Neuroblastome
Ganglioneurome
Cellules Cancéreuses En Culture
Protéines Oncogènes
Iodo-3 Benzylguanidine
Gène Myc
Ganglioneuroblastome
Acide Vanilmandélique
Esthésioneuroblastome Olfactif
Amplification Génique
Tumeurs De L'Abdomen
Tumeurs Du Système Nerveux
Gangliosides
Apoptose
Régulation Expression Génique Tumorale
Tumeurs De La Moelle Osseuse
Trétinoïne
Différenciation Cellulaire
Neurones
Iodobenzènes
Cellules Hybrides
Survie Cellule
Protéines Proto-Oncogènes C-Myc
Protéines Nucléaires
Tumeurs Neuroectodermiques Primitives Périphériques
Chromosomes Humains De La Paire 1
Neurites
Arn Messager
Transfection
Souris Nude
Prolifération Cellulaire
Tumeurs Du Cerveau
Fenrétinide
Réaction Polymérisation En Chaîne Par Transcriptase Inverse
Far-Western Blot
Acide Homovanillique
Pronostic
Isotrétinoïne
Encyclopedias as Topic
Cellules Apud
Maladie De Hirschsprung
Lymphoma, Large-Cell, Anaplastic
Cellules Souches Embryonnaires
Le neuroblastome est une tumeur maligne rare qui se développe à partir de cellules nerveuses immatures (cellules neuroblastiques) trouvées dans les ganglions sympathiques, qui sont des groupes de cellules nerveuses situés le long de la colonne vertébrale. Les ganglions sympathiques font partie du système nerveux sympathique, qui est responsable de notre réaction "combat ou fuite" face au danger.
Le neuroblastome se produit généralement dans les glandes surrénales, deux petites glandes situées juste au-dessus des reins, mais il peut également se développer dans d'autres parties du système nerveux sympathique le long de la colonne vertébrale.
Les neuroblastomes peuvent se propager (métastaser) à d'autres parties du corps, y compris les os, la peau, le foie et les ganglions lymphatiques. Les symptômes dépendent de l'emplacement et de la taille de la tumeur ainsi que de la propagation du cancer.
Les neuroblastomes sont généralement diagnostiqués chez les enfants de moins de 5 ans, bien qu'ils puissent se produire à tout âge. Le traitement dépend du stade et de la gravité du cancer, ainsi que de l'âge et de l'état de santé général de l'enfant. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une chimiothérapie, une radiothérapie et des thérapies ciblées qui attaquent spécifiquement les cellules cancéreuses.
Une lignée cellulaire tumorale, dans le contexte de la recherche en cancérologie, fait référence à une population homogène de cellules cancéreuses qui peuvent être cultivées et se diviser en laboratoire. Ces lignées cellulaires sont généralement dérivées de biopsies ou d'autres échantillons tumoraux prélevés sur des patients, et elles sont capables de se multiplier indéfiniment en culture.
Les lignées cellulaires tumorales sont souvent utilisées dans la recherche pour étudier les propriétés biologiques des cellules cancéreuses, tester l'efficacité des traitements anticancéreux et comprendre les mécanismes de progression du cancer. Cependant, il est important de noter que ces lignées cellulaires peuvent ne pas toujours se comporter ou réagir aux traitements de la même manière que les tumeurs d'origine dans le corps humain, ce qui peut limiter leur utilité en tant que modèles pour la recherche translationnelle.
Un ganglioneurome est un type rare de tumeur nerveuse généralement bénigne qui se développe à partir des cellules du système nerveux sympathique. Ces tumeurs sont composées de grosses cellules nerveuses (ganglionnaires) et de fibres nerveuses entrelacées. Les ganglioneuromes se trouvent le plus souvent dans la cavité abdominale ou thoracique, près des glandes surrénales ou des ganglions sympathiques situés le long de la colonne vertébrale. Ils peuvent affecter les personnes de tous âges, mais sont plus fréquents chez les enfants et les jeunes adultes. Les symptômes dépendent de la taille et de l'emplacement de la tumeur, allant de douleurs abdominales ou thoraciques à des problèmes respiratoires ou cardiovasculaires. Le traitement principal consiste généralement en une chirurgie pour enlever complètement la tumeur.
Les cellules cancéreuses en culture sont des cellules cancéreuses prélevées sur un être humain ou un animal, qui sont ensuite cultivées et multipliées dans un laboratoire. Ce processus est souvent utilisé pour la recherche médicale et biologique, y compris l'étude de la croissance et du comportement des cellules cancéreuses, la découverte de nouveaux traitements contre le cancer, et les tests de sécurité et d'efficacité des médicaments et des thérapies expérimentales.
Les cellules cancéreuses en culture sont généralement prélevées lors d'une biopsie ou d'une intervention chirurgicale, puis transportées dans un milieu de culture spécial qui contient les nutriments et les facteurs de croissance nécessaires à la survie et à la reproduction des cellules. Les cellules sont maintenues dans des conditions stériles et sous observation constante pour assurer leur santé et leur pureté.
Les cultures de cellules cancéreuses peuvent être utilisées seules ou en combinaison avec d'autres méthodes de recherche, telles que l'imagerie cellulaire, la génomique, la protéomique et la biologie des systèmes. Ces approches permettent aux chercheurs d'étudier les mécanismes moléculaires du cancer à un niveau granulaire, ce qui peut conduire à une meilleure compréhension de la maladie et au développement de nouveaux traitements plus efficaces.
Les protéines oncogènes sont des protéines qui, lorsqu'elles sont surexprimées ou mutées, peuvent contribuer au développement du cancer. Elles jouent un rôle crucial dans la régulation de la croissance et de la division cellulaires. Cependant, certaines modifications de ces gènes peuvent entraîner une production excessive de protéines oncogènes ou des protéines qui fonctionnent de manière anormale. Cela peut conduire à une multiplication et une division cellulaires incontrôlées, ce qui est caractéristique d'un cancer. Les protéines oncogènes peuvent provenir de gènes normaux (proto-oncogènes) qui deviennent anormaux en raison de mutations, ou elles peuvent être issues de virus cancérigènes.
Iodine-131 (I-131) meta-iodobenzylguanidine (mIBG) est un radiopharmaceutique utilisé dans le diagnostic et le traitement des tumeurs neuroendocrines, telles que les phéochromocytomes et les paragangliomes. Il fonctionne en étant capturé par les cellules neuroendocrines qui ont une affinité pour la guanidine. Une fois à l'intérieur de ces cellules, l'iode radioactif émet des particules bêta qui détruisent les cellules.
La procédure d'administration du I-131 mIBG implique généralement l'injection intraveineuse du composé radiomarqué dans le corps du patient, suivie d'une période de temps pendant laquelle les cellules tumorales absorbent le médicament. Ensuite, des images sont acquises à l'aide d'un scanner spécial pour localiser et évaluer l'étendue de la maladie. Dans le traitement, le I-131 mIBG est utilisé en quantités plus importantes pour détruire les cellules tumorales.
Les effets secondaires du I-131 mIBG peuvent inclure des nausées, une salivation excessive, une augmentation de la fréquence cardiaque et une fatigue. Les patients doivent être surveillés pour une thyroïdite, qui peut survenir en raison de l'iode radioactif présent dans le médicament. Il est important que les professionnels de la santé prennent des précautions appropriées lorsqu'ils manipulent et administrent ce médicament pour minimiser l'exposition aux radiations.
Le gène Myc, également connu sous le nom de gène c-myc, est un gène qui code pour la protéine Myc, qui joue un rôle crucial dans la régulation de la croissance cellulaire, du métabolisme et de l'apoptose (mort cellulaire programmée). Cette protéine forme un complexe avec d'autres protéines pour activer ou réprimer la transcription de divers gènes.
L'activation anormale ou la surexpression du gène Myc a été associée à plusieurs types de cancer, tels que le cancer du sein, des ovaires, des poumons et du côlon. Elle peut entraîner une prolifération cellulaire incontrôlée, une résistance à l'apoptose et une angiogenèse (formation de nouveaux vaisseaux sanguins), ce qui favorise la croissance tumorale.
Par conséquent, le gène Myc est considéré comme un oncogène, c'est-à-dire un gène capable de provoquer une transformation maligne des cellules lorsqu'il est activé ou surexprimé de manière anormale. Il constitue donc une cible thérapeutique potentielle pour le traitement du cancer.
