Le type espèces de MORBILLIVIRUS et la cause de la maladie humaine MEASLES hautement infectieuse, qui affecte surtout des enfants.
Un virus contagieux maladies infectieuses provoquées par MORBILLIVIRUS, fréquent chez les enfants mais également été observées dans les nonimmune de tous âges, dans lequel le virus pénètre dans les voies respiratoires via gouttelette noyaux et se multiplie dans les cellules épithéliales, gagne tout le système des phagocytes mononucléés.
Un vaccin à virus vivant atténué d'origine d'embryons, utilisé pour la vaccination de routine pour la vaccination des enfants et adolescents et les adultes n'ayant pas reçu la rougeole ou vaccinés avec le vaccin vivant rougeoleux et n'ont aucun anticorps sériques contre la rougeole, les enfants sont immunisés habituellement avec le vaccin combiné de Dorland, 28. (Éditeur)
Un récepteur qui se lie ubiquitously exprimés complément C3B COMPLEMENT et COMPLEMENT C4B et sert comme un cofacteur du facteur IX leur inactivation. CD46 également interagit avec une grande variété de bactéries et provoque une réponse immunitaire.
Un rare encéphalite chronique lente progression de l ’ infection par le virus MEASLES. La situation se produit principalement chez les enfants et jeunes adultes, environ 2 à 8 ans après l'infection initiale. Un déclin graduel de capacités intellectuelles et comportementales sont suivis par une altération progressive de la spasticité crises myoclonies ; ; ; ; démence végétatifs ; et une ataxie. La mort survient habituellement de 1 à 3 ans après l ’ apparition de la maladie. Caractéristiques pathologique, menottez périvasculaire inclure éosinophile intranucléaire cytoplasmique, neurophagia et fibreux gliosis. C'est provoqué par la PESS virus, qui est défectueux. (Variante du virus MEASLES d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème pp767-8)
Hemaglutinine spécifique sous-types encodé par des virus.
Une cellule LIGNE déduits du rein de L'African vervet vert (singe), (CERCOPITHECUS Aethiops) utilisé principalement dans la réplication virale études et plaque dosages.
Composants moléculaires spécifique de la cellule capable de reconnaissance et l'interaction avec un virus, et qui, après le lier, sont capables de générer un signal que déclenche la chaîne d'événements pour aboutir à la réponse biologique.
Un genre de la famille paramyxoviridae (D) where the PARAMYXOVIRINAE virions de la plupart des membres ont Hemaglutinine. Neuraminidase mais pas tous les membres produisent les deux et cytoplasmique inclusion inclusion corps. La rougeole VIRUS est le genre espèce.
Le processus de multiplication, virale intracellulaire composée de la synthèse des PROTEINS ; ACIDS nucléique, tantôt lipides, et leur assemblage dans une nouvelle particule infectieuses.
Une espèce de CERCOPITHECUS contenant 3 variétés : C. Tantale, C. pygerythrus, et C. sabeus. Elles sont retrouvées dans les forêts et savane d'Afrique. L'Africain Singe Vert (C. pygerythrus) est le virus de l ’ immunodéficience humaine de simien hôte naturel et est utilisé dans la recherche sida.
Les immunoglobulines produits en réponse au VIRAL antigènes.
Virus dont le matériel génétique est l'ARN.
Protéines, habituellement glycoprotéines, trouvé dans les virus enveloppes de différents types de virus. Elles favorisent membrane cellulaire fusion et peut donc fonctionner dans le transport du virus par les cellules.
Un vaccin combiné utilisé pour prévenir MEASLES ; MUMPS ; et la rubéole.
Le type espèces de ORTHOPOXVIRUS, liées au virus Cowpox, mais dont l'origine est inconnue. Ça a été utilisé comme vaccin vivant contre la variole. Il est également utilisé comme un vecteur pour insérer un ADN étranger en animaux. Rabbitpox virus est une sous-espèce de VACCINIA VIRUS.
Protéines associées au n'importe quelle espèce de virus.
Processus de pousser les virus des animaux vivants, les plantes ou culture cellulaire.
Une espèce de MORBILLIVIRUS causant électricité dans les chiens, des loups, des renards, les ratons laveurs, et des furets. Pinnipeds sont aussi connues pour contrat Canine virus Distemper du contact avec les chiens.
Protéines conjuguée à des acides nucléiques.
Le type espèces de RUBULAVIRUS qui provoque une maladie infectieuse aigüe chez l'homme, affectant principalement des enfants. Transmission survient par aérosol.
L'acide ribonucléique qui fait le matériel génétique des virus.
L'expulsion de particules du virus de l ’ organisme. Important des routes inclue les voies respiratoires, l ’ appareil génital virus intestinal. Et permet de verser la transmission materno-fœ tale (maladies infectieuses, TRANSMISSION VERTICAL).
Substances formulées par les virus activité antigénique.
Les virus qui manque un génome complet, elle ne pourra pas complètement reproduire ou ne peuvent former une couche de protéine. Certains sont host-dependent déséquilibré, sens peuvent se répliquées seulement dans les systèmes cellulaires de la fonction génétique qui fournissent les particulier qui leur manque, d'autres, appelé virus bâti, sont capables de reproduire seulement quand leur défaut génétique est complétée par un assistant virus.
Un terme général pour des maladies produite par des virus.
Soudaine augmentation de l ’ incidence d ’ une maladie. Le concept inclut épidémies et épidémiques.
Établi des cultures de cellules qui ont le potentiel de propager indéfiniment.
Des modifications morphologiques visibles dans les cellules infectées de virus, l'arrêt de l'ARN et de la synthèse protéique cellulaire, cellule enzymes lysosomales, libération de fusion, des modifications de la perméabilité de la membrane cellulaire, diffuser des changements de structures intracellulaire, la présence de l ’ inclusion des cadavres, des aberrations chromosomiques. Elle exclut cancer, qui est le téléphone portable de transformation, VIRAL. Viral cytopathogenic indésirables servent de mode pour identifier et classer la bactérie, virus.
L'assemblée des STRUCTURELLES VIRAL PROTEINS et de l'acide nucléique VIRAL (VIRAL ADN et ARN) pour former une VIRUS PARTICLE.
L ’ administration de vaccins pour stimuler l'hôte est réponse immunitaire. Y compris tout préparation destiné à être active prophylaxie immunologique.
Tumor-selective compétentes, la réplication des virus qui ont effets antinéoplasiques. C'est atteint en produisant des protéines cytotoxicity-enhancing et / ou recevoir une réponse immunitaire Antitumor. Ils sont génétiquement modifiés pour qu'ils puissent se répliquer chez le cancer des cellules mais pas dans les cellules normales, et sont utilisées dans ONCOLYTIC Oncolytique.
Une espèce de macaque polyomavirus initialement isolé des tissus rénaux enflés, elle produit humaines et des cultures de cellules de rein de hamster nouveau-né.
The functional héréditaire unités de virus.
Utilisation des agents antinéoplasiques virus atténué comme le cancer à tuer de façon sélective les cellules.
Virus parasites sur les plantes supérieures à bactéries.
Mode pour mesurer infectivity virale et multiplication des cellules CULTURED. Clair lysée zones ou les plaques se développer comme des gâteaux VIRAL sont libérés par les cellules infectées pendant la période d'incubation. Avec des virus, les cellules sont tués par un effet cytopathic ; avec les autres, les cellules infectées ne sont pas tués mais peut être détecté par leur capacité hemadsorptive. Parfois la plaque cellules contiennent des antigènes VIRAL qui peut être mesurée par IMMUNOFLUORESCENCE.
Virus dont les acides nucléiques est ADN.
Un phénomène se manifestant par un agent ou de la substance adhérant à ou être adsorbé à la surface du globule rouge, comme tuberculine peut s'adsorber sur les globules sous certaines conditions, 25e Stedman. (Éditeur)
Protéines virales trouve que dans la NUCLEOCAPSID ou le noyau virale (VIRAL CORE PROTEINS).
La mesure des titre infection-blocking antisera par une série de tests effectuées les dilutions virus-antiserum critère d ’ interaction, ce qui est généralement la dilution auquel porteuses de cultures de tissu serum-virus mélangées démontrer la cytopathologie (CPE) ou la dilution à laquelle 50 % d'animaux injecté serum-virus mélangées spectacle infectivity (ID50) ou mourir (DL50).
Acide aminé, spécifique des descriptions de glucides, ou les séquences nucléotides apparues dans la littérature et / ou se déposent dans et maintenu par bases de données tels que la banque de gènes GenBank, européen (EMBL laboratoire de biologie moléculaire), la Fondation de Recherche Biomedical (NBRF) ou une autre séquence référentiels.
Le type espèces de ALPHAVIRUS normalement transmis à oiseaux par Culex moustiques en Égypte, Afrique du Sud, en Inde, Malaisie, les Philippines et l'Australie. Il peut être associée à une fièvre chez les humains. Des sérotypes (différentes par moins de 17 % en séquence nucléotidique) comprennent Babanki, Kyzylagach et Ockelbo virus.
Une maladie infectieuse aigüe, causée par RUBULAVIRUS transmissible par contact direct, décollage gouttelette infectieuses noyaux, fomites contaminé par la salive, et peut-être urines et habituellement observées chez des enfants de moins de 15 ans, bien que les adultes peuvent également être affectés. De Dorland, 28 (éditeur)
Un sous-ordre de primates constitué de six familles : CEBIDAE (du Nouveau Monde le singe), ATELIDAE (du Nouveau Monde le singe), Cercopithecidae (Ancien Monde le singe), (HYLOBATIDAE gibbons siamangs CALLITRICHINAE (), et le marmouset et tamarins) et (Hominidé des humains et des grands singes).
Un sous-groupe de INFLUENZA Arrétez protéines 1 avec la surface d ’ hémagglutinine et neuraminidase 1. Le H1N1 sous-type était responsable de la pandémie de grippe espagnole de 1918.
La liaison de particules du virus aux récepteurs sur la surface de la cellule hôte. Contre les virus enveloppés, le virion ligand est généralement une glycoprotéine de surface comme pour les récepteurs cellulaires. Pour virus non enveloppés, le virus capside sert le ligand.
Antigènes différenciation cellulaire de mammifère, demeurant au bord de leucocytes. CD représente amas de différenciation qui se rapporte aux groupes d ’ éventuelles réactions similaires anticorps monoclonaux cette émission avec certains sous-populations d'antigènes d'une lignée ou la différenciation des sous-populations de diligence antigènes sont aussi connue sous le même CD désignation.
Le type espèces de lyssavirus causant la rage dans les humains et autres animaux. Transmission est surtout par morsures d'animaux par la salive. Le virus se multiplie dans neurotrope myotubes neurones et des vertébrés.
Un sous-groupe de INFLUENZA un virus qui compose de la surface 5 protéines d ’ hémagglutinine et neuraminidase 1. Le sous-type H5N1, mais la grippe aviaire virus, est endémique dans les oiseaux sauvages et très contagieuse parmi domestiques (POULTRY) et les oiseaux sauvages. Ça ne présente habituellement pas d'infecter les humains, mais certains cas ont été rapportés.
Vaccins vivants préparé de micro-organismes qui ont subi une adaptation physique (par exemple, par des radiations ou température conditionné) ou de passages en série hôtes animal de laboratoire ou infectés / cultures cellulaires, afin de produire avirulent souches mutantes capable d'induire une immunité protectrice.
Masses lors produite par la fusion des de nombreuses cellules ; souvent associée à des infections virales. Dans le SIDA. Ils induites quand l'enveloppe du virus VIH se lie à l'antigène de CD4 cellules T4 avoisinantes non infectés. Le résultat syncytium mène à la mort des cellules et participe au cytopathic effets du virus.
Vaccins utilisés pour prévenir l ’ infection par MUMPS VIRUS. Plus connu est le vaccin à virus vivant atténué d'origine d'embryons, utilisé pour la vaccination de routine pour la vaccination des enfants et adolescents et les adultes n'ayant pas reçu les oreillons ou été vaccinées avec le vaccin vivant des oreillons, les enfants sont immunisés habituellement avec le vaccin combiné.
Un groupe de virus dans le genre de maladies respiratoires PNEUMOVIRUS des infections dans diverses mammifères, les humains et les bovins sont plus touchés mais les infections en chèvres et moutons ont également été rapportés.
Une sous-famille de la famille MURIDAE compose de 69 genera. Nouveau Monde la souris et rats sont mentionnées dans cette sous-famille.
Le type espèces de manière symptomatique VESICULOVIRUS causant une maladie similaire à ces desagreables maladies chez les bovins, chevaux, et les porcs. Ça pourrait être transmis aux autres espèces y compris les humains, elle y provoque symptômes pseudo-grippaux.
Services organisé pour administrer immunisation procédures dans la prévention des maladies différentes. Les programmes sont transmises sur une large gamme de sites : Écoles, hôpitaux, les agences de santé publique, les agences de santé volontaire, etc. Ils sont administrés à une population aussi large éventail de groupes ou à plusieurs niveaux : Communauté administratives, municipal, état, national, international.
’ agglutination des globules rouges par un virus.
Dans la famille MURIDAE une sous-famille, comprenant les hamsters. Quatre types les plus communes sont cricetus, CRICETULUS ; MESOCRICETUS ; et PHODOPUS.
Une maladie infectieuse aigüe, causée par la rubéole le virus pénètre dans les voies respiratoires via aéroportée goutte et se propage dans le système lymphatique.
Une espèce de MORBILLIVIRUS bétail épidémie, une maladie causant avec mortalité élevée. Moutons, chèvres, des porcs et autres animaux de l'ordre Artiodactyla peut également être infecté.
Fusion de cellules somatiques in vitro ou in vivo, ce qui entraîne l'hybridation de cellules somatiques.
Le capuchon extérieur de protéine coquille d'un virus qui protège l'acide nucléique viral.
Un sous-groupe de INFLUENZA un virus qui compose de la surface protéines 3 d ’ hémagglutinine et neuraminidase 2. Le H3N2 sous-type était responsable de la pandémie de grippe de Hong Kong 1968.
Le type espèce du genre ORTHOHEPADNAVIRUS anti-hépatite B humaine qui provoque et est aussi un agent causal hépatocellulaire humains CARCINOMA. Dane particule est intacte, nommé d'après son hépatite virion découvreur. Non-infectieuses tubulaire sphérique et des particules sont observés également dans le sérum.
Une famille de virus sphérique, de l'ordre MONONEGAVIRALES, un peu plus importante que celle orthomyxoviruses et contenant monobrin ARN. Subfamilies inclure PARAMYXOVIRINAE et PNEUMOVIRINAE.
Un acide protein-nucleic complexe qui forme un élément ou tout d'un virion. C'est un acide nucléique jointe capside en plus, ça dépendra du virus, le nucleocapsid pourrait correspondre à un noyau nue ou être entourée d'une enveloppe membraneux.
Une espèce de microplasma l'encéphalite japonaise, un des virus, virus (encéphalite) NIPPON, ça peut infecter oiseaux et les mammifères. Chez l'homme, c'est vu plus fréquemment en Afrique, en Asie, et l'Europe pour être un silencieux une infection ou fièvre (indifférenciée descendez ouest de fièvre). Le virus est apparu en Amérique du Nord pour la première fois en 1999. Il est transmis, essentiellement par Culex spp moustiques qui paissent principalement sur les oiseaux, mais il peut également être porté par l'Asian Tiger moustique, aedes albopictus, qui nourrit principalement sur des mammifères.
Le mécanisme par lequel les virus latent, tels que les virus génétiquement transmissible PROVIRUSES (tumeur) ou de bactéries, Prophages lysogenic induites de reproduire puis libéré virus infectieux. Il peut être assurée par divers stimuli, incluant exogènes et endogène LIPOPOLYSACCHARIDES des cellules B activées par glucocorticoïdes, hormones thyroïdiennes, les anesthésiques halogénés pyrimidines, les radiations ionisantes, des ultraviolets, et superinfecting virus.
Ou la membrane des glycoprotéines de surface des cellules.
Une zone montrant modifiée coloration comportement dans le noyau ou cytoplasme des cellules infectées par des virus, une inclusion corps représentent le virus usines "dans lequel un acide nucléique viral ou protéine est de la synthèse, d'autres artefacts sont simplement de fixation et coloration. Un exemple, des corps de Negri, sont présentés dans le cytoplasme des cellules nerveuses dans ou traite des animaux qui sont morts de la rage.
L ’ un des facteurs influencent cytoplasmique processus par lequel l 'écart le contrôle de Gene action dans les virus.
Un phénomène dans lequel l ’ infection par un premier virus entraîne résistance de cellules ou tissus de l ’ infection par une seconde, sans relation virus.
Une espèce de RESPIROVIRUS hemadsorption 2 (également appelé virus HA2), qui déclenche laryngotracheitis chez l'homme, en particulier les enfants.
Les relations de groupes d'organismes comme reflété par leur matériel génétique.
Protéines ADN et ARN icosahedral principalement dans les virus. Ils sont composés de protéines directement liés au acides nucléiques dans le NUCLEOCAPSID.
L'ordre des acides aminés comme ils ont lieu dans une chaine polypeptidique, appelle ça le principal structure des protéines. C'est un enjeu capital pour déterminer leur structure des protéines.
Des molécules d'ADN capable de réplication autonome et dans une cellule hôte dans lesquels d'autres séquences d'ADN peuvent être insérés et donc amplifié. Plusieurs proviennent de plasmides ; BACTERIOPHAGES ; ou aux virus. Ils sont utilisés pour transporter des gènes dans les cellules étrangères destinataire, la génétique vecteurs posséder un réplicateur fonctionnelle site et contiennent GENETIC MARKERS sélectif pour faciliter leur reconnaissance.
La première cellule maligne continuellement cultivé humaine dérivée de la ligne, carcinome cervical d'Henrietta Lacks. Ces cellules sont utilisées pour la culture et Antitumor VIRUS contrôle anti-drogue dosages.
Le major isotype cours dans l ’ immunoglobuline humaine normale, il y a plusieurs sériques des IgG sous-classes isotype, par exemple, IgG1, anti-IgG2a et IgG2B.
Le système d'un virus infectieux, composé de le génome, une protéine noyau, et une couche de protéine appelée capside pouvant être nue ou dans une enveloppe lipoprotéines appelé le peplos.
Agents utilisés en prévention ou le traitement de maladies. VIRUS quelques uns des moyens elles peuvent inclure empêchant la réplication virale en inhibant l'ADN polymérase virale ; se lie spécifiquement aux récepteurs de surface inhibant viral et pénétration ou Uncoating ; inhibant la synthèse des protéines virales ; ou bloquant stades avancés de virus assemblée.
Test antigène de tissus en utilisant une méthode directe des anticorps, conjuguée avec la teinture fluorescente, DIRECTS (technique d ’ anticorps) ou indirect mode, par la formation de antigen-antibody complexe qui est ensuite étiquetés fluorescein-conjugated anti-immunoglobulin anticorps (technique d ’ anticorps fluorescentes, INDIRECT). Le tissu est a examiné par microscopie à fluorescence.
Tests sérologiques dans laquelle un élément connu d'antigène est ajoutée au sérum avant l'addition d ’ une suspension de globules rouges. Résultat est exprimée en réaction la plus petite quantité d ’ antigène qui entraîne une inhibition complète de hémagglutination.
L'acide désoxyribonucléique qui fait le matériel génétique des virus.
Le type (et uniquement) espèces de RUBIVIRUS causant une infection aiguë chez l'homme, principalement par les enfants et jeunes adultes, les humains sont le seul hôte naturel. Un vivant, atténué vaccin est disponible pour la prophylaxie.
La capacité d'un virus pathogénique pour rester en sommeil dans une cellule (latente dans l ’ infection), l ’ activation et eukaryotes ultérieure de la réplication virale peut être causée par des facteurs de transcription stimulation extracellulaire cellulaire. Latence dans bactériophage est entretenu par l'expression de façon virale encodé repressors.
Glycoprotéines de virus grippaux membrane qui sont impliquées dans hémagglutination, virus l'attachement et enveloppe la fusion. Quatorze nette sous-types de HA glycoprotéines et neuf de NA glycoprotéines a été mise en évidence par un virus INFLUENZA ; non sous-types ont été identifiées for Influenza B ou C virus grippal.
Une espèce de RESPIROVIRUS fréquemment isolées chez de jeunes enfants avec pharyngite, bronchite, et pneumonie.
Inflammation du cerveau due à une infection, processus auto-immuns, toxines et d ’ autres maladies. Des infections virales (voir encéphalite, VIRAL) sont relativement fréquentes une cause de cet état.
Une classe d ’ immunoglobuline portant mu chaînes (chaînes Lourdes Mu Des Immunoglobulines). IgM peut réparer COMPLEMENT. Le nom vient de son poids moléculaire élevé initialement être appelé un macroglobulin.
Un ordre comprenant quatre familles de virus eucaryotes possédant linéaire, non-segmented, negative-strand ARN génomes. Les familles sont BORNAVIRIDAE ; FILOVIRIDAE ; paramyxoviridae ; et RHABDOVIRIDAE.
Sur un antigène pouvant interagir avec des anticorps spécifiques.
Virus qui produisent des tumeurs.
Un vaccin à virus vivant atténué de canard embryon ou les cultures de cellules humaines diploïdes origine routine, utilisé pour vacciner des enfants et pour la vaccination de nonpregnant en âge de procréer qui sont unimmunized et n'ai pas les anticorps sériques contre la rubéole, les enfants sont immunisés habituellement avec le vaccin combiné Dorland, 28. (Éditeur)
Protéines virales qui sont des composants du virus assemblé mature. Ils incluent des gâteaux au noyau nucleocapsid protéines (gag) aux protéines, enzymes conditionné dans le virus particule (pol protéines) et composantes (membrane env protéines). Ces n'incluent pas les protéines encodée dans le génome VIRAL produites en cellules infectées mais qui ne sont pas conditionnés dans de la plus mûre, c 'est-à-dire la soi-disant non-structural (protéines VIRAL Nonstructural PROTEINS).
Espèce du genre, le sous-genre LENTIVIRUS primate virus de l ’ immunodéficience humaine (virus de l ’ immunodéficience humaine), les primates, qui provoque de Syndrome d'Immunodéficience Acquise chez le singe et les singes (vaccin Antisida). L'organisation de Siv génétique est identique à VIH.
Composés protein-carbohydrate conjugué mucoïde Mucines, y compris et amyloïde glycoprotéines.
Le type espèces de RESPIROVIRUS au sous-famille murines PARAMYXOVIRINAE. C'est la version de HUMAN Parainfluenza VIRUS 1, se distingue par hôte portée.
Planning donner fois habituellement optimale pour la primo-vaccination et / ou secondaires immunisation.
Cellules propagés in vitro sur des médias propice à leur croissance. Cellules cultivées sont utilisés pour étudier le développement, un myélogramme, troubles du métabolisme et physiologique processus génétique, entre autres.
Petits peptides synthétiques qui imitent antigènes de surface de pathogènes et sont immunogène ou vaccins fabriqué grâce à des techniques d ’ ADN recombinant. Ce dernier vaccins peut également être entière virus dont les acides nucléiques ont été modifiés.
Le degré de leur pouvoir pathogène dans un groupe ou espèces de micro-organismes ou virus comme indiqué par cas des taux de mortalité et / ou leur capacité de l'organisme d'envahir les tissus de l'hôte. La capacité d'un organisme pathogène est déterminé par sa virulence FACTEURS.
Les virus qui produisent un marbrés apparence des feuilles de plantes.
Production de nouvelles dispositions de l ’ ADN par différents mécanismes comme assortiment et la ségrégation, traversant fini ; GENE conversion ; GENETIC transformation ; GENETIC conjugaison ; GENETIC transduction ; ou mixte une infection virale.
Contrôle en cours de la population (population générale, de la population de l ’ étude, la population cible, etc.), généralement l'utilisation de méthodes distinguent par leurs practicability, l'uniformité, et fréquemment leur rapidité, plutôt que par la précision.
Une sous-famille de paramyxoviridae. Genera inclure RUBULAVIRUS RESPIROVIRUS MORBILLIVIRUS HENIPAVIRUS ; ; ; ; et AVULAVIRUS.
Inflammation du cerveau parenchyme en cas de infection virale. Encéphalite peut être due à primaire ou secondaire manifestation de TOGAVIRIDAE INFECTIONS ; Herpesviridae INFECTIONS ; ADENOVIRIDAE INFECTIONS ; FLAVIVIRIDAE INFECTIONS ; BUNYAVIRIDAE INFECTIONS ; PICORNAVIRIDAE INFECTIONS ; paramyxoviridae INFECTIONS ; ORTHOMYXOVIRIDAE INFECTIONS ; RETROVIRIDAE INFECTIONS ; et ARENAVIRIDAE INFECTIONS.
À un procédé qui inclut le clonage, subcloning façonner en physique, détermination de la séquence d'ADN, et les informations analyse.
Anticorps produits par un seul clone de cellules.
Un genre de la famille Herpesviridae, sous-famille simplex-like ALPHAHERPESVIRINAE, consistant à herpès virus. Le type espèce est humain. Herpesvirus 1
Un espèces dans ce genre HEPATOVIRUS contenant une sérovar et deux souches : Les virus de l ’ hépatite A et Simian Virus de l ’ hépatite A hépatite provoque chez l'homme (hépatites A) et les primates, respectivement.
Une espèce de ALPHAVIRUS isolé dans centrale, orientale et le sud de l'Afrique.
Groupe de alpharetroviruses (ALPHARETROVIRUS) qui produit sarcomata et les autres tumeurs chez les poulets et autres volaille et aussi chez les pigeons, des canards, des rats.
Un genre de la famille paramyxoviridae (D) PARAMYXOVIRINAE virions où tous les deux activités et d ’ hémagglutinine et neuraminidase codez une protéine C non-structural. Sendai VIRUS est le genre espèce.
Une espèce de polyomavirus apparemment infecter 90 % des enfants mais pas clairement associés à un syndrome clinique dans l'enfance. Ce virus reste en sommeil dans le corps, à la vie et peut être réactivé dans certaines circonstances.
In vitro méthode pour produire de grandes quantités de fragments d'ADN ou d'ARN spécifiques définies longueur et la séquence de petites quantités de courtes séquences encadrent oligonucléotide (Primer). Les étapes essentielles incluent une dénaturation thermique de la double-branche cible de molécules, des détonateurs d'leurs séquences complémentaires, et extension de la synthèse enzymatique recuits Primer par de l'ADN polymérase. La réaction est efficace, précise, et extrêmement sensible. Utilise pour la réaction inclure diagnostiquer des maladies, détection de mutation difficult-to-isolate pathogènes, analyse de séquençage ADN test génétique évolutionniste, et en analysant les relations.
Infections produite par des virus oncogènes, les infections dues aux virus à ADN sont moins nombreux mais plus variées que celles dues aux virus oncogènes l'ARN.
Virus taxonomique dont les relations n'ont pas été établie.
Une espèce de polyomavirus, à l'origine isolé du cerveau d'un patient avec une leuco-encéphalopathie multifocale progressive. Le patient est initiales J.C. a donné son nom. Le virus infection n'est pas accompagnée aucune maladie apparente mais grave maladie démyélinisante peuvent apparaître plus tard, ça suit sans doute une réactivation du virus latent.
Une famille d'ARN virus causant INFLUENZA et d'autres maladies. Il y a cinq reconnu genera : INFLUENZAVIRUS A ; INFLUENZAVIRUS B ; INFLUENZAVIRUS C ; ISAVIRUS ; et THOGOTOVIRUS.
Des anticorps diminuer ou à abolir une activité biologique du un antigène soluble ou agent infectieux, généralement un virus.
Éléments de contribuer à intervalles de temps limitée, notamment des résultats ou situations.
Globules blancs sont utilisés dans le corps est tissus lymphoïdes. Le noyau est rond ou ovoïde avec grossier, traîné des pieds irrégulière Chromatin pendant que le cytoplasme est typiquement bleu pâle avec azurophilic (le cas échéant) granulés. La plupart des lymphocytes T peut être classé en tant qu'ou B (avec des sous-populations de chaque) ou des TUEUR naturelle.
Protéines associées à la surface interne de la bicouche de lipide enveloppe virale. Ces protéines ont été impliquées dans le contrôle de transcription virale et peut bien servir comme la "colle" qui lie le nucleocapsid à la graduation correspondant au site en herbe pendant la membrane de la cellule hôte.
Le type espèces de ALPHARETROVIRUS produisant latente manifeste leukosis lymphoïde ou de volaille.
L'adhésion et fusion des membranes cellulaires, les membranes intracellulaires, ou artificielle muqueuses à l'autre ou à des virus, des parasites ou des particules interstitielle traversé une multitude de processus chimique et physique.
Une résistance à un agent pathogènes induite par l 'introduction de maternelle le fœtus d'immunité par transfert transplacentaire ou au nouveau-né via le colostrum et le lait.
La constitution génétique de l'individu, comprenant les allèles GENETIC présent à chaque locus.
Réactions sérologique dans lequel un antidote contre un antigène réagit avec un antigène non-jumelle mais étroitement liées.
Le type espèces de ORBIVIRUS causant une maladie grave chez les ovins, surtout des agneaux. Il peut aussi infecter Ruminantia sauvages et autres animaux domestiques.
Une variante du PCR technique où cDNA est faite de l'ARN VIH-1 et VIH-2. Via est alors amplifiée cDNA qui en utilisant un électrocardiogramme standard PCR protocoles.
Un nom pour plusieurs hautement contagieux maladies virales des animaux, surtout la maladie de Carré. Chez les chiens, c'est provoquée par le virus de la maladie de Carré (virus Distemper CANINE, il est diphasic caractérisée par une fièvre, leucopénie, inflammation respiratoires et digestifs et parfois, des complications neurologiques. Chez les chats c'est connu comme panleucopénie Féline.
Les maladies provoquées par le virus ORTHOMYXOVIRIDAE.
Lymphocytes responsable de l'immunité cellulaire anticorps-dépendante. Deux types ont été identifiés - cytotoxique (lymphocytes T cytotoxique) et assistant lymphocytes T (lymphocytes T Auxiliaires). Elles se forment quand lymphocytes circuler dans la thymus GLAND et différenciez à thymocytes. Quand exposé à un antigène, il divise rapidement et produire un grand nombre de nouvelles cellules T Antigène sensible à ça.
Phosphoprotéines sont des protéines qui ont été modifiées par la phosphorylation, un processus où un groupe phosphate est ajouté à certains acides aminés spécifiques (généralement la sérine, thréonine ou tyrosine), ce qui peut entraîner des changements dans la fonction, la localisation et l'interaction de ces protéines avec d'autres molécules dans la cellule.
Les protéines de surface cellulaire qui lient la signalisation molécules externe pour la cellule avec une forte affinité et transformer cet événement extracellulaire dans un ou plusieurs signaux intracellulaires qui modifient le comportement de la cellule cible (De Alberts, biologie moléculaire du Cell, 2e Ed, pp693-5). Récepteurs de surface, contrairement aux enzymes, ne pas traiter leurs ligands.

