le test de TBUT (temps de rupture du film lacrymal).
Le traitement du syndrome des yeux secs vise à soulager les symptômes et à prévenir les dommages oculaires. Les options de traitement comprennent l'utilisation de lubrifiants oculaires artificiels, la limitation de l'exposition aux environnements secs ou venteux, la modification des habitudes d'utilisation des appareils numériques, le port de lunettes de protection contre le vent et les écrans, la prise en charge de toute maladie sous-jacente et, dans certains cas, la prescription de médicaments qui augmentent la production de larmes ou réduisent l'inflammation oculaire. Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être envisagée pour fermer les points lacrymaux ou insérer des plugs pour préserver l'humidité oculaire.
Les glandes sébacées sont des glandes situées dans la peau qui sécrètent du sébum, une substance huileuse qui aide à garder la peau et les cheveux hydratés. Elles sont attachées aux follicules pileux et se trouvent principalement sur le visage, le haut du dos et le torse. Le sébum produit par ces glandes peut obstruer les pores de la peau, ce qui peut entraîner l'acné et d'autres problèmes de peau lorsque les glandes sont surestimulées ou lorsque les pores sont bloqués.
Je suis désolé, mais la requête « Cires » est plutôt vague. Si vous faites référence aux cires dans le contexte médical ou dermatologique, elles peuvent faire référence à :
1. Les cires naturelles produites par les glandes sébacées et sudoripares de la peau humaine. Elles protègent la peau et les cheveux en empêchant la perte d'humidité et en agissant comme une barrière contre les bactéries, les levures et les irritants environnementaux.
2. Les cires utilisées dans les applications médicales ou cosmétiques, telles que les cires dépilatoires pour l'épilation ou les cires stériles pour des usages chirurgicaux spécifiques.
Cependant, sans plus de contexte, il est difficile de fournir une définition médicale précise des « Cires ». Si vous pouviez préciser votre requête, je serais heureux de vous fournir une réponse plus détaillée et mieux adaptée.
L'appareil lacrymal est un système complexe qui produit, stocke et draine les larmes. Il se compose des glandes lacrymales, des conduits lacrymaux, des sacs lacrymaux et des canaux nasolacrimaux. Les glandes lacrymales sont responsables de la production de larmes, qui lubrifient et protègent la surface de l'œil. Les conduits lacrymaux collectent les larmes et les acheminent vers le sac lacrymal, d'où elles s'écoulent dans les canaux nasolacrimaux et finissent par se déverser dans le nez. L'appareil lacrymal fonctionne pour maintenir l'humidité de l'œil et protéger contre les irritants et les infections.
Le sébum est une substance grasse et huileuse produite par les glandes sébacées dans la peau. Il recouvre la surface de la peau et des cheveux pour les protéger et les hydrater. Le sébum est composé d'un mélange de lipides, dont les triglycérides, les squalènes, les cires et les cholestérols. Il contribue également à l'imperméabilité de la peau en empêchant l'eau de s'évaporer et en protégeant contre les bactéries et les irritants extérieurs. Cependant, une production excessive de sébum peut entraîner une peau grasse et des problèmes de peau tels que l'acné.
Les neurofibres parasympathiques postganglionnaires sont un type de fibres nerveuses faisant partie du système nerveux autonome, qui régule les fonctions involontaires de l'organisme. Contrairement aux fibres sympathiques, le système parasympathique favorise la relaxation, la digestion et d'autres processus de repos et de récupération.
Après que les neurones préganglionnaires du système parasympathique aient établi une synapse dans un ganglion, les neurofibres postganglionnaires se prolongent pour innerver directement les organes cibles. Ces fibres sécrètent principalement de l'acétylcholine comme neurotransmetteur, qui se lie aux récepteurs muscariniques et nicotiniques sur la membrane postsynaptique des organes cibles pour déclencher une réponse spécifique.