Le ganglioneuroblastome est une tumeur maligne rare qui se développe à partir des cellules du système nerveux sympathique, plus précisément à partir des cellules neuroectodermiques primitives. Ces tumeurs peuvent être localisées dans la cavité abdominale, principalement au niveau de la glande surrénale, ou dans le thorax, près de la colonne vertébrale. Les ganglioneuroblastomes se manifestent généralement chez les nourrissons et les jeunes enfants, bien qu'ils puissent également apparaître chez les adolescents et, plus rarement, chez les adultes.
La présentation clinique des ganglioneuroblastomes est variable et peut inclure une masse abdominale ou thoracique palpable, des douleurs osseuses, des troubles gastro-intestinaux, des ecchymoses spontanées, de la fièvre et des problèmes oculaires. Dans certains cas, les ganglioneuroblastomes peuvent sécréter des hormones comme l'adrénaline, ce qui entraîne une hypertension artérielle, une tachycardie et des sueurs.
Le diagnostic de ganglioneuroblastome repose sur l'imagerie médicale (échographie, scanner, imagerie par résonance magnétique) et la biopsie de la masse tumorale pour analyse histopathologique. Des tests supplémentaires peuvent être effectués pour évaluer le stade et la gravité de la maladie, tels que des analyses sanguines, une scintigraphie osseuse et une méthylation de l'ADN.
Le traitement du ganglioneuroblastome dépend du stade de la maladie, de l'âge du patient et de la présence de certaines caractéristiques moléculaires spécifiques dans la tumeur. Les options thérapeutiques comprennent la chirurgie, la chimiothérapie, la radiothérapie et les thérapies ciblées. Dans certains cas, une greffe de cellules souches peut être envisagée.
Le pronostic du ganglioneuroblastome varie en fonction du stade de la maladie au moment du diagnostic et de l'âge du patient. Les taux de survie à cinq ans sont généralement bons pour les enfants diagnostiqués à un stade précoce, tandis que ceux diagnostiqués à un stade avancé ont des taux de survie plus faibles. Des recherches continues sont en cours pour améliorer le diagnostic et le traitement du ganglioneuroblastome.
L'acide vanilmandélique, également connu sous le nom de VMA, est un métabolite de l'adrénaline et de la noradrénaline, qui sont des hormones et des neurotransmetteurs dans le corps humain. Il est produit dans le foie lorsque ces hormones sont dégradées.
Des niveaux élevés d'acide vanilmandélique peuvent être un indicateur de certaines conditions médicales, telles que la phénylcétonurie (PCU), une maladie génétique qui affecte le métabolisme des acides aminés, et les tumeurs neuroendocrines, y compris le phéochromocytome et le paragangliome.
Les tests de l'acide vanilmandélique dans l'urine ou le sang peuvent être utilisés pour diagnostiquer ces conditions et surveiller la réponse au traitement. Cependant, il est important de noter que des niveaux élevés d'acide vanilmandélique peuvent également être observés en raison de certains médicaments ou d'une alimentation riche en vanille.
L'esthésioneuroblastome olfactif, également connu sous le nom de esthesioneuroblastoma ou d'esthesioneuroblastoma, est une tumeur rare et agressive qui se développe dans la muqueuse olfactive à l'intérieur des narines. Cette tumeur provient des cellules nerveuses sensorielles qui détectent les odeurs, appelées neurones sensoriels olfactifs. L'esthésioneuroblastome olfactif se développe généralement dans la région supérieure des fosses nasales, près du cerveau.
Les symptômes de cette tumeur peuvent inclure :
1. Congestion ou obstruction nasale persistante
2. Saignements de nez fréquents et inexpliqués
3. Douleurs faciales ou headaches
4. Perte de l'odorat (anosmie)
5. Vision floue ou double vision
6. Protrusion du globe oculaire (exophtalmie)
Le diagnostic de l'esthésioneuroblastome olfactif repose sur des examens d'imagerie tels que la tomodensitométrie (TDM) et l'imagerie par résonance magnétique (IRM), ainsi que sur une biopsie pour confirmer le type de tumeur. Le traitement peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, suivie d'une radiothérapie et/ou d'une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses restantes. Malgré le traitement, l'esthésioneuroblastome olfactif peut récidiver localement ou se propager à d'autres parties du corps. Par conséquent, une surveillance et un suivi réguliers sont essentiels pour détecter toute récidive précoce et assurer les meilleurs résultats de traitement possibles.
L'amplification génétique est un processus de laboratoire qui permet de copier et de multiplier des segments spécifiques d'ADN à des fins d'analyse. Ce procédé est couramment utilisé en médecine légale, dans le diagnostic et la recherche médicale pour détecter et analyser des gènes ou des séquences d'ADN spécifiques associés à des maladies héréditaires, des mutations ou des marqueurs génétiques.
La technique la plus courante d'amplification génétique est la réaction en chaîne par polymérase (PCR), qui permet de copier rapidement et avec une grande précision des millions à des milliards de copies d'un segment d'ADN spécifique. Cette méthode est basée sur l'utilisation d'enzymes, de primers et de nucléotides pour amplifier la séquence d'intérêt.
L'amplification génétique a révolutionné le domaine de la médecine moléculaire en permettant une analyse plus sensible, spécifique et rapide des gènes et des mutations associées à diverses maladies et affections. Elle est également utilisée dans les tests de paternité, l'identification de victimes dans des scènes de crime, la détection d'agents pathogènes et la recherche en génétique évolutive.
Les tumeurs de l'abdomen se réfèrent à toute croissance anormale et non planifiée des cellules dans la cavité abdominale. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs abdominales peuvent se développer dans n'importe quel organe de l'abdomen, y compris le foie, le pancréas, les reins, les intestins, la rate et l'estomac.
Les symptômes des tumeurs de l'abdomen dépendent de leur emplacement, de leur taille et s'ils sont bénins ou malins. Les signes et les symptômes peuvent inclure une masse palpable dans l'abdomen, une douleur abdominale, des nausées, des vomissements, une perte d'appétit, une perte de poids involontaire, des ballonnements, des changements dans les habitudes intestinales et du sang dans les selles.
Le diagnostic des tumeurs abdominales implique généralement plusieurs étapes, y compris un examen physique, des analyses de sang, des tests d'imagerie tels que les tomodensitogrammes (TDM), les imageries par résonance magnétique (IRM) et les échographies. Dans certains cas, une biopsie peut être nécessaire pour confirmer le diagnostic et déterminer le type de tumeur.
Le traitement des tumeurs abdominales dépend du type, de la taille, de l'emplacement de la tumeur et de son stade. Les options de traitement peuvent inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie ou une combinaison de ces traitements. Dans certains cas, une surveillance attentive peut être recommandée si la tumeur est bénigne et ne cause pas de symptômes.
Les tumeurs du système nerveux sont des croissances anormales qui se forment dans les tissus du système nerveux. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes ont tendance à se développer lentement et sont moins susceptibles de se propager à d'autres parties du corps, tandis que les tumeurs malignes se développent rapidement et peuvent envahir les tissus voisins et se propager à d'autres parties du corps.
Les tumeurs du système nerveux peuvent survenir dans le cerveau ou la moelle épinière, ainsi que dans les nerfs périphériques. Les symptômes dépendent de l'emplacement et de la taille de la tumeur, mais peuvent inclure des maux de tête, des nausées, des vomissements, des convulsions, des changements de vision, des engourdissements, des faiblesses musculaires, des problèmes d'équilibre et de coordination, et des changements mentaux ou comportementaux.
Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que de son stade et de l'état général de santé du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, et une chimiothérapie pour empêcher la croissance des cellules cancéreuses. Dans certains cas, une combinaison de ces traitements peut être utilisée.
Les gangliosides sont des glycosphingolipides complexes qui se trouvent principalement dans la membrane des neurones du système nerveux central et périphérique. Ils jouent un rôle important dans la reconnaissance cellulaire, l'adhésion cellulaire, le signalement cellulaire et la modulation de l'activité enzymatique. Les gangliosides sont composés d'une tête polaire contenant des oligosaccharides acylées à des chaînes de céramide hydrophobes.
Les gangliosides sont classés selon le nombre et la séquence des résidus de sucre dans leur tête polaire. Le type le plus simple est le GM3, qui contient un disaccharide (galactose et N-acétylneuraminique). D'autres types, tels que GD3, GT3 et GQ1b, ont des structures oligosaccharidiques plus complexes.