La rougeole est une infection virale extrêmement contagieuse qui se propage principalement par les gouttelettes respiratoires lorsque les personnes infectées toussent ou éternuent. Le virus de la rougeole est un Morbillivirus, appartenant à la famille des Paramyxoviridae. Il se réplique dans le cytoplasme des cellules de l'hôte et a une période d'incubation d'environ 10 à 14 jours.

Les symptômes de la rougeole comprennent fièvre, éruption cutanée, toux, nez qui coule, yeux rouges et sensibles à la lumière (conjonctivite). L'éruption cutanée caractéristique commence généralement derrière les oreilles et sur le front avant de s'étendre au visage et au reste du corps. Les complications peuvent inclure des infections de l'oreille, une pneumonie et une encéphalite. Dans de rares cas, la rougeole peut entraîner la mort, en particulier chez les jeunes enfants et les personnes dont le système immunitaire est affaibli.

La rougeole est prévenue par la vaccination. Il s'agit généralement d'une combinaison de vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR). La vaccination est recommandée pour tous les enfants et peut également être recommandée pour certains adultes à risque.

La rougeole est une maladie infectieuse extrêmement contagieuse causée par le virus de la rougeole. Elle se propage principalement par les gouttelettes respiratoires lorsqu'une personne infectée tousse ou éternue. Les symptômes apparaissent généralement 10 à 14 jours après l'exposition et comprennent une fièvre élevée, des yeux rouges et larmoyants, un nez qui coule, une toux sèche, des taches blanches à l'intérieur de la bouche appelées «taches de Koplik», et une éruption cutanée qui commence sur le visage et se propage au reste du corps. Il n'existe actuellement aucun traitement spécifique contre la rougeole, mais des mesures de soutien peuvent être prises pour soulager les symptômes. La prévention repose sur la vaccination.

Un vaccin antivariolique, également connu sous le nom de vaccin contre la variole, est un vaccin utilisé pour prévenir la variole, une maladie infectieuse causée par le virus variola. Le vaccin contient une forme atténuée du virus variola, qui ne provoque pas la maladie mais stimule néanmoins le système immunitaire à développer une réponse immunitaire protectrice contre l'infection.

La vaccination contre la variole a été largement utilisée dans le monde entier pendant de nombreuses années et a finalement conduit à l'éradication mondiale de la maladie en 1980. Bien que la variole ne soit plus considérée comme une menace pour la santé publique, certaines personnes peuvent encore recevoir le vaccin pour des raisons de recherche ou de protection contre une exposition accidentelle au virus variola.

Les effets secondaires courants du vaccin antivariolique comprennent une rougeur, une douleur et un gonflement au site d'injection, ainsi qu'une fièvre légère et des douleurs musculaires. Dans de rares cas, le vaccin peut provoquer des réactions plus graves, telles que la maladie du vaccin (une forme atténuée de la variole) ou une inflammation du cerveau (encéphalite).

Il est important de noter que le vaccin antivariolique n'est pas disponible dans le commerce général et ne doit être administré que sous la supervision d'un professionnel de la santé qualifié.

L'antigène CD46, également connu sous le nom de membrane cofactor protein (MCP), est une protéine transmembranaire qui se trouve sur la surface des cellules humaines. Elle joue un rôle important dans le système immunitaire en régulant l'activité du complément, un groupe de protéines sanguines qui aident à protéger l'organisme contre les infections.

CD46 est exprimé sur la plupart des cellules nucléées du corps humain, y compris les globules rouges, les globules blancs et les cellules endothéliales. Elle fonctionne comme un co-facteur de facteur I, une protéase qui régule l'activité du complément en clivant et en inactivant certaines des protéines du complément activées.

CD46 est également capable d'inhiber l'activation du complément via le chemin classique et le chemin alternatif, ce qui aide à prévenir une activation excessive du système immunitaire qui pourrait endommager les tissus sains. Des mutations dans le gène CD46 peuvent entraîner un dysfonctionnement de la régulation du complément et ont été associées à des maladies telles que l'atrophie musculaire progressive et l'hémolytique urémique thrombotique.

La leucoencéphalite sclérosante subaiguë (LES) est une maladie rare et généralement progressive du système nerveux central qui implique une inflammation et une dégénération des gaines de myéline entourant les fibres nerveuses dans le cerveau blanc. La cause exacte de la LES est inconnue, mais elle est souvent associée à une infection virale préalable ou à une réaction auto-immune.

Les symptômes de la LES peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre et dépendent de la région du cerveau affectée. Les premiers symptômes peuvent inclure des maux de tête, une fatigue extrême, des changements de comportement ou de personnalité, des problèmes de coordination et d'équilibre, des difficultés de concentration et de mémoire, ainsi que des problèmes de vision.

La LES est généralement diagnostiquée en utilisant une combinaison de tests d'imagerie cérébrale, tels qu'une imagerie par résonance magnétique (IRM), et des analyses de liquide céphalo-rachidien pour détecter les marqueurs inflammatoires et infectieux.

Le traitement de la LES vise à gérer les symptômes et à ralentir la progression de la maladie. Les options de traitement peuvent inclure des corticostéroïdes pour réduire l'inflammation, des immunosuppresseurs pour supprimer le système immunitaire, ainsi que des médicaments antiviraux et antibiotiques pour traiter toute infection sous-jacente.

La LES peut être une maladie débilitante et dans certains cas, elle peut entraîner une invalidité permanente ou même la mort. Cependant, avec un diagnostic et un traitement précoces, il est possible de ralentir la progression de la maladie et d'améliorer la qualité de vie des patients atteints de LES.

L'hémagglutinine virale est une protéine spike présentant un activité hémagglutinante, trouvée sur la surface d'un certain nombre de virus, y compris le virus de la grippe (orthomyxovirus). Elle joue un rôle crucial dans l'infection en facilitant l'attachement et l'entrée du virus dans les cellules hôtes. L'hémagglutinine se lie aux récepteurs sialiques à la surface des cellules épithéliales respiratoires, ce qui entraîne l'agrégation (hemagglutination) de globules rouges et d'autres cellules. Il existe 18 sous-types différents d'hémagglutinine dans les virus de la grippe, notés H1 à H18, qui contribuent à la grande variété des souches de grippe trouvées dans la nature. La structure et l'activité de l'hémagglutinine sont importantes pour le développement de vaccins contre la grippe et les antiviraux.

Les cellules Vero sont une lignée cellulaire continue dérivée d'épithélium kidney de singe africain (espèce *Chlorocebus sabaeus*). Elles sont largement utilisées dans la recherche biomédicale, y compris pour les études de virologie et la production de vaccins. Les cellules Vero sont permissives à un large éventail de virus, ce qui signifie qu'elles peuvent être infectées par et soutenir la réplication d'un grand nombre de types de virus.

En raison de leur stabilité et de leur capacité à se diviser indéfiniment en culture, les cellules Vero sont souvent utilisées dans la production de vaccins pour cultiver des virus atténués ou inactivés. Les vaccins contre la polio, la rougeole, les oreillons et la rubéole sont tous produits en utilisant des lignées cellulaires Vero.

Cependant, il est important de noter que comme les cellules Vero sont dérivées d'une espèce non humaine, il y a un risque théorique que des agents pathogènes spécifiques à l'espèce puissent se répliquer dans ces cellules et être transmis aux humains par inadvertance. Pour cette raison, les vaccins produits en utilisant des cellules Vero doivent subir des tests rigoureux pour démontrer qu'ils sont sûrs et efficaces avant d'être approuvés pour une utilisation chez l'homme.

Le récepteur du complément 3d, également connu sous le nom de CD21 ou CR2, est un glycoprotéine transmem molecular qui sert de récepteur pour le fragment C3d du complément et joue un rôle important dans l'activation du système immunitaire. Il est exprimé à la surface des cellules B matures, des folliculaires dendritiques et d'autres types cellulaires. Le récepteur du complément 3d fonctionne en se liant au fragment C3d pour faciliter l'interaction entre les cellules présentatrices d'antigène et les lymphocytes B, ce qui entraîne une activation des lymphocytes B et une réponse immunitaire adaptative. Des mutations dans le gène du récepteur du complément 3d ont été associées à certaines maladies auto-immunes, telles que le syndrome de Sjögren et le lupus érythémateux disséminé.

Morbillivirus est un genre de virus à ARN monocaténaire de la famille des Paramyxoviridae. Il comprend plusieurs virus qui causent des maladies graves chez les animaux et parfois aussi chez l'homme. Les membres les plus notables de ce genre comprennent le virus de la rougeole, qui cause la rougeole chez l'homme ; le virus de la morve, qui cause la morve chez les bovidés ; le virus de la peste des petits ruminants, qui cause la peste des petits ruminants chez les moutons et les chèvres ; et le virus du phoque de l'Atlantique, qui cause une maladie mortelle chez les phoques. Les morbillivirus se propagent généralement par contact direct entre les animaux infectés et ceux qui ne le sont pas, et ils peuvent entraîner des taux de mortalité élevés chez les populations d'animaux sensibles.

La réplication virale est le processus par lequel un virus produit plusieurs copies de lui-même dans une cellule hôte. Cela se produit lorsqu'un virus infecte une cellule et utilise les mécanismes cellulaires pour créer de nouvelles particules virales, qui peuvent ensuite infecter d'autres cellules et continuer le cycle de réplication.

Le processus de réplication virale peut être divisé en plusieurs étapes :

1. Attachement et pénétration : Le virus s'attache à la surface de la cellule hôte et insère son matériel génétique dans la cellule.
2. Décapsidation : Le matériel génétique du virus est libéré dans le cytoplasme de la cellule hôte.
3. Réplication du génome viral : Selon le type de virus, son génome sera soit transcrit en ARNm, soit répliqué directement.
4. Traduction : Les ARNm produits sont traduits en protéines virales par les ribosomes de la cellule hôte.
5. Assemblage et libération : Les nouveaux génomes viraux et les protéines virales s'assemblent pour former de nouvelles particules virales, qui sont ensuite libérées de la cellule hôte pour infecter d'autres cellules.

La réplication virale est un processus complexe qui dépend fortement des mécanismes cellulaires de l'hôte. Les virus ont évolué pour exploiter ces mécanismes à leur avantage, ce qui rend difficile le développement de traitements efficaces contre les infections virales.

'Cercopithecus Aethiops' est le nom latin de l'espèce pour le singe vert africain. Il appartient au genre Cercopithecus et à la famille des Cercopithecidae. Le singe vert africain est originaire d'Afrique subsaharienne et se trouve dans une grande variété d'habitats, y compris les forêts, les savanes et les zones humides.

Ces primates omnivores ont une longue queue qui peut être aussi longue que leur corps et sont connus pour leurs mouvements gracieux et agiles dans les arbres. Ils ont un pelage vert olive à brun avec des touffes de poils blanches ou jaunes sur le visage et les oreilles. Les singes verts africains vivent en groupes sociaux dirigés par un mâle dominant et se nourrissent d'une grande variété d'aliments, y compris les fruits, les feuilles, les insectes et les petits vertébrés.

Leur communication est complexe et comprend une variété de vocalisations, des expressions faciales et des gestes. Les singes verts africains sont également connus pour leur intelligence et ont été observés utilisant des outils dans la nature. Malheureusement, ces primates sont menacés par la perte d'habitat due à la déforestation et à l'expansion agricole, ainsi que par la chasse illégale pour la viande de brousse et le commerce des animaux de compagnie exotiques.

Les anticorps antiviraux sont des protéines produites par le système immunitaire en réponse à une infection virale. Ils sont spécifiquement conçus pour se lier à des parties spécifiques du virus, appelées antigènes, et les neutraliser, empêchant ainsi le virus de pénétrer dans les cellules saines et de se répliquer.

Les anticorps antiviraux peuvent être détectés dans le sang plusieurs jours après l'infection et sont souvent utilisés comme marqueurs pour diagnostiquer une infection virale. Ils peuvent également fournir une protection immunitaire à long terme contre une réinfection par le même virus, ce qui est important pour le développement de vaccins efficaces.

Certaines thérapies antivirales comprennent des anticorps monoclonaux, qui sont des anticorps artificiels créés en laboratoire pour imiter les anticorps naturels produits par l'organisme. Ces anticorps monoclonaux peuvent être utilisés comme traitement contre certaines infections virales graves, telles que le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et le virus de l'hépatite C.

Les protéines de fusion de la membrane virale sont des protéines virales essentielles à l'infection des cellules hôtes par les virus ennveloppés. Ces protéines sont insérées dans l'enveloppe virale et jouent un rôle crucial dans le processus d'entrée du virus dans la cellule hôte.

La fonction principale de ces protéines est de faciliter la fusion de l'enveloppe virale avec la membrane cellulaire de la cellule hôte, permettant ainsi au matériel génétique viral de pénétrer dans le cytoplasme de la cellule hôte. Les protéines de fusion de la membrane virale sont souvent activées par des changements conformationnels déclenchés par des interactions spécifiques avec des récepteurs situés sur la membrane cellulaire de la cellule hôte.

Les protéines de fusion de la membrane virale peuvent être classées en fonction de leur structure et de leur mécanisme d'action. Par exemple, certaines protéines de fusion ont une structure tridimensionnelle en forme de "ressort" qui se redresse lorsqu'elles sont activées, permettant la fusion des membranes. D'autres protéines de fusion peuvent avoir une structure en forme de "bêtonnière" qui tourne et mélange les lipides des deux membranes pour faciliter leur fusion.

Les protéines de fusion de la membrane virale sont des cibles importantes pour le développement de vaccins et d'antiviraux, car elles sont essentielles au processus d'infection du virus et peuvent être bloquées par des médicaments ou des anticorps spécifiques.

Le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR) est un vaccin combiné qui protège contre trois maladies virales évitables par la vaccination : la rougeole, les oreillons et la rubéole. Il est généralement administré par injection dans le bras.

Le vaccin ROR contient des versions affaiblies des virus qui causent ces maladies. Lorsque le vaccin est administré, le système immunitaire de l'organisme est exposé aux virus affaiblis, ce qui permet au système immunitaire de produire une réponse immunitaire et de créer des anticorps pour se protéger contre ces maladies.

Le vaccin ROR est recommandé pour les enfants dès l'âge de 12 mois, avec une dose de rappel administrée avant l'entrée à l'école (généralement vers l'âge de 4 à 6 ans). Les doses doivent être espacées d'au moins 4 semaines.

Il est important de se faire vacciner contre la rougeole, les oreillons et la rubéole pour prévenir la propagation de ces maladies et protéger les personnes qui ne peuvent pas être vaccinées en raison de problèmes de santé sous-jacents. La rougeole, en particulier, peut être une maladie grave et même mortelle chez certaines personnes, en particulier les nourrissons et les jeunes enfants, ainsi que les personnes dont le système immunitaire est affaibli.

Une vaccine à virus est un type de vaccin qui utilise un virus affaibli ou inactivé pour stimuler une réponse immunitaire chez un individu. Le virus peut être affaibli de manière à ne plus être capable de causer la maladie, mais toujours assez fort pour déclencher une réponse immunitaire protectrice. Alternativement, le virus peut être inactivé (tué) et utilisé dans le vaccin pour exposer le système immunitaire aux antigènes du virus sans risque d'infection.

Les vaccins à virus sont utilisés pour prévenir un large éventail de maladies infectieuses, y compris la grippe, la rougeole, les oreillons, la rubéole, la varicelle et l'hépatite A. Ils fonctionnent en exposant le système immunitaire à une version affaiblie ou inactivée du virus, ce qui permet au corps de développer des anticorps et d'acquérir une immunité protectrice contre la maladie.

Il est important de noter que certains vaccins à virus peuvent ne pas être recommandés pour certaines personnes en raison de leur âge, de leur état de santé ou d'autres facteurs. Il est donc important de consulter un professionnel de la santé avant de recevoir tout type de vaccin.

Les protéines virales sont des molécules protéiques essentielles à la structure et à la fonction des virus. Elles jouent un rôle crucial dans presque tous les aspects du cycle de vie d'un virus, y compris l'attachement et l'entrée dans une cellule hôte, la réplication du génome viral, l'assemblage de nouvelles particules virales et la libération de ces particules pour infecter d'autres cellules.

Les protéines virales peuvent être classées en plusieurs catégories fonctionnelles :

1. Protéines de capside : Ces protéines forment la structure protectrice qui entoure le matériel génétique du virus. Elles sont souvent organisées en une structure géométrique complexe et stable.

2. Protéines d'enveloppe : Certaines espèces de virus possèdent une membrane lipidique externe, ou enveloppe virale, qui est dérivée de la membrane cellulaire de l'hôte infecté. Les protéines virales intégrées dans cette enveloppe jouent un rôle important dans le processus d'infection, comme l'attachement aux récepteurs de la cellule hôte et la fusion avec la membrane cellulaire.

3. Protéines de matrice : Ces protéines se trouvent sous la membrane lipidique externe des virus enveloppés et sont responsables de l'organisation et de la stabilité de cette membrane. Elles peuvent également participer à d'autres étapes du cycle viral, comme la réplication et l'assemblage.

4. Protéines non structurées : Ces protéines n'ont pas de rôle direct dans la structure du virus mais sont importantes pour les fonctions régulatrices et enzymatiques pendant le cycle de vie du virus. Par exemple, certaines protéines virales peuvent agir comme des polymerases, des protéases ou des ligases, catalysant des réactions chimiques essentielles à la réplication et à l'assemblage du génome viral.

5. Protéines d'évasion immunitaire : Certains virus produisent des protéines qui aident à échapper aux défenses de l'hôte, comme les interférons, qui sont des molécules clés du système immunitaire inné. Ces protéines peuvent inhiber la production ou l'activation des interférons, permettant au virus de se répliquer plus efficacement et d'éviter la détection par le système immunitaire.

En résumé, les protéines virales jouent un rôle crucial dans tous les aspects du cycle de vie des virus, y compris l'attachement aux cellules hôtes, la pénétration dans ces cellules, la réplication et l'assemblage du génome viral, et l'évasion des défenses immunitaires de l'hôte. Comprendre la structure et la fonction de ces protéines est essentiel pour développer des stratégies thérapeutiques et préventives contre les maladies infectieuses causées par les virus.

Dans le contexte médical, un « culture virus » ne fait pas référence à un type spécifique de virus ou d'agent infectieux. Il s'agit plutôt d'un terme utilisé dans les sciences sociales et comportementales pour décrire l'influence des normes, des valeurs et des pratiques partagées au sein d'une communauté ou d'une organisation sur le comportement et les croyances de ses membres.

Cependant, il est important de noter que dans certains contextes, en particulier dans les médias populaires et la culture Internet, le terme « culture virus » peut être utilisé de manière informelle pour décrire une idée, un comportement ou une tendance qui se propage rapidement et devient largement adopté au sein d'un groupe ou d'une population.

Dans aucun cas, cependant, le terme « culture virus » ne fait référence à un agent pathogène ou infectieux dans la médecine ou la biologie.

La maladie des vaches carrées, également connue sous le nom de maladie du virus de la vaccine ou simplement de "maladie du carré", est une maladie virale contagieuse courante chez les bovins domestiques et sauvages. Elle est causée par le virus de la vaccine, qui appartient à la famille des Poxviridae et au genre des Orthopoxvirus, le même genre que le virus variolique (variola) qui cause la variole chez l'homme.

La maladie des vaches carrées se caractérise par l'apparition de lésions cutanées et muqueuses typiques, telles que des pustules et des croûtes, sur le visage, les oreilles, la muqueuse nasale et buccale, ainsi que sur les mamelles et les parties génitales. Ces lésions peuvent être douloureuses et entraîner une perte de poids, une baisse de production laitière et, dans les cas graves, la mort des animaux infectés.

La maladie est généralement transmise par contact direct avec des animaux infectés ou par l'intermédiaire de vecteurs mécaniques tels que les mouches et les taons. Les bovins de tous âges peuvent être infectés, mais les jeunes animaux sont les plus susceptibles de développer une maladie grave.

Bien qu'il n'existe actuellement aucun traitement spécifique contre la maladie des vaches carrées, des vaccins efficaces sont disponibles pour prévenir l'infection et réduire la propagation de la maladie. Il est important de noter que le virus de la vaccine peut également infecter les humains, bien que cela soit extrêmement rare et généralement associé à une exposition professionnelle à des animaux infectés ou à des produits d'origine animale contaminés.

Les nucléoprotéines sont des complexes composés de protéines et d'acides nucléiques (ADN ou ARN). Elles jouent un rôle crucial dans la régulation de divers processus cellulaires, tels que la réplication, la transcription et la traduction de l'information génétique. Les nucléoprotéines peuvent être classées en différentes catégories en fonction de leur composition et de leurs fonctions, notamment les histones, qui sont des protéines impliquées dans la structure de la chromatine, et les ribonucléoprotéines, qui contiennent de l'ARN. Les nucléoprotéines peuvent également être associées à des virus, où elles forment le noyau protéique de la capside virale et protègent l'acide nucléique du virus.

Les oreillons sont une infection virale contagieuse qui affecte principalement les glandes salivaires, en particulier la parotide, provoquant un gonflement et une inflammation douloureux des joues. Le virus responsable de cette maladie est appelé le virus de la parotidite ou virus ourlien, qui appartient à la famille Paramyxoviridae et au genre Rubulavirus.

Le virus se transmet généralement par la toux, les éternuements, ou directement par contact avec la salive ou les sécrétions nasales d'une personne infectée. Après une incubation de deux à trois semaines, les premiers symptômes apparaissent, tels que fièvre, maux de tête, fatigue, douleurs musculaires et perte d'appétit. Plus tard, un gonflement douloureux des joues se développe, habituellement d'un côté à la fois, mais peut affecter les deux côtés simultanément ou séquentiellement.

Bien que les oreillons soient généralement une maladie bénigne, ils peuvent parfois entraîner des complications graves, en particulier chez les adolescents et les adultes. Ces complications peuvent inclure la méningite, l'encéphalite, la pancréatite, la perte auditive et l'orchite (inflammation des testicules), qui peut entraîner une stérilité chez les hommes.

Le diagnostic des oreillons est généralement posé sur la base de l'examen clinique et de l'historique d'un contact étroit avec une personne infectée. Des tests de laboratoire, tels que la détection du virus dans la salive ou le sérum sanguin, peuvent être utilisés pour confirmer le diagnostic.

Le traitement des oreillons est principalement symptomatique et vise à soulager la douleur et la fièvre. Les analgésiques en vente libre, tels que l'acétaminophène ou l'ibuprofène, peuvent être utilisés pour soulager la douleur et la fièvre. Il est également important de maintenir une hydratation adéquate et de se reposer suffisamment.

La prévention des oreillons repose sur la vaccination. Le vaccin contre les oreillons est généralement administré en combinaison avec le vaccin contre la rougeole et les oreillons (RRO) ou avec le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR). La vaccination est recommandée pour tous les enfants âgés de 12 à 15 mois, avec une dose de rappel recommandée entre 4 et 6 ans. Les adultes nés après 1957 qui n'ont pas eu les oreillons ou qui n'ont pas été vaccinés devraient également recevoir au moins une dose du vaccin RRO ou ROR.

