Chute de la paupière due à déficient développement palpebrae le levator ou paralysie des muscles.
Chirurgie plastique de la paupière. (Cline et al., Dictionary of Troubles Science, 4e éditeur)
Chaque supérieures et inférieures plis de peau which cover the EYE quand fermé.
Les muscles qui font bouger les yeux. Inclus dans ce groupe est le muscle médian, le muscle droit, droit supérieur et inférieur, le muscle oblique inférieur, supérieur obliques musculus orbitalis et muscle releveur de la paupière supérieure.
Un trouble de la transmission neuromusculaire qui apparaît dans une minorité de nouveau-nés nés de femmes avec une myasthenia gravis. Les signes cliniques sont habituellement présents à la naissance ou développé au cours des 3 premiers jours de vie et sont constituées d ’ hypotonie et une insuffisance respiratoire, suce, et avaler capacités. Cet état est associé avec le récepteur de l ’ acétylcholine par transfert passif anticorps à travers le placenta. Dans la majorité des nourrissons (c 'est-à-dire la faiblesse disparaît myasthénique néonatale transitoires myasthénie) bien que rarement ce trouble peuvent continuer au-delà de la période néonatale (c' est-à-dire, persistante néonatale. (Myasthénie) de Menkes, Le manuel de Child Neurologie, 5ème Ed, p823 ; Neurologie 1997 Jan ; 48 (1) : 50-4)
Un syndrome oculomandibulofacial principalement caractérisée par dyscephaly (habituellement brachycephaly), perroquet nez, hypoplasie mandibulaire, proportionnées Nanism, hypotrichose, une cataracte congénitale bilatérale, et microphtalmie. (Dorland, 27 e)
Muscles d'expression faciale ou mimétisme muscles qui incluent les nombreuses muscles fournies par le nerf facial qui sont autour et déménager la peau du visage. (De Stedman, 25e éditeur)
Une opération sur les yeux ou de ses parties.
Une espèce de Streptococcus milleri les bactéries dans le groupe. Il est communément trouvée dans la flore et oropharnyx a une propension pour du haut du corps d'abcès et des voies respiratoires.
Paralysie de un ou plusieurs des muscles induite par oculaire Affections oculaires, soutenir des jonctions neuromusculaires en muscles, tendons, tissus mous ou innervation des muscles.
Maladie du nerf oculomoteur ou noyau qui entraîner faiblesse ou paralysie des muscles droit supérieur et inférieur, muscle médian, muscle oblique inférieur, ou le levator palpebrae parasympathique innervation des muscles ou une altération de la pupille. Avec une complète paralysie trochléaire, les paupières sera paralysée, les yeux seront enlevés et dans une place inférieure, l'élève sera nettement dilatées. Fréquemment associé incluent néoplasmes, traumatisme cérébral, ischémique (en particulier en association avec DIABETES sucré), et la compression. (Aneurysmal d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p270)
Brève fermeture des paupières par involontaire fermeture périodique normale, par précaution, ou par action volontaire.

Blepharoptosis est un terme médical qui se réfère à la paupière supérieure qui tombe (ptose) ou s'affaisse. Cette condition est généralement causée par une faiblesse ou un étirement des muscles qui liftent la paupière, appelés muscle levator palpebrae superioris et muscle tarse frontal. Dans certains cas, la blépharoptose peut être le résultat d'un problème nerveux ou d'une lésion qui affecte les nerfs responsables du mouvement des paupières.

Les symptômes de la blépharoptose peuvent inclure une vision partielle ou obstruée, une fatigue oculaire, des maux de tête et un regard fatigué ou somnolent. Dans les cas graves, la blépharoptose peut également entraîner une amblyopie, une condition dans laquelle l'œil affecté ne parvient pas à se développer correctement en raison d'un manque de stimulation visuelle adéquate.

Le traitement de la blépharoptose dépend de la cause sous-jacente de la condition. Dans les cas où la faiblesse musculaire est la cause, des procédures chirurgicales peuvent être recommandées pour renforcer ou raccourcir les muscles qui liftent la paupière. Dans d'autres cas, le traitement peut inclure des lunettes spécialisées ou des dispositifs de levage de paupières. Il est important de consulter un médecin ou un ophtalmologiste pour obtenir un diagnostic et un plan de traitement appropriés.

La blépharoplastie est une procédure chirurgicale qui vise à améliorer l'apparence des paupières supérieures, inférieures ou des deux en réduisant l'excès de peau et de graisse. Cette intervention peut également viser à resserrer les muscles affaiblis autour des yeux.

