Des modifications de la quantité de divers produits chimiques (neurotransmetteurs, récepteurs, enzymes, et autres métabolites) spécifique à la zone du système nerveux central contenu dans la tête. Ce sont surveillés au cours du temps, pendant la stimulation, ou sous différents états de maladies.
Chimie organique méthodologie qui imite la nature de divers modulaire. Il utilise le processus de biosynthèse fiable et réactions sélectif conçu pour "Click" soit rapidement rejoindre petites unités modulaires ensemble à haut rendement, sans offensive là par hasard, en association avec CHIMIE combinatoire techniques, il est utilisé pour la synthèse de nouveaux médicaments et bibliothèques combinatoire.
La spécialité de chimie analytique appliqué sur les dosages physiologiquement important substances présentes dans le sang, urine, de tissus, et autres fluides pour la vue d'aider le médecin en à établir un diagnostic ou après le traitement.
Aiguë et chronique (voir également cerveau blessures CHRONIQUE) blessures au cerveau, y compris le cerveau en cerveau, cervelet, et le STEM. Les signes cliniques dépendre de la nature de blessure. Diffus trauma au cerveau est fréquemment associées à un coma, ou de blessure axiale DIFFUSE POST-TRAUMATIC. Localisée blessures peuvent être associées à de neurobehavioral ; hémiparésie ou autres déficits neurologiques focaux.
Tumeurs des composantes intracrânienne du système nerveux central, y compris le cerveau en ganglion basal, de l'hypothalamus, thalamus, tronc cérébral et le cervelet. Cerveau néoplasmes sont subdivisées en provenant du tissu cérébral (primaires et secondaires, métastatique) (c 'est-à-dire formes primaires sont subdivisées en tumeurs bénignes et malignes formes. En général, les tumeurs cérébrales peut également être classé par précoce, type histologique, ou présentant emplacement dans le cerveau.
L'étude de la structure, préparation, propriétés, et réactions de carbone. (Dictionnaire de McGraw-Hill Terms scientifique et technique, 6e éditeur)
Les techniques d'imagerie utilisée pour colocalize sites des fonctions cérébrales ou activité physiologique avec les structures du cerveau.
Les disciplines scientifiques concerné par l'embryologie, anatomie, la physiologie, biochimie, pharmacologie, etc., du système nerveux.
Les unités cellulaires de base de tissus nerveux. Chaque neurone est constitué d'un corps, une axone et dendrites. Leur but est de recevoir, conduite, et transmettre les impulsions électriques dans le système nerveux.
Une branche de la biologie face à la structure des organismes.
Les principaux organes information-processing du système nerveux, comprenant son cerveau, moelle épinière et les méninges.
Des neurones qui conduite sang-froid impulsions au CENTRALE le système nerveux.
Le nerf entier composée d'un appareil partie centrale, le cerveau et la moelle épinière, et une partie périphériques, les nerfs crâniens et rachidiens ganglion, autonome et Stedman, 26ème plexuses. (Éditeur)
Des neurones qui muscle activer des cellules.
Raccourci formes de mots ou phrases utilisé pour la briéveté.
Travaille contenant des informations articles sur des sujets dans chaque domaine de connaissances, généralement dans l'ordre alphabétique, ou un travail similaire limitée à un grand champ ou sujet. (De The ALA Glossaire Bibliothèque et information de Science, 1983)
Une famille de métallique electronegative, généralement, groupe 17 (anciennement groupe VIIa recombinant) du tableau périodique.
Une analyse mathématique rigoureusement d'énergie relations (chaleur, travail, de la température et équilibre). Il décrit systèmes dont les états sont déterminées par les paramètres thermique, tels que la température corporelle, en plus de mécanique et les paramètres électromagnétique. (De Hawley est tronquée Chemical Dictionary, 12e éditeur)
Un acide aminé non essentiels naturellement dans la forme L. Acide glutamique est le plus commun neurotransmetteur excitateur du CENTRALE le système nerveux.
Des objets inanimés qui deviennent fournie avec le corps.
Une propriété de la surface d'un objet qui fait que ça tient à une autre surface.