Les neurofibres parasympathiques postganglionnaires sont responsables de la régulation des fonctions telles que la sécrétion des glandes salivaires, la contraction de la vésicule biliaire, la relaxation du sphincter de l'estomac et de l'intestin grêle, la constriction de la pupille, la réduction de la fréquence cardiaque et la bronchodilatation.
En bref, les neurofibres parasympathiques postganglionnaires sont des fibres nerveuses qui émergent des ganglions après une synapse avec les neurones préganglionnaires du système parasympathique, et elles jouent un rôle crucial dans la régulation des fonctions de repos et de récupération de l'organisme.
Les cils sont de minuscules structures chevelues qui poussent sur la bordure des paupières. Ils sont constitués de follicules pileux et de glandes sébacées, et leur croissance est régie par le cycle de croissance normal des cheveux. Les cils ont pour fonction principale de protéger l'œil en empêchant la poussière, les débris et les corps étrangers de pénétrer dans l'œil. Ils jouent également un rôle important dans la perception sensorielle, car ils peuvent détecter des changements subtils de direction du vent ou d'autres stimuli environnementaux. Les cils peuvent être coiffés, teints et allongés à des fins esthétiques, mais il est important de manipuler ces structures délicates avec soin pour éviter d'endommager les yeux ou la peau environnante.
La transillumination est un procédé d'évaluation médicale qui implique l'utilisation de la lumière pour éclairer et examiner une structure corporelle. Cette méthode est utilisée pour visualiser et déterminer la taille, la position, la forme et la nature des structures internes ou des anomalies telles que les tumeurs, les hématomes, les kystes et les infections.
Dans la transillumination, une source lumineuse brillante est placée sur la peau dans la région proche de l'organe ou du tissu à examiner. La lumière traverse alors les structures sous-jacentes et émerge de l'autre côté. En observant la quantité et la qualité de la lumière transmise, un professionnel de santé peut déduire des informations importantes sur l'état de ces structures.
Par exemple, dans le cas d'un nourrisson, on peut utiliser la transillumination pour vérifier si une glande thyroïde est agrandie ou s'il y a une accumulation de liquide dans les poumons. Cette technique simple et non invasive permet aux professionnels de santé d'obtenir rapidement des informations importantes sur l'état du patient, contribuant ainsi à poser un diagnostic précis et à planifier le traitement approprié.
La conjonctive est un revêtement fin et transparent qui tapisse la surface interne des paupières (conjonctive palpébrale) et la surface blanche de l'œil (conjonctive bulbaire). Elle contribue à maintenir l'humidité dans les yeux et protège l'œil en répartissant les larmes. L'inflammation ou l'irritation de la conjonctive est appelée conjonctivite, qui peut être causée par des infections, des allergies ou des irritants environnementaux.
Les glandes salivaires sont des glandes exocrines qui produisent et sécrètent la salive dans la cavité buccale. Elles jouent un rôle crucial dans la digestion des aliments en lubrifiant la bouche et les aliments, facilitant ainsi l'avalement et la décomposition chimique des molécules alimentaires par les enzymes salivaires.
Il existe trois principales paires de glandes salivaires :
1. Les glandes parotides, situées près de l'oreille, sont les plus grandes et produisent principalement une salive aqueuse riche en amylase, une enzyme qui dégrade les glucides.
2. Les glandes submandibulaires, situées sous la mâchoire inférieure, sécrètent un mélange de salive mucoïde et séreuse, contenant des ions bicarbonates pour neutraliser l'acidité et faciliter la digestion.
3. Les glandes sublinguales, situées sous la langue, produisent principalement une salive mucoïde qui lubrifie la bouche et adhère aux papilles gustatives pour favoriser la perception des saveurs.
Des petites glandes salivaires accessoires sont également réparties dans la muqueuse buccale, ajoutant à la production globale de salive. Les dysfonctionnements des glandes salivaires peuvent entraîner une sécheresse buccale (xérostomie), ce qui peut affecter la mastication, la déglutition, la parole et la santé dentaire.
