Visuel désalignement des haches des yeux. En comitant strabisme le degré de décalage oculaire pas varier en fonction de la direction du regard. Dans noncomitant strabisme le degré de désalignement varie selon direction du regard. Ou quel œil une fixation sur la cible. (Miller, Walsh & Hoyt est Clinical Neuro-Ophthalmology, 4ème Ed, p641)
Une forme de décalage oculaire caractérisée par une convergence excessive de l'image des haches, résultant en une "cross-eye" son apparence. Un exemple de cette condition se produit lorsque le muscle droit paralysie des muscles provoque une déviation vers l'intérieur d'un oeil pour tentative de regard.
Les muscles qui font bouger les yeux. Inclus dans ce groupe est le muscle médian, le muscle droit, droit supérieur et inférieur, le muscle oblique inférieur, supérieur obliques musculus orbitalis et muscle releveur de la paupière supérieure.
Une forme de décalage oculaire où le visuel haches diverger de manière inappropriée. Par exemple, muscle médian faiblesse musculaire peuvent produire cette situation comme l ’ œ il affecté va dévier latéralement sur une tentative de l'avant. Un regard exotropie survient 27 sans opposition force exercée sur les yeux par le muscle droit latérale, qui tire les yeux dans une direction vers l'extérieur.
Un terme vague référence à des troubles de la vision. Sous catégories majeures inclure stimulus deprivation-induced amblyopie et amblyopie toxique. Stimulus deprivation-induced amblyopie est un trouble du développement du cortex visuel. Un écart entre les informations visuelles reçu par le cortex visuel de chaque oeil entraîne anormale développement corticale. Strabisme et erreurs de réfraction peut provoquer cet état. Amblyopie toxique est un trouble de l'optique sang-froid qui est associé à l'alcoolisme, tabac fumer, et d'autres toxines et comme un effet indésirable de l'utilisation de certains médicaments.
Un symptôme visuel dans lequel un seul objet est perçue par le cortex visuel comme deux objets plutôt qu'un. Nerveux à cet état inclure erreurs de réfraction ; strabisme ; Oculomotor sang-froid maladies ; Trochlear sang-froid maladies ; système sang-froid maladies ; et les maladies du cerveau et STEM OCCIPITAL lobe.
Une opération sur les yeux ou de ses parties.
Le mélange de images différentes vu par chaque œil vers une image composite.
Application des examens pour identifier des anomalies visuelles ou troubles de la vision survenant dans les populations spécifiques, comme scolaire chez les enfants, le sujet âgé » C'est différenciés des tests de vision, qui sont administrés pour évaluer / mesurer individu visuel performances non liés à une certaine population.
Une condition de réfraction une inégalité de pouvoir des deux yeux.
Clarté ou OCULAR clarté de vision ou leur capacité de l'oeil pour voir des détails. Acuité visuelle dépend des fonctions de RETINA, transmission neuronale, et la capacité du cerveau interprétateur. Un œil normal est exprimée en 20 / 20 indiquant qu'on voit à 20 mètres quand doit normalement être vu à cette distance. Acuité visuelle peut être également influencés par couleur, clarté, et contraste.
Standard ou aux marchés de l 'indices de réfraction de la réfraction dioptric ou travers son appareil.
Changement de rythme cardiaque induits par la pression sur le globe oculaire, manipulation de EXTRAOCULAR muscles, ou la pression sur le tissu restant dans le satellite apex après une énucléation.
Volontaires ou reflex-controlled mouvements des yeux.
Techniques pour sécuriser ensemble les bords d'une blessure, avec des boucles de ficelle ou similaire (SUTURES).
Une paire de lentilles ophtalmique monter dans un cadre ou c'est confirmé par le nez et les oreilles, le but est de faciliter ou améliorer vision. Ça n'inclut pas de lunettes ou Nonprescription lunettes de soleil pour lequel EYE protecteur DEVICES est disponible.
Mouvements involontaires des yeux qui sont divisé en deux types, con et pendular. Con nystagmus a une phase lente dans une direction suivie par une phase rapide correctives dans la direction opposée, et est généralement due à un dysfonctionnement vestibulaire central ou périphérique. Pendular nystagmus caractéristiques oscillations sont d'égal que la vitesse dans toutes les directions et c'est souvent associée à une perte de la vision tôt dans la vie. (Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p272)
La perception de l'espace tridimensionnel.
Paralysie de un ou plusieurs des muscles induite par oculaire Affections oculaires, soutenir des jonctions neuromusculaires en muscles, tendons, tissus mous ou innervation des muscles.
Un objectif détermination de l 'état de réfraction oculaire (nearsightedness ; un presbyte. ; astigmatisme). En utilisant un RETINOSCOPE, la quantité de correction et le pouvoir de lentille nécessaire peut être calculée.
Le pointant vers soi des lignes de vue vers l'autre.
La position et l'hébergement d'yeux qui permet à l'image d'être mis en place sur la fossette Centrale de chaque oeil.
Une série de tests utilisés pour évaluer l'diverses fonctions des yeux.
La réfraction de lumière assurée par les médias, des yeux.
Images vu par un oeil.
La restriction de l ’ absence ou habituelle des stimuli sensoriels externe auquel les individu réagit.
Une forme de dysraphisme Spinal associée à un kyste proéminantes composé de chacun des méninges (soit une méningocèle méninges) ou en association avec de la moelle épinière (soit un tissu méningomyéloide). Ces lésions sont fréquemment associés à un dysfonctionnement de la moelle épinière, une hydrocéphalie, et syringomyélie. (De Davis et al., Le manuel de ses fonctions, 2e Ed, pp224-5)
Un syndrome caractérisée par une limitation prononcée de l'enlèvement de l'oeil, variable limitation de adduction et rétractation du globe, et un rétrécissement de la fente palpébrale pour tentative de adduction. L'affection est causée par le muscle droit innervation du aberrant par fibres de la Oculomotor sang-froid.
La 3D nerf cranien le nerf oculomoteur envoie moteur fibres à l'élévateur de muscles de la paupière et au droit supérieur et inférieur, et le muscle oblique inférieur muscles de l'œil, ça envoie aussi efferents parasympathique (via le ganglion ciliaire) pour les muscles contrôlant une constriction des pupilles et le logement. Le moteur fibres viennent de la Oculomotor noyaux au niveau du mésencéphale.
Le dioptric EYE (ajustement de la clarté de maximale à atteindre l'imagerie rétinienne pour un objet de considération) se rapportant à la capacité de le mécanisme, ou à la procédure. Le logement est oculaire effectuant par des changements de réfraction du cristallin de la forme LENS. Librement, en référence à des ajustements pour oculaire, vision OCULAR diverses distances. (Cline et al., Dictionary of Troubles Science, 4e éditeur)
Maladie du 6eme nerf crânien (système) ou son noyau au pont de Varole. Le nerf est peut-être blessé le long de son cours dans le pont de Varole, intracranially comme il voyage à la base du cerveau, des sinus, ou au niveau de fissure orbitale supérieure ou orbite. Dysfonctionnement du le muscle droit causes nerveuses entraînant une faiblesse musculaire, diplopie horizontal c'est maximale quand l ’ œ il affecté, est enlevée et ESOTROPIA. Les effets indésirables fréquents associés à inclure lésion du nerf intracrânienne traumatisme cranio-cérébral HYPERTENSION ; ; ; et une ischémie INFRATENTORIAL tumeurs.
Un type de massage dans quel doigt pression sur des sites spécifique est utilisé pour favoriser la guérison, soulager fatigue, etc. bien que les sites anatomiques sont les mêmes que les ACUPUNCTURE points utilisé en thérapie ACUPUNCTURE acu-) (par conséquent, aucune aiguille d'acupuncture ou autre technique est employée dans acupressure. (De Random House Unabridged Dictionary, 2d e). Le shiatsu est une émanation moderne qui se focalise plus sur la prévention que la guérison.
Un polyester utilisé absorbable sutures & mailles chirurgicales, particulièrement en chirurgie ophtalmique. 2-Hydroxy-propanoic polymère avec polymerized hydroxyacetic acide chlorhydrique, qui forme 3,6-dimethyl-1,4-dioxane-dione polymère 1,4-dioxane-2,5-dione copolymère de poids moléculaire avec environ 80 000 daltons.
Chute de la paupière due à déficient développement palpebrae le levator ou paralysie des muscles.
Fractures des os dans l'orbite, qui incluent des parties de l'os frontal, ethmoïdaux, lacrimale et l'os sphénoïde, et le maxillaire et zygomatique.
La 6e nerf crânien qui est fabriqué dans le noyau du système Pons et envoie moteur fibres à la le muscle droit muscles de la EYE. Lésion du nerf ni perturbe son noyau horizontale contrôle le mouvement des yeux.
Un spécialisée en chirurgie concerné par la structure et la fonction de l'œil et le médecin et un traitement chirurgical de ses défauts et des maladies.
Maladie du nerf oculomoteur ou noyau qui entraîner faiblesse ou paralysie des muscles droit supérieur et inférieur, muscle médian, muscle oblique inférieur, ou le levator palpebrae parasympathique innervation des muscles ou une altération de la pupille. Avec une complète paralysie trochléaire, les paupières sera paralysée, les yeux seront enlevés et dans une place inférieure, l'élève sera nettement dilatées. Fréquemment associé incluent néoplasmes, traumatisme cérébral, ischémique (en particulier en association avec DIABETES sucré), et la compression. (Aneurysmal d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p270)
Nerveux cette fonctionnalité altération de mouvements des yeux comme la manifestation principale de la maladie. Ces troubles peuvent être divisées en infranuclear, nucléaire, et de désordres diagnostic maladies des muscles oculaires ou Oculomotor nerfs crâniens III, IV et VI) sont considérés comme infranuclear. Nucléaire sont dus à une maladie du système Trochlear trochléaire, ou les noyaux des troubles diagnostic le STEM. Le cerveau sont produits par un dysfonctionnement de systèmes moteurs et sensoriels ordre supérieur qui contrôlent les mouvements oculaires, y compris dans le cortex CEREBRAL réseaux neuronaux ; BASAL ganglions ; cervelet ; et cerveau le STEM. Spasmodique oculaire fait référence à la tête penchée causée par un oculaire désalignement. Opsoclonus d ’ expiration fait référence rapide oscillations, conjugué des yeux dans plusieurs directions, qui peut intervenir à la condition paranéoplasique parainfectious ou (ex : Syndrome du OPSOCLONUS-MYOCLONUS). (Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p240)
Un spécialisée en chirurgie concerné par l ’ étude et traitement des troubles de l'oreille, nez ou la gorge.
Normal nystagmus produite en regardant objets volants dans le champ de vision.
Une opération sur les oreilles et ses parties, le nez et cavité nasale, ou la gorge, y compris chirurgie du pharynx, amygdales, les amygdales, et sa trachée.
Cavité osseuse qui détient le globe oculaire et ses tissus associés et annexes.
Le blanc, opaque, fibreux, tunique externe du globe oculaire, recouvre entièrement sauf le segment couvert antérieurement par la cornée. C'est essentiellement avascular mais contient orifices lymphatics pour vaisseaux et nerfs. Elle reçoit les tendons de leur insertion du EXTRAOCULAR muscles et à la jonction corneoscleral contient le canal de Schlemm. (De Cline et al., Dictionary of Troubles Science, 4e éditeur)
Instruments utilisés pour observer des objets lointains.
Une erreur par laquelle réfraction rayons de lumière entrant dans les yeux parallèle à l'axe optique soient amenés devant la focalisation derrière la rétine, en cas de l'œil est trop courte. Il est également appelé un presbyte. Parce que le fait est plus distant que c'est dans emmetropia avec un égal amplitude de logement. (Dorland, 27 e)
Vomissements et nausée survenant après l'anesthésie.

