Glande Parotide
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Tanin
Atropine
Microanalyse Par Sonde
La glande parotide est la plus grande des glandes salivaires, située dans chaque joue, devant et juste en dessous de l'oreille. Elle produit une substance liquide appelée salive qui aide à décomposer les aliments lorsqu'ils sont mâchés. La salive passe par un petit tube appelé canal de Stensen avant d'atteindre la cavité buccale, dans la région située entre la joue et les dents supérieures (à côté du deuxième hauteur des molaires).
La glande parotide est recouverte de peau et de tissu conjonctif à l'extérieur, tandis qu'à l'intérieur, elle se compose de lobules remplis de cellules qui sécrètent la salive. Ces lobules sont reliés entre eux par des canaux plus petits qui conduisent la salive vers le canal de Stensen.
La glande parotide peut être affectée par diverses affections, y compris l'inflammation (parotidite ou maladie des mâchoires), les tumeurs bénignes et malignes, et la formation de calculs dans le canal salivaire.
Les tumeurs de la parotide se réfèrent à des growths anormaux dans la glande parotide, qui est la plus grande glande salivaire située juste devant chaque oreille. La plupart des tumeurs de la parotide sont bénignes (non cancéreuses), mais certaines peuvent être malignes (cancéreuses). Les symptômes courants des tumeurs de la parotide comprennent une masse ou un gonflement visible dans la région de la joue, en face de l'oreille. La douleur peut également être présente, en particulier dans le cas de tumeurs malignes.
Les facteurs de risque de développer des tumeurs de la parotide comprennent l'exposition à des radiations, le tabagisme et certains troubles génétiques. Le diagnostic de ces tumeurs implique généralement une combinaison d'imagerie médicale, telles que les ultrasons ou les tomodensitométries, et une biopsie pour déterminer le type de tumeur.
Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur. Les tumeurs bénignes peuvent souvent être observées ou retirées chirurgicalement si elles causent des symptômes. Les tumeurs malignes, en revanche, nécessitent généralement une intervention chirurgicale pour les enlever, suivie d'une radiothérapie ou d'une chimiothérapie dans certains cas. Le pronostic dépend du type et du stade de la tumeur au moment du diagnostic.
Les maladies de la glande parotide se réfèrent à un large éventail de conditions qui affectent la glande parotide, qui est la plus grande des glandes salivaires. Ces glandes sont situées juste en avant et sous les oreilles. Elles produisent la salive qui est libérée dans la bouche via un petit tube appelé le canal de Sténon.
Les maladies de la glande parotide peuvent être classées en deux catégories principales : inflammatoires et non inflammatoires.
1. Maladies inflammatoires : Elles sont souvent causées par une infection bactérienne ou virale. L'inflammation peut également être due à l'obstruction du canal de Sténon, entraînant une accumulation de salive dans la glande et une inflammation secondaire (parotidite obstructive). La forme la plus courante d'inflammation est la parotidite bactérienne aiguë, qui est généralement traitée avec des antibiotiques. Une forme plus grave de maladie inflammatoire est la parotidite virale, également connue sous le nom de mumps.
2. Maladies non inflammatoires : Elles comprennent une variété de tumeurs bénignes et malignes. Les tumeurs bénignes sont courantes et peuvent inclure des adénomes, qui se développent à partir des cellules glandulaires. Les tumeurs malignes, ou cancers, sont moins fréquentes mais plus graves. Le type le plus commun est le carcinome mucoépidermoïde.
D'autres maladies non inflammatoires comprennent la sialadénite chronique, une inflammation récurrente de la glande parotide, et la sialorrhée, ou production excessive de salive.
Le diagnostic des maladies de la glande parotide implique généralement un examen physique, suivi d'examens complémentaires tels qu'une imagerie par résonance magnétique (IRM) ou une tomodensitométrie (TDM), et éventuellement une biopsie pour confirmer le type de tumeur. Le traitement dépend du type et de la gravité de la maladie.
Les glandes salivaires sont des glandes exocrines qui produisent et sécrètent la salive dans la cavité buccale. Elles jouent un rôle crucial dans la digestion des aliments en lubrifiant la bouche et les aliments, facilitant ainsi l'avalement et la décomposition chimique des molécules alimentaires par les enzymes salivaires.
Il existe trois principales paires de glandes salivaires :
1. Les glandes parotides, situées près de l'oreille, sont les plus grandes et produisent principalement une salive aqueuse riche en amylase, une enzyme qui dégrade les glucides.
2. Les glandes submandibulaires, situées sous la mâchoire inférieure, sécrètent un mélange de salive mucoïde et séreuse, contenant des ions bicarbonates pour neutraliser l'acidité et faciliter la digestion.
3. Les glandes sublinguales, situées sous la langue, produisent principalement une salive mucoïde qui lubrifie la bouche et adhère aux papilles gustatives pour favoriser la perception des saveurs.
Des petites glandes salivaires accessoires sont également réparties dans la muqueuse buccale, ajoutant à la production globale de salive. Les dysfonctionnements des glandes salivaires peuvent entraîner une sécheresse buccale (xérostomie), ce qui peut affecter la mastication, la déglutition, la parole et la santé dentaire.
Un adénolymphome est un type rare de tumeur qui se développe dans les ganglions lymphatiques et peut contenir des cellules épithéliales glandulaires, d'où le préfixe "adéno-" qui signifie "glandulaire". Ce terme est souvent utilisé de manière interchangeable avec le terme "carcinome lymphoïde à grandes cellules", qui est un type particulier de lymphome non hodgkinien.
Les adénolymphomes se développent généralement dans les ganglions lymphatiques situés dans le cou, l'aisselle ou l'aine, et peuvent également affecter d'autres organes tels que la rate, le foie et les poumons. Les symptômes courants comprennent des gonflements indolores des ganglions lymphatiques, de la fièvre, des sueurs nocturnes et une perte de poids inexpliquée.
Le traitement dépend du stade et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que de l'âge et de l'état général de santé du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, ou une thérapie ciblée qui utilise des médicaments pour perturber la croissance et la propagation des cellules cancéreuses.
La glande submandibulaire est une glande salivaire importante située dans le cou, plus précisément sous la mandibule (la mâchoire inférieure). Elle mesure environ 5 cm de long, 3 cm de large et 2 cm d'épaisseur. Chez l'adulte, elle pèse entre 10 à 15 grammes. Chaque personne a deux glandes submandibulaires, une de chaque côté du visage.
La fonction principale de la glande submandibulaire est de produire la salive, qui contribue à la digestion des aliments en les humidifiant et en les décomposant chimiquement grâce aux enzymes qu'elle contient. La salive aide également à maintenir la bouche propre et saine en neutralisant les acides produits par les bactéries, ce qui réduit le risque de caries dentaires et de maladies des gencives.
La glande submandibulaire est constituée de nombreux lobules remplis de cellules sécrétrices responsables de la production de salive. Les conduits excréteurs transportent ensuite la salive vers le canal de Wharton, qui se jette dans la cavité buccale au niveau du plancher de la bouche, derrière les incisives inférieures.
Comme d'autres glandes exocrines, la glande submandibulaire peut être affectée par divers troubles et maladies, tels que les infections bactériennes ou virales, les calculs (lithiases salivaires), les tumeurs bénignes ou malignes, et les inflammations chroniques. Ces affections peuvent entraîner des symptômes variés, notamment une douleur, un gonflement, une difficulté à avaler ou à parler, et une production anormale de salive.
Les amylases sont des enzymes produites par le pancréas et la glande salivaire qui aident à décomposer les glucides complexes (par exemple, l'amidon) en sucres simples pendant le processus de digestion. Il existe trois types principaux d'amylases : alpha-, beta- et gamma-amylases. Les amylases alpha sont les plus pertinentes dans le contexte médical et sont souvent mesurées dans les tests de laboratoire pour évaluer certaines conditions de santé.
Des taux élevés d'amylase dans le sang peuvent indiquer une inflammation ou une lésion du pancréas, comme la pancréatite aiguë ou chronique. D'autres affections pouvant entraîner des taux élevés d'amylase comprennent la cholécystite, la perforation gastro-intestinale, l'occlusion intestinale, la nécrose ischémique de l'intestin grêle, les traumatismes abdominaux, la morsure de serpent à viperide et certaines maladies rénales.
Des taux bas d'amylase peuvent être observés dans des conditions telles que la fibrose kystique, l'insuffisance pancréatique exocrine, la cirrhose hépatique, le diabète sucré et certaines maladies héréditaires.
Il est important de noter qu'un seul test d'amylase n'est généralement pas suffisant pour poser un diagnostic précis. Les résultats doivent être interprétés en conjonction avec les antécédents médicaux du patient, l'examen physique et d'autres tests de laboratoire et d'imagerie.
La glande sublinguale est une glande salivaire située sous la muqueuse du plancher de la bouche, juste derrière les incisives inférieures. C'est la plus grande des glandes salivaires accessoires et elle est constituée de nombreux lobules séparés par des cloisons fibreuses. Elle sécrète une salive mucineuse et séreuse qui contribue à la lubrification de la bouche et à l'initiation du processus digestif. La glande sublinguale peut être affectée par certaines affections, telles que les infections, les tumeurs bénignes ou malignes, et les maladies auto-immunes comme la sialoadénite de Sjögren.
Les protéines et peptides salivaires font référence à un large éventail de molécules biologiquement actives présentes dans la salive. La salive est un fluide complexe produit par les glandes salivaires, qui contient plus de 2000 protéines et peptides différents. Ces molécules jouent un rôle crucial dans le maintien de la santé bucco-dentaire et globale en participant à des processus tels que la digestion, la défense contre les agents pathogènes, la cicatrisation des plaies et la protection des tissus oraux.
Parmi les protéines et peptides salivaires les plus étudiés, on trouve:
1. Amylase salivaire: Une enzyme qui décompose les glucides complexes en sucres simples, facilitant ainsi la digestion.
2. MUCINEs: Des glycoprotéines qui forment un film protecteur sur les muqueuses orales, empêchant l'adhésion et l'invasion des bactéries et des virus.
3. LYSOZYME: Une enzyme qui dégrade la paroi cellulaire des bactéries, exerçant ainsi une activité antibactérienne.
4. Histatines: Des peptides riches en histidine qui présentent des propriétés antimicrobiennes et contribuent à la minéralisation des dents.
5. Statherine: Une protéine qui régule la formation de plaques et prévient la carie dentaire en favorisant la reminéralisation des surfaces dentaires.
6. Proline-rich proteins (PRPs): Des protéines qui participent à la formation de la structure de la salive, facilitent l'agrégation des protéines et présentent des activités antimicrobiennes.
7. Lactoferrine: Une protéine qui séquestre le fer, empêchant ainsi les bactéries de se développer, et présente une activité antibactérienne directe.
8. Cystatines: Des inhibiteurs de protéases qui protègent les tissus oraux contre la dégradation enzymatique et présentent des propriétés antimicrobiennes.
Ces composants jouent un rôle crucial dans le maintien de l'homéostasie buccale, en prévenant les infections, en favorisant la cicatrisation des plaies et en protégeant les tissus oraux contre les dommages. Les déséquilibres dans la composition ou la fonction de ces composants peuvent entraîner diverses affections buccales, telles que la carie dentaire, la maladie des gencives et le cancer de la bouche.