La biochimie de l'encéphale se réfère à la branche de la biochimie qui étudie les processus chimiques et biochimiques qui se produisent dans le cerveau. Il s'agit d'une sous-spécialité de la neurochimie, qui traite des aspects chimiques du système nerveux central.

La biochimie de l'encéphale implique l'étude des molécules et des processus biochimiques dans le cerveau, y compris les neurotransmetteurs, les enzymes, les protéines, les lipides, les glucides et d'autres composés chimiques. Ces études peuvent être menées à la fois in vivo (dans des organismes vivants) et in vitro (dans des systèmes de laboratoire).

Les recherches en biochimie de l'encéphale ont des applications importantes dans la compréhension des maladies neurologiques et psychiatriques, telles que la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson, la dépression et l'anxiété. En étudiant les changements biochimiques qui se produisent dans ces conditions, les scientifiques peuvent développer de nouveaux traitements et thérapies pour améliorer la santé du cerveau et du système nerveux central.

La "click chemistry" est une approche en chimie bioorthogonale qui décrit des réactions stœchiométriques hautement efficaces, sélectives et insensibles aux conditions expérimentales. Ces réactions se définissent par leur modularité, leur stéréospecificité, leurs faibles coûts et leur absence de sous-produits toxiques ou réactifs. Elles sont donc idéales pour une utilisation dans un contexte biologique.

La réaction la plus couramment utilisée en click chemistry est la cycloaddition entre l'azide et l'alcyne, catalysée par le cuivre (CuAAC), qui forme un triazole stable. Cette méthode permet de facilement et spécifiquement étiqueter des biomolécules telles que les protéines, les acides nucléiques ou les lipides, avec des marqueurs fluorescents, des groupements bioactifs ou des agents de détection.

La click chemistry a trouvé de nombreuses applications en recherche biomédicale, notamment dans le développement de nouveaux outils pour l'étude de la biologie cellulaire et moléculaire, la découverte de médicaments, l'ingénierie des protéines et des polymères, ainsi que dans le diagnostic et le traitement des maladies.

La chimie clinique, également connue sous le nom de chimie diagnostique ou de biochimie clinique, est une spécialité de la médecine de laboratoire qui concerne l'analyse des échantillons biologiques (sang, urine, tissus, etc.) pour détecter et mesurer diverses substances chimiques dans le corps. Ces analyses sont utilisées pour aider au diagnostic, à la gestion et au traitement des maladies, ainsi qu'au suivi de l'état de santé général d'un patient.

Les tests couramment effectués en chimie clinique comprennent les analyses de glucose, de cholestérol, d'urée, de créatinine, d'électrolytes, d'hormones, de drogues et de marqueurs tumoraux. Les résultats de ces tests peuvent fournir des informations importantes sur le fonctionnement des organes internes, tels que le foie, les reins, le pancréas et le cœur, ainsi que sur d'autres systèmes corporels.

Les professionnels de la chimie clinique comprennent des biochimistes médicaux, des technologistes de laboratoire médical et des techniciens de laboratoire médical qui travaillent ensemble pour fournir des services de test précis et fiables. Ils doivent suivre des procédures standardisées et des protocoles rigoureux pour garantir l'exactitude et la fiabilité des résultats des tests, ainsi que pour protéger la sécurité des patients.

En bref, la chimie clinique est une discipline essentielle de la médecine de laboratoire qui joue un rôle crucial dans le diagnostic, la gestion et le traitement des maladies, ainsi que dans le suivi de l'état de santé général des patients.

Les traumatismes de l'encéphale, également connus sous le nom de traumatismes crâniens, sont des dommages physiques au cerveau résultant d'un choc ou d'une blessure à la tête. Ces traumatismes peuvent être causés par une variété de facteurs, tels que des accidents de voiture, des chutes, des agressions physiques ou des sports de contact.