Les anomalies dans la composition ou l'expression des gangliosides ont été associées à diverses maladies neurologiques, y compris les maladies neurodégénératives telles que la maladie de Parkinson et la maladie d'Alzheimer, ainsi que certaines formes de paralysie supranucléaire progressive. De plus, certains types de cancer présentent une expression anormale des gangliosides, ce qui peut être utilisé comme marqueur tumoral ou cible thérapeutique.
L'apoptose est un processus physiologique normal de mort cellulaire programmée qui se produit de manière contrôlée et ordonnée dans les cellules multicellulaires. Il s'agit d'un mécanisme important pour l'élimination des cellules endommagées, vieilles ou anormales, ainsi que pour la régulation du développement et de la croissance des tissus.
Lors de l'apoptose, la cellule subit une série de changements morphologiques caractéristiques, tels qu'une condensation et une fragmentation de son noyau, une fragmentation de son cytoplasme en petites vésicules membranaires appelées apoptosomes, et une phagocytose rapide par les cellules immunitaires voisines sans déclencher d'inflammation.
L'apoptose est régulée par un équilibre délicat de facteurs pro-apoptotiques et anti-apoptotiques qui agissent sur des voies de signalisation intracellulaires complexes. Un déséquilibre dans ces voies peut entraîner une activation excessive ou insuffisante de l'apoptose, ce qui peut contribuer au développement de diverses maladies, telles que les maladies neurodégénératives, les troubles auto-immuns, les infections virales et les cancers.
La régulation de l'expression génique tumorale dans un contexte médical se réfère aux mécanismes moléculaires et cellulaires qui contrôlent la manière dont les gènes s'expriment dans les cellules cancéreuses. Les changements dans l'expression des gènes peuvent entraîner une prolifération cellulaire accrue, une résistance à l'apoptose (mort cellulaire programmée), une angiogenèse (croissance de nouveaux vaisseaux sanguins) et une métastase, qui sont tous des processus clés dans le développement du cancer.
La régulation de l'expression génique tumorale peut être influencée par une variété de facteurs, y compris les mutations génétiques, les modifications épigénétiques (telles que la méthylation de l'ADN et l'acétylation des histones), les facteurs de transcription anormaux, les miARN (petits ARN non codants qui régulent l'expression des gènes) et les interactions entre les cellules tumorales et leur microenvironnement.
Comprendre la régulation de l'expression génique tumorale est crucial pour le développement de thérapies ciblées contre le cancer, car il permet d'identifier de nouvelles cibles thérapeutiques et de prédire la réponse des patients aux traitements existants. Des approches telles que l'édition du génome, la modulation épigénétique et l'interférence avec les miARN sont autant de stratégies prometteuses pour réguler l'expression des gènes dans le cancer et améliorer les résultats cliniques.
Les tumeurs de la moelle osseuse se réfèrent à des croissances anormales dans la substance spongieuse au centre des os, où la moelle osseuse rouge est produite. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).
Les tumeurs bénignes comprennent les ostéomes, les chondromes et les fibromes. Ils sont généralement lents à se développer et ne se propagent pas à d'autres parties du corps. Dans certains cas, ils peuvent causer des symptômes comme la douleur osseuse, une fracture osseuse ou une compression de nerfs si elles deviennent suffisamment grandes pour affecter les tissus environnants.
Les tumeurs malignes comprennent le myélome multiple, les lymphomes et les leucémies. Elles se développent rapidement et ont tendance à se propager à d'autres parties du corps. Les symptômes peuvent inclure la fatigue, des infections fréquentes, des ecchymoses faciles, des saignements, une perte de poids involontaire, des sueurs nocturnes et des douleurs osseuses.
Le traitement dépend du type de tumeur, de son emplacement, de sa taille et de son stade. Il peut inclure la surveillance, la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie ou une greffe de moelle osseuse.
Les tumeurs surrénaliennes sont des growths anormaux qui se développent dans les glandes surrénales. Les glandes surrénales sont des petites glandes situées au-dessus des reins qui produisent plusieurs hormones importantes telles que l'adrénaline, le cortisol et les androgènes.
Les tumeurs surrénaliennes peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes sont appelées adénomes surrénaliens et sont relativement courantes, affectant environ 3 à 10 personnes sur 100 000. La plupart des adénomes surrénaliens ne causent pas de symptômes et ne nécessitent aucun traitement.
Cependant, certaines tumeurs surrénales peuvent produire des niveaux excessifs d'hormones, ce qui peut entraîner une variété de symptômes. Par exemple, les tumeurs surrénales qui produisent de l'adrénaline peuvent causer des palpitations cardiaques, de l'anxiété, de la transpiration et des tremblements. Les tumeurs surrénales qui produisent du cortisol peuvent entraîner une prise de poids, un visage bouffi, une pression artérielle élevée, une faiblesse musculaire et une fragilité osseuse.
Les tumeurs surrénales malignes sont appelées phéochromocytomes ou corticosurrénalomes, selon l'hormone qu'elles produisent. Ces tumeurs sont rares mais peuvent être très dangereuses car elles peuvent entraîner une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral ou même la mort si elles ne sont pas traitées rapidement.
Le diagnostic des tumeurs surrénales implique généralement une combinaison de tests d'imagerie et de tests sanguins pour déterminer la taille, l'emplacement et le type de tumeur. Le traitement dépend du type et de la gravité de la tumeur mais peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie.
La tretinoïne est un rétinoïde, qui est un dérivé de la vitamine A. Il est couramment utilisé en dermatologie pour traiter diverses affections cutanées telles que l'acné, les ridules et les rides, les dommages causés par le soleil, les taches de vieillesse et certaines formes de kératose.
La tretinoïne fonctionne en accélérant le renouvellement cellulaire de la peau, ce qui entraîne l'élimination des cellules mortes à la surface de la peau et la production de nouvelles cellules saines. Il peut également aider à réduire l'inflammation et à réguler la production de sébum dans les glandes sébacées, ce qui en fait un traitement efficace pour l'acné.
La tretinoïne est disponible sous différentes formulations, notamment des crèmes, des gels et des solutions, et doit être prescrite par un médecin. Les effets secondaires courants de la tretinoïne comprennent une irritation cutanée, une rougeur, un assèchement et une desquamation de la peau. Il est important d'utiliser la tretinoïne conformément aux instructions de votre médecin et de ne pas l'utiliser plus fréquemment ou en plus grande quantité que prescrite, car cela peut entraîner des effets secondaires indésirables.
La différenciation cellulaire est un processus biologique dans lequel une cellule somatique immature ou moins spécialisée, appelée cellule souche ou cellule progénitrice, se développe et se spécialise pour former un type de cellule plus mature et fonctionnellement distinct. Ce processus implique des changements complexes dans la structure cellulaire, la fonction et la métabolisme, qui sont médiés par l'expression génétique différenciée et la régulation épigénétique.
Au cours de la différenciation cellulaire, les gènes qui codent pour les protéines spécifiques à un type cellulaire particulier sont activés, tandis que d'autres gènes sont réprimés. Cela entraîne des modifications dans la morphologie cellulaire, y compris la forme et la taille de la cellule, ainsi que la cytosquelette et les organites intracellulaires. Les cellules différenciées présentent également des caractéristiques fonctionnelles uniques, telles que la capacité à produire des enzymes spécifiques ou à participer à des processus métaboliques particuliers.
La différenciation cellulaire est un processus crucial dans le développement embryonnaire et fœtal, ainsi que dans la maintenance et la réparation des tissus adultes. Des anomalies dans ce processus peuvent entraîner des maladies congénitales ou acquises, telles que les cancers et les troubles du développement.
Les neurones, également connus sous le nom de cellules nerveuses, sont les unités fonctionnelles fondamentales du système nerveux. Ils sont responsables de la réception, du traitement, de la transmission et de la transduction des informations dans le cerveau et d'autres parties du corps. Les neurones se composent de trois parties principales : le dendrite, le corps cellulaire (ou soma) et l'axone.
1. Les dendrites sont des prolongements ramifiés qui reçoivent les signaux entrants d'autres neurones ou cellules sensoriques.
2. Le corps cellulaire contient le noyau de la cellule, où se trouvent l'ADN et les principales fonctions métaboliques du neurone.
