Deux ganglionated plexuses neural dans la paroi intestinale qui forment un des trois grandes divisions du système nerveux autonome. Le système nerveux entérique innervates le tractus gastro-intestinal, le pancréas, et la vésicule biliaire. Il contient des neurones sensoriels, interneurons neurones moteurs, et les circuits de façon autonome peut sentir la tension et l'environnement chimique dans le ventre et réguler ton vaisseau sanguin, ni la mobilité, sécrétions, et le liquide. Le système de transport régie par le système nerveux central et reçoit tous les deux et parasympathique innervation sympathique. (De Kandel, Schwartz et Jessel, Principes de Neural Science, 3d Ed, p766)
Mégacôlon congénitale résultant de l ’ absence de cellules ganglionnaires (aganglionosis) dans un segment distal de la grande intestin. Les aganglionic segment fait définitivement contracté causant ainsi dilatation proximal à ça. Dans la plupart des cas, les aganglionic segment fait COLON et fini dans le sigmoïde.
Deux ganglionated réseaux neuronaux qui forment le système nerveux entérique. Le myenteric (Auerbach est) plexus se trouve entre les couches musculaire et de circulaire longitudinales de l'intestin. Ses neurones projet au muscle circulaire, aux autres myenteric Paraganglions de ganglion sous-muqueux ou directement à l'épithélium, et jouent un rôle important dans la régulation et modèlent la motilité intestinale. (De FASEB J 1989 ; 3 : 127-38)
Deux ganglionated réseaux neuronaux qui forment le système nerveux. La entérique Submucous (Meissner plexus) est dans le tissu conjonctif du sous-muqueuse. Ses neurones abdomino-génitaux vont à l'épithélium, les vaisseaux sanguins, cellules endocriniens, autre ganglion sous-muqueux et myenteric Paraganglions et jouent un rôle important dans la régulation et de l'eau ionique de transport. (FASEB J 1989 ; 3 : 127-38)
Les deux crêtes longitudinales le long du es primitif apparaît la fin de GASTRULATION au cours du développement du système nerveux (NEURULATION) sont formés par le sillon le pli de la plaque neurale. Sur Ies corniches, une unité centrale neuronale groove qui profonde que le troupeau devenir élevé. Quand les plis rencontrer à médiane, le rythme devient un tube fermé, le tube neural.
Les principaux organes information-processing du système nerveux, comprenant son cerveau, moelle épinière et les méninges.
Le nerf entier composée d'un appareil partie centrale, le cerveau et la moelle épinière, et une partie périphériques, les nerfs crâniens et rachidiens ganglion, autonome et Stedman, 26ème plexuses. (Éditeur)
Généralement d ’ expiration fait référence au digestif... reliant la bouche de structures de l'anus, mais n'inclut pas la complice des organes (glandulaire foie ; TRACT biliaire ; pancréas).
Inhibiteur de protéine tyrosine kinases du récepteur impliqué dans le gène du facteur variant H9IIIB PROVENANT Neurotrophic gliales ligands. Ils contiennent une cadherin domaine extracellulaire et forme un récepteur des complexes avec les récepteurs GDNF. Mutations dans une rev protéine sont responsables de la maladie et de multiples Hirschprung néoplasie endocrinienne TYPE 2.
Le moteur de la TRACT gastro-intestinale.
Un groupe d'organes... reliant la bouche à l'anus, servant à la destruction des aliments, assimiler les nutriments, et éliminer les pertes. Chez l'homme, le système digestif inclut le tube TRACT et la complicité des ganglions (foie ; TRACT biliaire ; pancréas).
Le système nerveux en dehors du cerveau et de la moelle épinière. Le système nerveux périphérique a autonome divisions et somatiques. Le système nerveux autonome, comprend les parasympathique entérique, et un sympathisant subdivisions. Le somatique Affections du système comprend les nerfs crâniens et rachidiens et leurs ganglions et les récepteurs sensoriels périphérique.
Une sous-catégorie de sitagliptine est un des facteurs de transcription SOX. Membres de cette sous-famille réguler provoque la différenciation des armoiries neural OLIGODENDROCYTES pendant la formation et en CHONDROGENESIS.
Un acide 21-amino peptide circulant dans le plasma, mais sa source est pas connue. Endothéline-3 a été trouvé à des concentrations élevées dans le cerveau et peut réguler fonctions importantes dans les neurones et astrocytes, tels que la prolifération et développement. C'est aussi présents dans le tractus gastro-intestinal et dans les poumons et les reins. (N Eng J Med 1995 ; 333 (6) : 356-63)
Les unités cellulaires de base de tissus nerveux. Chaque neurone est constitué d'un corps, une axone et dendrites. Leur but est de recevoir, conduite, et transmettre les impulsions électriques dans le système nerveux.
Le non-neuronal cellules du système nerveux. Ils ne fournit pas de support physique, mais également réagir à la blessure, liaisons ioniques et réguler la composition chimique du milieu extracellulaire participent aux BARRIER hémato-encéphalique et BLOOD-RETINAL BARRIER, forme l'isolation de myéline nerveux voies neuronales, guide la migration au développement, et de métabolites des neurones. Névroglie ont transmetteur à haute affinité présent voltage-dependent transmitter-gated transport systèmes, et les canaux ioniques, et peuvent libérer transmetteurs, mais leur rôle en indiquant (comme dans de nombreux autres fonctions) est peu claire.
Un membre fondateur des cellules gliales Line-Derived neurotrophic facteur famille. Il a été décrit comme un facteur favorisant CROISSANCE sang-froid la survie des neurones dopaminergiques MIDBRAIN, et ça a été étudié comme traitement potentiel pour la maladie Parkinson.
Des amas de neurones multipolaire entouré de organisé par la capsule du tissu conjonctif located outside the CENTRALE le système nerveux.
La partie du tube digestif de l'estomac à l'anal canal. Il comprend le grand intestin et petit intestin.
Le segment de large intestin entre le cœcum et du est fini. Il inclut les COLON ascendante ; la COLON ; la transversale DESCENDING COLON ; et le sigmoïde COLON.
L'extrémité et plus petite partie du petit intestin, entre le jéjunum et les ileocecal valvule du grand intestin.
Une famille de GLYCOSYLPHOSPHATIDYLINOSITOL-anchored récepteurs de surface spécifiques pour cellule gliales Line-Derived Neurotrophic FACTEURS. Ils forment un récepteur multi composants c-ret proto-oncogène complexe avec des protéines et réguler diverses signal de transduction intracellulaire conjointement avec c-ret protéine.
Nom commun pour deux groupes distincts de des oiseaux dans l'ordre GALLIFORMES : Le Nouveau Monde ou American cailles de la famille Odontophoridae et l'Ancien Monde cailles dans ce genre, famille COTURNIX Phasianidae.
Pharmacodynamiques et des processus de la SYSTÈME DIGESTIVE dans son ensemble ou de ses parties.
Dilatation des dimensions alarmante COLON souvent. Il existe différents types de mégacôlon toxique dont la maladie de Hirschsprung mégacôlon congénitale, idiopathique mégacôlon toxique dans la constipation et TOXIC mégacôlon toxique.
Très basique, 28 acide aminé neuropeptide libéré de la muqueuse intestinale. Il a un large intervalle d ’ effets biologiques, troubles gastro-intestinaux, affectant l ’ appareil cardiovasculaire et respiratoire, et est spécial. Il se lie neuroprotecteurs positifs (récepteurs, vasoactive INTESTINAL peptide).
Composés endogène ainsi que par des médicaments qui stimulent les récepteurs 5-HT4 SEROTONIN spécifiquement.
Histochemical Localisation de substances immunoréactifs utilisant étiqueté comme anticorps réactifs.
La portion du TRACT gastro-intestinale entre le pylore de l'estomac et les ileocecal valvule du grand intestin. C'est divisible en trois parties : Le duodénum, le jéjunum et l'iléon.
Les maladies de l ’ un des composants du cerveau (y compris le cerveau, diencéphale, tronc cérébral et le cervelet) ou la moelle épinière.
Un mouvement, causée par la contraction musculaire successives, qui pousse le contenu des intestins ou autres organes tubulaire dans une direction.
Le 10e nerf cranien le nerf vague est à double culot qui contient Afferents somatique (de peau derrière l'oreille et du méat auditif), fibres Afférentes Viscérales (du pharynx, larynx, thorax et abdomen), (efferents parasympathique au thorax et abdomen), et pour le muscle strié efferents (du larynx et le pharYnx).
C-kit positifs liés à des cellules qui sont doux muscle intercalated entre Ies nerfs et les cellules musculaires lisses observé la TRACT. Différentes classes phénotypique jouer rôle en tant que médiateur de pacemakers neuronal et contributions, mechanosensors.
Un nom commun utilisé pour le genre Cavia. Le plus fréquent espèce est Cavia porcellus qui est le domestiqué cobaye utilisé pour les animaux et des recherches biomédicales.
Le mouvement de cellules d'un endroit à un autre distinguer CYTOKINESIS. C'est le procédé de diviser le cytoplasme d'une cellule.
Un type d ’ iléus pas mécanique fonctionnelle, une obstruction des intestins. Ce syndrome est provoqué par un grand nombre de nerveux impliquant les muscles lisses (muscle) ou la futée, le système nerveux.
Type III filament intermédiaire des protéines qui assemblé à neurofilaments, le principal élément cytoskeletal axons, et il manquait pas de dendrites. Il est constitué de trois distinct polypeptides, le neurofilament triplé. Types I, II et IV filament intermédiaire des protéines cytoskeletal former d'autres éléments tels que keratins et lamins. Il semble que le métabolisme du neurofilaments est perturbé dans la maladie d'Alzheimer, comme indiqué par la présence de neurofilament galactogènes au neurofibrillary altercations, ainsi que par la réduction sévère de l'expression du gène de la lumière de la sous-unité neurofilament neurofilament cerveaux triplés in Alzheimer J Neurol. Sci août 1990, 17 (3) : 302)
La partie du milieu du petit intestin, entre le duodénum et l'iléon. Il représente environ 2 / 5 de l ’ intestin grêle sous duodénum.
Une classe de récepteurs cellulaires qui ont une activité intrinsèque inhibiteur de protéine-tyrosine kinase.
Une famille de low-molecular protéines associées au poids, Non-Histone chromatine.
L ’ un des processus par lequel cytoplasmique, nucléaire ou Molécule-1 facteurs influencent l 'écart le contrôle de Gene combat durant les stades de développement d'un organisme.
L'entité sur le développement d'un oeuf fertilisé (zygote). Le processus de croissance commence à environ 24 h avant l'œuf est imputable à une petite tache blanchâtre BLASTODISC, sur la surface de l'oeuf YOLK. Après 21 jours d'incubation, l'embryon est complètement développée avant l'éclosion.
Un état causé par l'absence de péristaltisme ou INTESTINAL motilité intestinale mécanique sans aucune obstruction. Cette interférence du flot de INTESTINAL CONTENU engendre souvent INTESTINAL OBSTRUCTION. Iléus peuvent être classées dans postopératoire neurogène inflammatoire, des troubles du métabolisme et de psychoses médicamenteuses.
Un complexe reseau de fibres nerveuses incluant sympathique et efferents parasympathique et fibres Afférentes Viscérales. Le plexus cœliaque, le plus vaste des plexuses autonome et est localisé dans l'abdomen autour du tronc cœliaque et supérieur artères mésentériques.
Une portion du petit TRACT gastro-intestinale qui inclut le cæcum ; la COLON ; et la est fini.
Cellules nerveuses où transmission est médiée par le monoxyde d'azote.
Relativement indifférenciées cellules qui gardent la possibilité de se diviser et postnatal prolifèrent dans toute la vie qui peut fournir de cellules souches se différencient en cellules spécialisées.
Bénignes et malignes des processus néoplasiques qui résultent ou secondairement implique le cerveau, dans la moelle épinière, ou les méninges.
Le rôle de CENTRALE que le système nerveux est contenu dans le crâne (crâne). Facilité de neural embryonnaire TUBE, le cerveau se compose de trois parties principales incluant PROSENCEPHALON (réactivera) ; mésencéphale (le mésencéphale) ; et (les RHOMBENCEPHALON hindbrain). Les pays cerveau se compose de cerveau, le cervelet ; et autres structures dans le cerveau le STEM.
Un sous-type de récepteurs qui G-Protein-Coupled SEROTONIN préférentiellement couple pour GS stimulation entraînant une augmentation G-PROTEINS intracellulaire faisant intervenir l'AMP cyclique. Plusieurs isoformes du récepteur exister grâce à une alternative à colmater de ses mRNA.
Une technique qui localizes spécifique de séquences d'acides nucléiques dans intacte chromosomes, les cellules eucaryotes, ou les cellules bactériennes en utilisant les sondes acid-labeled nucléique spécifique.
Substances utilisées pour leurs effets pharmacologiques dans n'importe quel aspect de neurotransmetteurs. Neurotransmetteur traitements comprennent agonistes de la dégradation de l'angiotensine II, inhibiteurs, inhibiteurs de la capture, depleters, un précurseur de récepteur, et de modulateurs fonction.
Un type d'oiseaux dans la famille Phasianidae, ordre, contenant les GALLIFORMES européenne commune et autres Ancien Monde cailles.
Un ester qui agit sur hydrolase thioester formé entre des thiols comme DITHIOTHREITOL ou glutathion et le résidu de glycine propeptide C-terminal UBIQUITIN.
Les protéines tissus nerveux, également connues sous le nom de protéines neurofibrillaires, sont des structures filamenteuses abondantes dans les neurones, jouant un rôle crucial dans la régulation du cytosquelette et participant à divers processus cellulaires, dont l'excitabilité neuronale et le trafic vésiculaire, mais leur accumulation anormale est associée à des maladies neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer.
Formation de neurones qui implique la différenciation des cellules et de la répartition des STEM dans lequel ou les deux cellules filles devenir neurones.
Facteurs renforcer le potentiel de croissance des cellules du nerf sympathique et sensoriels.
Des souris de laboratoire qui ont été modifiées Produites à partir d'un oeuf ou EMBRYO, un mammifère.
Un inhibiteur des récepteurs de sous-type retrouvé principalement dans le rein. Il peut jouer un rôle dans la réduction des taux de l ’ endothéline systémique.
Une enzyme qui catalyse la formation de l'acétylcholine par acetyl-CoA et choline. CE 2.3.1.6.
Un genre de sphinx sphinx, ou de la famille Sphingidae. Ces insectes sont utilisés en biologie moléculaire études pendant toutes les étapes de son cycle de vie.
La blanche ; le système nerveux parasympathique ; le système nerveux et le système nerveux totalement désolé pris ensemble. En général, le système nerveux autonome régule la environnement intérieur pendant la phase d'activité pacifique et stress physique ou émotionnelle. Autonome et intégrée de l 'activité est contrôlée par la CENTRALE le système nerveux surtout les HYPOTHALAMUS et le noyau solitaire, qui reçoivent des informations par rafales relayée depuis fibres Afférentes Viscérales.
Revêtement des intestins, comprenant une épithélium intérieure, un milieu et un axe la lamina propria et les muscularis mucosae. Dans un petit intestin, la muqueuse est caractérisé par une série de plis et l'abondance de cellules absorbante (entérocytes) avec microvillosités.
Maladies dans un segment de l'oesophage de TRACT gastro-intestinale pour est fini.
Un antagoniste cholinergiques nicotinique souvent appelées la typicale ganglionic bloqueur. C'est mal absorbé du tube digestif et ne traverse pas la barrière hémato-encéphalique. Elle a servi à diverses fins thérapeutiques comportant une hypertension artérielle mais, comme les autres ganglionic bêtabloquants, elle a été remplacée par plus de traitement spécifique pour plus fins, mais il est très utilisé un outil de recherche.
La souris de lignée C57BL est une souche inbred de Mus musculus, largement utilisée dans la recherche biomédicale, caractérisée par un ensemble spécifique de traits génétiques et phénotypiques.
Un organe de digestion situé au quadrant supérieur gauche de l'abdomen entre la résiliation de l'oesophage, et le début du duodénum.
Un flavoprotein ça de façon réversible à NADP Nadph oxyder et une diminution de acceptor. CE 1.6.99.1.
Calbindin sélectionne une protéine qui est exprimé dans des populations distinctes de neurones dans le vertébrés et invertébrés et qu ’ il module le système nerveux neuronal intrinsèque caractérisée par une excitabilité et influences ÉVOLUTION une potentialisation. C'est également retrouvés dans poumon, du testicule, de l ’ ovaire, de rein, et, et est exprimé dans de nombreux tumeur types trouvent dans ces tissus. Il est souvent utilisé comme un marqueur pour immunohistochimique mésothéliome.
Restriction progressive du potentiel de développement et en augmentant la spécialisation de fonction qui mène à la formation de cellules spécialisées, de tissus, et d'organes.
Une trouble comportant colique chronique ou récidivante symptômes sans étiologie qui avait été entièrement rasée. Cette condition est caractérisé par une douleur chronique ou récidivante ABDOMINAL), ballonnements, MUCUS dans FECES erratique, et trouble de défécation.
Un poison aminoperhydroquinazoline trouve principalement dans le foie et des ovaires des poissons dans l'ordre TETRAODONTIFORMES, qui sont mangé. La toxine provoque paresthésie et paralysie via les interférences avec la conduction neuromusculaire.
Des amas de neurones et leurs procédures dans le système nerveux autonome. Dans le ganglion autonome Preganglionic les fibres du système nerveux central synapse sur les neurones dont les axones sont les organes cibles innervating postganglionic fibres. Le ganglion contiennent également des neurones intrinsèque et soutenir des cellules et Preganglionic fibres passer à autre ganglion.
Un messager biochimiques et synthétiser d'un régulateur, acides aminés essentiels L-tryptophane. Elle est retrouvé principalement dans le système nerveux central, le tractus digestif, et des plaquettes sanguines. Sérotonine médie d'importantes fonctions physiologiques neurotransmission glutamatergique, y compris la motilité gastro-intestinale, hémostase et intégrité. Plusieurs récepteurs familles cardiovasculaire (récepteurs, SEROTONIN) expliquer les grandes les actions physiologiques et distribution of this biochimiques médiateur.
Unstriped Unstriated et du muscle, une des muscles de les organes internes, les vaisseaux sanguins, follicules pileux, etc. vacuole éléments récents sont allongés, généralement spindle-shaped cellules avec situé noyaux. Lisse fibres musculaires sont unis en feuilles ou de lots par fibres réticulaires et fréquemment élastique filets sont aussi abondant. (De Stedman, 25e éditeur)
Passage de nourriture (parfois sous la forme d'un repas) par le tractus gastro-intestinal mesurée dans minutes ou heures. Le taux de passage à travers l'intestin est un indicateur de la fonction de l'intestin grêle.
La division thoracolumbar du système nerveux autonome. Sympathique Preganglionic fibres intermediolateral originaires de neurones de la colonne de la moelle épinière et projette au paravertebral et prevertebral ganglion qui le projet pour les organes cibles. Le système nerveux sympathique provoque la réaction au stress et c ’ est-à-dire que la lutte ou fuite. C'est souvent des réactions au système parasympathique réciproquement.
La souris portant mutant gènes qui sont phenotypically exprimés chez les animaux.
Propriétés caractéristiques et des processus de la dans son ensemble ou le système nerveux, pour l 'ou la CENTRALE le système nerveux périphérique.
La vie intracellulaire transfert des informations (activation biologique / inhibition) par un signal à la voie de transduction des signaux dans chaque système, une activation / inhibition signal d'une molécule biologiquement active neurotransmetteur (hormone) est médiée par l'accouplement entre un récepteur / enzyme pour une seconde messager système. ou avec la transduction les canaux ioniques. Joue un rôle important dans la différenciation cellulaire, activation fonctions cellulaires, et la prolifération cellulaire. Exemples de transduction ACID-postsynaptic gamma-aminobutyrique systèmes sont les canaux ioniques receptor-calcium médiée par le système, le chemin, et l ’ activation des lymphocytes T médiée par l'activation de Phospholipases. Ces lié à la membrane de libération de calcium intracellulaire dépolarisation ou inclure les fonctions d ’ activation récepteur-dépendant dans granulocytes et les synapses une potentialisation de l'activation de protéine kinase. Un peu partie de transduction des signaux de transduction des signaux des grandes ; par exemple, activation de protéine kinase fait partie du signal d'activation plaquettaire sentier.
Espèce de la famille exotique CYPRINIDAE, originaire de l'Asie, ça a été introduit en Amérique du Nord. Elles sont utilisées en embryological études et étudier les effets de certains produits chimiques au développement.
Le nombre de des cellules d'un genre spécifique, généralement mesurée par unité de volume ou domaine d'échantillon.
Protéines qui émanent d'espèces d'insectes appartenant à la Genus Drosophila. Les protéines de la plus intense et étudié espèces de Drosophila, Drosophila melanogaster, font l 'objet d' intérêt dans le domaine de morphogénèse et le développement.
Un facteur neurotrophic cellules gliales Line-Derived ligand spécifique pour le récepteur de GFRA2 Neurturine est essentiel pour le développement de neurones parasympathique postganglionic spécifique.
Retard de la vidange gastrique. Gastroparésie chroniques peuvent être dues à dysfonction motrice ou paralysie des muscles ou estomac peut être associé à d'autres maladies systémiques tels que DIABETES sucré.
Un calcium-dependent, constitutively-expressed forme d ’ oxyde nitrique synthétase retrouve essentiellement dans votre sang-froid.
Un modèle de la contraction musculaire gastro-intestinale et depolarizing ressenti activité qui évolue de l'estomac à l'ileocecal valvule à des fréquences pendant la période interdigestive. Le complexe et ses capacités motrices périodiquement nettoyer son intestin sécrétion interdigestive et débris pour le prochain repas.
Cellules propagés in vitro sur des médias propice à leur croissance. Cellules cultivées sont utilisés pour étudier le développement, un myélogramme, troubles du métabolisme et physiologique processus génétique, entre autres.
Souches de souris dans laquelle certains gènes de leurs génomes ont été interrompus, ou "terrassé". Pour produire par K.O., en utilisant une technique d ’ ADN recombinant, le cours normal séquence d'ADN d'un gène d ’ être étudiés is altered to prévenir synthèse d'un gène normal. Cloné cellules dans lequel cet ADN altération est couronnée de succès sont ensuite injecté dans souris embryons de produire des souris chimérique chimérique. Les souris sont ensuite élevée pour déclencher une souche dans lequel toutes les cellules de la souris contiennent le gène perturbé. KO les souris sont utilisés comme expérimentale ESPÈCES CYLONS pour des maladies (maladie des modèles, LES ESPÈCES) et à clarifier les fonctions de gènes.
Une souche de rat albinos largement utilisé à des fins VÉRIFICATEUR à cause de sa sérénité et la facilité d'de manipulation. Il a été développé par les Sprague Dawley Animal Company.
Peptides libérée par les neurones comme Molécule-1 messagers. Beaucoup de neuropeptides sont également hormones non-neuronal libérée par les cellules.
L'entité sur le développement d'un ovule fécondé (zygote) autres que sur plusieurs espèces animales de mammifères. Pour les poulets, utilisez la bonne nana EMBRYO.
Protéines obtained from the Danio Zébré. Beaucoup d'entre les protéines dans cette espèce a été l'objet d'études incluant basique embryological développement (embryologie).
Pathogène au niveau du cerveau, moelle épinière et les méninges. ADN VIRUS INFECTIONS ; ARN VIRUS INFECTIONS ; INFECTIONS bactérienne ; Mycoplasma INFECTIONS ; SPIROCHAETALES INFECTIONS ; mycoses ; Protozoan INFECTIONS ; helminthiases ; et maladies à prion peut impliquer le système nerveux central comme un processus primaire ou secondaire.
Une enzyme qui catalyse la conversion de l'L-tyrosine, tétrahydrobioptérine, et en oxygène, 3,4-dihydroxy-L-phenylalanine dihydrobiopterin et eau. CE 1.14.16.2.
Naturelle de maladies animales ou expérimentalement avec processus pathologiques suffisamment similaires à ceux des maladies humaines. Ils sont pris en étude modèles pour les maladies humaines.
L'évacuation de la nourriture de l'estomac dans le duodénum.
Un neurotransmetteur acide eleven-amino qui apparaît dans les systèmes nerveux central et périphérique. Elle est impliquée dans la transmission de douleur, provoque un rapide contractions du muscle lisse gastro-intestinale et inflammatoire et module les réponses immunitaires.
Les processus se situant dans le développement précoce assez direct morphogénèse. Ils précisent les corps plan garantissant que les cellules se déroulera à différencier, de grandir et de diversifier en taille et forme en position presque correcte. Modelage, axiale segmentation, compartiment spécification, position membre, organe frontière modelage, vaisseau sanguin modelage, etc.
Une famille de protéines RNA-binding ELAV homologues de protéine, Drosophila. Ils ont d'abord été identifié chez l'homme comme les cibles d'auto-anticorps chez les patients présentant une encéphalomyélite paranéoplasique. On pense qu'ils régulent Post-Transcriptional GENE expression au niveau.
L'entité de l ’ apparition d ’ une mammifère (de mammifères), généralement du décolleté d'un zygote à la fin de la différenciation embryonnaires structures de base. Pour l'embryon humain, ça représente les deux premiers mois de développement intra-utérin précédant les scènes du FETUS.
Maladie du système nerveux central et périphérique. Cela inclut nerveux du cerveau, moelle épinière, nerfs crâniens, des nerfs périphériques, racines nerveuses, système nerveux autonome, jonction neuromusculaire, et le muscle.
Bénignes et malignes des processus néoplasiques arising from or impliquant composantes du Central, périphérique, et les systèmes nerveux autonome, nerfs crâniens, et les méninges. Inclus dans cette catégorie sont métastatique tumeurs primaires et nerveux.
Aucun détectable et héréditaire changement dans le matériel génétique qui peut provoquer un changement dans le génotype et qui est transmis à cellules filles et pour les générations futures.
La communication d'un neurone à une cible (neurone, muscle, ou de sécrétion sur un Synapse. Dans une transmission, le synaptique présynaptique neurone libère un neurotransmetteur céfuroxime traverse la creux synaptique spécifique et se lie aux récepteurs synaptique activé, active les récepteurs moduler des canaux ioniques spécifiques et / ou second-messenger systems in the Postsynaptic cellule. En électricité, des signaux électriques transmission synaptiques sont communiquées sous forme de flux ionique sur BOURDONNEMENT synapses.

