Somatostatine
Récepteur Somatostatine
Octréotide
Somatostatine-28
Tumeurs Neuroendocrines
Gastrines
Cellules
Acromégalie
Glucagon
Radio-Isotopes De L'Indium
Depsipeptides
Hormone De Libération De L'Hormone De Croissance
Tumeur Carcinoïde
Acide Pentétique
Tumeurs De L'Hypophyse
Récepteur Neuromédiateur
Hormone De Croissance
Hormones Pancréatiques
Adénome Hypophysaire
Hormones
Pancréas
Polypeptide Pancréatique
Antihormones
Ilots Pancréatiques
Insuline
Somatostatinome
Peptide Vasoactif Intestinal
Tumeurs Du Pancréas
Hormone De Croissance Humaine
Motiline
Adénome Langerhansien
Hypophyse
Antre Pylorique
Muqueuse Gastrique
Hormones Gastrointestinales
Radiopharmaceutiques
Pentagastrine
Sécrétine
Antinéoplasiques Hormonaux
Facteurs De Virulence Des Bordetella
Toxine Coquelucheuse
Bombésine
Syndrome Carcinoïde Malin
Débit Sécrétion
Cholécystokinine
Neuropeptides
Tumeurs Gastro-Intestinales
Galanine
Mercaptamine
Insulinome
Arn Messager
La somatostatine est une hormone peptidique qui joue un rôle crucial dans la régulation des systèmes neuroendocriniens et digestifs. Elle est produite naturellement par le corps, principalement par les cellules delta du pancréas et certaines parties de l'hypothalamus dans le cerveau.
La somatostatine a plusieurs fonctions importantes:
1. Inhibition de la libération d'autres hormones: Elle inhibe la libération de diverses hormones, y compris la gastrine, la sécrétine, la colecistokinine, l'insuline et le glucagon.
2. Ralentissement de la vidange gastrique: Elle ralentit la vidange de l'estomac en diminuant la motilité gastro-intestinale.
3. Réduction de la sécrétion digestive: Elle réduit la sécrétion d'enzymes et d'acide gastrique dans le tube digestif.
4. Vasoconstriction: Elle provoque une constriction des vaisseaux sanguins, ce qui peut aider à ralentir la circulation sanguine dans certaines régions du corps.
La somatostatine est également utilisée comme médicament dans le traitement de certaines conditions médicales, telles que les tumeurs neuroendocrines et l'hémorragie gastro-intestinale. Les analogues de la somatostatine, qui ont une durée d'action plus longue que la somatostatine elle-même, sont souvent utilisés à cette fin.
Un récepteur somatostatine est un type de récepteur membranaire qui se lie à la somatostatine, un peptide hormonal inhibiteur. Il existe cinq types de récepteurs somatostatines (SSTR1 à SSTR5) identifiés jusqu'à présent, chacun ayant des séquences d'acides aminés et des distributions tissulaires différentes.
Ces récepteurs sont couplés aux protéines G et inhibent l'activité de l'adénylate cyclase, ce qui entraîne une diminution du niveau d'AMPc intracellulaire. Ils régulent également d'autres voies de signalisation, telles que la voie de MAPK, pour moduler divers processus cellulaires, tels que la croissance cellulaire, la différenciation et l'apoptose.
Les récepteurs somatostatines sont largement distribués dans le corps humain, en particulier dans les systèmes nerveux central et périphérique, ainsi que dans les glandes endocrines. Ils jouent un rôle important dans la régulation de nombreuses fonctions physiologiques, telles que la sécrétion hormonale, la neurotransmission, la circulation sanguine et la croissance cellulaire.
En médecine, les analogues de la somatostatine qui se lient aux récepteurs somatostatines sont utilisés pour traiter une variété de maladies, telles que l'acromégalie, le gigantisme, les tumeurs neuroendocrines et certains types de cancer.
L'octréotide est un analogue synthétique de la somatostatine, une hormone produite naturellement dans l'organisme. Il agit en se liant aux récepteurs de la somatostatine dans le corps, ce qui entraîne une diminution de la sécrétion d'hormones telles que la gastrinine, la sécrétine, la vasoactive intestinal peptide (VIP), la motiline et l'insuline.
En médecine, l'octréotide est utilisé pour traiter une variété de conditions, y compris les tumeurs carcinoïdes, l'acromégalie, les tumeurs hypophysaires sécrétant du GHRH (hormone de libération de la hormone de croissance), les diarrhées chroniques dues à une sécrétion excessive d'hormones gastro-intestinales et certains types de nausées et vomissements sévères.
L'octréotide est disponible sous forme d'injection et peut être administré par voie intraveineuse, sous-cutanée ou intramusculaire. Les effets secondaires courants de l'octréotide comprennent des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, une constipation ou une diarrhée, des flatulences et des ballonnements. Des réactions au site d'injection peuvent également survenir. Dans de rares cas, l'octréotide peut entraîner des problèmes de foie, de pancréas ou de thyroïde.
La somatostatine-28 est un peptide hormonal qui est produit dans le corps humain. Elle est synthétisée à partir d'un précurseur commun, la prosomatostatine, et est une forme tronquée de la somatostatine-14. La somatostatine-28 est sécrétée principalement par les cellules delta des îlots de Langerhans du pancréas, ainsi que dans d'autres tissus, tels que le cerveau et l'intestin grêle.
La somatostatine-28 a une demi-vie plus longue que la somatostatine-14 et possède des propriétés similaires en tant qu'hormone inhibitrice. Elle agit en se liant à des récepteurs spécifiques de la surface cellulaire, appelés récepteurs de la somatostatine, qui sont largement distribués dans le corps.
Les effets de la somatostatine-28 comprennent l'inhibition de la libération d'autres hormones telles que l'insuline, le glucagon, la gastrine et la sécrétine. Elle peut également ralentir la motilité gastro-intestinale et réduire la vascularisation locale dans certains tissus.
La somatostatine-28 est utilisée en médecine pour traiter certaines affections endocrines et neurologiques, telles que les tumeurs neuroendocrines et l'acromégalie. Elle est disponible sous forme de médicaments injectables, tels que l'octréotide et le lanréotide, qui sont des analogues synthétiques de la somatostatine-28.
Les tumeurs neuroendocrines (TNE) sont des tumeurs qui se développent à partir des cellules neuroendocrines, qui ont des propriétés à la fois nerveuses et hormonales. Ces cellules sont dispersées dans tout l'organisme, mais elles sont particulièrement concentrées dans certaines glandes et organes, tels que le pancréas, les poumons, le système digestif et les glandes surrénales.
Les TNE peuvent se développer n'importe où dans le corps, mais elles sont plus fréquentes dans le tube digestif (intestin grêle, estomac, côlon et rectum) et les poumons. Elles peuvent être bénignes ou malignes, selon leur comportement et leur potentiel de propagation.
Les TNE présentent souvent des caractéristiques particulières, telles que la production excessive d'hormones ou de médiateurs chimiques, ce qui peut entraîner une variété de symptômes cliniques. Ces symptômes peuvent inclure des diarrhées, des rougeurs cutanées, des douleurs abdominales, des essoufflements et des battements de cœur rapides ou irréguliers.
Le diagnostic des TNE repose sur une combinaison d'examens d'imagerie, tels que la tomographie par émission de positrons (TEP) et la scintigraphie, ainsi que sur des tests sanguins et urinaires pour détecter les marqueurs tumoraux spécifiques. Le traitement dépend du type, de l'emplacement et de l'étendue de la tumeur, mais peut inclure une chirurgie, une radiothérapie, une chimiothérapie ou des thérapies ciblées qui visent à bloquer la croissance et la propagation des cellules tumorales.
Les gastrines sont un groupe d'hormones peptidiques qui sont sécrétées principalement par les cellules G du fundus et du corps de l'estomac. Elles jouent un rôle crucial dans la régulation de l'acidité gastrique en stimulant la sécrétion d'acide chlorhydrique et de pepsine par les cellules pariétales de l'estomac. Les gastrines sont également impliquées dans la motilité gastro-intestinale, la croissance des cellules gastriques et la réparation des tissus.
Il existe plusieurs types de gastrines, mais la plus courante est la gastrine-17, qui est rapidement dégradée en gastrine-34 après sa libération dans la circulation sanguine. Les niveaux de gastrine sont régulés par des facteurs tels que la présence d'aliments dans l'estomac, la distension gastrique et la composition du contenu gastrique. Des niveaux élevés de gastrine peuvent être observés dans certaines conditions pathologiques telles que les gastrinomes, une forme rare de tumeur neuroendocrine qui sécrète excessivement des gastrines.
L'acromégalie est une maladie hormonale rare caractérisée par une production excessive d'hormone de croissance (GH) et d'insuline-like growth factor 1 (IGF-1) après la fermeture des plaques de croissance osseuse. Cela signifie généralement que les personnes atteintes d'acromégalie ont développé la maladie à l'âge adulte.
La cause sous-jacente est généralement un adénome hypophysaire, une tumeur bénigne de la glande pituitaire qui sécrète inappropriément de grandes quantités d'hormone de croissance. Les symptômes peuvent inclure un élargissement des os du visage, des mains et des pieds, une hypertrophie des organes internes, une voix plus profonde, une transpiration excessive, une fatigue, des douleurs articulaires et une sensibilité aux maladies cardiovasculaires.