L'ARN viral (acide ribonucléique viral) est le matériel génétique présent dans les virus qui utilisent l'ARN comme matériel génétique, à la place de l'ADN. L'ARN viral peut être de simple brin ou double brin et peut avoir différentes structures en fonction du type de virus.

Les virus à ARN peuvent être classés en plusieurs groupes en fonction de leur structure et de leur cycle de réplication, notamment:

1. Les virus à ARN monocaténaire (ARNmc) positif : l'ARN viral peut servir directement de matrice pour la synthèse des protéines après avoir été traduit en acides aminés par les ribosomes de la cellule hôte.
2. Les virus à ARN monocaténaire (ARNmc) négatif : l'ARN viral ne peut pas être directement utilisé pour la synthèse des protéines et doit d'abord être transcrit en ARNmc positif par une ARN polymérase spécifique du virus.
3. Les virus à ARN bicaténaire (ARNbc) : ils possèdent deux brins complémentaires d'ARN qui peuvent être soit segmentés (comme dans le cas de la grippe) ou non segmentés.

Les virus à ARN sont responsables de nombreuses maladies humaines, animales et végétales importantes sur le plan épidémiologique et socio-économique, telles que la grippe, le rhume, l'hépatite C, la poliomyélite, la rougeole, la rubéole, la sida, etc.

Je suis désolé, mais il n'y a pas de définition médicale établie pour "délestage virus". Il est possible que vous ayez fait une faute d'orthographe ou que ce terme ne soit pas reconnu dans le domaine médical. Si vous cherchez des informations sur les virus ou un sujet connexe, veuillez fournir plus de détails et je ferai de mon mieux pour vous fournir une réponse précise et utile.

Un antigène viral est une substance présente à la surface ou à l'intérieur d'un virus qui peut être reconnue par le système immunitaire du corps comme étant étrangère. Lorsqu'un virus infecte un hôte, il libère ses antigènes, ce qui déclenche une réponse immunitaire de la part de l'organisme. Le système immunitaire produit des anticorps spécifiques qui se lient aux antigènes viraux pour aider à neutraliser et à éliminer le virus de l'organisme.

Les antigènes viraux peuvent être classés en deux catégories principales : les antigènes structuraux et les antigènes non structuraux. Les antigènes structuraux sont des protéines qui font partie de la structure externe ou interne du virus, telles que les protéines de capside ou d'enveloppe. Les antigènes non structuraux sont des protéines qui sont produites à l'intérieur de la cellule hôte infectée par le virus et qui jouent un rôle dans la réplication virale.

Les antigènes viraux sont souvent utilisés comme cibles pour les vaccins contre les infections virales. En exposant le système immunitaire à des antigènes viraux inactivés ou atténués, on peut induire une réponse immunitaire protectrice qui empêche l'infection future par le virus. Les tests de dépistage sérologique peuvent également détecter la présence d'anticorps spécifiques contre des antigènes viraux, ce qui peut indiquer une infection antérieure ou en cours par un virus donné.

Les virus défectueux, également connus sous le nom de viruses déficientes ou defective interfering particles (DIPs), sont des versions dégénérées ou altérées d'un virus qui ont perdu la capacité de se répliquer de manière autonome. Ils manquent généralement de certaines parties de leur génome nécessaires à la réplication complète, telles que des gènes essentiels ou des segments d'ARN/ADN. Par conséquent, ils dépendent des virus helper (aides) normaux et fonctionnels pour compléter leur cycle de réplication.

Les virus défectueux peuvent interférer avec la réplication des virus helper en raison de leur capacité à se lier aux molécules d'ARN/ADN ou aux protéines nécessaires à la réplication, ce qui entraîne une diminution de l'efficacité de la réplication des virus helper et, par conséquent, une réduction de la production virale.

Les virus défectueux sont souvent étudiés dans le cadre de la recherche sur les vaccins et les thérapies antivirales, car ils peuvent offrir une protection contre les infections virales en induisant une réponse immunitaire spécifique au virus sans provoquer de maladie. Cependant, leur utilisation dans les applications cliniques est encore à l'étude et nécessite des recherches supplémentaires pour évaluer leur sécurité et leur efficacité.

Les maladies virales sont des affections causées par des virus, qui sont des agents infectieux extrêmement petits. Ils se composent d'un simple brin ou de plusieurs brins d'ARN ou d'ADN entourés d'une coque protéique. Les virus ne peuvent pas se répliquer sans un hôte vivant, ils doivent donc infecter des cellules vivantes pour survivre et se multiplier.

Une fois qu'un virus pénètre dans l'organisme, il s'attache aux cellules saines et les utilise pour se répliquer. Cela provoque souvent une réaction immunitaire de la part du corps, entraînant des symptômes cliniques. Les symptômes varient considérablement selon le type de virus et l'organe ou le tissu qu'il infecte.

Certaines maladies virales courantes incluent le rhume, la grippe, la rougeole, les oreillons, la rubéole, la varicelle, l'herpès, l'hépatite, la poliomyélite et le VIH/SIDA. Certaines de ces maladies peuvent être prévenues par des vaccins, tandis que d'autres doivent être traitées avec des médicaments antiviraux spécifiques une fois qu'elles se sont développées.

Il est important de noter que certaines infections virales peuvent devenir chroniques et persister dans le corps pendant des mois ou même des années, entraînant des complications à long terme. De plus, certains virus ont la capacité de muter, ce qui rend difficile le développement d'un traitement ou d'un vaccin efficace contre eux.

Une épidémie de maladie, également appelée outbreak en anglais, est un événement dans lequel une maladie infectieuse se produit soudainement et de manière inattendue dans une population donnée à des taux supérieurs aux normales attendues. Pour qu'un événement soit qualifié d'épidémie, il doit y avoir un nombre accru de cas liés dans le temps et l'espace. Les épidémies peuvent être causées par des agents pathogènes nouveaux ou existants et peuvent survenir lorsque les conditions favorisent la transmission de ces agents.

Les facteurs qui peuvent contribuer à une épidémie comprennent les déplacements internationaux, les changements climatiques, les catastrophes naturelles, les conflits armés et les effondrements des systèmes de santé publique. Les épidémies peuvent être localisées dans une communauté ou une région spécifique, ou elles peuvent se propager à d'autres régions ou pays, devenant ainsi une pandémie.

Les professionnels de la santé publique travaillent activement à prévenir et à contrôler les épidémies en surveillant les maladies infectieuses, en identifiant rapidement les cas et les clusters de cas, en mettant en œuvre des mesures d'intervention rapides pour arrêter la propagation de l'agent pathogène et en fournissant des soins aux personnes touchées.

Une lignée cellulaire est un groupe homogène de cellules dérivées d'un seul type de cellule d'origine, qui se divisent et se reproduisent de manière continue dans des conditions de culture en laboratoire. Ces cellules sont capables de maintenir certaines caractéristiques spécifiques à leur type cellulaire d'origine, telles que la forme, les fonctions et les marqueurs moléculaires, même après plusieurs générations.

Les lignées cellulaires sont largement utilisées dans la recherche biomédicale pour étudier divers processus cellulaires et moléculaires, tester de nouveaux médicaments, développer des thérapies et comprendre les mécanismes sous-jacents aux maladies humaines. Il est important de noter que certaines lignées cellulaires peuvent présenter des anomalies chromosomiques ou génétiques dues à leur manipulation en laboratoire, ce qui peut limiter leur utilisation dans certains contextes expérimentaux ou cliniques.

Le pouvoir cytopathogène d'un virus fait référence à sa capacité à causer des dommages et des modifications visibles dans les cellules qu'il infecte. Ces changements peuvent inclure la destruction des cellules (cytolyse), l'arrêt de leur division et de leur croissance, ou l'induction de leur transformation maligne.

Lorsqu'un virus pénètre dans une cellule hôte, il s'intègre à son génome et utilise les mécanismes cellulaires pour se répliquer. Ce processus peut perturber le fonctionnement normal de la cellule et entraîner des changements structurels et fonctionnels qui sont caractéristiques de l'infection virale.

Le pouvoir cytopathogène varie selon les différents types de virus et peut être un facteur important dans la gravité de la maladie qu'ils causent. Certains virus, comme le virus de la grippe, ont un pouvoir cytopathogène relativement faible et ne causent que des dommages limités aux cellules infectées. D'autres virus, tels que les papillomavirus humains (HPV) ou le virus de l'herpès simplex (HSV), ont un pouvoir cytopathogène plus élevé et peuvent entraîner des modifications significatives dans les cellules infectées, y compris la transformation maligne dans le cas du HPV.

En général, le pouvoir cytopathogène d'un virus est déterminé par l'étude de ses effets sur les cultures cellulaires en laboratoire. Les changements observés dans les cellules infectées peuvent être utilisés pour identifier et caractériser le virus, ainsi que pour évaluer son potentiel pathogène.

Un assemblage viral est le processus par lequel les composants individuels d'un virus, tels que l'ARN ou l'ADN viral, la capside protéique et, dans certains cas, une enveloppe lipidique, sont assemblés pour former un virion infectieux mature. Ce processus est médié par des interactions spécifiques entre les composants viraux et peut être régulé par des facteurs hôtes. L'assemblage a généralement lieu à l'intérieur d'une cellule hôte infectée, après que le génome viral se soit répliqué et que les protéines virales aient été synthétisées. Une fois l'assemblage terminé, les virions peuvent être libérés de la cellule hôte par bourgeonnement ou par lyse de la cellule.

Il est important de noter qu'il existe différentes stratégies d'assemblage pour différents types de virus. Par exemple, certains virus à ARN simple brin (+) peuvent utiliser une stratégie d'assemblage en une seule étape, dans laquelle le génome viral et les protéines structurales s'assemblent spontanément pour former un virion infectieux. D'autres virus, tels que les rétrovirus, nécessitent plusieurs étapes pour assembler leurs composants, y compris la reverse transcription du génome ARN en ADNc et l'intégration de l'ADNc dans le génome de l'hôte.

L'assemblage viral est un domaine de recherche actif en virologie, car une meilleure compréhension de ce processus peut fournir des cibles pour le développement de nouveaux médicaments antiviraux et de stratégies d'intervention.

La vaccination, également appelée immunisation active, est un processus qui introduit dans l'organisme des agents extérieurs (vaccins) capable de provoquer une réponse immunitaire. Ces vaccins sont généralement constitués de micro-organismes morts ou affaiblis, ou de certaines parties de ceux-ci.

Le but de la vaccination est d'exposer le système immunitaire à un pathogène (germe causant une maladie) de manière contrôlée, afin qu'il puisse apprendre à le combattre et à s'en protéger. Cela prépare le système immunitaire à réagir rapidement et efficacement si la personne est exposée au pathogène réel dans le futur, empêchant ainsi ou atténuant les symptômes de la maladie.

La vaccination est considérée comme l'une des interventions de santé publique les plus importantes et les plus réussies, ayant permis d'éradiquer certaines maladies graves telles que la variole et de contrôler d'autres maladies infectieuses majeures.

Les virus oncolytiques sont un type de thérapie anticancéreuse qui utilise des virus génétiquement modifiés pour cibler et détruire sélectivement les cellules cancéreuses. Ces virus s'infiltrent dans les cellules cancéreuses, se répliquent à l'intérieur d'elles et provoquent leur lyse ou leur mort. Lorsque les cellules cancéreuses éclatent, elles libèrent de nouveaux virions qui peuvent infecter et détruire d'autres cellules cancéreuses environnantes.

Le processus de destruction des cellules cancéreuses par ces virus peut également déclencher une réponse immunitaire supplémentaire contre le cancer, entraînant la mort d'autres cellules cancéreuses distantes. Cette approche combine donc directement l'effet cytotoxique du virus avec l'activation de la réponse immunitaire pour potentialiser l'élimination des tumeurs solides.

Les virus oncolytiques sont généralement conçus de manière à ne pas infecter et à se répliquer dans les cellules saines, ce qui permet de minimiser les effets secondaires indésirables sur les tissus normaux. De plus, la capacité des virus à évoluer et à muter peut être exploitée pour améliorer leur sélectivité et leur efficacité contre différents types de cellules cancéreuses.

Plusieurs plateformes virales sont actuellement explorées dans le développement de thérapies oncolytiques, y compris les adénovirus, les herpès simplex virus, les vaccinia virus, les picornavirus et les reovirus. Des essais cliniques sont en cours pour évaluer l'innocuité et l'efficacité de ces thérapies dans le traitement de divers cancers, tels que les glioblastomes, les carcinomes hépatocellulaires, les mélanomes et d'autres types de tumeurs solides.

Le Simian Virus 40 (SV40) est un virus polyomavirus simien qui a été découvert dans des cultures de reins rénaux de singes macaques crabiers utilisés pour la production de vaccins polio inactivés. Il s'agit d'un petit ADN circularisé, non enveloppé, à double brin, qui code pour plusieurs protéines virales, y compris les capsides majeures et mineures, ainsi que deux protéines régulatrices d'transcription.

Bien que le SV40 ne soit pas connu pour causer des maladies chez les singes, il peut être pathogène pour les humains, en particulier chez les personnes dont le système immunitaire est affaibli. L'infection par le SV40 a été associée à un risque accru de certains cancers, tels que les sarcomes des tissus mous et les méningiomes, bien que la relation causale ne soit pas clairement établie.

Le SV40 est considéré comme un agent contaminant potentiel dans certains vaccins vivants atténués, tels que le vaccin contre la polio oral (VPO) et le vaccin rougeole-oreillons-rubéole (ROR). Cependant, les vaccins produits aux États-Unis depuis les années 1960 ont été testés pour l'absence de SV40.

Les gènes viraux se réfèrent aux segments d'ADN ou d'ARN qui composent le génome des virus et codent pour les protéines virales essentielles à leur réplication, infection et propagation. Ces gènes peuvent inclure ceux responsables de la production de capside (protéines structurelles formant l'enveloppe du virus), des enzymes de réplication et de transcription, ainsi que des protéines régulatrices impliquées dans le contrôle du cycle de vie viral.

Dans certains cas, les gènes viraux peuvent également coder pour des facteurs de pathogénicité, tels que des protéines qui suppriment la réponse immunitaire de l'hôte ou favorisent la libération et la transmission du virus. L'étude des gènes viraux est cruciale pour comprendre les mécanismes d'infection et de pathogenèse des virus, ce qui permet le développement de stratégies thérapeutiques et préventives ciblées contre ces agents infectieux.

La virothérapie oncolytique est une forme émergente de thérapie anticancéreuse qui utilise des virus génétiquement modifiés pour cibler et détruire sélectivement les cellules cancéreuses. Le processus d'oncolyse est déclenché lorsque ces virus infectent et se répliquent dans les cellules cancéreuses, entraînant leur destruction.

Ce traitement présente plusieurs avantages potentiels :

1. Spécificité : Les virus oncolytiques sont conçus pour cibler spécifiquement les cellules cancéreuses, ce qui réduit l'impact sur les cellules saines environnantes.
2. Réplication virale : Une fois que le virus infecte une cellule cancéreuse, il se réplique à l'intérieur d'elle, entraînant sa destruction et la libération de nouveaux virus qui peuvent ensuite infecter d'autres cellules cancéreuses.
3. Immunothérapie : Lorsque les cellules cancéreuses sont détruites, elles libèrent des antigènes tumoraux qui peuvent stimuler le système immunitaire du patient, entraînant une réponse immunitaire supplémentaire contre les cellules cancéreuses restantes.

Cependant, il existe également des défis associés à cette forme de thérapie, tels que la possibilité d'une réaction immunitaire excessive, la résistance aux virus oncolytiques et la difficulté à administrer le traitement de manière efficace. Malgré ces obstacles, la virothérapie oncolytique continue d'être explorée comme un moyen prometteur de traiter divers types de cancers.

Un virus des plantes est un agent infectieux, généralement non constitué de cellules et plus petit qu'une bactérie, qui se reproduit en s'introduisant dans les cellules vivantes des plantes. Il utilise la machinerie cellulaire de la plante hôte pour se répliquer et produire de nouvelles particules virales. Les virus des plantes peuvent entraîner une large gamme de symptômes chez les plantes infectées, y compris des taches chlorotiques, des nanismes, des déformations, des mosaïques foliaires, des flétrissements et même la mort de la plante. Ils se propagent souvent par le biais de divers vecteurs, tels que les insectes, les acariens, les nématodes ou les spores fongiques, ainsi que par contact direct entre les plantes ou à travers le sol. Certains virus des plantes peuvent également être transmis par les graines ou le pollen. Les méthodes de contrôle des virus des plantes comprennent l'utilisation de variétés résistantes ou tolérantes aux virus, la rotation des cultures, la suppression des mauvaises herbes hôtes et la lutte contre les vecteurs.

Un essai de plaque virale est une méthode de laboratoire utilisée pour quantifier le nombre de virus infectieux dans un échantillon. Cette technique consiste à mélanger l'échantillon avec des cellules sensibles aux virus en culture, qui sont ensuite réparties dans un plateau à fond plat et incubées pendant plusieurs heures. Au cours de cette incubation, les virus infectent et tuent les cellules, créant des zones claires ou "plaques" visibles à l'œil nu contre le fond opaque des cellules vivantes.

L'étape suivante consiste à ajouter une substance qui réagit avec les protéines des cellules mortes, comme un colorant vital ou un anticorps marqué, produisant une réaction visible dans les plaques. En comptant le nombre de plaques dans chaque puits et en tenant compte du volume d'échantillon utilisé pour l'infection, on peut calculer le titre viral, exprimé comme le nombre de particules virales infectieuses par millilitre (pvu/mL).

Cette méthode est largement utilisée dans la recherche et le diagnostic des maladies infectieuses pour déterminer la charge virale, évaluer l'efficacité des traitements antiviraux et étudier les propriétés des virus. Cependant, il convient de noter que tous les types de virus ne forment pas de plaques visibles, ce qui limite l'utilité de cette méthode à certains types de virus.

L'hémadsorption est un processus dans lequel les cellules sanguines, en particulier les leucocytes (globules blancs), adhèrent ou collent aux parois des vaisseaux sanguins. Cela peut se produire en réponse à une infection ou à une inflammation, où les globules blancs tentent de combattre l'agent pathogène ou les dommages tissulaires. L'hémadsorption peut également être observée dans certaines maladies auto-immunes et certains états prépathologiques.

Dans un contexte médical et clinique, l'hémadsorption est souvent mentionnée en relation avec les traitements de purification du sang, tels que les échanges plasmatiques ou les dialyses. Dans ces procédures, lorsque le sang passe à travers des colonnes spécialisées remplies de matériaux adsorbants, certains composés indésirables peuvent être retirés du sang en étant absorbés par ces matériaux. Ce processus est également appelé hémoperfusion.

L'hémadsorption a été explorée comme une stratégie thérapeutique pour traiter certaines overdoses médicamenteuses, intoxications et certains états inflammatoires graves. Cependant, son utilisation est limitée par des facteurs tels que la disponibilité, les coûts et les risques associés aux procédures d'épuration du sang.

Les protéines Nucléocapside, également connues sous le nom de protéines N, sont des protéines structurelles importantes dans la composition de certains virus. Dans un virus, elles jouent un rôle crucial en se liant à l'acide nucléique (ARN ou ADN) pour former une structure protectrice appelée nucléocapside. Cette structure protège l'acide nucléique du virus des enzymes et des défenses de l'hôte qui tenteraient de dégrader ou de neutraliser l'acide nucléique.

Dans le contexte de la réplication virale, les protéines Nucléocapside sont également souvent responsables du packaging de l'acide nucléique du virus dans les particules virales nouvellement formées pendant le processus d'assemblage et de libération. Ces protéines peuvent également jouer un rôle dans la régulation de la réplication et de la transcription du génome viral, ainsi que dans l'inhibition de la réponse immunitaire de l'hôte.

Les protéines Nucléocapside sont souvent ciblées par les vaccins et les thérapies antivirales en raison de leur importance critique dans le cycle de vie du virus. Par exemple, dans le cas du SARS-CoV-2 (le virus responsable de la COVID-19), les protéines Nucléocapside sont souvent utilisées comme antigènes pour développer des tests sérologiques et des vaccins.

La réaction de neutralisation est un processus dans le domaine de l'immunologie qui se produit lorsqu'un anticorps se lie spécifiquement à un antigène, entraînant la neutralisation ou l'inactivation de ce dernier. Cela se produit généralement lorsque l'anticorps se lie aux sites actifs du pathogène (comme une bactérie ou un virus), empêchant ainsi le pathogène de se lier et d'infecter les cellules hôtes.

Ce processus est crucial dans la réponse immunitaire adaptative, où des lymphocytes B spécifiques produisent des anticorps après avoir été activés par la reconnaissance d'un antigène étranger. Les anticorps neutralisants sont particulièrement importants dans la défense contre les virus et les toxines bactériennes, car ils peuvent prévenir l'infection initiale ou limiter la propagation de l'infection en empêchant le pathogène de se lier aux cellules hôtes.

La réaction de neutralisation est souvent utilisée dans les tests de laboratoire pour détecter et mesurer la présence d'anticorps spécifiques contre un antigène donné, ce qui peut être utile dans le diagnostic des maladies infectieuses et l'évaluation de l'efficacité des vaccins.

Les données de séquence moléculaire se réfèrent aux informations génétiques ou protéomiques qui décrivent l'ordre des unités constitutives d'une molécule biologique spécifique. Dans le contexte de la génétique, cela peut inclure les séquences d'ADN ou d'ARN, qui sont composées d'une série de nucléotides (adénine, thymine, guanine et cytosine pour l'ADN; adénine, uracile, guanine et cytosine pour l'ARN). Dans le contexte de la protéomique, cela peut inclure la séquence d'acides aminés qui composent une protéine.

Ces données sont cruciales dans divers domaines de la recherche biologique et médicale, y compris la génétique, la biologie moléculaire, la médecine personnalisée, la pharmacologie et la pathologie. Elles peuvent aider à identifier des mutations ou des variations spécifiques qui peuvent être associées à des maladies particulières, à prédire la structure et la fonction des protéines, à développer de nouveaux médicaments ciblés, et à comprendre l'évolution et la diversité biologique.

Les technologies modernes telles que le séquençage de nouvelle génération (NGS) ont rendu possible l'acquisition rapide et économique de vastes quantités de données de séquence moléculaire, ce qui a révolutionné ces domaines de recherche. Cependant, l'interprétation et l'analyse de ces données restent un défi important, nécessitant des méthodes bioinformatiques sophistiquées et une expertise spécialisée.

Le virus Sindbis est un type d'arbovirus (virus transmis par les arthropodes) de la famille des Togaviridae et du genre Alphavirus. Il est nommé d'après le village de Sindbis en Finlande, où il a été initialement isolé en 1952. Ce virus est largement répandu dans les régions tropicales et tempérées d'Europe, d'Asie, d'Afrique et d'Australie.

Le virus Sindbis se transmet généralement à l'homme par la piqûre de moustiques infectés, en particulier les espèces du genre Culex. Après une période d'incubation de 5 à 14 jours, l'infection peut provoquer une maladie bénigne connue sous le nom de «fièvre de Pogosta» ou «syndrome Sindbis», qui se caractérise par des symptômes pseudo-grippaux tels que fièvre, maux de tête, douleurs musculaires et articulaires, éruptions cutanées et fatigue. Dans la plupart des cas, les personnes infectées ne présentent aucun symptôme ou ne ressentent qu'une légère maladie qui se résout spontanément en quelques jours à deux semaines.

Cependant, dans de rares cas, le virus Sindbis peut provoquer des complications telles que la méningite aseptique (inflammation des membranes protectrices du cerveau et de la moelle épinière) ou la myélite transverse (inflammation de la moelle épinière). Ces complications sont généralement auto-limitantes et n'entraînent pas de séquelles permanentes.

Il n'existe actuellement aucun traitement spécifique ni vaccin disponible contre le virus Sindbis. Le traitement est principalement symptomatique et vise à soulager les symptômes désagréables tels que la fièvre, les douleurs musculaires et articulaires, et l'hydratation adéquate. La prévention des piqûres de moustiques, qui sont le vecteur du virus Sindbis, est essentielle pour réduire le risque d'infection.

Les oreillons sont une infection virale aiguë courante qui affecte principalement les glandes salivaires parotides, situées juste devant chaque oreille. Le virus des oreillons est un virus à ARN appartenant à la famille des Paramyxoviridae. La maladie est généralement bénigne mais peut entraîner des complications graves dans de rares cas.

Les symptômes typiques des oreillons comprennent une douleur et un gonflement douloureux des glandes parotides, de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et une fatigue générale. Les complications possibles peuvent inclure une méningite, une encéphalite, une orchite (inflammation des testicules), une ostéïte (inflammation des os) ou une pancréatite.

Le mode de transmission des oreillons est principalement par la salive et les gouttelettes respiratoires infectieuses, généralement lors d'un contact étroit avec une personne infectée, telles que le partage de verres ou d'ustensiles de cuisine, ainsi que par la toux et les éternuements.

La prévention des oreillons repose sur la vaccination, qui est généralement administrée sous forme d'un vaccin combiné contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR). Les mesures d'hygiène telles que se couvrir la bouche et le nez lorsque l'on tousse ou éternue, se laver régulièrement les mains et éviter de partager des articles personnels peuvent également aider à prévenir la propagation de la maladie.

Haplorhini est un clade ou superordre dans la classification taxonomique des primates, qui comprend les singes, les loris et les tarsiers. Ce groupe se distingue par une série de caractéristiques anatomiques et comportementales, notamment un nez sec sans rhinarium (zone humide et sensible autour des narines), une vision binoculaire avancée, une audition sophistiquée avec un tympan mobile, et une structure du cerveau similaire à celle des humains.

Les Haplorhini se divisent en deux infra-ordres : Simiiformes (singes) et Tarsiiformes (tarsiers). Les singes sont plus diversifiés et comprennent les platyrhines (singes du Nouveau Monde) et les catarrhines (singes de l'Ancien Monde, y compris les hominoïdes ou grands singes et les cercopithécoides ou singes de l'Ancien Monde).

Les Haplorhini sont considérés comme étant plus étroitement liés aux humains que les strepsirrhins, qui comprennent les lémuriens, les galagos et les loris. Les haplorrhinés ont évolué vers des modes de vie diurnes et arboricoles ou terrestres, tandis que les strepsirrhiniens sont principalement nocturnes et arboricoles.

Le virus de la grippe A sous-type H1N1 est un type particulier de virus de la grippe A, qui appartient à la famille des Orthomyxoviridae. Ce sous-type est connu pour causer des infections respiratoires aiguës chez l'homme et d'autres mammifères.

Le H1N1 fait référence aux antigènes de surface du virus, à savoir l'hémagglutinine (H) et la neuraminidase (N). Dans le cas du sous-type H1N1, l'hémagglutinine est de type 1 et la neuraminidase est de type 1.