3. L'axone est un prolongement unique qui peut atteindre une longueur considérable et transmet des signaux électriques (potentiels d'action) vers d'autres neurones ou cellules effectrices, telles que les muscles ou les glandes.
Les synapses sont les sites de communication entre les neurones, où l'axone d'un neurone se connecte aux dendrites ou au corps cellulaire d'un autre neurone. Les neurotransmetteurs sont des molécules chimiques libérées par les neurones pour transmettre des signaux à travers la synapse vers d'autres neurones.
Les neurones peuvent être classés en différents types en fonction de leur morphologie, de leurs propriétés électriques et de leur rôle dans le système nerveux. Par exemple :
- Les neurones sensoriels capturent et transmettent des informations sensorielles provenant de l'environnement externe ou interne vers le cerveau.
- Les neurones moteurs transmettent les signaux du cerveau vers les muscles ou les glandes pour provoquer une réponse motrice ou hormonale.
- Les interneurones sont des neurones locaux qui assurent la communication et l'intégration entre les neurones sensoriels et moteurs dans le système nerveux central.
Les iodobenzènes sont des composés organiques qui contiennent un groupe iodo (I-) lié à un noyau benzénique. La formule générale de ces composés est C6H5I. Les iodobenzènes peuvent être synthétisés en réagissant du benzène avec de l'iode dans la présence d'un catalyseur, comme le dichlorure de mercure ou le sulfate de cuivre.
Ces composés sont utiles en synthèse organique car l'iodobenzène est un groupe partant relativement facile, ce qui permet des réactions de substitution nucléophile aromatique. Les iodobenzènes peuvent également être utilisés pour préparer d'autres composés organiques par des réactions telles que la couplage de Suzuki et la réaction de Wurtz.
Cependant, il est important de noter que les iodobenzènes sont généralement moins stables que d'autres halogénures de benzène en raison de la taille plus grande de l'atome d'iode, ce qui peut entraîner une géométrie moléculaire moins favorable. Par conséquent, ils doivent être manipulés avec soin pour éviter leur décomposition ou leur réaction non intentionnelle avec d'autres composés.
Une lignée cellulaire est un groupe homogène de cellules dérivées d'un seul type de cellule d'origine, qui se divisent et se reproduisent de manière continue dans des conditions de culture en laboratoire. Ces cellules sont capables de maintenir certaines caractéristiques spécifiques à leur type cellulaire d'origine, telles que la forme, les fonctions et les marqueurs moléculaires, même après plusieurs générations.
Les lignées cellulaires sont largement utilisées dans la recherche biomédicale pour étudier divers processus cellulaires et moléculaires, tester de nouveaux médicaments, développer des thérapies et comprendre les mécanismes sous-jacents aux maladies humaines. Il est important de noter que certaines lignées cellulaires peuvent présenter des anomalies chromosomiques ou génétiques dues à leur manipulation en laboratoire, ce qui peut limiter leur utilisation dans certains contextes expérimentaux ou cliniques.
Les cellules hybrides sont des cellules qui résultent de la fusion de deux cellules différentes, généralement une cellule somatique (cellule du corps) et une cellule reproductrice (ovule ou spermatozoïde). Ce processus est souvent induit en laboratoire pour étudier le comportement et les caractéristiques des cellules hybrides. Les cellules hybrides peuvent aussi se former naturellement dans certaines conditions, comme dans le cas de la formation de certains types de tumeurs. Dans ce contexte, les cellules hybrides peuvent contribuer à la croissance et à la propagation du cancer.
Il est important de noter que les cellules hybrides ne doivent pas être confondues avec les cellules souches pluripotentes induites (iPSC), qui sont des cellules somatiques réprogrammées pour acquérir des propriétés similaires à celles des cellules souches embryonnaires. Les iPSC peuvent se différencier en différents types de cellules, mais elles ne sont pas le résultat d'une fusion entre deux cellules distinctes.
En médecine, le terme "survie cellulaire" fait référence à la capacité d'une cellule à continuer à fonctionner et à rester vivante dans des conditions qui seraient normalement hostiles ou défavorables à sa croissance et à sa reproduction. Cela peut inclure des facteurs tels que l'exposition à des toxines, un manque de nutriments, une privation d'oxygène ou l'exposition à des traitements médicaux agressifs tels que la chimiothérapie ou la radiothérapie.
La survie cellulaire est un processus complexe qui implique une série de mécanismes adaptatifs et de réponses au stress qui permettent à la cellule de s'adapter et de survivre dans des conditions difficiles. Ces mécanismes peuvent inclure l'activation de voies de signalisation spécifiques, la régulation de l'expression des gènes, l'autophagie (un processus par lequel une cellule dégrade ses propres composants pour survivre) et d'autres mécanismes de réparation et de protection.
Il est important de noter que la survie cellulaire peut être un phénomène bénéfique ou préjudiciable, selon le contexte. Dans certains cas, la capacité d'une cellule à survivre et à se régénérer peut être essentielle à la guérison et à la récupération après une maladie ou une blessure. Cependant, dans d'autres cas, la survie de cellules anormales ou cancéreuses peut entraîner des problèmes de santé graves, tels que la progression de la maladie ou la résistance au traitement.
En fin de compte, la compréhension des mécanismes sous-jacents à la survie cellulaire est essentielle pour le développement de stratégies thérapeutiques efficaces et ciblées qui peuvent être utilisées pour promouvoir la survie des cellules saines tout en éliminant les cellules anormales ou cancéreuses.
Les protéines proto-oncogènes C-MYC sont des facteurs de transcription qui jouent un rôle crucial dans la régulation de l'expression des gènes impliqués dans la croissance cellulaire, la différentiation, la prolifération et l'apoptose (mort cellulaire programmée). Ces proto-oncogènes sont souvent surexprimés ou mutés dans divers types de cancer, ce qui entraîne une activation ou une dysrégulation anormales des voies de signalisation cellulaires.
La protéine C-MYC forme un complexe avec d'autres facteurs de transcription et se lie à des séquences spécifiques d'ADN appelées E-boxes, situées dans les promoteurs ou les enhancers de gènes cibles. Cette liaison permet la transcription de ces gènes et l'activation de processus cellulaires tels que la synthèse des protéines, la progression du cycle cellulaire et la métabolisme énergétique.
Dans un contexte cancéreux, une activation ou une amplification anormale de C-MYC peut entraîner une prolifération cellulaire incontrôlée, une résistance à l'apoptose et une évasion des mécanismes de contrôle cellulaires. Ces altérations contribuent au développement et à la progression de divers types de tumeurs solides et de leucémies.
En bref, les protéines proto-oncogènes C-MYC sont des régulateurs clés de l'expression génique et des processus cellulaires, et leur dysrégulation est associée à la pathogenèse du cancer.
Les protéines nucléaires sont des protéines qui se trouvent dans le noyau des cellules et jouent un rôle crucial dans la régulation de l'expression des gènes, la réplication de l'ADN, la réparation de l'ADN, la transcription de l'ARN et d'autres processus essentiels à la survie et à la reproduction des cellules.
Il existe plusieurs types de protéines nucléaires, y compris les histones, qui sont des protéines structurelles qui aident à compacter l'ADN en chromosomes, et les facteurs de transcription, qui se lient à l'ADN pour réguler l'expression des gènes. Les protéines nucléaires peuvent également inclure des enzymes qui sont impliquées dans la réplication et la réparation de l'ADN, ainsi que des protéines qui aident à maintenir l'intégrité structurelle du noyau.
Les protéines nucléaires peuvent être régulées au niveau de leur expression, de leur localisation dans la cellule et de leur activité enzymatique. Des anomalies dans les protéines nucléaires peuvent entraîner des maladies génétiques et contribuer au développement du cancer. Par conséquent, l'étude des protéines nucléaires est importante pour comprendre les mécanismes moléculaires qui sous-tendent la régulation de l'expression des gènes et d'autres processus cellulaires essentiels.
Les Tumeurs Neuroectodermiques Primaires Périphériques (TNEPP) sont des tumeurs malignes rares et agressives qui se développent à partir des cellules nerveuses situées en dehors du cerveau et de la moelle épinière. Ces tumeurs sont appelées "neuroectodermiques" car elles dérivent des cellules du neuroectoderme, un tissu embryonnaire qui donne naissance aux structures nerveuses du corps.