Le diagnostic est posé sur la base de tests sanguins qui montrent des niveaux élevés de GH et d'IGF-1, ainsi que parfois l'imagerie médicale pour localiser une tumeur hypophysaire. Le traitement peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, des radiations pour réduire sa taille et/ou des médicaments pour contrôler la production de GH.
Il est important de diagnostiquer et de traiter l'acromégalie car elle peut entraîner des complications graves telles que des problèmes cardiovasculaires, respiratoires et métaboliques, ainsi qu'une réduction de l'espérance de vie.
Le glucagon est une hormone peptidique, polypeptide à 29 acides aminés, sécrétée par les cellules alpha des îlots de Langerhans du pancréas. Il joue un rôle crucial dans la régulation de la glycémie en stimulant la dégradation du glycogène hépatique en glucose, ce qui entraîne une augmentation des niveaux de sucre dans le sang (glucose sanguin) lorsque les taux de glucose sont bas. Le glucagon agit en activant l'adénylate cyclase, ce qui provoque la conversion de l'ATP en cAMP, entraînant une cascade de réactions qui aboutissent à la glycogénolyse et à la gluconéogenèse. Il est souvent utilisé en médecine comme un médicament pour traiter les épisodes d'hypoglycémie sévère, en particulier chez les patients atteints de diabète sucré insulino-dépendant.
Les radio-isotopes de l'indium sont des variétés instables de l'indium qui émettent des radiations. Ils sont couramment utilisés dans le domaine médical, en particulier en médecine nucléaire, pour le diagnostic et le traitement de diverses affections médicales.
Le radio-isotope d'indium le plus couramment utilisé est l'indium-111, qui a une demi-vie d'environ 2,8 jours. Il est souvent lié à des molécules spécifiques pour cibler et se concentrer dans certaines parties du corps, telles que les tissus inflammatoires ou les cellules cancéreuses. Une fois à l'intérieur de ces zones, la radiation émise par l'indium-111 peut être détectée à l'aide d'une caméra gamma pour produire des images diagnostiques.
Un autre radio-isotope d'indium utilisé en médecine est l'indium-113m, qui a une demi-vie plus courte d'environ 99 minutes. Il est également lié à des molécules spécifiques pour le diagnostic et le traitement de certaines affections médicales.
Il convient de noter que l'utilisation de radio-isotopes de l'indium doit être effectuée par des professionnels de la santé qualifiés dans un environnement contrôlé, en raison des risques associés aux radiations.
Les dépsipeptides sont un type de peptides, qui sont des chaînes d'acides aminés, dans lesquels un ou plusieurs résidus d'acides aminés sont remplacés par des esters d'acide hydroxycarboxylique. Cette structure chimique modifiée confère aux dépsipeptides une grande diversité de structures et de propriétés biologiques, ce qui les rend intéressants pour la recherche pharmaceutique et médicale.
Les dépsipeptides peuvent être produits naturellement par des organismes vivants, tels que des bactéries ou des champignons, ou synthétisés chimiquement en laboratoire. Certains dépsipeptides ont montré une activité antimicrobienne, antivirale, antifongique et anticancéreuse dans les études de laboratoire. Cependant, seuls quelques dépsipeptides ont été approuvés pour un usage clinique en médecine, tels que l'éphédrine et la vancomycine.
En raison de leur potentiel thérapeutique, les dépsipeptides continuent d'être étudiés pour le développement de nouveaux médicaments dans le traitement de diverses maladies.
La « Hormone de libération de l'hormone de croissance » (GHRH, Growth Hormone-Releasing Hormone) est une hormone peptidique constituée de 44 acides aminés. Elle est produite et sécrétée par les neurones situés dans l'hypothalamus, une région du cerveau qui régule plusieurs fonctions physiologiques, y compris la croissance et le développement.
La GHRH agit sur l'hypophyse antérieure (une glande située à la base du cerveau) pour stimuler la libération de l'hormone de croissance (GH), également appelée somatotropine. L'hormone de croissance joue un rôle crucial dans la régulation du métabolisme, la croissance et le développement des tissus corporels, y compris les os et les muscles.
Lorsque la GHRH se lie à ses récepteurs spécifiques sur les cellules de l'hypophyse antérieure, elle déclenche une cascade de réactions qui aboutissent à la synthèse et à la libération de l'hormone de croissance. La GHRH fonctionne en harmonie avec d'autres facteurs régulateurs, tels que la somatostatine, pour maintenir un équilibre optimal des niveaux d'hormone de croissance dans l'organisme.
Des anomalies dans la production ou la sécrétion de GHRH peuvent entraîner des troubles de la croissance et du développement, tels que le nanisme hypopituitaire (une insuffisance en hormone de croissance) ou l'acromégalie (un excès d'hormone de croissance après la fermeture des plaques de croissance).
Une tumeur carcinoïde est un type rare et spécifique de tumeur neuroendocrine qui se développe à partir des cellules du système neuroendocrinien, qui régule les hormones et d'autres substances chimiques dans le corps. Ces tumeurs peuvent se former dans divers endroits, y compris l'intestin grêle, l'appendice, le poumon, le pancréas, le foie et d'autres organes. Les tumeurs carcinoïdes sont généralement petites et à croissance lente, mais elles peuvent devenir plus agressives et se propager (métastaser) vers d'autres parties du corps au fil du temps.
Les symptômes des tumeurs carcinoïdes dépendent de leur emplacement et de la sécrétion hormonale associée. Les symptômes courants comprennent des diarrhées, des rougeurs cutanées (flush), une respiration sifflante, des douleurs abdominales, des battements de cœur rapides ou irréguliers et une fatigue extrême. Le diagnostic est généralement posé par l'intermédiaire d'une biopsie et confirmé par des tests d'imagerie tels qu'un scanner ou une IRM.
Le traitement dépend de la taille, de la localisation et de l'étendue de la tumeur. Les options thérapeutiques peuvent inclure la chirurgie pour enlever la tumeur, la radiothérapie, la chimiothérapie, la thérapie ciblée et les médicaments pour contrôler les symptômes associés à la sécrétion hormonale excessive. Le pronostic varie considérablement en fonction du stade de la maladie au moment du diagnostic et de la réponse au traitement.
L'acide pentétique, également connu sous le nom de diéthylène-triamine-pentaacétique ou DTPA, est un agent chimique utilisé en médecine pour se débarrasser des substances radioactives dans l'organisme. Il est souvent administré par voie intraveineuse et agit en se liant aux métaux lourds tels que le plutonium, l'américium et le curium, ce qui permet d'éliminer ces substances du corps par l'urine.
L'acide pentétique est également utilisé comme chélateur dans le traitement de certaines intoxications aux métaux lourds, telles que le plomb et le mercure. Il fonctionne en se liant à ces métaux pour former un complexe qui peut être éliminé par les reins.
Bien que l'acide pentétique soit généralement considéré comme sûr, il peut entraîner des effets secondaires tels que des nausées, des vomissements, des maux de tête et une baisse de la pression artérielle. Dans de rares cas, il peut également provoquer des réactions allergiques graves. Par conséquent, il doit être utilisé sous surveillance médicale étroite.
Les tumeurs de l'hypophyse sont des growths anormaux qui se développent dans la glande pituitaire, une petite glande endocrine située à la base du cerveau. La plupart des tumeurs de l'hypophyse sont bénignes (non cancéreuses) et sont appelées adénomes hypophysaires.
Les adénomes hypophysaires peuvent varier en taille, allant de petits à grands, et peuvent produire des hormones supplémentaires qui peuvent affecter les niveaux d'hormones dans le corps. Les symptômes associés aux tumeurs de l'hypophyse dépendent du type de tumeur, de sa taille et de la quantité d'hormones qu'elle produit.
Les types courants de tumeurs de l'hypophyse comprennent :
* Adénomes non sécrétants : Ces tumeurs ne produisent pas d'hormones supplémentaires et peuvent causer des symptômes en raison de leur taille, qui peut comprimer les structures voisines du cerveau. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision.
* Adénomes sécrétants : Ces tumeurs produisent des hormones supplémentaires et peuvent causer des symptômes en fonction du type d'hormone qu'elles produisent. Par exemple, les adénomes producteurs de prolactine peuvent entraîner une production excessive de lait maternel chez les femmes et une baisse de la libido chez les hommes et les femmes. Les adénomes producteurs d'hormone de croissance peuvent entraîner une acromégalie, caractérisée par une augmentation de la taille des mains, des pieds et du visage.
* Tumeurs hypophysaires invasives : Ces tumeurs se développent rapidement et peuvent envahir les structures voisines du cerveau. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision.
* Craniopharyngiomes : Ce sont des tumeurs bénignes qui se développent à partir des restes embryonnaires situés près de la glande pituitaire. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision, ainsi qu'une prise de poids et une fatigue excessive.
Le traitement dépend du type et de la taille de la tumeur, ainsi que de l'âge et de l'état général du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses ou une thérapie médicamenteuse pour contrôler la production d'hormones. Dans certains cas, une combinaison de traitements peut être recommandée.