Les traumatismes de l'encéphale peuvent être classés en deux catégories principales : les traumatismes fermés et les traumatismes pénétrants. Les traumatismes fermés se produisent lorsqu'il n'y a pas de pénétration de l'objet dans le crâne, mais que la tête subit un impact violent qui fait bouger le cerveau à l'intérieur du crâne. Les traumatismes pénétrants, en revanche, se produisent lorsqu'un objet pénètre dans le crâne et endommage directement le tissu cérébral.

Les symptômes des traumatismes de l'encéphale peuvent varier considérablement en fonction de la gravité de la blessure. Les symptômes légers peuvent inclure des maux de tête, des étourdissements, une vision floue ou double, des nausées et des vomissements, ainsi que des difficultés de concentration ou de mémoire. Les traumatismes plus graves peuvent entraîner des convulsions, une perte de conscience, une paralysie, des problèmes de langage ou de communication, ainsi que des troubles émotionnels et comportementaux.

Le traitement des traumatismes de l'encéphale dépend de la gravité de la blessure. Les traumatismes légers peuvent être traités avec du repos, des analgésiques et une surveillance médicale. Les traumatismes plus graves peuvent nécessiter une intervention chirurgicale pour réparer les dommages au cerveau ou à la moelle épinière, ainsi qu'une réadaptation pour aider les patients à retrouver leurs fonctions normales. Dans les cas les plus graves, les traumatismes de l'encéphale peuvent entraîner des handicaps permanents ou même la mort.

Les tumeurs cérébrales sont des croissances anormales de cellules à l'intérieur ou autour du cerveau. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs cérébrales bénignes ont tendance à se développer plus lentement et sont moins susceptibles de se propager hors du cerveau. Cependant, elles peuvent encore être dangereuses si elles pressent sur des parties vitales du cerveau. Les tumeurs cérébrales malignes se développent rapidement, ont tendance à envahir les tissus cérébraux voisins et peuvent se propager à d'autres parties du corps.

Les symptômes des tumeurs cérébrales dépendent de leur taille, de leur emplacement et de la vitesse à laquelle elles se développent. Ils peuvent inclure des maux de tête sévères et persistants, des nausées ou des vomissements, une vision floue ou double, des problèmes d'équilibre ou de coordination, des changements de personnalité ou de comportement, des convulsions, des problèmes de mémoire ou de concentration, et dans certains cas, une faiblesse ou un engourdissement d'un côté du corps.

Le traitement dépend du type, de la taille et de l'emplacement de la tumeur, de son caractère bénin ou malin, de l'âge et de l'état général du patient. Il peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, une chimiothérapie pour tuer les cellules cancéreuses, ou une thérapie ciblée qui utilise des médicaments pour cibler spécifiquement les changements dans les cellules cancéreuses.

La chimie bio-minérale est une branche spécialisée de la science qui étudie les processus chimiques et biologiques impliqués dans la formation, la croissance, et l'interaction des structures minérales dans les organismes vivants. Elle se concentre sur la manière dont les êtres vivants utilisent et régulent les minéraux pour assurer leur survie et leur développement.

Les processus bio-minéraux sont essentiels à de nombreuses fonctions vitales, telles que la construction des os et des dents, le maintien de l'équilibre électrolytique, la régulation du pH sanguin, et la transmission des impulsions nerveuses. Les minéraux les plus couramment étudiés dans ce contexte comprennent le calcium, le phosphore, le magnésium, le sodium, le potassium, et le fluorure.

La chimie bio-minérale est une discipline interdisciplinaire qui combine des concepts et des techniques provenant de la chimie, de la physique, de la biologie, et de la médecine pour comprendre les processus complexes qui sous-tendent la vie. Elle a des applications importantes dans divers domaines, tels que la médecine, la dentisterie, l'ingénierie tissulaire, et la nanotechnologie.

En résumé, la chimie bio-minérale est une discipline scientifique qui étudie les processus chimiques et biologiques impliqués dans la formation, la croissance, et l'interaction des structures minérales dans les organismes vivants, avec des applications importantes dans divers domaines de la médecine et de la biologie.