Le système nerveux entérique (SNE) est une branche complexe et autonome du système nerveux périphérique qui régule la fonction gastro-intestinale. Il est souvent appelé le "deuxième cerveau" en raison de sa complexité et de son rôle important dans la régulation des fonctions digestives, y compris la motilité intestinale, la sécrétion glandulaire, la perméabilité vasculaire et l'immunomodulation.

Le SNE est composé d'environ 100 millions de neurones organisés en deux plexus nerveux : le plexus myentérique et le plexus submucosal. Ces plexus forment un réseau complexe de fibres nerveuses qui innervent la muqueuse, la sous-muqueuse, la musculeuse et la séreuse de l'ensemble du tube digestif, depuis l'œsophage jusqu'au rectum.

Le SNE est capable de fonctionner indépendamment du système nerveux central (SNC) grâce à ses propres circuits neuronaux et à sa capacité à produire des neurotransmetteurs et des neuropeptides identiques à ceux trouvés dans le cerveau. Cependant, il est également capable de communiquer avec le SNC via les nerfs vagus et splanchnique pour coordonner les fonctions digestives en réponse aux changements internes et externes.

Le SNE joue un rôle crucial dans la régulation des processus physiologiques tels que la sensation de faim et de satiété, l'humeur, le stress, l'immunité et la fonction cognitive. Des dysfonctionnements du SNE ont été associés à une variété de troubles gastro-intestinaux, y compris les maladies inflammatoires de l'intestin, le syndrome du côlon irritable, la constipation chronique et la diarrhée.

La maladie de Hirschsprung est une anomalie congénitale du système nerveux entérique, qui affecte le côlon et provoque une obstruction intestinale. Cette condition est caractérisée par l'absence de ganglions nerveux (neurones) dans une partie ou dans la totalité du muscle circulaire de la paroi intestinale. Les ganglions nerveux sont responsables de la relaxation des muscles intestinaux, permettant ainsi le passage des selles. En leur absence, une zone de l'intestin reste contractée et empêche les matières fécales de se déplacer normalement.

La maladie de Hirschsprung peut varier en gravité, allant d'une forme aggravée touchant tout le côlon (forme longue) à une forme plus bénigne ne concernant qu'un segment court du côlon. Les symptômes les plus courants comprennent la constipation sévère et prolongée, des vomissements nauséabonds, une distension abdominale et un retard de croissance chez les nourrissons. Chez les enfants plus âgés, elle peut se manifester par une diarrhée chronique, une mauvaise absorption des nutriments et un retard de développement.

Le diagnostic de la maladie de Hirschsprung repose généralement sur des tests spécifiques tels qu'une manométrie anorectale, une biopsie rectale et une radiographie de l'intestin. Le traitement consiste le plus souvent en une intervention chirurgicale visant à retirer la section affectée du côlon et à reconnecter les sections saines de l'intestin. Après l'intervention, certains enfants peuvent encore présenter des problèmes de constipation ou d'incontinence fécale, qui peuvent être traités avec des médicaments, une alimentation adaptée et des techniques de formation à la propreté.

Le plexus myéntérique, également connu sous le nom de plexus de Auerbach, est un réseau complexe de neurones et de fibres nerveuses situé dans la couche musculaire longitudinale de l'intestin moyen (muscularis externa). Il s'étend le long du tube digestif, depuis l'œsophage jusqu'au rectum.

Ce plexus est responsable de la régulation des mouvements et des contractions musculaires dans les parois intestinales, ce qui permet la progression du contenu alimentaire à travers le tube digestif. Il joue un rôle crucial dans la coordination des activités motrices de l'intestin grêle et du côlon, en modulant la force et la fréquence des contractions musculaires pour faciliter la digestion, l'absorption des nutriments et l'évacuation des déchets.

Le plexus myéntérique est composé de deux types de neurones : les neurones sensitifs, qui détectent les étirements et les changements chimiques dans l'intestin, et les neurones moteurs, qui transmettent des signaux aux muscles lisses de la paroi intestinale pour provoquer des contractions ou des relâchements. Ces neurones communiquent entre eux et avec d'autres structures nerveuses via des synapses et des jonctions neuro-musculaires, formant ainsi un réseau complexe et intégré de contrôle moteur dans le tractus gastro-intestinal.

Le plexus nerveux sous-muqueux, également connu sous le nom de plexus myentérique, est un réseau complexe de fibres nerveuses autonomes situées dans la couche submucosale de la paroi du tube digestif. Il joue un rôle crucial dans le contrôle des fonctions viscérales involontaires telles que la motilité intestinale, la sécrétion glandulaire et la vascularisation locale. Le plexus nerveux sous-muqueux est une partie importante du système nerveux entérique, qui fonctionne de manière autonome pour réguler les activités digestives sans nécessiter d'inputs constants du système nerveux central. Les dommages ou dysfonctionnements de ce plexus peuvent contribuer à divers troubles gastro-intestinaux, y compris les maladies inflammatoires de l'intestin et le syndrome du côlon irritable.

La crête neurale est une structure embryonnaire présente dans le développement précoce des vertébrés, y compris les humains. Elle se forme à partir du ectoderme neural, qui est la partie supérieure de l'ectoderme (la couche externe de cellules) située au-dessus de la plaque neurale. Sous l'influence de facteurs de transcription et de signalisation, une invagination se produit dans l'ectoderme neural pour former la crête neurale.

Les cellules de la crête neurale migrent ensuite vers diverses régions du corps en développement, où elles contribuent à la formation de plusieurs types de tissus et d'organes. Parmi les structures dérivées de la crête neurale, on trouve :

1. Le système nerveux périphérique (y compris les ganglions sensoriels et les nerfs autonomes)
2. Les méninges (membranes protégeant le cerveau et la moelle épinière)
3. Le tissu conjonctif de la tête et du cou (cartilage, os, derme)
4. La cornée et le stroma de l'iris dans l'œil
5. Les mélanocytes (cellules responsables de la pigmentation de la peau, des cheveux et des yeux)
6. Le système cardiovasculaire (parties du cœur et des vaisseaux sanguins)

Les anomalies dans le développement de la crête neurale peuvent entraîner diverses malformations congénitales, telles que des fentes labiales et palatines, des syndromes neurocristopathiques, des maladies osseuses héréditaires et des troubles pigmentaires.

Le système nerveux central (SNC) est une structure cruciale du système nerveux dans le corps humain. Il se compose du cerveau et de la moelle épinière, qui sont protégés par des os : le crâne pour le cerveau et les vertèbres pour la moelle épinière.

Le cerveau est responsable de la pensée, des émotions, de la mémoire, du langage, du contrôle moteur et de nombreuses autres fonctions essentielles. Il est divisé en plusieurs parties, chacune ayant ses propres rôles et responsabilités : le cortex cérébral (qui joue un rôle majeur dans la pensée consciente, la perception sensorielle, la mémoire et le contrôle moteur), le thalamus (qui sert de relais pour les informations sensorielles avant qu'elles n'atteignent le cortex cérébral), l'hypothalamus (qui régule les fonctions autonomes telles que la température corporelle, la faim et la soif) et le cervelet (qui contribue au contrôle des mouvements).

La moelle épinière, quant à elle, sert de voie de communication entre le cerveau et le reste du corps. Elle transmet les signaux nerveux du cerveau vers les différentes parties du corps et reçoit également des informations sensorielles en retour. La moelle épinière est responsable des réflexes simples, tels que retirer rapidement sa main d'une source de chaleur intense, sans nécessiter l'intervention du cerveau.

Le système nerveux central travaille en étroite collaboration avec le système nerveux périphérique (SNP), qui comprend les nerfs et les ganglions situés en dehors du cerveau et de la moelle épinière. Ensemble, ces deux systèmes permettent la communication entre le cerveau et le reste du corps, assurant ainsi des fonctions vitales telles que la sensation, le mouvement, la régulation des organes internes et la réponse aux menaces extérieures.

Le système nerveux est un complexe réseau de structures et de fonctions dans le corps qui sont responsables de la perception sensorielle, du traitement de l'information, du contrôle moteur, de la régulation des viscères et de la coordination générale de toutes les activités corporelles. Il se compose du système nerveux central (SNC), qui comprend le cerveau et la moelle épinière, et du système nerveux périphérique (SNP), qui comprend les nerfs crâniens, les nerfs spinaux et les ganglions nerveux.

Le SNC est responsable de l'intégration des informations sensorielles, de la formation de réponses motrices et de la régulation des fonctions autonomes telles que la respiration, la digestion et la circulation sanguine. Le SNP transmet les informations entre le SNC et le reste du corps en transportant les impulsions nerveuses sous forme d'influx électriques le long des fibres nerveuses.

Le système nerveux peut être further divisé en deux sous-systèmes : le système nerveux somatique, qui contrôle les mouvements volontaires et la sensation cutanée, et le système nerveux autonome, qui régule les fonctions involontaires telles que la fréquence cardiaque, la pression artérielle et la température corporelle.

Le système nerveux est essentiel à la survie et au fonctionnement normal de l'organisme, et toute altération de sa structure ou de sa fonction peut entraîner des troubles neurologiques graves.

Le tube digestif, également connu sous le nom de tractus gastro-intestinal, est un organe creux qui s'étend du tube musculaire de l'œsophage à la bouche et se termine à l'anus. Il a un rôle crucial dans la digestion des aliments, l'absorption des nutriments et l'élimination des déchets.

Le tube digestif est composé des structures suivantes :

1. Bouche (cavité buccale) : C'est ici que le processus de digestion commence lorsque les dents broient les aliments en morceaux plus petits, facilitant ainsi la déglutition et la digestion ultérieures. Les glandes salivaires sécrètent également des enzymes qui aident à décomposer les glucides.

2. Œsophage : C'est un tube musculaire qui transporte les aliments de la bouche vers l'estomac par des contractions rythmiques appelées péristaltisme.

3. Estomac : Il s'agit d'un réservoir musculaire dans lequel les aliments sont mélangés avec des sucs gastriques, tels que de l'acide chlorhydrique et des enzymes pepsines, pour décomposer davantage les protéines.

4. Intestin grêle : Il s'agit d'un long tube sinueux qui absorbe la plupart des nutriments du chyme (mélange de nourriture et de sucs digestifs) dans le sang. Le processus d'absorption est facilité par les villosités et les microvillosités, qui augmentent considérablement la surface d'absorption.

5. Côlon (gros intestin) : Il s'agit de la dernière partie du tube digestif, où l'eau et les électrolytes sont absorbés dans le sang, tandis que les déchets non digérés forment des selles. Le côlon abrite également une grande population de bactéries intestinales qui jouent un rôle important dans la santé digestive.

6. Rectum et anus : Les matières fécales sont stockées dans le rectum avant d'être évacuées par l'anus.

Le proto-oncogène C-RET est un gène présent dans le génome humain qui code pour une protéine appelée tyrosine kinase RET. Cette protéine joue un rôle important dans la régulation des voies de signalisation cellulaire, en particulier dans le développement du système nerveux périphérique et la fonction rénale.

Cependant, lorsqu'il y a une mutation dans ce gène, il peut devenir un oncogène, c'est-à-dire un gène capable d'induire une transformation maligne des cellules. Les protéines du proto-oncogène C-RET mutées peuvent entraîner une activation constitutive de la tyrosine kinase, ce qui peut conduire à une prolifération cellulaire incontrôlée et à la tumorigenèse.

Des mutations activatrices du gène C-RET ont été identifiées dans plusieurs types de cancer, tels que le médullaire de la thyroïde, le cancer pulmonaire à petites cellules et le cancer du côlon. Ces mutations peuvent être héréditaires ou acquises somatiquement au cours de la vie d'un individu.

En résumé, les protéines du proto-oncogène C-RET sont des tyrosine kinases qui jouent un rôle important dans la régulation des voies de signalisation cellulaire. Des mutations activatrices de ce gène peuvent entraîner une activation constitutive de la tyrosine kinase, conduisant à une prolifération cellulaire incontrôlée et à la tumorigenèse dans certains types de cancer.

La motilité gastrointestinale est un terme médical qui se réfère aux mouvements musculaires involontaires qui se produisent dans le tractus gastro-intestinal (GI), y compris l'œsophage, l'estomac, l'intestin grêle et le côlon. Ces mouvements sont essentiels pour la digestion des aliments, le mélange et la progression du contenu gastrique à travers le tube digestif.

La motilité gastro-intestinale est régulée par un complexe système de nerfs et de muscles qui travaillent ensemble pour coordonner les contractions musculaires dans tout le tractus GI. Les hormones et les neurotransmetteurs jouent également un rôle important dans la régulation de la motilité gastro-intestinale.

Les problèmes de motilité gastro-intestinale peuvent entraîner une variété de symptômes, tels que des douleurs abdominales, des ballonnements, des nausées, des vomissements, de la constipation ou de la diarrhée. Ces problèmes peuvent être causés par une variété de facteurs, y compris des troubles nerveux ou musculaires, des infections, des lésions ou des maladies sous-jacentes telles que le syndrome du côlon irritable ou la maladie de Parkinson.

Le système digestif est un ensemble complexe d'organes et de glandes qui travaillent en collaboration pour transformer les aliments que nous mangeons en nutriments essentiels, qui peuvent être utilisés par le corps. Ce processus commence dans la bouche où les aliments sont mâchés et mélangés avec des enzymes salivaires pour faciliter la décomposition.

Les aliments passent ensuite dans l'œsophage, un tube musculaire qui les transporte vers l'estomac. Dans l'estomac, les aliments sont mélangés avec de l'acide chlorhydrique et des enzymes pour continuer la décomposition.

Les morceaux décomposés sont ensuite transférés dans l'intestin grêle, où la majorité de l'absorption des nutriments a lieu. Les nutriments passent alors dans le sang et sont distribués aux cellules du corps.

Les substances non digestibles, comme la fibre, sont déplacées vers le côlon (gros intestin), où elles sont fermentées par des bactéries produisant des gaz et d'autres composés. Les déchets finaux sont stockés dans le rectum et éliminés via l'anus.

Le système digestif comprend également le foie, le pancréas et la vésicule biliaire qui sécrètent des substances nécessaires à la digestion telles que les enzymes, l'acide biliaire et l'insuline.

Les agents du système nerveux périphérique sont des structures ou des substances qui ont un impact sur le fonctionnement du système nerveux périphérique. Le système nerveux périphérique est la partie du système nerveux qui comprend tous les nerfs et ganglions situés en dehors de la moelle épinière et du cerveau, qui constituent ensemble le système nerveux central.

Les agents du système nerveux périphérique peuvent être classés en plusieurs catégories, notamment :

1. Neurotoxines : Ce sont des substances chimiques toxiques pour les neurones du système nerveux périphérique. Les exemples incluent le botulinum, la tétrodotoxine et le curare.
2. Médicaments : Certains médicaments peuvent affecter le fonctionnement du système nerveux périphérique. Par exemple, les antibiotiques aminoglycosides peuvent endommager les cellules ciliées de l'oreille interne et entraîner une perte auditive permanente.
3. Agents infectieux : Les virus et les bactéries peuvent également affecter le système nerveux périphérique. Par exemple, le virus de la varicelle-zona peut provoquer une névrite du nerf facial, entraînant une paralysie faciale.
4. Facteurs environnementaux : L'exposition à des facteurs environnementaux tels que les vibrations, les températures extrêmes ou les rayonnements peut également affecter le système nerveux périphérique.
5. Troubles neurologiques : Certaines maladies neurologiques peuvent affecter le fonctionnement du système nerveux périphérique, telles que la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou la polyneuropathie diabétique.