Un récepteur neuromédiateur, également connu sous le nom de récepteur de neurotransmetteur, est une protéine transmembranaire située sur la membrane postsynaptique des neurones ou d'autres cellules cibles. Ces récepteurs sont responsables de la reconnaissance et de la liaison spécifiques à des molécules de neurotransmetteurs, ce qui entraîne une modification de la perméabilité membranaire et déclenche une cascade de réactions intracellulaires.
Les récepteurs neuromédiateurs peuvent être classés en deux catégories principales : ionotropes et métabotropes. Les récepteurs ionotropes sont des canaux ioniques liés directement aux récepteurs, qui s'ouvrent ou se ferment lors de la liaison du neurotransmetteur, entraînant un flux rapide d'ions à travers la membrane. Les récepteurs métabotropes, en revanche, sont couplés à des protéines G et activent des second messagers intracellulaires pour moduler l'activité cellulaire de manière plus complexe et plus durable.
La liaison d'un neurotransmetteur à son récepteur neuromédiateur peut entraîner une excitation ou une inhibition de l'activité neuronale, en fonction du type de récepteur et de la cascade de réactions qu'il déclenche. Les récepteurs neuromédiateurs jouent ainsi un rôle crucial dans la transmission des signaux nerveux, la modulation de l'humeur, la perception sensorielle, la mémoire et l'apprentissage, ainsi que dans d'autres processus physiologiques et pathologiques.
L'hormone de croissance, également connue sous le nom de somatotropine, est une hormone peptidique sécrétée par les cellules somatotropes de l'antéhypophyse (une glande endocrine située à la base du cerveau). Elle joue un rôle crucial dans la croissance et le développement des organismes vivants, en particulier pendant l'enfance et l'adolescence.
L'hormone de croissance stimule la production d'autres hormones et protéines importantes, telles que l'insuline-like growth factor-1 (IGF-1), qui favorisent la croissance des tissus corporels, y compris les os, les muscles et les organes internes. Elle régule également le métabolisme des glucides, des lipides et des protéines, influençant ainsi l'utilisation de l'énergie par l'organisme.
Un déficit en hormone de croissance peut entraîner un retard de croissance et un développement insuffisant chez les enfants, tandis qu'un excès d'hormone de croissance peut provoquer une croissance excessive (acromégalie) chez les adultes. Des niveaux anormaux d'hormone de croissance peuvent également être associés à d'autres problèmes de santé, tels que le diabète, l'obésité et certaines maladies cardiovasculaires.
Les hormones pancréatiques sont des substances chimiques produites et sécrétées par le pancréas, un organe situé derrière l'estomac. Il existe deux types principaux d'hormones pancréatiques : l'insuline et le glucagon, qui sont produits par les cellules des îlots de Langerhans dans le pancréas.
L'insuline est une hormone qui aide à réguler la glycémie en permettant aux cellules du corps d'utiliser le glucose comme source d'énergie. Lorsque le taux de sucre dans le sang est élevé, par exemple après un repas, le pancréas sécrète de l'insuline pour aider à abaisser la glycémie en facilitant l'absorption du glucose par les cellules.
Le glucagon, quant à lui, est une hormone qui aide à augmenter la glycémie lorsqu'elle est basse. Lorsque le taux de sucre dans le sang est faible, le pancréas sécrète du glucagon pour stimuler la dégradation des réserves de glycogène hépatique en glucose, ce qui permet d'augmenter la glycémie.
Dans l'ensemble, les hormones pancréatiques jouent un rôle crucial dans la régulation de la glycémie et sont donc essentielles au maintien de la santé métabolique globale.
Les hormones sont des messagers chimiques produits dans le corps, principalement par les glandes du système endocrinien. Elles sont libérées dans la circulation sanguine pour atteindre des organes et des tissus cibles spécifiques, où elles déclenchent diverses réponses physiologiques en se liant à des récepteurs spécifiques sur ou à l'intérieur des cellules. Les hormones régulent un large éventail de fonctions corporelles, y compris la croissance et le développement, le métabolisme, la reproduction, le stress, l'immunité et l'humeur.
Les exemples d'hormones comprennent l'insuline, le glucagon, l'hormone de croissance, les œstrogènes, la progestérone, la testostérone, l'adrénaline (épinéphrine), la noradrénaline (norépinephrine), la thyroxine (T4) et la triiodothyronine (T3). Le déséquilibre des hormones peut entraîner divers troubles de la santé, tels que le diabète, l'hypothyroïdie, l'hyperthyroïdie, les maladies surrénaliennes et les troubles de la reproduction.
Le pancréas est une glande située dans la partie supérieure de l'abdomen, entre l'estomac et la colonne vertébrale. Il a deux fonctions principales: exocrine et endocrine.
Dans sa fonction exocrine, le pancréas produit des enzymes qui aident à la digestion des aliments, telles que l'amylase pour décomposer les glucides, la lipase pour décomposer les graisses et la trypsine et la chymotrypsine pour décomposer les protéines. Ces enzymes sont libérées dans le duodénum via un petit conduit appelé le canal de Wirsung.
Dans sa fonction endocrine, le pancréas régule les niveaux de sucre dans le sang en produisant des hormones telles que l'insuline et le glucagon. L'insuline aide à abaisser le taux de sucre dans le sang en favorisant son absorption par les cellules, tandis que le glucagon aide à augmenter le taux de sucre dans le sang en stimulant la libération de glucose stocké dans le foie.
Le pancréas est donc une glande très importante pour la digestion et la régulation des niveaux de sucre dans le sang.
Un polypeptide pancréatique est un type de hormone peptidique qui est produite et sécrétée par les cellules des îlots de Langerhans dans le pancréas. Il s'agit de l'une des trois principales hormones produites par le pancréas, avec l'insuline et le glucagon. Le polypeptide pancréatique joue un rôle important dans la régulation de la sécrétion d'enzymes digestives et de bicarbonate par le pancréas.
Le polypeptide pancréatique est également connu sous le nom de polypeptide inhibiteur de la sécrétion, car il inhibe la libération d'enzymes pancréatiques dans le duodénum en réponse à une alimentation riche en protéines. Il peut également jouer un rôle dans la régulation de l'appétit et de la satiété, bien que son mécanisme d'action dans ce contexte ne soit pas entièrement compris.
Des taux élevés de polypeptide pancréatique peuvent être observés dans certaines affections médicales, telles que les tumeurs du pancréas et l'insuffisance pancréatique exocrine. Des niveaux anormalement bas de polypeptide pancréatique peuvent également être observés dans certaines conditions, telles que la maladie d'Addison et la maladie de Cushing.
En général, le polypeptide pancréatique est un marqueur utile pour diagnostiquer et surveiller les affections du pancréas. Il peut être mesuré par des tests sanguins spécialisés appelés assays immunochimiques ou radio-immunoessais.
Les tumeurs des glandes endocrines sont des growths anormaux qui se développent dans les glandes endocrines, qui sont responsables de la production d'hormones dans le corps. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs des glandes endocrines peuvent affecter la fonction de la glande et entraîner une variété de symptômes, en fonction de la glande touchée.
Les glandes endocrines comprennent la glande thyroïde, les parathyroïdes, les glandes surrénales, le pancréas, l'hypothalamus et l'hypophyse. Les tumeurs peuvent se développer dans n'importe laquelle de ces glandes et peuvent entraîner une production excessive ou diminuée d'hormones.
Les symptômes associés aux tumeurs des glandes endocrines dépendent de la glande touchée. Par exemple, une tumeur de la glande thyroïde peut entraîner une hyperthyroïdie, avec des symptômes tels qu'une augmentation du rythme cardiaque, une intolérance à la chaleur, une perte de poids et une augmentation de l'appétit. Une tumeur de la glande surrénale peut entraîner une production excessive de cortisol, avec des symptômes tels qu'une prise de poids, une hypertension artérielle, une faiblesse musculaire et une fatigue.
Le traitement des tumeurs des glandes endocrines dépend du type de tumeur, de sa localisation et de son stade. Le traitement peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, ou un traitement médicamenteux pour contrôler les symptômes associés à la production excessive d'hormones.
Je suis désolé, "antihormones" n'est pas un terme médical généralement accepté. Cependant, il est possible que vous cherchiez une explication sur les médicaments qui bloquent ou inhibent l'action des hormones. Ces médicaments sont souvent utilisés dans le traitement de diverses affections, telles que le cancer et certaines maladies endocriniennes.
Par exemple, dans le traitement du cancer du sein hormonodépendant, des médicaments tels que les anti-estrogènes (tels que le tamoxifène) ou les inhibiteurs de l'aromatase peuvent être utilisés pour bloquer l'action des œstrogènes, ce qui peut ralentir ou arrêter la croissance des cellules cancéreuses. De même, dans le traitement du cancer de la prostate, des médicaments tels que les anti-androgènes peuvent être utilisés pour bloquer l'action de la testostérone et d'autres androgènes.
Il est important de noter que ces médicaments ont des effets secondaires importants et doivent être prescrits et surveillés par un médecin.