Le sous-type H1N1 a été responsable de plusieurs pandémies au cours du XXe siècle, y compris la pandémie de grippe espagnole de 1918 à 1919, qui a causé des millions de décès dans le monde entier. Plus récemment, une nouvelle souche de H1N1 a émergé en 2009 et s'est rapidement propagée dans le monde entier, entraînant une pandémie déclarée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Les symptômes de la grippe causés par le sous-type H1N1 sont similaires à ceux d'autres types de grippe et peuvent inclure de la fièvre, des frissons, une toux sèche, un mal de gorge, des maux de tête, des douleurs musculaires et articulaires, de la fatigue et une respiration difficile. Dans les cas graves, le virus peut entraîner une pneumonie, une insuffisance respiratoire aiguë et d'autres complications potentiellement mortelles.

Le sous-type H1N1 est généralement transmis d'une personne à l'autre par des gouttelettes respiratoires qui se propagent dans l'air lorsqu'une personne infectée tousse, éternue ou parle. Il peut également être transmis en touchant une surface contaminée par le virus et en se touchant ensuite les yeux, le nez ou la bouche.

Les vaccins contre la grippe saisonnière peuvent offrir une certaine protection contre le sous-type H1N1, bien que la composition du vaccin soit modifiée chaque année pour tenir compte des souches de virus en circulation. Les antiviraux peuvent également être utilisés pour traiter les infections à H1N1 et prévenir les complications graves chez les personnes à risque élevé de maladie grave, telles que les personnes âgées, les jeunes enfants, les femmes enceintes et les personnes atteintes de certaines conditions médicales sous-jacentes.

L'attachement viral est le processus par lequel un virus se lie et pénètre dans une cellule hôte pour y établir une infection. Cela implique généralement l'interaction entre des protéines de surface du virus et des récepteurs spécifiques situés sur la membrane plasmique de la cellule cible. Ce mécanisme est crucial pour le cycle de vie des virus, car il permet leur entrée dans les cellules et leur réplication ultérieure.

Dans le contexte médical, l'attachement viral est un domaine d'étude important dans la compréhension des infections virales et le développement de stratégies thérapeutiques et préventives. Par exemple, les recherches sur l'attachement viral ont conduit au développement de médicaments antiviraux qui ciblent spécifiquement ces interactions protéine-récepteur pour empêcher l'infection virale. De plus, la connaissance des mécanismes d'attachement viral peut également informer le développement de vaccins et d'autres interventions de santé publique visant à prévenir la propagation des maladies infectieuses.

La 5'-nucleotidase est une enzyme qui se trouve à la surface de certaines cellules dans le corps humain. Elle joue un rôle important dans le métabolisme des nucléotides, qui sont les composants de base des acides nucléiques, comme l'ADN et l'ARN.

Plus précisément, la 5'-nucleotidase catalyse la réaction qui déphosphoryle les nucléotides monophosphates en nucléosides et phosphate inorganique. Cette réaction est importante pour réguler la concentration intracellulaire de nucléotides et pour permettre leur recyclage ou leur élimination.

La 5'-nucleotidase est exprimée à la surface des érythrocytes (globules rouges), des hépatocytes (cellules du foie), des ostéoclastes (cellules qui dégradent les os) et d'autres types cellulaires. Des anomalies de l'activité de cette enzyme peuvent être associées à certaines maladies, comme la maladie de Gaucher ou l'hémochromatose.

Des tests de laboratoire peuvent être utilisés pour mesurer l'activité de la 5'-nucleotidase dans le sang ou d'autres fluides corporels, ce qui peut aider au diagnostic ou au suivi de certaines affections médicales.

Je suis désolé, mais il n'existe pas de terme médical reconnu appelé "virus rage". Il est possible que vous cherchiez des informations sur la «colère des virus», qui est un terme utilisé pour décrire une réponse immunitaire excessive et agressive à une infection virale. Cependant, ce n'est pas non plus un terme médical formellement reconnu.

Dans certains contextes, "virus rage" peut être mal utilisé comme une description informelle de la colère ou de l'agitation ressentie par quelqu'un qui souffre d'une infection virale grave et invalidante. Cependant, il est important de noter que ces symptômes ne sont pas causés directement par le virus lui-même, mais plutôt par la réponse du système immunitaire à l'infection.

Si vous cherchez des informations sur une infection virale spécifique ou ses symptômes, je serais heureux de vous fournir plus d'informations à ce sujet.

Le virus A de la grippe H5N1, également connu sous le nom de grippe aviaire hautement pathogène, est un type particulier de virus de la grippe de type A qui est principalement répandu chez les oiseaux aquatiques mais peut également infecter d'autres espèces animales et, plus rarement, les humains. Le H dans H5N1 se réfère au type de hémagglutinine (une protéine présente à la surface du virus) et le 5 indique la sous-type spécifique. De même, le N dans H5N1 représente le type de neuraminidase (une autre protéine à la surface du virus) et le 1 indique le sous-type spécifique.

Le virus H5N1 est hautement pathogène chez les oiseaux, ce qui signifie qu'il peut provoquer une maladie grave et souvent mortelle chez les volailles infectées. Il peut également se propager rapidement dans les populations d'oiseaux et causer des épidémies importantes.

Bien que le virus H5N1 soit rarement détecté chez l'homme, il peut être très grave lorsqu'il est transmis aux humains. Les symptômes de la grippe H5N1 peuvent inclure de la fièvre, une toux sévère, des difficultés respiratoires et des douleurs musculaires. Dans les cas graves, il peut entraîner une pneumonie, une insuffisance respiratoire aiguë, des lésions organiques multiples et la mort.

Heureusement, le virus H5N1 ne se transmet pas facilement d'une personne à l'autre, mais il existe un risque de transmission lors de contacts étroits avec des oiseaux infectés ou des surfaces contaminées par le virus. Il y a également un risque théorique que le virus puisse muter et devenir plus transmissible entre les humains, ce qui pourrait entraîner une pandémie mondiale. C'est pourquoi il est important de continuer à surveiller la propagation du virus H5N1 et à prendre des mesures pour prévenir sa transmission.

Les vaccins atténués, également connus sous le nom de vaccins vivants atténués, sont un type de vaccin qui contient une version affaiblie d'un agent pathogène (virus, bacteria) capable de provoquer une maladie. Ces vaccins sont conçus pour stimuler une réponse immunitaire protectrice sans causer la maladie elle-même.

Pour produire des vaccins atténués, les agents pathogènes sont d'abord isolés à partir de patients ou d'animaux infectés, puis cultivés en laboratoire. À l'aide de diverses techniques, les micro-organismes sont affaiblis ou atténués, ce qui signifie qu'ils ont perdu leur capacité à provoquer une maladie grave tout en conservant la capacité de se répliquer dans l'organisme hôte.

Lorsqu'une personne reçoit un vaccin atténué, son système immunitaire reconnaît le micro-organisme affaibli comme une menace potentielle et monte une réponse immunitaire pour l'éliminer. Ce processus implique la production d'anticorps et l'activation de cellules T spécifiques à l'antigène, qui resteront en mémoire après la vaccination. Si la personne est exposée plus tard au micro-organisme sauvage, son système immunitaire sera prêt à le combattre rapidement et efficacement, offrant ainsi une protection contre la maladie.

Les vaccins atténués sont couramment utilisés pour prévenir diverses maladies infectieuses telles que la rougeole, les oreillons, la rubéole, la varicelle, la tuberculose et la poliomyélite. Cependant, ils peuvent ne pas être recommandés pour certaines personnes présentant un système immunitaire affaibli ou des problèmes de santé sous-jacents, car il existe un risque théorique que les micro-organismes atténués puissent se multiplier et provoquer une maladie.

Les cellules géantes sont des cellules anormales qui se forment lorsque plusieurs cellules se fusionnent ou quand une cellule subit une hypertrophie (un agrandissement excessif) en réponse à certaines conditions pathologiques. Ces cellules sont souvent déformées et ont un noyau et/ou un cytoplasme plus volumineux que les cellules normales.

Les cellules géantes peuvent être observées dans divers contextes cliniques et pathologiques, y compris dans des maladies inflammatoires, infectieuses, néoplasiques (tumeurs) ou dégénératives. Par exemple :

1. Dans les processus inflammatoires chroniques, comme la granulomatose de Wegener et la sarcoïdose, des cellules géantes multinucléées appelées cellules de Langhans ou cellules de Touton peuvent être trouvées dans les lésions granulomateuses.
2. Dans certaines infections virales, comme le cytomégalovirus (CMV) et le virus de la varicelle-zona, des inclusions virales peuvent être observées dans les cellules géantes.
3. Dans des tumeurs malignes telles que les carcinomes à cellules géantes ou les sarcomes indifférenciés à grandes cellules, les cellules tumorales présentent un aspect géant et anormal.
4. Dans certaines affections dégénératives, comme la maladie de Paget osseuse, des cellules géantes peuvent être observées dans le tissu osseux affecté.

L'apparition de cellules géantes dans un échantillon histopathologique peut fournir des indices importants pour l'établissement d'un diagnostic correct et la planification du traitement approprié.

Un vaccin anti-ourlien, également connu sous le nom de vaccin contre la varicelle, est un vaccin vivant atténué utilisé pour prévenir l'infection par le virus de la varicelle-zona (VZV). Il contient une forme affaiblie du virus qui stimule une réponse immunitaire protectrice sans causer la maladie.

Le vaccin est généralement administré en deux doses, la première dose étant donnée entre l'âge de 12 et 15 mois et la deuxième dose entre les âges de 4 et 6 ans. Il peut également être administré à des personnes de tout âge qui n'ont pas eu la varicelle ou qui n'ont pas été vaccinées auparavant, en fonction de leur état de santé et de leur exposition potentielle au virus.

Le vaccin anti-ourlien est considéré comme sûr et efficace pour prévenir la varicelle, qui peut être une maladie grave et compliquée chez les personnes ayant un système immunitaire affaibli, les femmes enceintes et les nouveau-nés. Les effets secondaires courants du vaccin comprennent une douleur ou une rougeur au site d'injection, une légère fièvre et une éruption cutanée bénigne qui ressemble à la varicelle.

Le Virus Respiratoire Syncytial (VRS) est un virus à ARN simple brin de la famille des Pneumoviridae. Il est l'un des principaux agents responsables des infections respiratoires aiguës, particulièrement chez les nourrissons et les jeunes enfants. Le VRS infecte généralement les cellules épithéliales des voies respiratoires supérieures et inférieures, entraînant une gamme de symptômes allant du simple rhume à une bronchiolite ou une pneumonie sévère.

Le virus se transmet facilement d'une personne à l'autre par contact direct avec des gouttelettes respiratoires infectées, par exemple lorsqu'une personne infectée tousse ou éternue. Les symptômes de la maladie causée par le VRS apparaissent généralement dans les 4 à 6 jours suivant l'exposition et peuvent inclure une toux, un nez qui coule ou bouché, une fièvre légère à modérée, des maux de gorge et des maux de tête. Dans les cas plus graves, surtout chez les nourrissons prématurés, les enfants souffrant d'affections cardiaques ou pulmonaires sous-jacentes, et les personnes âgées ou immunodéprimées, le VRS peut provoquer une inflammation des voies respiratoires inférieures, entraînant une difficulté à respirer et une détresse respiratoire.

Actuellement, il n'existe pas de vaccin disponible contre le VRS, mais des traitements symptomatiques peuvent être administrés pour soulager les symptômes et prévenir les complications. Les mesures de prévention comprennent le lavage régulier des mains, l'évitement des contacts étroits avec des personnes malades et le maintien d'un environnement propre et bien ventilé.

Sigmodontinae est une sous-famille de rongeurs de la famille des Cricetidae, qui comprend environ 300 espèces réparties dans plus de 70 genres. Ils sont également connus sous le nom de souris sigmodontines ou nouveaux mondes.

Les membres de Sigmodontinae se trouvent principalement en Amérique du Sud, avec quelques représentants en Amérique centrale et en Amérique du Nord. Ces rongeurs sont généralement petits à moyens, avec une longueur totale du corps allant de 5 à 30 cm et un poids allant de 10 grammes à plus d'un kilogramme.

Les caractéristiques distinctives de Sigmodontinae comprennent des crânes graciles, une arcade zygomatique étroite, des molaires hypsodontes (à couronne haute) avec des cuspides pointues et un sillon lingual profond.

Les espèces de Sigmodontinae occupent une grande variété d'habitats, y compris les forêts tropicales, les prairies, les déserts, les marécages et les zones humides. Ils sont généralement herbivores ou omnivores, se nourrissant de graines, de fruits, d'insectes et d'autres matières végétales.

Sigmodontinae est une sous-famille diversifiée qui comprend des rongeurs bien connus tels que les souris à poche (genre Phyllotis), les rats palmistes (genre Oryzomys) et les rats de poche (genre Thomomys). Certaines espèces sont importantes pour la recherche médicale en tant qu'organismes modèles, tandis que d'autres ont une importance économique en tant que ravageurs des cultures ou des réservoirs de maladies.

Il est important de noter que les membres de Sigmodontinae peuvent être porteurs de zoonoses, c'est-à-dire de maladies qui peuvent se transmettre entre les animaux et les humains. Par conséquent, il est essentiel de manipuler ces rongeurs avec soin et d'éviter tout contact direct avec eux ou leurs excréments pour minimiser le risque de transmission de maladies.

Le virus de la stomatite vésiculaire d'Indiana (VSIV) est une espèce de rhabdovirus qui cause une maladie virale appelée stomatite vésiculaire. Cette maladie affecte principalement les équidés (chevaux, ânes et mules), ainsi que les bovins, les porcs et parfois les humains. Chez les animaux, la maladie se manifeste par l'apparition de vésicules ou de petites lésions remplies de liquide sur la muqueuse de la bouche, des lèvres, du nez et des mamelles. Chez l'homme, l'infection peut provoquer des symptômes pseudo-grippaux tels que fièvre, maux de tête, douleurs musculaires et éruptions cutanées sur les muqueuses ou la peau exposée. Le VSIV est généralement transmis par contact direct avec des animaux infectés ou par des insectes vecteurs, tels que les mouches et les moustiques. Il est important de noter que bien que le VSIV puisse causer des maladies chez l'homme et les animaux, il n'est pas considéré comme un agent d'une zoonose importante.

Les programmes d'immunisation, également appelés programmes de vaccination, sont des initiatives de santé publique conçues pour promouvoir et fournir des vaccins systématiques à une population donnée dans le but de prévenir la propagation des maladies infectieuses évitables par la vaccination. Ces programmes sont généralement mis en œuvre par les gouvernements, en collaboration avec les organismes de santé internationaux et les prestataires de soins de santé, et visent à assurer une couverture vaccinale adéquate et équitable dans l'ensemble de la population.

Les programmes d'immunisation comprennent souvent des calendriers recommandés pour l'administration des vaccins, en fonction de l'âge et du statut de santé de l'individu, ainsi que des stratégies pour atteindre les populations mal desservies ou difficiles à atteindre. Ils peuvent également inclure des efforts de sensibilisation et d'éducation du public, des systèmes de surveillance et de notification des événements indésirables, ainsi que des programmes de suivi et de rappel pour assurer la complétion des séries de vaccins.

Les programmes d'immunisation ont contribué à éradiquer ou à contrôler efficacement un certain nombre de maladies infectieuses graves, telles que la variole, la poliomyélite et la rougeole, et continuent de jouer un rôle crucial dans la protection de la santé publique.

L'hémagglutination virale est un processus dans lequel un virus agglutine les érythrocytes (globules rouges) ensemble, formant des clusters visibles. Cela se produit lorsque la protéine de surface du virus interagit avec les récepteurs sur la membrane des érythrocytes. Ce phénomène est souvent utilisé en laboratoire comme un moyen simple et rapide pour détecter et titrer certains types de virus, tels que les virus de la grippe. Dans ce contexte, le test d'hémagglutination est couramment utilisé pour diagnostiquer l'infection et suivre la propagation de la maladie. Cependant, il est important de noter que tous les virus ne causent pas l'hémagglutination, et donc ce test n'est pas universellement applicable à tous les types de virus.

Cricetinae est un terme utilisé en taxonomie pour désigner une sous-famille de rongeurs appartenant à la famille des Muridae. Cette sous-famille comprend les hamsters, qui sont de petits mammifères nocturnes avec des poches à joues extensibles utilisées pour le transport et le stockage de nourriture. Les hamsters sont souvent élevés comme animaux de compagnie en raison de leur taille relativement petite, de leur tempérament doux et de leurs besoins d'entretien relativement simples.

Les membres de la sous-famille Cricetinae se caractérisent par une série de traits anatomiques distincts, notamment des incisives supérieures qui sont orientées vers le bas et vers l'avant, ce qui leur permet de mâcher efficacement les aliments. Ils ont également un os hyoïde modifié qui soutient la musculature de la gorge et facilite la mastication et l'ingestion de nourriture sèche.

Les hamsters sont originaires d'Europe, d'Asie et du Moyen-Orient, où ils occupent une variété d'habitats, y compris les déserts, les prairies et les zones montagneuses. Ils sont principalement herbivores, se nourrissant d'une grande variété de graines, de fruits, de légumes et d'herbes, bien que certains puissent également manger des insectes ou d'autres petits animaux.

Dans l'ensemble, la sous-famille Cricetinae est un groupe diversifié de rongeurs qui sont largement étudiés pour leur comportement, leur écologie et leur physiologie. Leur utilisation comme animaux de laboratoire a également contribué à des avancées importantes dans les domaines de la recherche biomédicale et de la médecine humaine.

La rubéole est une infection virale généralement bénigne et hautement contagieuse. Elle est causée par le virus de la rubéole, également connu sous le nom de virus de la rougeole allemande. La rubéole se manifeste principalement par l'apparition d'une éruption cutanée rose pâle sur le visage et le corps, ainsi que par des ganglions lymphatiques enflés derrière les oreilles et à l'arrière de la tête. Les symptômes peuvent également inclure de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et articulaires, et une inflammation de la gorge.

La rubéole est particulièrement dangereuse pour les femmes enceintes, car elle peut provoquer des anomalies congénitales graves chez le fœtus si la mère contracte l'infection pendant les premiers mois de grossesse. Ces anomalies peuvent inclure des défauts cardiaques, des problèmes oculaires et auditifs, une microcéphalie (taille anormalement petite du crâne) et des retards mentaux et moteurs.

La rubéole peut être prévenue par la vaccination. Le vaccin contre la rubéole est souvent combiné avec les vaccins contre la rougeole et les oreillons, formant le vaccin ROR (rougeole-rubéole-oreillons). La vaccination est recommandée pour tous les enfants à l'âge de 12 à 15 mois, suivie d'une dose de rappel entre 4 et 6 ans. Les adultes nés après 1957 qui n'ont pas eu la rubéole ou qui n'ont pas été vaccinés devraient également se faire vacciner.

La peste bovine est une maladie virale extrêmement contagieuse et grave qui affecte les bovidés, y compris les bovins, les buffles, les bisons et les antilopes. Elle est causée par le virus de la peste bovine (BPBV), un membre du genre Morbillivirus dans la famille Paramyxoviridae.

Le BPBV infecte les cellules du système respiratoire et multiplie rapidement, provoquant une forte réaction immunitaire qui peut entraîner des lésions pulmonaires sévères et une pneumonie mortelle. Les symptômes courants de la peste bovine comprennent la fièvre, une toux sèche et persistante, un écoulement nasal purulent, une perte d'appétit et une baisse de production de lait chez les vaches laitières. Les animaux infectés peuvent également présenter des signes de dépression, de diarrhée et de boiterie en raison d'une inflammation des articulations.

La maladie se propage rapidement dans les populations non vaccinées par contact direct avec des animaux infectés ou par inhalation de gouttelettes respiratoires contaminées. Elle peut également être transmise indirectement par le biais d'aliments et d'eau contaminés, ainsi que par l'intermédiaire de vêtements, d'équipements et de véhicules souillés.

La peste bovine est considérée comme une maladie éradiquée depuis 2011 grâce à des efforts de vaccination et de contrôle internationaux coordonnés. Cependant, il reste important de maintenir des mesures de biosécurité strictes pour prévenir toute réintroduction de la maladie dans les populations animales.

La fusion cellulaire est un processus dans lequel deux ou plusieurs cellules s'unissent pour former une seule cellule hybride. Ce phénomène peut survenir naturellement dans certains contextes biologiques, comme la formation des syncytiotrophoblastes pendant la grossesse, où les cellules du trophoblaste s'unissent pour former une barrière protectrice et nutritive à l'interface entre le placenta et l'utérus.

Dans un contexte médical et de recherche, la fusion cellulaire peut être induite artificiellement en laboratoire par divers moyens, tels que l'utilisation d'agents chimiques ou viraux, pour combiner les propriétés et caractéristiques des cellules parentales dans une cellule hybride. Cette technique est utilisée dans la recherche biomédicale pour étudier les interactions cellulaires, créer de nouveaux modèles cellulaires, développer des thérapies géniques ou régénératives, et comprendre les mécanismes fondamentaux de la division cellulaire et du développement.

Cependant, il est important de noter que la fusion cellulaire peut également avoir des implications cliniques négatives, comme dans le cas des tumeurs malignes où les cellules cancéreuses peuvent se fuser avec d'autres types cellulaires pour acquérir de nouvelles capacités invasives et résistances aux traitements. Par conséquent, une meilleure compréhension des mécanismes moléculaires régissant la fusion cellulaire peut fournir des informations précieuses pour le développement de stratégies thérapeutiques visant à prévenir ou inverser ce processus dans les maladies humaines.

Un capside est une structure protectrice constituée de protéines qui entoure le génome d'un virus. Il s'agit d'une couche extérieure rigide ou semi-rigide qui protège l'acide nucléique du virus contre les enzymes et autres agents dégradants présents dans l'environnement extracellulaire. Le capside est généralement constitué de plusieurs copies d'une ou quelques protéines différentes, qui s'assemblent pour former une structure géométrique symétrique.

Le capside joue un rôle important dans la reconnaissance et l'entrée du virus dans la cellule hôte. Il contient souvent des sites de liaison spécifiques aux récepteurs qui permettent au virus d'interagir avec les molécules situées à la surface de la cellule hôte, déclenchant ainsi le processus d'infection.

Le capside est l'une des deux principales structures constituant un virus, l'autre étant l'enveloppe virale, une membrane lipidique qui peut être présente chez certains virus et absente chez d'autres. Les virus dont le génome est entouré par un capside mais pas par une enveloppe sont appelés virus nus ou non enveloppés.

Le virus de la grippe A H3N2 est un sous-type du virus de la grippe A, qui est l'un des trois types de virus de la grippe les plus courants (les deux autres étant le virus de la grippe A H1N1 et le virus de la grippe B). Le virus de la grippe A H3N2 est responsable de nombreux cas de grippe humaine et animale dans le monde.

Le virus de la grippe A H3N2 a une enveloppe virale qui contient deux principales protéines de surface : l'hémagglutinine (H) et la neuraminidase (N). Dans le cas du virus de la grippe A H3N2, la lettre "H" signifie que ce sous-type possède une hémagglutinine de type 3, tandis que la lettre "N" indique qu'il a une neuraminidase de type 2.

Le virus de la grippe A H3N2 peut causer des épidémies et des pandémies chez l'homme. Il est particulièrement dangereux pour les personnes âgées, les jeunes enfants, les femmes enceintes et les personnes atteintes de certaines maladies chroniques. Les symptômes de la grippe causée par le virus de la grippe A H3N2 peuvent inclure de la fièvre, des frissons, des maux de tête, une toux sèche, un écoulement nasal, des douleurs musculaires et une fatigue extrême.

Le virus de la grippe A H3N2 peut également infecter les animaux, tels que les porcs et les oiseaux, et il peut se propager entre les espèces. Les souches du virus de la grippe A H3N2 qui circulent chez les animaux peuvent être différentes de celles qui circulent chez les humains, ce qui signifie qu'il est possible que des humains soient infectés par une souche animale du virus de la grippe A H3N2. Ces infections sont appelées zoonoses.

Le virus de l'hépatite B (VHB) est un agent pathogène qui cause l'hépatite infectieuse aiguë et chronique. Il appartient à la famille des Hepadnaviridae et possède un génome en double brin d'ADN. Le VHB se transmet principalement par contact avec du sang ou d'autres fluides corporels contaminés, tels que le sperme et les sécrétions vaginales. Les modes de transmission incluent le partage de seringues, le contact sexuel, l'exposition professionnelle à des aiguilles contaminées et la transmission périnatale de la mère infectée à son bébé.

L'hépatite B aiguë peut entraîner une inflammation du foie (hépatite), des symptômes pseudo-grippaux, des nausées, des vomissements, une perte d'appétit, de la fatigue, de la douleur articulaire et une urine foncée ou selles décolorées. Dans certains cas, l'infection aiguë peut évoluer vers une hépatite B chronique, ce qui peut entraîner des complications à long terme telles que la cirrhose et le cancer du foie.

Il est important de noter qu'il existe un vaccin contre l'hépatite B, qui est recommandé pour tous les nourrissons dès leur naissance et pour certaines populations à risque, telles que les personnes atteintes d'une maladie hépatique sous-jacente, les personnes qui s'injectent des drogues, les personnes ayant des relations sexuelles avec plusieurs partenaires et les professionnels de la santé exposés à des risques professionnels.

Paramyxoviridae est une famille de virus à ARN monocaténaire à sens négatif qui comprend un certain nombre de virus importants sur le plan médical, tels que les virus respiratoires syncytiaux (VRS), les virus de la grippe, les virus de la parotidite epidémique (oreillons) et le virus de la rougeole. Ces virus sont responsables d'une gamme de maladies allant du rhume banal à des maladies graves telles que la bronchiolite, la pneumonie, l'encéphalite et la méningite. Les membres de cette famille ont une structure enveloppée et présentent des projections glycoprotéiques sur leur surface qui sont importantes pour la fixation et l'entrée dans les cellules hôtes. La réplication du virus se produit dans le cytoplasme de la cellule hôte, et il est connu que certains membres de cette famille peuvent avoir des effets cytopathiques importants sur les cellules infectées.

La nucléocapside est une structure composée d'un nucléoprotéine, qui consiste en une molécule d'ARN viral entourée d'une ou plusieurs protéines. Dans le contexte de la virologie, la nucléocapside se réfère spécifiquement à la structure protectrice qui entoure l'acide nucléique (ADN ou ARN) du virus. Cette structure est importante pour la réplication et la transcription du matériel génétique viral, ainsi que pour la protection de celui-ci contre les défenses de l'hôte. La nucléocapside est souvent une structure stable et résistante qui peut survivre à des conditions environnementales difficiles, ce qui facilite la transmission du virus d'un hôte à un autre.

Le virus du Nil occidental (WNV) est un flavivirus que l'on trouve principalement dans les oiseaux et qui peut être transmis aux humains et à d'autres animaux par des moustiques infectés. La plupart des personnes exposées au virus ne présentent aucun symptôme ou présenteront des symptômes légers, tels qu'une fièvre légère, des maux de tête et une éruption cutanée. Cependant, dans de rares cas, le WNV peut provoquer une maladie grave du système nerveux central, comme une méningite (inflammation des membranes qui entourent le cerveau et la moelle épinière) ou une encéphalite (inflammation du cerveau). Les symptômes de ces affections graves peuvent inclure une raideur de la nuque, une confusion, des convulsions, une paralysie, des tremblements et même le décès.