Le strabisme est un trouble de la vision dans lequel les yeux ne sont pas alignés correctement. Normalement, nos deux yeux pointent dans la même direction et travaillent ensemble pour nous fournir une vision stéréoscopique ou en 3D. Cependant, avec le strabisme, un œil peut dévier vers l'intérieur (on parle de strabisme convergent ou esotropie), vers l'extérieur (divergent ou exotropie), en haut (hypertropie) ou en bas (hypotropie).

Ce trouble peut être constant ou intermittent, et sa gravité varie de légère à sévère. Le strabisme affecte la capacité de l'individu à maintenir une fusion binoculaire, ce qui signifie que les deux yeux ne peuvent pas se concentrer sur le même objet simultanément. En conséquence, la vision peut devenir double (diplopie) et la profondeur perçue peut être affectée.

Le strabisme est souvent associé à un déséquilibre musculaire des muscles oculomoteurs ou à une mauvaise coordination entre eux. Il peut également être lié à d'autres problèmes de santé, tels que la paralysie cérébrale, le daltonisme, les lésions cérébrales et certains troubles neurologiques. Dans certains cas, le strabisme peut être héréditaire.

Le traitement du strabisme dépend de sa cause sous-jacente et de sa gravité. Les options thérapeutiques comprennent des lunettes correctrices, des exercices oculaires, des patchs ophtalmiques, des injections de toxine botulique dans les muscles oculomoteurs ou une chirurgie pour corriger la longueur et la force des muscles oculaires.

L'esotropia est un trouble oculaire où l'un ou les deux yeux tournent vers l'intérieur, pointant vers le nez. C'est une forme de strabisme, qui est un désalignement des yeux. Dans l'esotropia, les yeux se croisent ou se chevauchent, ce qui peut entraver la vision binoculaire et la capacité à percevoir la profondeur.

Les symptômes de l'esotropia peuvent inclure une déviation visible des yeux, une fatigue oculaire, des maux de tête, des difficultés à coordonner les mouvements des yeux et une baisse de la vision. Dans certains cas, l'esotropia peut être associée à d'autres problèmes de santé sous-jacents, tels que des troubles neurologiques ou musculaires.

Le traitement de l'esotropia dépend de sa cause et de sa gravité. Dans la plupart des cas, le traitement consiste en une combinaison de lunettes correctrices, de patchs oculaires et d'exercices oculaires pour renforcer les muscles oculaires. Dans certains cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour corriger la déviation des yeux. Le traitement précoce de l'esotropia est important pour prévenir les problèmes de vision à long terme et favoriser le développement d'une vision binoculaire normale.

Les muscles oculomoteurs sont un groupe de six muscles qui contrôlent les mouvements des yeux. Ils sont responsables de la rotation et de l'orientation des globes oculaires, permettant ainsi la focalisation visuelle et le suivi des objets. Ces muscles comprennent:

1. Le muscle droit supérieur : il est responsable de la rotation de l'œil vers le haut et vers l'extérieur.
2. Le muscle droit inférieur : il permet la rotation de l'œil vers le bas et vers l'intérieur.
3. Le muscle droit médial (interne) : il fait pivoter l'œil vers l'intérieur, dans la direction nasale.
4. Le muscle droit latéral (externe) : il permet à l'œil de se déplacer vers l'extérieur, loin du nez.
5. Le muscle oblique supérieur : il est responsable de la rotation de l'œil vers le bas et vers l'intérieur.
6. Le muscle oblique inférieur : il permet la rotation de l'œil vers le haut et vers l'extérieur.

Les muscles oculomoteurs travaillent en synergie pour coordonner les mouvements des deux yeux, assurant ainsi une vision binoculaire et une perception de la profondeur adéquates. Les problèmes avec ces muscles peuvent entraîner des troubles de la vision tels que la strabisme (yeux croisés) ou des limitations dans les mouvements oculaires, ce qui peut affecter la capacité à focaliser et suivre les objets correctement.

L'exotropie est un type de strabisme, qui est une condition oculaire dans laquelle les yeux ne sont pas alignés correctement. Dans l'exotropie, un œil se tourne vers l'extérieur, c'est-à-dire qu'il dévie vers l'extérieur ou loin du nez. Cette condition peut être observée occasionnellement ou en permanence.

Il existe deux principaux types d'exotropie :

1. Exotropie concomitante : Dans ce type, les deux yeux ont un angle de déviation constant et similaire, quelle que soit la direction du regard. Il y a généralement peu ou pas de fusion visuelle, ce qui signifie que les deux images ne sont pas correctement alignées dans le cerveau pour former une seule vision.

2. Exotropie incomitante : Dans ce type, l'angle de déviation varie en fonction de la direction du regard et peut être accompagné d'autres problèmes oculomoteurs. La fusion visuelle est souvent présente, mais limitée.

L'exotropie peut affecter les personnes de tous âges, bien qu'elle soit plus fréquente chez les enfants. Les causes peuvent inclure des facteurs génétiques, des problèmes musculaires ou nerveux, des troubles neurologiques ou des traumatismes oculaires. Le traitement dépend du type et de la gravité de l'exotropie et peut inclure des lunettes, des exercices oculaires, des patchs ou des interventions chirurgicales.

L'amblyopie est une condition oculaire dans laquelle il y a une réduction de la vision dans un œil ou les deux yeux qui n'est pas corrigée par des lunettes ou des lentilles de contact. Cela se produit généralement lorsque l'un ou les deux yeux ne se développent pas correctement pendant l'enfance. L'amblyopie est également connue sous le nom d '«œil paresseux».