En général, les agents du système nerveux périphérique peuvent entraîner une variété de symptômes, tels que des douleurs, des engourdissements, des faiblesses musculaires, des picotements ou des paralysies. Le diagnostic et le traitement dépendent de la cause sous-jacente du trouble.

Les facteurs de transcription SOX (abréviation de SRY-related HMG box) forment une famille de protéines qui jouent un rôle crucial dans le développement et la différenciation cellulaire, en particulier pendant l'embryogenèse. Ils sont caractérisés par la présence d'un domaine de liaison à l'ADN HMG (High Mobility Group), qui leur permet de se lier à des séquences spécifiques sur l'ADN et de réguler l'expression des gènes.

Les facteurs de transcription SOX sont divisés en plusieurs groupes (SOXA à SOXH) en fonction de la similitude de leur domaine HMG et d'autres caractéristiques structurelles. Chaque membre de cette famille a des fonctions spécifiques, mais ils partagent souvent des rôles dans la détermination du destin cellulaire, la prolifération cellulaire, la différenciation et la survie cellulaire.

Les facteurs de transcription SOX sont largement étudiés en raison de leur implication dans divers processus biologiques et pathologies, tels que le développement du système nerveux central, la spermatogenèse, l'ontogenèse des muscles squelettiques, la cancérogenèse et les maladies neurodégénératives.

Il est important de noter qu'une définition médicale précise de 'SOXE Transcription Factors' se réfère spécifiquement aux facteurs de transcription SOXE, qui comprennent SOX8, SOX9 et SOX10. Ces membres de la famille SOX sont particulièrement importants pour le développement des structures neurales et urogénitales, ainsi que pour la différenciation cellulaire dans ces tissus. Des mutations dans les gènes codant pour ces facteurs de transcription peuvent entraîner diverses maladies congénitales et troubles du développement.

L'endothéline-3 est un peptide appartenant à la famille des endothelines, qui sont des neuropeptides et des vasoconstricteurs puissants. Il s'agit du plus récent membre identifié de cette famille, avec l'endothéline-1 et l'endothéline-2.

L'endothéline-3 est principalement exprimée dans le système nerveux central, en particulier dans les noyaux gris centraux et le cortex cérébral. Elle joue un rôle important dans la régulation de la pression artérielle, la neurotransmission et la modulation de la douleur.

Cependant, contrairement à l'endothéline-1 et l'endothéline-2, qui ont des effets vasoconstricteurs bien établis, le rôle physiologique et pathophysiologique de l'endothéline-3 est moins bien compris. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer ses fonctions spécifiques dans l'organisme.

Les neurones, également connus sous le nom de cellules nerveuses, sont les unités fonctionnelles fondamentales du système nerveux. Ils sont responsables de la réception, du traitement, de la transmission et de la transduction des informations dans le cerveau et d'autres parties du corps. Les neurones se composent de trois parties principales : le dendrite, le corps cellulaire (ou soma) et l'axone.

1. Les dendrites sont des prolongements ramifiés qui reçoivent les signaux entrants d'autres neurones ou cellules sensoriques.
2. Le corps cellulaire contient le noyau de la cellule, où se trouvent l'ADN et les principales fonctions métaboliques du neurone.
3. L'axone est un prolongement unique qui peut atteindre une longueur considérable et transmet des signaux électriques (potentiels d'action) vers d'autres neurones ou cellules effectrices, telles que les muscles ou les glandes.

Les synapses sont les sites de communication entre les neurones, où l'axone d'un neurone se connecte aux dendrites ou au corps cellulaire d'un autre neurone. Les neurotransmetteurs sont des molécules chimiques libérées par les neurones pour transmettre des signaux à travers la synapse vers d'autres neurones.

Les neurones peuvent être classés en différents types en fonction de leur morphologie, de leurs propriétés électriques et de leur rôle dans le système nerveux. Par exemple :

- Les neurones sensoriels capturent et transmettent des informations sensorielles provenant de l'environnement externe ou interne vers le cerveau.
- Les neurones moteurs transmettent les signaux du cerveau vers les muscles ou les glandes pour provoquer une réponse motrice ou hormonale.
- Les interneurones sont des neurones locaux qui assurent la communication et l'intégration entre les neurones sensoriels et moteurs dans le système nerveux central.

La névrogliose, également appelée glie, se réfère aux cellules non neuronales du système nerveux central qui fournissent un soutien structurel et nutritif pour les neurones. Ils protègent également les neurones, régulent l'environnement extracellulaire et participent à la signalisation intercellulaire. Les types de cellules névrogliques comprennent les astrocytes, les oligodendrocytes, les microglies et les épendymes. Contrairement aux neurones, les cellules névrogliques peuvent se reproduire et remplacer après une lésion. Cependant, un déséquilibre de la névrogliose peut contribuer au développement de divers troubles neurologiques.

Le facteur neurotrophique dérivé des cellules gliales (GDNF, pour son acronyme en anglais) est une protéine qui joue un rôle crucial dans le développement, la survie et la différenciation des neurones dans le système nerveux central et périphérique. Il appartient à la famille des neurotrophines et est sécrété principalement par les cellules gliales, d'où son nom.

Le GDNF agit en se liant à un récepteur spécifique, la tyrosine kinase Ret, ainsi qu'à une sous-unité GFRα1 (GDNF Family Receptor Alpha 1). Ce complexe récepteur active plusieurs voies de signalisation intracellulaire qui favorisent la survie des neurones, la croissance des axones et la régénération nerveuse.

Cette protéine est particulièrement importante pour la survie et le maintien des neurones dopaminergiques dans la substance noire du mésencéphale, ce qui en fait une cible thérapeutique potentielle dans le traitement de maladies neurodégénératives telles que la maladie de Parkinson. En outre, le GDNF a également démontré des effets neuroprotecteurs et régénératifs dans d'autres conditions neurologiques, comme les lésions de la moelle épinière et certaines neuropathies périphériques.

Les ganglions lymphatiques sont des structures ovales ou rondes, généralement de petite taille, qui font partie du système immunitaire. Ils sont remplis de cellules immunitaires et de vaisseaux lymphatiques qui aident à combattre les infections et les maladies. Les ganglions lymphatiques sont situés dans tout le corps, mais on en trouve souvent en grand nombre dans le cou, les aisselles, l'aine, le thorax et l'abdomen.

Lorsqu'une infection ou une inflammation se produit dans une partie du corps, les ganglions lymphatiques de cette région peuvent devenir enflés et douloureux, ce qui est un signe que le système immunitaire travaille pour combattre l'infection. Les ganglions lymphatiques peuvent également être affectés par des maladies telles que le cancer, où les cellules cancéreuses se propagent à travers le système lymphatique et forment des tumeurs dans les ganglions lymphatiques.

Les intestins font référence au système digestif tubulaire qui s'étend de l'estomac jusqu'à l'anus. Ils sont divisés en deux parties principales : le petit et le gros intestin.

Le petit intestin, qui est la plus longue partie des intestins, mesure environ 7 mètres de long chez l'adulte. Il est divisé en trois sections : le duodénum, le jéjunum et l'iléon. Le rôle principal du petit intestin est d'absorber la plupart des nutriments provenant des aliments que nous mangeons.

Le gros intestin, également appelé côlon, mesure environ 1,5 mètre de long chez l'adulte. Il comprend plusieurs segments : le cæcum (qui contient l'appendice), le colon ascendant, le colon transverse, le colon descendant et le colon sigmoïde. Le rôle principal du gros intestin est d'absorber l'eau et les électrolytes restants, ainsi que de stocker et évacuer les déchets non digestibles sous forme de selles.

Les intestins contiennent une grande variété de bactéries qui aident à la digestion et jouent un rôle important dans le système immunitaire.

Le côlon, également connu sous le nom de gros intestin, est un segment du tractus gastro-intestinal chez les humains et d'autres mammifères. Il s'agit de la dernière partie du tube digestif, mesurant environ 1,5 mètres de long chez l'adulte. Le côlon joue un rôle crucial dans le processus de digestion en absorbant l'eau, les électrolytes et certaines vitamines tout en stockant les déchets solides sous forme de matières fécales.

Le côlon est divisé en plusieurs sections : le côlon ascendant, le côlon transverse, le côlon descendant et le côlon sigmoïde. Chacune de ces sections a des caractéristiques structurelles uniques qui contribuent à ses fonctions spécifiques dans le processus global de digestion et d'excrétion.

Le côlon est tapissé de muqueuses recouvertes de millions de bactéries bénéfiques, appelées microbiote intestinal, qui aident à décomposer les fibres alimentaires non digestibles en acides gras à chaîne courte, qui peuvent être utilisés comme source d'énergie par l'organisme. Un déséquilibre du microbiote intestinal peut entraîner divers problèmes de santé, tels que la diarrhée, la constipation et certaines affections inflammatoires de l'intestin.

Dans l'ensemble, le côlon est un organe essentiel qui contribue à maintenir l'homéostasie du corps en absorbant les nutriments et en éliminant les déchets.

L'iléon est la dernière partie de l'intestin grêle dans le système digestif des vertébrés. Il s'agit d'une section tubulaire continue qui suit le jéjunum et précède le côlon, absorbant les nutriments restants des aliments digérés. Sa longueur varie chez les différentes espèces, mais chez l'être humain, elle mesure environ 3 à 5 mètres de long.

L'iléon est responsable de l'absorption des vitamines B12, du bile et des acides gras, ainsi que d'autres nutriments. Sa paroi interne est tapissée de villosités et de microvillosités qui augmentent la surface d'absorption. Les cellules situées dans l'iléon, appelées cellules enzymatiques ou absorptives, sécrètent des enzymes digestives pour aider à décomposer les aliments restants en nutriments simples qui peuvent être absorbés dans la circulation sanguine.

Des affections telles que la maladie de Crohn, l'occlusion intestinale et le cancer du côlon peuvent affecter l'iléon et entraîner des symptômes tels que des douleurs abdominales, de la diarrhée, de la constipation, une perte de poids et de l'anémie.

Les récepteurs des facteurs neurotrophiques dérivés des cellules gliales (GFR, acronyme de l'anglais « Glial Cell Line-Derived Neurotrophic Factor Receptors») font partie d'une famille de récepteurs tyrosine kinases qui jouent un rôle crucial dans la survie, la différenciation et la maintenance des neurones dans le système nerveux central et périphérique. Les GFR sont spécifiquement activés par les facteurs neurotrophiques dérivés des cellules gliales (GDNF, artlonine, neurturine, et persephin), qui se lient à ces récepteurs et déclenchent une cascade de signalisation intracellulaire pour réguler la croissance et la fonction neuronale.

Il existe deux sous-types principaux de GFR : les récepteurs GDNF familial C (GFRα1, GFRα2, GFRα3 et GFRα4) et le récepteur RET (REarranged during Transfection). Les GDNF se lient d'abord aux récepteurs GFRα, qui forment ensuite un complexe avec le récepteur RET pour activer la tyrosine kinase intrinsèque de RET. Cette activation entraîne une phosphorylation des protéines adaptatrices et l'activation de diverses voies de signalisation, telles que les voies MAPK/ERK, PI3K/AKT et PLCγ, qui régulent la survie, la différenciation, la croissance et la plasticité synaptique des neurones.

Les GFR sont essentiels pour le développement et la fonction normaux du système nerveux, ainsi que pour la réparation et la régénération après une lésion nerveuse. Des mutations dans les gènes codant pour les sous-unités GFRα et RET ont été associées à plusieurs troubles neurologiques et maladies génétiques, tels que les cancers médullaires de la thyroïde, les néphropathies héréditaires et les malformations congénitales du système nerveux.

Je suis désolé, mais le terme "caille" ne fait pas partie de la terminologie médicale standard. Il est possible que vous fassiez référence à une espèce d'oiseau ou à un plat culinaire, plutôt qu'à quelque chose lié au domaine médical. Si vous cherchez une information médicale, assurez-vous de vérifier auprès d'une source fiable et de consulter des professionnels de la santé qualifiés pour obtenir des conseils adaptés à votre situation spécifique.

Le système digestif est responsable du processus d'ingestion, de digestion, d'absorption et d'évacuation des aliments. Les phénomènes physiologiques associés à ce système comprennent:

1. Ingestion: C'est le processus de prendre des aliments dans la bouche.

2. Motilité: Il s'agit des mouvements musculaires qui propulsent les aliments ingérés dans le tube digestif, de l'œsophage à l'anus. Cela inclut la contraction des muscles lisses dans les parois du tube digestif pour mélanger les aliments avec les sucs digestifs.

3. Sécrétion: Les glandes situées le long du tractus gastro-intestinal sécrètent des enzymes et d'autres substances qui aident à décomposer les aliments en nutriments plus petits et plus facilement absorbables.

4. Digestion: C'est le processus de décomposition des aliments en molécules plus simples par les enzymes sécrétées dans le tube digestif.

5. Absorption: Une fois les nutriments décomposés, ils sont absorbés dans la circulation sanguine à travers la muqueuse du tube digestif.

6. Assimilation: Les nutriments absorbés sont transportés vers différentes parties du corps où ils sont utilisés pour produire de l'énergie, réparer les tissus et maintenir des fonctions corporelles normales.

7. Excrétion: Les déchets non digestibles et les sous-produits métaboliques sont éliminés du corps par l'anus.

8. Régulation: Le système nerveux entérique et les hormones régulent le fonctionnement du système digestif, assurant un processus de digestion efficace et sans heurt.

Le mégacôlon, également connu sous le nom d'illéus mégaçolique, est un terme médical qui décrit un état anormal dans lequel le côlon (la plus grande partie du gros intestin) devient significativement élargi ou distendu. Cette condition peut être causée par une variété de facteurs, y compris des maladies neuromusculaires telles que la maladie de Hirschsprung, certaines affections inflammatoires de l'intestin, les troubles intestinaux congénitaux, ou même certains médicaments qui ralentissent le fonctionnement intestinal.

Les symptômes du mégacôlon peuvent inclure une constipation sévère et persistante, des douleurs abdominales, une distension abdominale, des nausées, des vomissements, une perte d'appétit et, dans les cas graves, une obstruction intestinale ou une perforation. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des changements alimentaires, des médicaments pour stimuler le mouvement intestinal, des procédures de vidange du côlon, ou, dans les cas graves, une intervention chirurgicale.

Le peptide vasoactif intestinal (VIP) est une hormone polypeptidique composée de 28 acides aminés. Il appartient à la famille des neuropeptides et exerce divers effets physiologiques, notamment la relaxation de la musculature lisse dans les voies digestives, vasodilatation systémique, inhibition de la sécrétion d'acide gastrique et stimulation de la sécrétion d'eau et d'électrolytes dans l'intestin grêle. Le VIP est produit par les neurones du système nerveux entérique et par certaines cellules endocrines dans le tube digestif. Il joue un rôle important dans la régulation des fonctions gastro-intestinales et peut également être impliqué dans d'autres processus physiologiques tels que l'inflammation et la réponse immunitaire.

Les agonistes du récepteur sérotoninergique 5-HT4 sont des composés pharmacologiques qui se lient et activent le récepteur 5-HT4 de la sérotonine, un type de récepteur couplé aux protéines G situé dans la membrane cellulaire. Ces médicaments sont utilisés pour traiter une variété de conditions médicales en raison de leurs effets sur la motilité gastro-intestinale, la fonction cognitive et l'humeur.

Les agonistes du récepteur 5-HT4 augmentent la contractilité et la coordination des muscles lisses du tractus gastro-intestinal, ce qui peut aider à soulager les symptômes de la constipation et de la dyspepsie. Ils peuvent également améliorer la mémoire et l'apprentissage en augmentant la libération d'acétylcholine dans le cerveau.

Certains exemples d'agonistes du récepteur 5-HT4 comprennent la prucalopride, la cisapride et la téglatépate. Cependant, certains de ces médicaments peuvent avoir des effets secondaires indésirables, tels que des troubles cardiaques et des diarrhées, ce qui limite leur utilisation dans certaines populations de patients. Par conséquent, il est important que les professionnels de la santé évaluent soigneusement les avantages et les risques potentiels associés à l'utilisation de ces médicaments chez chaque patient individuel.

L'immunohistochimie est une technique de laboratoire utilisée en anatomopathologie pour localiser les protéines spécifiques dans des tissus prélevés sur un patient. Elle combine l'utilisation d'anticorps marqués, généralement avec un marqueur fluorescent ou chromogène, et de techniques histologiques standard.

Cette méthode permet non seulement de déterminer la présence ou l'absence d'une protéine donnée dans une cellule spécifique, mais aussi de déterminer sa localisation précise à l'intérieur de cette cellule (noyau, cytoplasme, membrane). Elle est particulièrement utile dans le diagnostic et la caractérisation des tumeurs cancéreuses, en permettant d'identifier certaines protéines qui peuvent indiquer le type de cancer, son stade, ou sa réponse à un traitement spécifique.

Par exemple, l'immunohistochimie peut être utilisée pour distinguer entre différents types de cancers du sein en recherchant des marqueurs spécifiques tels que les récepteurs d'œstrogènes (ER), de progestérone (PR) et HER2/neu.

L'intestin grêle est un segment du système digestif qui s'étend de l'estomac au côlon. Il mesure environ 6 mètres de long et a un diamètre compris entre 2,5 à 3 centimètres. L'intestin grêle est divisé en trois parties : le duodénum, le jéjunum et l'iléon.

Le duodénum est la première partie de l'intestin grêle, qui reçoit le chyme (mélange semi-fluide d'aliments partiellement digérés, de sucs gastriques et d'enzymes) provenant de l'estomac. Le duodénum contient des glandes qui sécrètent des enzymes digestives et du bicarbonate pour neutraliser l'acidité du chyme.

Le jéjunum est la deuxième partie de l'intestin grêle, où se poursuit la digestion et l'absorption des nutriments. Il contient de nombreuses villosités, des projections microscopiques de la muqueuse intestinale qui augmentent la surface d'absorption.

L'iléon est la troisième partie de l'intestin grêle et est responsable de l'absorption finale des nutriments, y compris les vitamines liposolubles et le calcium. Les résidus non absorbés du processus digestif, tels que les fibres alimentaires et certains déchets, passent dans le côlon après avoir traversé l'iléon.

L'intestin grêle joue un rôle crucial dans la digestion et l'absorption des nutriments, des électrolytes et de l'eau. Il abrite également une grande partie de notre système immunitaire et contribue à la protection contre les agents pathogènes.

La maladie du système nerveux central (SNC) se réfère à un large éventail de troubles et de conditions qui affectent la fonction du cerveau et de la moelle épinière. Le système nerveux central est responsable de notre capacité à traiter les informations sensorielles, à réguler les fonctions corporelles automatiques telles que la respiration et le rythme cardiaque, ainsi que de notre capacité à réguler les mouvements volontaires et à avoir des pensées et des émotions.

Les maladies du système nerveux central peuvent être causées par une variété de facteurs, y compris des infections, des traumatismes crâniens, des tumeurs, des accidents vasculaires cérébraux, des malformations congénitales, des maladies dégénératives et des expositions à des toxines environnementales. Les symptômes de ces maladies peuvent varier considérablement en fonction de la région du cerveau ou de la moelle épinière qui est affectée et de la gravité de la lésion ou de la maladie sous-jacente.

Les exemples courants de maladies du système nerveux central comprennent la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, l'épilepsie, la méningite, l'encéphalite, les accidents vasculaires cérébraux et les tumeurs cérébrales. Le traitement de ces conditions dépend du type et de la gravité de la maladie sous-jacente et peut inclure des médicaments, une chirurgie, une thérapie physique ou une combinaison de ces options.

Le péristaltisme est un mouvement ondulatoire qui se produit dans les parois musculaires des tubes creux, tels que les intestins, l'oesophage et les uretères. Ces mouvements aident à propulser le contenu vers le bas ou vers l'extérieur du tube. Dans le tractus gastro-intestinal, le péristaltisme permet de faire avancer les aliments ingérés et les déchets vers le côlon puis vers l'anus pour l'évacuation. Ce processus est contrôlé par le système nerveux entérique, qui est une partie autonome du système nerveux périphérique.

Le nerf vague, également connu sous le nom de nerf pneumogastrique, est un important nerf crânien qui émerge du bulbe rachidien dans le tronc cérébral. Il s'agit du dixième nerf crânien et il a une fonction bothale, ce qui signifie qu'il contient des fibres motrices somatiques et viscérales, ainsi que des fibres sensorielles.

Les fibres motrices somatiques du nerf vague innervent les muscles de la déglutition, du palais mou, du pharynx et des cordes vocales. Les fibres viscérales motrices régulent les activités involontaires des organes internes tels que le cœur, les poumons, le foie, l'estomac et les intestins.