Les TNEPP se forment le plus souvent dans les tissus mous profonds des membres, mais peuvent également apparaître dans d'autres parties du corps telles que la cavité abdominale ou thoracique. Elles sont caractérisées par une croissance rapide et une tendance à se propager rapidement vers d'autres parties du corps (métastases).
Les TNEPP peuvent toucher les personnes de tous âges, mais elles sont plus fréquentes chez les enfants et les jeunes adultes. Les symptômes dépendent de la localisation de la tumeur et peuvent inclure des douleurs, des gonflements, des faiblesses musculaires, des engourdissements ou des picotements dans les membres, ainsi que des difficultés à respirer ou à avaler si la tumeur se trouve dans la cavité thoracique ou abdominale.
Le diagnostic de TNEPP repose sur l'analyse histopathologique d'un échantillon de tissu prélevé par biopsie. Le traitement dépend du stade et de l'emplacement de la tumeur, mais peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, suivie d'une chimiothérapie et/ou d'une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses restantes. Malgré le traitement, les TNEPP ont un pronostic généralement défavorable en raison de leur agressivité et de leur tendance à se propager rapidement dans tout le corps.
Les antinéoplasiques sont une classe de médicaments utilisés dans le traitement du cancer. Ils fonctionnent en ciblant et en détruisant les cellules cancéreuses ou en arrêtant leur croissance et leur division. Ces médicaments peuvent être administrés par voie orale, intraveineuse ou intramusculaire, selon le type de cancer traité et la voie d'administration recommandée.
Les antinéoplasiques comprennent plusieurs sous-catégories, telles que les chimiothérapies, les thérapies ciblées, l'immunothérapie et la hormonothérapie. Chacune de ces sous-catégories fonctionne de manière différente pour cibler et détruire les cellules cancéreuses.
Les chimiothérapies sont des médicaments qui interfèrent avec la division cellulaire, ce qui entraîne la mort des cellules cancéreuses. Cependant, ils peuvent également affecter les cellules saines à division rapide, comme les cellules du sang et du système digestif, entraînant des effets secondaires tels que la fatigue, la nausée et la perte de cheveux.
Les thérapies ciblées sont conçues pour cibler spécifiquement les caractéristiques uniques des cellules cancéreuses, telles que les mutations génétiques ou les protéines anormales qui favorisent la croissance et la division des cellules. Cela permet de réduire l'impact sur les cellules saines, ce qui peut entraîner moins d'effets secondaires.
L'immunothérapie utilise le système immunitaire du patient pour combattre le cancer en augmentant sa capacité à reconnaître et à détruire les cellules cancéreuses. Cela peut être réalisé en administrant des médicaments qui stimulent la réponse immunitaire ou en modifiant génétiquement les cellules du système immunitaire pour qu'elles ciblent spécifiquement les cellules cancéreuses.
La chimiothérapie est un traitement courant pour de nombreux types de cancer, mais elle peut également être utilisée en combinaison avec d'autres traitements, tels que la radiothérapie et la chirurgie. Les décisions concernant le choix du traitement dépendent de nombreux facteurs, notamment le type et le stade du cancer, l'âge et l'état général de santé du patient.
Les chromosomes humains de la paire 1, également connus sous le nom de chromosome 1, sont les plus grands chromosomes humains en termes de longueur et de nombre de gènes. Ils font partie des 23 paires de chromosomes humains et chacun d'entre eux contient environ 2 800 gènes, ce qui représente environ 8% du total des gènes du génome humain.
Les chromosomes de la paire 1 sont présents dans toutes les cellules du corps à l'exception des gamètes (spermatozoïdes et ovules), qui ne contiennent que 23 chromosomes individuels. Pendant la fécondation, lorsque les gamètes mâles et femelles se rencontrent, leurs chromosomes s'associent pour former le zygote, qui contient 46 chromosomes au total, répartis en 23 paires.
Les chromosomes de la paire 1 sont cruciaux pour une variété de fonctions cellulaires et peuvent être associés à un certain nombre de maladies génétiques lorsqu'ils présentent des anomalies structurelles ou fonctionnelles. Par exemple, certaines conditions telles que la microdélétion 1p36, la délétion 1q21.1 et l'anomalie du chromosome 1q44 peuvent être causées par des réarrangements structurels spécifiques de ce chromosome.
Les recherches sur les chromosomes humains de la paire 1 se poursuivent activement, car une meilleure compréhension de leur fonction et de leur régulation peut fournir des informations importantes sur le développement et les maladies humaines.
Les neurites sont des prolongements des neurones, qui peuvent être soit des dendrites (ramifications receptrices) ou des axones (prolongements conducteurs de signaux). Ils se forment pendant le développement du système nerveux et jouent un rôle crucial dans l'établissement des connexions entre les neurones. Les dommages aux neurites peuvent entraîner une dysfonction neurologique et sont souvent observés dans des conditions neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer et la sclérose en plaques.
ARN messager (ARNm) est une molécule d'acide ribonucléique simple brin qui transporte l'information génétique codée dans l'ADN vers les ribosomes, où elle dirige la synthèse des protéines. Après la transcription de l'ADN en ARNm dans le noyau cellulaire, ce dernier est transloqué dans le cytoplasme et fixé aux ribosomes. Les codons (séquences de trois nucléotides) de l'ARNm sont alors traduits en acides aminés spécifiques qui forment des chaînes polypeptidiques, qui à leur tour se replient pour former des protéines fonctionnelles. Les ARNm peuvent être régulés au niveau de la transcription, du traitement post-transcriptionnel et de la dégradation, ce qui permet une régulation fine de l'expression génique.
Dans le contexte actuel, les vaccins à ARNm contre la COVID-19 ont été développés en utilisant des morceaux d'ARNm synthétiques qui codent pour une protéine spécifique du virus SARS-CoV-2. Lorsque ces vaccins sont administrés, les cellules humaines produisent cette protéine virale étrangère, ce qui déclenche une réponse immunitaire protectrice contre l'infection par le vrai virus.
La transfection est un processus de laboratoire dans le domaine de la biologie moléculaire où des matériels génétiques tels que l'ADN ou l'ARN sont introduits dans des cellules vivantes. Cela permet aux chercheurs d'ajouter, modifier ou étudier l'expression des gènes dans ces cellules. Les méthodes de transfection comprennent l'utilisation de vecteurs viraux, de lipides ou d'électroporation. Il est important de noter que la transfection ne se produit pas naturellement et nécessite une intervention humaine pour introduire les matériels génétiques dans les cellules.
Une souris « nude » est un type spécifique de souche de souris utilisée dans la recherche biomédicale. Ces souris sont appelées « nude » en raison de leur apparence physique distinctive, qui comprend une fourrure clairsemée ou absente et l'absence de vibrisses (moustaches).
La caractéristique génétique la plus importante des souris nude est leur déficience immunitaire congénitale sévère. Elles manquent de thymus et ont donc un système immunitaire considérablement affaibli, en particulier en ce qui concerne le système immunitaire adaptatif. Cela signifie qu'elles ne peuvent pas rejeter les greffes de tissus étrangers aussi efficacement que les souris normales.
Cette caractéristique fait des souris nude un outil précieux dans la recherche biomédicale, en particulier dans le domaine de l'immunologie et de la recherche sur le cancer. Les chercheurs peuvent greffer des tissus humains ou des cellules cancéreuses sur ces souris pour étudier la façon dont ils se comportent et réagissent dans un organisme vivant. Cela permet aux scientifiques d'en apprendre davantage sur le développement du cancer, les traitements potentiels et la réaction du système immunitaire humain à divers stimuli sans mettre en danger des sujets humains.
La prolifération cellulaire est un processus biologique au cours duquel il y a une augmentation rapide et accrue du nombre de cellules, en raison d'une division cellulaire active et accélérée. Dans un contexte médical et scientifique, ce terme est souvent utilisé pour décrire la croissance et la propagation des cellules anormales ou cancéreuses dans le corps.
Dans des conditions normales, la prolifération cellulaire est régulée et équilibrée par des mécanismes de contrôle qui coordonnent la division cellulaire avec la mort cellulaire programmée (apoptose). Cependant, dans certaines situations pathologiques, telles que les tumeurs malignes ou cancéreuses, ces mécanismes de régulation sont perturbés, entraînant une prolifération incontrôlable des cellules anormales.