Un adénome pléomorphe est un type rare et généralement bénin de tumeur qui se développe dans les glandes salivaires des régions parotide, submandibulaire et sous-maxillaire de la tête et du cou. Il s'agit d'une tumeur mixte, ce qui signifie qu'elle contient plusieurs types de cellules différents, y compris des cellules épithéliales et des cellules myoépithéliales.
Les adénomes pléomorphes sont généralement indolents et se développent lentement au fil du temps. Ils peuvent varier en taille de quelques millimètres à plusieurs centimètres de diamètre. Les symptômes courants associés à un adénome pléomorphe comprennent une masse ou un gonflement dans la région de la joue, du cou ou de la mâchoire, ainsi que des douleurs, des engourdissements ou des picotements faciaux.
Le diagnostic d'un adénome pléomorphe est généralement posé après une biopsie et une évaluation histopathologique des tissus prélevés. Le traitement standard consiste en une chirurgie complète de la tumeur, suivie d'une surveillance régulière pour détecter toute récidive potentielle. Dans de rares cas, si la tumeur est grande ou envahit les structures environnantes, une radiothérapie ou une chimiothérapie peut être recommandée.
Dans l'ensemble, bien que les adénomes pléomorphes soient considérés comme des tumeurs bénignes, ils peuvent quand même causer des problèmes importants s'ils ne sont pas traités correctement. Il est donc important de consulter un médecin ou un spécialiste en tête et en cou si vous remarquez des symptômes suspects ou des changements dans la région de votre visage, de votre cou ou de votre mâchoire.
Les conduits salivaires sont des structures anatomiques qui transportent la salive depuis les glandes salivaires jusqu'à la cavité buccale. Il existe plusieurs types de conduits salivaires, dont les principaux sont :
1. Le conduit parotidien : il est associé à la glande parotide et est le plus long des conduits salivaires. Il mesure environ 5 cm de longueur et se termine dans le fond de la cavité buccale, près de la deuxième molaire supérieure.
2. Le conduit submandibulaire : il est associé à la glande submandibulaire et mesure environ 5 cm de longueur. Il se termine dans le plancher de la bouche, sous la langue.
3. Les conduits sublinguaux : ils sont au nombre de deux et sont associés aux glandes sublinguales. Chacun d'eux mesure environ 2 cm de longueur et se termine dans le plancher de la bouche, de chaque côté du conduit submandibulaire.
Les conduits salivaires peuvent être affectés par diverses pathologies, telles que les infections, les inflammations, les calculs (lithiases) et les tumeurs bénignes ou malignes.
La salivation, également connue sous le nom de sécrétion salivaire, est un processus physiologique au cours duquel la salive est produite par les glandes salivaires situées dans la bouche et la gorge. La salive aide à maintenir la muqueuse buccale humide, facilite la déglutition, la digestion des aliments en contenant des enzymes telles que l'amylase, et protège contre les caries dentaires en neutralisant les acides produits par les bactéries. La salivation peut être stimulée par divers facteurs tels que la vue, l'odeur ou la pensée de la nourriture, ainsi que par la mastication et la déglutition. Cependant, certaines conditions médicales telles que les troubles neurologiques, les maladies inflammatoires des glandes salivaires, les réactions aux médicaments ou les radiothérapies peuvent affecter la production de salive et entraîner une hypersalivation ou une hyposalivation.
La parotidite, également connue sous le nom de mumps, est une infection virale aiguë qui affecte principalement les glandes salivaires parotides situées dans la région de la joue, juste en dessous de l'oreille. Causée par le virus paramyxovirus, la parotidite se manifeste généralement par un gonflement et une douleur douloureuse des glandes salivaires. Les symptômes courants incluent également de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et une fatigue générale.
La transmission du virus se produit généralement par contact direct avec les gouttelettes respiratoires infectées, telles que celles expulsées lors de touxs ou d'éternuements. La maladie est extrêmement contagieuse et peut se propager rapidement dans des populations non vaccinées.
Bien que la plupart des personnes atteintes de parotidite se rétablissent complètement en une à deux semaines, certaines complications graves peuvent survenir, notamment une inflammation des testicules (orchite) chez les hommes, qui peut entraîner une stérilité dans de rares cas. Chez les femmes enceintes, la parotidite peut provoquer une fausse couche ou un accouchement prématuré.
Le vaccin contre la parotidite est inclus dans le calendrier vaccinal recommandé et est souvent administré sous forme de vaccin combiné contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR). La vaccination est considérée comme le moyen le plus efficace de prévenir l'infection et ses complications potentielles.
Les glandes exocrines sont un type de glandes du système endocrinien qui produisent et sécrètent des substances telles que des enzymes, des hormones et d'autres molécules dans les cavités corporelles ou directement sur la surface de la peau par l'intermédiaire de canaux excréteurs. Contrairement aux glandes endocrines qui sécrètent des substances directement dans le sang, les glandes exocrines libèrent leurs sécrétions dans des espaces fermés ou sur la surface du corps pour aider à la digestion, la protection contre les agents pathogènes et la lubrification des surfaces.
Les exemples de glandes exocrines comprennent les glandes sudoripares, sébacées, salivaires, lacrymales et mammaires. Les glandes sudoripares sécrètent la sueur pour réguler la température corporelle, les glandes sébacées produisent du sébum pour lubrifier la peau et les cheveux, les glandes salivaires sécrètent de la salive pour faciliter la digestion, les glandes lacrymales produisent des larmes pour protéger et humidifier les yeux, et les glandes mammaires sécrètent du lait maternel pendant l'allaitement.
Les maladies de la glande salivaire se réfèrent à un ensemble de conditions qui affectent le fonctionnement normal des glandes salivaires. Ces glandes, situées dans la bouche et le visage, sont responsables de la production de salive, qui aide à la digestion des aliments et maintient la muqueuse buccale humide.
Les maladies courantes des glandes salivaires comprennent :
1. Sialadénite : C'est une inflammation des glandes salivaires, souvent causée par une infection bactérienne ou virale. Elle peut causer des douleurs, un gonflement et une rougeur de la glande affectée.
2. Tumeurs des glandes salivaires : Les tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les symptômes dépendent du type et de l'emplacement de la tumeur, mais peuvent inclure un gonflement, une douleur ou une asymétrie faciale.
3. Syndrome de Sjögren : Cette maladie auto-immune affecte principalement les femmes et provoque une sécheresse buccale et oculaire en raison d'une production réduite de salive et de larmes.
4. Stase salivaire : Il s'agit d'une accumulation de salive dans la glande salivaire due à un obstruction ou une mauvaise vidange. Cela peut entraîner une douleur, un gonflement et un risque accru d'infection.
5. Sialorrhée : Aussi connu sous le nom de "pante réflexe", c'est une production excessive de salive qui peut causer des difficultés à avaler ou à parler, ainsi qu'une bave excessive.
Le traitement dépend du type et de la gravité de la maladie. Il peut inclure des médicaments, des procédures chirurgicales ou des changements dans le mode de vie.
La xérostomie est un terme médical qui décrit une condition où la bouche devient sèche en raison d'un manque de production de salive adéquate. Elle peut être causée par divers facteurs, tels que les effets secondaires de certains médicaments, des radiations dans la tête et le cou, certaines maladies chroniques (comme le diabète ou le syndrome de Sjögren), une déshydratation ou le processus de vieillissement. Les symptômes courants incluent la difficulté à mâcher, avaler ou parler, un goût amer dans la bouche, des plaies buccales et une augmentation de la carie dentaire. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des changements de style de vie, l'utilisation de substituts salivaires ou des médicaments pour stimuler la production de salive.
La sialographie est une procédure diagnostique en radiologie qui consiste à injecter un contraste iodé dans les canaux salivaires (conduits qui transportent la salive depuis les glandes salivaires vers la bouche) pour produire des images radiographiques et évaluer leur structure et fonction. Cela permet de détecter d'éventuelles anomalies, telles que des obstructions, des inflammations, des tumeurs ou d'autres affections touchant les glandes salivaires principales (parotide, submandibulaire et sous-linguale).
La sialographie est généralement réalisée par un radiologue ou un spécialiste en médecine bucco-dentaire. Le patient reçoit une anesthésie locale avant l'injection du contraste, qui est inséré à l'aide d'une aiguille fine dans le canal salivaire. Une fois le contraste injecté, des radiographies sont prises sous différents angles pour examiner les glandes salivaires et les canaux.
Cette technique fournit des informations détaillées sur l'état des glandes salivaires et peut aider à guider le traitement des affections associées, telles que la sialadénite (inflammation des glandes salivaires), les calculs salivaires ou les tumeurs. Cependant, elle comporte certains risques, comme une réaction allergique au contraste, une infection ou une inflammation des canaux salivaires. Par conséquent, la sialographie n'est généralement utilisée que lorsque d'autres méthodes diagnostiques se sont avérées insuffisantes pour établir un diagnostic précis.
Les tumeurs des glandes salivaires sont des croissances anormales qui se forment dans les glandes salivaires. Ces glandes sont responsables de la production de salive pour aider à la digestion et maintenir la muqueuse buccale humide. Les glandes salivaires principales sont situées dans la mâchoire inférieure et juste en avant de l'oreille (parotides), tandis que les glandes salivaires accessoires sont plus petites et se trouvent dans la bouche, le nez et la gorge.
Les tumeurs des glandes salivaires peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes sont généralement plus fréquentes et se développent lentement, ne mettant pas la vie en danger. Cependant, elles peuvent continuer à croître et causer des problèmes, tels que des douleurs, des gonflements ou des difficultés à avaler ou à parler, en fonction de leur emplacement.
Les tumeurs malignes, quant à elles, sont plus agressives et peuvent se propager à d'autres parties du corps. Elles peuvent provoquer des symptômes similaires à ceux des tumeurs bénignes, mais peuvent également entraîner une perte de poids, une fièvre ou des ganglions lymphatiques enflés.
Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur. Les options thérapeutiques comprennent la chirurgie pour enlever la tumeur, la radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses et la chimiothérapie pour tuer les cellules cancéreuses qui se sont propagées. Dans certains cas, une surveillance attentive peut être recommandée si la tumeur est petite et ne cause pas de symptômes.
La salive est une substance liquide produite par les glandes salivaires situées dans la bouche et le visage. Elle joue un rôle crucial dans la digestion des aliments en humidifiant les aliments et en facilitant leur déglutition. La salive contient également des enzymes, telles que l'amylase, qui aident à décomposer les glucides complexes en sucres simples, ce qui permet une digestion plus efficace dans l'estomac. En outre, la salive agit comme un lubrifiant pour la bouche et les dents, aidant à prévenir la cavité buccale sèche et à protéger les tissus buccaux contre les dommages et les infections. Une diminution de la production de salive peut entraîner des problèmes de santé bucco-dentaire, tels que la carie dentaire et la maladie des gencives.
Dans l'anatomie animale, les glandes mammaires sont des glandes sudoripares modifiées qui se trouvent chez la plupart des mammifères. Elles sont principalement responsables de la production de lait après la naissance pour nourrir les petits. Chez les femelles, ces glandes se développent et deviennent fonctionnellement actives pendant la période de reproduction et de lactation.