Le WNV se propage généralement lorsqu'un moustique pique un oiseau infecté, puis pique un humain ou un autre animal. Il n'est pas transmis d'une personne à l'autre par simple contact. Les personnes présentant un risque accru de maladie grave comprennent les personnes âgées et celles dont le système immunitaire est affaibli.

Il n'existe actuellement aucun vaccin ou traitement spécifique contre le WNV, bien que des soins de soutien puissent être fournis pour gérer les symptômes. La prévention consiste principalement à éviter les piqûres de moustiques en utilisant des répulsifs, en portant des vêtements protecteurs et en éliminant les sites de reproduction des moustiques autour des habitations.

L'activation virale est un processus dans lequel un virus inactif ou latent devient actif et se réplique dans l'hôte qu'il infecte. Cela peut se produire lorsque les mécanismes de défense de l'organisme, tels que le système immunitaire, sont affaiblis ou compromis, permettant au virus de se multiplier et de provoquer une infection symptomatique.

Dans certains cas, des facteurs spécifiques peuvent déclencher l'activation virale, tels que le stress, l'exposition à des radiations, la chimiothérapie ou d'autres médicaments qui affaiblissent le système immunitaire.

L'activation virale peut entraîner une variété de symptômes dépendant du type de virus en cause. Par exemple, l'activation du virus de l'herpès peut causer des boutons de fièvre ou des lésions génitales, tandis que l'activation du virus de la varicelle-zona peut entraîner une éruption cutanée douloureuse connue sous le nom de zona.

Il est important de noter que certaines personnes peuvent être infectées par un virus et ne jamais présenter de symptômes, même en cas d'activation virale. Cependant, elles peuvent quand même transmettre le virus à d'autres personnes.

Les glycoprotéines membranaires sont des protéines qui sont liées à la membrane cellulaire et comportent des chaînes de glucides (oligosaccharides) attachées à leur structure. Ces molécules jouent un rôle crucial dans divers processus cellulaires, tels que la reconnaissance cellulaire, l'adhésion cellulaire, la signalisation cellulaire et la régulation du trafic membranaire.

Les glycoprotéines membranaires peuvent être classées en différents types en fonction de leur localisation dans la membrane :

1. Glycoprotéines transmembranaires : Ces protéines traversent la membrane cellulaire une ou plusieurs fois et ont des domaines extracellulaires, cytoplasmiques et transmembranaires. Les récepteurs de nombreuses molécules de signalisation, telles que les hormones et les neurotransmetteurs, sont des glycoprotéines transmembranaires.
2. Glycoprotéines intégrales : Ces protéines sont fermement ancrées dans la membrane cellulaire grâce à une région hydrophobe qui s'étend dans la bicouche lipidique. Elles peuvent avoir des domaines extracellulaires et cytoplasmiques.
3. Glycoprotéines périphériques : Ces protéines sont associées de manière réversible à la membrane cellulaire par l'intermédiaire d'interactions avec d'autres molécules, telles que des lipides ou d'autres protéines.

Les glycoprotéines membranaires subissent souvent des modifications post-traductionnelles, comme la glycosylation, qui peut influencer leur fonction et leur stabilité. Des anomalies dans la structure ou la fonction des glycoprotéines membranaires peuvent être associées à diverses maladies, y compris les maladies neurodégénératives, les troubles immunitaires et le cancer.

Un corps d'inclusion virale est une structure intracellulaire distinctive qui se forme pendant l'infection virale. Il s'agit essentiellement d'une accumulation anormale de matériel viral et d'éléments cellulaires dans le cytoplasme de la cellule hôte. Ces corps sont souvent associés à certaines infections virales, en particulier celles causées par les herpèsvirus, les rhabdovirus, et les poxvirus.

Les corps d'inclusion peuvent varier dans leur apparence, selon le type de virus infectieux. Certains sont uniformément denses, tandis que d'autres contiennent des structures plus complexes. Ils peuvent être observés en utilisant des techniques de coloration histologiques spéciales ou par microscopie électronique.

Dans le contexte médical, la présence de corps d'inclusion virale peut aider au diagnostic de certaines infections virales, bien que ce ne soit pas toujours un indicateur spécifique d'une infection particulière. D'autres tests de laboratoire peuvent être nécessaires pour confirmer le diagnostic et identifier le virus en cause.

La régulation de l'expression génique virale est un processus complexe et crucial dans le cycle de vie des virus. Il décrit la manière dont les virus contrôlent l

L'interférence virale est un phénomène dans lequel l'infection d'une cellule par un virus induit une résistance à une infection supplémentaire par un autre virus. Cela se produit lorsque le premier virus libère des interférons, qui sont des protéines de signalisation produites par les cellules en réponse à une infection virale. Les interférons activent certaines réponses dans la cellule hôte pour inhiber la réplication d'autres virus, empêchant ainsi l'infection secondaire. Ce mécanisme de défense est important dans la réponse immunitaire innée et adaptative contre les virus.

Le Myxovirus Parainfluenzae Type 1, également connu sous le nom de virus Paraínfluenzavirus humano tipo 1, est un agent pathogène respiratoire appartenant à la famille des Paramyxoviridae. Il est l'un des principaux agents étiologiques des maladies des voies respiratoires supérieures (MVRS) chez les enfants, telles que la bronchiolite, la laryngotrachéite et la pneumonie.

Le virus se transmet par contact direct avec des sécrétions respiratoires infectées ou par inhalation de gouttelettes en suspension dans l'air. Après une période d'incubation de 2 à 4 jours, les symptômes apparaissent et peuvent inclure fièvre, mal de gorge, toux, nez qui coule et écoulement nasal. Dans certains cas, une infection des voies respiratoires inférieures peut se produire, entraînant une bronchite ou une pneumonie.

Le diagnostic du Myxovirus Parainfluenzae Type 1 est généralement posé par détection de l'ARN viral dans des échantillons respiratoires à l'aide d'une technique de réaction en chaîne par polymérase (PCR). Il n'existe actuellement aucun traitement antiviral spécifique contre ce virus, et le traitement est principalement symptomatique. Les mesures préventives comprennent l'hygiène des mains régulière, l'évitement des contacts étroits avec les personnes malades et la vaccination contre d'autres agents pathogènes respiratoires.

La phylogénie est une discipline scientifique qui étudie et reconstruit l'histoire évolutive des espèces ou groupes d'organismes vivants, en se basant sur leurs caractères biologiques partagés. Elle vise à déterminer les relations de parenté entre ces différents taxons (unités systématiques) et à établir leur arbre évolutif, appelé également phylogramme ou cladogramme.

Dans un contexte médical, la phylogénie peut être utilisée pour comprendre l'évolution des agents pathogènes, tels que les virus, bactéries ou parasites. Cette approche permet de mieux appréhender leur diversité génétique, l'origine et la diffusion des épidémies, ainsi que d'identifier les facteurs responsables de leur virulence ou résistance aux traitements. En conséquence, elle contribue au développement de stratégies préventives et thérapeutiques plus efficaces contre les maladies infectieuses.

Les protéines du core viral se réfèrent aux protéines structurelles internes qui forment le noyau ou la partie centrale d'un virus. Ces protéines jouent un rôle crucial dans la composition de la capside, qui est la couche protectrice entourant le matériel génétique du virus. Les protéines du core viral sont souvent responsables de la reconnaissance et de la liaison à des récepteurs spécifiques sur les cellules hôtes, facilitant ainsi l'entrée du virus dans ces cellules. Elles peuvent également être impliquées dans la réplication, l'assemblage et la libération du virus. Un exemple bien connu de protéines du core viral est celui des protéines capsides des virus de l'immunodéficience humaine (VIH), qui causent le sida.

Une séquence d'acides aminés est une liste ordonnée d'acides aminés qui forment une chaîne polypeptidique dans une protéine. Chaque protéine a sa propre séquence unique d'acides aminés, qui est déterminée par la séquence de nucléotides dans l'ADN qui code pour cette protéine. La séquence des acides aminés est cruciale pour la structure et la fonction d'une protéine. Les différences dans les séquences d'acides aminés peuvent entraîner des différences importantes dans les propriétés de deux protéines, telles que leur activité enzymatique, leur stabilité thermique ou leur interaction avec d'autres molécules. La détermination de la séquence d'acides aminés d'une protéine est une étape clé dans l'étude de sa structure et de sa fonction.

Un vecteur génétique est un outil utilisé en génétique moléculaire pour introduire des gènes ou des fragments d'ADN spécifiques dans des cellules cibles. Il s'agit généralement d'un agent viral ou bactérien modifié qui a été désarmé, de sorte qu'il ne peut plus causer de maladie, mais conserve sa capacité à infecter et à introduire son propre matériel génétique dans les cellules hôtes.

Les vecteurs génétiques sont couramment utilisés dans la recherche biomédicale pour étudier l'expression des gènes, la fonction des protéines et les mécanismes de régulation de l'expression génétique. Ils peuvent également être utilisés en thérapie génique pour introduire des gènes thérapeutiques dans des cellules humaines afin de traiter ou de prévenir des maladies causées par des mutations génétiques.

Les vecteurs viraux les plus couramment utilisés sont les virus adéno-associés (AAV), les virus lentiviraux et les rétrovirus. Les vecteurs bactériens comprennent les plasmides, qui sont des petites molécules d'ADN circulaires que les bactéries utilisent pour transférer du matériel génétique entre elles.

Il est important de noter que l'utilisation de vecteurs génétiques comporte certains risques, tels que l'insertion aléatoire de gènes dans le génome de l'hôte, ce qui peut entraîner des mutations indésirables ou la activation de gènes oncogéniques. Par conséquent, il est essentiel de mettre en place des protocoles de sécurité rigoureux pour minimiser ces risques et garantir l'innocuité des applications thérapeutiques des vecteurs génétiques.

Les cellules HeLa sont une lignée cellulaire immortelle et cancéreuse dérivée des tissus d'une patiente atteinte d'un cancer du col de l'utérus nommée Henrietta Lacks. Ces cellules ont la capacité de se diviser indéfiniment en laboratoire, ce qui les rend extrêmement utiles pour la recherche médicale et biologique.

Les cellules HeLa ont été largement utilisées dans une variété d'applications, y compris la découverte des vaccins contre la polio, l'étude de la division cellulaire, la réplication de l'ADN, la cartographie du génome humain, et la recherche sur le cancer, les maladies infectieuses, la toxicologie, et bien d'autres.

Il est important de noter que les cellules HeLa sont souvent utilisées sans le consentement des membres vivants de la famille de Henrietta Lacks, ce qui a soulevé des questions éthiques complexes concernant la confidentialité, l'utilisation et la propriété des tissus humains à des fins de recherche.

L'immunoglobuline G (IgG) est un type d'anticorps, qui sont des protéines produites par le système immunitaire pour aider à combattre les infections et les agents pathogènes. L'IgG est la plus abondante et la plus diversifiée des cinq classes d'immunoglobulines (IgA, IgD, IgE, IgG et IgM) trouvées dans le sang et les tissus corporels.

L'IgG est produite en réponse à la plupart des infections et joue un rôle crucial dans l'immunité humorale, qui est la composante du système immunitaire responsable de la production d'anticorps pour neutraliser ou éliminer les agents pathogènes. L'IgG peut traverser la barrière placentaire et offrir une protection passive contre certaines infections aux nourrissons pendant leurs premiers mois de vie.

L'IgG se compose de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, formant une molécule en forme de Y avec deux sites d'affinité pour les antigènes. Cela permet à l'IgG de se lier à plusieurs parties d'un agent pathogène, ce qui améliore sa capacité à neutraliser ou marquer les agents pathogènes pour une élimination ultérieure par d'autres cellules du système immunitaire.

L'IgG est également connue pour son rôle dans l'activation du complément, un groupe de protéines qui aident à éliminer les agents pathogènes et les cellules mortes ou endommagées. De plus, l'IgG peut activer certaines cellules immunitaires, comme les neutrophiles et les macrophages, pour faciliter la phagocytose (processus d'ingestion et de destruction des agents pathogènes).

En raison de sa longue demi-vie (environ 21 jours) et de son rôle important dans l'immunité humorale, l'IgG est souvent utilisée comme biomarqueur pour évaluer la réponse immunitaire à une vaccination ou une infection.

Un virion est la forme extérieure et complète d'un virus. Il se compose du matériel génétique du virus (ARN ou ADN) enfermé dans une coque de protéines appelée capside. Certains virus ont également une enveloppe lipidique externe qui est dérivée de l'hôte cellulaire infecté. Les virions sont la forme infectieuse des virus, capables de se lier et d'infecter les cellules hôtes pour assurer leur réplication.

Les médicaments antiviraux sont un type de médicament utilisé pour traiter les infections causées par des virus. Contrairement aux antibiotiques, qui tuent les bactéries, les antiviraux interfèrent avec la capacité du virus à se répliquer dans les cellules hôtes.

Les antiviraux sont spécifiques au type de virus qu'ils traitent et peuvent être utilisés pour traiter une variété d'infections virales, y compris l'herpès, la grippe, le VIH/SIDA, l'hépatite B et C, et certains types de virus respiratoires.

Les antiviraux fonctionnent en ciblant des parties spécifiques du cycle de réplication virale, telles que l'entrée du virus dans la cellule hôte, la transcription de l'ARN en ADN, la traduction de l'ARN messager en protéines virales ou l'assemblage et la libération de nouveaux virus.

En interférant avec ces étapes, les antiviraux peuvent empêcher la propagation du virus dans le corps et aider à réduire la gravité des symptômes de l'infection. Cependant, comme les virus peuvent évoluer rapidement et développer une résistance aux médicaments, il est important de suivre attentivement les instructions posologiques et de prendre le médicament conformément aux recommandations du médecin pour minimiser le risque de développement d'une résistance.

La technique des anticorps fluorescents, également connue sous le nom d'immunofluorescence, est une méthode de laboratoire utilisée en médecine et en biologie pour détecter et localiser les antigènes spécifiques dans des échantillons tels que des tissus, des cellules ou des fluides corporels. Cette technique implique l'utilisation d'anticorps marqués avec des colorants fluorescents, tels que la FITC (fluorescéine isothiocyanate) ou le TRITC (tétraméthylrhodamine isothiocyanate).

Les anticorps sont des protéines produites par le système immunitaire qui reconnaissent et se lient spécifiquement à des molécules étrangères, appelées antigènes. Dans la technique des anticorps fluorescents, les anticorps marqués sont incubés avec l'échantillon d'intérêt, ce qui permet aux anticorps de se lier aux antigènes correspondants. Ensuite, l'échantillon est examiné sous un microscope à fluorescence, qui utilise une lumière excitatrice pour activer les colorants fluorescents et produire une image lumineuse des sites d'antigène marqués.

Cette technique est largement utilisée en recherche et en médecine diagnostique pour détecter la présence et la distribution d'un large éventail d'antigènes, y compris les protéines, les sucres et les lipides. Elle peut être utilisée pour diagnostiquer une variété de maladies, telles que les infections bactériennes ou virales, les maladies auto-immunes et le cancer.

La réaction d'inhibition de l'hémagglutination (HAI) est un test sérologique utilisé en médecine et en recherche biomédicale pour détecter la présence d'anticorps spécifiques contre certains virus ou bactéries dans un échantillon sanguin. Ce test est basé sur le principe de l'hémagglutination, qui est la capacité de certains micro-organismes à agglutiner les globules rouges (hématies) en présence d'anticorps spécifiques.

Dans une réaction HAI, des hématies sont mélangées avec un échantillon sanguin et un extrait antigénique purifié du micro-organisme cible. Si l'échantillon contient des anticorps spécifiques contre ce micro-organisme, ils se lieront à l'antigène, formant des complexes qui ne peuvent plus agglutiner les hématies. Par conséquent, la solution reste claire et fluide, indiquant la présence d'anticorps spécifiques dans l'échantillon sanguin.

Cependant, si l'échantillon ne contient pas d'anticorps spécifiques ou en quantité insuffisante, les hématies seront agglutinées par l'antigène, formant des grappes visibles dans la solution. Cela indique l'absence d'anticorps spécifiques ou leur niveau insuffisant pour neutraliser le micro-organisme cible.

La réaction HAI est couramment utilisée pour détecter les anticorps contre les virus de la grippe, les streptocoques du groupe A et d'autres agents pathogènes. Elle permet non seulement de diagnostiquer une infection aiguë ou ancienne, mais aussi de surveiller l'efficacité de la vaccination et de suivre l'évolution des épidémies.

L'ADN viral fait référence à l'acide désoxyribonucléique (ADN) qui est présent dans le génome des virus. Le génome d'un virus peut être composé d'ADN ou d'ARN (acide ribonucléique). Les virus à ADN ont leur matériel génétique sous forme d'ADN, soit en double brin (dsDNA), soit en simple brin (ssDNA).

Les virus à ADN peuvent infecter les cellules humaines et utiliser le mécanisme de réplication de la cellule hôte pour se multiplier. Certains virus à ADN peuvent s'intégrer dans le génome de la cellule hôte et devenir partie intégrante du matériel génétique de la cellule. Cela peut entraîner des changements permanents dans les cellules infectées et peut contribuer au développement de certaines maladies, telles que le cancer.

Il est important de noter que la présence d'ADN viral dans l'organisme ne signifie pas nécessairement qu'une personne est malade ou présentera des symptômes. Cependant, dans certains cas, l'ADN viral peut entraîner une infection active et provoquer des maladies.

La rubéole est une infection virale généralement bénigne et hautement contagieuse. Elle est causée par le virus de la rubéole, qui appartient à la famille des Togaviridae et au genre Rubivirus. Le virus se transmet principalement par contact direct avec les gouttelettes respiratoires infectées, bien qu'il puisse également être transmis par voie sanguine ou verticale (de la mère à l'enfant pendant la grossesse).

L'incubation de la rubéole dure généralement 14 à 21 jours. Les symptômes typiques comprennent une éruption cutanée rose pâle ou légèrement rouge qui commence sur le visage et s'étend progressivement vers le tronc et les membres. L'éruption dure généralement 3 jours. D'autres symptômes peuvent inclure des ganglions lymphatiques enflés, une faible fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et articulaires, ainsi qu'une inflammation de la gorge (pharyngite).

Bien que la rubéole soit généralement bénigne chez les enfants et les adultes en bonne santé, elle peut avoir des conséquences graves lorsqu'elle est contractée pendant la grossesse, en particulier au cours du premier trimestre. Une infection maternelle peut entraîner une fausse couche, une mortinaissance ou une naissance prématurée. De plus, le virus de la rubéole peut traverser la barrière placentaire et infecter le fœtus en développement, provoquant ainsi des anomalies congénitales connues sous le nom de rubéole congénitale. Ces anomalies peuvent affecter divers organes et systèmes du corps, notamment les yeux, les oreilles, le cœur, le cerveau et la peau.

Le diagnostic de la rubéole peut être posé en recherchant des anticorps spécifiques contre le virus dans le sang (IgM et IgG). Des tests de dépistage sérologique peuvent également être utilisés pour identifier les femmes enceintes qui sont immunisées contre la rubéole, ce qui permet de prévenir l'infection congénitale.

La prévention de la rubéole repose sur la vaccination. Le vaccin contre la rubéole est généralement administré sous forme d'une combinaison avec les vaccins contre la rougeole et les oreillons (vaccin ROR). Ce vaccin est recommandé pour tous les enfants à l'âge de 12 à 15 mois, suivi d'un deuxième rappel entre 4 et 6 ans. Les adultes nés après 1957 qui ne présentent pas de preuve d'immunité devraient également être vaccinés. La vaccination est particulièrement importante pour les femmes en âge de procréer, car elle permet non seulement de prévenir la rubéole chez la mère, mais aussi d'éviter les complications graves associées à la rubéole congénitale.

La « latence virale » est un état dans lequel un virus infectieux peut exister dans les cellules d'un hôte sans provoquer aucune manifestation clinique ou symptômes évidents de la maladie. Pendant cette période, le virus peut se répliquer à des niveaux très bas ou ne pas se répliquer du tout, et il peut échapper aux mécanismes immunitaires de l'hôte qui normalement détecteraient et détruiraient les cellules infectées.

Le virus latent peut rester inactif pendant une période prolongée, parfois toute la vie de l'hôte, ou il peut être réactivé sous certaines conditions, telles que le stress, une maladie sous-jacente, une immunodéficience ou une exposition à des facteurs environnementaux spécifiques. Lorsque cela se produit, le virus peut recommencer à se répliquer et causer des dommages aux tissus de l'hôte, entraînant ainsi la maladie.

Un exemple bien connu de latence virale est le virus de l'herpès simplex (HSV), qui peut rester inactif dans les ganglions nerveux pendant une période prolongée après l'infection initiale et se réactiver plus tard, causant des poussées d'herpès labial ou génital. D'autres exemples de virus latents comprennent le virus varicelle-zona (VZV), qui peut causer la varicelle chez les enfants et le zona chez les adultes, et le virus d'Epstein-Barr (EBV), qui est associé au syndrome de fatigue chronique et à certains types de lymphome.

La glycoprotéine hémagglutinine du virus de l'influenza est une protéine présente à la surface du virus. Elle joue un rôle crucial dans le processus d'infection du virus. La protéine hémagglutinine se lie aux récepteurs sialiques des cellules hôtes, ce qui permet au virus de pénétrer dans ces cellules et d'y introduire son matériel génétique. Ce processus est connu sous le nom d '«hémagglutination».

Il existe différentes souches du virus de l'influenza, et chacune a une protéine hémagglutinine unique qui lui est propre. Actuellement, on distingue 18 types différents de protéines d'hémagglutination (H1 à H18), qui peuvent être combinés avec trois types de neuraminidases (N1, N2 et N3) pour former des sous-types du virus de l'influenza.

La protéine hémagglutinine est également la cible principale des anticorps protecteurs produits par le système immunitaire en réponse à une infection par le virus de l'influenza ou à la vaccination contre ce virus. Cependant, la protéine hémagglutinine peut subir des modifications antigéniques (appelées dérive antigénique), ce qui signifie que sa structure moléculaire change légèrement au fil du temps. Ces changements peuvent permettre au virus d'échapper à la réponse immunitaire de l'hôte et de provoquer une nouvelle infection, même chez les personnes qui ont déjà été infectées ou vaccinées contre des souches antérieures du virus.

Par conséquent, il est important de mettre à jour régulièrement le vaccin contre l'influenza pour inclure la protéine hémagglutinine la plus récente et la plus répandue du virus en circulation.

Le Myxovirus Parainfluenzae de type 3, également connu sous le nom de virus Parainfluenza de type 3 (PIV3), est un agent pathogène humain courant qui appartient à la famille des Paramyxoviridae. Il est responsable d'infections respiratoires aiguës souvent bénignes, mais peut également entraîner des maladies plus graves chez les nourrissons, les jeunes enfants et les personnes immunodéprimées.

Le PIV3 est un virus enveloppé à ARN simple brin de sens négatif qui se réplique dans le cytoplasme des cellules hôtes. Il présente une morphologie typique en forme de bâtonnet et possède deux glycoprotéines de surface, l'hémagglutinine-neuraminidase (HN) et la fusion (F), qui sont essentielles à l'entrée du virus dans les cellules hôtes.

Les manifestations cliniques du PIV3 varient considérablement, allant d'un simple rhume à une bronchiolite sévère ou une pneumonie. Les symptômes courants comprennent la fièvre, la toux, l'écoulement nasal, les éternuements et la difficulté à respirer. Dans les cas plus graves, le PIV3 peut provoquer une détresse respiratoire et nécessiter une hospitalisation, en particulier chez les nourrissons prématurés ou ceux souffrant de maladies sous-jacentes.

Le diagnostic du PIV3 repose généralement sur la détection du génome viral par RT-PCR (réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse) ou sur la culture du virus à partir d'échantillons respiratoires. Il n'existe actuellement aucun vaccin disponible contre le PIV3, bien que des efforts de recherche soient en cours pour développer un vaccin efficace. Le traitement est principalement symptomatique et peut inclure l'oxygénothérapie, les bronchodilatateurs et les liquides intraveineux pour prévenir la déshydratation.

L'encéphalite est une affection médicale grave caractérisée par l'inflammation du cerveau. Elle est souvent causée par une infection virale, bien que d'autres facteurs tels que des troubles auto-immuns ou des réactions à un vaccin puissent également en être la cause. Les symptômes de l'encéphalite peuvent varier mais comprennent souvent des maux de tête sévères, une fièvre, une confusion, des convulsions, des hallucinations, des troubles de la parole et de la mémoire, ainsi que des mouvements anormaux. Dans les cas graves, l'encéphalite peut entraîner des dommages permanents au cerveau, des handicaps physiques ou mentaux, voire le décès. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments antiviraux, des corticostéroïdes pour réduire l'inflammation, et dans certains cas, une intervention chirurgicale.

L'immunoglobuline M (IgM) est un type d'anticorps présent dans le sang et les fluides corporels. C'est la première ligne de défense du système immunitaire contre les agents pathogènes tels que les bactéries et les virus. Les IgM sont les plus grands des anticorps et se lient aux antigènes (substances étrangères) pour aider à neutraliser ou éliminer ces menaces. Ils agissent en activant le système du complément, ce qui entraîne la destruction des cellules infectées ou cancéreuses. Les IgM sont produites par les plasmocytes, un type de globule blanc, en réponse à une infection aiguë. Cependant, leur concentration dans le sang diminue rapidement après la disparition de l'antigène.

Un membre de la famille des Mononegavirales, les Mononégavirus sont un type spécifique de virus à ARN simple brin. Le genre le plus connu de cette famille est le genre Orthomyxovirus, qui comprend plusieurs virus importants pour la santé humaine, tels que le virus de la grippe A, B et C. Ces virus sont responsables des épidémies annuelles de grippe ainsi que de pandémies occasionnelles. Les Mononégavirus ont une structure complexe et un mode de réplication unique qui les distingue des autres virus à ARN.

Un déterminant antigénique est une partie spécifique d'une molécule, généralement une protéine ou un polysaccharide, qui est reconnue et réagit avec des anticorps ou des lymphocytes T dans le système immunitaire. Ces déterminants sont également connus sous le nom d'épitopes. Ils peuvent être liés à la surface de cellules infectées par des virus ou des bactéries, ou ils peuvent faire partie de molécules toxiques ou étrangères libres dans l'organisme. Les déterminants antigéniques sont importants dans le développement de vaccins et de tests diagnostiques car ils permettent de cibler spécifiquement les réponses immunitaires contre des agents pathogènes ou des substances spécifiques.

Un virus oncogène est un type de virus qui a la capacité de provoquer des changements dans les cellules hôtes, entraînant leur transformation maligne et éventuellement le développement d'un cancer. Ces virus contiennent des gènes spécifiques appelés oncogènes qui peuvent altérer la régulation normale de la croissance et de la division cellulaires, conduisant à une prolifération cellulaire incontrôlée et à la formation de tumeurs malignes.