La prolifération cellulaire peut également être observée dans certaines maladies non cancéreuses, telles que les processus inflammatoires et réparateurs tissulaires après une lésion ou une infection. Dans ces cas, la prolifération cellulaire est généralement temporaire et limitée à la zone touchée, jusqu'à ce que le tissu soit guéri et que les cellules retournent à leur état de repos normal.
En résumé, la prolifération cellulaire est un processus complexe qui joue un rôle crucial dans la croissance, la réparation et la régénération des tissus, mais qui peut également contribuer au développement de maladies graves telles que le cancer lorsqu'il échappe aux mécanismes de contrôle normaux.
Les tumeurs cérébrales sont des croissances anormales de cellules à l'intérieur ou autour du cerveau. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs cérébrales bénignes ont tendance à se développer plus lentement et sont moins susceptibles de se propager hors du cerveau. Cependant, elles peuvent encore être dangereuses si elles pressent sur des parties vitales du cerveau. Les tumeurs cérébrales malignes se développent rapidement, ont tendance à envahir les tissus cérébraux voisins et peuvent se propager à d'autres parties du corps.
Les symptômes des tumeurs cérébrales dépendent de leur taille, de leur emplacement et de la vitesse à laquelle elles se développent. Ils peuvent inclure des maux de tête sévères et persistants, des nausées ou des vomissements, une vision floue ou double, des problèmes d'équilibre ou de coordination, des changements de personnalité ou de comportement, des convulsions, des problèmes de mémoire ou de concentration, et dans certains cas, une faiblesse ou un engourdissement d'un côté du corps.
Le traitement dépend du type, de la taille et de l'emplacement de la tumeur, de son caractère bénin ou malin, de l'âge et de l'état général du patient. Il peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, une chimiothérapie pour tuer les cellules cancéreuses, ou une thérapie ciblée qui utilise des médicaments pour cibler spécifiquement les changements dans les cellules cancéreuses.
Le terme "stade cancer" fait référence à un système de classification qui évalue le degré d'avancement d'une tumeur maligne dans l'organisme. Il est généralement déterminé par la taille de la tumeur primitive, l'envahissement des ganglions lymphatiques environnants et la présence ou non de métastases à distance. Le système de stadification le plus couramment utilisé est le système TNM (Tumor, Node, Metastasis), qui est basé sur les caractéristiques tumorales, les ganglions lymphatiques et les métastases.
Le stade I correspond à une tumeur localisée et de petite taille sans envahissement des ganglions lymphatiques ni métastases. Les stades II et III décrivent des tumeurs plus larges ou qui ont commencé à se propager aux ganglions lymphatiques voisins. Le stade IV, également connu sous le nom de cancer avancé ou métastatique, indique que la tumeur s'est propagée à d'autres parties du corps, telles que les poumons, le foie ou les os.
La détermination du stade du cancer est importante pour planifier le traitement approprié et prévoir le pronostic du patient.
La Fenrétinide est un médicament rétinoïde, qui est une forme synthétique de la vitamine A. Il est utilisé en médecine pour traiter certaines formes de cancer, telles que le cancer du sein et la leucémie promyélocytaire aiguë. La fenrétinide agit en modifiant la croissance et la multiplication des cellules cancéreuses.
Ce médicament est également étudié dans le cadre de traitements pour d'autres maladies, telles que la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) et la rétinopathie diabétique. Cependant, il n'a pas encore été approuvé par les autorités de santé pour ces utilisations.
Comme tous les médicaments rétinoïdes, la fenrétinide peut entraîner des effets secondaires graves, tels que des anomalies congénitales si elle est prise pendant la grossesse, des problèmes hépatiques, des troubles sanguins et des sécheresses cutanées et muqueuses. Par conséquent, il doit être prescrit et surveillé par un médecin.
La réaction de polymérisation en chaîne par transcriptase inverse (RT-PCR en anglais) est une méthode de laboratoire utilisée pour amplifier des fragments d'ARN spécifiques. Cette technique combine deux processus distincts : la transcription inverse, qui convertit l'ARN en ADN complémentaire (ADNc), et la polymérisation en chaîne, qui permet de copier rapidement et de manière exponentielle des millions de copies d'un fragment d'ADN spécifique.
La réaction commence par la transcription inverse, où une enzyme appelée transcriptase inverse utilise un brin d'ARN comme matrice pour synthétiser un brin complémentaire d'ADNc. Ce processus est suivi de la polymérisation en chaîne, où une autre enzyme, la Taq polymérase, copie le brin d'ADNc pour produire des millions de copies du fragment d'ADN souhaité.
La RT-PCR est largement utilisée dans la recherche médicale et clinique pour détecter et quantifier l'expression génétique, diagnostiquer les maladies infectieuses, détecter les mutations génétiques et effectuer des analyses de génome. Elle est également utilisée dans les tests de diagnostic COVID-19 pour détecter le virus SARS-CoV-2.
Le Far-Western blotting est une méthode de laboratoire utilisée dans la recherche biomédicale pour détecter et identifier des protéines spécifiques dans un échantillon. Cette technique est une variation du Western blot traditionnel, qui implique le transfert d'échantillons de protéines sur une membrane, suivi de l'incubation avec des anticorps marqués pour détecter les protéines d'intérêt.
Dans le Far-Western blotting, la membrane contenant les protéines est incubée avec une source de protéine marquée ou étiquetée, telle qu'une enzyme ou une biomolécule fluorescente, qui se lie spécifiquement à la protéine d'intérêt. Cette méthode permet non seulement de détecter la présence de la protéine, mais aussi de caractériser ses interactions avec d'autres protéines ou molécules.
Le Far-Western blotting est particulièrement utile pour l'étude des interactions protéine-protéine et des modifications post-traductionnelles des protéines, telles que la phosphorylation ou la glycosylation. Cependant, il nécessite une optimisation soigneuse des conditions expérimentales pour assurer la spécificité et la sensibilité de la détection.
L'acide homovanillique (HVA) est un métabolite de la dopamine, qui est un neurotransmetteur important dans le cerveau. La dopamine est dégradée en HVA par une enzyme appelée monoamine oxydase. Le taux d'HVA dans le liquide céphalo-rachidien (LCR) ou dans l'urine peut être mesuré pour évaluer la fonction dopaminergique dans le cerveau, ce qui est utile dans le diagnostic et le suivi de certaines maladies neurologiques telles que la maladie de Parkinson. Des taux anormalement bas d'HVA peuvent indiquer une diminution de l'activité dopaminergique, tandis que des taux élevés peuvent être observés dans certaines conditions psychiatriques telles que la schizophrénie.
En médecine, le terme "pronostic" se réfère à la prévision du résultat ou de l'issue attendue d'une maladie ou d'une blessure dans le corps humain. Il s'agit essentiellement d'une estimation de la probabilité du rétablissement complet, de l'amélioration continue, de l'évolution vers une invalidité permanente ou du décès d'un patient atteint d'une certaine maladie ou blessure.
Le pronostic est généralement fondé sur les antécédents médicaux du patient, les résultats des tests diagnostiques, l'étendue de la maladie ou de la lésion, la réponse au traitement et d'autres facteurs pertinents. Il peut être exprimé en termes généraux ou spécifiques, tels qu'un pronostic favorable, défavorable ou incertain.
Il est important de noter que le pronostic n'est pas une garantie et ne doit pas être considéré comme tel. Il s'agit simplement d'une estimation basée sur des données probantes et l'expérience clinique, qui peut varier d'un patient à l'autre. Les médecins doivent communiquer clairement le pronostic aux patients et à leur famille, en s'assurant qu'ils comprennent les risques, les avantages et les incertitudes associés au traitement et à la maladie sous-jacente.
L'isotrétinoïne est un médicament dérivé de la vitamine A, utilisé principalement pour le traitement de l'acné sévère et nodulaire. Il fonctionne en réduisant la production d'huile dans les glandes sébacées, ce qui aide à prévenir l'obstruction des follicules pileux et à réduire l'inflammation.
L'isotrétinoïne est disponible sous forme de capsule orale et est généralement prescrite lorsque d'autres traitements contre l'acné se sont avérés inefficaces. En raison de ses effets tératogènes (pouvant causer des malformations congénitales graves), son utilisation est strictement réglementée, en particulier chez les femmes en âge de procréer.