Dans le cas des paupières supérieures, la blépharoplastie peut aider à corriger un aspect fatigué ou affaissé en éliminant l'excès de peau et de graisse qui peuvent causer des plis excessifs ou des poches sous les yeux.

Pour les paupières inférieures, cette procédure peut traiter les poches de graisse, les rides et la peau relâchée, ce qui donne un aspect plus jeune et rafraîchi au regard.

Il est important de noter que la blépharoplastie ne peut pas éliminer toutes les lignes fines ou ridules autour des yeux, telles que les pattes d'oie. D'autres traitements peuvent être nécessaires pour aborder ces problèmes spécifiques.

Comme toute intervention chirurgicale, la blépharoplastie comporte certains risques et complications potentielles, tels que des ecchymoses, un gonflement, une infection, une réaction anesthésique ou des cicatrices visibles. Il est crucial de consulter un médecin qualifié et expérimenté dans ce type de procédure pour discuter des avantages et des inconvénients et déterminer si vous êtes un candidat approprié pour cette intervention.

Les paupières sont des structures mobiles qui recouvrent et protègent les yeux. Elles sont composées de plusieurs couches, y compris la peau, le tissu conjonctif, le muscle et la muqueuse. Les paupières servent à humidifier les yeux en répartissant les larmes, à protéger les yeux des corps étrangers, des rayons lumineux excessifs et des agents infectieux, et à faciliter la vision en clignant pour nettoyer et humidifier la surface de l'œil. Elles peuvent également réagir au sommeil, à la fatigue ou à d'autres stimuli émotionnels en se fermant partiellement ou complètement.

Les muscles oculomoteurs sont un groupe de six muscles qui contrôlent les mouvements des yeux. Ils sont responsables de la rotation et de l'orientation des globes oculaires, permettant ainsi la focalisation visuelle et le suivi des objets. Ces muscles comprennent:

1. Le muscle droit supérieur : il est responsable de la rotation de l'œil vers le haut et vers l'extérieur.
2. Le muscle droit inférieur : il permet la rotation de l'œil vers le bas et vers l'intérieur.
3. Le muscle droit médial (interne) : il fait pivoter l'œil vers l'intérieur, dans la direction nasale.
4. Le muscle droit latéral (externe) : il permet à l'œil de se déplacer vers l'extérieur, loin du nez.
5. Le muscle oblique supérieur : il est responsable de la rotation de l'œil vers le bas et vers l'intérieur.
6. Le muscle oblique inférieur : il permet la rotation de l'œil vers le haut et vers l'extérieur.

Les muscles oculomoteurs travaillent en synergie pour coordonner les mouvements des deux yeux, assurant ainsi une vision binoculaire et une perception de la profondeur adéquates. Les problèmes avec ces muscles peuvent entraîner des troubles de la vision tels que la strabisme (yeux croisés) ou des limitations dans les mouvements oculaires, ce qui peut affecter la capacité à focaliser et suivre les objets correctement.

La myasthénie congénitale est une maladie neuromusculaire rare héréditaire qui affecte la jonction neuromusculaire, où les nerfs rencontrent les muscles. Cette condition se caractérise par une faiblesse musculaire fluctuante et une fatigabilité excessive des muscles volontaires. Contrairement à la myasthénie auto-immune plus courante, qui est causée par des anticorps contre les récepteurs de l'acétylcholine à la jonction neuromusculaire, la myasthénie congénitale est due à des mutations génétiques entraînant des défauts dans la transmission du signal nerveux aux muscles.

Les symptômes de la myasthénie congénitale peuvent varier considérablement en fonction du type spécifique et de la sévérité de la mutation génétique sous-jacente. Les manifestations cliniques les plus courantes comprennent une faiblesse des muscles oculaires, une ptosis (paupières tombantes), une diplopie (vision double) et une faiblesse généralisée des muscles squelettiques. Dans certains cas, la maladie peut affecter gravement la fonction respiratoire, nécessitant une ventilation mécanique.

Le diagnostic de myasthénie congénitale repose sur l'histoire clinique, les résultats des tests de laboratoire et l'électrophysiologie. Les tests génétiques peuvent confirmer le diagnostic en identifiant la mutation spécifique responsable de la maladie. Le traitement de la myasthénie congénitale dépend du type et de la sévérité des symptômes. Il peut inclure des médicaments qui améliorent la transmission neuromusculaire, tels que l' pyridostigmine, ainsi qu'une prise en charge multidisciplinaire pour gérer les complications potentielles et assurer une qualité de vie optimale.