Les virus oncogènes peuvent être classés en deux catégories principales : les virus à ADN et les virus à ARN. Les exemples bien connus de virus à ADN oncogènes comprennent le papillomavirus humain (HPV), qui est associé au cancer du col de l'utérus, ainsi que certains types de herpèsvirus, tels que le virus d'Epstein-Barr (EBV), liés aux lymphomes et au sarcome de Kaposi. Les exemples de virus à ARN oncogènes comprennent les rétrovirus, tels que le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et le virus de la leucémie T humaine de type 1 (HTLV-1), qui sont associés au développement du sarcome de Kaposi et des leucémies/lymphomes T, respectivement.

Il est important de noter que tous les virus ne sont pas oncogènes, et même parmi ceux qui le sont, l'infection ne garantit pas toujours le développement d'un cancer. D'autres facteurs, tels que la génétique de l'hôte, l'exposition environnementale et le système immunitaire, peuvent influencer le risque de transformation maligne après une infection virale.

Un vaccin antirubéoleux est un type de vaccin utilisé pour prévenir la rubéole, qui est une infection virale couramment appelée "rougeole allemande". Le vaccin contient généralement un virus vivant affaibli de la rubéole. Il est souvent administré sous forme d'un vaccin combiné, comme le vaccin ROR (rubéole, oreillons, rougeole), qui protège contre ces trois maladies.

Le vaccin antirubéoleux stimule le système immunitaire pour qu'il produise des anticorps contre le virus de la rubéole. Si une personne vaccinée est ensuite exposée au virus réel, ces anticorps peuvent aider à prévenir l'infection ou à réduire la gravité des symptômes.

La plupart des gens ne présentent aucun symptôme après avoir été vaccinés contre la rubéole, bien que certains puissent ressentir une douleur légère au site d'injection, de la fièvre ou des douleurs musculaires. Les effets secondaires graves du vaccin antirubéoleux sont rares.

Il est important de noter que les femmes enceintes ne doivent pas recevoir le vaccin antirubéoleux, car il pourrait nuire au fœtus en développement. Les femmes qui prévoient devenir enceintes devraient s'assurer qu'elles sont immunisées contre la rubéole avant de tomber enceintes.

Les protéines virales structurelles sont des protéines qui jouent un rôle crucial dans la composition de la capside et de l'enveloppe du virus. Elles sont essentielles à la formation de la structure externe du virus et assurent sa protection, ainsi que la protection de son matériel génétique. Les protéines virales structurelles peuvent être classées en trois catégories principales : les protéines de capside, qui forment la coque protectrice autour du matériel génétique du virus ; les protéines d'enveloppe, qui constituent la membrane externe du virus et facilitent l'entrée et la sortie du virus des cellules hôtes ; et les protéines de matrice, qui se trouvent entre la capside et l'enveloppe et fournissent une structure supplémentaire au virus. Ensemble, ces protéines travaillent pour assurer la réplication et la propagation du virus dans l'organisme hôte.

Le virus de l'immunodéficience simienne (VIS) est un rétrovirus qui provoque une maladie immunodépressive chez les primates non humains. Il est étroitement lié au virus de l'immunodéficience humaine (VIH), qui cause le sida chez l'homme. Le VIS se transmet principalement par contact avec du sang ou des sécrétions sexuelles infectés, et peut également être transmis de la mère à l'enfant pendant la grossesse, l'accouchement ou l'allaitement. Chez les primates non humains, le VIS entraîne une diminution de l'activité du système immunitaire, ce qui rend l'animal plus susceptible aux infections opportunistes et aux maladies néoplasiques. Il n'existe actuellement aucun traitement ou vaccin disponible pour prévenir ou traiter le VIS chez les primates non humains.

Les glycoprotéines sont des molécules complexes qui combinent des protéines avec des oligosaccharides, c'est-à-dire des chaînes de sucres simples. Ces molécules sont largement répandues dans la nature et jouent un rôle crucial dans de nombreux processus biologiques.

Dans le corps humain, les glycoprotéines sont présentes à la surface de la membrane cellulaire où elles participent à la reconnaissance et à l'interaction entre les cellules. Elles peuvent aussi être sécrétées dans le sang et d'autres fluides corporels, où elles servent de transporteurs pour des hormones, des enzymes et d'autres molécules bioactives.

Les glycoprotéines sont également importantes dans le système immunitaire, où elles aident à identifier les agents pathogènes étrangers et à déclencher une réponse immune. De plus, certaines glycoprotéines sont des marqueurs de maladies spécifiques et peuvent être utilisées dans le diagnostic et le suivi des affections médicales.

La structure des glycoprotéines est hautement variable et dépend de la séquence d'acides aminés de la protéine sous-jacente ainsi que de la composition et de l'arrangement des sucres qui y sont attachés. Cette variabilité permet aux glycoprotéines de remplir une grande diversité de fonctions dans l'organisme.

Le virus Sendai, également connu sous le nom de paramyxovirus parainfluenza du type 1 (hPIV-1), est un agent pathogène qui cause des infections respiratoires aiguës chez les jeunes enfants et les animaux. Il s'agit d'un virus à ARN enveloppé, appartenant à la famille Paramyxoviridae et au genre Respirovirus. Le virus Sendai est hautement contagieux et se propage généralement par contact direct avec des sécrétions respiratoires infectées ou par inhalation de gouttelettes en suspension dans l'air.

Chez les enfants, une infection à virus Sendai peut entraîner une gamme de symptômes allant du rhume banal à la bronchiolite et à la pneumonie. Les symptômes courants comprennent la fièvre, la toux, l'écoulement nasal, les éternuements et la difficulté à respirer. Dans de rares cas, le virus Sendai peut également provoquer des complications neurologiques, telles que des encéphalites et des méningites.

Le virus Sendai est un important pathogène respiratoire chez les jeunes animaux, en particulier les souris de laboratoire et les porcs. Chez ces animaux, une infection à virus Sendai peut entraîner une pneumonie interstitielle et une inflammation des voies respiratoires supérieures, entraînant une morbidité et une mortalité élevées.

Il n'existe actuellement aucun traitement antiviral spécifique contre le virus Sendai. Le traitement est généralement symptomatique et vise à soulager les symptômes associés à l'infection. Des mesures de contrôle des infections, telles que l'isolement des personnes infectées et la désinfection des surfaces contaminées, peuvent aider à prévenir la propagation du virus.

Le vaccin contre le virus Sendai est disponible pour une utilisation chez les animaux de laboratoire, mais il n'est pas approuvé pour une utilisation chez l'homme. Des recherches sont en cours pour développer des vaccins et des traitements antiviraux efficaces contre le virus Sendai chez l'homme.

Un calendrier de vaccination, également connu sous le nom de programme de vaccination, est un guide recommandé pour administrer des vaccins à des intervalles spécifiques du temps, en fonction de l'âge, du statut de santé et d'autres facteurs pertinents. Il est conçu pour optimiser la protection immunitaire contre les maladies infectieuses évitables par la vaccination. Les calendriers de vaccination sont élaborés par des organismes de santé publique, tels que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et d'autres autorités sanitaires nationales et internationales.

Les calendriers de vaccination peuvent varier selon les pays et les régions en fonction des maladies prévalentes, des risques pour la santé publique et des priorités de santé publique. Ils sont conçus pour fournir une protection adéquate contre les maladies infectieuses tout au long de la vie, en commençant par les nourrissons et se poursuivant jusqu'à l'âge adulte. Les calendriers de vaccination peuvent inclure des séries de vaccins recommandés pour prévenir des maladies spécifiques, ainsi que des doses de rappel pour maintenir une immunité protectrice.

Il est important de suivre le calendrier de vaccination recommandé pour assurer une protection adéquate contre les maladies infectieuses. Les professionnels de la santé peuvent fournir des conseils et un soutien pour aider les gens à respecter le calendrier de vaccination recommandé.

Les cellules cancéreuses en culture sont des cellules cancéreuses prélevées sur un être humain ou un animal, qui sont ensuite cultivées et multipliées dans un laboratoire. Ce processus est souvent utilisé pour la recherche médicale et biologique, y compris l'étude de la croissance et du comportement des cellules cancéreuses, la découverte de nouveaux traitements contre le cancer, et les tests de sécurité et d'efficacité des médicaments et des thérapies expérimentales.

Les cellules cancéreuses en culture sont généralement prélevées lors d'une biopsie ou d'une intervention chirurgicale, puis transportées dans un milieu de culture spécial qui contient les nutriments et les facteurs de croissance nécessaires à la survie et à la reproduction des cellules. Les cellules sont maintenues dans des conditions stériles et sous observation constante pour assurer leur santé et leur pureté.

Les cultures de cellules cancéreuses peuvent être utilisées seules ou en combinaison avec d'autres méthodes de recherche, telles que l'imagerie cellulaire, la génomique, la protéomique et la biologie des systèmes. Ces approches permettent aux chercheurs d'étudier les mécanismes moléculaires du cancer à un niveau granulaire, ce qui peut conduire à une meilleure compréhension de la maladie et au développement de nouveaux traitements plus efficaces.

Les vaccins synthétiques, également connus sous le nom de vaccins à base de peptides ou de sous-unités, sont des types de vaccins qui contiennent des parties spécifiques du pathogène (comme des protéines ou des sucres) qui ont été créées en laboratoire. Contrairement aux vaccins vivants atténués ou inactivés, les vaccins synthétiques ne contiennent pas de particules entières du pathogène.

Les vaccins synthétiques sont conçus pour stimuler une réponse immunitaire spécifique contre le pathogène sans exposer le patient au risque d'infection par le pathogène réel. Ils peuvent être fabriqués en utilisant des techniques de génie génétique ou chimique pour produire les composants antigéniques du pathogène.

Les vaccins synthétiques présentent plusieurs avantages potentiels, tels qu'une production plus facile et plus rapide, une stabilité accrue, une réduction des coûts de production et l'élimination du risque d'infection par le pathogène vivant. Cependant, ils peuvent également présenter des défis en termes de capacité à induire une réponse immunitaire robuste et durable, ce qui peut nécessiter des stratégies d'adjuvantation ou de formulation supplémentaires pour améliorer leur efficacité.

Il convient de noter que les vaccins synthétiques sont encore un domaine relativement nouveau et en évolution dans le développement de vaccins, et il y a encore beaucoup à apprendre sur la manière dont ils peuvent être optimisés pour une utilisation clinique.

En médecine et en biologie, la virulence d'un agent pathogène (comme une bactérie ou un virus) se réfère à sa capacité à provoquer des maladies chez un hôte. Plus précisément, elle correspond à la quantité de toxines sécrétées par l'agent pathogène ou au degré d'invasivité de celui-ci dans les tissus de l'hôte. Une souche virulente est donc capable d'entraîner des symptômes graves, voire fatals, contrairement à une souche moins virulente qui peut ne provoquer qu'une infection bénigne ou asymptomatique.

Il est important de noter que la virulence n'est pas un attribut fixe et immuable d'un agent pathogène ; elle peut varier en fonction de divers facteurs, tels que les caractéristiques propres de l'hôte (son âge, son état immunitaire, etc.) et les conditions environnementales dans lesquelles se déroule l'infection. Par ailleurs, la virulence est un concept distinct de la contagiosité, qui renvoie à la facilité avec laquelle un agent pathogène se transmet d'un hôte à un autre.

Le virus mosaïque est un type de virus végétal qui peut infecter plusieurs espèces de plantes et provoquer une mosaïque de couleurs sur les feuilles, d'où son nom. Il se compose généralement de deux ou trois segments d'ARN (acide ribonucléique) qui codent pour différentes protéines structurelles et non structurales du virus. Les virions (particules virales) sont géométriiquement flexueux, mesurant environ 20-30 nanomètres de diamètre et 500-600 nanomètres de long.

Ce type de virus est capable d'infecter la plante hôte en utilisant des méthodes d'infection complexes, telles que l'utilisation d'insectes vecteurs pour transmettre le virus entre les plantes. Une fois à l'intérieur de la cellule végétale, le virus peut perturber le métabolisme normal de la plante et entraîner une variété de symptômes, notamment des décolorations foliaires, des nanismes, des déformations et eventuellement la mort de la plante.

Les virus mosaïque sont difficiles à contrôler en raison de leur capacité à se répliquer rapidement et à infecter plusieurs parties de la plante. Les méthodes courantes de gestion des maladies causées par ces virus comprennent l'utilisation de variétés résistantes aux virus, la rotation des cultures, la suppression des plantes infectées et le contrôle des insectes vecteurs.

La recombinaison génétique est un processus biologique qui se produit pendant la méiose, une forme spécialisée de division cellulaire qui conduit à la production de cellules sexuelles (gamètes) dans les organismes supérieurs. Ce processus implique l'échange réciproque de segments d'ADN entre deux molécules d'ADN homologues, résultant en des combinaisons uniques et nouvelles de gènes sur chaque molécule.

La recombinaison génétique est importante pour la diversité génétique au sein d'une population, car elle permet la création de nouveaux arrangements de gènes sur les chromosomes. Ces nouveaux arrangements peuvent conférer des avantages évolutifs aux organismes qui les portent, tels qu'une meilleure adaptation à l'environnement ou une résistance accrue aux maladies.

Le processus de recombinaison génétique implique plusieurs étapes, y compris la synapse des chromosomes homologues, la formation de chiasmas (points où les chromosomes s'entrecroisent), l'échange de segments d'ADN entre les molécules d'ADN homologues et la séparation finale des chromosomes homologues. Ce processus est médié par une série de protéines spécialisées qui reconnaissent et lient les séquences d'ADN homologues, catalysant ainsi l'échange de segments d'ADN entre elles.

La recombinaison génétique peut également se produire dans des cellules somatiques (cellules non sexuelles) en réponse à des dommages à l'ADN ou lors de processus tels que la réparation de brèches dans l'ADN. Ce type de recombinaison génétique est appelé recombinaison homologue et peut contribuer à la stabilité du génome en réparant les dommages à l'ADN.

Cependant, une recombinaison génétique excessive ou incorrecte peut entraîner des mutations et des instabilités chromosomiques, ce qui peut conduire au développement de maladies telles que le cancer. Par conséquent, la régulation de la recombinaison génétique est essentielle pour maintenir l'intégrité du génome et prévenir les maladies associées à des mutations et des instabilités chromosomiques.

La surveillance de la population, dans le contexte de la santé publique, fait référence au processus systématique et continu de collecte, d'analyse et d'interprétation des données sur la santé et les facteurs de risque liés à la santé au sein d'une population spécifique. Il est utilisé pour évaluer les tendances de la santé de la population, détecter les clusters ou les épidémies potentielles de maladies, évaluer l'impact des interventions de santé publique et informer la planification et la politique de santé publique.

La surveillance de la population peut inclure le suivi des taux de morbidité et de mortalité, les taux de vaccination, les comportements liés à la santé, l'exposition aux facteurs de risque environnementaux et d'autres indicateurs pertinents pour la santé de la population. Les données peuvent être collectées à partir de diverses sources, telles que les dossiers médicaux, les registres des maladies, les enquêtes auprès des ménages et les systèmes de notification des maladies.

La surveillance de la population est un élément clé des efforts visant à améliorer la santé et le bien-être de la population dans son ensemble.

Paramyxovirinae est un sous-groupe de la famille Paramyxoviridae, qui comprend des virus à ARN monocaténaire enveloppés avec un génome non segmenté. Ce sous-groupe comprend plusieurs genres de virus bien connus qui causent des maladies chez les humains et les animaux.

Parmi les virus les plus importants de Paramyxovirinae, on trouve :

1. Virus de la grippe: Il s'agit du genre Respirovirus, qui comprend également le virus de la parainfluenza humaine. Les virus de la grippe sont responsables d'une infection respiratoire aiguë courante chez l'homme et peuvent entraîner des complications graves telles que la pneumonie.

2. Virus de la rougeole: Il s'agit du genre Morbillivirus, qui comprend également le virus de la peste des petits ruminants et le virus de la maladie de Carré chez les animaux. Le virus de la rougeole est responsable d'une maladie infectieuse courante chez l'homme, caractérisée par une éruption cutanée et des complications telles que la pneumonie et l'encéphalite.

3. Virus de la parainfluenza: Il s'agit du genre Rubulavirus, qui comprend également le virus de la maladie de Newcastle chez les oiseaux. Les virus de la parainfluenza sont responsables d'infections respiratoires courantes chez l'homme et peuvent entraîner des complications telles que la bronchite et la pneumonie.

4. Virus Hendra: Il s'agit du genre Henipavirus, qui comprend également le virus Nipah. Les virus Hendra et Nipah sont responsables de maladies graves chez l'homme et les animaux, telles que l'encéphalite et la pneumonie.

Les virus de Paramyxovirinae ont une structure similaire, avec une enveloppe lipidique externe et des glycoprotéines qui facilitent l'entrée du virus dans les cellules hôtes. Ils ont également un génome d'ARN monocaténaire non segmenté de polarité négative, qui code pour plusieurs protéines structurales et non structurales. Les virus de Paramyxovirinae sont transmis par contact direct ou aérien avec des sécrétions infectées et peuvent causer des maladies graves chez l'homme et les animaux.

La détermination de la séquence d'ADN est un processus de laboratoire qui consiste à déterminer l'ordre des nucléotides dans une molécule d'ADN. Les nucléotides sont les unités de base qui composent l'ADN, et chacun d'entre eux contient un des quatre composants différents appelés bases : adénine (A), guanine (G), cytosine (C) et thymine (T). La séquence spécifique de ces bases dans une molécule d'ADN fournit les instructions génétiques qui déterminent les caractéristiques héréditaires d'un organisme.

La détermination de la séquence d'ADN est généralement effectuée en utilisant des méthodes de séquençage de nouvelle génération (NGS), telles que le séquençage Illumina ou le séquençage Ion Torrent. Ces méthodes permettent de déterminer rapidement et à moindre coût la séquence d'un grand nombre de molécules d'ADN en parallèle, ce qui les rend utiles pour une variété d'applications, y compris l'identification des variations génétiques associées à des maladies humaines, la surveillance des agents pathogènes et la recherche biologique fondamentale.

Il est important de noter que la détermination de la séquence d'ADN ne fournit qu'une partie de l'information génétique d'un organisme. Pour comprendre pleinement les effets fonctionnels des variations génétiques, il est souvent nécessaire d'effectuer d'autres types d'analyses, tels que la détermination de l'expression des gènes et la caractérisation des interactions protéine-protéine.

Les anticorps bispécifiques sont un type d'immunothérapie qui peuvent se lier à deux cibles différentes simultanément. Ils sont conçus pour avoir deux sites de liaison, chacun capable de se fixer à des protéines ou des cellules spécifiques. Cette capacité leur permet de servir de pont entre deux types de cellules, généralement les cellules cancéreuses et les cellules immunitaires, telles que les lymphocytes T.

En se liant aux deux cibles, les anticorps bispécifiques peuvent activer le système immunitaire pour attaquer et détruire les cellules cancéreuses. Ils ont été développés comme une stratégie thérapeutique prometteuse dans le traitement de divers types de cancer, car ils peuvent contourner les mécanismes de défense des cellules cancéreuses qui empêchent souvent le système immunitaire de les reconnaître et de les attaquer.

Cependant, il est important de noter que l'utilisation d'anticorps bispécifiques peut également entraîner des effets secondaires graves, tels que la libération de cytokines, qui peuvent provoquer une inflammation systémique et des réactions indésirables. Par conséquent, leur utilisation doit être soigneusement surveillée et gérée pour minimiser les risques associés.

Le terme "Simplexvirus" ne fait pas référence à un seul type de virus, mais plutôt à un genre de virus au sein de la famille Herpesviridae. Les Simplexvirus sont des virus à ADN double brin qui causent des maladies chez les humains et d'autres animaux. Il existe deux espèces principales de Simplexvirus qui infectent les humains : le virus de l'herpès simplex de type 1 (HSV-1) et le virus de l'herpès simplex de type 2 (HSV-2).

Le HSV-1 est généralement associé aux infections orales, provoquant des boutons de fièvre ou des feux sauvages autour de la bouche, tandis que le HSV-2 est plus souvent lié aux infections génitales, entraînant des lésions vésiculeuses et des ulcères dans la région génitale. Cependant, il est possible pour chaque virus d'infecter n'importe quelle partie du corps. Les Simplexvirus sont également associés à des complications neurologiques graves, telles que l'encéphalite herpétique et la méningite herpétique.

Les Simplexvirus ont un cycle de réplication complexe et peuvent établir une latence dans les neurones sensoriels après l'infection initiale. Une fois qu'un individu est infecté par un Simplexvirus, il reste infecté à vie, bien que la maladie puisse être asymptomatique ou présenter des poussées sporadiques de symptômes. La transmission se produit généralement par contact direct avec les lésions cutanées ou muqueuses d'une personne infectée ou par contact avec des sécrétions infectieuses, telles que la salive ou le liquide séminal.

L'hépatite A est une infection du foie causée par le virus de l'hépatite A (VHA). Il s'agit d'un virus à ARN, non enveloppé, appartenant à la famille des Picornaviridae et au genre Hepatovirus. Le VHA se transmet principalement par voie fécale-orale, c'est-à-dire qu'il est ingéré après avoir été en contact avec des matières fécales contaminées, souvent via de la nourriture ou de l'eau souillée. Les aliments crus ou mal cuits, tels que les fruits de mer, les légumes et les produits laitiers, peuvent être des véhicules de transmission. L'infection peut également se propager par contact direct avec une personne infectée, en particulier dans les ménages, les institutions pour enfants, les établissements de soins de longue durée et parmi les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes.

Après l'ingestion, le virus se multiplie dans les cellules du tractus gastro-intestinal avant de se propager vers le foie. L'infection peut provoquer une inflammation du foie (hépatite), entraînant des symptômes tels que la fatigue, la perte d'appétit, des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, de la fièvre, des urines foncées et une coloration jaunâtre de la peau et du blanc des yeux (ictère). Cependant, certaines personnes, en particulier les enfants, peuvent ne présenter aucun symptôme.

Le diagnostic d'hépatite A repose généralement sur la détection des anticorps IgM spécifiques du VHA dans le sérum sanguin, qui indiquent une infection récente. Il n'existe pas de traitement spécifique pour l'hépatite A, et la plupart des gens se rétablissent spontanément en quelques semaines à quelques mois. Le traitement principal consiste à soulager les symptômes et à assurer une hydratation adéquate.

La prévention de l'hépatite A repose sur la vaccination et l'adoption de mesures d'hygiène appropriées, telles que le lavage des mains après avoir utilisé les toilettes et avant de préparer ou de consommer des aliments. Les voyageurs se rendant dans des régions où l'hépatite A est fréquente peuvent bénéficier d'une vaccination avant leur départ.

Le virus de la forêt de Semliki est un alphavirus appartenant à la famille des Togaviridae. Il est nommé d'après la forêt de Semliki en Ouganda, où il a été initialement isolé. Ce virus est principalement transmis par les moustiques et infecte une variété d'hôtes, y compris les humains, bien que les infections humaines soient rares.

Le virus de la forêt de Semliki est connu pour causer des maladies chez les animaux, en particulier les primates non humains. Chez ces hôtes, il peut provoquer une encéphalite mortelle. Cependant, lorsque les humains sont infectés, ils présentent généralement des symptômes pseudo-grippaux légers à modérés, tels que de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et articulaires, et une éruption cutanée.

Il est important de noter que le virus de la forêt de Semliki est souvent étudié dans les laboratoires de recherche en raison de sa capacité à provoquer une infection persistante dans les cellules cultivées, ce qui en fait un modèle utile pour l'étude des infections virales et de la réponse immunitaire. Cependant, il est important de manipuler ce virus avec soin en raison de son potentiel pathogène.

Le virus du sarcome aviaire, également connu sous le nom de virus de l'avian sarcoma (ASV), est un rétrovirus qui cause des tumeurs malignes chez les oiseaux. Il s'agit d'un oncovirus qui appartient à la famille des Retroviridae et au genre Alpharetrovirus. Ce virus est étroitement lié au virus de la leucose aviaire (ALV), mais il se distingue par sa capacité à induire des sarcomes chez les oiseaux infectés.

Le virus du sarcome aviaire est capable d'intégrer son matériel génétique dans le génome de l'hôte, ce qui peut entraîner une transformation maligne des cellules et la formation de tumeurs. Les tumeurs induites par l'ASV peuvent se développer dans divers tissus, y compris les muscles, les os, les vaisseaux sanguins et le tissu conjonctif.

L'infection par l'ASV est courante chez les oiseaux d'élevage tels que les poulets et les canards, ainsi que chez certains oiseaux sauvages. La transmission du virus se produit généralement par contact direct avec des sécrétions ou des excrétions infectées, telles que la salive, le sang, les larmes ou les fientes.

Il est important de noter que le virus du sarcome aviaire ne présente aucun risque pour la santé humaine, car il est spécifique aux oiseaux et ne peut pas infecter les mammifères, y compris les humains.

Le terme "Respirovirus" est un nom de genre utilisé en virologie pour décrire un groupe de virus à ARN simple brin à sens négatif qui peuvent causer des infections respiratoires chez l'homme et les animaux. Les Respirovirus appartiennent à la famille des Paramyxoviridae et comprennent trois espèces reconnues par l'ICTV (International Committee on Taxonomy of Viruses) : le virus de la parainfluenza humaine de type 1, le virus de la parainfluenza humaine de type 3 et le virus de Sendai.

Ces virus sont responsables d'une variété de maladies respiratoires, allant du rhume banal à des infections plus graves telles que la bronchiolite et la pneumonie, en particulier chez les jeunes enfants, les personnes âgées et les individus immunodéprimés. Les Respirovirus se transmettent généralement par contact direct avec des gouttelettes respiratoires infectieuses ou par contact indirect avec des surfaces contaminées.

Les Respirovirus possèdent une enveloppe virale externe et un génome d'environ 15 kilobases qui code pour six protéines structurales : la nucléoprotéine (N), la phosphoprotéine (P), la matrice (M), la fusion (F) et les glycoprotéines d'hémagglutination-neuraminidase (HN). Ces protéines jouent un rôle crucial dans l'assemblage, la budgétisation et l'entrée du virus dans les cellules hôtes.

Les vaccins et les antiviraux sont disponibles pour prévenir ou traiter certaines infections à Respirovirus, comme le vaccin contre la parainfluenza humaine de type 1 et le médicament antiviral rimantadine pour le virus de la grippe C (qui est un autre membre des Paramyxoviridae mais pas un Respirovirus). La recherche se poursuit pour développer de nouvelles stratégies thérapeutiques et préventives contre les infections à Respirovirus.

Je suis désolé, mais il n'y a pas de virus médicalement reconnu connue sous le nom de "virus Bk". Il est possible que vous fassiez référence à un type spécifique de polyomavirus humain appelé BKV (BK Virus). Le BKV est un virus à ADN appartenant à la famille des Polyomaviridae. Il est l'un des nombreux virus qui peuvent infecter les humains et est généralement inoffensif pour les personnes en bonne santé.