Elles sont composées de lobules, qui sont des groupements de sacs alvéolaires où le lait est produit, et de canaux galactophores, qui transportent le lait jusqu'au mamelon. Les glandes mammaires sont sensibles aux hormones stéroïdes telles que les œstrogènes, la progestérone et la prolactine, qui régulent leur développement et la production de lait.
Les mâles animaux ont également des glandes mammaires, mais elles sont généralement moins développées et non fonctionnelles, sauf chez certains primates. Chez l'homme, par exemple, les glandes mammaires peuvent se développer de manière anormale et devenir fonctionnelles, ce qui est connu sous le nom de galactorrhée.
Les Proline-Rich Protein Domains (PRPD) se réfèrent à des régions spécifiques dans certaines protéines qui sont riches en acides aminés proline. La proline est un acide aminé qui a une structure cyclique unique, ce qui lui permet de conférer une rigidité particulière aux protéines dans lesquelles elle se trouve.
Les PRPD sont souvent trouvés dans des protéines qui jouent un rôle crucial dans la régulation de divers processus cellulaires, tels que la signalisation cellulaire, l'adhésion cellulaire et la structure de la matrice extracellulaire. Les PRPD peuvent également être sujets à des modifications post-traductionnelles, telles que la phosphorylation et la glycosylation, ce qui peut affecter leur fonction et leur interaction avec d'autres protéines.
Les PRPD sont souvent associés à certaines maladies, telles que les maladies neurodégénératives et le cancer. Par exemple, des mutations dans certains gènes codant pour des protéines riches en PRPD ont été identifiées comme étant associées à la maladie de Huntington et à la sclérose latérale amyotrophique. De même, certaines protéines riches en PRPD peuvent jouer un rôle dans la progression du cancer en régulant la croissance cellulaire et la migration.
En résumé, les Proline-Rich Protein Domains sont des régions spécifiques de certaines protéines qui sont riches en acides aminés proline et qui jouent un rôle crucial dans la régulation de divers processus cellulaires. Elles peuvent être associées à certaines maladies et ont été identifiées comme étant des cibles thérapeutiques potentielles pour le traitement de ces maladies.
L'aquaporine 5 (AQP5) est un type d'aquaporine, qui est une protéine membranaire qui facilite la diffusion de l'eau à travers les membranes cellulaires. Plus précisément, l'AQP5 se trouve dans les membranes des cellules épithéliales des glandes salivaires, des poumons et des yeux. Il joue un rôle important dans la sécrétion de salive, la régulation de l'humidité dans les poumons et le maintien de la transparence de la cornée. Les mutations du gène AQP5 peuvent entraîner des troubles tels que la sécheresse oculaire et buccale.
Voici une définition médicale plus détaillée :
L'aquaporine 5 (AQP5) est un membre de la famille des aquaporines, qui sont des canaux d'eau hautement sélectifs présents dans les membranes cellulaires. L'AQP5 est une protéine membranaire intégrale composée de six segments transmembranaires et deux boucles cytoplasmiques contenant des résidus conservés d'asparagine liés à la sialylation. Il est exprimé principalement dans les cellules épithéliales des glandes salivaires, des poumons et des yeux.
Dans les glandes salivaires, l'AQP5 joue un rôle crucial dans la sécrétion de salive en facilitant le mouvement de l'eau vers l'extérieur de la cellule dans le lumen des glandes salivaires. Cette fonction est régulée par les hormones et les neurotransmetteurs qui activent des voies de signalisation intracellulaire spécifiques, entraînant la translocation de l'AQP5 vers la membrane apicale des cellules épithéliales.
Dans les poumons, l'AQP5 est exprimé dans les pneumocytes de type I et facilite l'absorption d'eau du liquide alvéolaire vers le sang. Il est également impliqué dans la régulation de la fonction pulmonaire pendant la respiration, car il peut être modulé par des stimuli tels que l'hypoxie et les cytokines inflammatoires.
Dans les yeux, l'AQP5 est exprimé dans le cornea et les glandes lacrymales, où il facilite le mouvement de l'eau vers l'extérieur de la cellule, contribuant ainsi à maintenir une surface oculaire humide.
Des mutations ou des variations dans l'expression de l'AQP5 ont été associées à plusieurs conditions pathologiques, notamment la sécheresse buccale, les maladies pulmonaires et les troubles oculaires. Par conséquent, une meilleure compréhension de la structure, de la fonction et de la régulation de l'AQP5 peut fournir des informations importantes sur le développement de stratégies thérapeutiques pour traiter ces conditions.
L'isoprénaline, également connue sous le nom d'isoproterenol, est un médicament simpathomimétique utilisé dans le traitement de certaines affections cardiaques. Il s'agit d'un agoniste des récepteurs bêta-adrénergiques, ce qui signifie qu'il se lie et active ces récepteurs, entraînant une augmentation de la fréquence cardiaque, de la contractilité cardiaque et de la dilatation des bronches.
L'isoprénaline est utilisée dans le traitement de l'insuffisance cardiaque congestive, de certaines formes de bradycardie (rythme cardiaque lent) et de blocs auriculoventriculaires (troubles de la conduction cardiaque). Elle est également utilisée en tant que bronchodilatateur dans le traitement de l'asthme et d'autres maladies pulmonaires obstructives.
Cependant, l'utilisation de l'isoprénaline est limitée en raison de ses effets secondaires potentialement graves, tels qu'une augmentation excessive de la fréquence cardiaque, une augmentation de la pression artérielle, des palpitations, des tremblements, des maux de tête, de l'anxiété et des nausées. Elle peut également entraîner une aggravation de l'arythmie cardiaque chez les patients sujets à ce type de trouble. Par conséquent, son utilisation est généralement réservée aux situations où d'autres traitements se sont avérés inefficaces ou ne peuvent être utilisés.
Un carcinome mucoépidermoïde est un type rare de cancer qui peut se développer dans les glandes salivaires des adultes. Il peut également se produire, mais plus rarement, dans d'autres endroits, tels que le nez, la cavité nasale, les sinus paranasaux, les poumons, l'oreille moyenne, le tractus gastro-intestinal et la peau.
Ce type de cancer se caractérise par la croissance de cellules anormales qui ont des propriétés à la fois glandulaires (mucoïdes) et squameuses (épidermoïdes). Les tumeurs peuvent être de bas grade, intermédiaire ou de haut grade, selon leur apparence au microscope et leur potentiel de croissance et d'invasion.
Les symptômes du carcinome mucoépidermoïde dépendent de sa localisation. Dans la glande salivaire, il peut provoquer un gonflement ou une masse dans la région de la joue, de la mâchoire ou du cou, ainsi que des douleurs, des difficultés à avaler, une paralysie faciale et une altération du mouvement de la langue.
Le traitement dépend du grade de la tumeur, de sa taille, de son emplacement et de l'étendue de sa propagation. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses restantes, et une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses à distance. Dans certains cas, une surveillance attentive peut être recommandée si la tumeur est de bas grade et ne cause pas de symptômes.
Les glandes salivaires mineures sont des petites glandes situées dans la muqueuse de la bouche et du nez. Elles sont responsables de produire la salive qui humidifie continuellement la bouche et le nez. Contrairement aux trois grandes glandes salivaires (parotides, sous-maxillaires et sublinguales), les glandes salivaires mineures ne possèdent pas de conduits dédiés pour évacuer leur sécrétion. Leur secretion s'écoule directement dans la cavité buccale par des petits canaux situés dans la muqueuse. Elles représentent environ 10% de la production salivaire totale. Les glandes salivaires mineures peuvent être affectées par diverses affections, y compris les infections, les inflammations et les tumeurs, bien que ces dernières soient généralement bénignes.
Une fistule salivaire est un type de communication anormale ou un canal qui se forme entre la glande salivaire et la peau ou les tissus mous environnants. Cela se produit généralement lorsqu'il y a une inflammation, une infection ou une lésion des glandes salivaires, ce qui entraîne la formation d'un tunnel entre la glande et la surface de la peau.
Les fistules salivaires peuvent être congénitales (présentes à la naissance) ou acquises (apparaissant plus tard dans la vie). Les causes courantes des fistules salivaires acquises comprennent les traumatismes, les chirurgies, les infections et les tumeurs des glandes salivaires.
Les symptômes d'une fistule salivaire peuvent inclure un écoulement de salive ou de liquide clair provenant de la peau près de la région de la glande salivaire, une douleur, une rougeur, un gonflement ou une sensibilité au toucher dans la zone affectée. Dans certains cas, une fistule salivaire peut entraîner une infection ou une inflammation des tissus environnants, ce qui nécessite un traitement médical ou chirurgical.
Le traitement d'une fistule salivaire dépend de sa cause sous-jacente. Dans certains cas, les fistules peuvent guérir spontanément sans traitement. Cependant, dans d'autres cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour fermer la communication anormale et prévenir les complications telles que l'infection ou l'inflammation.
Le syndrome de Gougerot-Sjögren (SGS) est un trouble auto-immun caractérisé par une sécheresse excessive des yeux et de la bouche due à une inflammation des glandes lacrymales et salivaires. Ce syndrome peut également affecter d'autres glandes et tissus du corps, entraînant une variété de symptômes.
Les symptômes oculaires typiques comprennent une sensation de brûlure, de picotement ou de sable dans les yeux, une rougeur des yeux et une sensibilité accrue à la lumière. Les symptômes buccaux peuvent inclure une sécheresse extrême de la bouche et de la langue, une sensation de brûlure ou de gonflement de la langue, une difficulté à avaler et à mâcher des aliments secs, et une augmentation de la carie dentaire.
Le syndrome de Gougerot-Sjögren peut également affecter d'autres organes du corps, entraînant des symptômes tels que la fatigue, les douleurs articulaires, les éruptions cutanées, les problèmes pulmonaires et rénaux. Dans de rares cas, il peut également causer des complications neurologiques.
La cause exacte du syndrome de Gougerot-Sjögren est inconnue, mais on pense qu'il est dû à une réaction anormale du système immunitaire qui attaque et endommage les glandes productrices de liquides dans le corps. Le diagnostic est généralement posé sur la base des antécédents médicaux, d'un examen physique et de tests de laboratoire spécifiques.
Le traitement du syndrome de Gougerot-Sjögren vise à soulager les symptômes et peut inclure des substituts artificiels de larmes et de salive, des médicaments anti-inflammatoires, des immunosuppresseurs et des analgésiques. Dans certains cas, une thérapie physique ou une intervention chirurgicale peuvent être recommandées pour traiter les complications du syndrome de Gougerot-Sjögren.
Un myoépithéliome est un type rare et généralement bénin de tumeur qui se développe dans les glandes sudoripares ou salivaires. Ces tumeurs sont composées de cellules myoépithéliales, qui ont des propriétés contractiles similaires à celles des muscles lisses. Les myoépithéliomes peuvent se manifester n'importe où dans le corps où il y a des glandes sudoripares ou salivaires, mais ils sont les plus fréquents dans la tête et le cou.
Les symptômes d'un myoépithéliome dépendent de sa localisation et de sa taille. Les tumeurs plus grandes peuvent causer une douleur, un gonflement ou une sensation de masse dans la région affectée. Dans certains cas, les myoépithéliomes peuvent devenir malins (malignes) et se propager à d'autres parties du corps.