Le syndrome de Hallermann-Streiff-François est un trouble rare et congénital caractérisé par une combinaison distinctive de traits craniofaciaux, including a small mandible (micrognathie), prominent forehead (frontal bossing), widely spaced eyes (hypertelorism), and a narrow nose with a beaked tip. Les personnes atteintes peuvent également avoir une peau fine et fragile, des cheveux clairsemés, des dents petites ou mal formées, et un risque accru de développer des cataractes et d'autres problèmes oculaires.

Ce syndrome est causé par des mutations dans le gène GJA1, qui code pour une protéine appelée connexine 43. Cette protéine joue un rôle important dans la communication cellulaire et la formation de canaux intercellulaires, connus sous le nom de jonctions communicantes gap (GJC). Les mutations dans GJA1 entraînent une production altérée de connexine 43, ce qui perturbe la fonction des GJC et peut affecter le développement normal des tissus craniofacial et oculaire.

Le syndrome de Hallermann-Streiff-François est héréditaire selon un mode autosomique dominant, ce qui signifie qu'une seule copie du gène muté dans l'ADN d'un individu est suffisante pour provoquer la maladie. Cependant, de nombreux cas sont spontanés, sans antécédents familiaux connus de la maladie.

Le traitement du syndrome de Hallermann-Streiff-François se concentre généralement sur les symptômes spécifiques et peut inclure des soins dentaires spécialisés, une intervention chirurgicale pour corriger les anomalies craniofaciales, et une surveillance régulière de la vue. La prise en charge multidisciplinaire par une équipe de professionnels de la santé, y compris des dentistes, des orthodontistes, des chirurgiens maxillo-faciaux, des ophtalmologistes et d'autres spécialistes, est souvent bénéfique pour les personnes atteintes de cette maladie.

Les muscles de la face, également connus sous le nom de musculature faciale, sont un groupe complexe et hautement spécialisé de muscles squelettiques qui se trouvent dans la région faciale de l'être humain. Ils jouent un rôle crucial dans les expressions faciales, la mastication, la déglutition, la mimique, la communication non verbale et d'autres fonctions importantes.

Les muscles de la face peuvent être divisés en deux catégories principales : les muscles superficiels et les muscles profonds. Les muscles superficiels sont principalement responsables des expressions faciales et de la mobilité du visage, tandis que les muscles profonds sont plus impliqués dans les fonctions de mastication et de déglutition.

Les muscles de la face comprennent des muscles tels que le frontal, l'orbicularis oculi, le nasalis, le zygomaticus major et minor, le levator labii superioris alaeque nasi, le depressor septi nasi, le levator anguli oris, le risorius, le mentalis, le buccinator, le masseter, le temporalis, et le platysma.

Chaque muscle de la face a une fonction spécifique et travaille en synergie avec les autres muscles pour permettre une variété de mouvements et d'expressions faciales. Les lésions ou les dysfonctions des muscles de la face peuvent entraîner des difficultés à manger, à parler, à exprimer des émotions et à interagir socialement.

Une intervention chirurgicale ophtalmologique est un type de procédure médicale effectuée par un médecin spécialisé dans les soins des yeux, appelé ophtalmologiste. Cette intervention vise à corriger ou à traiter divers problèmes oculaires, tels que la cataracte, le glaucome, la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA), le décollement de rétine, ou encore les troubles de la réfraction comme la myopie, l'hypermétropie, l'astigmatisme et la presbytie.

Les techniques chirurgicales employées peuvent varier en fonction de la pathologie à traiter. Parmi celles-ci, on peut citer :

1. La phacoémulsification : une méthode couramment utilisée pour enlever une cataracte, consistant à fragmenter le cristallin opacifié à l'aide d'ultrasons et à l'extraire du sac capsulaire. Un nouvel implant intraoculaire est ensuite inséré dans la cavité oculaire pour remplacer le cristallin retiré.
2. La sclérectomie profonde non perforante : une technique chirurgicale utilisée pour abaisser la pression intraoculaire dans le glaucome en créant une nouvelle voie de drainage pour l'humeur aqueuse.
3. La vitréctomie : un procédé au cours duquel le vitré, substance gélatineuse située à l'intérieur de l'œil, est retiré. Cette intervention est fréquemment pratiquée dans les cas de décollement de rétine ou d'hémorragie vitréenne.
4. La chirurgie réfractive : un ensemble de procédures visant à corriger les troubles de la réfraction, telles que le LASIK (Laser-Assisted In Situ Keratomileusis), la PRK (PhotoRefractive Keratectomy) et l'implantation de lentilles phaques.