Les fibres sensorielles du nerf vague transmettent des informations sensorielles provenant de ces mêmes organes internes au cerveau, y compris les sensations de distension gastrique, la position du diaphragme et le rythme cardiaque.

Le nerf vague joue un rôle crucial dans la régulation des fonctions autonomes telles que la respiration, la digestion et le rythme cardiaque, ainsi que dans les réflexes de protection tels que la toux et la déglutition.

Les cellules interstitielles de Cajal (CIC) sont des cellules situées dans le tissu conjonctif du système gastro-intestinal. Elles ont un rôle crucial dans la régulation de la motilité intestinale en servant de pacemakers pour les contractions musculaires lisses qui propulsent les aliments à travers le tube digestif. Les CIC génèrent et propagent des potentiels électriques rythmiques, appelés potentiels de courant lent, qui déclenchent des contractions musculaires coordonnées. Elles fonctionnent comme un lien entre les nerfs autonomes et les muscles lisses, recevant des signaux nerveux et les transmettant aux cellules musculaires lisses sous forme de signaux calciques. Les CIC sont nommées d'après le cytologiste espagnol Santiago Ramón y Cajal qui les a découvertes et décrites en détail à la fin du 19e siècle.

Je suis désolé, mais "Cochons d'Inde" ne sont pas un terme médical. Ils sont en fait des animaux de compagnie courants, également connus sous le nom de cavies. Les cochons d'Inde sont des rongeurs sociaux originaires d'Amérique du Sud. Si vous cherchez une définition médicale, peut-être y a-t-il eu une certaine confusion avec un terme médical. Dans ce cas, veuillez me fournir plus de détails ou clarifier votre question et je serai heureux de vous aider.

Le mouvement cellulaire, également connu sous le nom de mobilité cellulaire, se réfère à la capacité des cellules à se déplacer dans leur environnement. Cela joue un rôle crucial dans une variété de processus biologiques, y compris le développement embryonnaire, la cicatrisation des plaies, l'immunité et la croissance des tumeurs.

Les cellules peuvent se déplacer de plusieurs manières. L'une d'elles est par un processus appelé chimiotaxie, où les cellules se déplacent en réponse à des gradients de concentrations de molécules chimiques dans leur environnement. Un exemple de ceci est la façon dont les globules blancs migrent vers un site d'inflammation en suivant un gradient de molécules chimiques libérées par les cellules endommagées.

Un autre type de mouvement cellulaire est appelé mécanotaxie, où les cellules répondent à des stimuli mécaniques, tels que la force ou la déformation du substrat sur lequel elles se trouvent.

Le mouvement cellulaire implique une coordination complexe de processus intracellulaires, y compris la formation de protrusions membranaires à l'avant de la cellule, l'adhésion aux surfaces et la contraction des filaments d'actine pour déplacer le corps cellulaire vers l'avant. Ces processus sont régulés par une variété de molécules de signalisation intracellulaire et peuvent être affectés par des facteurs génétiques et environnementaux.

Des anomalies dans le mouvement cellulaire peuvent entraîner un certain nombre de conditions médicales, y compris la cicatrisation retardée des plaies, l'immunodéficience et la progression du cancer.

La pseudo-obstruction intestinale est un trouble fonctionnel dans lequel il y a une absence de obstruction mécanique dans les intestins, mais il y a quand même des symptômes qui ressemblent à ceux d'une occlusion intestinale. Ces symptômes peuvent inclure des douleurs abdominales, de la nausée, du vomissement, une distension abdominale, une constipation ou une diarrhée, et une perte d'appétit. La cause sous-jacente de la pseudo-obstruction intestinale est souvent inconnue, mais elle peut être associée à des maladies neuromusculaires, des troubles métaboliques, des infections, des médicaments ou des traumatismes. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des changements alimentaires, des médicaments pour soulager les symptômes, une thérapie physique ou chirurgicale.

Les protéines neurofilament (NF) sont des constituants structurels du cytosquelette des neurones. Elles jouent un rôle crucial dans le maintien de la forme et de la fonction des axones, qui sont les prolongements cellulaires des neurones permettant la transmission des signaux nerveux.

Les protéines neurofilament se composent de trois sous-unités de poids moléculaire élevé (NFL, NFM et NFH) et une sous-unité de poids moléculaire faible (NF-L). Les sous-unités NFL, NFM et NFH sont assemblées pour former des filaments neurofilamentaires hétéropolymères, tandis que la sous-unité NF-L est également présente dans les filaments neurofilamentaires homopolymères.

Les protéines neurofilament peuvent être utilisées comme biomarqueurs de dommages axonaux dans diverses conditions neurologiques, telles que les maladies neurodégénératives (telles que la sclérose latérale amyotrophique et la maladie d'Alzheimer), les traumatismes crâniens, les lésions de la moelle épinière et les neuropathies périphériques. Des niveaux élevés de protéines neurofilament dans le liquide céphalo-rachidien ou le sang peuvent indiquer une démyélinisation, une axonopathie ou une neurodégénération en cours.

Le jéjunum est une partie du petit intestin dans le système gastro-intestinal humain. Il s'étend du duodénum (la première partie de l'intestin grêle) à l'iléon (la troisième et dernière partie). Le jéjunum est généralement considéré comme la section médiane de l'intestin grêle et représente environ 2/5 de sa longueur totale.

Il est situé dans la cavité abdominale, principalement dans la région supérieure gauche. Le jéjunum est responsable de l'absorption des nutriments, y compris les glucides, les protéines, les lipides, les vitamines et les minéraux, à partir du chyme (le mélange semi-flu de nourriture partiellement digérée et de sucs gastriques) qui passe à travers lui après avoir quitté l'estomac.

Le jéjunum se caractérise par sa structure hautement vascularisée, avec des plis longitudinaux (ou valves circulaires) qui augmentent la surface d'absorption. Ces caractéristiques structurelles permettent une absorption efficace des nutriments dans le corps.

Les protéines HMG, ou "high mobility group" proteins, sont une famille de protéines nucléaires hautement conservées qui jouent un rôle important dans la régulation de la transcription génétique et de la réparation de l'ADN. Elles se lient à l'ADN avec une faible affinité mais une grande spécificité, et sont capables de modifier la structure de la chromatine pour faciliter l'accès des facteurs de transcription aux promoteurs des gènes.

Les protéines HMG sont divisées en trois sous-familles : HMGA, HMGB et HMGN. Les protéines HMGA, également connues sous le nom d'architectural transcription factors, se lient à l'ADN en formant des structures en épingle à cheveux qui modifient la conformation de la chromatine et facilitent l'interaction entre les facteurs de transcription et l'ADN. Les protéines HMGB, quant à elles, se lient à l'ADN avec une grande flexibilité et sont capables de le courber ou de le déformer pour faciliter la liaison d'autres protéines. Enfin, les protéines HMGN se lient spécifiquement aux nucléosomes et favorisent l'ouverture de la chromatine pour permettre la transcription des gènes.

Les protéines HMG sont impliquées dans divers processus cellulaires, tels que la réplication de l'ADN, la réparation de l'ADN, la différenciation cellulaire et l'apoptose. Des anomalies dans l'expression ou la fonction des protéines HMG ont été associées à plusieurs maladies, telles que le cancer, les maladies neurodégénératives et les maladies auto-immunes.

La régulation de l'expression génique au cours du développement est un processus complexe et dynamique qui contrôle l'activation et la répression des gènes à des moments spécifiques et dans des cellules spécifiques pendant le développement d'un organisme. Cela permet la diversification des types cellulaires et la formation de structures corporelles complexes.

La régulation de l'expression génique est accomplie grâce à une variété de mécanismes, y compris la méthylation de l'ADN, les modifications des histones, les facteurs de transcription, les microARNs et d'autres petits ARN non codants. Ces mécanismes peuvent interagir entre eux pour assurer une régulation précise de l'expression génique.

Au cours du développement, la régulation de l'expression génique est essentielle pour la différenciation cellulaire, la morphogenèse et la mise en place des axes corporels. Les erreurs dans ce processus peuvent entraîner des malformations congénitales et des troubles du développement.

En bref, la régulation de l'expression génique au cours du développement est un processus crucial pour assurer une différenciation cellulaire appropriée et la formation d'organismes complexes à partir d'une seule cellule fertilisée.

Je suis désolé, mais la dénomination médicale "embryon de poulet" n'est pas exacte ou largement reconnue dans le domaine de l'anatomie ou de l'embryologie. Cependant, il est possible que vous cherchiez à comprendre le développement embryonnaire d'un œuf de poule, qui est un sujet d'étude courant en biologie du développement.

Un œuf de poule contient un blastodisque, qui est une masse cellulaire discoïdale située sur la surface interne de l'oeuf. Le blastodisque est composé de deux parties : le disque germinal (ou area opaca) et le disque épiblastique (ou area pellucida). L'embryon se développe à partir du disque germinal, qui est la partie centrale et plus opaque du blastodisque.

Environ 48 heures après la fertilisation de l'oeuf, le début du développement embryonnaire devient visible sous forme d'un petit renflement au centre du disque germinal, appelé blastoderme primitif. Ce blastoderme primitif se développe progressivement pour former tous les tissus et organes de l'embryon de poulet.

Par conséquent, si vous cherchiez une définition médicale ou scientifique du développement embryonnaire dans un œuf de poule, j'espère que cette explication vous aura été utile.

Un iléus est une condition médicale dans laquelle il y a une absence ou une réduction de motilité dans l'intestin grêle, ce qui empêche la progression normale du contenu intestinal. Il peut être causé par divers facteurs, tels que des interventions chirurgicales abdominales, des infections, des ischémies (manque d'apport sanguin), des traumatismes ou des maladies sous-jacentes telles que le cancer.

Les symptômes de l'iléus peuvent inclure des nausées, des vomissements, une distension abdominale, une douleur abdominale, une absence de gaz ou de selles et une perte d'appétit. Le diagnostic peut être posé en utilisant des tests d'imagerie tels que des radiographies abdominales ou des tomodensitométries (TDM).

Le traitement de l'iléus dépend de la cause sous-jacente. Dans les cas légers, le repos intestinal et la réhydratation peuvent être suffisants pour permettre à l'intestin de retrouver sa motilité. Dans les cas plus graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour traiter la cause sous-jacente, telle qu'une obstruction mécanique ou une ischémie intestinale.

Le plexus coeliaque, également connu sous le nom de plexus solaire, est un réseau complexe de nerfs situé dans la cavité abdominale, principalement autour de l'aorte abdominale. Il est formé par les fibres sympathiques et parasympathiques qui proviennent des ganglions nerveux thoraciques T5 à T12.

Le plexus coeliaque fournit des innervations aux organes abdominaux, y compris l'estomac, le foie, le pancréas, la rate et les intestins grêles. Il joue un rôle crucial dans la régulation des fonctions digestives, sécrétoires et vasomotrices de ces organes. Des troubles ou des dommages au plexus coeliaque peuvent entraîner une variété de symptômes, tels que des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements, une diarrhée ou une constipation, en fonction de l'organe affecté.

Le gros intestin, également connu sous le nom de côlon, est la dernière partie du tractus gastro-intestinal dans le système digestif des vertébrés. Il s'étend de l'intestin grêle jusqu'au rectum et à l'anus. Sa fonction principale est d'absorber l'eau, les électrolytes et les nutriments restants non absorbés du chyme, le résidu semi-solide qui sort de l'intestin grêle après la digestion et l'absorption principales.

Le gros intestin est divisé en plusieurs segments : côlon ascendant, côlon transverse, côlon descendant et côlon sigmoïde. Il contient également une structure appelée caecum, qui se connecte au début du côlon et abrite généralement une grande population de bactéries intestinales bénéfiques.

Le gros intestin est également l'endroit où la fermentation microbienne des résidus alimentaires non digestibles a lieu, produisant des gaz comme le méthane et le dioxyde de carbone, ainsi que des acides gras à chaîne courte qui peuvent être utilisés comme source d'énergie. Les matières fécales finales sont formées dans le gros intestin avant d'être éliminées par l'anus.

Les neurones nitrergiques sont un type spécifique de neurones qui libèrent l'oxyde nitrique (NO) comme neurotransmetteur. L'oxyde nitrique est une molécule gazeuse qui joue plusieurs rôles dans le système nerveux central et périphérique, notamment la relaxation des muscles lisses, l'inhibition de la libération d'autres neurotransmetteurs et la modulation de la plasticité synaptique.

Les neurones nitrergiques sont largement distribués dans le cerveau et la moelle épinière, où ils forment des réseaux complexes avec d'autres types de neurones. Ils sont souvent associés à des fonctions autonomes telles que la régulation de la pression artérielle, la respiration et la digestion.

Les neurones nitrergiques peuvent également être trouvés dans les systèmes sensoriels, où ils jouent un rôle dans la modulation de la transmission sensorielle. Par exemple, dans le système olfactif, les neurones nitrergiques peuvent réguler l'activité des neurones récepteurs olfactifs en libérant de l'oxyde nitrique en réponse à des stimuli odorants.

Dans l'ensemble, les neurones nitrergiques sont un type important et fonctionnellement diversifié de neurones qui jouent un rôle crucial dans la régulation de nombreux processus physiologiques et pathologiques dans le corps humain.

Les cellules souches sont des cellules indifférenciées qui ont la capacité de se diviser et de renouveler indéfiniment. Elles peuvent également donner naissance à différents types de cellules spécialisées dans l'organisme, telles que les cellules sanguines, musculaires ou nerveuses.

Il existe deux principaux types de cellules souches :

1. Cellules souches embryonnaires : Ces cellules souches sont obtenues à partir d'un embryon humain à un stade très précoce de développement, appelé blastocyste. Elles ont la capacité de se différencier en n'importe quel type de cellule dans le corps humain.
2. Cellules souches adultes ou somatiques : Ces cellules souches sont trouvées dans certains tissus et organes des adultes, tels que la moelle osseuse, la peau, le cerveau et les muscles. Elles ont une capacité de différenciation plus limitée que les cellules souches embryonnaires, mais elles peuvent quand même se différencier en différents types de cellules dans leur tissu d'origine.

Les cellules souches sont étudiées pour leurs propriétés régénératives et leur potentiel à traiter un large éventail de maladies, y compris les maladies dégénératives, les lésions tissulaires et le cancer. Cependant, il existe encore des défis importants en termes de sécurité, d'efficacité et d'éthique à surmonter avant que la thérapie par cellules souches ne devienne une réalité clinique courante.

Les tumeurs du système nerveux central (SNC) se réfèrent à des growths anormaux qui se développent dans ou autour du cerveau et de la moelle épinière. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs cérébrales peuvent provenir de divers types de cellules qui ont pour fonction de former le cerveau, telles que les gliomes, les méningiomes, les épendymomes et les médulloblastomes. Les tumeurs de la moelle épinière peuvent également être classées en fonction du type de cellule à partir de laquelle elles se développent.

Les symptômes des tumeurs du SNC dépendent de leur emplacement, de leur taille et de leur croissance. Les signes avant-coureurs courants peuvent inclure des maux de tête récurrents, surtout le matin ; des nausées ou vomissements inexpliqués ; des changements de la vision, de l'ouïe ou du toucher ; une faiblesse musculaire, un engourdissement ou des picotements dans les bras ou les jambes ; des problèmes d'équilibre et de coordination; des convulsions; des changements de personnalité, de la mémoire ou du comportement; et une augmentation de la pression intracrânienne, qui peut causer des vomissements, des maux de tête sévères et des étourdissements.

Le diagnostic des tumeurs du SNC implique généralement plusieurs tests d'imagerie, tels que la tomodensitométrie (TDM) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM). Une biopsie peut également être effectuée pour déterminer le type de cellules à partir desquelles la tumeur s'est développée et son caractère bénin ou malin.

Le traitement dépend du type, de la taille, de l'emplacement et de la gravité de la tumeur. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, et une chimiothérapie pour ralentir ou arrêter la croissance des cellules cancéreuses. Dans certains cas, une combinaison de ces traitements peut être utilisée. Les soins de soutien peuvent également être proposés pour aider à gérer les symptômes et améliorer la qualité de vie du patient.

L'encéphale est la structure centrale du système nerveux situé dans la boîte crânienne. Il comprend le cerveau, le cervelet et le tronc cérébral. L'encéphale est responsable de la régulation des fonctions vitales telles que la respiration, la circulation sanguine et la température corporelle, ainsi que des fonctions supérieures telles que la pensée, la mémoire, l'émotion, le langage et la motricité volontaire. Il est protégé par les os de la boîte crânienne et recouvert de trois membranes appelées méninges. Le cerveau et le cervelet sont floating dans le liquide céphalo-rachidien, qui agit comme un coussin pour amortir les chocs et les mouvements brusques.

Les récepteurs de la sérotonine de type 5-HT4 sont un sous-type de récepteurs à la sérotonine qui appartiennent à la famille des récepteurs couplés aux protéines G. Ils sont largement distribués dans le système nerveux central et périphérique, y compris le cerveau, le tractus gastro-intestinal, le cœur et les vaisseaux sanguins.

Les récepteurs 5-HT4 jouent un rôle important dans la régulation de divers processus physiologiques, tels que la motilité gastro-intestinale, la cognition, l'humeur, la mémoire et l'apprentissage. Ils sont également ciblés par certains médicaments utilisés pour traiter des conditions telles que la constipation, les nausées et vomissements, la maladie de Parkinson et la dépression.

L'activation des récepteurs 5-HT4 entraîne une augmentation de l'activité de l'adénylate cyclase, ce qui conduit à une augmentation des niveaux intracellulaires de AMPc, qui à son tour active une cascade de réactions cellulaires impliquant la phosphorylation de protéines cibles et la modulation de l'activité ionique.

En général, les récepteurs 5-HT4 sont considérés comme des cibles thérapeutiques prometteuses pour le traitement de diverses affections médicales en raison de leur rôle dans la régulation de nombreux processus physiologiques importants.

L'hybridation in situ (HIS) est une technique de biologie moléculaire utilisée en histopathologie et en cytogénétique pour localiser et identifier spécifiquement des séquences d'ARN ou d'ADN dans des tissus ou des cellules. Cette méthode consiste à introduire un fragment d'ADN ou d'ARN marqué (probe) dans des sections de tissus préalablement traités et fixés, puis à détecter l'hybridation entre la sonde et les séquences cibles par différentes méthodes de détection.

La hybridation in situ est souvent utilisée pour étudier l'expression génique au niveau cellulaire et subcellulaire dans des tissus normaux ou pathologiques, ce qui permet d'identifier la distribution et l'abondance relative des gènes d'intérêt. Elle peut également être utilisée en combinaison avec d'autres techniques pour caractériser les réarrangements chromosomiques et les mutations génétiques dans des cellules cancéreuses ou autres maladies liées à des altérations génétiques.

Il existe plusieurs types d'hybridation in situ, y compris l'hybridation in situ standard (FISH), l'hybridation in situ en chromosome entier (EISH), et l'hybridation in situ avec amplification par réaction en chaîne de la polymérase (PCR-ISH). Chacune de ces méthodes a ses avantages et ses limites, et elles sont utilisées dans différents contextes pour répondre à des questions spécifiques en recherche biomédicale.

Les « agents neuromédiateurs » sont des substances chimiques qui jouent un rôle crucial dans la transmission des signaux entre les cellules nerveuses (neurones) dans le système nerveux. Ils sont également appelés « neurotransmetteurs ». Les neuromédiateurs sont stockés dans les vésicules à l'intérieur des terminaisons nerveuses prêtes à être libérées lorsqu'un potentiel d'action atteint la terminaison nerveuse.

Une fois relâchés, ils se lient aux récepteurs spécifiques sur les neurones postsynaptiques et déclenchent une réponse électrochimique qui peut soit exciter (dépolariser) le neurone postsynaptique ou l'inhiber (hyperpolariser). Les exemples courants d'agents neuromédiateurs comprennent la noradrénaline, la sérotonine, l'acétylcholine, le glutamate, le GABA et la dopamine.

Les déséquilibres dans les niveaux de ces agents neuromédiateurs peuvent entraîner divers troubles neurologiques et psychiatriques, tels que la dépression, l'anxiété, la schizophrénie et la maladie de Parkinson. Par conséquent, les médicaments qui ciblent ces systèmes neuromédiateurs sont souvent utilisés dans le traitement de ces conditions.

Je suis désolé, "Coturnix" ne correspond pas à un terme médical spécifique. Il s'agit plutôt d'un genre de oiseaux connus sous le nom de cailles. Les cailles sont souvent étudiées dans la recherche biomédicale, en particulier pour leurs propriétés de régénération des tissus, mais "Coturnix" en lui-même n'est pas une définition médicale.

L'ubiquitin thiolesterase, également connu sous le nom de deubiquitinase (DUB), est un type d'enzyme qui joue un rôle crucial dans la régulation du processus d'ubiquitination. L'ubiquitination est un mécanisme cellulaire important impliqué dans la dégradation des protéines, la réparation de l'ADN et la modulation de diverses voies de signalisation intracellulaires.