Le traitement d'un myoépithéliome dépend de sa taille, de sa localisation et de son caractère bénin ou malin. Les options de traitement peuvent inclure la chirurgie pour enlever la tumeur, la radiothérapie ou la chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses. Dans certains cas, une surveillance attentive peut être recommandée si la tumeur est petite et ne cause pas de symptômes.
Il est important de noter que les myoépithéliomes sont rares et que la plupart d'entre eux sont bénins. Si vous pensez avoir un myoépithéliome ou présentez des symptômes qui vous inquiètent, il est important de consulter un médecin pour obtenir un diagnostic et un traitement appropriés.
Les calculs salivaires canalaires, également connus sous le nom de sialolithiase, sont des concrétions minérales qui se forment dans les canaux salivaires. Ces calculs sont généralement composés de calcium et peuvent varier en taille, allant de quelques millimètres à plusieurs centimètres.
La formation de ces calculs est due à la précipitation de sels minéraux dans la salive, qui peut être favorisée par des facteurs tels que la déshydratation, une mauvaise hygiène bucco-dentaire, une inflammation des canaux salivaires ou une anomalie anatomique.
Les symptômes les plus courants des calculs salivaires canalaires sont la douleur et l'enflure de la glande salivaire affectée, en particulier pendant ou après les repas, lorsque la production de salive augmente. Les patients peuvent également ressentir une sensation de plénitude ou de pression dans la région de la glande salivaire.
Dans les cas graves, les calculs peuvent provoquer une infection de la glande salivaire, appelée sialadentite, qui peut entraîner des symptômes tels que la fièvre, le rougissement de la peau et un gonflement important de la glande salivaire.
Le traitement dépend de la taille et de la localisation du calcul. Dans les cas où le calcul est petit et situé près de l'ouverture du canal salivaire, il peut être dissous à l'aide de médicaments ou retiré par irrigations. Si le calcul est plus gros ou situé plus profondément dans le canal, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour le retirer. Dans certains cas, une sialendoscopie, une procédure mini-invasive utilisant un endoscope inséré dans le canal salivaire, peut être utilisée pour retirer le calcul.
Les glandes sudoripares sont un type de glande exocrine dans la peau qui sécrètent une substance aqueuse et salée appelée sueur. Il existe deux types de glandes sudoripaires: les glandes eccrines et les glandes apocrines. Les glandes eccrines sont réparties sur tout le corps, en particulier sur la paume des mains, la plante des pieds et le front, et sont responsables de la production de sueur qui aide à réguler la température corporelle. Les glandes apocrines, en revanche, sont principalement situées dans les aisselles et autour des organes génitaux et deviennent actives à la puberté, sécrétant une sueur qui peut se mélanger aux bactéries de la peau et produire une odeur caractéristique.
Le carbamchol est un médicament parasympathomimétique, ce qui signifie qu'il imite l'action des neurotransmetteurs dans le système nerveux parasympathique. Ce système nerveux est responsable de la régulation des activités involontaires du corps, telles que la salivation, les sécrétions bronchiques et la motilité gastro-intestinale.
Le carbamchol agit en se liant aux récepteurs muscariniques dans le système nerveux parasympathique, provoquant une augmentation de la production d'acétylcholine, un neurotransmetteur qui joue un rôle clé dans la transmission des signaux dans le cerveau et le corps.
Le carbamchol est utilisé pour traiter une variété de conditions médicales, y compris les troubles de la motilité gastro-intestinale, la sécheresse de la bouche et des yeux, la glaucome à angle ouvert et la rétention urinaire. Il est disponible sous forme de gouttes ophtalmiques, d'injections et de solutions orales.
Les effets secondaires courants du carbamchol comprennent des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, une augmentation de la salivation, des sueurs, des maux de tête, des vertiges et une vision floue. Dans de rares cas, il peut provoquer des réactions allergiques sévères, telles que des éruptions cutanées, des démangeaisons, des gonflements du visage, de la langue ou de la gorge, et des difficultés respiratoires.
Il est important de suivre les instructions posologiques de votre médecin lorsque vous prenez du carbamchol et de signaler tout effet secondaire inhabituel ou préoccupant. Comme avec tous les médicaments, le carbamchol peut interagir avec d'autres médicaments et affections médicales, il est donc important d'informer votre médecin de tous les médicaments que vous prenez et de toutes les conditions médicales que vous avez.
La pilocarpine est un agent parasympathomimétique, ce qui signifie qu'il imite l'action de l'acétylcholine, un neurotransmetteur dans le corps qui stimule certaines cellules nerveuses et muscles.
Plus spécifiquement, la pilocarpine active les récepteurs muscariniques de la jonction neuromusculaire et des glandes exocrines, entraînant une augmentation de la sécrétion de sueur, de salive et d'autres sécrétions.
Elle est souvent utilisée dans le traitement du glaucome pour réduire la pression intraoculaire en augmentant le flux d'humeur aqueuse hors de l'œil. Elle peut également être utilisée pour traiter la bouche sèche sévère (xérostomie) causée par des médicaments ou des radiations dans la tête et le cou.
Les effets secondaires courants de la pilocarpine comprennent une sudation excessive, des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, des maux de tête et des troubles visuels. Dans de rares cas, elle peut provoquer des réactions allergiques graves.
Les tumeurs de la glande sous-maxillaire se réfèrent à des croissances anormales dans la glande salivaire sous-maxillaire, qui est située en dessous de la mâchoire inférieure. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes sont généralement plus fréquentes et se développent plus lentement, sans se propager à d'autres parties du corps. D'un autre côté, les tumeurs malignes peuvent se développer rapidement, envahir les tissus environnants et se propager à d'autres parties du corps.
Les symptômes courants des tumeurs de la glande sous-maxillaire comprennent un gonflement ou une masse dans la région située en dessous de la mâchoire inférieure, une douleur faciale ou au cou, un engourdissement ou une faiblesse des muscles du visage, des difficultés à avaler ou à parler, et une perte de poids inexpliquée.
Le diagnostic de ces tumeurs implique généralement une combinaison d'examens physiques, d'imagerie médicale (telle que la tomodensitométrie ou l'IRM) et d'analyses de tissus prélevés par biopsie. Le traitement dépend du type et de l'étendue de la tumeur, mais peut inclure une surveillance attentive, une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie.
La sudation gustative, également connue sous le nom de sueurs gustatives ou freudenne, est un phénomène rare et mal compris où une personne commence à transpirer comme réponse à des stimuli gustatifs. C'est-à-dire, certaines saveurs ou odeurs peuvent déclencher une sudation excessive, en particulier dans les régions du visage et de la tête.
Bien que la cause exacte de ce phénomène ne soit pas claire, on pense qu'il est lié à une activation anormale du système nerveux sympathique, qui contrôle les réponses physiologiques au stress, telles que l'augmentation du rythme cardiaque et la transpiration.
Les aliments épicés, acides ou très sucrés sont souvent cités comme déclencheurs courants de sudation gustative. Cependant, il peut également être associé à des conditions médicales sous-jacentes, telles que l'anxiété, la dépression, les troubles neurologiques et les maladies cardiovasculaires.
Il est important de noter que la sudation gustative n'est pas considérée comme un trouble médical majeur en soi, mais plutôt comme un symptôme associé à d'autres conditions. Si vous remarquez des épisodes fréquents de sueurs inexpliquées après avoir mangé certains aliments, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé pour rechercher toute cause sous-jacente potentielle et recevoir un traitement approprié.
L'appareil lacrymal est un système complexe qui produit, stocke et draine les larmes. Il se compose des glandes lacrymales, des conduits lacrymaux, des sacs lacrymaux et des canaux nasolacrimaux. Les glandes lacrymales sont responsables de la production de larmes, qui lubrifient et protègent la surface de l'œil. Les conduits lacrymaux collectent les larmes et les acheminent vers le sac lacrymal, d'où elles s'écoulent dans les canaux nasolacrimaux et finissent par se déverser dans le nez. L'appareil lacrymal fonctionne pour maintenir l'humidité de l'œil et protéger contre les irritants et les infections.
Les glandes sébacées sont des glandes situées dans la peau qui sécrètent du sébum, une substance huileuse qui aide à garder la peau et les cheveux hydratés. Elles sont attachées aux follicules pileux et se trouvent principalement sur le visage, le haut du dos et le torse. Le sébum produit par ces glandes peut obstruer les pores de la peau, ce qui peut entraîner l'acné et d'autres problèmes de peau lorsque les glandes sont surestimulées ou lorsque les pores sont bloqués.
La glande de Harder, également connue sous le nom de glande bulbourethrale ou glande de Cowper, est une petite glande situées juste en dessous de la prostate dans les hommes. Elle fait partie du système reproducteur masculin et se compose de deux structures qui sécrètent un liquide clair et visqueux déchargé dans l'urètre pendant le rapport sexuel. Ce liquide, appelé pré-éjaculat ou lubrifiant, sert à lubrifier et à neutraliser l'acidité de l'urètre avant l'éjaculation, facilitant ainsi le mouvement des spermatozoïdes lors de l'activité sexuelle. Les sécrétions de la glande de Harder contiennent également certaines enzymes et protéines qui protègent et nourrissent les spermatozoïdes.
La maladie de la glande sous-maxillaire, également connue sous le nom de sialoadénite de la glande submandibulaire, est une inflammation de la glande salivaire submandibulaire située sous la mâchoire inférieure. Cette condition peut être causée par divers facteurs, tels qu'une infection bactérienne ou virale, des calculs (lithiases) dans les conduits salivaires, des maladies auto-immunes, des traumatismes ou des tumeurs.
Les symptômes courants de la maladie de la glande sous-maxillaire comprennent une douleur et un gonflement de la glande submandibulaire, particulièrement marqués lors de la mastication ou de la déglutition. La personne affectée peut également ressentir de la fièvre, des frissons, un mal de gorge et une fatigue générale en cas d'infection. Dans les cas graves ou chroniques, une fistule (un petit canal) peut se former entre la glande et la peau, permettant au contenu purulent de s'écouler à l'extérieur.
Le diagnostic de la maladie de la glande sous-maxillaire repose sur l'examen clinique, les antécédents médicaux du patient, des tests d'imagerie tels que l'échographie, la tomographie computérisée (CT) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM), ainsi que sur des analyses de laboratoire pour déterminer la nature de l'infection, le cas échéant.
Le traitement de la maladie de la glande sous-maxillaire dépend de sa cause sous-jacente. Dans les cas d'infections bactériennes, des antibiotiques peuvent être prescrits. En présence de calculs, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour retirer le ou les corps étrangers et drainer la glande. Si l'inflammation est chronique ou récurrente, la sialendoscopie (une procédure endoscopique mini-invasive) ou la sialectomie (l'ablation de la glande) peuvent être envisagées.
Il est important de consulter un médecin en cas de suspicion de maladie de la glande sous-maxillaire, car une prise en charge précoce et adéquate peut contribuer à prévenir les complications et favoriser une guérison rapide.