Les techniques diagnostiques en ophtalmologie sont des procédures et des examens spécifiquement conçus pour évaluer, diagnostiquer et suivre les diverses conditions affectant la vue et la santé globale des yeux. Ces techniques peuvent varier en complexité, de tests simples effectués dans le cabinet d'un médecin à des procédures plus sophistiquées réalisées en milieu hospitalier ou dans des centres de recherche spécialisés.
Voici une liste non exhaustive de certaines des techniques diagnostiques ophtalmologiques les plus courantes :
1. Examen de la vue et réfraction : Cette évaluation comprend un ensemble de tests permettant de déterminer l'acuité visuelle d'un patient, sa capacité à distinguer les formes et les détails, ainsi que sa prescription pour des lunettes ou des lentilles de contact.
2. Test de la pression intraoculaire (PIO) : Il s'agit d'une mesure de la pression à l'intérieur de l'œil, qui peut aider au dépistage et au suivi du glaucome. Le test le plus courant est la tonométrie, qui utilise un appareil pour appliquer une légère pression sur la surface de l'œil.
3. Examen du fond d'œil : Cette procédure permet d'examiner la rétine, la macula, le nerf optique et les vaisseaux sanguins à l'arrière de l'œil. Il peut être réalisé à l'aide d'un ophtalmoscope, d'une lampe à fente ou d'une angiographie à la fluorescéine, qui utilise un colorant pour mettre en évidence les vaisseaux sanguins anormaux.
4. Biomicroscopie : Aussi appelée examen à la lampe à fente, cette technique permet d'examiner de près différentes structures de l'œil, telles que la cornée, la conjonctive, l'iris et le cristallin, en éclairant l'œil avec une lumière intense et en observant les réflexions à travers une loupe.
5. Tomographie par cohérence optique (OCT) : Cette technique d'imagerie non invasive utilise la lumière pour créer des images détaillées de la rétine, du nerf optique et de la cornée. Elle est utile pour le diagnostic et le suivi de diverses affections oculaires, telles que la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA), le glaucome et les œdèmes maculaires.
6. Pachymétrie : Cette mesure permet d'évaluer l'épaisseur de la cornée, ce qui peut être important pour le dépistage et le suivi du glaucome. La pachymétrie est généralement réalisée à l'aide d'un appareil ultrasonore ou optique.
7. Champ visuel : Cette évaluation permet de mesurer la sensibilité à la lumière dans différentes parties de votre champ visuel, ce qui peut être utile pour le diagnostic et le suivi du glaucome et d'autres affections oculaires. Le test de champ visuel est généralement effectué à l'aide d'un appareil automatisé qui présente des stimuli lumineux à différents endroits de votre champ visuel tout en vous demandant de répondre lorsque vous voyez la lumière.
8. Évaluation de la pression intraoculaire : La mesure de la pression intraoculaire est un élément clé du dépistage et du suivi du glaucome. Elle peut être effectuée à l'aide d'un tonomètre manuel ou d'un appareil automatisé qui utilise un jet d'air ou une sonde de contact pour mesurer la pression dans l'œil.
9. Examen du fond d'œil : Cette évaluation permet d'examiner les structures internes de l'œil, telles que la rétine et le nerf optique, à l'aide d'un ophtalmoscope. Cela peut aider à détecter des problèmes tels que la dégénérescence maculaire liée à l'âge, le glaucome et les dommages causés par le diabète.
10. Imagerie rétinienne : Des techniques d'imagerie avancées, telles que l'angiographie à la fluorescéine et l'OCT (tomographie par cohérence optique), peuvent être utilisées pour obtenir des images détaillées de la rétine et du nerf optique. Ces techniques peuvent aider à diagnostiquer et à surveiller les maladies oculaires, telles que le glaucome, la dégénérescence maculaire liée à l'âge et les dommages causés par le diabète.