L'ubiquitin thiolesterase catalyse la réaction inverse de l'ubiquitination, qui consiste en la dégradation des chaînes d'ubiquitine attachées aux protéines cibles. Cette enzyme clive les liaisons thioester entre l'ubiquitine et l'enzyme ubiquitin ligase E2, ce qui entraîne la libération de l'ubiquitine et la désactivation de l'ubiquitination des protéines cibles.

Il existe deux types d'ubiquitin thiolesterases : les isopeptidases et les amidases. Les isopeptidases clivent spécifiquement les liaisons peptidiques entre les résidus de lysine de l'ubiquitine, tandis que les amidases clivent les liaisons amides entre l'ubiquitine et la chaîne latérale de glycine.

L'activité de l'ubiquitin thiolesterase est essentielle pour réguler la stabilité des protéines, la réponse au stress cellulaire et la signalisation intracellulaire. Les dysfonctionnements de ces enzymes ont été associés à diverses maladies, notamment le cancer, les maladies neurodégénératives et l'inflammation chronique.

Les protéines du tissu nerveux sont des types spécifiques de protéines qui se trouvent dans les neurones et le tissu nerveux périphérique. Elles jouent un rôle crucial dans la structure, la fonction et la régulation des cellules nerveuses. Parmi les protéines du tissu nerveux les plus importantes, on peut citer:

1. Neurofilaments: Ces protéines forment une partie importante de la structure interne des neurones et aident à maintenir leur intégrité structurelle. Elles sont également utilisées comme marqueurs pour diagnostiquer certaines maladies neurodégénératives.
2. Neurotransmetteurs: Ces protéines sont responsables de la transmission des signaux chimiques entre les neurones. Les exemples incluent la sérotonine, la dopamine et l'acétylcholine.
3. Canaux ioniques: Ces protéines régulent le flux d'ions à travers la membrane cellulaire des neurones, ce qui est essentiel pour la génération et la transmission des impulsions nerveuses.
4. Protéines d'adhésion: Elles aident à maintenir les contacts entre les neurones et d'autres types de cellules dans le tissu nerveux.
5. Enzymes: Les protéines enzymatiques sont importantes pour la régulation des processus métaboliques dans les neurones, y compris la synthèse et la dégradation des neurotransmetteurs.
6. Chaperons moléculaires: Ces protéines aident à plier et à assembler d'autres protéines dans les neurones, ce qui est essentiel pour leur fonction et leur survie.
7. Protéines de structure: Elles fournissent une structure et un soutien aux cellules nerveuses, telles que la tubuline, qui forme des microtubules dans le cytosquelette des neurones.

Des anomalies dans les protéines du tissu nerveux peuvent entraîner divers troubles neurologiques, y compris des maladies neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer et la maladie de Parkinson.

La neurogénèse est le processus de formation et de développement des neurones, ou cellules nerveuses, à partir de cellules souches neurales. Ce processus se produit principalement pendant le développement prénatal, où il joue un rôle crucial dans l'établissement de la structure et de la fonction du système nerveux central.

Cependant, des recherches ont montré que la neurogénèse peut également se produire dans certaines régions du cerveau adulte, en particulier dans l'hippocampus et le gyrus denté, où elle est impliquée dans des processus tels que l'apprentissage, la mémoire et la réparation des dommages neuronaux.

La neurogénèse peut être influencée par divers facteurs, tels que l'exercice physique, le stress, les hormones et certaines substances chimiques, et son dysfonctionnement a été associé à divers troubles neurologiques et psychiatriques, tels que la dépression, la maladie d'Alzheimer et la maladie de Parkinson.

Les facteurs de croissance nerveuse (FCN) sont des protéines qui jouent un rôle crucial dans la croissance, la survie et la différenciation des cellules du système nerveux pendant le développement embryonnaire et après la naissance. Ils sont également importants pour la réparation et la régénération des tissus nerveux endommagés. Les FCN peuvent stimuler la croissance des axones, favoriser la synaptogenèse (formation de connexions entre les neurones) et protéger les neurones contre l'apoptose (mort cellulaire programmée).

Il existe plusieurs types de facteurs de croissance nerveuse, dont les plus étudiés sont le FCN-1 ou le nerf neurotrophique faible (NT-3), le FCN-2 ou le facteur de croissance nerveuse épidermique (NEGF), le FCN-3 ou le facteur de croissance nerveuse à large spectre (NGF) et le FCN-4 ou le facteur de croissance des neurones (NCF). Chacun de ces facteurs a des effets spécifiques sur différents types de cellules nerveuses et peut influencer leur fonctionnement et leur survie.

Les FCN peuvent être utilisés dans un contexte thérapeutique pour traiter diverses affections neurologiques, telles que les lésions de la moelle épinière, les maladies neurodégénératives (telles que la maladie de Parkinson et la sclérose en plaques) et les neuropathies périphériques. Cependant, leur utilisation clinique est encore limitée en raison de problèmes tels que la courte demi-vie, la faible biodisponibilité et le risque d'effets indésirables systémiques. Des recherches sont actuellement en cours pour développer des stratégies permettant une administration plus ciblée et efficace de ces facteurs de croissance nerveuse.

Les souris transgéniques sont un type de souris génétiquement modifiées qui portent et expriment des gènes étrangers ou des séquences d'ADN dans leur génome. Ce processus est accompli en insérant le gène étranger dans l'embryon précoce de la souris, généralement au stade une cellule, ce qui permet à la modification de se propager à toutes les cellules de l'organisme en développement.

Les souris transgéniques sont largement utilisées dans la recherche biomédicale pour étudier la fonction et le rôle des gènes spécifiques dans le développement, la physiologie et la maladie. Elles peuvent être utilisées pour modéliser diverses affections humaines, y compris les maladies génétiques, le cancer, les maladies cardiovasculaires et neurologiques.

Les chercheurs peuvent concevoir des souris transgéniques avec des caractéristiques spécifiques en insérant un gène particulier qui code pour une protéine d'intérêt ou en régulant l'expression d'un gène endogène. Cela permet aux chercheurs de mieux comprendre les voies moléculaires et cellulaires impliquées dans divers processus physiologiques et pathologiques, ce qui peut conduire à de nouvelles stratégies thérapeutiques pour traiter les maladies humaines.

Le récepteur de l'endothéline de type B (ETB) est un type de récepteur couplé aux protéines G qui se lie spécifiquement à l'endothéline-3 et à une plus faible affinité pour l'endothéline-1 et l'endothéline-2. Il joue un rôle important dans la régulation de divers processus physiologiques, tels que la vasodilatation, l'inhibition de la libération d'hormones vasoconstrictrices et la neurotransmission dans le système nerveux central.

Lorsque l'endothéline se lie au récepteur ETB, elle active une cascade de signalisation qui entraîne la production d'oxyde nitrique (NO) et de prostacycline, deux puissants vasodilatateurs. Cela conduit à une relaxation des muscles lisses dans les parois des vaisseaux sanguins, ce qui entraîne une baisse de la pression artérielle.

Le récepteur ETB est également exprimé dans le cerveau, où il joue un rôle important dans la modulation de la transmission neuronale et de la fonction cognitive. Des études ont suggéré que l'activation du récepteur ETB peut avoir des effets neuroprotecteurs dans certaines conditions neurologiques, telles que la maladie d'Alzheimer et la maladie de Parkinson.

En médecine, les agonistes du récepteur ETB sont étudiés comme traitements potentiels pour une variété de conditions, y compris l'hypertension artérielle pulmonaire, l'insuffisance cardiaque congestive et certaines maladies neurologiques.

La choline O-acétyltransférase (ChAT) est une enzyme clé dans la synthèse du neurotransmetteur acétylcholine. Elle catalyse la réaction qui transfère un groupe acétyle d'un donneur d'acétyl, l'acétyl-CoA, à la choline, un dérivé de l'amine, pour former de l'acétylcholine.

L'acétylcholine joue un rôle crucial dans la transmission des signaux dans le système nerveux central et périphérique. Des niveaux réduits de ChAT peuvent entraîner une diminution de la synthèse d'acétylcholine, ce qui peut être associé à divers troubles neurologiques, tels que la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson et la sclérose latérale amyotrophique.

La ChAT est fortement exprimée dans les neurones cholinergiques du cerveau et du système nerveux périphérique, où elle joue un rôle essentiel dans la régulation de la transmission synaptique. Des études ont montré que l'activité de la ChAT peut être modulée par divers facteurs neurochimiques et neuromodulateurs, ce qui suggère qu'elle est soumise à une régulation complexe au niveau moléculaire et cellulaire.

En tant que cible thérapeutique potentielle, la ChAT a fait l'objet de recherches considérables dans le développement de stratégies pour traiter les troubles neurologiques associés à une déficience en acétylcholine. Des approches telles que l'augmentation de l'expression de la ChAT ou l'inhibition de sa dégradation ont été explorées dans le but d'améliorer la synthèse et la transmission de l'acétylcholine dans le cerveau.

Je suis désolé, mais le terme "Manduca" ne fait pas partie des définitions médicales standard. Il est possible que vous ayez voulu demander quelque chose en rapport avec la santé ou les soins aux bébés, comme un produit de portage appelé "Ergobaby Manduca", qui est un porte-bébé ergonomique couramment utilisé. Cependant, sans une clarification supplémentaire, il m'est difficile de vous fournir une définition médicale pour "Manduca".

Le système nerveux autonome (SNA), également connu sous le nom de système nerveux involontaire, est une partie complexe et cruciale du système nerveux central qui contrôle les fonctions corporelles automatiquement, sans aucun contrôle volontaire conscient. Il régule des processus vitaux tels que la fréquence cardiaque, la pression artérielle, la respiration, la digestion, la température corporelle, l'équilibre hydrique et électrolytique, et d'autres réponses physiologiques aux facteurs internes et externes.

Le SNA se compose de deux sous-systèmes principaux : le système nerveux sympathique et le système nerveux parasympathique. Le système nerveux sympathique prépare le corps à réagir au stress ou à l'excitation, déclenchant la "réponse de combat ou de fuite". Il accélère le rythme cardiaque, élève la pression artérielle, dilate les pupilles, accélère la respiration et ralentit la digestion.

D'un autre côté, le système nerveux parasympathique permet au corps de se détendre et de revenir à un état normal après une réponse au stress. Il ralentit le rythme cardiaque, abaisse la pression artérielle, rétrécit les pupilles, accélère la digestion et favorise d'autres processus de restauration et de régénération.

Le SNA fonctionne grâce à des neurones spécialisés qui libèrent des neurotransmetteurs spécifiques pour transmettre des signaux électriques entre les cellules nerveuses. L'acétylcholine est le principal neurotransmetteur du système nerveux parasympathique, tandis que l'adrénaline (également appelée épinéphrine) et la noradrénaline (également appelée norepinephrine) sont les principaux neurotransmetteurs du système nerveux sympathique.

Les déséquilibres dans le fonctionnement du SNA peuvent entraîner divers problèmes de santé, notamment des maladies cardiovasculaires, l'hypertension artérielle, l'anxiété, la dépression et d'autres troubles mentaux. Par conséquent, il est essentiel de maintenir un équilibre entre les systèmes nerveux sympathique et parasympathique pour assurer une santé optimale.

La muqueuse intestinale, également connue sous le nom d'épithélium intestinal, est la membrane fine et fragile qui tapisse l'intérieur du tractus gastro-intestinal, en particulier dans l'intestin grêle et le côlon. Elle joue un rôle crucial dans la absorption des nutriments, l'eau et les électrolytes de notre nourriture digérée. La muqueuse intestinale est composée d'un seul épithélium de cellules polarisées qui forment une barrière physique entre le lumen intestinal et la circulation sanguine sous-jacente. Ces cellules sont reliées par des jonctions serrées étanches, ce qui empêche les particules indésirables ou potentiellement nocives de pénétrer dans la circulation sanguine.

La muqueuse intestinale abrite également une communauté diversifiée de micro-organismes, appelée microbiote intestinal, qui joue un rôle important dans la digestion des aliments et la défense contre les agents pathogènes. De plus, elle contient des cellules immunitaires spécialisées qui aident à protéger l'organisme contre les infections et à réguler l'inflammation.

Des dommages ou une inflammation de la muqueuse intestinale peuvent entraîner une variété de problèmes de santé, tels que des maladies inflammatoires de l'intestin (MII), des allergies alimentaires et des troubles gastro-intestinaux fonctionnels. Par conséquent, la santé de la muqueuse intestinale est essentielle pour maintenir le bon fonctionnement du système digestif et préserver la santé globale de l'organisme.

Les maladies gastro-intestinales (GI) se réfèrent à un large éventail de conditions affectant le tube digestif, qui s'étend du système de l'œsophage à l'anus. Ces maladies peuvent affecter la fonction normale des organes GI, tels que l'estomac, les intestins, le pancréas, la vésicule biliaire et le foie. Les symptômes courants des maladies gastro-intestinales comprennent la douleur abdominale, les nausées, les vomissements, la diarrhée, la constipation et la perte de poids involontaire.

Les exemples de maladies gastro-intestinales comprennent :

1. Maladie inflammatoire de l'intestin (MII) : Il s'agit d'un terme général désignant deux conditions, la colite ulcéreuse et la maladie de Crohn, qui provoquent une inflammation du tractus gastro-intestinal.
2. Syndrome du côlon irritable (SCI) : Il s'agit d'un trouble fonctionnel du tractus gastro-intestinal inférieur caractérisé par des douleurs abdominales, des ballonnements et une modification de la fréquence ou de la consistance des selles.
3. Reflux gastro-œsophagien (RGO) : Il s'agit d'une condition dans laquelle le contenu acide de l'estomac remonte dans l'œsophage, provoquant une irritation et des brûlures d'estomac.
4. Maladie coeliaque : Il s'agit d'une maladie auto-immune dans laquelle le système immunitaire réagit au gluten, une protéine présente dans de nombreux aliments, entraînant des dommages à l'intestin grêle.
5. Constipation : Il s'agit d'un trouble du tractus gastro-intestinal caractérisé par des selles peu fréquentes ou difficiles.
6. Diarrhée : Il s'agit d'une affection dans laquelle une personne a des selles molles ou liquides plus de trois fois par jour.
7. Hémorroïdes : Ce sont des veines gonflées et enflammées dans l'anus ou le rectum qui peuvent provoquer des douleurs, des démangeaisons et des saignements.
8. Cancer du côlon ou du rectum : Il s'agit d'un cancer qui se développe dans le côlon ou le rectum, souvent à la suite de polypes précancéreux.
9. Infections gastro-intestinales : Ce sont des infections causées par des bactéries, des virus ou des parasites qui peuvent provoquer des nausées, des vomissements, de la diarrhée et des douleurs abdominales.
10. Maladies inflammatoires de l'intestin (MII) : Ce sont des affections chroniques dans lesquelles le système immunitaire attaque le tractus gastro-intestinal, provoquant une inflammation et des dommages aux tissus. Les exemples incluent la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse.

L'hexaméthonium est un agent bloquant les ganglions parasympathiques qui est utilisé en médecine pour provoquer une relaxation musculaire. Il fonctionne en empêchant la transmission des impulsions nerveuses entre le système nerveux somatique et les muscles squelettiques. Cela peut être utile dans certaines procédures médicales et chirurgicales où une relaxation musculaire est nécessaire.

L'hexaméthonium agit en se liant aux canaux sodiques dépendants du voltage dans la membrane pré-synaptique, empêchant ainsi la libération d'acétylcholine et d'autres neurotransmetteurs. Cela entraîne une paralysie musculaire, qui peut être réversible à l'arrêt de l'administration du médicament.

Cependant, il convient de noter que l'utilisation de l'hexaméthonium est limitée en raison de ses effets secondaires graves, tels que la dépression respiratoire, l'hypotension et le risque accru de développer des arythmies cardiaques. Par conséquent, il n'est généralement utilisé que dans des situations où les avantages potentiels l'emportent sur les risques.

La souche de souris C57BL (C57 Black 6) est une souche inbred de souris labo commune dans la recherche biomédicale. Elle est largement utilisée en raison de sa résistance à certaines maladies infectieuses et de sa réactivité prévisible aux agents chimiques et environnementaux. De plus, des mutants génétiques spécifiques ont été développés sur cette souche, ce qui la rend utile pour l'étude de divers processus physiologiques et pathologiques. Les souris C57BL sont également connues pour leur comportement et leurs caractéristiques sensorielles distinctives, telles qu'une préférence pour les aliments sucrés et une réponse accrue à la cocaïne.

L'estomac est un organe musculaire creux situé dans la partie supérieure de l'abdomen. Il fait partie du système digestif et joue un rôle crucial dans la digestion des aliments. Après avoir passé par la gorge et l'œsophage, les aliments atteignent l'estomac où ils sont mélangés avec des sucs gastriques, comprenant de l'acide chlorhydrique et divers enzymes, pour former une bouillie acide appelée chyme.

La paroi de l'estomac contient des plis complexes appelés rugosités gastriques qui augmentent sa surface et donc sa capacité à sécréter des sucs gastriques et à mélangier les aliments. L'estomac a également la capacité de s'étirer pour accueillir de grandes quantités de nourriture et de liquides.

Après avoir été traités dans l'estomac, les aliments partiellement digérés passent dans l'intestin grêle où la majeure partie de l'absorption des nutriments a lieu.

La NADPH-déhydrogenase est une enzyme oxydoreductase qui joue un rôle crucial dans le métabolisme des cellules. Elle catalyse la réaction d'oxydation du NADPH (nicotinamide adénine dinucléotide phosphate réduit) en NADP+ (nicotinamide adénine dinucléotide phosphate oxydé), tout en réduisant simultanément un substrat acceptateur d'électrons. Ce processus est essentiel dans la biosynthèse de divers composés cellulaires, tels que les acides gras, le cholestérol et certaines hormones stéroïdes. Il s'agit également d'une étape clé dans la neutralisation des espèces réactives de l'oxygène (ROS), protégeant ainsi la cellule contre le stress oxydatif et ses conséquences néfastes. Des anomalies dans le fonctionnement de cette enzyme ont été associées à diverses pathologies, y compris des troubles neurodégénératifs et certains cancers.

La calbindine 2 est une protéine qui se lie au calcium et qui joue un rôle important dans la régulation du calcium intracellulaire. Elle est exprimée principalement dans les neurones du cerveau, en particulier dans les cellules de Purkinje dans le cervelet et dans certaines populations de neurones dans le cortex cérébral et l'hippocampus.

La calbindine 2 appartient à la famille des protéines de liaison au calcium EF-hand, qui contiennent des domaines structurels en forme de doigt capables de se lier aux ions calcium. Ces protéines sont importantes pour le contrôle du calcium intracellulaire, car le calcium est un ion essentiel pour de nombreux processus cellulaires, tels que la transmission des signaux nerveux et la régulation de l'excitabilité neuronale.

La calbindine 2 a été étudiée dans le contexte de diverses maladies neurologiques, telles que les maladies neurodégénératives et les troubles épileptiques. Des niveaux réduits de calbindine 2 ont été observés dans certaines populations de neurones dans ces conditions, ce qui suggère qu'elle pourrait jouer un rôle protecteur contre le stress oxydatif et l'excitotoxicité associés à ces maladies.

En résumé, la calbindine 2 est une protéine importante qui régule les niveaux de calcium intracellulaire dans les neurones du cerveau. Elle a été étudiée dans le contexte de diverses maladies neurologiques et pourrait avoir des propriétés neuroprotectrices.

La différenciation cellulaire est un processus biologique dans lequel une cellule somatique immature ou moins spécialisée, appelée cellule souche ou cellule progénitrice, se développe et se spécialise pour former un type de cellule plus mature et fonctionnellement distinct. Ce processus implique des changements complexes dans la structure cellulaire, la fonction et la métabolisme, qui sont médiés par l'expression génétique différenciée et la régulation épigénétique.

Au cours de la différenciation cellulaire, les gènes qui codent pour les protéines spécifiques à un type cellulaire particulier sont activés, tandis que d'autres gènes sont réprimés. Cela entraîne des modifications dans la morphologie cellulaire, y compris la forme et la taille de la cellule, ainsi que la cytosquelette et les organites intracellulaires. Les cellules différenciées présentent également des caractéristiques fonctionnelles uniques, telles que la capacité à produire des enzymes spécifiques ou à participer à des processus métaboliques particuliers.

La différenciation cellulaire est un processus crucial dans le développement embryonnaire et fœtal, ainsi que dans la maintenance et la réparation des tissus adultes. Des anomalies dans ce processus peuvent entraîner des maladies congénitales ou acquises, telles que les cancers et les troubles du développement.

Le syndrome du côlon irritable (SCI) est un trouble fonctionnel gastro-intestinal caractérisé par des douleurs abdominales récurrentes associées à une modification de la fréquence ou de la consistance des selles. Les symptômes peuvent varier d'une personne à l'autre, mais ils comprennent souvent des crampes ou des douleurs abdominales, des ballonnements, des changements dans les habitudes intestinales (diarrhée ou constipation ou une alternance des deux), ainsi que des mucus dans les selles. Le SCI affecte généralement le côlon, également connu sous le nom de gros intestin.

