Soixante-quatre audiologistes ont retourné le
questionnaire. Dans trois des scénarios, la majorité des répondants (> 93%) ont indiqué quils recommanderaient lamplification. Néanmoins, les réponses obtenues pour les trois autres scénarios variaient. De 15,6 % à 64,5 % des répondants ne recommanderaient pas lamplification. Les décisions nétaient pas reliées à lexpérience (< 10 versus > 10 ans). Toutefois, les audiologistes ayant un plus grand pourcentage denfants dans leur clientèle (< 50% versus > 50%) étaient moins susceptibles de recommander une amplification dans deux des scénarios (
perte auditive unilatérale légère, p = 0,032 ; perte auditive bilatérale dans les hautes fréquences, p = 0,013). Les audiologistes travaillant dans un centre hospitalier ou dans des agences publiques étaient moins susceptibles de fournir une amplification dans deux des scénarios (perte auditive bilatérale légère dans les hautes fréquences, p = 0,047 ; perte auditive bilatérale ...