En résumé, la chirurgie oculaire regroupe diverses interventions visant à traiter différentes affections ophtalmologiques, allant de la cataracte au glaucome en passant par les troubles de la réfraction. Les progrès technologiques et médicaux ont permis d'améliorer considérablement l'efficacité et la sécurité de ces procédures, offrant ainsi des options thérapeutiques viables pour de nombreux patients atteints de pathologies oculaires.

Streptococcus constellatus est un type de streptocoque, qui sont des bactéries gram-positives souvent à l'origine d'infections. S. constellatus fait partie du groupe Streptococcus milleri, également connu sous le nom de Streptococcus anginosus group (SAG). Ces streptocoques sont normalement présents dans la bouche, le tube digestif et les voies respiratoires supérieures d'environ 20 à 40% des adultes en bonne santé.

Cependant, S. constellatus peut parfois provoquer des infections opportunistes, surtout lorsque l'hôte est affaibli ou immunodéprimé. Ces infections peuvent affecter divers sites du corps, notamment les poumons, le cerveau, la peau, les os et les articulations, entraînant des maladies telles que l'abcès cérébral, l'endocardite infectieuse, l'arthrite septique, la méningite et la pneumonie.

S. constellatus est souvent associé à des infections mixtes, travaillant en synergie avec d'autres bactéries pour provoquer une maladie plus grave que celle causée par chaque bactérie seule. Le diagnostic de S. constellatus repose généralement sur l'isolement et l'identification de la bactérie à partir d'un échantillon clinique, suivis d'une analyse en laboratoire pour confirmer son identité.

Le traitement des infections à S. constellatus implique généralement une antibiothérapie à large spectre, souvent avec des pénicillines ou des céphalosporines. Cependant, la résistance aux antibiotiques est un problème croissant avec ce type de streptocoque, et les isolats cliniques doivent être testés pour déterminer la sensibilité aux agents antimicrobiens avant de commencer le traitement.

L'ophtalmoplégie est un terme médical qui décrit une paralysie ou une faiblesse significative des muscles oculaires. Cela peut affecter différents muscles, entraînant une variété de symptômes. Les plus courants sont la limitation du mouvement des yeux, la déviation des yeux vers le haut, le bas, l'intérieur ou l'extérieur, et dans certains cas, la double vision.

Cette condition peut être causée par une variété de facteurs, y compris des troubles neurologiques, des infections, des traumatismes, des tumeurs ou des affections systémiques telles que le diabète et la maladie de Basedow. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente. Dans certains cas, il peut s'agir d'une complication d'une autre condition médicale qui nécessite un traitement spécifique. Dans d'autres cas, le traitement peut viser à renforcer les muscles oculaires ou à corriger la double vision.

Le nerf moteur oculaire commun (NMOC) est un nerf crânien qui contrôle les mouvements des muscles oculaires responsables de la convergence et de la divergence des yeux. Les atteintes du NMOC peuvent entraîner une variété de symptômes, tels que :

* Diplopie (vision double)
* Strabisme (yeux qui ne sont pas alignés)
* Limitation des mouvements oculaires
* Ptose (affaissement de la paupière supérieure)

Les atteintes du NMOC peuvent être causées par divers facteurs, notamment des lésions nerveuses, des compressions nerveuses, des tumeurs cérébrales, des infections, des maladies auto-immunes et des traumatismes crâniens. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une chirurgie ou une thérapie de réadaptation.

Il est important de consulter un médecin si vous présentez des symptômes d'atteintes du NMOC, car une prise en charge précoce peut aider à prévenir les complications et améliorer le pronostic.

Un clignement palpébral est un mouvement rapide et réflexe des paupières qui se produit lorsque les yeux sont ouverts. Il s'agit d'un mécanisme de protection naturel qui permet de lubrifier la surface de l'œil en répartissant les larmes et en éliminant les corps étrangers ou les impuretés qui pourraient s'y être déposés.

Le clignement palpébral est déclenché par un signal nerveux envoyé depuis le nerf facial (VIIe nerf crânien) vers les muscles responsables de la fermeture des paupières, appelés muscle orbiculaire de l'œil. Ce réflexe peut être intentionnel ou involontaire et se produit en moyenne entre 15 et 20 fois par minute.

Des modifications du rythme ou de l'amplitude des clignements palpébraux peuvent être le signe d'affections oculaires, neurologiques ou psychiatriques sous-jacentes. Par exemple, une fréquence excessive de clignements peut indiquer un syndrome de sécheresse oculaire, un trouble de l'attention ou un trouble obsessionnel-compulsif, tandis qu'une diminution de la fréquence des clignements peut être associée à des maladies neurodégénératives telles que la maladie de Parkinson.

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