Ce fut bel et bien la seule femme à sexprimer : Ludivine Griveau, régisseuse des
Hospices de Beaune, est parfaitement parvenue à vendre le millésime 2017, celui, sans être élitiste, dune Bourgogne focalisée sur lexcellence. Pour résumer la campagne, elle avouait avoir dû prendre des « décisions difficiles : ébourgeonnage sévère, moins de vendange en vert… » avec, à la clé, « parfois de mauvaises nuits ».. Elle reconnaissait toutefois humblement quen « ses périodes dinsuffisance », après plusieurs petites récoltes, « son curseur » technico-économique nétait « pas le même » que les traditionnelles Maisons et Domaines bourguignons. Les vins des
Hospices se doivent en effet de refléter « lexception » « pour que les donateurs en aient pour leur argent », lequel est destiné à une « bonne cause » caritative. Une façon de dire que les marges de manœuvre nont ici rien à voir avec la réalité de bien des Domaines.. Ainsi, pour le domaine des
Hospices, ...