Les causes du SCI sont inconnues, mais il est souvent associé à un dysfonctionnement du système nerveux qui relie le cerveau au tube digestif, ce qui peut entraîner une hypersensibilité des intestins et une mauvaise coordination des muscles de la paroi intestinale. Des facteurs tels que le stress, l'anxiété, les changements hormonaux, les infections intestinales, la prise de certains médicaments et une alimentation riche en graisses ou en FODMAP (oligosaccharides, disaccharides, monosaccharides et polyols fermentescibles) peuvent déclencher ou aggraver les symptômes du SCI.

Bien que le SCI puisse être inconfortable et affecter la qualité de vie, il ne cause généralement pas de dommages permanents au côlon et n'augmente pas le risque de développer des maladies graves telles que le cancer colorectal. Le diagnostic du SCI est basé sur les symptômes caractéristiques et l'exclusion d'autres affections médicales qui peuvent présenter des symptômes similaires. Le traitement du SCI se concentre généralement sur la gestion des symptômes à l'aide de modifications du mode de vie, de changements alimentaires et de médicaments en vente libre ou sur ordonnance.

La tétrodotoxine est une toxine mortelle et puissante qui est surtout connue pour se trouver dans le fugu, ou poisson-globe, une spécialité culinaire japonaise. Elle peut également être trouvée dans d'autres créatures marines telles que certaines étoiles de mer, des oursins et des grenouilles. La tétrodotoxine agit en bloquant les canaux sodium dans les membranes cellulaires des nerfs, ce qui entraîne une paralysie musculaire et peut entraver la respiration et entraîner la mort. Il n'existe actuellement aucun antidote connu pour la tétrodotoxine, et le traitement consiste principalement en un soutien respiratoire et des soins de soutien.

Les ganglions du système nerveux autonome, également connus sous le nom de ganglions parasympathiques et sympathiques, sont des groupes de cellules nerveuses situés dans tout le corps qui font partie du système nerveux autonome. Le système nerveux autonome est responsable de la régulation des fonctions involontaires du corps telles que la fréquence cardiaque, la pression artérielle, la digestion et la respiration.

Les ganglions sympathiques font partie du système nerveux sympathique, qui prépare le corps à répondre au stress ou à l'excitation. Ils sont généralement situés près de la colonne vertébrale et sont connectés à la moelle épinière par des nerfs efférents. Les ganglions parasympathiques font partie du système nerveux parasympathique, qui aide à réguler les fonctions normales du corps au repos. Ils sont généralement situés près des organes qu'ils innervent et sont connectés aux nerfs crâniens ou sacrés.

Les ganglions du système nerveux autonome contiennent des neurones postsynaptiques dont les axones se ramifient pour innerver divers organes cibles tels que le cœur, les poumons, les vaisseaux sanguins, les glandes et les muscles lisses. Les ganglions du système nerveux autonome jouent donc un rôle crucial dans la régulation des fonctions corporelles involontaires et sont souvent touchés dans certaines maladies neurologiques ou systémiques.

La sérotonine est un neurotransmetteur important dans le cerveau humain, qui joue un rôle crucial dans la régulation de l'humeur, du sommeil, de l'appétit, de la douleur et des fonctions cognitives. Il est dérivé de l'acide aminé tryptophane et est sécrété par les neurones sérotoninergiques dans le cerveau et le système nerveux périphérique. Dans le cerveau, la sérotonine agit en se liant à des récepteurs spécifiques sur d'autres neurones, influençant ainsi leur activité électrique et la libération de neurotransmetteurs supplémentaires. Les déséquilibres de la sérotonine ont été associés à divers troubles mentaux, tels que la dépression, l'anxiété et les troubles obsessionnels compulsifs. De plus, la sérotonine est également connue pour jouer un rôle dans la régulation des fonctions physiologiques, telles que la coagulation sanguine et la fonction cardiovasculaire.

Les muscles lisses sont un type de muscle involontaire, ce qui signifie qu'ils fonctionnent automatiquement sans contrôle volontaire conscient. Ils forment la majorité des parois des organes creux tels que les vaisseaux sanguins, le tube digestif (y compris l'estomac et les intestins), la vessie et l'utérus. Les muscles lisses sont également trouvés dans les structures comme les bronches, les conduits de la glande salivaire et les organes reproducteurs.

Contrairement aux muscles squelettiques, qui ont des bandes transversales distinctives appelées stries, les muscles lisses n'ont pas ces caractéristiques. Ils sont composés de cellules allongées avec un seul noyau central, et leur contraction est régulée par le système nerveux autonome. Les mouvements qu'ils produisent sont rythmiques et involontaires, contribuant à des fonctions corporelles importantes telles que la circulation sanguine, la digestion, la miction et la défécation.

Le transit gastro-intestinal (GI) se réfère au mouvement des aliments et des déchets à travers le système digestif, qui comprend la bouche, l'œsophage, l'estomac, l'intestin grêle, le côlon ou gros intestin, et le rectum. Après que les aliments soient consommés, ils sont décomposés dans l'estomac et l'intestin grêle en nutriments qui peuvent être absorbés dans la circulation sanguine pour être utilisés par le corps. Les déchets non digérés passent ensuite dans le côlon, où l'eau est absorbée et les déchets sont compactés en selles. Ces matières fécales sont finalement éliminées du corps lors de la défécation via le rectum et l'anus.

Le transit gastro-intestinal peut être affecté par divers facteurs tels que l'alimentation, l'hydratation, l'activité physique, les médicaments, les maladies et les affections sous-jacentes du système digestif. Un ralentissement ou une accélération anormale de ce processus peut entraîner des symptômes tels que la constipation, la diarrhée, les ballonnements, les douleurs abdominales et d'autres problèmes gastro-intestinaux.

Il est important de maintenir un transit gastro-intestinal sain pour assurer une digestion adéquate, une absorption des nutriments optimale et le maintien de la régularité intestinale. Cela peut être accompli grâce à une alimentation équilibrée, riche en fibres, une hydratation adéquate, l'exercice régulier et la gestion du stress. Dans certains cas, des médicaments ou des interventions médicales peuvent être nécessaires pour traiter les problèmes de transit gastro-intestinal sous-jacents.

Le système nerveux sympathique est une division du système nerveux autonome qui se prépare à des situations d'urgence en accélérant le rythme cardiaque, en augmentant la pression artérielle, en dilatant les bronches et en fournissant un apport supplémentaire de nutriments et d'oxygène aux muscles. Il est également responsable de la activation de la réponse "combat ou fuite" du corps, ce qui inclut la libération d'hormones telles que l'adrénaline. Le système nerveux sympathique se compose de deux parties : le ganglion cervical supérieur et les chaînes ganglionnaires thoraciques et lombaires, qui sont connectées au système nerveux central par des nerfs crâniens et rachidiens.

Je suis désolé, mais la phrase "Souches Mutantes De Souris" ne correspond pas à une définition médicale spécifique. Cependant, je peux vous fournir une explication des termes qui la composent :

1. Souches (dans le contexte de la biologie) : Une souche est une lignée pure d'organismes issus d'un seul ancêtre et qui présentent des caractéristiques génétiques spécifiques et stables.

2. Mutantes : Les mutations sont des changements dans la séquence de l'ADN qui peuvent entraîner des modifications dans les protéines et, par conséquent, affecter les fonctions cellulaires et entraîner des phénotypes différents. Lorsque ces mutations se produisent dans des lignées de souris en laboratoire, on parle de "souris mutantes".

Des souches mutantes de souris sont donc des lignées génétiquement modifiées de souris qui présentent des mutations spécifiques et stables. Elles sont souvent utilisées dans la recherche biomédicale pour étudier les effets des gènes mutés sur le développement, la physiologie et les maladies. Différentes souches mutantes de souris présentent des mutations dans différents gènes, ce qui permet aux chercheurs d'étudier séparément l'impact de chaque gène sur divers processus biologiques et pathologies.

Le système nerveux est responsable du contrôle et de la coordination des activités du corps, ainsi que de la réception et de l'intégration des stimuli internes et externes. Les phénomènes physiologiques du système nerveux font référence aux processus normaux et réguliers qui se produisent dans le système nerveux pour assurer ces fonctions.

Ces phénomènes peuvent être divisés en deux catégories principales : les phénomènes afférents et efférents. Les phénomènes afférents font référence aux processus qui impliquent la réception et la transmission des stimuli vers le système nerveux central (SNC). Cela comprend la transduction sensorielle, où les stimuli physiques sont convertis en signaux électriques, et la conduction nerveuse, où ces signaux sont transmis le long des neurones jusqu'au SNC.

Les phénomènes efférents, d'autre part, font référence aux processus qui impliquent la transmission de signaux du SNC vers les effecteurs, tels que les muscles et les glandes. Cela comprend la conduction nerveuse le long des neurones moteurs jusqu'aux muscles ou aux glandes, ainsi que la libération de neurotransmetteurs pour activer ou inhiber l'activité des effecteurs.

D'autres phénomènes physiologiques importants du système nerveux comprennent la modulation de l'activité neuronale par les neurotransmetteurs et les facteurs de croissance, la plasticité synaptique, qui permet aux connexions entre les neurones de se renforcer ou de s'affaiblir en fonction de l'expérience, et le contrôle de l'homéostasie, où le système nerveux régule les fonctions corporelles telles que la température, la pression artérielle et le métabolisme.

En résumé, les phénomènes physiologiques du système nerveux comprennent une variété de processus qui permettent la communication entre les neurones, l'activation des effecteurs et le contrôle de l'homéostasie. Comprendre ces processus est essentiel pour comprendre comment fonctionne le cerveau et comment il contribue à la santé et à la maladie.

La transduction du signal est un processus crucial dans la communication cellulaire où les cellules convertissent un signal extracellulaire en une réponse intracellulaire spécifique. Il s'agit d'une série d'étapes qui commencent par la reconnaissance et la liaison du ligand (une molécule signal) à un récepteur spécifique situé sur la membrane cellulaire. Cela entraîne une cascade de réactions biochimiques qui amplifient le signal, finalement aboutissant à une réponse cellulaire adaptative telle que la modification de l'expression des gènes, la mobilisation du calcium ou la activation des voies de signalisation intracellulaires.

La transduction de signaux peut être déclenchée par divers stimuli, y compris les hormones, les neurotransmetteurs, les facteurs de croissance et les molécules d'adhésion cellulaire. Ce processus permet aux cellules de percevoir et de répondre à leur environnement changeant, en coordonnant des fonctions complexes allant du développement et de la différenciation cellulaires au contrôle de l'homéostasie et de la réparation des tissus.

Des anomalies dans la transduction des signaux peuvent entraîner diverses maladies, notamment le cancer, les maladies cardiovasculaires, le diabète et les troubles neurologiques. Par conséquent, une compréhension approfondie de ce processus est essentielle pour élucider les mécanismes sous-jacents des maladies et développer des stratégies thérapeutiques ciblées.

Le Danio Zébré, également connu sous le nom de Danio rerio, est un petit poisson d'eau douce souvent utilisé en recherche biomédicale comme modèle animal. Il est originaire d'Asie du Sud et d'Asie du Sud-Est. Bien que ce ne soit pas une espèce animale couramment utilisée dans la médecine humaine, il est largement employé dans les études de développement, de génétique et de toxicologie en raison de sa facilité de maintenance en laboratoire, de son cycle de vie court, de sa transparence à certains stades de développement, et de la possibilité de modifier facilement son génome.

Cependant, il est important de noter que cette réponse concerne l'utilisation du Danio Zébré dans le contexte de la recherche biologique et non pas dans un sens médical direct.

En médecine, la numération cellulaire est le processus de dénombrement et d'identification des différents types de cellules dans un échantillon de sang ou de tissu. Cela comprend le comptage du nombre total de globules blancs (leucocytes), de globules rouges (érythrocytes) et de plaquettes (thrombocytes) dans un échantillon de sang. De plus, la numération différentielle est une sous-catégorie de la numération cellulaire qui distingue les différents types de globules blancs, tels que les neutrophiles, les lymphocytes, les monocytes, les éosinophiles et les basophiles. Ces comptages sont des outils diagnostiques importants pour évaluer la santé globale d'un individu, détecter les infections, les inflammations et les maladies sanguines, telles que l'anémie ou la leucémie.

Je suis désolé, mais la requête « Protéines Drosophila » est un peu ambiguë. Drosophila est le genre qui comprend les mouches à fruits, et il existe de nombreuses protéines spécifiques à différentes espèces de Drosophila qui jouent divers rôles dans leurs processus biologiques.

Si vous faites référence aux protéines modèles largement étudiées dans la mouche des fruits, Drosophila melanogaster, certaines d'entre elles comprennent les protéines de la kinase GSK-3 (Shaggy), la protéine tumorale supresseur p53, et les protéines homéotiques qui sont importantes dans le développement embryonnaire.

Si vous pouviez préciser quel type de protéines Drosophila vous intéresse, je serais heureux de fournir une définition médicale plus spécifique.

Je suis désolé, mais il semble y avoir une petite erreur dans votre requête. Le terme que vous avez demandé, "Neurturine", ne semble pas être un terme médical reconnu. Il est possible qu'il y ait une faute de frappe ou une confusion avec un terme similaire.

Cependant, je peux vous fournir des informations sur un terme proche, la "Neurturine", qui est une protéine impliquée dans le développement et la fonction des neurones. Elle joue un rôle crucial dans la différenciation, la survie et la maintenance des neurones. Toutefois, je tiens à souligner que la neurturine n'est pas spécifiquement liée à une définition médicale particulière, mais plutôt à un domaine de recherche en biologie du développement et en neurosciences.

La gastroparésie est un trouble du système nerveux autonome qui affecte la fonction motrice de l'estomac. Dans des conditions normales, l'estomac se contracte pour déplacer les aliments vers le duodénum (la première partie de l'intestin grêle). Cependant, avec la gastroparésie, ces contractions sont affaiblies ou ne se produisent pas du tout, entraînant un retard dans le vidage gastrique.

Cette condition peut être causée par une lésion des nerfs vagues qui innerve l'estomac, souvent à la suite d'un diabète mal contrôlé, certaines chirurgies abdominales, des infections virales ou des troubles neurologiques. Les symptômes courants de la gastroparésie incluent des nausées et des vomissements, surtout après les repas, une sensation de plénitude précoce après avoir mangé, des ballonnements, des douleurs abdominales, des épisodes de régurgitation acide et, dans certains cas, une perte de poids.

Le diagnostic de la gastroparésie est généralement posé sur la base des antécédents médicaux du patient, d'un examen physique et de tests spécifiques tels qu'une étude de la vidange gastrique ou une manométrie gastrique. Le traitement vise à soulager les symptômes et à corriger toute cause sous-jacente si possible. Il peut inclure des modifications du régime alimentaire, des médicaments pour stimuler la motilité gastrique ou contrôler les nausées, ainsi que des soins de soutien pour gérer les complications telles que la déshydratation due aux vomissements fréquents. Dans les cas graves et réfractaires, une alimentation par sonde nasogastrique ou une intervention chirurgicale peuvent être nécessaires.

La nitric oxide synthase de type I, également connue sous le nom de NOS neuronale ou nNOS, est une isoforme de l'enzyme nitric oxide synthase (NOS). Cette enzyme est responsable de la production de monoxyde d'azote (NO), un messager bioactif important dans le système cardiovasculaire et nerveux central.

La nNOS est principalement exprimée dans les neurones du cerveau et du système nerveux périphérique, où elle joue un rôle crucial dans la transmission des signaux chimiques et la plasticité synaptique. Elle est localisée dans les terminaisons présynaptiques et peut réguler la libération de neurotransmetteurs en augmentant le taux de calcium intracellulaire.

L'activation de la nNOS nécessite généralement une interaction avec des récepteurs ionotropes du glutamate, tels que les récepteurs NMDA (N-méthyl-D-aspartate). Lorsque ces récepteurs sont activés, ils permettent l'entrée de calcium dans la cellule, ce qui active à son tour la nNOS pour produire du NO.

Le monoxyde d'azote produit par la nNOS peut diffuser librement à travers les membranes cellulaires et réguler divers processus physiologiques et pathologiques, tels que l'inflammation, la neurotransmission, la vasodilatation et la mort cellulaire programmée (apoptose). Des déséquilibres dans la production de NO ou une régulation altérée de la nNOS ont été associés à plusieurs maladies neurologiques et cardiovasculaires.

Un complexe myoélectrique migrant (CMM) est un terme utilisé en gastroentérologie pour décrire une activité électrique anormale et spontanée des muscles lisses de l'intestin grêle, qui se propage le long du tube digestif. Il se manifeste par des ondes de contraction musculaire lisse qui migrent dans un sens ou dans l'autre, provoquant des symptômes tels que douleurs abdominales, nausées, vomissements et modifications du transit intestinal.

Les CMM sont souvent associés à des affections gastro-intestinales fonctionnelles telles que le syndrome de l'intestin irritable (SII) ou la gastroparesie. Ils peuvent également être observés dans certaines maladies inflammatoires de l'intestin, comme la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse.

Le diagnostic d'un CMM est généralement posé à l'aide d'une manométrie antroduodénale, une technique qui mesure les pressions dans l'intestin grêle pour évaluer sa motilité. Le traitement des CMM dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des modifications du régime alimentaire, des médicaments pour améliorer la motilité intestinale ou des traitements spécifiques à la maladie sous-jacente.

Les cellules cancéreuses en culture sont des cellules cancéreuses prélevées sur un être humain ou un animal, qui sont ensuite cultivées et multipliées dans un laboratoire. Ce processus est souvent utilisé pour la recherche médicale et biologique, y compris l'étude de la croissance et du comportement des cellules cancéreuses, la découverte de nouveaux traitements contre le cancer, et les tests de sécurité et d'efficacité des médicaments et des thérapies expérimentales.

Les cellules cancéreuses en culture sont généralement prélevées lors d'une biopsie ou d'une intervention chirurgicale, puis transportées dans un milieu de culture spécial qui contient les nutriments et les facteurs de croissance nécessaires à la survie et à la reproduction des cellules. Les cellules sont maintenues dans des conditions stériles et sous observation constante pour assurer leur santé et leur pureté.

Les cultures de cellules cancéreuses peuvent être utilisées seules ou en combinaison avec d'autres méthodes de recherche, telles que l'imagerie cellulaire, la génomique, la protéomique et la biologie des systèmes. Ces approches permettent aux chercheurs d'étudier les mécanismes moléculaires du cancer à un niveau granulaire, ce qui peut conduire à une meilleure compréhension de la maladie et au développement de nouveaux traitements plus efficaces.

Une souris knockout, également connue sous le nom de souris génétiquement modifiée à knockout, est un type de souris de laboratoire qui a eu un ou plusieurs gènes spécifiques désactivés ou "knockout". Cela est accompli en utilisant des techniques d'ingénierie génétique pour insérer une mutation dans le gène cible, ce qui entraîne l'interruption de sa fonction.

Les souris knockout sont largement utilisées dans la recherche biomédicale pour étudier les fonctions des gènes et leur rôle dans les processus physiologiques et pathologiques. En éliminant ou en désactivant un gène spécifique, les chercheurs peuvent observer les effets de cette perte sur le phénotype de la souris, ce qui peut fournir des informations précieuses sur la fonction du gène et ses interactions avec d'autres gènes et processus cellulaires.

Les souris knockout sont souvent utilisées dans l'étude des maladies humaines, car les souris partagent une grande similitude génétique avec les humains. En créant des souris knockout pour des gènes associés à certaines maladies humaines, les chercheurs peuvent étudier le rôle de ces gènes dans la maladie et tester de nouvelles thérapies potentielles.

Cependant, il est important de noter que les souris knockout ne sont pas simplement des modèles parfaits de maladies humaines, car elles peuvent présenter des différences dans la fonction et l'expression des gènes ainsi que dans les réponses aux traitements. Par conséquent, les résultats obtenus à partir des souris knockout doivent être interprétés avec prudence et validés dans d'autres systèmes de modèle ou dans des études cliniques humaines avant d'être appliqués à la pratique médicale.

La souche de rat Sprague-Dawley est une souche albinos commune de rattus norvegicus, qui est largement utilisée dans la recherche biomédicale. Ces rats sont nommés d'après les chercheurs qui ont initialement développé cette souche, H.H. Sprague et R.C. Dawley, au début des années 1900.

Les rats Sprague-Dawley sont connus pour leur taux de reproduction élevé, leur croissance rapide et leur taille relativement grande par rapport à d'autres souches de rats. Ils sont souvent utilisés dans les études toxicologiques, pharmacologiques et biomédicales en raison de leur similitude génétique avec les humains et de leur réactivité prévisible aux stimuli expérimentaux.

Cependant, il est important de noter que, comme tous les modèles animaux, les rats Sprague-Dawley ne sont pas parfaitement représentatifs des humains et ont leurs propres limitations en tant qu'organismes modèles pour la recherche biomédicale.