Le système nerveux parasympathique (SNP) est l'une des deux divisions du système nerveux autonome, l'autre étant le système nerveux sympathique. Il est également connu sous le nom de système nerveux craniosacral car il émerge principalement du tronc cérébral (cranial) et de la moelle sacrée (sacral).
Le SNP joue un rôle crucial dans la conservation des ressources corporelles et le maintien des fonctions physiologiques normales lorsque l'organisme est au repos. Ses effets sont généralement ceux de ralentissement, de relaxation et d'économie d'énergie.
Les neurones préganglionnaires du SNP ont leurs corps cellulaires dans les noyaux des nerfs crâniens III, VII, IX et X (appelés nerfs cranio-parasympathiques) et dans la moelle sacrée (S2-S4). Ces neurones préganglionnaires libèrent de l'acétylcholine comme neurotransmetteur qui se lie aux récepteurs nicotiniques postsynaptiques sur les neurones postganglionnaires.
Les neurones postganglionnaires du SNP utilisent principalement l'acétylcholine comme neurotransmetteur, mais certains peuvent utiliser d'autres substances telles que la noradrénaline ou la dopamine. Les fibres postganglionnaires se terminent dans les glandes sudoripares, les glandes salivaires, le cœur, les vaisseaux sanguins, les poumons, l'estomac, l'intestin grêle, le côlon, le rectum, la vessie et les organes génitaux.
Les effets physiologiques du SNP comprennent :
- Réduction de la fréquence cardiaque et de la pression artérielle
- Augmentation de la motilité gastro-intestinale et de la sécrétion digestive
- Constriction des pupilles (myosis)
- Relaxation du sphincter de l'iris
- Stimulation de la production de salive et de sueur
- Augmentation de la capacité contractile de la vessie
- Décontraction du détrusor vésical
- Constriction des bronchioles
- Vasodilatation cutanée
En résumé, le système nerveux parasympathique est une partie importante du système nerveux autonome qui contrôle les fonctions involontaires de l'organisme. Il utilise principalement l'acétylcholine comme neurotransmetteur et a des effets opposés à ceux du système nerveux sympathique. Le SNP ralentit le rythme cardiaque, favorise la digestion, stimule la production de salive et de sueur, détend les muscles lisses et maintient l'homéostasie interne.
Le nerf facial, officiellement connu sous le nom de nerf crânien VII, est un nerf mixte dans le système nerveux périphérique humain. Il a deux parties principales : une partie motrice qui contrôle les muscles du visage, y compris ceux impliqués dans la mastication, la mimique faciale et la fermeture des paupières ; et une partie sensitive qui fournit la sensibilité au goût pour la partie antérieure de la langue. Le nerf facial émerge du tronc cérébral et passe à travers le crâne via le foramen stylomastoïde, avant de se diviser en plusieurs branches pour innerver différentes structures du visage et de la tête. Des problèmes avec ce nerf peuvent entraîner une paralysie faciale, une perte de goût ou d'autres symptômes neurologiques.
Les granulations cytoplasmiques sont des petites structures granuleuses présentes dans le cytoplasme de certaines cellules. Elles sont composées de divers types de matériel organique, y compris des protéines, des lipides et des glucides. Les granulations cytoplasmiques peuvent être de différents types, chacun ayant une fonction spécifique dans la cellule.
Par exemple, les ribosomes sont des granulations cytoplasmiques qui jouent un rôle clé dans la synthèse des protéines. Les lysosomes sont d'autres granulations cytoplasmiques qui contiennent des enzymes digestives utilisées pour décomposer les matières organiques et inorganiques dans la cellule.
Les granulations cytoplasmiques peuvent également être un signe de certaines maladies ou conditions médicales. Par exemple, l'accumulation anormale de granulations cytoplasmiques dans les neurones est associée à certaines formes de la maladie de Parkinson.
Il est important de noter que la présence et la distribution des granulations cytoplasmiques peuvent varier considérablement d'une cellule à l'autre, en fonction du type de cellule et de sa fonction spécifique dans le corps.
Les glandes surrénales sont des glandes endocrines situées au-dessus des kidneys dans le corps humain. Elles sont composées de deux parties distinctes : la cortexe et la medulla.
La cortexe, qui forme la majeure partie de la glande, est responsable de la production des hormones stéroïdes telles que le cortisol, l'aldostérone et les androgènes. Le cortisol aide à réguler le métabolisme, à réduire l'inflammation et à répondre au stress. L'aldostérone régule la pression artérielle en contrôlant les niveaux de sodium et de potassium dans le corps. Les androgènes sont des hormones sexuelles masculines qui contribuent au développement des caractéristiques sexuelles secondaires chez les hommes.
La medulla, qui est la partie interne de la glande, produit des catécholamines telles que l'adrénaline (également appelée épinéphrine) et la noradrénaline (également appelée norepinephrine). Ces hormones préparent le corps à répondre au stress en augmentant le rythme cardiaque, la respiration et le flux sanguin vers les muscles.
Les glandes surrénales jouent donc un rôle crucial dans la régulation de diverses fonctions corporelles, notamment le métabolisme, la pression artérielle, l'équilibre électrolytique et la réponse au stress.
Les calculs salivaires intraglandulaires sont des concrétions solides qui se forment à l'intérieur des glandes salivaires. Ces petits corps étrangers durs sont généralement composés de calcium et peuvent varier en taille, allant de quelques millimètres à plusieurs centimètres.
Ils se forment lorsque la salive devient saturée en sels de calcium, ce qui entraîne la précipitation des cristaux de calcium. Au fil du temps, ces cristaux peuvent s'agglomérer et former un calcul. Les calculs salivaires intraglandulaires peuvent se former dans n'importe quelle glande salivaire, mais ils sont les plus fréquents dans la glande parotide, qui est la plus grande des glandes salivaires.
Les symptômes associés aux calculs salivaires intraglandulaires peuvent inclure une douleur ou une sensibilité au niveau de la glande salivaire affectée, un gonflement, une rougeur et une sensation de plénitude. Dans certains cas, les calculs peuvent obstruer les canaux qui transportent la salive vers la bouche, entraînant une production réduite de salive et des difficultés à avaler.
Le traitement dépend de la taille et de la localisation du calcul. Dans certains cas, il peut être possible de dissoudre le calcul en augmentant la consommation de liquides et en massant la glande salivaire affectée. Cependant, dans la plupart des cas, une intervention chirurgicale est nécessaire pour retirer le calcul. Dans les cas graves, où il y a une infection ou un risque d'inflammation, des antibiotiques peuvent être prescrits.
La sympathectomie est une procédure chirurgicale qui consiste à interrompre intentionnellement la fonction du système nerveux sympathique, qui est une partie importante du système nerveux autonome. Ce système nerveux autonome contrôle les fonctions involontaires de l'organisme telles que la fréquence cardiaque, la pression artérielle, la respiration, la digestion et la sudation.
La sympathectomie vise spécifiquement à perturber le trajet des nerfs sympathiques qui se propagent depuis la colonne vertébrale jusqu'aux organes cibles dans tout le corps. Cette intervention est généralement réalisée pour traiter certaines affections médicales spécifiques, telles que l'hyperhidrose (transpiration excessive), l'hypertension artérielle réfractaire et certains types de douleurs chroniques neuropathiques.
Les techniques chirurgicales pour une sympathectomie peuvent inclure la cautérisation, la coupure ou le sectionnement des nerfs sympathiques à l'aide d'instruments spéciaux, tels que des lasers, des micro-ciseaux ou des courants électriques. Les effets de cette procédure peuvent être permanents ou réversibles, selon la méthode utilisée et l'étendue de l'intervention.
Comme pour toute intervention chirurgicale, la sympathectomie comporte des risques potentiels, tels que des saignements, des infections, des dommages aux structures nerveuses avoisinantes et d'autres complications liées à l'anesthésie. De plus, cette procédure peut entraîner des effets secondaires indésirables, comme la sudation compensatoire dans d'autres parties du corps, une hypotension orthostatique, une horripilation (poils hérissés) et des douleurs thoraciques. Par conséquent, il est essentiel que les patients soient correctement informés des avantages et des inconvénients de cette procédure avant de prendre une décision éclairée concernant leur traitement.
Les lignées consanguines de rats sont des souches de rats qui sont issus d'une reproduction continue entre des individus apparentés, tels que des frères et sœurs ou des parents et leurs enfants. Cette pratique de reproduction répétée entre les membres d'une même famille entraîne une augmentation de la consanguinité, ce qui signifie qu'ils partagent un pourcentage plus élevé de gènes identiques que les individus non apparentés.
Dans le contexte de la recherche médicale et biologique, l'utilisation de lignées consanguines de rats est utile pour étudier les effets des gènes spécifiques sur des traits particuliers ou des maladies. En éliminant la variabilité génétique entre les individus d'une même lignée, les scientifiques peuvent mieux contrôler les variables et isoler les effets de certains gènes.
Cependant, il est important de noter que la consanguinité élevée peut également entraîner une augmentation de la fréquence des maladies génétiques récessives, ce qui peut limiter l'utilité des lignées consanguines pour certains types d'études. Par ailleurs, les résultats obtenus à partir de ces lignées peuvent ne pas être directement applicables aux populations humaines, qui sont beaucoup plus génétiquement diversifiées.
La région parotidomassétérique est une zone anatomique du cou qui comprend la glande parotide et le muscle masséter. La glande parotide est la plus grande des glandes salivaires et se trouve juste devant l'oreille. Elle sécrète la salive dans la bouche pour aider à la digestion des aliments, en particulier les amidons. Le muscle masséter est un muscle puissant de la mâchoire qui permet la fermeture de la bouche et la mastication des aliments.
La région parotidomassétérique est délimitée par plusieurs structures anatomiques importantes, notamment le bord antérieur du muscle sternocléidomastoïde, le bord postérieur du muscle masséter, le processus mastoïde de l'os temporal et la ligne jugulaire antérieure. Cette région est cliniquement importante car elle contient plusieurs structures vitales telles que les branches du nerf facial, qui contrôle les mouvements des muscles du visage, et le tronc tympanique du nerf glossopharyngé, qui transmet les sensations gustatives de la langue.
Des pathologies telles que des tumeurs bénignes ou malignes peuvent survenir dans cette région et nécessiter une évaluation et un traitement appropriés par un professionnel de la santé qualifié.
Le nerf trijumeau, également connu sous le nom de cinquième nerf crânien, est un nerf mixte qui transmet les sensations du visage et contrôle certains muscles de la mastication. Les atteintes du nerf trijumeau peuvent se produire en raison de diverses affections, telles que des lésions nerveuses, des infections, des tumeurs, des accidents vasculaires cérébraux ou des maladies dégénératives.
Les atteintes du nerf trijumeau peuvent entraîner une variété de symptômes, notamment :
1. Anesthésie ou engourdissement du visage
2. Douleur faciale lancinante ou brûlante
3. Perte de sensibilité au goût
4. Difficulté à mâcher ou à avaler
5. Mouvements involontaires des muscles du visage
6. Paralysie faciale unilatérale (Hemifacial Spasm)
7. Troubles de l'équilibre et de la coordination
8. Vision floue ou double
9. Sensibilité accrue au bruit ou à la lumière
Le diagnostic des atteintes du nerf trijumeau implique généralement un examen physique approfondi, y compris une évaluation de la fonction musculaire et sensorielle du visage. Des tests d'imagerie tels que l'IRM ou le scanner peuvent également être utilisés pour identifier toute lésion nerveuse sous-jacente.