La cartographie cérébrale est une technique d'investigation utilisée en neurosciences pour représenter les fonctions cognitives, sensorielles et motrices spécifiques à différentes régions du cerveau. Elle permet de comprendre la relation entre l'anatomie cérébrale et la fonction cognitive. Cette méthode est particulièrement utile dans le domaine de la neurologie et de la neurochirurgie pour planifier des interventions chirurgicales délicates, comme l'ablation de tumeurs cérébrales ou l'implantation d'électrodes pour le traitement de l'épilepsie.

Les techniques de cartographie cérébrale incluent l'enregistrement des potentiels évoqués, la stimulation magnétique transcrânienne (TMS), la stimulation électrique transcrânienne (TES) et l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf). Chacune de ces méthodes a ses avantages et inconvénients, mais elles visent toutes à fournir une image détaillée des zones cérébrales actives pendant l'exécution de diverses tâches mentales ou physiques.

En résumé, la cartographie cérébrale est une approche essentielle pour comprendre le fonctionnement du cerveau et aider au diagnostic et au traitement des troubles neurologiques.

Les neurosciences sont une discipline interdisciplinaire des sciences cognitives qui étudie le système nerveux, son anatomie, sa physiologie et ses pathologies, ainsi que les comportements et processus mentaux associés. Elle combine des approches de différentes disciplines telles que la biologie, la chimie, la physique, la mathématiques, l'informatique, l'ingénierie, la linguistique, la philosophie et la psychologie pour comprendre le fonctionnement du cerveau et du système nerveux.

Les neurosciences peuvent être divisées en plusieurs sous-disciplines, notamment les neurosciences moléculaires et cellulaires, qui étudient les processus biochimiques et électriques au niveau des neurones et des synapses ; les neurosciences cognitives, qui examinent les mécanismes cérébraux sous-jacents aux processus mentaux tels que la perception, l'attention, la mémoire, le langage et la prise de décision ; et les neurosciences computationnelles, qui utilisent des modèles mathématiques et informatiques pour comprendre comment le cerveau traite et encode l'information.

Les neurosciences ont des applications dans de nombreux domaines, notamment la médecine, l'éducation, l'ingénierie, la robotique et l'intelligence artificielle. Elles offrent également des perspectives uniques sur les questions philosophiques fondamentales concernant la nature de la conscience, de l'esprit et de l'identité personnelle.

Les neurones, également connus sous le nom de cellules nerveuses, sont les unités fonctionnelles fondamentales du système nerveux. Ils sont responsables de la réception, du traitement, de la transmission et de la transduction des informations dans le cerveau et d'autres parties du corps. Les neurones se composent de trois parties principales : le dendrite, le corps cellulaire (ou soma) et l'axone.

1. Les dendrites sont des prolongements ramifiés qui reçoivent les signaux entrants d'autres neurones ou cellules sensoriques.
2. Le corps cellulaire contient le noyau de la cellule, où se trouvent l'ADN et les principales fonctions métaboliques du neurone.
3. L'axone est un prolongement unique qui peut atteindre une longueur considérable et transmet des signaux électriques (potentiels d'action) vers d'autres neurones ou cellules effectrices, telles que les muscles ou les glandes.

Les synapses sont les sites de communication entre les neurones, où l'axone d'un neurone se connecte aux dendrites ou au corps cellulaire d'un autre neurone. Les neurotransmetteurs sont des molécules chimiques libérées par les neurones pour transmettre des signaux à travers la synapse vers d'autres neurones.

Les neurones peuvent être classés en différents types en fonction de leur morphologie, de leurs propriétés électriques et de leur rôle dans le système nerveux. Par exemple :

- Les neurones sensoriels capturent et transmettent des informations sensorielles provenant de l'environnement externe ou interne vers le cerveau.
- Les neurones moteurs transmettent les signaux du cerveau vers les muscles ou les glandes pour provoquer une réponse motrice ou hormonale.
- Les interneurones sont des neurones locaux qui assurent la communication et l'intégration entre les neurones sensoriels et moteurs dans le système nerveux central.