Les effets secondaires courants de l'isotrétinoïne comprennent la sécheresse de la peau et des muqueuses, des douleurs musculaires, des maux de tête et une sensibilité accrue au soleil. Dans de rares cas, il peut également entraîner des augmentations du taux de triglycérides et de cholestérol sanguins, ce qui peut augmenter le risque de maladies cardiovasculaires.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
Les cellules "Apud" sont un type de cellule endocrine trouvées dans divers tissus et organes, notamment l'estomac, l'intestin grêle, le pancréas et le système nerveux autonome. Le terme "Apud" est en fait un acronyme pour "amine precursor uptake and decarboxylation", qui décrit la capacité de ces cellules à absorber et à décarboxyliser des précurseurs d'amines, ce qui leur permet de produire et de sécréter une variété de neuropeptides et d'hormones.
Les cellules Apud peuvent être classées en différents types en fonction de la nature de l'hormone ou du neuropeptide qu'elles produisent. Par exemple, les cellules entérochromaffines sont un type de cellule Apud trouvée dans l'intestin grêle qui sécrète de la sérotonine, tandis que les cellules D sont des cellules Apud pancréatiques qui produisent du somatostatine.
Les hormones et neuropeptides libérés par les cellules Apud jouent un rôle important dans une variété de fonctions physiologiques, notamment la régulation de l'appétit, la motilité gastro-intestinale, la sécrétion d'autres hormones et le contrôle de la pression artérielle. Les déséquilibres dans la fonction des cellules Apud peuvent contribuer à un certain nombre de conditions médicales, telles que les troubles gastro-intestinaux fonctionnels, le diabète et les maladies neuroendocrines.
La maladie de Hirschsprung est une anomalie congénitale du système nerveux entérique, qui affecte le côlon et provoque une obstruction intestinale. Cette condition est caractérisée par l'absence de ganglions nerveux (neurones) dans une partie ou dans la totalité du muscle circulaire de la paroi intestinale. Les ganglions nerveux sont responsables de la relaxation des muscles intestinaux, permettant ainsi le passage des selles. En leur absence, une zone de l'intestin reste contractée et empêche les matières fécales de se déplacer normalement.
La maladie de Hirschsprung peut varier en gravité, allant d'une forme aggravée touchant tout le côlon (forme longue) à une forme plus bénigne ne concernant qu'un segment court du côlon. Les symptômes les plus courants comprennent la constipation sévère et prolongée, des vomissements nauséabonds, une distension abdominale et un retard de croissance chez les nourrissons. Chez les enfants plus âgés, elle peut se manifester par une diarrhée chronique, une mauvaise absorption des nutriments et un retard de développement.
Le diagnostic de la maladie de Hirschsprung repose généralement sur des tests spécifiques tels qu'une manométrie anorectale, une biopsie rectale et une radiographie de l'intestin. Le traitement consiste le plus souvent en une intervention chirurgicale visant à retirer la section affectée du côlon et à reconnecter les sections saines de l'intestin. Après l'intervention, certains enfants peuvent encore présenter des problèmes de constipation ou d'incontinence fécale, qui peuvent être traités avec des médicaments, une alimentation adaptée et des techniques de formation à la propreté.
La maladie de Hodgkin à grandes cellules anaplasiques (anaplastic large cell lymphoma ou ALCL en anglais) est un type rare de lymphome qui appartient au groupe des lymphomes non hodgkiniens. Il se caractérise par la présence de cellules tumorales anaplasiques atypiques, grandes et inhabituelles, appelées cellules de Reed-Sternberg.
Ce type de lymphome peut survenir à tout âge, mais il est plus fréquent chez les jeunes adultes et les personnes âgées. Les symptômes peuvent inclure des ganglions lymphatiques enflés, de la fièvre, des sueurs nocturnes, une perte de poids inexpliquée, et une fatigue générale.
Le diagnostic d'ALCL repose sur une biopsie d'un ganglion lymphatique ou d'un autre tissu affecté, suivie d'une analyse immunohistochimique et moléculaire pour confirmer la présence de cellules anaplasiques spécifiques.
Le traitement dépend du stade et de l'agressivité de la maladie, mais peut inclure une chimiothérapie, une radiothérapie, une greffe de cellules souches ou une thérapie ciblée. Le pronostic varie en fonction du stade de la maladie et de l'âge du patient, mais il est généralement meilleur pour les patients atteints d'une forme localisée de la maladie.
Les cellules souches embryonnaires sont des cellules pluripotentes qui se trouvent dans les blastocystes, stade précoce du développement d'un embryon. Elles ont la capacité de se renouveler indéfiniment et peuvent se différencier en tous les types de cellules spécialisées de l'organisme, y compris les cellules des tissus solides et des cellules sanguines. Cela signifie qu'elles ont un grand potentiel pour être utilisées dans la médecine régénérative et le traitement de diverses maladies dégénératives et inflammatoires, telles que le diabète, la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques et les lésions de la moelle épinière.
Cependant, l'utilisation des cellules souches embryonnaires est controversée en raison de préoccupations éthiques liées à la destruction d'embryons pour obtenir ces cellules. Des alternatives telles que les cellules souches induites pluripotentes (iPS) ont été développées et peuvent offrir une source moins controversée de cellules souches pluripotentes.
Les cellules souches embryonnaires sont généralement obtenues à partir d'embryons surnuméraires créés dans le cadre de traitements de fertilité in vitro et qui seraient autrement éliminés. Elles peuvent être maintenues en culture en laboratoire et utilisées pour la recherche ou la thérapie cellulaire. Les cellules souches embryonnaires humaines ont été isolées pour la première fois en 1998 par l'équipe de James Thomson à l'Université du Wisconsin-Madison.
Neuroblastome
Ganglioneuroblastome
Isotrétinoïne
Tumeur
Cancer pédiatrique
Biologie de systèmes
Taylor Swift
1924 en santé et médecine
Syndrome neurologique paranéoplasique
Sarcome d'Ewing
Catécholamine
Syndrome de Costello
Plante toxique
Syndrome d'Ondine
Syndrome de Beckwith-Wiedemann
Neurocytome
Ganglioneurome
Coupe du monde de football ConIFA 2016
Renée C. Byer
2-Aminothiazole
Liste des projets BOINC
Adreian Payne
Esthésioneuroblastome
Cancer
Johannes F. Coy
Cyclophosphamide
Transfert adoptif de cellules
Poly(ADP-ribose) polymérase 1
QSER1
Liste de maladies rares
Neuroblastome - Wikipedia
Neuroblastome - Causes, symptômes et traitements
Neuroblastome, la recherche italienne découvre les causes - Eureka Formation
DONATION LOU SALOMÉ - 2004 - Le neuroblastome, une découverte fondamentale
Le neuroblastome néonatal. - Les e-mémoires de l'Académie Nationale de Chirurgie
Neuroblastome - Pédiatrie - Édition professionnelle du Manuel MSD
Neurologie - la selection de Caducee.net
Valérie Castellani | CNRS
Tableau 4 Proportion de cas de survie conditionnels observés à cinq ans prévus compte tenu de certaines durées de survie déjà...
Présentation des tumeurs osseuses - Troubles osseux, articulaires et musculaires - Manuels MSD pour le grand public
Comparaison d'une chimiothérapie à dose élevée et d'une greffe de cellules souches à un traitement conventionnel chez des...