Les ilots de Langerhans, souvent simplement appelés "ilots pancréatiques", sont des amas de cellules endocrines trouvés dans le pancréas. Ils constituent environ 1-2% du volume total du pancréas. Ces ilots sont dispersés dans la masse exocrine du pancréas et contiennent principalement quatre types de cellules endocrines: les cellules alpha, beta, delta et PP.
Les cellules alpha produisent le glucagon, une hormone qui aide à réguler la glycémie en stimulant la libération de glucose dans le sang. Les cellules beta, quant à elles, produisent l'insuline, une hormone qui favorise l'absorption du glucose par les cellules et abaisse ainsi la glycémie. Les cellules delta sécrètent le somatostatine, une hormone qui inhibe la libération d'autres hormones et ralentit la digestion. Enfin, les cellules PP, ou cellules polypeptidiques, produisent le polypeptide pancréatique, une hormone dont les fonctions ne sont pas entièrement comprises mais qui semble jouer un rôle dans la régulation de la sécrétion d'enzymes pancréatiques et de la glycémie.
Les ilots pancréatiques jouent donc un rôle crucial dans la régulation de la glycémie et du métabolisme énergétique. Les dysfonctionnements des cellules des ilots pancréatiques, en particulier des cellules beta, peuvent entraîner des troubles métaboliques tels que le diabète sucré.
L'insuline est une hormone essentielle produite par les cellules bêta du pancréas. Elle joue un rôle crucial dans le métabolisme des glucides, des lipides et des protéines en régulant le taux de sucre dans le sang (glucose sanguin). Après avoir mangé, lorsque la glycémie augmente, l'insuline est libérée pour permettre aux cellules du corps d'absorber le glucose et l'utiliser comme source d'énergie ou de le stocker sous forme de glycogène dans le foie et les muscles. L'insuline favorise également la synthèse des protéines et des lipides à partir du glucose.
Dans certaines conditions, telles que le diabète sucré, la production ou l'action de l'insuline peut être altérée, entraînant une hyperglycémie (taux élevé de sucre dans le sang). Les personnes atteintes de diabète de type 1 doivent recevoir des injections d'insuline pour remplacer l'hormone manquante, tandis que les personnes atteintes de diabète de type 2 peuvent être traitées par des modifications du mode de vie, des médicaments oraux ou une insulinothérapie dans certains cas.
Le somatostatinome est une tumeur rare et généralement maligne des cellules delta du pancréas qui sécrètent de la somatostatine, une hormone inhibitrice. Ces tumeurs peuvent également se développer dans d'autres parties du corps, telles que l'intestin grêle, le estomac et le foie. Les symptômes du somatostatinome peuvent inclure des douleurs abdominales, une diarrhée sévère, une perte de poids, des nausées et des vomissements, ainsi que des symptômes liés à l'hypersécrétion d'hormones telles que le diabète sucré et l'acidose. Le diagnostic est généralement posé par imagerie médicale et mesure des niveaux d'hormones dans le sang. Le traitement peut inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimioradiothérapie et la thérapie à l'octréotide pour contrôler les symptômes hormonaux.
Le peptide vasoactif intestinal (VIP) est une hormone polypeptidique composée de 28 acides aminés. Il appartient à la famille des neuropeptides et exerce divers effets physiologiques, notamment la relaxation de la musculature lisse dans les voies digestives, vasodilatation systémique, inhibition de la sécrétion d'acide gastrique et stimulation de la sécrétion d'eau et d'électrolytes dans l'intestin grêle. Le VIP est produit par les neurones du système nerveux entérique et par certaines cellules endocrines dans le tube digestif. Il joue un rôle important dans la régulation des fonctions gastro-intestinales et peut également être impliqué dans d'autres processus physiologiques tels que l'inflammation et la réponse immunitaire.
L'acide gastrique est un fluide sécrété par les cellules glandulaires de l'estomac, qui contient du suc gastrique. Il est principalement composé d'acide chlorhydrique (HCl), qui donne à l'acide gastrique son caractère acide avec un pH généralement inférieur à 3. D'autres composants de l'acide gastrique comprennent des enzymes telles que la pepsine, qui aident à la digestion des protéines, et de la mucine, qui protège la muqueuse de l'estomac.
L'acide gastrique joue un rôle crucial dans la digestion des aliments en décomposant les grosses molécules en plus petites unités, ce qui facilite leur absorption dans l'intestin grêle. Il contribue également à la désactivation ou à la dégradation de certains micro-organismes ingérés avec les aliments, agissant comme une barrière protectrice contre les infections.
Cependant, un excès d'acide gastrique peut entraîner des problèmes tels que des brûlures d'estomac, des ulcères gastro-duodénaux et le reflux gastro-œsophagien (RGO). Des médicaments tels que les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) et les antagonistes des récepteurs H2 peuvent être prescrits pour contrôler la production excessive d'acide gastrique et soulager ces symptômes.
Les tumeurs du pancréas sont des croissances anormales qui se forment dans le tissu du pancréas. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes ne se propagent pas à d'autres parties du corps et peuvent souvent être traitées par une intervention chirurgicale. Cependant, certaines tumeurs bénignes peuvent devenir cancéreuses avec le temps.
Les tumeurs malignes du pancréas sont des cancers qui se forment dans les cellules du pancréas et peuvent se propager à d'autres parties du corps. Les adénocarcinomes sont les types de cancer du pancréas les plus courants et représentent environ 90% de tous les cas. Ils se développent dans les cellules qui tapissent les conduits du pancréas qui produisent des enzymes digestives.
Les autres types de tumeurs malignes du pancréas comprennent les tumeurs neuroendocrines, qui se forment dans les cellules hormonales du pancréas, et les sarcomes, qui se développent dans le tissu conjonctif du pancréas.
Les symptômes des tumeurs du pancréas peuvent inclure une douleur abdominale supérieure, une perte de poids inexpliquée, une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), des nausées et des vomissements. Le traitement dépend du type et de l'étendue de la tumeur, mais peut inclure une intervention chirurgicale, une chimiothérapie ou une radiothérapie.
La somatotropine, également connue sous le nom d'hormone de croissance humaine (HGH), est une hormone peptidique sécrétée par les cellules somatotropes de l'antéhypophyse dans le cerveau. Elle joue un rôle crucial dans la régulation de la croissance et du développement corporels, en particulier pendant l'enfance et l'adolescence.
L'hormone de croissance humaine stimule la production d'autres hormones, comme l'insuline-like growth factor-1 (IGF-1), dans le foie et d'autres tissus. Ces hormones médiatisent les effets de l'HGH sur la croissance des os longs, la masse musculaire, le métabolisme des protéines, des glucides et des lipides, et d'autres processus physiologiques.
Dans la vie post-pubertaire, l'hormone de croissance humaine continue à réguler le métabolisme et a des effets sur la composition corporelle, la force musculaire, la densité osseuse et la fonction cognitive. Les niveaux d'HGH diminuent avec l'âge, ce qui peut contribuer au déclin de certaines fonctions physiologiques associées au vieillissement.
L'hormone de croissance humaine est disponible sous forme de médicament thérapeutique pour traiter certains troubles de croissance et déficits en hormones chez les enfants et les adultes, tels que le nanisme hypopituitaire et le déficit en hormone de croissance adulte. Cependant, l'utilisation abusive de l'hormone de croissance humaine à des fins non médicales, telles que l'amélioration des performances sportives ou esthétique, est interdite et peut entraîner des effets indésirables graves.
Je suis désolé, mais il semble y avoir une petite erreur dans votre requête. Le terme correct que vous souhaitez probablement rechercher est "motilin" et non "motiline".
Motilin est une hormone gastrointestinale qui stimule la motilité intestinale, d'où elle tire son nom. Elle est produite par des cellules endocrines spécialisées dans l'intestin grêle et joue un rôle crucial dans la coordination des contractions musculaires dans le tube digestif. Ces contractions aident à faire avancer les aliments ingérés tout au long du processus de digestion, ce qui en fait une hormone importante pour maintenir le bon fonctionnement du système gastro-intestinal.
Il est intéressant de noter que la motiline a également été étudiée dans le contexte de son potentiel rôle dans le traitement des troubles gastro-intestinaux, tels que les nausées et les vomissements, en raison de ses effets sur la motilité intestinale.
Un adénome de Langerhans, également connu sous le nom d'histiocytose de Langerhans ou maladie de Langerhans, est une affection rare caractérisée par la prolifération anormale et l'accumulation de cellules dendritiques appelées cellules de Langerhans. Ces cellules sont normalement présentes dans la peau et les muqueuses et jouent un rôle important dans le système immunitaire en aidant à combattre les infections.
Dans l'adénome de Langerhans, ces cellules deviennent anormales et se multiplient de manière incontrôlable, formant des granulomes ou des tumeurs dans divers organes et tissus du corps, tels que la peau, les os, les poumons, le foie, la rate et le système nerveux central. Les symptômes varient en fonction de la localisation et de l'étendue de la maladie, mais peuvent inclure des éruptions cutanées, des douleurs osseuses, une fatigue, une respiration difficile, des convulsions et d'autres problèmes neurologiques.