Cependant, le BKV peut causer des problèmes chez certaines personnes dont le système immunitaire est affaibli, comme celles qui ont subi une transplantation d'organe et qui prennent des médicaments pour supprimer leur réponse immunitaire. L'infection par le BKV peut entraîner des complications telles que la néphropathie associée au BKV (une maladie rénale) chez les receveurs de greffe rénale, et la leucoencéphalopathie multifocale progressive (une maladie du cerveau) chez les receveurs de greffe de moelle osseuse.

Il est important de noter que si vous pensez avoir des symptômes d'infection virale ou si vous avez des préoccupations concernant votre santé, vous devriez consulter un professionnel de la santé qualifié pour obtenir des conseils médicaux appropriés.

La réaction de polymérisation en chaîne est un processus chimique au cours duquel des molécules de monomères réagissent ensemble pour former de longues chaînes de polymères. Ce type de réaction se caractérise par une vitesse de réaction rapide et une exothermie, ce qui signifie qu'elle dégage de la chaleur.

Dans le contexte médical, les réactions de polymérisation en chaîne sont importantes dans la production de matériaux biomédicaux tels que les implants et les dispositifs médicaux. Par exemple, certains types de plastiques et de résines utilisés dans les équipements médicaux sont produits par polymérisation en chaîne.

Cependant, il est important de noter que certaines réactions de polymérisation en chaîne peuvent également être impliquées dans des processus pathologiques, tels que la formation de plaques amyloïdes dans les maladies neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer. Dans ces cas, les protéines se polymérisent en chaînes anormales qui s'accumulent et endommagent les tissus cérébraux.

Les « Virus Non Classés » (VNC) sont des agents infectieux qui n'ont pas encore été correctement caractérisés ou classifiés dans un groupe ou famille de virus spécifique en raison d'un manque de connaissances sur leur structure, leurs propriétés et leur génome. Ces virus peuvent être découverts lors de recherches scientifiques, mais leur taxonomie reste incertaine jusqu'à ce que des preuves supplémentaires soient recueillies pour les classer correctement.

Les VNC sont souvent détectés grâce à des techniques de séquençage à haut débit et d'analyse métagénomique, qui permettent d'identifier des fragments d'ARN ou d'ADN viral dans des échantillons environnementaux ou cliniques. Cependant, comme ces virus ne peuvent pas être cultivés en laboratoire ou ne présentent pas de caractéristiques distinctives suffisantes pour être classés, ils restent dans la catégorie des VNC.

La recherche continue sur les Virus Non Classés est importante pour améliorer notre compréhension de la diversité et de l'écologie virales, ainsi que pour identifier d'éventuels risques pour la santé humaine, animale et environnementale.

Je suis désolé, mais il semble y avoir une erreur dans votre requête. Le terme "Virus Jc" ne correspond à aucune définition médicale connue. Il est possible que vous ayez fait une faute d'orthographe ou que vous vous référiez à un autre terme médical. Si vous cherchez des informations sur les virus en général, ils sont décrits comme de petites particules infectieuses qui peuvent seulement se répliquer à l'intérieur des cellules vivantes d'un organisme. Si vous pouvez me fournir plus d'informations ou préciser votre demande, je serai heureux de vous aider davantage.

Orthomyxoviridae est une famille de virus à ARN monocaténaire à sens négatif qui comprend plusieurs genres responsables de maladies humaines et animales. Le genre le plus important pour l'homme est Influenzavirus, qui contient les virus de la grippe A, B et C. Les virus de la grippe sont des agents pathogènes respiratoires importants qui peuvent causer des épidémies saisonnières ou des pandémies mondiales.

Les virus de la grippe ont une enveloppe virale caractéristique avec deux glycoprotéines de surface, l'hémagglutinine (HA) et la neuraminidase (NA), qui sont les principaux déterminants de la pathogénicité et de l'hôte spécificité. Les virus de la grippe présentent également une grande variabilité antigénique, en particulier dans la protéine HA, ce qui entraîne des changements constants dans les souches virales circulantes et nécessite des mises à jour régulières du vaccin contre la grippe.

Les virus de la grippe se répliquent dans le noyau cellulaire et ont un cycle de réplication complexe impliquant plusieurs étapes d'assemblage et de bourgeonnement. Ils sont transmis par des gouttelettes respiratoires infectieuses et peuvent causer une gamme de maladies, allant du rhume banal à la pneumonie sévère et même la mort chez les personnes fragiles ou atteintes de certaines conditions sous-jacentes.

En plus des virus de la grippe, la famille Orthomyxoviridae comprend également d'autres genres moins importants pour l'homme, tels que Isavirus, Thogotovirus et Quaranjavirus, qui infectent principalement les poissons, les arthropodes et les oiseaux.

Les anticorps neutralisants sont une sous-classe d'anticorps qui ont la capacité de neutraliser ou inactiver des agents infectieux tels que les virus et les toxines en se liant spécifiquement à ces pathogènes et en empêchant leur interaction avec les cellules hôtes.

Les anticorps sont des protéines produites par le système immunitaire en réponse à la présence d'agents étrangers dans l'organisme. Ils se lient aux antigènes, qui sont des molécules spécifiques présentes à la surface des agents infectieux, et les marquent pour une destruction ultérieure par d'autres cellules immunitaires.

Les anticorps neutralisants ont une fonction supplémentaire en plus de marquer les pathogènes pour leur élimination. Ils peuvent se lier à des sites spécifiques sur les virus ou les toxines qui sont essentiels à leur capacité à infecter et à nuire aux cellules hôtes. En se liant à ces sites, les anticorps neutralisants empêchent les pathogènes de se lier et d'entrer dans les cellules hôtes, ce qui les rend incapables de causer une infection ou une maladie.

Les anticorps neutralisants sont souvent utilisés dans le développement de vaccins et de traitements contre les maladies infectieuses. Les vaccins peuvent stimuler la production d'anticorps neutralisants spécifiques à un pathogène, ce qui permet au système immunitaire de se souvenir de ce pathogène et de le combattre plus rapidement et efficacement s'il est rencontré à nouveau. Les anticorps neutralisants peuvent également être utilisés comme thérapie pour traiter les infections aiguës ou prévenir l'infection chez les personnes exposées à des pathogènes dangereux.

Je suis désolé, "facteur temps" n'a pas de définition spécifique dans le domaine médical. Le terme "facteur temps" est plutôt utilisé en général pour décrire la durée pendant laquelle quelque chose se produit ou évolue, ou il peut également faire référence à l'importance de considérer le moment et la planification dans un contexte médical. Par exemple, l'administration d'un médicament à un moment précis ("facteur temps critique") ou la progression d'une maladie au fil du temps ("évolution temporelle de la maladie") peuvent être décrites en utilisant le terme "facteur temps". Cependant, il n'y a pas de définition médicale universellement acceptée pour ce terme.

Les lymphocytes sont un type de globules blancs (leucocytes) qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire. Ils sont responsables de la défense du corps contre les infections et les maladies. Il existe deux principaux types de lymphocytes : les lymphocytes B et les lymphocytes T.

Les lymphocytes B, également appelés cellules B, sont responsables de la production d'anticorps, qui sont des protéines spécialisées qui aident à neutraliser ou à éliminer les agents pathogènes tels que les bactéries et les virus. Lorsqu'un anticorps se lie à un agent pathogène, il le marque pour être détruit par d'autres cellules du système immunitaire.

Les lymphocytes T, également appelés cellules T, sont responsables de la régulation de la réponse immunitaire et de la destruction des cellules infectées ou cancéreuses. Ils peuvent être divisés en plusieurs sous-types, tels que les lymphocytes T cytotoxiques, qui détruisent directement les cellules infectées, et les lymphocytes T helper, qui aident à coordonner la réponse immunitaire en sécrétant des cytokines.

Les lymphocytes sont produits dans la moelle osseuse et se trouvent principalement dans le sang, la rate, les ganglions lymphatiques et les tissus lymphoïdes associés aux muqueuses, tels que les amygdales et les plaques de Peyer dans l'intestin. Une diminution du nombre de lymphocytes dans le sang, appelée lymphopénie, peut être un signe de maladies sous-jacentes telles que l'infection par le VIH ou certaines formes de cancer.

Les protéines virales matrice sont des protéines structurales essentielles à la réplication et à l'infectiosité de nombreux virus. Elles forment une couche structurelle située juste sous la membrane lipidique externe du virion, ou particule virale. Dans les virus enveloppés, les protéines matrice jouent un rôle crucial dans la médiation de l'assemblage et du bourgeonnement des virions à partir de la membrane cellulaire hôte. Elles peuvent également être impliquées dans la régulation de la fusion membranaire, nécessaire à l'entrée du virus dans les cellules hôtes. Les protéines matrice sont souvent organisées en une structure hexagonale ou pentagonale et peuvent interagir avec d'autres protéines virales ainsi qu'avec des composants de la membrane cellulaire.

L'Avian Leukosis Virus (ALV) est un virus appartenant à la famille des Retroviridae et au genre Alpharetrovirus. Il est connu pour causer une variété de maladies néoplasiques et non néoplasiques chez les oiseaux, en particulier les volailles domestiquées telles que les poulets et les dindes. Les souches de ce virus peuvent être exogènes ou endogènes.

Les souches exogènes sont transmises horizontalement par contact avec des sécrétions infectées, comme le sang ou les fientes, tandis que les souches endogènes sont hébergées dans le génome de l'oiseau et peuvent être transmises verticalement de parent à descendant.

Les maladies associées à l'ALV comprennent la leucose, la myéloblastose, la sarcome, la myélocytomatose et d'autres tumeurs malignes. Ces maladies peuvent entraîner une baisse de production d'œufs, une décoloration des coquilles d'œufs, une croissance anormale, une faiblesse, une diminution de l'appétit et, finalement, la mort.

Il n'existe actuellement aucun traitement spécifique pour les infections à ALV. Les mesures préventives comprennent des programmes de biosécurité stricts, y compris l'isolement des oiseaux infectés, le contrôle des mouvements d'oiseaux et de matériel contaminé, la désinfection régulière et l'utilisation de vaccins pour certaines souches du virus.

La fusion membranaire est un processus biologique dans lequel deux membranes cellulaires voisines s'unissent, éliminant ainsi la barrière entre les deux compartiments cellulaires et permettant le mélange de leurs contenus. Ce processus est crucial pour diverses fonctions cellulaires, telles que l'exocytose, où la fusion membranaire permet la libération de vésicules remplies de neurotransmetteurs dans l'espace synaptique. La fusion membranaire est également importante dans l'endocytose, où les membranes plasmiques et vésiculaires s'unissent pour former une endosome. Ce processus est médié par des protéines spécifiques, appelées SNAREs (Soluble NSF Attachment Protein REceptor), qui assurent la reconnaissance et l'assemblage appropriés des membranes pour faciliter la fusion.

L'immunité acquise maternelle fait référence à la protection immunitaire que le système immunitaire d'une femme enceinte transfère à son fœtus en développement par le biais de la placenta. Cette immunité est acquise passivement, ce qui signifie que le fœtus ne produit pas activement ses propres anticorps contre une maladie particulière. Au lieu de cela, il reçoit des anticorps préformés de la mère, principalement des immunoglobulines G (IgG), qui peuvent traverser la barrière placentaire et offrir une protection temporaire contre certaines infections pendant les premiers mois de la vie. Cependant, cette immunité n'est que temporaire et disparaît généralement dans les six à douze mois suivant la naissance.

Le génotype, dans le contexte de la génétique et de la médecine, se réfère à l'ensemble complet des gènes héréditaires d'un individu, y compris toutes les variations alléliques (formes alternatives d'un gène) qu'il a héritées de ses parents. Il s'agit essentiellement de la constitution génétique innée d'un organisme, qui détermine en grande partie ses caractéristiques et prédispositions biologiques.

Les différences génotypiques peuvent expliquer pourquoi certaines personnes sont plus susceptibles à certaines maladies ou répondent différemment aux traitements médicaux. Par exemple, dans le cas de la mucoviscidose, une maladie génétique potentiellement mortelle, les patients ont généralement un génotype particulier : deux copies du gène CFTR muté.

Il est important de noter que le génotype ne définit pas entièrement les caractéristiques d'un individu ; l'expression des gènes peut être influencée par divers facteurs environnementaux et épigénétiques, ce qui donne lieu à une grande variabilité phénotypique (manifestations observables des traits) même entre les personnes partageant le même génotype.

Une réaction croisée, dans le contexte de l'allergologie, se réfère à une réponse immunologique adverse qui se produit lorsqu'un individu allergique est exposé à des antigènes (substances étrangères) qui sont différents de ceux qui ont initialement déclenché la sensibilisation du système immunitaire. Cependant, ces nouveaux antigènes partagent des similitudes structurales avec les allergènes d'origine, provoquant une réponse immunitaire croisée.

Dans le mécanisme de cette réaction, les IgE (immunoglobulines E), qui sont des anticorps spécifiques produits par le système immunitaire en réponse à l'exposition initiale à un allergène, se lient aux récepteurs des mast cells (cellules mésentériques) et des basophiles. Lors d'une exposition ultérieure à un antigène similaire, ces IgE reconnaissent l'antigène étranger et déclenchent la dégranulation des cellules, entraînant la libération de médiateurs chimiques tels que l'histamine.

Ces médiateurs provoquent une cascade de réactions physiologiques qui aboutissent aux symptômes typiques d'une réaction allergique, tels que des démangeaisons, un écoulement nasal, des éternuements, une respiration sifflante et, dans les cas graves, un choc anaphylactique.

Les exemples courants de réactions croisées incluent la sensibilité aux pollens de certains arbres, herbes et mauvaises herbes, qui peut entraîner des réactions allergiques à certains aliments crus comme les pommes, les carottes, le céleri ou les noix. Cette condition est souvent appelée syndrome d'allergie orale (SAC). Une autre forme courante de réaction croisée se produit entre les allergies au latex et certains aliments tels que l'avocat, la banane, le kiwi et le châtaignier.

La fièvre de la langue bleue est une maladie virale infectieuse qui affecte principalement les ruminants domestiques et sauvages, en particulier les moutons et les bovins. Elle est causée par un virus à arénavirus (Orbivirus) qui est transmis aux animaux par la piqûre de mouches Culicoides infectées. Les signes cliniques de la maladie peuvent varier considérablement, allant de formes subcliniques légères à des formes sévères ou même mortelles.

Les symptômes typiques de la fièvre de la langue bleue comprennent une fièvre élevée, une inflammation de la muqueuse buccale et des gonflements des parties de la tête, comme la langue et les lèvres, qui peuvent devenir cyanosées (d'où le nom de la maladie). Les animaux infectés peuvent également présenter des signes respiratoires, tels que une toux et une difficulté à respirer, ainsi que des problèmes cardiovasculaires et nerveux.

La fièvre de la langue bleue est une maladie à déclaration obligatoire auprès de l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) en raison de son potentiel économique considérable pour les industries d'élevage. Il n'existe actuellement aucun traitement spécifique contre le virus de la langue bleue, et la prévention repose sur la vaccination et la lutte antivectorielle pour contrôler la population de mouches Culicoides.

La réaction de polymérisation en chaîne par transcriptase inverse (RT-PCR en anglais) est une méthode de laboratoire utilisée pour amplifier des fragments d'ARN spécifiques. Cette technique combine deux processus distincts : la transcription inverse, qui convertit l'ARN en ADN complémentaire (ADNc), et la polymérisation en chaîne, qui permet de copier rapidement et de manière exponentielle des millions de copies d'un fragment d'ADN spécifique.

La réaction commence par la transcription inverse, où une enzyme appelée transcriptase inverse utilise un brin d'ARN comme matrice pour synthétiser un brin complémentaire d'ADNc. Ce processus est suivi de la polymérisation en chaîne, où une autre enzyme, la Taq polymérase, copie le brin d'ADNc pour produire des millions de copies du fragment d'ADN souhaité.

La RT-PCR est largement utilisée dans la recherche médicale et clinique pour détecter et quantifier l'expression génétique, diagnostiquer les maladies infectieuses, détecter les mutations génétiques et effectuer des analyses de génome. Elle est également utilisée dans les tests de diagnostic COVID-19 pour détecter le virus SARS-CoV-2.

La "distemper" est une maladie virale hautement contagieuse qui affecte principalement les chiens, mais peut également toucher d'autres animaux mammifères tels que les furets, les visons et les mustélidés. Elle est causée par le virus de la maladie de Carré, un morbillivirus de la famille des Paramyxoviridae.

La distemper affecte plusieurs systèmes corporels, notamment le système respiratoire, gastro-intestinal et nerveux central. Les symptômes peuvent varier en fonction de l'âge de l'animal, de sa race et de la gravité de l'infection. Les signes cliniques courants comprennent la fièvre, les écoulements nasaux et oculaires, une toux sèche, des vomissements, de la diarrhée, une perte d'appétit et un pelage hérissé. Dans les cas graves, la distemper peut entraîner des convulsions, des tremblements musculaires et des lésions cérébrales permanentes.

Le diagnostic de la distemper repose généralement sur l'observation des symptômes cliniques, ainsi que sur des tests de laboratoire tels que des analyses sanguines et des tests d'anticorps. Il n'existe actuellement aucun traitement spécifique pour la distemper, bien que des soins de soutien tels que la réhydratation et la gestion de la douleur puissent être fournis pour aider à atténuer les symptômes.

La prévention est essentielle pour protéger les animaux contre la distemper. Les vaccins contre la distemper sont largement disponibles et sont considérés comme sûrs et efficaces pour prévenir l'infection. Il est recommandé de suivre un calendrier de vaccination régulier pour assurer une protection adéquate contre cette maladie dévastatrice.

Les lymphocytes T, également connus sous le nom de cellules T, sont un type de globules blancs qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire adaptatif. Ils sont produits dans le thymus et sont responsables de la régulation de la réponse immunitaire spécifique contre les agents pathogènes tels que les virus, les bactéries et les cellules cancéreuses.

Il existe deux principaux sous-types de lymphocytes T : les lymphocytes T CD4+ (ou cellules helper) et les lymphocytes T CD8+ (ou cellules cytotoxiques). Les lymphocytes T CD4+ aident à coordonner la réponse immunitaire en activant d'autres cellules du système immunitaire, tandis que les lymphocytes T CD8+ détruisent directement les cellules infectées ou cancéreuses.

Les lymphocytes T sont essentiels pour la reconnaissance et l'élimination des agents pathogènes et des cellules anormales. Les déficiences quantitatives ou qualitatives des lymphocytes T peuvent entraîner une immunodéficience et une susceptibilité accrue aux infections et aux maladies auto-immunes.

Les phosphoprotéines sont des protéines qui ont été modifiées par l'ajout d'un groupe phosphate. Cette modification post-traductionnelle est réversible et joue un rôle crucial dans la régulation de divers processus cellulaires, tels que le contrôle de la signalisation cellulaire, du métabolisme, de la transcription, de la traduction et de l'apoptose.

L'ajout d'un groupe phosphate à une protéine est catalysé par des enzymes appelées kinases, tandis que le processus inverse, qui consiste à retirer le groupe phosphate, est catalysé par des phosphatases. Ces modifications peuvent entraîner des changements conformationnels dans la protéine, ce qui peut affecter son activité enzymatique, ses interactions avec d'autres protéines ou son localisation cellulaire.

L'analyse des profils de phosphorylation des protéines est donc un domaine important de la recherche biomédicale, car elle peut fournir des informations sur les voies de signalisation cellulaires qui sont actives dans différents états physiologiques et pathologiques.

Les récepteurs aux antigènes des cellules B, également connus sous le nom de récepteurs d'immunoglobuline (Ig) ou récepteurs B-cellulaire spécifiques d'antigène, sont des molécules de surface exprimées par les lymphocytes B qui leur permettent de reconnaître et de se lier sélectivement aux antigènes. Ces récepteurs sont composés de chaînes polypeptidiques lourdes et légères, qui forment une structure en forme de Y avec deux bras d'immunoglobuline variable (IgV) et un bras constant. Les régions variables des chaînes lourdes et légères contiennent des sites de liaison à l'antigène hautement spécifiques, qui sont générés par un processus de recombinaison somatique au cours du développement des cellules B dans la moelle osseuse. Une fois activées par la reconnaissance d'un antigène approprié, les cellules B peuvent se différencier en plasmocytes et produire des anticorps solubles qui maintiennent l'immunité humorale contre les agents pathogènes et autres substances étrangères.