La fluorophotométrie est une méthode de mesure quantitative qui utilise la fluorescence pour déterminer la concentration d'une substance dans un tissu spécifique. Cette technique implique l'utilisation d'un appareil spécialisé appelé fluorophotomètre, qui émet une lumière excitatrice à une longueur d'onde spécifique sur le tissu ciblé. Les molécules fluorescentes dans ce tissu absorbent ensuite cette lumière et réémettent de la lumière à une longueur d'onde différente, qui est détectée et mesurée par le fluorophotomètre.
Dans un contexte médical, la fluorophotométrie peut être utilisée pour mesurer la concentration de fluorophore dans des tissus opaques tels que l'œil humain. Par exemple, cette technique peut être utilisée pour déterminer la concentration de fluorescéine dans le corps vitré de l’œil, ce qui peut aider au diagnostic et au suivi de diverses affections oculaires telles que les déchirures de la rétine ou les œdèmes maculaires.
En résumé, la fluorophotométrie est une technique de mesure quantitative qui utilise la fluorescence pour déterminer la concentration d'une substance dans un tissu spécifique, et peut être utilisée en médecine pour diagnostiquer et suivre diverses affections oculaires.
Les neurones nitrergiques sont un type spécifique de neurones qui libèrent l'oxyde nitrique (NO) comme neurotransmetteur. L'oxyde nitrique est une molécule gazeuse qui joue plusieurs rôles dans le système nerveux central et périphérique, notamment la relaxation des muscles lisses, l'inhibition de la libération d'autres neurotransmetteurs et la modulation de la plasticité synaptique.
Les neurones nitrergiques sont largement distribués dans le cerveau et la moelle épinière, où ils forment des réseaux complexes avec d'autres types de neurones. Ils sont souvent associés à des fonctions autonomes telles que la régulation de la pression artérielle, la respiration et la digestion.
Les neurones nitrergiques peuvent également être trouvés dans les systèmes sensoriels, où ils jouent un rôle dans la modulation de la transmission sensorielle. Par exemple, dans le système olfactif, les neurones nitrergiques peuvent réguler l'activité des neurones récepteurs olfactifs en libérant de l'oxyde nitrique en réponse à des stimuli odorants.
Dans l'ensemble, les neurones nitrergiques sont un type important et fonctionnellement diversifié de neurones qui jouent un rôle crucial dans la régulation de nombreux processus physiologiques et pathologiques dans le corps humain.
Le rayonnement infrarouge (IR) est une forme de radiation électromagnétique avec des longueurs d'onde plus longues que la lumière visible, mais plus courtes que les ondes radio. Dans le contexte médical, l'exposition aux IR est souvent liée au traitement thermique, comme dans la thérapie par la chaleur infrarouge.
Les rayons IR sont classiquement divisés en trois catégories : proche (700-1400 nm), moyen (1400-3000 nm) et lointain (3000 nm-1 mm). Le rayonnement infrarouge peut pénétrer la peau à des profondeurs variables selon sa longueur d'onde. Alors que le rayonnement IR proche est principalement absorbé par la surface de la peau, provoquant une élévation locale de la température, le rayonnement IR lointain peut pénétrer plus profondément dans les tissus, ce qui entraîne une augmentation générale de la température des tissus.
L'utilisation thérapeutique du rayonnement infrarouge est basée sur ses effets biologiques, notamment l'augmentation du flux sanguin local, la stimulation de la guérison des plaies et le soulagement de la douleur. Cependant, une exposition excessive ou inappropriée aux IR peut entraîner des brûlures cutanées et d'autres dommages tissulaires.
En chimie organique, un ester est le résultat de la réaction entre un acide carboxylique et un alcool, formant ainsi une liaison appelée liaison ester. Cette réaction est catalysée par un acide ou une base et produit un groupe fonctionnel ester.