Le diagnostic de l'adénome de Langerhans repose sur l'analyse histopathologique des biopsies tissulaires, qui révèle la présence de cellules de Langerhans anormales. Le traitement dépend de la gravité et de l'étendue de la maladie et peut inclure une chirurgie, une radiothérapie, une chimiothérapie ou une thérapie ciblée à l'aide de médicaments qui inhibent la croissance des cellules cancéreuses. Dans les cas graves, une greffe de moelle osseuse peut être nécessaire pour remplacer les cellules souches endommagées ou détruites par la maladie ou le traitement.
L'hypophyse, également connue sous le nom de glande pituitaire, est une petite glande endocrine située à la base du cerveau. Elle est composée de deux parties principales : l'antéhypophyse (ou adénohypophyse) et la posthypophyse (ou neurohypophyse).
L'antéhypophyse produit et sécrète plusieurs hormones différentes, dont certaines régulent le fonctionnement d'autres glandes endocrines dans le corps. Les hormones sécrétées par l'antéhypophyse comprennent la thyrotropine (TSH), l'adrénotropine (ACTH), la prolactine, la somatotropine (GH ou hormone de croissance) et les gonadotrophines folliculo-stimulante (FSH) et lutéinisante (LH).
La posthypophyse stocke et libère deux hormones produites dans l'hypothalamus : l'ocytocine et la vasopressine (également appelée hormone antidiurétique ou ADH). L'ocytocine provoque des contractions utérines pendant le travail et favorise également la libération de lait maternel. La vasopressine régule la concentration d'eau dans le sang en affectant la perméabilité des tubules rénaux à l'eau.
En résumé, l'hypophyse joue un rôle crucial dans la régulation de nombreuses fonctions corporelles importantes, telles que la croissance, le développement sexuel, la réponse au stress et l'homéostasie hydrique.
L'antre pylorique est une partie de l'estomac qui se trouve près de la jonction avec le duodénum, qui est la première section de l'intestin grêle. Il s'agit d'une zone de muscle lisse qui régule le passage du contenu de l'estomac dans le duodénum. L'antre pylorique agit comme une valve, permettant au chyme, qui est un liquide partiellement digéré contenant des aliments, des sucs gastriques et de l'eau, de passer progressivement dans le duodénum pour un processus de digestion plus poussé.
Dans certains cas, l'antre pylorique peut être affecté par une hypertrophie ou un rétrécissement anormal, ce qui peut entraver le passage du chyme et provoquer des vomissements, en particulier chez les nourrissons. Cette condition est appelée sténose hypertrophique du pylore et peut nécessiter une intervention chirurgicale pour être corrigée.
La muqueuse gastrique est la membrane muqueuse qui tapisse l'intérieur de l'estomac. C'est une partie importante du système digestif et il a plusieurs fonctions cruciales. Tout d'abord, c'est là que les sécrétions gastriques sont produites, y compris l'acide chlorhydrique, qui aide à décomposer les aliments. La muqueuse gastrique contient également des glandes qui sécrètent du mucus, ce qui protège la paroi de l'estomac de l'acide gastrique. De plus, la muqueuse gastrique est capable d'échantillonner les antigènes dans les aliments et de déclencher une réponse immunitaire si nécessaire. Il s'agit d'une muqueuse stratifiée avec plusieurs couches de cellules, y compris des cellules épithéliales, des glandes et un tissu conjonctif sous-jacent. Des problèmes tels que l'inflammation ou les infections peuvent affecter la santé de la muqueuse gastrique et entraîner des conditions telles que la gastrite ou les ulcères d'estomac.
Les hormones gastrointestinales sont un type d'hormones qui sont produites et sécrétées par les cellules du système gastro-intestinal (GI). Elles jouent un rôle crucial dans la régulation des fonctions digestives, telles que la sécrétion de sucs gastriques, la motilité intestinale, l'absorption des nutriments et la satiété.
Les hormones gastrointestinales les plus courantes comprennent :
1. Gastrine : stimule la sécrétion d'acide gastrique et la motilité gastrique.
2. Sécrétine : stimule la sécrétion de bicarbonate pancréatique et d'enzymes pancréatiques pour neutraliser l'acidité gastrique et faciliter la digestion des nutriments.
3. Cholécystokinine (CCK) : stimule la sécrétion de bile du foie et la contraction de la vésicule biliaire, favorisant ainsi la digestion des graisses. Elle joue également un rôle dans la satiété en signalant au cerveau que l'estomac est plein.
4. Motiline : stimule la motilité intestinale et favorise le mouvement des aliments dans le tube digestif.
5. Ghréline : souvent appelée "hormone de la faim", elle stimule l'appétit et la prise alimentaire en signalant au cerveau que l'estomac est vide.
6. Glucagon-like peptide-1 (GLP-1) : favorise la satiété, ralentit la vidange gastrique et stimule la sécrétion d'insuline pour réguler la glycémie.
7. Peptide YY (PYY) : également impliqué dans la régulation de l'appétit et de la satiété, il est sécrété en réponse à la consommation alimentaire et ralentit la vidange gastrique.
Ces hormones jouent un rôle crucial dans le contrôle de l'appétit, de la digestion et du métabolisme énergétique. Les déséquilibres ou les anomalies dans leur production peuvent contribuer au développement de divers troubles tels que l'obésité, le diabète et d'autres problèmes de santé liés à l'alimentation.
Les radiopharmaceutiques sont des composés qui contiennent des matières radioactives et sont utilisés dans le domaine médical, en particulier en médecine nucléaire. Ils se composent généralement d'un agent pharmaceutique combiné à un radionucléide. Le radionucléide est une substance radioactive qui émet des rayonnements ionisants. Lorsqu'il est introduit dans le corps, il peut être détecté par des instruments spécifiques qui enregistrent les émissions de rayonnement.
Les radiopharmaceutiques sont utilisés à des fins diagnostiques pour observer le fonctionnement d'organes et de systèmes spécifiques dans le corps, ou à des fins thérapeutiques pour traiter certaines maladies, en particulier certains types de cancer.
Ils doivent être manipulés avec soin en raison de leur contenu radioactif, et leur utilisation doit suivre des protocoles stricts pour assurer la sécurité des patients et du personnel médical.
La pentagastrine est un médicament utilisé pour stimuler la sécrétion d'acide gastrique et accélérer le vidage gastrique. C'est un analogue synthétique de la gastrine, une hormone naturellement produite dans l'estomac qui aide à contrôler la production d'acide gastrique.
La pentagastrine est souvent utilisée dans le diagnostic des troubles gastro-intestinaux pour tester la capacité de l'estomac à répondre à la stimulation de la sécrétion d'acide. Elle est également utilisée dans le traitement de certaines conditions, telles que les ulcères gastriques et duodénaux, en augmentant la production d'acide gastrique pour favoriser la guérison.
Cependant, il convient de noter que l'utilisation de la pentagastrine est limitée en raison de ses effets secondaires potentiels, tels que des nausées, des vomissements, une transpiration excessive et une augmentation de la fréquence cardiaque. Elle doit être utilisée sous la supervision d'un médecin et les patients doivent suivre attentivement les instructions posologiques pour minimiser les risques d'effets indésirables.
La sécrétine est une hormone gastro-intestinale polypeptidique composée de 27 acides aminés. Elle est produite et stockée dans les membranes des cellules S du duodénum et du jéjunum, qui sont stimulées par l'arrivée d'acide chlorhydrique dans le duodénum pendant la digestion. La sécrétine favorise la sécrétion d'eau et de bicarbonate dans le pancréas et le duodénum pour neutraliser l'acidité gastrique et protéger la muqueuse intestinale. Elle inhibe également la sécrétion de suc gastrique par l'estomac. La sécrétine joue un rôle important dans le maintien de l'homéostasie du pH duodénal et dans la régulation de la digestion en agissant sur plusieurs organes du système gastro-intestinal.
Les antinéoplasiques hormonaux sont un type de traitement du cancer qui vise à perturber la production ou l'action des hormones dans le corps. Ces traitements sont souvent utilisés pour traiter les cancers qui dépendent des hormones pour se développer et se propager, tels que le cancer du sein et le cancer de la prostate.
Les antinéoplasiques hormonaux peuvent fonctionner en empêchant la production d'hormones ou en bloquant leurs effets sur les cellules cancéreuses. Par exemple, certains traitements peuvent empêcher les ovaires de produire des œstrogènes, une hormone qui peut stimuler la croissance du cancer du sein. D'autres traitements peuvent bloquer l'action des androgènes, des hormones mâles qui peuvent favoriser la croissance du cancer de la prostate.
Les antinéoplasiques hormonaux comprennent des médicaments tels que les anti-androgènes, les agonistes et antagonistes de la LH-RH, les inhibiteurs de l'aromatase, et les modulateurs sélectifs des récepteurs aux œstrogènes. Ces traitements peuvent être administrés sous forme de comprimés, d'injections ou d'implants.
Bien que les antinéoplasiques hormonaux puissent être très efficaces pour ralentir la croissance et la propagation du cancer, ils ne sont pas sans effets secondaires. Les effets secondaires courants comprennent des bouffées de chaleur, des sautes d'humeur, une fatigue, une perte de libido, une ostéoporose et une prise de poids. Dans certains cas, les traitements peuvent également entraîner des effets secondaires graves tels que des problèmes cardiaques ou hépatiques.