Les causes courantes d'amblyopie comprennent:

1. Strabisme: C'est une condition dans laquelle les yeux ne sont pas alignés correctement et pointent dans des directions différentes. Pour éviter la confusion visuelle, le cerveau peut commencer à ignorer l'entrée de l'œil qui n'est pas aligné, entraînant une amblyopie dans cet œil.
2. Anisométropie: C'est une condition dans laquelle il y a une différence significative dans la puissance de réfraction entre les deux yeux. Par exemple, un œil peut être myope (myopie) tandis que l'autre est hypermétrope (hypermétropie). Cela peut entraîner une amblyopie dans l'œil qui n'est pas correctement corrigé.
3. Obstruction de la vision: Des conditions telles que le ptosis (paupières tombantes) ou des cataractes congénitales peuvent empêcher la lumière d'atteindre la rétine, entraînant une amblyopie.

Le traitement de l'amblyopie implique généralement la correction de tout problème sous-jacent, comme le port de lunettes ou de lentilles de contact pour corriger la réfraction anormale ou une intervention chirurgicale pour corriger le strabisme. Dans certains cas, un patch peut être placé sur l'œil le plus fort pour forcer l'utilisation et le développement de l'œil le plus faible. La thérapie visuelle peut également être utilisée pour aider à améliorer la fonction visuelle.

Il est important de traiter l'amblyopie tôt, car elle peut entraîner une perte permanente de vision si elle n'est pas traitée. Les enfants doivent subir des examens oculaires réguliers pour dépister et traiter tout problème à un stade précoce.

La diplopie est un terme médical qui décrit la vision double, c'est-à-dire lorsqu'une personne perçoit deux images d'un seul objet. Cette condition peut affecter un ou les deux yeux et peut survenir en raison de divers problèmes nerveux, musculaires ou oculaires. La diplopie est généralement le résultat d'un désalignement des yeux, ce qui entraîne la perception de deux images différentes par chaque œil. Les causes possibles de cette affection comprennent des affections neurologiques telles que les accidents vasculaires cérébraux, les tumeurs cérébrales, les traumatismes crâniens ou les infections, ainsi que des problèmes musculaires tels que la myasthénie grave ou la paralysie oculaire. Le traitement de la diplopie dépend de sa cause sous-jacente et peut inclure des lunettes spéciales, des exercices oculaires, une intervention chirurgicale ou des médicaments pour contrôler les affections sous-jacentes.

Une intervention chirurgicale ophtalmologique est un type de procédure médicale effectuée par un médecin spécialisé dans les soins des yeux, appelé ophtalmologiste. Cette intervention vise à corriger ou à traiter divers problèmes oculaires, tels que la cataracte, le glaucome, la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA), le décollement de rétine, ou encore les troubles de la réfraction comme la myopie, l'hypermétropie, l'astigmatisme et la presbytie.

Les techniques chirurgicales employées peuvent varier en fonction de la pathologie à traiter. Parmi celles-ci, on peut citer :

1. La phacoémulsification : une méthode couramment utilisée pour enlever une cataracte, consistant à fragmenter le cristallin opacifié à l'aide d'ultrasons et à l'extraire du sac capsulaire. Un nouvel implant intraoculaire est ensuite inséré dans la cavité oculaire pour remplacer le cristallin retiré.
2. La sclérectomie profonde non perforante : une technique chirurgicale utilisée pour abaisser la pression intraoculaire dans le glaucome en créant une nouvelle voie de drainage pour l'humeur aqueuse.
3. La vitréctomie : un procédé au cours duquel le vitré, substance gélatineuse située à l'intérieur de l'œil, est retiré. Cette intervention est fréquemment pratiquée dans les cas de décollement de rétine ou d'hémorragie vitréenne.
4. La chirurgie réfractive : un ensemble de procédures visant à corriger les troubles de la réfraction, telles que le LASIK (Laser-Assisted In Situ Keratomileusis), la PRK (PhotoRefractive Keratectomy) et l'implantation de lentilles phaques.

En résumé, la chirurgie oculaire regroupe diverses interventions visant à traiter différentes affections ophtalmologiques, allant de la cataracte au glaucome en passant par les troubles de la réfraction. Les progrès technologiques et médicaux ont permis d'améliorer considérablement l'efficacité et la sécurité de ces procédures, offrant ainsi des options thérapeutiques viables pour de nombreux patients atteints de pathologies oculaires.

La vision binoculaire est la capacité de l'œil droit et de l'œil gauche à travailler ensemble pour produire une seule image tridimensionnelle et stable. Cela permet une perception plus précise de la profondeur, de la distance et de la localisation des objets dans l'espace. La vision binoculaire dépend de la convergence et de la coordination appropriées des yeux, ainsi que de la capacité du cerveau à combiner les images fournies par chaque œil en une seule image perceptive. Des problèmes de vision binoculaire peuvent entraîner une fatigue oculaire, des maux de tête et une baisse de la performance visuelle globale.

Le dépistage visuel est un examen oculaire généralement pratiqué par un professionnel de la santé formé à cet effet, comme un optométriste ou un ophtalmologiste. Il a pour but d'identifier les problèmes de vision courants et les affections oculaires graves qui peuvent éventuellement conduire à une perte de la vue si elles ne sont pas détectées et traitées à temps.

Ce type d'examen comprend généralement plusieurs tests, tels que la mesure de l'acuité visuelle (la capacité à distinguer les formes et les détails), le test de réfraction (pour déterminer la correction nécessaire pour améliorer la vision), l'examen du fond de l'œil (pour vérifier la santé des structures internes de l'œil) et d'autres tests visuels spécifiques.

Le dépistage visuel est recommandé régulièrement pour les enfants et les adultes, en particulier ceux qui présentent des facteurs de risque tels qu'un âge avancé, une histoire familiale de maladies oculaires, un diabète ou d'autres problèmes de santé sous-jacents. Il est important de noter que le dépistage visuel ne remplace pas un examen complet de la vue effectué par un ophtalmologiste, qui peut inclure des tests supplémentaires et une évaluation plus approfondie de la santé oculaire.

L'anisométropie est une condition oculaire dans laquelle il y a une différence significative (généralement définie comme 1 dioptrie ou plus) dans la puissance de réfraction entre les deux yeux. Cela signifie que l'un des yeux peut avoir une vision nette à une distance particulière, tandis que l'autre œil aura besoin d'une correction différente pour voir clairement la même distance.

Cette condition peut entraîner une variété de problèmes visuels, tels qu'un strabisme (yeux qui ne sont pas alignés correctement), une amblyopie (faible vision dans un œil), et des maux de tête ou fatigue oculaire. Parce que les deux yeux ne travaillent pas ensemble de manière uniforme, cela peut également affecter la capacité d'une personne à percevoir la profondeur et à effectuer des tâches visuelles complexes.

L'anisométropie est souvent détectée lors d'un examen oculaire de routine et peut être corrigée avec des lunettes ou des lentilles de contact appropriées. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être recommandée pour aligner correctement les yeux. Il est important de traiter cette condition le plus tôt possible pour éviter d'éventuelles complications et préserver la fonction visuelle globale.

L'acuité visuelle est une mesure de la capacité de l'œil à distinguer les détails fins et la finesse de la vision. Elle est généralement mesurée en testant la capacité d'une personne à lire des lignes de lettres de plus en plus petites sur un tableau d'acuité visuelle standard (Snellen chart) à une distance spécifique, qui est typiquement 20 pieds dans les pays anglophones.

L'acuité visuelle est exprimée comme une fraction, où le numérateur représente la distance à laquelle le patient se trouve du tableau d'acuité visuelle et le dénominateur représente la distance à laquelle une personne avec une vision normale serait capable de lire la ligne de lettres la plus petite que le patient peut lire. Par exemple, si un patient peut lire des lettres sur la ligne qui correspondrait à une acuité visuelle de 20/20 à 20 pieds de distance, cela signifie qu'ils ont une vision normale. Cependant, si leur acuité visuelle est de 20/40, cela signifie qu'ils doivent se trouver à 20 pieds pour lire des lettres que quelqu'un avec une vision normale pourrait lire à 40 pieds.

Il est important de noter que l'acuité visuelle ne mesure pas seulement la clarté de la vision, mais aussi la capacité de l'œil à se concentrer sur des objets proches et éloignés (la fonction accommodative), ainsi que d'autres aspects de la vision tels que la perception des couleurs et du contraste.

Les troubles de la réfraction oculaire sont des conditions visuelles courantes qui se produisent lorsque la forme de l'œil empêche la lumière d'être correctement concentrée sur la rétine. Il en résulte une vision floue ou déformée. Les troubles de la réfraction oculaire comprennent la myopie (vision trouble de loin), l'hypermétropie (vision trouble de près), l'astigmatisme (vision déformée) et la presbytie (difficulté à se concentrer sur des objets rapprochés en raison du vieillissement normal). Ces conditions peuvent être corrigées avec des lunettes, des lentilles de contact ou une chirurgie réfractive.