Anatomie est une branche importante de la médecine et des sciences biologiques qui traite de la structure et la composition des organes et des systèmes corporels d'un être vivant. Elle décrit les différentes parties du corps, leur forme, leur taille, leur position relative, et leur relation avec les autres structures environnantes.

L'anatomie est traditionnellement divisée en deux sous-disciplines: l'anatomie macroscopique (ou grossière) et l'anatomie microscopique (ou histologie). L'anatomie macroscopique étudie les structures du corps qui peuvent être vues à l'œil nu, telles que les os, les muscles, les organes et les cavités corporelles. L'anatomie microscopique, en revanche, examine les tissus et les cellules du corps à l'aide d'un microscope.

L'anatomie est généralement étudiée en utilisant des cadavres humains ou animaux, mais des techniques d'imagerie médicale telles que la tomodensitométrie (TDM) et l'imagerie par résonance magnétique (IRM) sont également utilisées pour visualiser les structures internes du corps.

L'anatomie est essentielle pour comprendre le fonctionnement normal et pathologique du corps humain, ce qui permet aux professionnels de la santé de poser des diagnostics précis et de planifier des traitements appropriés pour leurs patients.

Le système nerveux central (SNC) est une structure cruciale du système nerveux dans le corps humain. Il se compose du cerveau et de la moelle épinière, qui sont protégés par des os : le crâne pour le cerveau et les vertèbres pour la moelle épinière.

Le cerveau est responsable de la pensée, des émotions, de la mémoire, du langage, du contrôle moteur et de nombreuses autres fonctions essentielles. Il est divisé en plusieurs parties, chacune ayant ses propres rôles et responsabilités : le cortex cérébral (qui joue un rôle majeur dans la pensée consciente, la perception sensorielle, la mémoire et le contrôle moteur), le thalamus (qui sert de relais pour les informations sensorielles avant qu'elles n'atteignent le cortex cérébral), l'hypothalamus (qui régule les fonctions autonomes telles que la température corporelle, la faim et la soif) et le cervelet (qui contribue au contrôle des mouvements).

La moelle épinière, quant à elle, sert de voie de communication entre le cerveau et le reste du corps. Elle transmet les signaux nerveux du cerveau vers les différentes parties du corps et reçoit également des informations sensorielles en retour. La moelle épinière est responsable des réflexes simples, tels que retirer rapidement sa main d'une source de chaleur intense, sans nécessiter l'intervention du cerveau.

Le système nerveux central travaille en étroite collaboration avec le système nerveux périphérique (SNP), qui comprend les nerfs et les ganglions situés en dehors du cerveau et de la moelle épinière. Ensemble, ces deux systèmes permettent la communication entre le cerveau et le reste du corps, assurant ainsi des fonctions vitales telles que la sensation, le mouvement, la régulation des organes internes et la réponse aux menaces extérieures.

Les neurones afférents, également connus sous le nom de neurones sensoriels ou neurones sensorielles, sont une catégorie de neurones qui transmettent des informations en provenance de l'environnement extérieur ou des organes internes vers le système nerveux central. Ils constituent la première partie du chemin sensoriel et sont responsables de la détection et de la transduction des stimuli physiques, chimiques ou mécaniques en impulsions électriques, appelées potentiels d'action.

Ces neurones afférents ont leurs cellules situées dans les organes sensoriels tels que la rétine pour la vision, la cochlée pour l'audition, ou encore dans la peau pour le toucher. Les axones de ces neurones se regroupent ensuite en nerfs crâniens ou spinaux pour transmettre les informations au cerveau ou à la moelle épinière.

En résumé, les neurones afférents sont des neurones sensoriels qui détectent et transmettent des stimuli vers le système nerveux central, permettant ainsi la perception consciente de notre environnement et de notre état interne.