En général, les antinéoplasiques hormonaux sont utilisés en combinaison avec d'autres traitements du cancer, tels que la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie. Le choix du traitement dépend de nombreux facteurs, y compris le type et le stade du cancer, l'âge et l'état de santé général du patient.
Les facteurs de virulence des Bordetella font référence aux diverses caractéristiques et composants moléculaires que les bactéries du genre Bordetella, en particulier B. pertussis, B. parapertussis et B. bronchiseptica, utilisent pour coloniser, infecter et survivre dans l'environnement respiratoire des hôtes mammifères. Ces facteurs de virulence jouent un rôle crucial dans la pathogenèse de ces bactéries, contribuant à leur capacité à provoquer des maladies allant de la coqueluche légère à la bronchite sévère et à d'autres infections respiratoires.
Voici une liste non exhaustive des principaux facteurs de virulence des Bordetella :
1. Adhésines : Les adhésines sont des protéines qui médient l'attachement initial des bactéries aux cellules épithéliales respiratoires de l'hôte. Chez les Bordetella, les principales adhésines comprennent la fimbriae (Fim2 et Fim3) et la protéine d'adhésion filamenteuse (FHA).
2. Toxines : Les toxines sont des facteurs de virulence importants qui contribuent à la pathogenèse des Bordetella. La toxine pertussis (PT), également appelée toxine lytique adénylcyclase, est une toxine exotoxine sécrétée par B. pertussis et B. parapertussis qui inhibe la fonction cellulaire en augmentant les niveaux de cAMP dans les cellules hôtes. Une autre toxine importante est la dermonecrotique toxine (DNT), produite par B. bronchiseptica, qui provoque des lésions tissulaires et une inflammation localisées.
3. Pertactines : Les pertactines sont des protéines de surface adhésives qui se lient aux récepteurs du facteur de croissance épidermique (EGFR) sur les cellules épithéliales respiratoires, favorisant l'entrée et la colonisation bactériennes.
4. Autotransporteurs : Les autotransporteurs sont des protéines qui se transportent elles-mêmes à travers la membrane externe de la bactérie. Chez les Bordetella, ils jouent un rôle dans l'adhésion et la colonisation des cellules hôtes. Les exemples incluent le transporteur d'adhésine filamenteuse (FhaB) et le transporteur de trichome (TcfA).
5. Systèmes de sécrétion : Les Bordetetta utilisent divers systèmes de sécrétion pour délivrer des facteurs de virulence dans l'environnement extracellulaire ou directement dans les cellules hôtes. Le type III secretion (T3SS) est utilisé par B. bronchiseptica pour injecter des effecteurs bactériens dans les cellules hôtes, favorisant la colonisation et l'évasion du système immunitaire.
6. Régulation de l'expression génique : Les Bordertella utilisent divers mécanismes de régulation de l'expression génique pour contrôler la production de facteurs de virulence en réponse aux signaux environnementaux. Par exemple, le système deux composants BvgAS régule l'expression des gènes de phase 1 et de phase 2, permettant à la bactérie d'adapter sa virulence aux conditions changeantes.
En résumé, les Bordertella utilisent une gamme complexe de facteurs de virulence pour coloniser et survivre dans l'environnement respiratoire des hôtes. Ces facteurs comprennent des adhésines, des systèmes de sécrétion, des autotransporteurs et divers mécanismes de régulation de l'expression génique. Une meilleure compréhension de ces processus peut fournir des cibles pour le développement de stratégies thérapeutiques visant à prévenir ou traiter les maladies causées par ces bactéries.
La toxine coquelucheuse est une exotoxine produite par la bactérie Bordetella pertussis, qui est responsable de la maladie connue sous le nom de coqueluche ou « coq ». Cette toxine est l'un des principaux facteurs virulents de la bactérie et joue un rôle crucial dans les manifestations cliniques de la coqueluche.
La toxine coquelucheuse se compose de plusieurs domaines fonctionnels, dont le principal est une chaîne A qui possède une activité ADP-ribosyltransférase. Cette activité permet à la toxine de modifier la protéine G régulatrice de l'adénylate cyclase (GARC) dans les cellules humaines, entraînant une augmentation de la concentration intracellulaire d'AMPc et des changements subséquents dans la perméabilité ionique et l'excitabilité neuronale.
Les symptômes caractéristiques de la coqueluche, tels que les quintes de toux paroxystiques et inspiratoires, sont principalement dus à l'activité de cette toxine sur le système nerveux périphérique. En outre, la toxine coquelucheuse peut également supprimer la fonction immunitaire, favorisant ainsi la persistance de l'infection bactérienne et potentialisant les complications associées à la maladie.
Le vaccin contre la coqueluche contient souvent une forme inactivée de la toxine coquelucheuse (toxoïde coquelucheux), qui est utilisée pour induire une réponse immunitaire protectrice sans provoquer de maladie.
La bombesine est une petite protéine appartenant à la famille des neuropeptides, qui sont des molécules de signalisation présentes dans le système nerveux central et périphérique. Elle est synthétisée par les neurones et les cellules endocrines et joue un rôle important dans la régulation de divers processus physiologiques tels que la croissance cellulaire, la sécrétion d'hormones et l'inflammation.
La bombesine se lie à des récepteurs spécifiques couplés aux protéines G situés sur la membrane cellulaire, ce qui entraîne une cascade de réactions biochimiques aboutissant à la modification de l'activité cellulaire. Elle est également connue pour stimuler la libération d'autres neuropeptides et hormones, telles que la gastrine et le cholécystokinine.
Dans un contexte médical, la bombesine a été étudiée pour son potentiel rôle dans le développement de certains cancers, tels que les cancers du poumon et du sein, en raison de sa capacité à stimuler la croissance cellulaire. Cependant, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre pleinement ses effets sur ces maladies et son utilisation potentielle comme cible thérapeutique.
Le syndrome carcinoïde malin, également connu sous le nom de carcinome à cellules sécrétoires neuroendocrines métastatiques, est une affection rare et agressive caractérisée par la présence et la prolifération de tumeurs neuroendocrines dans plusieurs parties du corps. Ces tumeurs ont tendance à se développer dans les poumons, l'intestin grêle, le rectum ou le pancréas et peuvent sécréter des hormones et des peptides qui provoquent une variété de symptômes.
Les symptômes du syndrome carcinoïde malin sont souvent regroupés en deux catégories : les symptômes causés par la libération d'hormones et les symptômes causés par la croissance des tumeurs. Les symptômes hormonaux peuvent inclure des rougeurs du visage, des palpitations cardiaques, une respiration sifflante, de la diarrhée, des douleurs abdominales et une hypotension artérielle. Les symptômes causés par la croissance des tumeurs peuvent inclure des douleurs abdominales, une perte d'appétit, une perte de poids, des nausées et des vomissements.
Le diagnostic du syndrome carcinoïde malin repose sur l'identification des tumeurs neuroendocrines à l'aide d'imageries médicales telles que la tomographie par émission de positrons (TEP) ou la scintigraphie aux octréotides. Des tests sanguins et urinaires peuvent également être utilisés pour mesurer les niveaux d'hormones et de peptides sécrétés par les tumeurs.
Le traitement du syndrome carcinoïde malin dépend de la localisation et de l'étendue des tumeurs, ainsi que de la gravité des symptômes. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever les tumeurs, une radiothérapie, une chimiothérapie, une thérapie ciblée avec des médicaments qui bloquent les récepteurs de l'hormone somatostatine ou une thérapie par immunomodulation.
Le pronostic du syndrome carcinoïde malin dépend de la localisation et de l'étendue des tumeurs, ainsi que de la réponse au traitement. Les tumeurs qui peuvent être complètement enlevées par chirurgie ont un meilleur pronostic que celles qui ne peuvent pas l'être. Cependant, même avec un traitement agressif, le syndrome carcinoïde malin peut être difficile à guérir et peut entraîner une morbidité et une mortalité élevées.
En médecine, le débit sécrétoire fait référence à la quantité de liquide ou de substance sécrétée par une glande ou un tissu donné pendant une période de temps spécifique. Il s'exprime généralement en termes de volume par unité de temps, comme millilitres par minute (mL/min).
Le débit sécrétoire peut être mesuré pour divers types de glandes, telles que les glandes sudoripares, salivaires, lacrymales et surrénales. Par exemple, le débit sécrétoire des glandes sudoripares est important dans l'étude des troubles de la transpiration excessive connus sous le nom d'hyperhidrose. De même, le débit sécrétoire des glandes salivaires peut être mesuré pour évaluer les problèmes de production de salive dans certaines conditions médicales.
Il est important de noter que le débit sécrétoire peut varier en fonction de divers facteurs, tels que l'âge, le sexe, l'état de santé général et les stimuli environnementaux. Par conséquent, il est essentiel de normaliser ces facteurs lors de la mesure du débit sécrétoire pour obtenir des résultats précis et significatifs.
La cholécystokinine (CCK) est un hormone peptidique produite principalement dans les cellules I du duodénum en réponse à la présence d'acides gras et de protéines partiellement digérés dans le lumen intestinal. Il joue un rôle important dans la régulation de la sécrétion digestive, de la motilité gastro-intestinale et de la satiété.