Le réflexe oculocardiaque, également connu sous le nom de réflexe d'Aschner ou de réflexe de divergence accommodative, est un réflexe physiologique dans lequel la stimulation des récepteurs situés dans les muscles oculaires entraîne une bradycardie, c'est-à-dire une diminution de la fréquence cardiaque. Ce réflexe est déclenché lorsque les yeux se déplacent soudainement vers les côtés (divergence) ou lorsqu'il y a un changement rapide de la convergence oculaire, comme lors du passage d'un objet proche à un objet éloigné.

Le réflexe oculocardiaque est médié par le nerf oculomoteur (nerf crânien III) et le nerf vague (nerf crânien X). Lorsque les muscles oculaires se déplacent brusquement, ils stimulent les récepteurs situés dans les muscles oculomoteurs, ce qui envoie des signaux au cerveau via le nerf oculomoteur. Ces signaux sont ensuite transmis au noyau ambigu du bulbe rachidien via le tractus vestibulaire médian, entraînant une activation du nerf vague et une réduction de l'activité du système nerveux sympathique. Cela se traduit par une diminution de la fréquence cardiaque et une possible baisse de la pression artérielle.

Le réflexe oculocardiaque est généralement considéré comme un mécanisme de protection, permettant de réguler la circulation sanguine en cas de changements brusques dans les mouvements des yeux et de prévenir ainsi d'éventuels dommages aux yeux. Cependant, chez certaines personnes, ce réflexe peut être exagéré et entraîner des symptômes tels que des étourdissements, une syncope ou une chute de la pression artérielle en réponse à des mouvements rapides des yeux. Dans ces cas, il est important de consulter un médecin pour évaluer la cause sous-jacente et déterminer le traitement approprié.

Les mouvements oculaires, également connus sous le nom de mouvements des yeux, se réfèrent aux mouvements involontaires ou volontaires des globes oculaires. Ils sont essentiels pour la fonction visuelle normale, y compris la perception de la profondeur, la poursuite et le maintien de la focalisation sur un objet en mouvement ou stationnaire.

Il existe différents types de mouvements oculaires, notamment :

1. Mouvements saccadiques : Ce sont des mouvements rapides et brusques des yeux qui se produisent lorsque vous regardez autour de votre environnement. Ils permettent aux yeux de passer d'un point fixe à un autre.

2. Mouvements lisses ou poursuites : Ces mouvements se produisent lorsque vous suivez un objet en mouvement, comme une voiture qui passe devant vous. Les muscles oculaires se contractent et s'étirent de manière coordonnée pour permettre aux yeux de suivre l'objet sans interruption.

3. Mouvements de fixation : Il s'agit de petits mouvements oculaires qui se produisent lorsque vous maintenez votre regard sur un objet stationnaire. Ces mouvements aident à maintenir la focalisation et la clarté visuelle.

4. Mouvements vestibulaires : Ces mouvements sont déclenchés par le système vestibulaire dans l'oreille interne et se produisent en réponse aux changements de position de la tête. Ils aident à stabiliser les images sur la rétine lorsque vous bougez la tête.

Des anomalies ou des problèmes dans les mouvements oculaires peuvent indiquer des troubles neurologiques sous-jacents, tels que des lésions cérébrales, des maladies dégénératives ou des affections musculaires. Par conséquent, une évaluation approfondie des mouvements oculaires est souvent utilisée dans le diagnostic et le suivi de ces conditions.

Les techniques de suture sont des méthodes utilisées en chirurgie pour réparer les tissus endommagés, tels que la peau, les muscles, les tendons et les organes internes. Elles consistent à utiliser un fil chirurgical et une aiguille pour coudre ensemble les bords des tissus coupés ou déchirés, dans le but de rétablir leur continuité et favoriser la guérison.

Il existe différents types de techniques de suture, qui varient en fonction du type de tissu à réparer, de la localisation de la plaie, de la tension nécessaire pour maintenir les bords des tissus ensemble, et de l'esthétique souhaitée. Les techniques les plus courantes comprennent :

1. La suture simple : c'est la méthode la plus basique, où le fil est passé à travers les bords opposés de la plaie, puis noué pour maintenir les tissus ensemble.
2. La suture en couches : cette technique consiste à coudre séparément les différentes couches de tissus (par exemple, la peau, le muscle et le fascia) pour assurer une réparation plus solide et une meilleure guérison.
3. La suture continue : dans ce cas, le fil est passé en continu à travers les bords de la plaie, créant ainsi une ligne de points réguliers qui maintiennent les tissus ensemble. Cette technique est souvent utilisée pour les plaies longues et étroites.
4. La suture intradermique : cette méthode consiste à passer le fil sous la surface de la peau, créant ainsi des points invisibles qui permettent une cicatrisation plus esthétique.
5. La suture à point séparé : chaque point est noué individuellement, ce qui permet une meilleure adaptation des bords de la plaie et une réduction de la tension sur les tissus. Cette technique est souvent utilisée pour les plaies courbes ou irrégulières.

Le choix de la technique dépend du type de plaie, de sa localisation, de l'état des tissus et du patient, ainsi que des préférences et de l'expérience du chirurgien.

En terme médical, des « verres correcteurs » sont des lentilles conçues pour corriger les problèmes de vision, tels que la myopie (vision trouble de loin), l'hypermétropie (vision trouble de près), l'astigmatisme (déformation de l'image) et la presbytie (difficulté à focus sur des objets rapprochés en raison du vieillissement naturel du cristallin). Ces verres sont généralement utilisés dans les lunettes ou les lentilles de contact. Ils fonctionnent en modifiant la manière dont les rayons lumineux se concentrent sur la rétine, améliorant ainsi la netteté et la clarté de la vision. Les verres correcteurs peuvent être fabriqués dans une variété de matériaux et peuvent inclure des traitements supplémentaires tels que des revêtements anti-reflets ou anti-rayures pour améliorer leur durabilité et leur fonctionnalité.

Le nystagmus pathologique est un mouvement involontaire et oscillatoire des yeux qui peut être dû à une variété de conditions médicales sous-jacentes affectant le système nerveux central ou périphérique. Ce trouble de la fixation visuelle se caractérise par des mouvements rapides et lents des yeux dans une direction donnée, suivis d'un mouvement réflexe dans la direction opposée.

Le nystagmus pathologique peut être horizontal, vertical ou rotatoire (torsionnel) en fonction de la cause sous-jacente. Il peut être congénital ou acquis et peut entraîner une vision floue, une instabilité posturale et des maux de tête. Les causes courantes du nystagmus pathologique comprennent les lésions cérébrales, les tumeurs cérébrales, les infections de l'oreille interne, les troubles vestibulaires, les intoxications, les traumatismes crâniens et certaines maladies neurologiques dégénératives.

Le traitement du nystagmus pathologique dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une intervention chirurgicale ou des thérapies de réadaptation visuelle. Dans certains cas, le nystagmus peut être difficile à traiter et peut entraîner une déficience visuelle permanente.

La perception visuelle tridimensionnelle, également appelée vision stéréoscopique, est la capacité de percevoir des objets en trois dimensions sur la base des images deux dimensionnelles reçues par chaque œil. Cela se produit grâce à la fusion des images légèrement différentes capturées par chaque œil, créant une impression de profondeur et de distance. Cette forme de perception est cruciale pour évaluer correctement les distances, la taille des objets et pour faciliter des mouvements précis dans l'environnement physique. Des problèmes de perception visuelle tridimensionnelle peuvent entraîner des difficultés dans la coordination œil-main, la conduite automobile et d'autres activités qui nécessitent une estimation précise des distances.

L'ophtalmoplégie est un terme médical qui décrit une paralysie ou une faiblesse significative des muscles oculaires. Cela peut affecter différents muscles, entraînant une variété de symptômes. Les plus courants sont la limitation du mouvement des yeux, la déviation des yeux vers le haut, le bas, l'intérieur ou l'extérieur, et dans certains cas, la double vision.

Cette condition peut être causée par une variété de facteurs, y compris des troubles neurologiques, des infections, des traumatismes, des tumeurs ou des affections systémiques telles que le diabète et la maladie de Basedow. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente. Dans certains cas, il peut s'agir d'une complication d'une autre condition médicale qui nécessite un traitement spécifique. Dans d'autres cas, le traitement peut viser à renforcer les muscles oculaires ou à corriger la double vision.