La structure générale d'un ester est R-CO-OR', où R représente un groupement alkyle ou aryle provenant de l'acide carboxylique, et R' représente un groupement alkyle ou aryle provenant de l'alcool. Les esters sont largement répandus dans la nature et sont responsables des odeurs caractéristiques de nombreux fruits et fleurs.
Dans le contexte médical, les esters peuvent être trouvés dans divers médicaments et sont utilisés comme agents thérapeutiques ou excipients. Par exemple, l'acétate de vitamine E est un ester utilisé comme antioxydant et supplément nutritionnel, tandis que le glycolate de propyle est un ester utilisé comme diurétique dans certains médicaments.
Le vert de lissamine est un colorant vital utilisé dans le domaine médical, plus précisément en ophtalmologie. Il s'agit d'un colorant fluoresceinique qui se lie aux tissus morts ou malades et qui est donc utilisé pour mettre en évidence des lésions cornéennes ou conjonctivales.
Il est généralement utilisé sous forme de solution ophtalmique et est instillé dans l'œil du patient. Ensuite, l'examinateur observe la coloration verte à la lumière cobalt ou avec un filtre jaune pour repérer les zones endommagées ou nécrotiques.
Cependant, il convient de noter que le vert de lissamine peut provoquer une irritation oculaire temporaire et doit donc être utilisé avec précaution. Il est important que les professionnels de santé soient formés à son utilisation pour minimiser les risques potentiels.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
La biodisponibilité est un terme utilisé en pharmacologie et en toxicologie pour décrire la vitesse et l'étendue auxquelles une substance, telle qu'un médicament, devient disponible dans le site d'action ou dans la circulation systémique après avoir été administrée par une certaine voie.
Plus précisément, la biodisponibilité est définie comme la fraction ou le pourcentage de la dose administrée qui atteint la circulation systémique sous forme inchangée et active. Elle est généralement exprimée en termes de l'aire sous la courbe (ASC) des concentrations plasmatiques du médicament en fonction du temps, après administration d'une dose unique ou répétée.
La biodisponibilité peut être influencée par plusieurs facteurs, tels que la voie d'administration, la formulation du médicament, les caractéristiques pharmacocinétiques du médicament (telles que l'absorption, la distribution, le métabolisme et l'excrétion), les propriétés physico-chimiques du médicament, ainsi que les facteurs liés au patient tels que l'âge, le sexe, la maladie sous-jacente et l'utilisation concomitante de médicaments.
La biodisponibilité est un concept important dans la pharmacothérapie, car elle peut affecter l'efficacité et la sécurité des médicaments. Par exemple, une faible biodisponibilité peut entraîner une réponse thérapeutique insuffisante, tandis qu'une biodisponibilité élevée peut augmenter le risque d'effets indésirables ou de toxicité.
Par conséquent, il est important de comprendre la biodisponibilité des médicaments pour optimiser leur utilisation et minimiser les risques associés à leur administration.
Je suis désolé, "Histoire du 19" ne semble pas être une terminologie médicale établie. Le terme "histoire" dans un contexte médical se réfère généralement à l'histoire de la santé d'un patient, y compris ses antécédents médicaux, ses symptômes actuels, ses allergies et son mode de vie. Le chiffre "19" pourrait faire référence à une certaine procédure, diagnostic ou événement médical spécifique lié à l'année 2019. Cependant, sans plus de contexte, il est difficile de fournir une définition médicale précise pour "Histoire du 19". Il serait préférable d'obtenir des éclaircissements sur ce terme à partir de la source qui l'a utilisé.