Le système nerveux est un complexe réseau de structures et de fonctions dans le corps qui sont responsables de la perception sensorielle, du traitement de l'information, du contrôle moteur, de la régulation des viscères et de la coordination générale de toutes les activités corporelles. Il se compose du système nerveux central (SNC), qui comprend le cerveau et la moelle épinière, et du système nerveux périphérique (SNP), qui comprend les nerfs crâniens, les nerfs spinaux et les ganglions nerveux.

Le SNC est responsable de l'intégration des informations sensorielles, de la formation de réponses motrices et de la régulation des fonctions autonomes telles que la respiration, la digestion et la circulation sanguine. Le SNP transmet les informations entre le SNC et le reste du corps en transportant les impulsions nerveuses sous forme d'influx électriques le long des fibres nerveuses.

Le système nerveux peut être further divisé en deux sous-systèmes : le système nerveux somatique, qui contrôle les mouvements volontaires et la sensation cutanée, et le système nerveux autonome, qui régule les fonctions involontaires telles que la fréquence cardiaque, la pression artérielle et la température corporelle.

Le système nerveux est essentiel à la survie et au fonctionnement normal de l'organisme, et toute altération de sa structure ou de sa fonction peut entraîner des troubles neurologiques graves.

Les motoneurones sont des neurones situés dans la moelle épinière et le tronc cérébral qui ont pour rôle de transmettre les impulsions nerveuses aux muscles squelettiques, ce qui entraîne leur contraction et permet ainsi la mobilité volontaire. Ils constituent la dernière étape du système nerveux moteur avant la jonction neuromusculaire. Les motoneurones ont un corps cellulaire généralement large et des dendrites nombreuses qui reçoivent des informations en provenance de diverses sources, dont les neurones sensoriels, les interneurones et les neurones supra-spinaux. Leurs axones sont longs et myélinisés, ce qui leur permet de transmettre rapidement et efficacement les influx nerveux jusqu'aux plaques motrices des muscles squelettiques, où ils libèrent des neurotransmetteurs tels que l'acétylcholine pour déclencher la contraction musculaire. Les maladies ou les lésions affectant les motoneurones peuvent entraîner une paralysie, une faiblesse musculaire ou d'autres troubles moteurs.

Les abréviations sont largement utilisées dans le domaine médical comme raccourci pour représenter des termes, des phrases ou des concepts médicaux spécifiques. Cependant, l'utilisation d'abréviations peut parfois entraîner une mauvaise communication et des erreurs de soins de santé en raison de leur interprétation incorrecte ou ambiguë.

Par exemple, certaines abréviations peuvent avoir différentes significations dans différents contextes médicaux ou peuvent être confondues avec d'autres abréviations similaires. De plus, les professionnels de la santé peuvent utiliser des abréviations qui ne sont pas familières aux autres membres de l'équipe de soins ou aux patients, ce qui peut entraîner une mauvaise compréhension et des erreurs dans les soins.

Pour éviter ces problèmes, il est important d'utiliser des abréviations standardisées et largement acceptées dans le domaine médical. De plus, il est recommandé de clarifier toute abréviation inconnue ou ambiguë lors de la communication avec les membres de l'équipe de soins ou avec les patients.

Il existe des listes d'abréviations médicales standardisées et largement acceptées, telles que celles publiées par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ou l'Institut national de la santé américain (NIH). Il est important de se familiariser avec ces listes et de les utiliser pour améliorer la communication et prévenir les erreurs dans les soins de santé.

Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.

Dans le contexte de la chimie et de la médecine, les halogènes sont une classe spécifique d'éléments chimiques du groupe 17 (anciennement appelé VIIA) du tableau périodique. Ce groupe comprend cinq éléments : fluor, chlore, brome, iode et astate. Ces éléments sont caractérisés par leur sept électrons de valence, ce qui les rend hautement réactifs et capables de former des composés avec la plupart des autres éléments.