La rétinoscopie est un examen ophtalmologique qui permet de visualiser et d'évaluer la région centrale de la rétine, y compris la macula et les vaisseaux sanguins rétiniens. Cette procédure est généralement réalisée à l'aide d'un rétinoscope, un instrument optique qui projette une lumière brillante et focalisée sur la rétine. Les réflexions de cette lumière, qui sont déformées par les vaisseaux sanguins rétiniens, sont ensuite observées par le médecin pour évaluer la santé de la rétine et détecter d'éventuelles anomalies telles que des dégénérescences, des œdèmes, des hémorragies ou des signes de rétinopathie diabétique. La rétinoscopie est une méthode simple et non invasive pour examiner la rétine et peut être effectuée dans le cadre d'un examen ophtalmologique complet.

La convergence oculaire est un mouvement des yeux dans lequel les deux axes visuels sont dirigés vers un point spécifique dans l'espace situé à proximité, permettant ainsi la focalisation simultanée des deux yeux sur ce même point. C'est une capacité essentielle du système visuel pour maintenir une vision binoculaire et percevoir la profondeur. Un trouble de la convergence oculaire peut entraîner une fatigue oculaire, des maux de tête ou une vision double, en particulier lors de la lecture ou d'autres tâches impliquant une concentration visuelle rapprochée.

La fixation oculaire, dans le contexte médical et ophtalmologique, se réfère à la capacité de maintenir la direction du regard sur un objet ou une cible spécifique de manière stable et sans effort. Il s'agit d'une fonction essentielle de la vision qui permet de concentrer notre attention visuelle sur des objets individuels dans notre champ visuel, en particulier lors de la lecture, de la conduite ou d'autres tâches qui exigent une focalisation visuelle précise.

La fixation oculaire est rendue possible par un ensemble complexe de muscles oculomoteurs et de mécanismes neurologiques qui travaillent en synergie pour aligner et maintenir les yeux dans une position appropriée. Les mouvements oculaires rapides, appelés saccades, permettent aux yeux de se déplacer rapidement d'un objet à l'autre, tandis que la poursuite lisse permet de suivre des objets en mouvement. Une fois que les yeux sont correctement alignés sur un objet, les muscles oculomoteurs travaillent ensemble pour maintenir cette position, ce qu'on appelle la fixation oculaire.

Des problèmes de fixation oculaire peuvent survenir en raison de diverses affections neurologiques ou musculaires sous-jacentes, telles que des lésions cérébrales, des troubles neuromusculaires ou des affections oculaires telles que la strabisme ou le nystagmus. Ces problèmes peuvent entraîner une vision floue, une fatigue visuelle, des maux de tête et d'autres symptômes qui affectent la qualité de vie et les capacités fonctionnelles d'une personne. Par conséquent, une évaluation et un traitement appropriés de tout problème de fixation oculaire sont essentiels pour préserver et améliorer la fonction visuelle et le bien-être général d'un individu.

Un test de vision, également connu sous le nom de réfraction visuelle, est un examen effectué par un ophtalmologiste ou un optométriste pour évaluer l'acuité visuelle et la capacité de l'œil à se concentrer sur des objets à différentes distances. Le test vise à déterminer la présence d'anomalies visuelles telles que la myopie, l'hypermétropie, l'astigmatisme ou la presbytie et à mesurer la puissance corrective nécessaire pour corriger ces problèmes avec des lunettes ou des lentilles de contact.

Le test de vision implique généralement la lecture de lettres ou de symboles sur une tableau de réfraction, appelé tableau Snellen, situé à une distance spécifique. Les lettres deviennent plus petites et plus floues à mesure que les lignes sont descendues sur le tableau. Le professionnel de la vue peut également utiliser d'autres instruments tels que un phoroptère ou un réfractomètre pour affiner la prescription.

Il est recommandé de passer un test de vision régulièrement, en particulier après l'âge de 40 ans, pour détecter les changements dans la vision et prévenir les complications potentielles telles que la fatigue oculaire ou les maux de tête.

La réfraction oculaire est un terme utilisé en ophtalmologie pour décrire le processus par lequel les yeux réfractent, ou plient, la lumière qui pénètre dans l'œil pour permettre une vision claire et focalisée. Cela se produit lorsque la lumière traverse la cornée (la surface transparente à l'avant de l'œil) et le cristallin (une lentille située derrière l'iris qui peut changer de forme pour permettre la mise au point sur des objets proches ou éloignés).

L'objectif de la réfraction oculaire est de faire en sorte que les rayons lumineux parallèles qui entrent dans l'œil soient correctement focalisés sur la rétine, une fine membrane sensible à la lumière située à l'arrière de l'œil. Lorsque la réfraction est correcte, les images sont perçues avec netteté et précision.

Cependant, si la cornée ou le cristallin sont malformés ou endommagés, la lumière peut ne pas être correctement réfractée, entraînant une vision floue ou déformée. C'est ce qu'on appelle un trouble de la réfraction, qui peut être corrigé à l'aide de lunettes, de lentilles de contact ou de chirurgie réfractive.

Les troubles de la réfraction les plus courants sont la myopie (ou myopie), l'hypermétropie (ou hypermétropie), l'astigmatisme et la presbytie.

La vision monoculaire est un terme utilisé en ophtalmologie et en optométrie pour décrire la capacité visuelle d'un œil individuel, indépendamment de l'autre œil. Cela signifie que chaque œil fonctionne séparément pour percevoir et traiter les informations visuelles. Contrairement à la vision binoculaire où les deux yeux travaillent ensemble pour créer une perception de profondeur et d'espace, dans la vision monoculaire, il n'y a pas cette interaction entre les deux yeux.

Cette forme de vision est souvent testée lors des examens ophtalmologiques ou optométriques pour évaluer la fonction visuelle de chaque œil séparément. Les défauts de réfraction tels que la myopie (vision trouble de loin), l'hypermétropie (vision trouble de près), l'astigmatisme (distorsion de l'image) ou la presbytie (difficulté à focusing sur les objets rapprochés) peuvent être détectés et corrigés grâce à ces tests.

Dans certains cas, comme chez les personnes atteintes de strabisme (yeux qui ne sont pas alignés correctement), la vision monoculaire peut être privilégiée pour éviter la diplopie (vision double). Dans ces situations, un œil est souvent désactivé ou recouvert pour permettre à l'autre œil de fonctionner normalement. Cependant, cette situation peut entraîner une amblyopie, c'est-à-dire une diminution de la vision de l'œil non utilisé, si elle n'est pas traitée correctement pendant l'enfance.

La privation sensorielle est un terme médical qui décrit l'absence ou la réduction significative de stimuli sensoriels, y compris visuels, auditifs, tactiles, olfactifs et gustatifs. Cela peut se produire délibérément dans le cadre d'expériences de recherche ou thérapeutiques, ou involontairement en raison d'une incapacité physique, d'une maladie ou d'une lésion cérébrale.

Les effets de la privation sensorielle peuvent varier considérablement selon la durée et l'intensité de la privation, ainsi que les facteurs individuels tels que l'âge, la santé mentale et physique préexistante. Les réponses courantes à une privation sensorielle prolongée peuvent inclure des changements dans l'humeur, la cognition, la perception et le comportement.

Dans les cas graves ou prolongés, la privation sensorielle peut entraîner des effets néfastes sur la santé mentale et physique, tels que la dépression, l'anxiété, la désorientation, la perte de mémoire, la faiblesse musculaire et une diminution de la fonction immunitaire. Par conséquent, il est important de fournir des stimuli sensoriels adéquats pour maintenir la santé mentale et physique optimale.

La « Spina Bifida Cystica » est une forme particulière et plus sévère de spina bifida, une malformation congénitale du tube neural. Dans ce cas, une partie de la colonne vertébrale ne se développe pas correctement et reste ouverte, formant ainsi une poche remplie de liquide céphalo-rachidien (liquide entourant le cerveau et la moelle épinière) appelée méningocèle. Parfois, les tissus nerveux peuvent également être présents dans cette poche, ce qui est appelé myéloméningocèle.

Cette condition peut entraîner divers problèmes de santé, notamment des anomalies du système nerveux, des difficultés motrices, des problèmes sensoriels, des troubles de la fonction vésicale et intestinale, ainsi que des risques accrus d'infections. Le traitement dépendra de la gravité de la malformation et peut inclure une intervention chirurgicale pour fermer la colonne vertébrale et protéger les tissus nerveux exposés, ainsi qu'une prise en charge multidisciplinaire pour gérer les complications associées.

Le syndrome de rétraction de Duane est un trouble rare de la motricité oculaire qui affecte généralement l'un des yeux. Il est caractérisé par une limitation de l'abduction (mouvement vers l'extérieur) de l'œil atteint, associée à une rétraction palpébrale lors du regard vers les côtés. Cette rétraction palpébrale signifie que le globe oculaire se rétracte dans la cavité orbitaire lorsque l'individu tente de déplacer son œil vers l'extérieur, entraînant une fermeture partielle ou complète des paupières.