Les neuropeptides sont de courtes chaînes d'acides aminés qui agissent comme des neurotransmetteurs ou des modulateurs de neurotransmission dans le système nerveux central. Ils jouent un rôle crucial dans la médiation d'une variété de processus physiologiques et comportementaux, y compris la douleur, l'appétit, l'humeur, la récompense, le stress, l'addiction et la mémoire. Les neuropeptides sont synthétisés à partir de précurseurs protéiques dans les neurones et sont stockés dans des vésicules avant d'être libérés dans la fente synaptique en réponse à une stimulation appropriée. Une fois libérés, ils peuvent se lier à des récepteurs spécifiques sur les cellules voisines, déclenchant ainsi une cascade de réactions qui modulent l'activité neuronale.
Les exemples courants de neuropeptides comprennent la substance P, les endorphines, la cholécystokinine, la vasopressine et l'ocytocine. Les déséquilibres dans les systèmes de neuropeptides ont été impliqués dans divers troubles neurologiques et psychiatriques, tels que la douleur chronique, la dépression, l'anxiété et la toxicomanie. Par conséquent, une meilleure compréhension des mécanismes d'action des neuropeptides peut fournir des cibles thérapeutiques prometteuses pour le développement de nouveaux traitements pour ces conditions.
Les tumeurs gastro-intestinales (GI) se réfèrent aux affections caractérisées par la croissance cellulaire anormale dans le tube digestif, qui comprend l'œsophage, l'estomac, l'intestin grêle, le côlon et le rectum. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).
Les tumeurs bénignes ne se propagent pas généralement à d'autres parties du corps et peuvent souvent être traitées par une intervention chirurgicale mineure. Cependant, elles peuvent encore causer des problèmes en bloquant le passage des aliments dans le tube digestif ou en saignant.
D'un autre côté, les tumeurs malignes peuvent envahir les tissus voisins et se propager (métastases) à d'autres parties du corps via la circulation sanguine ou le système lymphatique. Le cancer gastro-intestinal est souvent difficile à détecter tôt car il ne présente souvent aucun symptôme jusqu'à ce qu'il soit avancé.
Les facteurs de risque pour le développement des tumeurs GI comprennent l'âge (plus de 50 ans), le tabagisme, une alimentation riche en viandes rouges et transformées, un faible apport en fibres, l'obésité, une infection chronique par Helicobacter pylori, et certains troubles génétiques héréditaires.
Le traitement dépend du type de tumeur, de son emplacement, de sa taille, de son stade et de la santé globale du patient. Il peut inclure une combinaison de chirurgie, de radiothérapie, de chimiothérapie et de thérapies ciblées.
La galanine est un neuropeptide, ce qui signifie qu'il s'agit d'une petite protéine utilisée pour la communication entre les cellules nerveuses. Elle a été identifiée pour la première fois dans le cerveau de bovins en 1954 et est largement distribuée dans le système nerveux central et périphérique des mammifères.
La galanine est composée d'une chaîne de 29 ou 30 acides aminés, selon la source. Elle joue un rôle important dans divers processus physiologiques tels que la régulation de la pression artérielle, la libération d'hormones, le contrôle de la douleur et l'homéostasie énergétique.
Des études ont également suggéré son implication dans certaines pathologies comme le diabète, l'obésité, les maladies cardiovasculaires et certains types de cancer. Cependant, davantage de recherches sont nécessaires pour comprendre pleinement ses fonctions et son rôle dans ces conditions.
Je suis désolé, mais le terme "Mercaptamine" ne semble pas avoir une définition médicale établie. Il peut s'agir d'une combinaison des mots "mercaptan", qui se réfère à un composé organique contenant un groupe fonctionnel sulfhydryl (-SH), et "amine", qui est un groupe fonctionnel avec une formule générale de -NH2 ou dérivés. Cependant, sans plus de contexte, il est difficile de fournir une définition médicale précise de ce terme. Il est possible que vous ayez mal orthographié ou mal traduit un terme spécifique. Dans le cas où vous cherchez des informations sur un composé chimique particulier, je serais heureux de vous aider avec cela si vous pouvez me fournir plus de détails.
Un insulinome est un type rare et généralement bénin de tumeur qui se développe dans les cellules des îlots du pancréas, appelées cellules beta. Ces cellules sont responsables de la production d'insuline, une hormone essentielle à la régulation du taux de glucose sanguin. Lorsqu'une tumeur insulinome se forme, elle peut entraîner une surproduction d'insuline, provoquant ainsi une hypoglycémie (faible taux de sucre dans le sang) même si la personne n'a pas mangé depuis plusieurs heures.
Les symptômes les plus courants associés à l'insulinome sont des sueurs, des palpitations, des tremblements, une faim excessive, une vision floue, des difficultés de concentration et, dans certains cas, une perte de conscience ou des convulsions. Le diagnostic d'un insulinome repose généralement sur des tests sanguins visant à mesurer les taux d'insuline et de glucose à jeun, ainsi que sur des examens d'imagerie tels qu'une tomodensitométrie (TDM) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM). Dans certains cas, une exploration chirurgicale peut être nécessaire pour localiser et confirmer la présence de la tumeur.
Le traitement d'un insulinome consiste généralement en une intervention chirurgicale visant à retirer la tumeur. Dans les cas où la tumeur est inopérable ou multiple, un traitement médicamenteux peut être proposé pour contrôler la production excessive d'insuline et prévenir les épisodes d'hypoglycémie.
ARN messager (ARNm) est une molécule d'acide ribonucléique simple brin qui transporte l'information génétique codée dans l'ADN vers les ribosomes, où elle dirige la synthèse des protéines. Après la transcription de l'ADN en ARNm dans le noyau cellulaire, ce dernier est transloqué dans le cytoplasme et fixé aux ribosomes. Les codons (séquences de trois nucléotides) de l'ARNm sont alors traduits en acides aminés spécifiques qui forment des chaînes polypeptidiques, qui à leur tour se replient pour former des protéines fonctionnelles. Les ARNm peuvent être régulés au niveau de la transcription, du traitement post-transcriptionnel et de la dégradation, ce qui permet une régulation fine de l'expression génique.
Dans le contexte actuel, les vaccins à ARNm contre la COVID-19 ont été développés en utilisant des morceaux d'ARNm synthétiques qui codent pour une protéine spécifique du virus SARS-CoV-2. Lorsque ces vaccins sont administrés, les cellules humaines produisent cette protéine virale étrangère, ce qui déclenche une réponse immunitaire protectrice contre l'infection par le vrai virus.