Le traitement des atteintes du nerf trijumeau dépend de la cause sous-jacente. Dans certains cas, des médicaments tels que les anticonvulsivants ou les analgésiques peuvent être prescrits pour soulager la douleur et l'inconfort. La physiothérapie peut également être bénéfique pour améliorer la fonction musculaire et sensorielle du visage. Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour corriger toute lésion nerveuse sous-jacente.
La radiothérapie conformationnelle avec modulation d'intensité (IMRT, Intensity-Modulated Radiation Therapy) est une forme avancée de radiothérapie qui utilise des techniques informatiques sophistiquées pour délivrer des doses élevées de radiation aux tumeurs cancéreuses, tout en minimisant les dommages aux tissus sains environnants.
Dans l'IMRT, le médecin oncologue radiothérapeute planifie soigneusement le traitement en trois dimensions (3D), en prenant en compte la forme, la taille et la localisation de la tumeur, ainsi que les organes sensibles à proximité. Cette planification permet de sculpter le faisceau de radiation de manière à ce qu'il s'adapte parfaitement à la forme de la tumeur.
La "modulation d'intensité" fait référence à la capacité de l'IMRT à varier la dose de radiation délivrée à différentes parties de la tumeur. En utilisant des multibars ou des feuilles mobiles dans le collimateur de la machine à rayons, l'intensité du faisceau est ajustée pour fournir une dose plus élevée aux zones tumorales les plus épaisses et moins élevée aux zones plus minces.
Cette approche permet non seulement de délivrer des doses plus élevées de radiation à la tumeur, mais aussi de réduire les effets secondaires associés à la radiothérapie conventionnelle, car les tissus sains environnants sont exposés à des doses de radiation beaucoup plus faibles.
L'IMRT est utilisée pour traiter une variété de cancers, y compris ceux du cerveau, de la tête et du cou, du poumon, du sein, de la prostate, du rectum et du pelvis.
En médecine, le débit sécrétoire fait référence à la quantité de liquide ou de substance sécrétée par une glande ou un tissu donné pendant une période de temps spécifique. Il s'exprime généralement en termes de volume par unité de temps, comme millilitres par minute (mL/min).
Le débit sécrétoire peut être mesuré pour divers types de glandes, telles que les glandes sudoripares, salivaires, lacrymales et surrénales. Par exemple, le débit sécrétoire des glandes sudoripares est important dans l'étude des troubles de la transpiration excessive connus sous le nom d'hyperhidrose. De même, le débit sécrétoire des glandes salivaires peut être mesuré pour évaluer les problèmes de production de salive dans certaines conditions médicales.
Il est important de noter que le débit sécrétoire peut varier en fonction de divers facteurs, tels que l'âge, le sexe, l'état de santé général et les stimuli environnementaux. Par conséquent, il est essentiel de normaliser ces facteurs lors de la mesure du débit sécrétoire pour obtenir des résultats précis et significatifs.
Les « Organ Sparing Treatments » (traitements préservant les organes) font référence à des stratégies thérapeutiques qui visent à traiter une maladie ou une condition sans nuire ou en causant le moins de dommages possible aux organes vitaux et aux fonctions corporelles. Ces traitements sont souvent utilisés dans les domaines de la néphrologie, de l'urologie et de la radiothérapie oncologique pour préserver la fonction rénale, urinaire et d'autres organes tout en traitant efficacement la maladie sous-jacente.
Dans le contexte de la néphrologie et de l'urologie, les traitements préservant les organes peuvent inclure des options telles que la réduction de la taille d'une tumeur rénale plutôt que de retirer complètement le rein (néphrectomie partielle), ou l'utilisation de médicaments pour traiter une hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) plutôt que d'opter pour une intervention chirurgicale qui pourrait endommager les muscles du plancher pelvien et affecter la fonction urinaire.
Dans le domaine de la radiothérapie oncologique, les traitements préservant les organes peuvent inclure des techniques avancées telles que l'irradiation stéréotaxique corporelle (SBRT) et l'irradiation conformationnelle avec modulation d'intensité (IMRT), qui permettent de concentrer la dose de radiation sur la tumeur tout en minimisant l'exposition des organes sains environnants.
L'objectif principal des traitements préservant les organes est d'améliorer la qualité de vie des patients, de réduire le risque de complications et d'optimiser les résultats thérapeutiques à long terme.
La Substance P est un neuropeptide composé de 11 acides aminés, découvert en 1931 par le scientifique Ulf von Euler. Il s'agit d'un médiateur chimique important dans la transmission des signaux de douleur, des inflammations et des réponses émotionnelles dans le système nerveux central et périphérique.
La Substance P est largement distribuée dans le cerveau et la moelle épinière, où elle agit comme un neurotransmetteur ou un neuromodulateur en se liant aux récepteurs NK1 (neurokinine 1). Elle joue également un rôle crucial dans divers processus physiologiques tels que la régulation de la pression artérielle, la fonction gastro-intestinale et la modulation de l'humeur.
Dans le contexte médical, des anomalies dans la production ou la transmission de la Substance P peuvent contribuer au développement de diverses affections, notamment la douleur chronique, les troubles anxieux et dépressifs, ainsi que certains types de maladies inflammatoires. Des recherches sont en cours pour développer des traitements ciblant spécifiquement les récepteurs NK1 comme stratégie thérapeutique dans le traitement de la douleur et d'autres affections liées à la Substance P.
Le carcinome adénoïde kystique est un type rare de cancer qui se développe généralement dans les glandes salivaires. Il est appelé "adénoïde" parce qu'il ressemble à des glandes adénoïdes, et "kystique" en raison de sa tendance à former des kystes ou des cavités remplies de liquide.
Ce type de cancer se développe lentement et peut mettre des années avant de provoquer des symptômes. Les symptômes dépendent de la localisation du cancer, mais peuvent inclure des gonflements douloureux ou indolores dans la région de la tête et du cou, une difficulté à avaler, une paralysie faciale, un engourdissement ou des picotements dans le visage.
Le carcinome adénoïde kystique peut être traité par une combinaison de chirurgie, de radiothérapie et de chimiothérapie. Le pronostic dépend du stade et de l'emplacement du cancer au moment du diagnostic. Les taux de survie à cinq ans varient selon le stade du cancer, mais sont généralement bons pour les cancers diagnostiqués à un stade précoce.
Il est important de noter que bien que le carcinome adénoïde kystique soit un type rare de cancer, il est important de consulter un médecin si vous remarquez des symptômes persistants ou inexpliqués dans la région de la tête et du cou.
Les vésicules de sécrétion sont des structures membranaires présentes dans les cellules qui stockent et relarguent des molécules spécifiques vers l'espace extracellulaire. Elles jouent un rôle crucial dans la communication intercellulaire, le métabolisme cellulaire et la réponse immunitaire. Les vésicules de sécrétion peuvent contenir divers types de molécules telles que des protéines, des neuropeptides, des hormones, des enzymes et des facteurs de croissance.
Les vésicules de sécrétion se forment à partir du raffinement d'une portion du réseau de membranes intracellulaires appelé le réticulum endoplasmique et l'appareil de Golgi. Les protéines et les autres molécules sont synthétisées dans le réticulum endoplasmique rugueux, transportées vers l'appareil de Golgi où elles sont modifiées et triées avant d'être emballées dans des vésicules de sécrétion.
Une fois que les vésicules de sécrétion sont formées, elles peuvent être stockées dans la cellule jusqu'à ce qu'un stimulus spécifique déclenche leur fusion avec la membrane plasmique et la libération de leur contenu dans l'espace extracellulaire. Ce processus est connu sous le nom d'exocytose.
Les vésicules de sécrétion sont importantes pour une variété de fonctions cellulaires, y compris la communication neuronale, la régulation hormonale et la défense immunitaire. Les troubles associés à des anomalies dans la formation ou la fonction des vésicules de sécrétion peuvent entraîner diverses maladies, notamment des maladies neurodégénératives, des troubles endocriniens et des maladies auto-immunes.
La panniculite lupique est une complication rare mais grave de la maladie systémique du lupus érythémateux (LES). Il s'agit d'une inflammation des lobules adipeux situés sous la peau, provoquant des plaques dures et indolores qui peuvent être rouges, violacées ou de couleur chair. Ces lésions sont souvent symétriques et préférentiellement localisées sur les extenseurs des membres inférieurs, bien que d'autres parties du corps puissent également être touchées.
La panniculite lupique se produit généralement chez les patients atteints de LES avec une activité de la maladie élevée et peut être associée à des anticorps anti-phospholipides. Elle peut précéder ou accompagner le diagnostic du LES, et son apparition doit alerter le clinicien sur la possibilité d'une activation du LES.
Le diagnostic de panniculite lupique repose sur les critères cliniques et histopathologiques. La biopsie cutanée est essentielle pour confirmer le diagnostic, montrant une inflammation lobulaire avec dégénérescence adipocytaire et souvent des vaisseaux sanguins anormaux dans le derme profond.
Le traitement de la panniculite lupique implique généralement un contrôle agressif de l'activité du LES, y compris l'utilisation de corticostéroïdes systémiques et d'immunosuppresseurs. Des médicaments spécifiques tels que les antipaludéens de synthèse peuvent également être bénéfiques dans certains cas.
La tuberculose de la cavité buccale est une infection rare causée par Mycobacterium tuberculosis, qui affecte généralement les poumons mais peut se propager à d'autres parties du corps, y compris la cavité buccale. Dans la cavité buccale, elle peut affecter les tissus mous des lèvres, des joues, du palais, de la langue et des gencives. Les symptômes peuvent inclure des ulcères profonds, indolores ou douloureux, des nodules, des plaies sur le toit de la bouche, une augmentation de la salivation et une mauvaise haleine. Le diagnostic est posé par l'examen histopathologique et la culture du matériel prélevé dans la cavité buccale. Le traitement consiste en une combinaison d'antibiotiques spécifiques contre la tuberculose, généralement administrés pendant une période prolongée allant de six à neuf mois.
La méthénamine est un antimicrobien utilisé dans le traitement de certaines infections des voies urinaires. Il agit en étant converti en formaldéhyde dans l'organisme, ce qui permet de détruire les bactéries. La méthénamine est souvent combinée avec d'autres médicaments pour augmenter son efficacité contre certaines souches bactériennes.
Il est important de noter que la méthénamine ne doit pas être utilisée comme traitement initial des infections urinaires non compliquées, car elle n'est pas aussi efficace que d'autres options thérapeutiques. Elle peut cependant être une option pour les infections récurrentes ou résistantes aux autres traitements.
Les effets secondaires courants de la méthénamine comprennent des maux de tête, des nausées, des douleurs abdominales et des troubles gastro-intestinaux. Dans de rares cas, elle peut provoquer une encéphalopathie (une affection neurologique grave).
La méthénamine ne doit pas être utilisée par les personnes allergiques à ce médicament ou à l'un de ses composants. Elle est également déconseillée aux femmes enceintes ou qui allaitent, sauf sur avis médical.