Ce syndrome est causé par un développement anormal du nerf crânien VI (abducens) pendant la période fœtale. Ce nerf est responsable du mouvement d'abduction de l'œil. Dans le syndrome de rétraction de Duane, ce nerf est soit absent, soit sous-développé, ce qui entraîne une anomalie dans le contrôle des muscles oculaires.

Le diagnostic de ce syndrome se fait généralement lors d'un examen ophtalmologique complet, y compris une évaluation de la motricité oculaire et de la réfraction. Bien que ce ne soit pas une condition potentiellement évolutive, elle peut entraîner une amblyopie (faible vision d'un œil) si elle n'est pas correctement traitée. Le traitement peut inclure des lunettes, une thérapie de rééducation oculaire, ou dans certains cas, une intervention chirurgicale pour améliorer la mobilité oculaire et la position des yeux.

Le nerf oculomoteur, également connu sous le nom de nervus oculomotorius ou troisième nerf crânien, est un nerf mixte qui émerge de la surface antérieure du mésencéphale dans le tronc cérébral. Il est responsable de l'innervation des muscles extraoculaires qui contrôlent les mouvements oculaires et de la innervation parasympathique du muscle sphincter de l'iris et du muscle ciliaire.

Les muscles extraoculaires qu'il innerve sont :

1. Le muscle droit supérieur, qui permet à l'œil de se tourner vers le haut et légèrement vers l'extérieur.
2. Le muscle droit médial, qui permet à l'œil de se tourner vers l'intérieur.
3. Le muscle oblique inférieur, qui permet à l'œil de se tourner vers le bas et vers l'intérieur.
4. Le muscle levator palpebrae supérieure, qui éleve la paupière supérieure.

La innervation parasympathique qu'il fournit est responsable de la constriction pupillaire et de l'accommodation visuelle, ce qui permet à l'œil de se concentrer sur des objets proches. Les affections du nerf oculomoteur peuvent entraîner une diplopie (vision double), une ptosis (paupière tombante) et des anomalies pupillaires.

L'accommodation oculaire est un terme utilisé en ophtalmologie pour décrire la capacité de l'œil à maintenir une image claire et nette sur la rétine lorsque la distance entre l'œil et l'objet observé change. Cela se produit grâce au réflexe d'accommodation, qui implique un changement de courbure du cristallin pour permettre à l'œil de se concentrer sur des objets situés à différentes distances.

Lorsque nous regardons des objets éloignés, le muscle ciliaire se détend et le cristallin s'aplatit, ce qui permet à la lumière de se concentrer sur la rétine. En revanche, lorsque nous regardons des objets rapprochés, le muscle ciliaire se contracte, ce qui permet au cristallin de devenir plus courbé et donc de se concentrer sur la rétine.

Cette capacité d'accommodation est particulièrement importante pour les activités quotidiennes telles que la lecture ou l'utilisation d'un ordinateur, qui nécessitent une focalisation prolongée sur des objets rapprochés. Avec l'âge, la capacité d'accommodation peut diminuer, ce qui peut entraîner une presbytie, une condition courante chez les personnes âgées qui ont besoin de lunettes pour lire ou effectuer des tâches similaires.

L'atteinte du nerf abducens, également connu sous le nom de sixième nerf crânien, est un trouble neurologique qui affecte la capacité d'un muscle à se déplacer latéralement. Le nerf abducens contrôle le muscle droit latéral, qui est responsable du mouvement de l'œil vers l'extérieur.

Les atteintes du nerf abducens peuvent être causées par une variété de facteurs, notamment des lésions cérébrales, des tumeurs, des infections, des inflammations, des accidents vasculaires cérébraux et des traumatismes crâniens. Les symptômes courants d'une atteinte du nerf abducens comprennent une diplopie (vision double), une déviation de l'œil vers l'intérieur (strabisme) et une limitation de la capacité à déplacer l'œil vers l'extérieur.

Le diagnostic d'une atteinte du nerf abducens est généralement posé par un neurologue ou un ophtalmologiste après avoir effectué un examen physique complet et des tests de diagnostic appropriés, tels qu'une imagerie par résonance magnétique (IRM) ou une tomodensitométrie (TDM). Le traitement dépendra de la cause sous-jacente de l'atteinte du nerf abducens et peut inclure des médicaments, une chirurgie ou une thérapie de réadaptation.

L'acupression est une pratique de médecine alternative basée sur la même théorie que l'acupuncture. Elle consiste à exercer une pression sur des points spécifiques du corps, appelés points d'acupression ou méridiens, à l'aide de doigts, de paumes, d'élbows ou d'instruments spéciaux.

L'objectif est de stimuler la circulation sanguine et énergétique dans le corps, de réguler le flux d'énergie vitale (Qi) et de rétablir l'équilibre énergétique du corps pour favoriser la guérison et le bien-être général.

L'acupression est utilisée pour traiter une variété de conditions, y compris les douleurs musculaires et articulaires, le stress, l'anxiété, l'insomnie, les nausées, les maux de tête et les migraines, ainsi que certaines maladies chroniques.

Bien qu'elle soit considérée comme sûre lorsqu'elle est pratiquée par un professionnel qualifié, elle peut entraîner des effets secondaires tels que des douleurs ou des ecchymoses au site de pression. Il est important de consulter un médecin avant de commencer tout traitement d'acupression pour s'assurer qu'il est sans danger et approprié pour votre état de santé.

La polyglactine 910 est un type de fil synthétique utilisé en chirurgie pour la suture (coudre) des tissus. Il est composé de deux acides aminés, l'acide glycolique et l'acide lactique, qui sont liés ensemble pour former une longue chaîne moléculaire.

Après implantation dans le corps, la polyglactine 910 se dégrade progressivement par hydrolyse en acides glycolique et lactique, qui sont ensuite éliminés naturellement par l'organisme. Ce processus de dégradation prend généralement entre 60 et 90 jours, ce qui en fait une option intéressante pour les sutures qui doivent se dissoudre avec le temps.

La polyglactine 910 est souvent utilisée dans la chirurgie générale, la chirurgie orthopédique et la chirurgie cardiovasculaire en raison de sa biocompatibilité, de sa facilité d'utilisation et de son faible risque d'infection. Elle est également approuvée par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour une utilisation dans les dispositifs médicaux implantables.

Blepharoptosis est un terme médical qui se réfère à la paupière supérieure qui tombe (ptose) ou s'affaisse. Cette condition est généralement causée par une faiblesse ou un étirement des muscles qui liftent la paupière, appelés muscle levator palpebrae superioris et muscle tarse frontal. Dans certains cas, la blépharoptose peut être le résultat d'un problème nerveux ou d'une lésion qui affecte les nerfs responsables du mouvement des paupières.

Les symptômes de la blépharoptose peuvent inclure une vision partielle ou obstruée, une fatigue oculaire, des maux de tête et un regard fatigué ou somnolent. Dans les cas graves, la blépharoptose peut également entraîner une amblyopie, une condition dans laquelle l'œil affecté ne parvient pas à se développer correctement en raison d'un manque de stimulation visuelle adéquate.

Le traitement de la blépharoptose dépend de la cause sous-jacente de la condition. Dans les cas où la faiblesse musculaire est la cause, des procédures chirurgicales peuvent être recommandées pour renforcer ou raccourcir les muscles qui liftent la paupière. Dans d'autres cas, le traitement peut inclure des lunettes spécialisées ou des dispositifs de levage de paupières. Il est important de consulter un médecin ou un ophtalmologiste pour obtenir un diagnostic et un plan de traitement appropriés.

Les fractures orbitaires, également connues sous le nom de fractures de l'orbite, sont des ruptures ou des fissures dans les os qui entourent et protègent l'œil. L'orbite est un espace creux dans le crâne qui abrite l'œil, les muscles oculomoteurs, les nerfs, les vaisseaux sanguins et la graisse orbitaire. Les fractures orbitaires peuvent survenir à la suite d'un traumatisme facial direct, comme un coup de poing ou une chute, ou à la suite d'un impact important, comme un accident de voiture.

Les symptômes des fractures orbitaires peuvent inclure douleur, gonflement et ecchymoses autour de l'œil, diminution de la vision, mouvement limité de l'œil, saignement de l'œil ou du nez, engourdissement ou picotements du visage, et ecchymoses sous les yeux ou sur les paupières inférieures (appelées «lunettes noires»). Dans certains cas, une fracture orbitaire peut entraîner une protrusion de la graisse orbitaire dans la cavité sinusale voisine, ce qui est connu sous le nom de «fracture du plancher en trou de serrure».