Récepteur de la somatostatine
Somatostatine
Récepteur opiacé
Pasiréotide
Syndrome de Zollinger-Ellison
Cuivre 64
Lanréotide
Corticostatine (neuropeptide)
Scintigraphie au gallium
Récepteur (biochimie)
Cellule pariétale
Chirurgie endonasale endoscopique
Hormone de libération de l'hormone de croissance
Méningiome
Ipsen
Peptide relié au gène de la calcitonine
Advanced Accelerator Applications
Pegvisomant
Thyréostimuline
Cholécystokinine
Îlot de Langerhans
Tumeur neuroendocrinienne
Hormone de croissance
Glande endocrine
Boue biliaire
Liste d'abréviations en médecine
Octréotide
Polypeptide pancréatique
Neurotransmetteur
Sérotonine
Récepteur de la somatostatine - Wikipedia
Visualisation par autohistoradiographie des récepteurs de la somatostatine sur une cellule granulair | CNRS Images
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Publications UNIL - Université de Lausanne
Lutathera® : du nouveau pour les tumeurs neuroendocrines gastro-entéro-pancréatiques | Pharmabolix
ECCO ESMO 2015 : la radiothérapie vectorisée, pour irradier les tumeurs neuroendocrines de l'intérieur - APTED
Newsletter du GIRCI Est - Lettre n°10 - mai 2016 - Girci Est
Questions fréquentes sur les glandes surrénales et les tumeures endocrines | Schilddrüsenzentrum Bern
Hormone : Qu'est-ce qu'une hormone? - Wk-pharma.fr
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Physio Ch9-2 Hormones modulateurs endocrines - Mg Floor Supply
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L'hormone de croissance3
- En septembre 2021, la société a annoncé qu'elle avait exercé son option de licence globale sur un portefeuille de peptides macrocycliques antagonistes du récepteur de l'hormone de croissance (growth hormone receptor antagonists, GHRA) dans le cadre de son accord de collaboration de recherche avec PeptiDream, annoncé en décembre 2020. (turennecapital.com)
- Semblable au peptide GHRP-6 et au peptide GHRP-2, il supprime la somatostatine et augmente la stimulation et la libération de l'hormone de croissance (GH) par l'hypophyse antérieure. (franabolisants24.com)
- En raison de la somatostatine, le corps produit moins de GH naturelle car c'est un inhibiteur de l'hormone de croissance. (mypeptides.net)
Cellules6
- Il se lie aux cellules malignes qui surexpriment les récepteurs sst2. (pharmabolix.com)
- On exploite le fait que plus de 80 % des cellules tumorales expriment le récepteur à la somatostatine sur leur membrane », précise le Pr Ruszniewski. (apted.fr)
- Les hormones, après avoir été libérées, vont se poser sur les récepteurs des cellules endocriniennes. (wk-pharma.fr)
- L'histamine stimule les cellules pariétales via leurs récepteurs H2. (msdmanuals.com)
- Les cellules pariétales sécrètent l'acide et la baisse résultante du pH entraîne une libération de somatostatine par les cellules D de l'antre, ce qui inhibe la libération de gastrine (rétrocontrôle négatif). (msdmanuals.com)
- On trouve également des cellules d qui sécrètent de la somatostatine dont le rôle est d'inhiber toute sécrétion d'insuline ou de glucagon. (mgfloorsupply.com)
Analogue de la somatostatine1
- Le produit employé dans l'essai NETTER-1 est le Lu-Dotatate, issu de la fusion entre un analogue de la somatostatine, l'ocréotide, et un chélateur sur lequel est attaché un radiopeptide, le lutécium. (apted.fr)
Analogues2
- Le candidat médicament optimisé et sélectionné, l'AZP-3813, est développé comme traitement potentiel de l'acromégalie, en association avec les analogues de la somatostatine (somatostatin analogs, SSA) chez les patients non contrôlés avec les SSA seuls. (turennecapital.com)
- Les tumeurs neuroendocrines pancréatiques peuvent être traitées par l'évérolimus ou le sunitinib, mais pour celles de l'intestin grêle et du côlon droit, on n'a que les analogues de la somatostatine, et ça reste limité aux stades précoces de la maladie », explique au « Quotidien » le premier auteur de l'étude, le Pr Phillippe Ruszniewski, de l'hôpital Beaujon, à Clichy. (apted.fr)
Cellule3
- Visualisation par autohistoradiographie des récepteurs de la somatostatine sur une cellule granulaire immature de cervelet de rat de 8 jours en culture (Ref. CNRS-INFO N°254 Décembre 92). (cnrs.fr)
- Pour toute information, contactez la cellule de recherche clinique ( [email protected] ) ou l'attachée de recherche clinique Mme Yana CHABAN ( [email protected] ). (girci-est.fr)
- C'est un sécrétagogue, et est considéré comme un agoniste, c'est-à-dire qu'il possède la capacité de se lier à certains récepteurs d'une cellule et de provoquer une réponse cellulaire. (franabolisants24.com)
Sst21
- Lutathera® contient du lutécium (177Lu) oxodotréotide qui a une haute affinité pour les récepteurs de la somatostatine de sous-type 2 (sst2). (pharmabolix.com)
Croissance3
- Le MK-677 est une hormone de croissance orale non peptidique qui stimule la libération de GH via l'hypophyse et l'hypothalamus à des récepteurs distincts des récepteurs de la ghréline. (fruiterco.com)
- La GH libérée par l'hypophyse se fixe sur des récepteurs spécifiques à la surface cellulaire et exerce ainsi des fonctions métaboliques et de croissance. (musclesfax.to)
- L'hexaréline, en déstabilisant la somatostatine, supprime cet obstacle à l'augmentation de la production d'hormone de croissance humaine. (mypeptides.net)
L'action2
- Il existe un certain nombre d'analogues synthétiques de la somatostatine, dont l'octréotide et le lanréotide, qui imitent l'action de la somatostatine et peuvent être utilisés pour traiter ces tumeurs. (schilddruesenzentrum-bern.ch)
- C'est le type de récepteur postsynaptique qui détermine l'action du neurotransmetteur et non pas tant la famille chimique du neurotransmetteur. (devoir-de-philosophie.com)
Inhibe1
- Dans le même temps, il a été démontré que la présence du Peptide Magnus Pharma inhibe la production d'une sécrétion connue sous le nom de somatostatine. (franabolisants24.com)
Agissent1
- Dans cette revue de littérature, nous discutons nos connaissances actuelles en matière de biologie cellulaire des TLRs impliqués dans la reconnaissance des acides nucléiques, et de quelle manière la localisation et le transport de ces récepteurs agissent sur leur régulation. (actuscimed.com)
Fixe1
- Lutathera® est un médicament radiopharmaceutique destiné à la radiothérapie interne vectorisée qui se fixe sur les récepteurs de la somatostatine. (pharmabolix.com)
Hormone3
- Chaque récepteur est spécifique à une hormone. (wk-pharma.fr)
- Ce dernier sécrète deux hormones impliquées dans la synthèse de GH humaine : la GHRH (hormone de libération de la GH), connue aussi sous le nom de somatocrinine ou somatolibérine, et la GHIH ou somatostatine (hormone inhibant la libération de GH). (musclesfax.to)
- L'hexaréline stimule la production de GH de deux manières : en amplifiant le signal naturel de la GH ou en supprimant la production de somatostatine, une hormone. (mypeptides.net)
Ligand3
- Dans certains cas, comme nous le verrons par la suite, la liaison ligand-récepteur aboutit à une inhibition de l'activité du système amplificateur au lieu d'une stimulation. (mgfloorsupply.com)
- Un second test C D vise à confirmer plus directement l'interaction physique entre le ligand et le récepteur par une expérience de protéolyse ménagée, dans laquelle la fixation du ligand empêche en partie la digestion du récepteur par la trypsine. (caramondani.com)
- De plus, le facteur de transcription ligand-dépendant Récepteur d'Aryl Hydrocarbone (AHR) module l'immunité tumeur - spécifique et peut aussi participer au remodelage métabolique. (actuscimed.com)
Inhibiteur1
- Troisième, Il a été démontré que DSIP bloque la libération d'ACTH et diminue les niveaux d'ACTH, stimuler la libération de LH, et agir comme un inhibiteur de la sécrétion de somatostatine. (powerfulsteroids.com)
Existe1
- Il existe cinq récepteurs de la somatostatine connus : SST 1 ( SSTR1) SST 2 ( SSTR2) SST 3 ( SSTR3) SST 4 ( SSTR4) SST 5 ( SSTR5) Tous sont des récepteurs à sept domaines transmembranaires couplés à la protéine G. « Classification and nomenclature of somatostatin receptors », Trends Pharmacol. (wikipedia.org)
Corps2
- la somatostatine est naturellement présente dans le corps et régule la libération d'hormones. (schilddruesenzentrum-bern.ch)
- Le sang transporte des hormones dans tout le corps et elles se connectent aux récepteurs cellulaires, comme un bouchon avec une prise. (newpharma24.com)
Tumeurs1
- Il vient d'obtenir une AMM européenne pour le traitement des tumeurs neuroendocrines gastro-entéro-pancréatiques (TNE -GEP) inopérables ou métastatiques, progressives, bien différenciées (G1 et G2) et exprimant des récepteurs de somatostatine chez les adultes. (pharmabolix.com)
Type2
- C - L'ACÉlYLCHOLINE ET LE RÉCEPTEUR DE lYPE NICOTINIQUE Le système nerveux central est également équipé de récepteurs à l'acétylcholine de type nicoti- nique, de structure comparable aux récepteurs du muscle squelettique. (devoir-de-philosophie.com)
- Au cours de la dernière décennie, nous avons beaucoup appris sur la reconnaissance des acides nucléiques par le système immunitaire inné, en particulier par les récepteurs de type Toll (TLRs). (actuscimed.com)
Analogues de la somatostatine3
- Seuls les analogues de la somatostatine ou une intolérance connue aux produits de contraste doivent être signalés au médecin traitant lors de la prise de rendez-vous pour l'examen. (primomedico.com)
- Désormais, en plus des analogues de la somatostatine (octréotide) qui restent le traitement de première ligne, on dispose de deux approches alternatives : l'évérolimus indiqué dans les tumeurs neuroendocrines non sécrétantes gastro-intestinales ou pulmonaires, et le 177Lu-Dotate indiqué dans les tumeurs gastro-intestinales exprimant des récepteurs à la somatostatine. (medscape.com)
- Désormais, en plus des analogues de la somatostatine (octréotide) qui restent le traitement de première ligne, on dispose de deux approches alternatives. (medscape.com)
177Lu2
- Lutathera® contient du lutécium (177Lu) oxodotréotide qui a une haute affinité pour les récepteurs de la somatostatine de sous-type 2 (sst2). (pharmabolix.com)
- Le second travail présenté est l'étude NETTER-1 qui repose sur une approche tout à fait différente : 177Lu-Dotatate contient un radionucléotide (du lutétium) lié à un peptide qui interfère avec les récepteurs à la somatostatine qui sont surexprimés chez 80 % des patients. (medscape.com)
Traitement2
- Il vient d'obtenir une AMM européenne pour le traitement des tumeurs neuroendocrines gastro-entéro-pancréatiques (TNE -GEP) inopérables ou métastatiques, progressives, bien différenciées (G1 et G2) et exprimant des récepteurs de somatostatine chez les adultes. (pharmabolix.com)
- Pouvaient être inclus les patients ayant déjà suivi un traitement ciblant les récepteurs aux androgènes. (actuscimed.com)
D'une1
- Lors d'une TEP/TDM au DOTA-TATE, une substance semblable à la somatostatine (DOTA-TATE) est couplée à du gallium-68 radioactif et introduite dans le flux sanguin. (primomedico.com)