Dans un contexte médical, certains halogènes comme le chlore et l'iode ont des applications importantes. Le chlore est largement utilisé dans la désinfection de l'eau potable et des surfaces pour éliminer les micro-organismes pathogènes. L'iode, quant à lui, est un élément essentiel au fonctionnement normal de la glande thyroïde et est souvent prescrit sous forme de suppléments ou utilisé dans le traitement des blessures pour prévenir les infections.

Cependant, une exposition excessive à certains halogènes peut être nocive pour la santé humaine. Par exemple, l'exposition au chlore gazeux peut irriter les yeux, le nez et les poumons, tandis que l'exposition à des niveaux élevés d'iode peut perturber la fonction thyroïdienne. Il est donc important de manipuler ces éléments avec soin et de suivre les directives de sécurité appropriées lors de leur utilisation.

La thermodynamique est une branche de la physique qui traite des relations entre la chaleur et d'autres formes d'énergie telles que le travail. Elle étudie les conversions de l'énergie et les flux de chaleur sous différentes conditions, dans le but de comprendre quelles transformations peuvent se produire et à quel point elles sont réversibles ou irréversibles.

Dans un contexte médical et biologique, la thermodynamique est importante pour comprendre les processus métaboliques au niveau cellulaire, tels que la façon dont l'énergie chimique est stockée et libérée dans les molécules telles que l'ATP. Elle est également utilisée pour étudier les propriétés thermiques des systèmes vivants, tels que la température corporelle et le métabolisme, ainsi que pour développer et optimiser les technologies médicales telles que les pompes à insuline et les respirateurs.

La thermodynamique est régie par quatre lois fondamentales qui décrivent comment l'énergie se déplace et se transforme dans un système. Ces lois sont largement appliquées dans divers domaines de la médecine et de la biologie pour comprendre les processus physiologiques et développer des thérapies efficaces.

L'acide glutamique est un acide aminé non essentiel, ce qui signifie qu'il peut être synthétisé par l'organisme humain à partir d'autres substances. C'est l'un des acides aminés les plus abondants dans le cerveau et il joue un rôle crucial dans la transmission des signaux nerveux.

L'acide glutamique est également un neurotransmetteur excitateur important dans le système nerveux central. Il est impliqué dans de nombreuses fonctions cérébrales, y compris l'apprentissage, la mémoire et l'excitation sexuelle. Des niveaux anormalement élevés d'acide glutamique peuvent être toxiques pour les cellules nerveuses et ont été associés à des maladies neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer et la sclérose en plaques.

En plus de ses fonctions cérébrales, l'acide glutamique est également utilisé comme source de carbone et d'azote dans la biosynthèse d'autres acides aminés et molécules organiques. Il peut être trouvé en grande quantité dans les aliments riches en protéines, tels que la viande, le poisson, les produits laitiers, les œufs, les haricots et les noix.

L'adhésivité est un terme utilisé dans le domaine médical pour décrire la capacité d'un matériau ou d'une substance à adhérer ou à coller à une autre surface. Ce concept est particulièrement important en médecine et dans les soins de santé, où les dispositifs médicaux et les pansements peuvent nécessiter des propriétés adhésives pour rester en place sur la peau ou d'autres tissus corporels.

Les matériaux adhésifs sont souvent utilisés dans les applications médicales pour diverses raisons, telles que :

1. Maintenir un pansement en place sur une plaie pour protéger la zone contre les infections et favoriser la guérison.
2. Fixer des dispositifs médicaux tels que des capteurs de surveillance ou des électrodes à la peau pour assurer une connexion fiable et précise.
3. Coller des matériaux biocompatibles aux tissus corporels pendant les procédures chirurgicales pour aider à réparer ou à remplacer des structures endommagées.

L'adhésivité d'un matériau dépend de plusieurs facteurs, notamment sa composition chimique, sa viscosité, sa surface et l'environnement dans lequel il est utilisé. Des recherches sont en cours pour développer des matériaux adhésifs améliorés qui offrent une meilleure adhésion, une biocompatibilité accrue et une plus grande sécurité pour les applications médicales.

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