Glande de Meibomius
Liste d'éponymes utilisés en anatomie humaine
Lycaenidae
Arachnocoris
Histeridae
Stenus
Glande de Meibomius - Wikipedia
Globe oculaire - Dictionnaire Visuel
Dictionnaire entomologique
Dictionnaire entomologique
Qu'est-ce qu'un daim de 12 points ? Quel âge ont les daims de 12 points ? - Coeur de chasse
dystichiasis du berger allemand, ABC du BA : elevage familial par excellence
La kératoconjonctivite sèche chez le chien ou syndrome de l'œil sec - Groupe Santépourtous
Cellule ganglionnaire (oeil) : définition, schéma
Chalazion et orgelet - Troubles oculaires - Édition professionnelle du Manuel MSD
Dictionnaire entomologique
Anatomie de l'oeil : présentation complète
DeCS
C'est quoi le polygone de Willis ?
Meibomius14
- Les glandes de Meibomius (ou glandes tarsiennes ou glandes tarsales) sont des glandes sébacées situées dans l'épiderme des paupières. (wikipedia.org)
- Les glandes de Meibomius sont situées dans le cartilage des paupières. (wikipedia.org)
- Les glandes de Meibomius sécrètent du meibum, corps gras principalement composé de triglycérides. (wikipedia.org)
- L'inflammation d'une glande de Meibomius s'appelle le chalazion. (wikipedia.org)
- L'œil sec provient du « Dysfonctionnement des glandes de Meibomius » ou DGM dans 86 % des cas ou d'une insuffisance aqueuse dans 14 % des cas. (wikipedia.org)
- Glandes de Meibomius », sur Hospital universitari Dexeus, 11 novembre 2019 (consulté le 23 janvier 2021). (wikipedia.org)
- Affections des glandes de meibomius », sur Ophtalmologie Pro (consulté le 23 janvier 2021). (wikipedia.org)
- A nomalie oculaire caract ris e par une rang e de cils surnum raires sur la paupi re en provenance de follicules plac s en regard des glandes de Meibomius. (le-berger-allemand.fr)
- Les glandes tarsales de Meibomius subissent une mauvaise diff renciation embryonnaire et deviennent un follicule pileux. (le-berger-allemand.fr)
- Le chalazion est provoqué par une occlusion non infectieuse de la glande de Meibomius, alors qu'un orgelet est habituellement provoqué par une infection de la glande. (msdmanuals.com)
- Un chalazion est une occlusion non infectieuse de la glande de Meibomius, source d'extravasation de lipides irritants éliminés dans les tissus mous de la paupière avec secondairement la formation d'un granulome inflammatoire. (msdmanuals.com)
- Les pathologies qui entraînent la formation de sécrétions anormalement épaisses de la glande de Meibomius (p. ex. (msdmanuals.com)
- dysfonction de la glande de Meibomius, acné rosacée) augmentent le risque d'obstruction des glandes de Meibomius. (msdmanuals.com)
- Un orgelet interne, beaucoup plus rare, résulte de l'infection d'une glande de Meibomius. (msdmanuals.com)
D'une glande2
- L'inflammation d'une glande de Meibomius s'appelle le chalazion. (wikipedia.org)
- Un orgelet interne, beaucoup plus rare, résulte de l'infection d'une glande de Meibomius. (msdmanuals.com)
Conjonctive1
- Les symptômes d'un orgelet sont semblables à ceux d'un chalazion, avec une douleur, une rougeur et un œdème localisé de la surface postérieure de la conjonctive tarsale. (msdmanuals.com)
Tarsiennes2
- Chez le vieillard, des traînées grisâtres perpendiculaires au bord libre sont le signe de la présence de « calculs » situés dans les glandes tarsiennes. (wikipedia.org)
- C'est une hypersécrétion des glandes tarsiennes, fréquente à la puberté ou à la ménopause. (wikipedia.org)
Principalement1
- C est un mélange de composants aqueux sécrétés principalement par la glande lacrymale (angle supéro externe de l'orbite) et de composants lipidiques sécrétés par les glandes de Meïbomus. (clinique-honore-cave.com)
Orgelet1
- Un orgelet externe résulte de l'infection et de l'obstruction d'un follicule ciliaire et des glandes adjacentes de Zeis ou de Moll. (msdmanuals.com)