CHRU de Nancy - Pédiatrie - enfants & adolescents
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Janvier 2015 | Louvain Médical
Domaine oncologique | Spanish medical care Quirónsalud
Listes de discussion - lists
Fentes en haut et en dehors trisomie 21
Nerveux5
- Le neuroblastome est une maligne (cancéreuse) se développe à partir du tissu nerveux. (projetassur.com)
- D'excellentes nouvelles sur le front de la recherche viennent d'un groupe de chercheurs de Naples : les facteurs génétiques sous-jacents à la neuroblastome une maladie qui affecte le système nerveux des enfants et qui reste à ce jour la troisième forme de cancer la plus fréquente après la leucémie infantile et certaines tumeurs cérébrales qui se développent pendant l'enfance. (eurekaformation.fr)
- Le neuroblastome est un cancer de la glande surrénale ou, moins souvent, de la chaîne du système nerveux sympathique extrasurrénalien, dans le rétropéritoine, le thorax, et le cou. (msdmanuals.com)
- Neuroblastome Le neuroblastome est un cancer fréquent de l'enfant, qui se développe dans certaines parties du système nerveux ou dans les glandes surrénales. (merckmanuals.com)
- Ses recherches l'ont conduit à identifier les gènes de prédisposition aux tumeurs pour la neurofibromatose de type 2 (pathologie associée à la survenue de tumeurs du système nerveux), le neuroblastome ou encore un syndrome de prédisposition aux tumeurs rhabdoïdes. (curie.fr)
L'enfant3
- LYON (AFP) - Une équipe de chercheurs Inserm affirme avoir fait une "découverte fondamentale" qui devrait permettre à terme d'améliorer la thérapeutique du neuroblastome, un cancer de l'enfant, selon un membre de cette équipe du centre Léon-Bérard, basé à Lyon. (donationlousalome.org)
- Il étudie également différentes tumeurs de l'enfant comme par exemple les tumeurs du foie de l'enfant, le neuroblastome, les tumeurs cérébrales, les leucémies. (unige.ch)
- Référence mondiale en Oncopédiatrie, le Dr. Gal Goldstein mène actuellement un programme de Recherche révolutionnaire sur les tumeurs de l'enfant, en particulier le neuroblastome. (hadassah.fr)
D'un neuroblastome3
- Neuroblastome Vue microscopique d'un neuroblastome typique avec formation de rosettes. (wikipedia.org)
- J'ai appris que j'étais atteinte d'un neuroblastome et d'un syndrome paranéoplasique rare dont seulement un enfant sur cinq millions est atteint, soit le syndrome opsoclonus myoclonus ataxie. (tetesrasees.com)
- Suite au décès de son fils Clément, atteint d'un neuroblastome métastatique. (tousavecclement.fr)
Haut risque6
- Une décision éclairée quant au recours à un traitement myéloablatif chez des enfants présentant un neuroblastome à haut risque doit se baser sur des preuves probantes concernant l'efficacité antitumorale et les effets indésirables. (cochrane.org)
- Cette revue systématique privilégiait les études randomisées comparant l'efficacité d'un traitement myéloablatif à un traitement conventionnel chez des enfants présentant un neuroblastome à haut risque. (cochrane.org)
- D'après les preuves actuellement disponibles, le traitement myéloablatif semble une option de traitement efficace chez les enfants présentant un neuroblastome à haut risque. (cochrane.org)
- De futurs essais concernant le recours à un traitement myéloablatif contre un neuroblastome à haut risque devront identifier l'induction et/ou le schéma myéloablatif le plus optimal. (cochrane.org)
- Comparer l'efficacité d'un traitement myéloablatif à un traitement conventionnel chez des enfants présentant un neuroblastome à haut risque. (cochrane.org)
- Des essais contrôlés randomisés (ECR) comparant l'efficacité d'un traitement myéloablatif à un traitement conventionnel chez des patients présentant un neuroblastome à haut risque. (cochrane.org)
Tumeur solide2
- Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide) Le neuroblastome est la tumeur solide extra-crânienne la plus fréquente chez le jeune enfant. (wikipedia.org)
- La société autrichienne de biotech Apeiron a développé le dinutuximab bêta pour traiter le neuroblastome, la deuxième tumeur solide la plus fréquente chez les enfants. (goetzpartners.com)
Lutte contre1
- La recherche a reçu un financement de la fondation à but non lucratif Open, qui s'occupe de la lutte contre le neuroblastome, mais aussi de l'Airc (Association italienne pour la recherche sur le cancer). (eurekaformation.fr)
Maladie3
- Le neuroblastome peut être associé à la maladie de Hirschsprung. (wikipedia.org)
- Une amplification de MYCN se produit dans environ 20% des cas de neuroblastome et est associée à une maladie avancée et à une biologie défavorable. (msdmanuals.com)
- Le neuroblastome (NB) est une maladie complexe avec des présentations cliniques variables. (fondation-bms.fr)
Cancers du cerveau2
- On le retrouve notamment dans les cancers pédiatriques tels que les cancers du cerveau (glioblastome ou neuroblastome) ou encore les cancers des os (l'ostéosarcome). (televie.be)
- Les cancers du cerveau primaires comprennent, entre autres, l'épendymome, le médulloblastome et le neuroblastome, tandis que les cancers du cerveau secondaires comprennent les métastases du cancer du poumon et du cancer du sein. (noslibertes.org)
Cerveau1
- et le neuroblastome chez les enfants (un cancer du cerveau) [4] . (alternatif-bien-etre.com)
Inconnue1
- La cause du neuroblastome est souvent inconnue. (merckmanuals.com)
Traitements1
- La cohabitation de ces deux oncogènes réduit l'efficacité des traitements, dans les cas de neuroblastome les plus agressifs, qui touchent chaque année 120 petits enfants. (donationlousalome.org)
Cancer1
- Travailler dans la recherche fondamentale pour étudier et combattre un cancer pédiatrique : le neuroblastome. (cnrs.fr)
Patients1
- Dans la plupart des patients, le neuroblastome déjà en miroir lorsqu'il est diagnostiqué. (projetassur.com)
Cellules5
- L'isotrétinoïne, un dérivé de la vitamine A, semble également avoir un intérêt, cette molécule semblant favoriser la différenciation cellulaire des cellules tumorales du neuroblastome, du moins, in vitro. (wikipedia.org)
- Cellules souches cancéreuses et métalloprotéases dans le neuroblastome. (umontreal.ca)
- Le traitement du neuroblastome débute par une chimiothérapie d'induction haute dose, suivie d'une chirurgie et d'une irradiation, associée à un traitement myélo-ablatif et d'une transplantation de cellules souches. (medscape.com)
- Marquages fluorescents de la protéine tau (en rouge) et des noyaux (en bleu) dans les cellules issues de la lignée cellulaire humaine de neuroblastome Kelly. (actuscimed.com)
- La NSE est un marqueur des tumeurs d'origine neuro-endocrinienne : neuroblastome, phaeochromocytome, insulinome… Plus particulièrement, La NSE est considérée comme un excellent marqueur des tumeurs pulmonaires anaplasiques à petites cellules. (ulb-ibc.be)
Tumeur3
- Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide) Le neuroblastome est la tumeur solide extra-crânienne la plus fréquente chez le jeune enfant. (wikipedia.org)
- Outre la leucémie, le lymphome, le rétinoblastome, la tumeur de Wilms, le sarcome des tissus mous et le neuroblastome sont les formes de cancers les plus courantes dans le pays. (who.int)
- Il s'agit le plus souvent de tumeur de Wilms ou néphroblastome , mais aussi d' hépatoblastome , de corticosurrénalome , de neuroblastome ou de rhabdomyosarcome . (aphp.fr)
D'un cancer1
- Âgé de 3 ans, Ayrton est un petit Réunionnais atteint d'un cancer (neuroblastome). (linfo.re)
Atteinte1
- Eileidh Paterson, 5 ans, est atteinte d'un neuroblastome en phase terminale. (animalsnews.su)
D'une1
- Le 7 août dernier, Stéphanie Ezziani, mère d'une fillette de quatre ans décédée d'un neuroblastome , une forme de cancer pédiatrique, s'est fait voler son téléphone, un Xiaomi Mi 10T gris. (leparisien.fr)
Traitement2
- Comparer les syndromes opsomyocloniques associés ou non à un neuroblastome (OMS-NB pos et NB neg) en ce qui concerne la présentation , la sévérité et la réponse au traitement. (symptoma.fr)
- Daclatasvir pas cher espagne notre groupe est composé de leaders internationaux dans le traitement du neuroblastome qui sont en mesure d'offrir aux familles un large portefeuille d'options d'essais cliniques et des services de soutien inégalés, Ata E. Néanmoins, Çavlak M. Cette probabilité est supposée dépendre, daclatasvir suisse ordonnance Demir S. (cejop.cz)
Enfants2
- Les femmes irradiées étant enfants pour un neuroblastome et qui ont aussi reçu des rayons sur le thorax ont un risque supérieur aux femmes porteuses de gènes de prédisposition BRCA1 ou 2. (lefigaro.fr)
- Le neuroblastome est un cancer qui concerne principalement les enfants. (animalsnews.su)
Diagnostic1
- Les antécédents médicaux (histoire du patient) représente un élément important dans le diagnostic de neuroblastome . (santepedie.com)
Formation1
- Neuroblastome Vue microscopique d'un neuroblastome typique avec formation de rosettes. (wikipedia.org)