Les agonistes muscariniques sont des composés pharmacologiques qui se lient et activent les récepteurs muscariniques, qui sont un type de récepteur des neurotransmetteurs situés dans le système nerveux parasympathique. Ces récepteurs sont activés par l'acétylcholine, un neurotransmetteur important pour la régulation de divers processus physiologiques tels que la contraction musculaire lisse, la sécrétion glandulaire, et la fonction cognitive.
Les agonistes muscariniques peuvent être utilisés dans le traitement de diverses affections médicales telles que les maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC), la maladie d'Alzheimer, et certains troubles oculaires. Cependant, ils peuvent également entraîner des effets secondaires indésirables tels que des nausées, des vomissements, des diarrhées, des sueurs, des mictions fréquentes, et une augmentation de la salivation et des sécrétions bronchiques.
Il existe plusieurs types d'agonistes muscariniques, qui se lient préférentiellement à différents sous-types de récepteurs muscariniques (M1 à M5). Certains agonistes muscariniques sont sélectifs pour un sous-type particulier de récepteur, tandis que d'autres ont une affinité plus large pour plusieurs sous-types. La sélectivité des agonistes muscariniques peut influencer leur efficacité thérapeutique et leur profil d'effets secondaires.
Dans un contexte médical, les tanins sont des polyphénols naturels présents dans certaines plantes, fruits et boissons. Ils sont souvent décrits comme ayant un goût astringent et amer. Les tanins ont divers effets biologiques, tels que la capacité d'interagir avec les protéines et d'autres composés organiques.
Dans le corps humain, les tanins peuvent se lier aux protéines de la salive et des muqueuses, ce qui peut entraîner une sensation de bouche sèche ou un assèchement de la gorge. Ils peuvent également interagir avec d'autres composés dans le tube digestif, ce qui peut affecter l'absorption des nutriments.
Bien que les tanins aient été traditionnellement utilisés pour leurs propriétés médicinales, telles que leur capacité à traiter la diarrhée et l'inflammation, il existe peu de preuves scientifiques solides pour étayer ces avantages. En outre, une consommation excessive de tanins peut entraîner des effets indésirables tels que des maux d'estomac, des nausées et des réactions allergiques.
Atropine est un médicament anticholinergique utilisé pour bloquer les effets du neurotransmetteur acétylcholine dans le corps. Il est dérivé de la plante belladone, également connue sous le nom de morelle fausse belladone ou datura.
Atropine a plusieurs utilisations médicales. Elle peut être utilisée pour traiter les symptômes du syndrome du côlon irritable, tels que les crampes d'estomac et la diarrhée. Il est également utilisé pour dilater les pupilles lors des examens ophtalmologiques et pour réduire les sécrétions dans la bouche, le nez et les poumons avant une intervention chirurgicale.
En outre, l'atropine peut être utilisée comme antidote pour le poison de certains champignons vénéneux et plantes, ainsi que pour les insecticides organophosphorés. Il fonctionne en bloquant les effets de l'acétylcholine, qui est la substance chimique responsable des symptômes toxiques.
Les effets secondaires courants de l'atropine comprennent une bouche sèche, une vision floue, une augmentation du rythme cardiaque, des étourdissements et une constipation. Dans de rares cas, il peut provoquer des hallucinations, une agitation ou une confusion. L'atropine doit être utilisée avec prudence chez les personnes âgées, car elles peuvent être plus sensibles à ses effets.
Les tumeurs des glandes sébacées sont des croissances anormales qui se développent dans les glandes sébacées, qui sont responsables de la production de sébum pour lubrifier la peau et les cheveux. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).
Les tumeurs des glandes sébacées bénignes les plus courantes sont les adénomes sébacés et les kystes épidermiques. Elles se présentent généralement sous la forme de petites bosses ou nodules sur la peau, souvent sur le visage, le cou, le dos ou le torse. Bien qu'elles soient généralement indolores, elles peuvent parfois causer des inconforts esthétiques ou mécaniques en fonction de leur localisation et de leur taille.
Les tumeurs des glandes sébacées malignes, également appelées carcinomes sébacés, sont beaucoup plus rares. Elles se développent généralement chez les personnes âgées et peuvent se présenter sous la forme de petites papules ou nodules qui s'ulcèrent et saignent facilement. Les carcinomes sébacés ont tendance à se développer lentement, mais ils peuvent se propager à d'autres parties du corps s'ils ne sont pas traités rapidement.
Le traitement des tumeurs des glandes sébacées dépend de leur type et de leur gravité. Les tumeurs bénignes peuvent souvent être enlevées chirurgicalement, tandis que les tumeurs malignes peuvent nécessiter une intervention chirurgicale plus importante, ainsi qu'une radiothérapie ou une chimiothérapie.
Glande parotide
Ligament latéral temporo-mandibulaire
Espace latéro-pharyngien
Glande parotoïde
Nerf grand auriculaire
Veine temporale superficielle
Auguste Bérard
Bufoténine
Glande submandibulaire
Biopsie
C7
Oncocytome
Tito Vilanova
Poche gutturale
Tumeur des glandes salivaires
Boutonnière rétro-condylienne de Juvara
Nicolas Sténon
Artère carotide externe
Glande salivaire
Parotidite
Lame superficielle du fascia cervical
Nerf tympanique
Artère auriculaire postérieure
Adénome pléomorphe
Nerf glossopharyngien
Glande sublinguale
Artère temporale superficielle
Noyau salivaire
Partie tympanique de l'os temporal
Sialendoscopie
Salivaire27
- Bienvenue dans cet article consacré au massage de la glande salivaire. (cncres.org)
- Aujourd'hui, nous allons nous intéresser plus spécifiquement à la technique du massage de la glande salivaire, qui peut fournir un soulagement efficace pour divers problèmes liés à cette zone. (cncres.org)
- Découvrez avec nous les bienfaits et les différentes méthodes de massage de la glande salivaire. (cncres.org)
- Sous-titre optimisé : Découvrez les techniques de massage de la glande salivaire pour améliorer votre santé buccale. (cncres.org)
- Le massage de la glande salivaire est une technique souvent négligée mais qui peut apporter de nombreux bienfaits à votre santé buccale. (cncres.org)
- Le massage de la glande salivaire permet de stimuler la production de salive, ce qui est essentiel pour maintenir une bonne santé buccale. (cncres.org)
- Avec vos doigts propres, effectuez de légers mouvements circulaires autour de la glande salivaire. (cncres.org)
- Appliquez une légère pression avec vos doigts sur la glande salivaire pendant quelques secondes, puis relâchez. (cncres.org)
- Utilisez vos doigts pour tapoter légèrement la région de la glande salivaire. (cncres.org)
- Assurez-vous d'avoir les mains propres avant de commencer et ne pas exercer une pression excessive sur la glande salivaire. (cncres.org)
- En conclusion, le massage de la glande salivaire est une technique simple mais efficace pour améliorer votre santé buccale. (cncres.org)
- La glande salivaire est un organe situé dans la bouche qui produit la salive, un liquide essentiel à la digestion et à la protection des dents et des muqueuses buccales. (cncres.org)
- La massage de la glande salivaire peut aider à stimuler sa fonction et à soulager certains problèmes de santé liés à la sécheresse buccale. (cncres.org)
- Le massage régulier de la glande salivaire peut contribuer à améliorer la production de salive, ce qui peut avoir plusieurs avantages pour la santé buccale et générale. (cncres.org)
- Réduction de la sécheresse buccale : en stimulant la production de salive, le massage de la glande salivaire peut aider à soulager les symptômes de la sécheresse buccale, tels que la sensation de soif et l'inconfort lors de la déglutition. (cncres.org)
- En favorisant la production de salive, le massage de la glande salivaire peut contribuer à maintenir une bonne santé buccale. (cncres.org)
- En augmentant la production de salive, le massage de la glande salivaire peut favoriser une meilleure digestion. (cncres.org)
- La glande salivaire le plus souvent atteinte est la parotide, de façon bilatérale dans la majorité des cas. (mesvaccins.net)
- Il est présent dans la salive jusqu'à 7 jours avant l'apparition du gonflement de la glande salivaire, avec une transmissibilité maximale juste avant le développement de la parotidite. (msdmanuals.com)
- Nous avons alors voulu savoir si un traitement par ce médicament pourrait avoir un effet similaire au niveau de l'évacuation salivaire dans des indications d'expulsion de sialolithiases résiduelles après lithotripsie extracorporelle, dans les maladies sténosantes des glandes salivaires et dans les pseudo parotidites allergiques. (glandesalivaires.com)
- Parotide : glande salivaire la plus volumineuse située derrière la branche montante de la mandibule (maxillaire inférieure), sous l'oreille. (mpedia.fr)
- Une infection des glandes salivaires se développe lorsqu'un agent bactérien ou viral affecte une glande ou un conduit salivaire. (chaplet.org)
- Celle-ci est souvent causée par une occlusion ou inflammation du canal de la glande salivaire. (chaplet.org)
- En cas d'infection d'une glande salivaire et si vous êtes atteint(e) de fièvre, si vous éprouvez des difficultés respiratoires ou pour déglutir, ou encore, en cas d'aggravation de vos symptômes, contactez immédiatement un médecin. (chaplet.org)
- Une infection d'une glande salivaire causée par une tumeur bénigne peut être à l'origine d'une dilatation des glandes. (chaplet.org)
- Selon l'ensemble des médias espagnols, recoupant une information du Mundo Deportivo, Tito Vilanova (42 ans) a rechuté de sa tumeur de la glande parotide (une glande salivaire). (usap-forum.com)
- Xérostomie = état de sécheresse de la cavité buccale lié à une importante diminution ou à la disparition de la sécrétion salivaire, résultant d'une atteinte de la totalité des glandes salivaires principales et accessoires (Syndrome de Gougerot-Sjögren). (homeopathie-dentaire.net)
Sous-maxillaire4
- Quelquefois la glande sous-maxillaire est prise au lieu de la parotide (oreillons sous-maxillaires). (bylittleones.com)
- L'extirpation de la glande sous-maxillaire est techniquement plus simple que celle de la parotide. (sialoss.com)
- Outre les adénopathies, le terme de tuméfaction cervicale peut également être utilisé pour un lipome, un kyste congénital, une tumeur de la glande parotide, une hypertrophie de la glande sous-maxillaire ou pour toute autre masse développée dans la région cervicale . (journaldesfemmes.fr)
- Trois glandes salivaires: En haut à droite, la parotide - Au milieu: la sous muqueuse - En bas et à gauche: la sous maxillaire. (ac.be)
Autres glandes salivaires4
- Comme les autres glandes salivaires, elle a un rôle de production exocrine de salive, qui est excrétée dans la bouche pour faciliter la mastication, la déglutition et débuter la digestion du bol alimentaire. (wikipedia.org)
- Il n'y a pas de conséquence sur la sécrétion de salive d'ôter la glande car les autres glandes salivaires compensent son ablation. (sfscmfco.com)