Les neuropeptides sont de courtes chaînes d'acides aminés qui agissent comme des neurotransmetteurs ou des modulateurs de neurotransmission dans le système nerveux central. Ils jouent un rôle crucial dans la médiation d'une variété de processus physiologiques et comportementaux, y compris la douleur, l'appétit, l'humeur, la récompense, le stress, l'addiction et la mémoire. Les neuropeptides sont synthétisés à partir de précurseurs protéiques dans les neurones et sont stockés dans des vésicules avant d'être libérés dans la fente synaptique en réponse à une stimulation appropriée. Une fois libérés, ils peuvent se lier à des récepteurs spécifiques sur les cellules voisines, déclenchant ainsi une cascade de réactions qui modulent l'activité neuronale.

Les exemples courants de neuropeptides comprennent la substance P, les endorphines, la cholécystokinine, la vasopressine et l'ocytocine. Les déséquilibres dans les systèmes de neuropeptides ont été impliqués dans divers troubles neurologiques et psychiatriques, tels que la douleur chronique, la dépression, l'anxiété et la toxicomanie. Par conséquent, une meilleure compréhension des mécanismes d'action des neuropeptides peut fournir des cibles thérapeutiques prometteuses pour le développement de nouveaux traitements pour ces conditions.

Je suis désolé, mais la demande que vous avez formulée est plutôt large et peut englober de nombreuses définitions différentes selon le contexte biologique et médical. Cependant, je vais tenter de vous donner une réponse aussi précise que possible.

En biologie du développement, un embryon est défini comme la forme précoce d'un organisme en croissance, comprenant généralement les stades de développement précoces allant de la fécondation à la naissance ou à l'éclosion. Les embryons des espèces non mammifères peuvent inclure ceux d'espèces d'oiseaux, de reptiles, d'amphibiens, de poissons et d'invertébrés.

Chaque groupe d'espèces a ses propres caractéristiques uniques en termes de développement embryonnaire. Par exemple :

* Les oiseaux pondent des œufs à coquille dure contenant des embryons qui se développent à l'extérieur du corps de la mère, avec une source externe de nutriments (le blanc et le jaune d'œuf) fournie par l'ovule fécondé.
* Les reptiles et les amphibiens pondent également des œufs, mais ceux-ci ont généralement une coquille molle et sont laissés dans un environnement humide pour se développer. Certains reptiles, comme les serpents et les lézards, donnent naissance à des jeunes vivants après une période de gestation.
* Les poissons frayent généralement leurs œufs dans l'eau, où ils éclosent en libérant des larves qui se nourrissent d'organismes unicellulaires jusqu'à ce qu'elles soient assez grandes pour se nourrir de proies plus grosses.
* Les invertébrés ont également des modes de développement embryonnaire variés, y compris la ponte d'œufs et le développement direct à partir d'un ovule fécondé.

Dans l'ensemble, les animaux non mammifères ont des cycles de vie complexes qui impliquent souvent plusieurs stades de développement, y compris des œufs ou des larves, avant d'atteindre la maturité sexuelle. Ces processus sont régulés par une variété de facteurs hormonaux et environnementaux qui interagissent pour assurer le succès reproductif de l'espèce.

Je suis désolé, mais la requête « Protéines Zebrafish » est un peu imprécise. Le terme « protéines » fait référence à des molécules complexes présentes dans toutes les cellules vivantes, tandis que « Zebrafish » est le nom commun du poisson-zèbre, qui est souvent utilisé comme organisme modèle en biologie et en médecine.

Si vous cherchez des informations sur les protéines spécifiques du poisson-zèbre, il faudrait préciser laquelle pour que je puisse vous fournir une définition médicale ou scientifique exacte. Le poisson-zèbre a un génome séquencé et bien annoté, ce qui permet d'identifier et d'étudier les protéines spécifiques qu'il exprime.

Cependant, sans plus de précision, il m'est difficile de vous donner une définition médicale pertinente des « protéines Zebrafish ». Pouvez-vous me fournir plus d'informations sur le type de protéine qui vous intéresse ?

Les infections du système nerveux central (SNC) se réfèrent à des infections qui affectent la moelle épinière et le cerveau. Ce sont des affections graves qui peuvent entraîner de sérieuses complications, telles que des lésions cérébrales permanentes ou même la mort.

Les infections du SNC peuvent être causées par des bactéries, des virus, des champignons ou des parasites. Les méningites, l'encéphalite et l'abcès cérébral sont des exemples d'infections du SNC.

Les symptômes courants des infections du SNC comprennent des maux de tête sévères, une raideur de la nuque, une fièvre élevée, une confusion, des convulsions, une faiblesse musculaire, des troubles de la parole et une perte de conscience. Le traitement dépendra du type d'infection et peut inclure des antibiotiques, des antiviraux ou des antifongiques, ainsi que des soins de soutien pour gérer les symptômes.

Les facteurs de risque d'infections du SNC comprennent un système immunitaire affaibli, une infection récente dans le nez ou la gorge, une blessure à la tête ou au dos, l'utilisation de dispositifs médicaux invasifs tels que des cathéters, et certaines procédures médicales telles que la neurochirurgie.

La tyrosine 3-monooxygenase, également connue sous le nom de tyrosine hydroxylase, est un enzyme clé dans la biosynthèse des catécholamines. Il catalyse la conversion de la tyrosine en L-dopa (3,4-dihydroxyphénylalanine) en oxydant le groupe phénolique de la tyrosine et en y ajoutant un groupe hydroxyle (-OH). Cette réaction nécessite l'utilisation d'oxygène moléculaire comme substrat et de tétrahydrobioptérine (BH4) comme cofacteur.

La tyrosine hydroxylase joue un rôle essentiel dans la régulation de la synthèse des catécholamines, telles que la dopamine, la noradrénaline et l'adrénaline, qui sont des neurotransmetteurs et des hormones importantes pour le système nerveux central et périphérique. Des anomalies dans l'activité de cette enzyme ont été associées à divers troubles neurologiques et psychiatriques, tels que la maladie de Parkinson et la dépression.

Je suis désolé, mais la phrase "Maladies Expérimentales" ne correspond pas à une définition médicale spécifique. Le terme "maladie expérimentale" peut faire référence à des études ou recherches scientifiques dans lesquelles des maladies sont simulées ou créées dans un laboratoire, généralement sur des animaux de laboratoire, pour mieux comprendre la pathogenèse, le développement et les traitements possibles d'une maladie. Cependant, il ne s'agit pas d'un terme médical standardisé. Si vous cherchez des informations sur une procédure ou un concept médical spécifique, veuillez me fournir plus de détails afin que je puisse vous aider au mieux.

La vidange gastrique est un processus physiologique qui décrit la vitesse à laquelle le contenu de l'estomac se vide dans le duodénum, qui est la première partie de l'intestin grêle. Ce processus est crucial pour une digestion adéquate et une absorption appropriée des nutriments.

Normalement, après avoir consommé un repas, l'estomac se contracte de manière rythmique pour mélanger les aliments avec les sucs gastriques et décomposer les aliments en particules plus petites. Ensuite, l'estomac commence à se vider progressivement dans le duodénum.

La vitesse à laquelle l'estomac se vide peut être affectée par divers facteurs tels que la taille et la composition des repas, la motilité gastrique, les hormones de régulation de l'appétit et d'autres facteurs physiologiques.

Un retard dans la vidange gastrique peut entraîner des symptômes tels que des nausées, des vomissements, une sensation de plénitude ou de satiété prématurée, des ballonnements et des douleurs abdominales. Des problèmes de vidange gastrique peuvent être associés à diverses affections médicales telles que le reflux gastro-œsophagien, la gastroparesis, les ulcères gastroduodénaux et d'autres conditions gastro-intestinales.

La Substance P est un neuropeptide composé de 11 acides aminés, découvert en 1931 par le scientifique Ulf von Euler. Il s'agit d'un médiateur chimique important dans la transmission des signaux de douleur, des inflammations et des réponses émotionnelles dans le système nerveux central et périphérique.

La Substance P est largement distribuée dans le cerveau et la moelle épinière, où elle agit comme un neurotransmetteur ou un neuromodulateur en se liant aux récepteurs NK1 (neurokinine 1). Elle joue également un rôle crucial dans divers processus physiologiques tels que la régulation de la pression artérielle, la fonction gastro-intestinale et la modulation de l'humeur.

Dans le contexte médical, des anomalies dans la production ou la transmission de la Substance P peuvent contribuer au développement de diverses affections, notamment la douleur chronique, les troubles anxieux et dépressifs, ainsi que certains types de maladies inflammatoires. Des recherches sont en cours pour développer des traitements ciblant spécifiquement les récepteurs NK1 comme stratégie thérapeutique dans le traitement de la douleur et d'autres affections liées à la Substance P.

Je suis désolé, "patron de développement corporel" ne semble pas être un terme médical établi. Il pourrait faire référence à un schéma ou modèle de croissance et de développement d'un corps humain au fil du temps, mais cette expression est rarement utilisée dans la littérature médicale. Si vous cherchez une information spécifique sur le développement et la croissance du corps humain, je serais heureux de vous aider avec des termes médicaux plus précis.

Les antigènes "Hu" sont une famille d'antigènes associés aux tumeurs qui peuvent déclencher une réponse auto-immune dans le système nerveux central, entraînant une encéphalomyélite paranéoplasique (PEM). Les antigènes Hu comprennent l'antigène onconeuronal anti-Hu, également connu sous le nom d'anti-neuronal nuclear type 1 (ANNA-1), qui est une protéine nucléaire associée aux petits neurones des ganglions sympathiques et sensoriels.

L'encéphalomyélite paranéoplasique est un groupe de syndromes neurologiques rares associés à des tumeurs malignes, souvent des cancers du poumon à petites cellules. Les anticorps dirigés contre les antigènes Hu peuvent être détectés dans le sérum ou le liquide céphalo-rachidien des patients atteints de PEM et sont fortement associés à la présence d'un cancer sous-jacent.

Les symptômes de l'encéphalomyélite paranéoplasique peuvent inclure une combinaison de signes neurologiques centraux et périphériques, tels que des crises convulsives, une neuropathie sensorimotrice, une ataxie, une parésie, une dysautonomie, des changements cognitifs et comportementaux, et des hallucinations visuelles. Le diagnostic de PEM associé aux antigènes Hu nécessite la confirmation sérologique de la présence d'anticorps anti-Hu, ainsi que l'identification d'une tumeur sous-jacente.

Le traitement de l'encéphalomyélite paranéoplasique associée aux antigènes Hu implique généralement une combinaison de thérapies oncologiques pour traiter la tumeur sous-jacente, ainsi que des immunothérapies pour contrôler l'activité auto-immune. Les options de traitement peuvent inclure la chimiothérapie, la radiothérapie, l'immunomodulation, les corticostéroïdes et les échanges plasmatiques. Le pronostic dépend du type et de l'étendue de la tumeur sous-jacente, ainsi que de la réponse au traitement immunothérapeutique.

Un embryon mammalien est la phase précocissime du développement d'un mammifère, qui commence après la fécondation et se termine généralement à la naissance ou à l'éclosion. Cette période est caractérisée par des processus cruciaux de différenciation cellulaire, de migration et d'organogenèse, menant au développement d'un organisme multicellulaire complexe. Chez les mammifères, l'embryon est initialement composé de blastomères formés lors du stade précoce de segmentation, aboutissant finalement à la formation d'une structure tridimensionnelle appelée blastocyste. Le blastocyste se compose de deux populations cellulaires distinctes : les cellules de l'intérieur (cellules ICM) et les trophectodermes. Les cellules ICM donneront naissance à l'embryon proprement dit, tandis que le trophoblaste formera les membranes extra-embryonnaires et contribuera au développement du placenta.

Le stade mammalien embryonnaire est souvent divisé en plusieurs sous-étapes, telles que la préimplantation, l'implantation et le stade d'organogénèse. Pendant la phase de préimplantation, l'embryon subit une série de divisions cellulaires rapides et se transforme en blastocyste. L'implantation est le processus par lequel le blastocyste s'ancre dans la muqueuse utérine, initiant ainsi un apport nutritif essentiel à la croissance continue de l'embryon. Le stade d'organogenèse est marqué par une différenciation et une morphogenèse accrues, conduisant à la formation des structures primitives des organes.

Il convient de noter que la définition précise du début et de la fin de l'embryogenèse mammalienne peut varier en fonction des différentes conventions et classifications utilisées dans la recherche et la médecine. Par exemple, certains définitions établissent le début de l'embryogenèse au moment de la fusion des gamètes (fécondation), tandis que d'autres considèrent qu'il s'agit du stade de blastulation ou de la formation de la structure primitive de l'embryon. De même, certaines définitions définissent la fin de l'embryogenèse comme le moment où les structures principales des organes sont formées, tandis que d'autres considèrent qu'il s'agit du stade fœtal précoce, lorsque les systèmes et organes commencent à fonctionner de manière intégrée.

Les maladies du système nerveux sont des affections qui affectent la structure ou la fonction du système nerveux, qui est composé du cerveau, de la moelle épinière et des nerfs périphériques. Ces maladies peuvent être causées par des infections, des traumatismes, des tumeurs, des anomalies congénitales, des troubles métaboliques ou dégénératifs, ou encore des facteurs environnementaux et génétiques.

Les symptômes des maladies du système nerveux peuvent varier considérablement en fonction de la région affectée du système nerveux et de la nature de la lésion. Ils peuvent inclure des douleurs, des faiblesses musculaires, des engourdissements, des picotements, des tremblements, des convulsions, des mouvements anormaux, des problèmes de coordination, des difficultés d'élocution, des troubles cognitifs, des changements de comportement et des pertes de conscience.

Les maladies du système nerveux peuvent être classées en deux grandes catégories : les maladies du système nerveux central (qui comprennent le cerveau et la moelle épinière) et les maladies du système nerveux périphérique (qui comprennent les nerfs situés en dehors du cerveau et de la moelle épinière).

Parmi les exemples de maladies du système nerveux central, on peut citer les accidents vasculaires cérébraux, les tumeurs cérébrales, l'encéphalite, la méningite, la sclérose en plaques et la maladie d'Alzheimer.

Parmi les exemples de maladies du système nerveux périphérique, on peut citer la neuropathie diabétique, le syndrome du canal carpien, la sclérose latérale amyotrophique (SLA) et la polyneuropathie inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC).

Les tumeurs du système nerveux sont des croissances anormales qui se forment dans les tissus du système nerveux. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes ont tendance à se développer lentement et sont moins susceptibles de se propager à d'autres parties du corps, tandis que les tumeurs malignes se développent rapidement et peuvent envahir les tissus voisins et se propager à d'autres parties du corps.

Les tumeurs du système nerveux peuvent survenir dans le cerveau ou la moelle épinière, ainsi que dans les nerfs périphériques. Les symptômes dépendent de l'emplacement et de la taille de la tumeur, mais peuvent inclure des maux de tête, des nausées, des vomissements, des convulsions, des changements de vision, des engourdissements, des faiblesses musculaires, des problèmes d'équilibre et de coordination, et des changements mentaux ou comportementaux.

Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que de son stade et de l'état général de santé du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, et une chimiothérapie pour empêcher la croissance des cellules cancéreuses. Dans certains cas, une combinaison de ces traitements peut être utilisée.

En génétique, une mutation est une modification permanente et héréditaire de la séquence nucléotidique d'un gène ou d'une région chromosomique. Elle peut entraîner des changements dans la structure et la fonction des protéines codées par ce gène, conduisant ainsi à une variété de phénotypes, allant de neutres (sans effet apparent) à délétères (causant des maladies génétiques). Les mutations peuvent être causées par des erreurs spontanées lors de la réplication de l'ADN, l'exposition à des agents mutagènes tels que les radiations ou certains produits chimiques, ou encore par des mécanismes de recombinaison génétique.

Il existe différents types de mutations, telles que les substitutions (remplacement d'un nucléotide par un autre), les délétions (suppression d'une ou plusieurs paires de bases) et les insertions (ajout d'une ou plusieurs paires de bases). Les conséquences des mutations sur la santé humaine peuvent être très variables, allant de maladies rares à des affections courantes telles que le cancer.

La transmission nerveuse est le processus par lequel un neurone (cellule nerveuse) transmet un signal, ou impulsion électrique, à d'autres neurones ou à des muscles et des glandes. Ce processus permet la communication entre différentes parties du système nerveux et assure la coordination des fonctions corporelles.

La transmission nerveuse se produit dans les synapses, qui sont les espaces étroits entre les neurones ou entre un neurone et une autre cellule cible. Lorsqu'un neurone est stimulé, il génère un potentiel d'action, qui est une impulsion électrique qui se propage le long de sa membrane cellulaire. Ce potentiel d'action atteint finalement la terminaison du neurone, où il déclenche la libération de neurotransmetteurs dans la fente synaptique.

Les neurotransmetteurs sont des molécules chimiques qui traversent la fente synaptique et se lient aux récepteurs situés sur la membrane cellulaire de la cellule cible. Cette liaison déclenche une réponse dans la cellule cible, telle que la génération d'un nouveau potentiel d'action ou la sécrétion d'une hormone.

La transmission nerveuse peut être modulée par divers facteurs, tels que les neurotransmetteurs supplémentaires, les neuromodulateurs et les facteurs environnementaux. Ces facteurs peuvent influencer la force et la durée de la transmission nerveuse, ce qui permet une régulation fine des fonctions corporelles.

Des anomalies dans la transmission nerveuse peuvent entraîner divers troubles neurologiques, tels que les maladies neurodégénératives, les troubles du mouvement et les douleurs neuropathiques. La compréhension de la transmission nerveuse est donc essentielle pour le diagnostic et le traitement de ces conditions.