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Lanka soutenait que les images dans les articles scientifiques invoqués représentaient non pas le virus de la rougeole, mais ... que le biologiste Stefan Lanka avait promis pour la preuve scientifique de l'existence du virus de la rougeole. Après le ... à qui prouverait l'existence du virus de la rougeole et en déterminerait le diamètre de façon scientifique. Lanka soutient la ... März 2015 (en) One could hand the virus to Lanka on a silver platter… an interview with David Bardens. positivists.org, 23. ...
... au cours de l'infection par un virus, étaient en grande partie résistantes à une autre infection par un deuxième virus. Ils ... Ainsi, la variole est éradiquée, et d'autres maladies sont des candidats à l'éradication par la vaccination : la rougeole, ... Le virus de la vaccine est la l'origine des noms de « vaccin » et « vaccination », et Edward Jenner est considéré aujourd'hui ... Ce sont des maladies causées par des virus dont l'être humain est le seul réservoir. La vaccination d'une grande partie de la ...
Rougeole). Il comprend des virus à ARN qui codent une ARN polymérase dépendant de l'ARN et des virus à transcription inverse ( ... Par contre ces virus à ARN n'ont pas tous la même protéine de capside. Beaucoup de virus à ARN ont comme protéine de capside la ... classification des virus. Riboviria est un domaine de la classification des virus (qui sont distincts des domaines du vivant) ... Changes to virus taxonomy and the International Code of Virus Classification and Nomenclature ratified by the International ...
Ses travaux scientifiques ont porté sur l'influenza, la rougeole et la varicelle. Il a présidé la branche européenne de la ... Fondation Internationale pour la Recherche contre le Virus de la Varicelle et du Zona), New York, USA, membre de son Scientific ... Varicella-Zoster Virus Foundation (1991-2004) et le comité WAVE (Working against Varicella in Europe). Il a été vice-président ...
Il est devenu connu du grand public grâce à un procès qu'il a perdu pour avoir affirmé l'inexistence du virus de la rougeole. ... à quiconque pourra lui prouver que la rougeole est causée par un virus convaincu que la maladie est une conséquence de « ... M. Klein, S. Lanka, R. Knippers, D. Müller: Sum Single-stranded regions in the genome of the Ectocarpus siliculosus virus. In: ... des six publications présentées au procès n'apporte la preuve scientifique de l'existence du présumé virus de la rougeole comme ...
Il a également joué un rôle dans la découverte des adénovirus, des virus hépatiques et du virus cancérigène SV40. Selon le Dr. ... Parmi ceux-ci, celui contre la rougeole, les oreillons, l'hépatite A, l'hépatite B, la varicelle, la méningite, la pneumonie et ... Il prélève alors le virus et réalise un vaccin avec. À sa mort, le 11 avril 2005, à 85 ans, le Dr. Hilleman était professeur ... comme chef du département de recherche des nouveaux virus et de biologie cellulaire à Whitehouse Station dans le New Jersey. Il ...
... virus Ebola, virus Sin Nombre, virus respiratoire syncytial, virus Hendra, un rhabdovirus et virus de la rougeole. ... Changes to virus taxonomy and the International Code of Virus Classification and Nomenclature ratified by the International ... En ce sens, il correspond au groupe V de la classification Baltimore, à quelques exceptions près (le virus de l'hépatite D, un ... Portail de la virologie (Taxobox utilisant la classification selon l'ICTV, Article avec taxobox-virus, Article utilisant une ...
Rougeole: des membres d'un groupe spirituel antivaccinaliste ont rapporté le virus », La Presse,‎ 13 février 2015 (lire en ...
... à virus humains. Des cellules WI-38 infectées sécrètent le virus, et peuvent être cultivées en grande quantité convenable pour ... la rougeole, les oreillons, le VZV, la polio, l'hépatite A et la rage,,,. MRC-5 « WI-38 ATCC ® CCL-75™ Homo sapiens lung normal ... Les vaccins à virus produits avec des WI-38 ont empêché la maladie et ont sauvé la vie de milliards de personnes,. Les vaccins ... Une des lignes cellulaires que Haylick a isolées, qu'il va nommer WI-38, s'est avérée n'avoir aucun virus, contrairement aux ...
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L'Institut Pasteur qui utilisait un vecteur du virus de la rougeole a abandonné ses recherches sur ce type de vaccin. Les ... à virus inactivés ou ceux à virus vivants atténués. Les vaccins ciblant uniquement la protéine S et ceux à virus inactivés ... Le virus infecte toujours les cellules et provoque des symptômes bénins. L'utilisation d'un virus vivant atténué présente un ... le virus de la rougeole ou d'autres. Des cellules de la personne vaccinée vont être infectées par ce vecteur, et vont se mettre ...
Dans le cas où les anticorps ne correspondent pas au virus isolé, le complexe immun ne se forme pas et le virus peut induire ... recherche de βHCG, sérodiagnostic de la rubéole ou de la rougeole. Le terme d'inhibition de l'agglutination est souvent utilisé ... Dans cette réaction, les anticorps antiviraux protecteurs se fixent sur le virus et empêchent sa combinaison avec les ... Si les anticorps reconnaissent leur antigène, le complexe immun formé neutralise la capacité hémagglutinante du virus et on ...
... les virus à infection aiguë et non persistante, où le virus est rapidement éliminé, comme la rougeole qui ne s'attrape qu'une ... le virus de la rage, le virus de la poliomyélite ou certains virus herpès (virus herpes simplex 1 et 2) qui ont un tropisme ... Les virus capables de se reproduire dans les globules blancs se répartissent comme les autres virus en différentes catégories ... les virus à infection latente où le virus ne circule pas dans le sang mais n'est pas totalement éliminé de l'organisme. La ...
... comme les virus de la grippe A ; orthopoxvirus, notamment le virus de la variole ; paramyxovirus, dont le virus de la rougeole ... comme le virus herpes simplex type 1), soit de façon latente (virus non productif, comme le virus varicelle-zona). Les virus ... Un petit groupe de virus peut causer des infections extrêmement lentes, ce peut être (rarement) le cas du virus de la rougeole ... rougeole, varicelle-zona, grippe...). Encéphalite chronique (HIV, PESS de la rougeole, virus JC...). Paralysie (poliovirus, ...
  • 'Cette augmentation des flambées épidémiques et des décès dus à la rougeole est très impressionnante, mais elle n'a, hélas, rien d'étonnant compte tenu de la baisse des taux de vaccination observée au cours des dernières années', a déclaré John Vertefeuille, le Directeur de la Division mondiale de la vaccination des Centers for Disease Control and Prevention (CDC). (yahoo.com)
  • Face à cette situation, il exhorte donc la population à se faire vacciner car, comme il l'explique, la vaccination reste encore le meilleur moyen d'éviter de contracter la rougeole ou de la transmettre à d'autres personnes. (yahoo.com)
  • Et même si la rougeole est une maladie fréquente durant l'enfance, elle peut également survenir chez l'adolescent et l'adulte, en l'absence de vaccination. (yahoo.com)
  • En 1996-1997, un programme de vaccination systématique de deux doses contre la rougeole et la rubéole a été mis en œuvre dans toutes les provinces et tous les territoires. (canada.ca)
  • Parce que le taux de vaccination n'est encore que de 90% en moyenne en Suisse (données de 2017-2019, 2 doses à deux ans), le risque qu'un enfant ou un adulte non vacciné attrape la rougeole est actuellement élevé en Suisse. (infovac.ch)
  • La vaccination contre la rougeole peut être effectuée seule ou combinée avec oreillons et rubéole (vaccin ROR) ou également varicelle (ROR-V). Elle nécessite 2 doses. (infovac.ch)
  • Les personnes qui ne répondent pas à la vaccination sont à risque de rougeole à tout âge. (infovac.ch)
  • Le vaccin ROR(-V) peut provoquer une baisse transitoire des plaquettes sanguines (environ 1 enfant sur 30 000), avec un risque de saignements (hématomes sous la peau en particulier), - mais le risque de développer cette complication suite à la vaccination est beaucoup plus rare que le risque qui existe si on attrape la rougeole ou la rubéole (1 enfant sur 1 000). (infovac.ch)
  • Pour une utilisation lors d'épidémies de rougeole, ou pour la vaccination en post-exposition, ou pour une utilisation chez les sujets âgés de plus de 9 mois non encore vaccinés au préalable qui sont en contact de femmes enceintes « réceptives », et pour les personnes pouvant être « réceptives » aux oreillons et à la rubéole, voir rubrique Pharmacodynamie . (vidal.fr)
  • La méthode est étendue mais la vaccination contre la rougeole n'a pas réussi à éradiquer cette maladie, faute d'une couverture totale de la population infantile et à cause de l'extrême contagiosité du virus. (asnom.org)
  • Le programme élargi de vaccination, mis en place sous l'égide de l'Organisation mondiale de la santé à partir de 1974, a pour but d'immuniser avant 1990 tous les enfants du monde contre six maladies des plus meurtrières à savoir tuberculose, tétanos, poliomyélite, rougeole, coqueluche, diphtérie. (asnom.org)
  • La rougeole est une maladie infantile mortelle mais évitable par la vaccination. (lanation.dj)
  • Le Programme National de Vaccination du Ministère de la santé fournit gratuitement à tout nourrisson âgé de 9 mois la vaccination contre la rougeole. (lanation.dj)
  • La mère et l'enfant n'étaient pas vaccinés contre la rougeole , tandis que le père avait une vaccination incomplète. (mesvaccins.net)
  • Les autorités sanitaires demandent aux parents de veiller à ce que les enfants bénéficient du programme de vaccination complet, soit deux doses d'un vaccin contre la rougeole . (mesvaccins.net)
  • Par mesure de précaution, l'agence recommande de vérifier la vaccination contre la rougeole des enfants et des jeunes adultes pour tout séjour de vacances de ski à Val Thorens . (mesvaccins.net)
  • Pour les enfants nés à partir du 1 er janvier 2018 , la vaccination contre la rougeole est obligatoire avec une dose à l'âge de 12 mois et une dose entre 16 et 18 mois. (loire.fr)
  • Avant la vaccination plus de 90% des enfants de la planète contractaient la rougeole. (astrium.com)
  • En Europe il y a 15 à 20% de sujets qui n'ont aucune protection, ni naturelle ni vaccinale : ils profitent de la vaccination des autres qui limite la transmission du virus. (astrium.com)
  • Les résultats viennent à un moment où les cas de rougeole se répandent dans le monde et soulignent l'importance de la vaccination. (aaafasso.fr)
  • Avant l'ère de la vaccination, les épidémies de rougeole survenaient tous les 2 à 3 ans, notamment chez les enfants d'âge préscolaire et scolaire, avec de petits foyers localisés en dehors de ces périodes. (msdmanuals.com)
  • Aux États-Unis, grâce à la vaccination infantile systématique, la rougeole est rare. (msdmanuals.com)
  • Le retour de la rougeole aux États-Unis est un signal d'alerte : alors la vaccination n'inspire plus la même confiance dans la population, des états américains abolissent certaines clauses d'exemption. (medscape.com)
  • Protection efficace grâce à la réalisation et au maintien de la vaccination contre la rougeole et les autres Maladies Evitables par la Vaccination (MEV) à potentiel épidémique. (who.int)
  • La vaccination contre la rougeole est considérée comme un indicateur indirect de la vaccination globale contre les Maladies Evitables par la Vaccination (MEV), car la rougeole constitue une cause récurrente de morbidité et de mortalité évitables importantes. (who.int)
  • Mener une cartographie des parties prenantes et former un comité consultatif national multipartite qui guidera les politiques et stratégies nationales pour une couverture vaccinale optimale reposant sur le profil de risque national pour la rougeole et d'autres maladies évitables par la vaccination (MEV). (who.int)
  • Le vaccin contre la rougeole contient des virus atténués pour induire de bonnes défenses immunitaires sans provoquer la maladie. (infovac.ch)
  • Après 2 doses, l'efficacité du vaccin contre la rougeole dépasse 97% et dure toute la vie chez la plupart des personnes complètement vaccinées. (infovac.ch)
  • Tout enfant devrait être vacciné par 2 doses de vaccin contre la rougeole entre 12 et 18 mois. (loire.fr)
  • 90-95 % de la population âgée de 12 mois du pays a reçu la première dose du vaccin contre la rougeole (MCV1), comme le montrent les enquêtes de couverture ou les données administratives. (who.int)
  • Où qu'ils se trouvent, les cas de rougeole présentent un risque pour tous les pays et toutes les communautés dont la population est sous-vaccinée. (yahoo.com)
  • Pour évaluer le risque qu'un tel virus puisse acquérir ces huit gènes, ces chercheurs ont utilisé une méthode dite de génétique inverse pour recréer un agent pathogène qui diffère de celui de 1918 de seulement 3% dans ses acides aminés à partir desquels il produit ses protéines. (initiativecitoyenne.be)
  • Si ces sujets non-immuns voyagent dans des pays où le virus circule intensément, le risque qu'ils contractent la rougeole devient extrêmement important. (astrium.com)
  • Pourtant, si le risque de contagion est certes important - avec un taux de reproduction du virus évalué à 2,79 ( c'est 2 fois plus que la grippe mais 4 fois moins que la rougeole) - et que le taux de mortalité est considérable pour les personnes âgées et/ou fragilisées, il reste relatif pour l'ensemble de la population. (rtbf.be)
  • Virus Ebola : savoir reconnaître les symptômes Le risque d'importation du virus Ébola en France est faible, mais il faut savoir reconnaître les symptômes de l'infection chez un patient revenant depuis moins de trois semaines d'un pays où des cas ont été observés. (medscape.com)
  • Les virologistes croient aux virus parce qu'ils ajoutent au tissu et aux cultures cellulaires du sang, de la salive ou d'autres fluides corporels supposés infectés - après avoir retiré les nutriments de la culture cellulaire respective et après avoir commencé à l'empoisonner avec des antibiotiques toxiques. (nouveau-monde.ca)
  • Cet objectif a été révisé à l'occasion de la Conférence sanitaire panaméricaine XXIV de 1994, lors de laquelle le Canada et d'autres États membres sont convenus d'éliminer la rougeole dans les Amériques au plus tard en 2000 Référence 5 . (canada.ca)
  • Toutefois, le statut d'élimination du Canada continue d'être mis à l'épreuve en raison de l'importation de la rougeole d'autres pays où la maladie demeure endémique. (canada.ca)
  • En effet, c'est en stimulant le système immunitaire face au cancer pour qu'il le tue et qu'il réponde mieux à d'autres immunothérapies, que ce virus a réussi à combattre la maladie. (maxisciences.com)
  • Cela peut rendre les enfants qui se remettent de la rougeole vulnérables à d'autres agents pathogènes dont ils pourraient avoir été protégés avant le virus. (aaafasso.fr)
  • L'infection par le virus de la rougeole est plus susceptible de se propager dans les communautés où de nombreuses personnes vivent étroitement ensemble, comme les campus universitaires ou d'autres communautés très soudées. (msdmanuals.com)
  • Il est important de poursuivre les recherches afin de trouver de meilleurs vaccins contre ce virus. (wikipedia.org)
  • La CEPI et l'Union Européenne, par le biais du programme Horizon 2020, apportent également les fonds nécessaires au passage des vaccins contre Lassa (développé par Sylvain Baize) et Zika, basés sur le virus vaccinal de la rougeole, aux phase II et phase I, respectivement. (pasteur.fr)
  • Les chercheurs ont mis en place une plateforme de vaccins vivants atténués reposant sur le virus Mopeia hyper-atténué, exprimant les glycoprotéines d'arénavirus pathogènes. (pasteur.fr)
  • Les vaccins sont composés d'une ou plusieurs substances actives d'origine biologique appelées "antigènes vaccinaux", qui sont issus de bactéries ou de virus. (bfmtv.com)
  • Jusqu'alors, tous les vaccins consistaient à introduire chez l'homme l'agent infectieux (bactérie, virus) sous une forme atténuée ou inactivée, ou l'un de ses composants (souvent une protéine inoffensive), directement ou via un autre virus. (cea.fr)
  • Dans le cadre des vaccins contre le virus SARS-CoV-2 responsable de la Covid-19, la protéine choisie pour le vaccin est Spike (Spicule en français). (cea.fr)
  • Même sans complication, la rougeole est pénible à supporter: l'enfant n'a pas la force de sortir de son lit pendant au moins une semaine. (infovac.ch)
  • Sagnet H., Revil H.,Thomas J., Mafart Y. : La rougeole de l'enfant sous les tropiques. (asnom.org)
  • Selon le témoignage des parents, certains camarades de l'enfant étaient atteints de rougeole avant leur départ de France. (mesvaccins.net)
  • Il n'existe aucun traitement précis pour la rougeole. (canada.ca)
  • La rougeole chez une personne immunodéprimée peut entraîner des symptômes graves et demander un traitement prolongé. (canada.ca)
  • Ces alliés prometteurs dans le traitement des cancers sont des virus présents dans la nature et génétiquement modifiés pour infecter, se répliquer dans les cellules cancéreuses et les tuer tout en épargnant les cellules saines. (maxisciences.com)
  • Mis au point par une société de biotechnologie australienne et l'une des plus grandes organisations de recherche et de traitement du cancer aux États-Unis, ce virus a réduit les tumeurs cancéreuses du côlon, du poumon, du sein, de l'ovaire et du pancréas des modèles précliniques en laboratoire et chez l'animal. (maxisciences.com)
  • Le traitement de la rougeole est symptomatique. (lanation.dj)
  • Conformément à la loi du 06/01/1978 modifiée et au Règlement européen n°2016/679/UE du 27/04/2016, vous bénéficiez d'un droit d'accès, de modification, de portabilité, de suppression et d'opposition au traitement des informations vous concernant, que vous pouvez exercer auprès de [email protected] . (huffingtonpost.fr)
  • La rougeole est l'une des maladies infectieuses les plus transmissibles et les risques d'attaques secondaires dépassent les 90 % chez les personnes réceptives. (canada.ca)
  • La rougeole est l'une des maladies respiratoires infectieuses les plus contagieuses. (canada.ca)
  • Le vaccin contre le chikungunya basé sur le virus vaccinal de la rougeole (Reisinger et al. (pasteur.fr)
  • Il est conseillé aux vacanciers de vérifier leur statut vaccinal contre la rougeole avant un séjour savoyard. (mesvaccins.net)
  • Maladie infantile éruptive et contagieuse due à un virus. (docteurclic.com)
  • C'est une maladie éruptive contagieuse, due à un virus à ARN, du genre rubivirus, totalement. (docteurclic.com)
  • La rougeole est une maladie très contagieuse due à un virus qui se transmet très facilement par la toux, les éternuements et les sécrétions nasales. (loire.fr)
  • Si la virothérapie oncolytique existe depuis les années 1950, utilisant des virus de l'herpès, la varicelle ou encore le rhume hivernal. (pourquoidocteur.fr)
  • Parmi celles ci, nombreuses sont celles qui donnent des boutons (varicelle, rougeole, scarlatine . (docteurclic.com)
  • Ses travaux scientifiques ont porté sur l'influenza, la rougeole et la varicelle. (unil.ch)
  • Ainsi, l'OMS cite les exemples de la polio, une maladie qui peut entraîner la paralysie, et de la rougeole, qui peut provoquer une encéphalite ou la cécité. (bfmtv.com)
  • Je songe à traiter cette semaine de la rougeole qui est une maladie infectieuse infantile. (lanation.dj)
  • Les oreillons sont une maladie infantile provoquée par le virus ourlien. (medisite.fr)
  • L' Organisation mondiale de la santé tire la sonnette d'alarme : la rougeole fait son grand retour à travers le monde, une maladie très contagieuse qui se transmet très facilement par la toux, les éternuements et les sécrétions nasales. (yahoo.com)
  • De début janvier au 6 mai 2019, 166 cas de rougeole ont été enregistrés en Suisse, soit presque 8 fois plus que pour la même période de l'année précédente (21 cas). (infovac.ch)
  • Le 8 février 2019 , l'Agence régionale de santé Auvergne-Rhône-Alpes a recensé 18 cas de rougeole depuis fin janvier 2019 dans la station de Val Thorens en Savoie. (mesvaccins.net)
  • Le 20 février 2019 , les autorités sanitaires ont notifié, depuis fin janvier, 39 cas de rougeole dans la station de ski savoyarde. (mesvaccins.net)
  • Toutefois, en 2019, 1 274 cas de rougeole ont été signalés aux CDC. (msdmanuals.com)
  • Correspondant à une maladie virale, les oreillons sont dus au paramyxovirus, encore appelé virus ''ourlien'' . (informationhospitaliere.com)
  • La rougeole est une infection virale très contagieuse qui entraîne divers symptômes pseudo-grippaux et une éruption cutanée caractéristique. (msdmanuals.com)
  • De même, des travaux sont toujours en cours au sujet de l'innocuité du vaccin qui ne contient aucun virus Ebola vivant mais un virus génétiquement modifié de la stomatite vésiculaire (VSV). (maxisciences.com)
  • C'est un virus vivant atténué dont l'administration injectable est réalisée à deux reprises : la première à l'âge de 12 mois et la seconde entre 16 et 18 mois. (medisite.fr)
  • contient un virus vivant inoffensif et incapable de se multiplier (par exemple dérivé d'un adénovirus ou du virus de la rougeole) portant le gène qui permettra la fabrication de la protéine vaccinale directement dans l'organisme. (cea.fr)
  • Selon les autorités sanitaires costaricaines, le 18 février 2018, une famille de touristes français en provenance de France (un garçon de cinq ans et de ses parents de 30 et 35 ans) a réintroduit le virus de la rougeole dans le pays, entrainant le survenue des premiers cas de rougeole depuis 2014. (mesvaccins.net)
  • L'Organisation mondiale de la Santé s'est inquiétée récemment de la flambée de rougeole partout dans le monde, relevant un bond d'environ 50 % des cas en 2018 par rapport à 2017. (mesvaccins.net)
  • Cette Américaine de 49 ans a participé à un essai clinique pionnier : expérimenter la virothérapie, dont le but est d'éliminer le cancer grâce à un virus modifié en laboratoire. (pourquoidocteur.fr)
  • Tous les scientifiques qui pensent qu'ils travaillent en laboratoire sur des virus sont en fait en train de travailler sur des particules habituelles de tissus spécifiques en train de mourir ou sur des cellules qui ont été préparées d'une manière spéciale. (nouveau-monde.ca)
  • Les analyses génotypiques du virus de la rougeole ont été effectuées au Laboratoire national de microbiologie (LNM) de l'ASPC. (canada.ca)
  • Développé au sein du laboratoire du très controversé Yoshihiro Kawaoka, ce virus est composé de souches sauvages de la grippe aviaire qui ont été rendues volatiles, soit transmissibles par l'air. (initiativecitoyenne.be)
  • Ils ajoutent que ce nouveau virus créé en laboratoire devrait être sensible à l'antiviral oseltamivir , actuellement efficace contre la grippe. (initiativecitoyenne.be)
  • Le 23 décembre, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé les résultats très prometteurs d'un vaccin dirigé contre le virus Ebola. (maxisciences.com)
  • La rougeole , maladie très contagieuse, reste une cause importante de décès chez les jeunes enfants dans le monde, en dépit de la disponibilité d'un vaccin efficace. (mesvaccins.net)
  • Les virus de la grippe aviaire en circulation dans la nature contiennent tous les ingrédients génétiques pour former un agent pathogène similaire à celui responsable de la pandémie dévastatrice de 1918, selon une recherche publiée mercredi aux Etats-Unis. (initiativecitoyenne.be)
  • Cette équipe internationale de virologues a identifié huit gènes dans plusieurs virus de la grippe, isolés chez des canards sauvages, qui ont des similarités remarquables avec ceux qui formaient le virus de la pandémie de grippe de 1918 responsable d'au moins 40 millions de morts dans le monde. (initiativecitoyenne.be)
  • Cela a produit un virus plus virulent chez des souris et des furets qu'un virus ordinaire de la grippe aviaire, mais sans être aussi pathogène que celui de 1918. (initiativecitoyenne.be)
  • Ils ont identifié sept mutations dans trois gènes du virus qui lui permettent de se transmettre aisément comme celui de la grippe de 1918. (initiativecitoyenne.be)
  • Selon lui, savoir quels gènes rechercher dans un virus peut aider à prédire la probabilité de l'émergence d'une souche de la grippe capable de provoquer une pandémie, et permettre ainsi aux scientifiques d'élaborer des stratégies plus efficaces pour la combattre. (initiativecitoyenne.be)
  • Ces travaux font aussi davantage la lumière sur les mécanismes responsables de l'adaptation des virus de la grippe aviaire chez les mammifères. (initiativecitoyenne.be)
  • Les chercheurs ont en outre découvert que ce virus, proche cousin de celui de 1918, réagissait au vaccin actuel contre la grippe saisonnière qui protège notamment contre le virus H1N1 responsable de la pandémie de 2009. (initiativecitoyenne.be)
  • La grippe espagnole de 1918-19, qui fit 30 à 100 millions de morts, est liée au virus H1N1 probablement d'origine aviaire. (liberation.fr)
  • Les infections à la rougeole chez les enfants peuvent être telles que la grippe. (aaafasso.fr)
  • Grippe 2015 : l'éclairage de l'infectiologue L'épidémie de grippe saisonnière a fait autant de morts en France que le virus Ebola. (medscape.com)
  • Toutefois, la rougeole peut également se transmettre par voie aérienne (dans des milieux fermés, comme un milieu de soins de santé). (canada.ca)
  • Ces chercheurs ont alors déterminé le nombre de changements génétiques nécessaires pour que ce virus puisse se transmettre aisément chez des furets, le modèle animal de recherche de référence pour cette infection des voies respiratoires. (initiativecitoyenne.be)
  • Le virus peut se transmettre à tout le monde, mais c'est principalement les enfants de 6 mois à 4 ans qui sont atteints. (docteurclic.com)
  • La phase de contagion de la rougeole s'étend de 4 jours avant à 4 jours après l'apparition de l'éruption cutanée. (msdmanuals.com)
  • Les affirmations au sujet de l'existence des virus et des maladies virales sont basées sur de mauvaises interprétations historiques et non, comme on le pensait dans le passé, sur des fraudes ou des tromperies délibérées. (nouveau-monde.ca)
  • Les recommandations de premiers soins incluent un lavage immédiat à grande eau de la blessure pendant un temps minimum de 15 minutes avec du savon, du détergent, de la povidone iodée ou avec toute autre substance ayant une action prouvée de destruction du virus de la rage. (doctissimo.fr)
  • Bien que généralement bénigne, la rougeole peut occasionner de graves complications, telles que des encéphalites et des pneumonies, et peut dans de rares cas être mortelle en Europe (la mortalité étant beaucoup plus élevée en Afrique intertropicale). (mesvaccins.net)
  • Si le vaccin ne contient jamais la même souche de virus d'une année sur l'autre, il permet dans tous les cas de réduire les risques de complications, notamment chez les personnes âgées. (bfmtv.com)
  • Par ailleurs la rougeole est devenue une des principales maladies infectieuses transmise dans les avions. (astrium.com)
  • La rougeole est caractérisée par une éruption cutanée maculopapulaire généralisée, qui apparaît habituellement environ 14 jours après l'infection. (canada.ca)
  • Prophylaxie post-exposition de l'infection par le virus de la rage consécutive à une griffure ou une morsure infligée par un animal soupçonné d'être enragé, ou toute autre blessure, par exemple une contamination de la muqueuse par la salive de cet animal. (doctissimo.fr)
  • Cependant, dans 30 % des cas, l'infection par le virus des oreillons est totalement asymptomatique. (medisite.fr)
  • L'infection est provoquée par le virus ourlien. (medisite.fr)
  • Cette augmentation a été principalement causée par des personnes non vaccinées qui ont contracté l'infection dans des pays où la rougeole est plus fréquente et qui se sont ensuite rendues aux États-Unis. (msdmanuals.com)
  • Les symptômes de la rougeole débutent environ 7 à 14 jours après l'infection. (msdmanuals.com)
  • Le virus est transmis par contact direct et par l'air, infectant les muqueuses puis se propageant à tout l'organisme. (mesvaccins.net)
  • La plupart du temps, le mal de gorge est dû à une infection de l'organisme par un virus. (pharmaciengiphar.com)
  • On sait aujourd'hui que le virus persiste plusieurs mois dans l'organisme après guérison clinique. (medscape.com)
  • Dans le monde, la rougeole touche chaque année environ 10 millions de personnes et cause environ 134 000 décès, principalement des enfants. (msdmanuals.com)
  • 1. Au Costa Rica, une famille française aurait réintroduit la rougeole disparue depuis cinq ans dans le pays. (mesvaccins.net)
  • Bien que la majorité des enfants se rétablissent, la rougeole peut s'avérer mortelle ou entraîner des lésions cérébrales. (msdmanuals.com)
  • Aucune indication épidémiologique ou clinique d'une infection ou d'une épidémie de rougeole. (sciensano.be)
  • Étant donné qu'il n'existe aucun réservoir animal pouvant assurer la continuité de la transmission du virus de la rougeole et qu'aucune infection au virus de la rougeole persistante ou latente n'est contagieuse pendant une longue période, l'élimination de cette maladie est possible Référence 1 . (canada.ca)
  • La rougeole est une infection contagieuse. (lecturel.com)
  • le mal de gorge est souvent le symptôme d'une infection, la plupart du temps due à un virus. (pharmaciengiphar.com)
  • Le jeune âge, la malnutrition, les infections associées sont des facteurs qui favorisent la survenue de la rougeole compliquée. (lanation.dj)
  • Avril 2014 - La rougeole est une maladie grave, hautement contagieuse, provoquée par un virus. (who.int)
  • La rougeole est une maladie cosmopolite, transmise par voie aérienne, hautement contagieuse, due à Paramyxovirus influenzae. (astrium.com)
  • À partir du mois d'avril 2020, la circulation du virus de la rougeole a été "quasiment inexistante", très probablement grâce aux restrictions sanitaires déclare Santé Publique France. (huffingtonpost.fr)
  • Chez le sujet atteint, le virus passe par les voies respiratoires et va se loger dans les glandes salivaires, où il se reproduit. (informationhospitaliere.com)
  • Il existerait des capacités immunitaires particulières contre le virus de la part de populations confrontées de manière régulière à des épisodes épidémiques. (madagascar-tribune.com)
  • Ils croient que ces tissus et cellules sont en train de mourir parce qu'ils ont été infectés par un virus. (nouveau-monde.ca)
  • La rougeole provoque aussi une sorte d'amnésie du système immunitaire qui détruit les cellules mémoires et rend patients à nouveau vulnérables à des maladies qu'ils ont déjà eues. (infovac.ch)
  • Les analyses biologiques ont confirmé qu'ils étaient tous les trois porteurs du virus. (mesvaccins.net)
  • Virus zika : inquiétude dans les DOM L'actuelle épidémie de virus zika au Brésil vient rappeler que la Polynésie Française avait elle-même subi une grosse épidémie en 2013. (medscape.com)
  • Dans les pays développés, le taux de mortalité par rougeole est estimé à 2 ou 3 cas sur 1 000. (canada.ca)
  • Afin de maintenir le statut d'élimination de la rougeole, le Canada soumet des données de surveillance à l'Organisation panaméricaine de la Santé (OPS). (canada.ca)
  • Le virus est principalement transmis par gouttelettes respiratoires (par contact avec des sécrétions nasales ou buccales de personnes infectées). (canada.ca)
  • Labusquière R. : La rougeole dans les états membres de l'OCCGE- Rapport IV° conférence technique OCCGE, 1964, t II p.393. (asnom.org)
  • Retour de la rougeole aux États-Unis : pourquoi? (medscape.com)
  • Au Canada, la rougeole est une maladie à déclaration obligatoire depuis 1924, à l'exception de 1959 à 1968. (canada.ca)
  • Plus de 11.300 morts, c'est le bilan tragique de l'épidémie de virus Ebola qui a frappé l'Afrique de l'ouest entre 2014 et 2016. (maxisciences.com)
  • L'objectif de ce rapport est de fournir un résumé épidémiologique de l'activité de la rougeole observée au Canada pour l'année épidémiologique 2016. (canada.ca)
  • Les cas confirmés de rougeole inclus dans le présent rapport ont eu une éruption cutanée qui est apparue au cours de l'année épidémiologique 2016 (du 3 janvier au 31 décembre 2016). (canada.ca)
  • Pour tous les cas de rougeole confirmés par transcription inverse-amplification en chaîne de la polymérase (RT-PCR), le génotypage normalisé de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a été effectué, soit le séquençage des 450 nucléotides du gène (région N-450) de la nucléoprotéine et du gène entier de l'hémagglutinine (gène H) Référence 10 . (canada.ca)
  • M-M-RvaxPro est indiqué pour la prévention conjointe de la rougeole, des oreillons et de la rubéole chez les sujets dès l'âge de 12 mois (voir rubrique Posologie et mode d'administration ). (vidal.fr)
  • Les oreillons sont cependant évitables grâce au vaccin ROR (rougeole, oreillons et rubéole). (informationhospitaliere.com)
  • Après l'exposition au virus, les symptômes des oreillons deviennent apparents à partir de la deuxième semaine. (informationhospitaliere.com)
  • Le vaccin combiné contre rougeole-oreillons-rubéole (ROR) a permis d'endiguer les épidémies de cette inflammation des glandes salivaires. (medisite.fr)
  • Le vaccin contre les oreillons Le vaccin est largement utilisé dès la petite enfance sous sa forme combinée aux antigènes de la rougeole et de la rubéole. (medisite.fr)

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