- La fonction principale de la glande parotide, et de toutes les autres glandes salivaires, c'est l'initiation de la digestion. (studiodentaire.com)
- La salive protège également les dents , car elles sont lubrifiées avec le mucus produit par les autres glandes salivaires. (studiodentaire.com)
Tumeurs4
- Tumeurs de la Parotide - Tumeurs des glandes salivaires. (orl-toulouse.pro)
- Le traitement des tumeurs des glandes salivaires est leur extirpation. (sialoss.com)
- C'est la technique chirurgicale que nous utilisons pour éliminer les tumeurs de la glande parotide. (sialoss.com)
- Bien qu'elles soient très rares, les tumeurs des sous-maxillaires, malignes dans 50% des cas, nécessitent une résection de la glande. (sialoss.com)
Cette glande2
- Il s'agit d'une intervention chirurgicale très rare dans notre clinique, puisque nous traiterons la plupart des pathologies de cette glande par sialoendoscopie. (sialoss.com)
- Quand la glande malade est bien localisée, le traitement sera simplifié en permettant la réalisation d'une chirurgie ciblée sur cette glande. (professeursantini.com)
Nerf facial2
- puis le nerf facial, qui délimite artificiellement la parotide en deux lobes : superficiel en dehors et profond en dedans. (wikipedia.org)
- La glande parotide est perforée, certaines branches du nerf facial détruites au niveau intraglandulaire (entraînant une paralysie faciale périphérique). (medscape.com)
Sublinguale2
- parotide , mandibulaire et sublinguale . (rehactivequine.fr)
- Représentation et mise en situation dans le corps des glandes salivaires de gauche à droite (glande sublinguale, sub-mandibulaire, parotide), des poumons droit et gauche et du système pancréatique (pancréas, vésicule biliaire, canal cholédoque, et pancréatique). (illustration-medicale.com)
Parotides9
- Les glandes parotides sont une paire parmi les principales glandes salivaires et en sont les plus grandes. (studiodentaire.com)
- Dans la bouche, il y a trois glandes salivaires principales, chacune présente en paires: les glandes parotides, les glandes submandibulaires et les glandes sublinguales . (studiodentaire.com)
- Les glandes parotides sont les plus grandes des glandes salivaires principales et sécrètent un type séreux de salive, ce qui signifie qu'elle contient les enzymes qui décomposent les glucides en glucose et en maltose. (studiodentaire.com)
- Les oreillons , c'est une maladie qui se manifeste par le gonflement des glandes parotides suite à une infection virale (virus ourlien). (studiodentaire.com)
- La parotidite est l'inflammation d'une ou des deux glandes parotides, et la cause la plus fréquente est les oreillons. (studiodentaire.com)
- Les oreillons sont une affection virale aiguë, contagieuse et systémique, entraînant habituellement une tuméfaction douloureuse des glandes salivaires, le plus souvent des parotides. (msdmanuals.com)
- Maladie contagieuse aiguë fébrile, caractérisée par une tuméfaction des glandes parotides et du tissu environnant. (bylittleones.com)
- Les parotides, et parfois aussi les glandes sous-maxillaires, les glandes sublinguales, et les ganglions de l'angle de la mâchoire sont sensibles à la pression et forment des masses indurées au milieu de la tuméfaction molle, pâteuse, qui les entoure. (bylittleones.com)
- L'infection va se présenter sous forme de fièvre (environ 38ºC) et par un gonflement important et douloureux des glandes salivaires situées en dessous des oreilles que l'on appelle les glandes parotides. (mpedia.fr)
Droite1
- Parotide La glande parotide (flèche rouge) sur une vue latérale droite. (wikipedia.org)
Pathologies1
- Pathologies des glandes salivaires: traitements endoscopiques et chirurgicaux. (orltoulon.com)
Chirurgie5
- Chirurgie de la glande parotide. (sfscmfco.com)
- Toute chirurgie de la glande parotide impose pour l'ORL, la connaissance parfaite de la situation du nerf , et de son trajet . (orl-toulouse.pro)
- Un peu de drainage est fr quente pendant les premiers jours suivant la chirurgie, et vous pouvez continuer ressentir une certaine congestion pendant plusieurs semaines. (boustanyorl.com)
- Une fois l'attelle estenlevée, Elles devront tre fixées votre front ou cal es sur vos joues pour un autre six sept semaines, jusqu' ce que votre nez soit compl tement gu rie.Le Dr Boustany vous fixera de fr quentes visites de suivi dans les mois qui suivent la chirurgie, pour v rifier la progression de votre gu rison. (boustanyorl.com)
- Il s'intéresse également à la chirurgie des glandes parathyroïdes. (entspecialtygroup.com)
Salive8
- La glande parotide est une glande qui produit de la salive. (sfscmfco.com)
- Dans certains cas, des calculs sont situés dans le canal de la glande qui permet l'évacuation de la salive dans la bouche. (sfscmfco.com)
- La salive produite est sécrétée par le canal parotide (également appelé canal de Stensen), dont la sortie est située près de la deuxième molaire supérieure. (studiodentaire.com)
- La salive produite par toutes ces glandes peut être séreuse (liquide aqueux) ou muqueuse (liquide épais et visqueux). (studiodentaire.com)
- De plus, la salive produite par la glande parotide et d'autres glandes salivaires, aide dans les processus de dégustation des aliments et de nettoyage de la bouche après un repas. (studiodentaire.com)
- La xérostomie peut affecter toutes les glandes salivaires, et elle se traduit par une diminution de production de salive dans la bouche. (studiodentaire.com)
- En outre, des centaines de petites glandes salivaires accessoires (microscopiques) déposent de la salive provenant de canaux situés autour de votre bouche. (chaplet.org)
- Ces porcs produisent ainsi l'enzyme phytase dans leurs glandes salivaires, enzyme qui se retrouve dans leur salive. (agri-web.eu)
Maligne1
- C'est la plus fréquente de tumeur maligne de la glandes parotide . (orl-toulouse.pro)
Sublinguales1
- Des glandes sublinguales se trouvent sur le plancher buccal, sous la langue. (chaplet.org)
Muqueuse6
- Diverses formations comme la trompe d'Eustache, l'amygdale, la partie muqueuse de la langue, des glandes (thyroïde, parathyroïdes , thymus) sont des dérivés branchiaux. (universalis.fr)
- Les glandes salivaires ont pour fonction principale d'humecter la muqueuse orale. (rehactivequine.fr)
- Dans la glande acineuse à sécrétion muqueuse: On peut repérer le mucus (bleu clair). (ac.be)
- La voûte est constituée d'un plan osseux recouvert d'une muqueuse avec des glandes salivaires accessoires. (cloudaccess.net)
- La muqueuse présente en arrière les reliefs de nombreuses glandes salivaires accéssoires les glandes palatines. (cloudaccess.net)
- Elle tapisse les deux faces du voile, pourvue de glandes palatines, de bougeons du goût, en continuité avec la muqueuse des fosses nasales. (cloudaccess.net)
Principales3
- La glande parotide est la plus volumineuse des glandes salivaires principales chez la plupart des animaux. (wikipedia.org)
- Chez l'homme, la glande parotide est la plus volumineuse des glandes salivaires principales, pesant 25 à 30 grammes chez l'adulte. (wikipedia.org)
- Les glandes salivaires principales (macroscopiques) sont au nombre de trois. (chaplet.org)
L'oreille1
- Chez l'humain, ce sont des glandes paires, localisées de chaque côté de la bouche, en avant de l'oreille, pesant de 25 à 30 g. (wikipedia.org)
Submandibulaires2
- Les indications étaient les lithiases résiduelles après lithotripsie (194 cas avec 112 cas de lithiases parotidiennes et 82 cas de lithiases submandibulaires), les sténoses des glandes salivaires à l'origine de coliques salivaires fréquentes (69 patients) et les pseudo parotidites allergiques (89 patients). (glandesalivaires.com)
- Des glandes submandibulaires sont situées de chaque côté de la mâchoire, sous la mandibule. (chaplet.org)
Profond1
- C'est le principal élément nerveux, qui forme par ses ramifications terminales le plexus parotidien et qui divise la glande en deux lobes : superficiel et profond. (wikipedia.org)
Deux glandes1
- La tuméfaction successive des deux glandes peut prolonger la maladie. (bylittleones.com)
L'extirpation1
- Gensoul, du nom d'un chirurgien de l'Hôtel-Dieu(1797-1858), sorte de Homais local dont quelques brillantes opérations assurèrent la renommée : l'extirpation de la glande parotide, l'extirpation de l'os de la machoire supérieure - opérations considérées comme impossible avant lui, et pour lequel il reçut le prix Montyon. (hautetfort.com)
Traitements1
- Dans certains cas, l'ablation des ganglions cervicaux liés à la glande elle-même et des traitements ultérieurs par chimiothérapie et/ou radiothérapie s'avèrent également nécessaires. (sialoss.com)
Canal2
- La glande est ôtée en partie ou en totalité avec son canal en fonction de l'indication. (sfscmfco.com)
- La sialolithiase est le développement de calculs salivaires, dans la glande parotide-même, mais plus fréquemment dans son canal, et cela peut avoir de nombreuses causes. (studiodentaire.com)
Salivaires sont1
- Les infections des glandes salivaires sont d'ordinaire d'origine bactérienne. (chaplet.org)
D'autres2
- Le mucus qui est sécrété par d'autres glandes salivaires, lubrifie la nourriture en préparant l'amylase à faire son travail. (studiodentaire.com)
- Les symptômes révélateurs d'une infection des glandes salivaires peuvent également être indicateurs d'autres conditions. (chaplet.org)
Mandibule2
- La glande parotide est située entre la branche montante de la mandibule en avant, le conduit auditif externe au-dessus, et la mastoïde en arrière. (wikipedia.org)
- Chaque glande parotide est enroulée autour de la branche montante mandibulaire, qui est l'extrémité perpendiculaire arrière de la mandibule de chaque côté. (studiodentaire.com)
D'un2
- Il peut être nécessaire d'enlever la glande parotide (parotidectomie) si elle présente une tuméfaction liée à la présence d'une tumeur, d'un calcul ou d'une inflammation. (sfscmfco.com)
- Cet Enviropig a été développé à l'Université de Guelph, Ontario-Canada, par l'introduction d'une combinaison transgénique impliquant la bactérie E-coli (gène phytase) et du matériel génétique provenant d'un gène de souris (promoteur de la sécrétion parotide). (agri-web.eu)
Bouche1
- Il existe également des centaines de glandes salivaires mineures qui sont situées partout dans la bouche. (studiodentaire.com)
Prolonger1
- En dedans, la glande peut aussi se prolonger entre le ligament sphéno-mandibulaire et le ligament sphéno-maxillaire, pour donner un prolongement qui se développe alors aux dépens de l'espace para-pharyngé. (wikipedia.org)
L'ablation1
- L'ablation de la glande permet de traiter la cause et ensuite de l'analyser au microscope au laboratoire. (sfscmfco.com)
L'on1
- La cause la plus fréquente est une tumeur bénigne qui se développe sur l'une des quatre glandes est que l'on appel un adénome. (professeursantini.com)
Vaisseaux1
- Entre les 2 se trouvent des formations musculaires, fibreuses, des glandes, des vaisseaux et des nerfs. (rehactivequine.fr)
Niveau1
- Lors d'une scintigraphie, on va injecter un produit traceur qui va se fixer au niveau de la glande malade, ce qui va la rendre visible. (professeursantini.com)