Le diagnostic des fractures orbitaires implique généralement une évaluation clinique et des images radiologiques telles que des tomodensitométries (TDM) ou des imageries par résonance magnétique (IRM). Le traitement dépend de la gravité de la fracture et peut inclure des soins conservateurs tels que le repos, la glace, l'élévation de la tête et les analgésiques, ainsi que des interventions chirurgicales pour réparer les dommages aux os et aux tissus mous. Les complications possibles des fractures orbitaires non traitées peuvent inclure une vision altérée, un œil qui ne bouge pas correctement, un changement de l'apparence du visage et des douleurs chroniques.

Le nerf abducens, également connu sous le nom de sixième nerf crânien, est un nerf crânien responsable de l'innervation des muscles droits latéraux de l'œil. Ces muscles sont responsables du mouvement des yeux vers l'extérieur, ou abduction. Le nerf abducens a son origine dans le tronc cérébral et émerge de la base du crâne près du rocher. Il traverse ensuite le crâne par le foramen ovale pour atteindre l'orbite et innerver le muscle droit latéral. Des problèmes avec ce nerf peuvent entraîner une difficulté à déplacer les yeux vers l'extérieur, une condition appelée strabisme ou paralysie du sixième nerf.

L'ophtalmologie est une spécialité médico-chirurgicale qui s'occupe du diagnostic, du traitement et de la prévention des maladies de l'œil et de ses annexes. Elle couvre un large éventail de conditions allant des troubles de la réfraction (presbytie, myopie, hypermétropie, astigmatisme) aux maladies dégénératives (dégénérescence maculaire liée à l'âge, glaucome), en passant par les affections inflammatoires, infectieuses et tumorales. Les ophtalmologistes sont également formés pour effectuer des interventions chirurgicales complexes telles que la chirurgie de la cataracte, la vitrectomie et la chirurgie réfractive.

Le nerf moteur oculaire commun (NMOC) est un nerf crânien qui contrôle les mouvements des muscles oculaires responsables de la convergence et de la divergence des yeux. Les atteintes du NMOC peuvent entraîner une variété de symptômes, tels que :

* Diplopie (vision double)
* Strabisme (yeux qui ne sont pas alignés)
* Limitation des mouvements oculaires
* Ptose (affaissement de la paupière supérieure)

Les atteintes du NMOC peuvent être causées par divers facteurs, notamment des lésions nerveuses, des compressions nerveuses, des tumeurs cérébrales, des infections, des maladies auto-immunes et des traumatismes crâniens. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une chirurgie ou une thérapie de réadaptation.

Il est important de consulter un médecin si vous présentez des symptômes d'atteintes du NMOC, car une prise en charge précoce peut aider à prévenir les complications et améliorer le pronostic.

Les troubles de la motilité oculaire, également connus sous le nom de nystagmus ou de strabisme, sont des conditions médicales qui affectent le mouvement et l'alignement des yeux. Le nystagmus se réfère à des mouvements involontaires et rythmiques des yeux, qui peuvent être horizontaux, verticaux ou rotatoires. Ces mouvements peuvent entraîner une vision floue ou double, ainsi que des difficultés de concentration et de coordination.

Le strabisme, d'autre part, est une condition dans laquelle les yeux ne sont pas alignés correctement, ce qui peut entraîner une vision double ou une perte de la vision binoculaire stéréoscopique. Les personnes atteintes de strabisme peuvent avoir un œil qui dévie vers l'intérieur (esotropia), vers l'extérieur (exotropia), vers le haut (hypertropia) ou vers le bas (hypotropia).

Ces troubles peuvent être présents à la naissance ou se développer plus tard dans la vie en raison de divers facteurs, tels que des problèmes neurologiques, des lésions cérébrales, des infections, des traumatismes ou des troubles génétiques. Le traitement dépend du type et de la gravité de la condition et peut inclure des lunettes, des exercices oculaires, des patchs, des médicaments ou une chirurgie.

L'otorhinolaryngologie, également connue sous le nom de head and neck surgery (chirurgie cervico-faciale), est une spécialité médicale qui se concentre sur le diagnostic et le traitement des conditions et des troubles du nez, de la gorge, de l'oreille, et des structures connexes de la tête et du cou. Les professionnels de cette discipline sont appelés otorhinolaryngologistes ou chirurgiens cervico-faciaux.

Les domaines d'expertise d'un otorhinolaryngologiste comprennent :

1. L'otologie/neurotologie : traitement des affections de l'oreille moyenne, interne et externe, y compris les pertes auditives, les acouphènes, les vertiges et les troubles de l'équilibre. Les neurotologistes se spécialisent davantage dans les problèmes complexes de l'équilibre et du système nerveux auditif.

2. La rhinologie : traitement des affections nasales, telles que la sinusite chronique, les polypes nasaux et les déviations septales.

3. La laryngologie : traitement des troubles de la gorge, y compris les problèmes vocaux, les dysphagies (difficultés à avaler) et les affections des cordes vocales.

4. La tête et le cou : traitement des tumeurs bénignes et malignes de la tête et du cou, y compris la chirurgie reconstructive et la microvasculaire.

5. La chirurgie plastique et reconstructive faciale : correction des déformations congénitales ou acquises du visage et du cou grâce à des techniques de pointe en matière de reconstruction faciale.

6. L'allergie : diagnostic et traitement des allergies nasales et oculaires, y compris l'immunothérapie (désensibilisation).

Les otorhinolaryngologistes sont fréquemment appelés « ORL » ou « chirurgiens de la tête et du cou ». Ils travaillent en étroite collaboration avec d'autres spécialistes, tels que les neurologues, les oncologues, les radiologues et les dentistes, pour offrir des soins complets à leurs patients.

Le nystagmus optocinétique est un type de mouvement involontaire des yeux (nystagmus) qui est généralement stimulé par des mouvements visuels de grande envergure dans l'environnement. Ce type de nystagmus se produit lorsque les yeux suivent des motifs en mouvement, tels que des bandes ou des rayures, et il aide à maintenir la stabilité visuelle pendant le déplacement.

Le nystagmus optocinétique est composé de deux phases : une phase lente où les yeux se déplacent dans la direction du stimulus en mouvement, suivie d'une phase rapide dans la direction opposée pour réinitialiser la position des yeux. Ce type de nystagmus est souvent utilisé comme test diagnostique pour évaluer le fonctionnement du système vestibulaire et visuel.

Cependant, il est important de noter que certains médicaments, y compris l'Optocin (un médicament utilisé pour traiter la glaucome), peuvent provoquer un type de nystagmus similaire comme effet secondaire. Par conséquent, le terme "nystagmus optocinétique" peut également faire référence à ce type d'effet indésirable médicamenteux.

Les interventions chirurgicales oto-rhino-laryngologiques, également connues sous le nom d'ORL, sont des procédures médicales effectuées sur les structures de l'oreille, du nez, de la gorge et des zones connexes du cou et de la tête. Ces interventions peuvent être réalisées pour diverses raisons, y compris la correction des déformations congénitales, le traitement des infections, des tumeurs ou des traumatismes, l'amélioration de la fonction physiologique, ou la restauration de l'apparence esthétique.

Voici quelques exemples d'interventions chirurgicales ORL :

1. La tympanoplastie : une procédure visant à réparer le tympan (la membrane fine qui sépare l'oreille externe de l'oreille moyenne) en utilisant un greffon de tissu. Cette intervention est souvent réalisée pour traiter les perforations du tympan ou les infections chroniques de l'oreille moyenne.

2. La mastoïdectomie : une procédure qui consiste à enlever la mastoïde, une structure osseuse derrière l'oreille, pour traiter des infections chroniques de l'oreille moyenne ou des cholestéatomes (des croissances anormales de peau et de kératine dans l'oreille moyenne).

3. La septoplastie : une intervention visant à corriger les déformations du septum nasal, la paroi qui sépare les deux narines. Cette procédure est souvent réalisée pour améliorer la respiration nasale.

4. L'uvulopalatopharyngoplastie (UPPP) : une intervention visant à enlever une partie de l'amygdale et du palais mou pour traiter le ronflement sévère ou l'apnée obstructive du sommeil.

5. La turbinoplastie : une procédure qui consiste à réduire la taille des cornets nasaux, des structures osseuses et de tissus mous dans les narines, pour améliorer la respiration nasale.

6. La thyroïdectomie : une intervention visant à enlever tout ou partie de la glande thyroïde, généralement pour traiter des nodules thyroïdiens, un cancer de la thyroïde ou une hyperthyroïdie sévère.