Le système nerveux entérique est la partie du système nerveux autonome qui contrôle le système digestif aussi bien pour ... le système entérique fonctionne de façon indépendante des autres centres nerveux. Le système nerveux entérique est constitué ... Le système nerveux entérique étant considéré lui-même comme une troisième subdivision du système nerveux autonome (ou végétatif ... Ces fibres nerveuses sont connectées aux plexus ganglionnaires entériques faisant partie intégrante du système nerveux ...
Système nerveux entérique. (Homonymie, Sigle de 3 caractères, Code). ... Système national d'enregistrement, système d'enregistrement des demandes de logement locatif social en France géré par un GIP ...
Système nerveux entérique. La digestion est en grande partie régulée par le système nerveux autonome, le système sympathique ... Le système gastro-intestinal (ou appareil digestif) est le système d'organes des animaux pluricellulaires qui prend la ... GND Japon Espagne Israël Schéma détaillé sur l'appareil digestif Atlas anatomique du système digestif Système digestif (SOSinf. ... Le système digestif est constitué d'une suite d'organes creux, reliés entre eux pour former un tube qui va de la bouche jusqu'à ...
... le système nerveux parasympathique (conditions normales) ; le système nerveux entérique (système digestif). Le système nerveux ... Le système nerveux périphérique comprend le système nerveux somatique et le système nerveux autonome. Les nerfs crâniens font ... Le système nerveux périphérique (SNP) est la partie du système nerveux formée des ganglions et des nerfs à l'extérieur du ... Article détaillé : système nerveux autonome. Le système nerveux autonome ou végétatif dirige les fonctions organiques internes ...
La seconde implique une hypersensibilité du système nerveux entérique. Le rôle et l'influence de la flore intestinale restent à ... Hyposensibilité des voies nerveuses : de façon contre-intuitive, une étude rapporte une désensibilisation des nerfs de la paroi ... Le syndrome de l'intestin irritable comporte deux composantes de nature nerveuse. L'une est motrice et concerne des troubles du ... de germe de soja fermenté pris par voie orale permet d'atténuer les perturbations du stress psychologique sur le système ...
Le SNA forme le système nerveux périphérique, conjointement avec le système nerveux somatique et le système nerveux entérique. ... le système nerveux orthosympathique et le système nerveux parasympathique. L'appartenance du système nerveux entérique au ... Le système nerveux autonome, aussi appelé système neurovégétatif, est la partie du système nerveux périphérique responsable des ... Le dérèglement du système nerveux autonome entraîne une dystonie ou dysautonomie neurovégétative. Nerf vagal Système nerveux ...
... les plexus d'Auerbach et de Meissner dans le système nerveux entérique. Seuls les rameaux ventraux des nerfs spinaux forment ... Dans le règne animal, les plexus nerveux sont des réseaux de fibres nerveuses. Exemples : le plexus cervical ; le plexus ... Les plexus peuvent désigner une partie du système nerveux. Les plexus constituent un avantage puisque le muscle d'un membre ... Au niveau du foie on retrouve également un plexus veineux, le système porte veineux. En paléontologie, Plexus est un nom de ...
Il comporte aussi la double chaîne ganglionnaire qui borde la colonne vertébrale ainsi que le plexus entérique. Le système ... Système nerveux, sur Wikimedia Commons Présentation de la neurologie et du système nerveux, sur Wikiversity Système nerveux, ... du système nerveux périphérique (nerfs et ganglions nerveux). À l'échelle cellulaire, le système nerveux est défini par la ... Le système nerveux central ou névraxe est la portion du système nerveux constituée d'une part de l'encéphale, regroupant le ...
... en raison de son système nerveux entérique autonome. Le rythme des contractions peut bien sûr être modulé par le reste du ... Elle contient le plexus sous-muqueux et le plexus nerveux entérique situés à la surface interne de la couche musculaire. La ... système nerveux autonome. Les couches ne sont pas vraiment longitudinales ou circulaires, mais les couches de muscle sont ... Les villosités contiennent un canal chylifère, petit vaisseau connecté au système lymphatique qui aide à emporter lipides ...
Elle s'explique notamment par l'action de la morphine sur le système nerveux entérique (les plexus myentériques et sous muqueux ... à l'insomnie en activant le système nerveux sympathique. Il exerce également une activité sur le système immunitaire et ... De plus : elle agirait sur le système nerveux central au niveau de la perception de la douleur ; elle agirait également sur la ... La dépression du système nerveux central complexe est responsable de l'effet antalgique (contre la douleur) principalement dans ...
La crête neurale au niveau vagal et sacré donne naissance aux ganglions du système nerveux entérique, aussi appelés ganglions ... à la majeure partie des neurones du système nerveux périphérique. L'apparition de la crête neurale chez les vertébrés a ... à la boite crânienne ou encore l'augmentation de la taille des membres par le développement d'un système nerveux périphérique. ... Une niche de cellules souches neurales dans le système nerveux périphérique », dans Bull. Acad. Natle Méd., vol. 191, no 7, ...
Celles-ci ont pour cible le système nerveux central. Les fibres afférentes entériques dont les corps cellulaires sont dans les ... Cette particularité leur permet de recevoir les informations grâce aux récepteurs et de les renvoyer vers le système nerveux ... sont une catégorie de nerfs qui transportent l'influx nerveux depuis les récepteurs sensoriels vers le système nerveux central ... à la périphérie puis elles sont transmises au système nerveux central par l'intermédiaire des neurones sensitifs autrement ...
Les auteurs supposent également que la maladie démarre au sein du système nerveux entérique et n'atteint le système nerveux ... La présence de ces inclusions au sein du système nerveux périphérique et notamment entérique est utilisé comme argument pour ... Cet agent pathogène arriverait ensuite au système nerveux central et serait à la base de la formation des corps de Lewy. ... à un influx nerveux. Elle effectue son action de manière métabotropique au sein du système dopaminergique via les récepteurs ...
... qui fait partie du système nerveux entérique. Couche musculaire externe formée de deux couches de muscle lisse disposées en ... Entre les deux couches se trouve le plexus myentérique, formé par le tissu nerveux et également une partie du système nerveux ... Les cellules DNES (système neuroendocrinien diffus) de l'iléon sécrètent diverses hormones (gastrine, sécrétine, ... les vaisseaux lymphatiques et les fibres nerveuses. Il n'y a pas de démarcation claire entre le jéjunum et l'iléon. Il existe ...
Ce plexus nerveux, appartenant au système nerveux entérique, coordonne l'activité des deux couches musculaires et permet la ... qui fait partie du système nerveux entérique. Ce plexus sous-muqueux permet de stimuler principalement les sécrétions muqueuses ... Les fibres nerveuses vagues courent au contact de l'œsophage ; latéralement : à gauche : aorte thoracique descendante, ... FMPMC-PS - Histologie : organes, systèmes et appareils - Niveau PCEM2 - DCEM1 », sur www.chups.jussieu.fr (consulté le 6 ...
Le système nerveux entérique est l'une des divisions principales du système nerveux et consiste en un système de neurones ... le système nerveux entérique continue de fonctionner. Chez les vertébrés, le système nerveux entérique comprend des neurones ... Le système nerveux entérique fait référence à l'ensemble du système de neurones qui régissent le système gastro-intestinal. Il ... Le système nerveux entérique est l'une des principales divisions du système nerveux et l'axe principal de la neuro- ...
... également dans le système nerveux périphérique, y compris le système nerveux entérique. Une étude pathologique a révélé une ... La porte d'entrée depuis la lumière intestinale vers le système nerveux entérique puis le nerf vague pourrait être une ... Les auteurs de l'étude observèrent cependant une accumulation d'α-synucléine dans le système nerveux entérique, le noyau dorsal ... à partir du système nerveux entérique vers les régions cérébrales auxquelles il est connecté par des synapses. Ces résultats ...
Environ 200 millions de neurones sont présents dans l'intestin humain et le système nerveux entérique communique de manière ... Ce double système musculaire est contrôlé d'une part par le système parasympathique qui les stimule, et par le système ... sur Wikisource Digestion Système nerveux entérique Alimentation Péristaltisme Excrétion Viscères Microbiote intestinal humain ... étroite avec le système nerveux central[source insuffisante]. Des études[Lesquelles ?] ont suggéré que le microbiote intestinal ...
... la réponse du système immunitaire et les messagers du système nerveux entérique. La bile est sécrétée dans le duodénum de ... Cette tâche est accomplie via un système de réflexes longs du système nerveux central (SNC), de réflexes courts du système ... Ce modèle de contraction dépend des hormones, des signaux de paracrine et du système nerveux autonome pour une régulation ... Le système digestif a un système complexe de régulation de la motilité et de la sécrétion qui est essentiel au bon ...
... tout comme le système nerveux entérique est un sous-ensemble du système nerveux. Ces cellules agissent en tant que ... ou les transmettent au système nerveux entérique pour y activer les réponses nerveuses,. Les cellules entéro-endocrines de ... Elles constituent un système endocrinien entérique en tant que sous-ensemble du système endocrinien, ... Le système nerveux autonome régule fortement leur sécrétion, une stimulation parasympathique stimulant la sécrétion d'insuline ...
... le système nerveux entérique. Dès lors, un tube digestif dont on a sectionné les fibres nerveuses efférentes originant du SNC ( ... Système Nerveux Central) peut produire le péristaltisme. C'est le plexus myentérique d'Auerbach, situé entre la couche ... Les organes creux du système digestif sont entourés de muscles qui permettent à leur paroi de se contracter. Les mouvements de ...
... est une des trois parties du système nerveux autonome. Les deux autres parties sont le système nerveux entérique et le système ... Le système nerveux sympathique ou système nerveux orthosympathique ou adrénergique, ... Les nerfs du système nerveux autonome sympathique prennent le relais dans des ganglions nerveux situés dans une localisation ... Le système nerveux sympathique fonctionne sur un modèle à deux neurones : un neurone pré-ganglionnaire (dont le corps ...
Parmi les cibles présentes dans les viscères pelviens, on compte le système nerveux entérique, ainsi que le système rénal, la ... Les nerfs provenant de la corne latérale de la moelle épinière sont ceux du système nerveux autonome (SNA). Ils sortent par la ... Ganglion Autonome Plexus prévertébral Cellules de Dogiel Système nerveux sympathique (rouge) et parasympathique (bleu) « uams. ...
... à découvrir concernant l'action des neuroleptiques sur les cent millions de neurones du système nerveux entérique. ...
Ce n'est pas le cas des systèmes nerveux périphériques tel que le système nerveux entérique, ce qui présente l'avantage de ... il semble exister une corrélation entre les lésions au système nerveux central et celles du système nerveux entérique. Cette ... S'il était établi qu'il y avait aussi une atteinte du système nerveux entérique chez les malades Parkinson, ... En effet le système nerveux central n'est accessible qu'après le décès des malades. ...
Actuellement des recherches scientifiques américaines, notamment celle du Dr Gershon sur le système nerveux entérique, montrent ... Il montre ainsi que l'activité péristaltique est associée de façon privilégiée à l'activité du système nerveux autonome. Gerda ... Elle apprend que le massage sur les fluides influence le système végétatif et rétablit l'équilibre entre le système sympathique ... Ce n'est que lorsque le système de défense fait opposition à cette communication, qu'une attention thérapeutique est déployée ...
... appelé le système nerveux entérique (considéré comme une subdivision du système nerveux autonome). De plus, le tube digestif ... Dès lors, le système parasympathique a un contrôle beaucoup plus fin de la motricité et des sécrétions. La tunique musculeuse ... Il renferme des amas de ganglions nerveux formant le plexus sous-muqueux de Meissner ; La musculeuse, constituée de deux ... Les ondes lentes en elles mêmes ne suffisent pas à déclencher des potentiels d'action : d'autres stimuli excitateurs (nerveux, ...
... des neurones du système entérique et des méninges. Ces cellules sont également à l'origine de tissus non nerveux comme du ... Lausanne et Berne La mise en place du système nerveux sur Le cerveau à tous les niveaux Les vésicules embryonnaires du système ... En parallèle à la formation des autres organes, le système nerveux va commencer à se former dès les premiers stades du ... À l'issue du premier mois de gestation (~26e jour), des régions spécifiques du système nerveux central commencent à se ...
... avec le système nerveux orthosympathique et le système nerveux entérique. Le SNA régule les fonctions corporelles qui ne sont ... Le système nerveux parasympathique ou système vagal ou encore appelé parasympathique est une des trois divisions du système ... le système nerveux sympathique (orthosympathique).[réf. souhaitée] Les fonctions du système nerveux parasympathique sont au ... Des fibres nerveuses du système parasympathique prennent leur origine dans les parties crâniennes (nerfs III, VII, IX et X) et ...
Syndrome sérotoninergique Tryptophane Système nerveux entérique Liste d'hormones Sur les autres projets Wikimedia : sérotonine ... Dans le système nerveux central, les corps cellulaires des neurones sérotoninergiques sont localisés dans les noyaux du raphé ... La présence de sérotonine dans le système nerveux central fut ensuite caractérisée par B. M. Twarog et I. H. Page, peu après ... La sérotonine a été identifiée dans la muqueuse gastro-intestinale, dans les plaquettes sanguines et dans le système nerveux ...
Le système nerveux entérique est la partie du système nerveux autonome qui contrôle le système digestif aussi bien pour ... le système entérique fonctionne de façon indépendante des autres centres nerveux. Le système nerveux entérique est constitué ... Le système nerveux entérique étant considéré lui-même comme une troisième subdivision du système nerveux autonome (ou végétatif ... Ces fibres nerveuses sont connectées aux plexus ganglionnaires entériques faisant partie intégrante du système nerveux ...
Une info à digérer : cest quoi le système nerveux entérique ?. *Comment le stress provoque-t-il des troubles digestifs ? ...
Les auteurs supposent également que la maladie démarre au sein du système nerveux entérique et natteint le système nerveux ... présentes dans le système nerveux central (SNC) et notamment le bulbe olfactif, se retrouvent aussi dans le système nerveux ... La présence de ces inclusions au sein du système nerveux périphérique et notamment entérique est utilisé comme argument pour ... Cet agent pathogène arriverait ensuite au système nerveux central et serait à la base de la formation des corps de Lewy. ...
le système nerveux entérique, dans lequel se trouvent plus de neurones que dans la moelle épinière, explique Brian Gulbransen, ... Le système nerveux entérique est un réseau extrêmement complexe de circuits neuronaux qui est responsable du contrôle de la ... Les neurones de ce deuxième cerveau sont accompagnés de cellules gliales (la glie entérique) qui sont responsables de la ... Un type de syndrome du côlon irritable lié à un épuisement du système immunitaire ...
Les récepteurs CB1 sont présents au niveau du système nerveux entérique et dans le tissu colique normal. « Ils participent à la ... Quel est limpact du THC sur le fonctionnement du système digestif? Peut-on y trouver un réel intérêt ? Au cours dune ...
... neuropathie entérique » (insuffisance du système nerveux intestinal, parfois aussi appelée « pseudo-obstruction intestinale ... Dautres aspects de la bio-ingénierie de lintestin, comme la formation des muscles et du système nerveux, continuent de faire ... un système nerveux, des muscles, un réseau vasculaire complexe (vaisseaux sanguins), plusieurs types de cellules spécialisées, ... Les méthodes de reconstruction du système nerveux intestinal seraient fort utiles pour éviter les chirurgies qui entraînent ...
... il possède même son propre système nerveux, dit « entérique » !). Mais pour son rôle de modulateur sur lensemble des fonctions ... Comme une interférence dans un système bien huilé, lintestin peut alors se transformer en « maillon faible ». ... Un processus inflammatoire chronique, qui finit par aboutir à des troubles du système immunitaire. ... Ces problématiques empêchent aussi de récupérer, pour les mêmes raisons énergétiques mais surtout car le système immunitaire ...
Projet : Rôle de métabolites bactériens surreprésentés chez les patients TSA dans le remodelage du système nerveux entérique. ... Validation du système Human Dynamic Clamp (HDC).. Laboratoire : CNRS UMR3571, Paris - Responsable scientifique : Richard ... Validation du système Human Dynamic Clamp (HDC). ...
... système nerveux entérique, qui leur est propre et qui permet une interaction entre la flore intestinale et notre cerveau. ... en raison de leur système nerveux complexe, appelé ... Le système nerveux entérique : quest-ce que cest ?. Le ... en raison de leur système nerveux complexe, appelé "système nerveux entérique", qui leur est propre et qui permet une ... système nerveux entérique est un réseau neuronal complexe qui est présent dans la paroi de lintestin. Il est composé de ...
Les intestins sont aussi appelés système nerveux entérique ou deuxième cerveau. La médecine chinoise tout comme les adeptes du ... Le corps humain est linterface de notre esprit et de nos émotions grâce au système nerveux. Le système limbique est une ... à nos organes via le système nerveux neuro-végétatif. Ainsi les tissus du corps peuvent garder une marque de nos émotions ... En outre, le dégoût est plus souvent associé à des sensations au niveau du système digestif et de la gorge alors que la ...
Lorsque le système nerveux entérique est perturbé, le système nerveux central sera lui aussi affecté, et vice-versa. ... Je voudrais mentionner au passage limportance du système nerveux entérique, centre qui régit la digestion mais qui travaille ... On voit donc ici la relation imbriquée entre les deux systèmes nerveux, et le fait que la mélisse, en agissant sur les deux ... On voit donc ici la relation imbriquée entre les deux systèmes nerveux, et le fait que la mélisse, en agissant sur les deux ...
Le système nerveux entérique. Effets de la stimulation des récepteurs du système sympathique et para-sympathique. ... Le système nerveux autonome est composé de trois parties : *Le système nerveux sympathique : *Récepteurs sensibles à ... Le système nerveux para-sympathique : *Récepteurs sensibles à lacétylcholine : *Muscarinique 1 (M1) ... Le système nerveux autonome assure la régulation du fonctionnement des différents organes. * ...
Le système nerveux entérique : contrôle-t-on réellement ce quil se passe quand on digère ? ... Le système cardiovasculaire : le pouls, le cœur et la circulation sanguine. Les relations entre les différents systèmes du ... et le fonctionnement du corps humain avec ses différents systèmes (sanguin, nerveux…). Elle permet aussi de mieux comprendre ...
... un système de communication entre le cerveau et le système nerveux entérique, qui contrôle la digestion ... "De la tête aux pieds, presque tous les systèmes peuvent être affectés", explique Mona Potter, psychiatre, au magazine Glamour. ... "Lanxiété frappe durement le système digestif", indique la psychiatre. Les spécialistes expliquent ce phénomène par laxe ...
Le système nerveux entérique. Effets de la stimulation des récepteurs du système sympathique et para-sympathique. ... Le système nerveux autonome est composé de trois parties : *Le système nerveux sympathique : *Récepteurs sensibles à ... Le système nerveux para-sympathique : *Récepteurs sensibles à lacétylcholine : *Muscarinique 1 (M1) ... Le système nerveux autonome assure la régulation du fonctionnement des différents organes. * ...
affirme, dans sa thèse sur le système nerveux entérique, que le nerf vague véhicule en permanence des informations entre le ...
... le système immunitaire et les facteurs métaboliques. Comprendre cette connexion complexe est essentiel pour explorer des ... La connexion intestin-cerveau implique le système nerveux entérique (SNE), le microbiote intestinal, les neurotransmetteurs, ... Système nerveux entérique et axe intestin-cerveau :. Le système nerveux entérique, souvent appelé le "deuxième cerveau", régule ... Linteraction du système nerveux entérique, du microbiote intestinal, des neurotransmetteurs, du système immunitaire et des ...
TENS Nantes : Neuropathies du système nerveux entérique.. FGU1418017 Voir le sujet *Next ...
Fascia, système nerveux entérique et thérapie manuelle Détails de lévènement. Fascia, système nerveux entérique et thérapie ... 02mai(mai 2)9 h 30 min04(mai 4)18 h 00 minTHÉRAPIE MANUELLE DES FASCIAS - SYSTÈME VISCÉRAL9 h 30 min - 18 h 00 min (4) Paris ... THÉRAPIE MANUELLE DES FASCIAS - SYSTÈME VISCÉRAL. Paris Impasse Mousset 75012 Paris, France. ...
Cet ensemble de cellules nerveuses a été baptisé système nerveux entérique (SNE). La communauté scientifique le qualifie de 2e ... Le système nerveux entérique ou deuxième cerveau, 2011.. GHERSON, Michael. The Second Brain: A Grounbreaking New Understanding ... Le SNE aurait une influence sur les émotions : les cellules nerveuses entériques ont une relation étroite avec la sérotonine, ... Le SNE est en lien étroit avec le système immunitaire : de 70 à 80 % des cellules immunitaires sont concentrées dans le système ...
Détoxiner nos organes, stimuler notre système nerveux entérique. • Pratiquer les sons de la guérison issus du Tao, en lien avec ... Détoxiner nos organes, pour la saison dautomne : restaurer notre flore intestinale stimuler notre système immunitaire, et ...
Il est aussi notre deuxième cerveau.Le système nerveux entérique (SNE) avec 200 millions de neurones. Ce lieu sécrète 90% de la ... Il y a un échange permanent entre le SNE lui et le système nerveux central (SNC), dans le cerveau, via deux grands nerfs dont ... physique (virus gastro-entérique) ou un événement émotionnel (colère, peur..). Son premier réflexe est laction, je me ... Notre système digestif abrite notre « microbiote » 100 000 milliards de bactéries indispensables à son fonctionnement et là ...
Lintestin héberge de nombreux neurones qui forment le système nerveux entérique. Ce système nerveux régule les fonctions du ... Au sein du système nerveux entérique, on trouve une à plusieurs centaines de milliers de neurones qui participent à laxe ... Ensuite, il y a le sommeil paradoxal durant lequel le système nerveux est actif, les mouvements oculaires sont rapides et ... Le système veille/sommeil est également étroitement associé à la production hormonale de mélatonine, ou "hormone du sommeil". ...
Le système nerveux central et périphérique Les ganglions nerveux Le système nerveux entérique ... La cellule du système nerveux Le système nerveux volontaire et autonome ... Le système nerveux volontaire et autonome. Le système nerveux central et périphérique ...
Ils communiquent via le système nerveux entérique avec le système nerveux central. ...
"Neuropathies du système nerveux entérique et pathologies digestives : implication des cellules gliales entériques" Tél. : 02 40 ... Neuropathies du système nerveux entérique et pathologies digestives : implication des cellules gliales entériques » de ... Le système nerveux entérique : un élément clé dans le contrôle des fonctions intestinales ... En étudiant la maturation du système nerveux entérique, acteur clé dans le contrôle des fonctions intestinales, Michel Neunlist ...
Le microbiote intestinal active le système nerveux entérique, participant ainsi à la motilité intestinale. ... La composition de notre microbiote intestinal affecte certaines fonctions telles que le système immunitaire, la digestion, les ...
Rappelons aussi que le travail digestif dépend du système nerveux autonome et plus précisément du système nerveux entérique. ... Le travail digestif dépend du système nerveux autonome et plus précisément du système nerveux entérique ... Celui-ci est relié au système nerveux central par lintermédiaire du nerf vague et il est en interaction avec le système ... Veiller à la qualité de votre sommeil afin déquilibrer votre système nerveux central et de ne pas être en stress chronique. ...
la régulation de la motilité intestinale (par la communication bidirectionnelle avec le système nerveux entérique) ; ... Des études récentes mettent également en avant leurs effets modulateurs sur les troubles du système nerveux, notamment la ... laction sur le système immunitaire intestinal en stimulant limmunité innée et donc la production de messagers pro- ...
Il se réjouit des avan-cées de la recherche tout en nous préci-sant que la recherche sur le système nerveux enté-rique reste ... Le système nerveux enté-rique est atteint préco-ce-ment au cours de la MP, bien avant la substance noire. Doù lidée ... Un bref rappel : le système nerveux enté-rique, consi-déré comme le deuxième cerveau, est le plus ances-tral car dès lorigine ... lINSERM U 913, neuro-pa-thies du système nerveux enté-rique et patho-lo-gies digestives. ...

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