7. La parotidectomie : une intervention visant à enlever la glande parotide, généralement pour traiter des tumeurs bénignes ou malignes de cette glande salivaire.

8. La lobectomie pulmonaire : une procédure qui consiste à enlever un lobe du poumon, souvent pour traiter un cancer du poumon ou d'autres affections pulmonaires graves.

9. La gastrectomie totale : une intervention visant à enlever tout le estomac, généralement pour traiter un cancer de l'estomac ou des ulcères récidivants et sévères.

10. La colectomie : une procédure qui consiste à enlever une partie ou la totalité du côlon, souvent pour traiter un cancer colorectal, une maladie inflammatoire de l'intestin ou des polypes intestinaux.

11. La cystectomie : une intervention visant à enlever la vessie, généralement pour traiter un cancer de la vessie ou d'autres affections vésicales graves.

12. L'hystérectomie : une procédure qui consiste à enlever l'utérus, souvent pour traiter des fibromes utérins, un cancer du col de l'utérus ou d'autres affections gynécologiques graves.

13. L'oophorectomie : une intervention visant à enlever un ou les deux ovaires, généralement pour traiter des kystes ovariens, un cancer de l'ovaire ou d'autres affections ovariennes graves.

14. La prostatectomie : une procédure qui consiste à enlever la prostate, souvent pour traiter un cancer de la prostate ou des hypertrophies bénignes de la prostate.

15. La thyroïdectomie : une intervention visant à enlever tout ou partie de la glande thyroïde, généralement pour traiter un cancer de la thyroïde ou d'autres affections thyroïdiennes graves.

16. La parotidectomie : une procédure qui consiste à enlever la glande parotide, souvent pour traiter des tumeurs bénignes ou malignes de la glande parotide.

17. La lobectomie pulmonaire : une intervention visant à enlever un lobe du poumon, souvent pour traiter un cancer du poumon ou d'autres affections pulmonaires graves.

18. La pneumonectomie : une procédure qui consiste à enlever tout le poumon, souvent pour traiter un cancer du poumon ou d'autres affections pulmonaires graves.

19. La gastrectomie totale : une intervention visant à enlever tout l'estomac, souvent pour traiter un cancer de l'estomac ou des ulcères gastro-duodénaux récidivants.

20. La colectomie droite : une procédure qui consiste à enlever le côlon droit, souvent pour traiter un cancer du côlon ou des maladies inflammatoires de l'intestin.

21. La colectomie gauche : une intervention visant à enlever le côlon gauche, souvent pour traiter un cancer du côlon ou des maladies inflammatoires de l'intestin.

22. La sigmoïdectomie : une procédure qui consiste à enlever le sigmoïde, souvent pour traiter un cancer du côlon ou des diverticulites récidivantes.

23. La proctocolectomie totale avec iléostomie permanente : une intervention visant à enlever tout le côlon et le rectum, souvent pour traiter une maladie de Crohn sévère ou un cancer du côlon avancé.

24. La pancréatectomie céphalique : une procédure qui consiste à enlever la tête du pancréas, souvent pour traiter un cancer du pancréas localisé ou des tumeurs neuroendocrines du pancréas.

25. La duodénopancréatectomie céphalique : une intervention visant à enlever la tête du pancréas, le duodénum et une partie de l'estomac, souvent pour traiter un cancer du pancréas localisé ou des tumeurs neuroendocrines du pancréas.

26. La splénopancréatectomie céphalique : une procédure qui consiste à enlever la tête du pancréas, la rate et une partie de l'estomac, souvent pour traiter un cancer du pancréas localisé ou des tumeurs neuroendocrines du pancréas.

27. La pancréatectomie gauche : une intervention visant à enlever la queue et le corps du pancréas, souvent pour traiter un cancer du pancréas localisé ou des tumeurs neuroendocrines du pancréas.

28. La distal pancreatectomy with splenectomy : une procédure qui consiste à enlever la queue et le corps du pancréas ainsi que la rate, souvent pour traiter un cancer du pancréas localisé ou des tumeurs neuroendocrines du pancréas.

29. La lobectomie pulmonaire : une intervention visant à enlever une partie du poumon atteint d'un cancer ou d'une autre maladie pulmonaire.

30. La pneumonectomie : une procédure qui consiste à enlever tout le poumon atteint d'un cancer ou d'une autre maladie pulmonaire.

31. La gastrectomie totale : une intervention visant à enlever tout l'estomac atteint

En termes médicaux, l'orbite se réfère à la cavité osseuse dans le crâne qui abrite et protège l'œil ainsi que les structures associées. C'est essentiellement un socket composé de plusieurs os, y compris le frontal, sphenoid, zygomatique (os malaire), et maxillaire supérieur.

L'orbite contient non seulement l'œil mais aussi les muscles qui contrôlent ses mouvements (les muscles extraoculaires), les nerfs crâniens qui fournissent l'innervation sensorielle et motrice, des vaisseaux sanguins, la glande lacrymale pour la production de larmes, et le canal nasolacrimal par où les larmes s'écoulent.

Des affections telles que les fractures, les tumeurs, les infections ou l'inflammation peuvent affecter l'orbite, pouvant entraîner une variété de symptômes allant d'une simple douleur à des problèmes visuels graves.

La sclère est la partie blanche et robuste du tissu conjonctif qui forme le principal composant de la paroi externe de l'œil dans les vertébrés. Elle est située sous la conjonctive, la membrane muqueuse transparente qui recouvre la surface antérieure de l'œil et l'intérieur des paupières. La sclère est généralement blanche en raison de sa teneur élevée en fibres de collagène et protége les structures internes délicates de l'œil, telles que le iris et la chambre antérieure. Elle contribue également à maintenir la forme sphérique de l'œil et joue un rôle dans le processus d'accommodation, qui ajuste la courbure de la cornée pour permettre la mise au point sur des objets situés à différentes distances. Des affections oculaires telles que l'inflammation ou une mauvaise circulation sanguine peuvent entraîner un épaississement, une opacification ou une coloration anormale de la sclère.

Je suis désolé, "telescopes" est un terme orthographié incorrectement et il n'y a pas de définition médicale associée à cette entrée. Il se peut que vous cherchiez à connaître la définition du terme médical "téléscopage" ou "superposition télescopique". Ce terme fait référence à une situation anatomique où des structures se chevauchent ou se recouvrent de manière similaire à la façon dont les pièces d'un télescope sont imbriquées les unes dans les autres. Si vous cherchiez une définition différente, s'il vous plaît fournissez plus de contexte ou vérifiez l'orthographe pour que je puisse vous aider au mieux.

L'hypermétropie est un trouble de la réfraction oculaire dans lequel les rayons lumineux qui proviennent d'un objet éloigné sont focalisés derrière la rétine plutôt que directement sur elle lorsque l'œil est au repos. Cela se produit généralement parce que la distance entre la cornée et la rétine est trop courte, ce qui fait que les objets éloignés apparaissent flous ou peu nets, tandis que les objets rapprochés sont souvent plus clairs.

Cette condition peut être corrigée avec des lunettes ou des lentilles de contact convergentes (plus puissantes au centre qu'en périphérie) pour permettre une mise au point correcte sur la rétine. Dans certains cas, une chirurgie réfractive peut également être envisagée comme solution définitive.

Il est important de noter que l'hypermétropie peut entraîner une fatigue oculaire, des maux de tête et des difficultés à se concentrer surtout en cas de forte hypermétropie ou lorsque les muscles responsables de l'accommodation sont sollicités pendant de longues périodes (lors de la lecture par exemple). Il est donc crucial de consulter un ophtalmologiste régulièrement pour dépister et traiter ce trouble visuel.

Les nausées et vomissements postopératoires (NVPO) sont des symptômes courants après une intervention chirurgicale. Ils se produisent dans les 24 heures suivant l'anesthésie et peuvent persister jusqu'à cinq jours. Les NVPO peuvent être causés par divers facteurs, tels que le type d'anesthésique utilisé, la réaction à certains médicaments, la douleur postopératoire, l'émotion ou l'anxiété, les mouvements brusques, la fatigue et le fait de ne pas avoir mangé avant la chirurgie.

Les symptômes des NVPO comprennent une sensation désagréable de malaise dans l'estomac et des envies de vomir ou des vomissements réels. Les NVPO peuvent entraîner une déshydratation, un déséquilibre électrolytique et une diminution de l'appétit, ce qui peut retarder la guérison et la reprise d'une alimentation normale.

Le traitement des NVPO implique généralement une combinaison de médicaments antiémétiques pour contrôler les nausées et les vomissements, ainsi que des mesures de soutien telles que la réhydratation et le repos. Dans certains cas, des changements dans l'anesthésie ou les médicaments postopératoires peuvent être nécessaires pour prévenir les NVPO.

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