Des facteurs de transcription hétérodimère contenant un DNA-Binding sous-unités alpha, (CORE BINDING facteur Alpha Subunits), avec un non-DNA-binding beta sous-unités, CORE BINDING facteur BETA. Facteur Cbf GENETIC régule la transcription d ’ une variété de gènes dans la différenciation et principalement cellule cellule synchronise progression.
Une liaison non-DNA c'est un facteur de transcription sous-unité la liaison du facteur. Il forme des complexes avec hétérodimère CORE BINDING facteur Protéique Adaptateur, Sous-Unités Alpha, et régit GENETIC la transcription d'une variété de gènes dans la différenciation et principalement cellule cellule synchronise progression.
Une famille de facteurs de transcription qui se lient au facteur cofacteur CORE BINDING sous-unité BETA noyau pour former la liaison du facteur. Famille membres contiennent une hautement conservé DNA-Binding domaine connu comme l'avorton domaine. Ils peuvent agir comme deux activateurs et repressors d'expression de gènes impliqué dans la différenciation et cellule synchronise cellule progression.
Un facteur de transcription que dimerizes avec le facteur cofacteur CORE BINDING sous-unité BETA noyau pour former la liaison. Il contient un facteur hautement conservé DNA-Binding domaine connu comme l'avorton domaine. Runx1 est souvent muté dans le leucémie.
Un facteur de transcription que dimerizes avec CORE BINDING facteur sous-unité BETA noyau pour former la liaison. Il contient un facteur hautement conservé DNA-Binding domaine connu comme l'avorton domaine, et impliquée dans la régulation génétique du squelette de développement et la différenciation.
Une famille de protéines de liaison de l ’ ADN qui régulent expression d'une variété de gènes cellule pendant la différenciation et une apoptose. Famille membres contiennent une hautement conservé carboxy- terminaux HELIX-TURN-HELIX basique et sequence-specific dimerization MOTIF impliqué dans l'ADN.
Myosine de type II isoformes trouvé dans le muscle lisse.
Substances endogène, habituellement les protéines, qui sont efficaces pour l ’ initiation, la stimulation, ou une interruption du processus de transcription génétique.
Une paire de groupe E chromosomes des chromosomes humains la classification.
Une aberration dans laquelle un segment chromosomique sera supprimé et réinséré au même endroit mais a été retourné d'origine, afin que la séquence génétique pour le segment est corrigée par rapport à celle du reste du chromosome.
Des protéines qui lier à l'ADN. La famille inclut des protéines qui se lient aux deux double et monobrin ADN et comprend également des protéines fixant l ADN spécifiques dans le sérum qui peuvent être utilisés comme jalons des maladies.
Myéloïde clonal expansion de blastes dans la moelle osseuse, le sang et d'autres tissus. Syndromes myélodysplasiques développer de modifications des cellules que normalement avoir neutrophiles ; basophiles, éosinophiles ; et monocytes.
Les médicaments GENETIC anglaise de la fusion entre un oncogene et un autre gène. Celle-ci peut être viral ou origine cellulaire.
Une paire de groupe G chromosomes des chromosomes humains la classification.
Protéines dont l'expression anormale (un gain ou perte) sont liés à l 'évolution, la croissance, ou la progression de tumeurs. Des Néoplasme protéines sont tumeur antigènes (antigènes, des androgènes), c' est-à-dire qu 'elles induire une réaction immunitaire de leur tumeur Néoplasme. Beaucoup de protéines caractérisé et sont utilisées comme marqueurs tumoraux (Biomarkers, tumeur) quand ils sont détectables dans les cellules et les fluides corporels comme observateurs pour la présence ou de croissance anormale des tumeurs. Expression des oncogènes transformation néoplasique PROTEINS est impliqué, alors que la perte d'expression suppresseur de tumeur PROTEINS est impliqué avec la perte de la croissance contrôlée et la progression de la tumeur.
Acide aminé, spécifique des descriptions de glucides, ou les séquences nucléotides apparues dans la littérature et / ou se déposent dans et maintenu par bases de données tels que la banque de gènes GenBank, européen (EMBL laboratoire de biologie moléculaire), la Fondation de Recherche Biomedical (NBRF) ou une autre séquence référentiels.
Des os cellules qui sécrètent une MATRIX extracellulaire. Hydroxyapatite cristaux, déposés dans la matrice pour former os.
La séquence des purines et PYRIMIDINES dans les acides nucléiques et polynucleotides. On l'appelle aussi séquence nucléotidique.
Cis-acting séquences d'ADN ce qui peut augmenter la transcription des gènes. On peut généralement améliorateurs de fonctionner dans soit orientation et à différentes distances de promoteur.
Les substances non plus, ou se lient aux protéines exogènes d ’ irradiation précurseur des protéines, enzymes, ou allié composés. Liaison aux protéines spécifiques sont souvent utilisés comme des mesures de diagnostic évaluations.
Un type de caractérisé par d ’ aberration chromosomique chromosome BREAKAGE morceaux et le transfert de la partie à l'endroit souvent dans un autre chromosome.
Les éléments d'un macromolecule ça directement participer à ses précis avec un autre molécule.
Le processus de formation osseuse histogenèse. Y compris d ’ ossification des os.
Protéines vitamine K-dépendante calcium-binding synthétisée par ostéoblastes et retrouve essentiellement dans des os. Sérum osteocalcin mesures spécifiques non invasive fournir un marqueur du métabolisme osseux. La protéine contient trois résidus d ’ acide aminé (acide gamma-carboxyglutamic Gla), qui, en présence de CALCIUM, favorise la liaison de l ’ hydroxyapatite et l ’ accumulation dans BONE MATRIX.
Produits de proto-oncogenes. Normalement ils n'ont pas oncogènes ou qui transforme propriétés, mais sont impliqués dans la régulation ou la différenciation de la croissance cellulaire. Ils ont souvent des activités de protéine kinase.
Forme de leucémie caractérisée par une prolifération incontrôlée de la lignée myéloïde (et leurs précurseurs myéloïdes des cellules souches) dans la moelle osseuse et autres sites.
Les facteurs qui forment un complexe au preinitiation des promoteurs qui sont spécialement transcrit par polymérase ARN.
Une enzyme qui catalyse la conversion d'un orthophosphoric monoester et de l'eau en un dérivé alcool et Orthophosphate. CE 3.1.3.1.
Séquences d'ADN qui sont reconnus (directement ou indirectement)... et portés par un de l'ARN polymérase pendant l ’ instauration de la transcription, hautement séquences conservées dans le promoteur inclure le Pribnow boîte sur les bactéries et M. BOX dans eukaryotes.
Restriction progressive du potentiel de développement et en augmentant la spécialisation de fonction qui mène à la formation de cellules spécialisées, de tissus, et d'organes.
Aucun détectable et héréditaire changement dans le matériel génétique qui peut provoquer un changement dans le génotype et qui est transmis à cellules filles et pour les générations futures.
Un facteur de transcription que dimerizes avec le facteur cofacteur CORE BINDING sous-unité BETA noyau pour former la liaison. Il contient un facteur hautement conservé DNA-Binding domaine connu comme l'avorton domaine.
Établi des cultures de cellules qui ont le potentiel de propager indéfiniment.
La biosynthèse d'ARN pratiquées sur un modèle d'ADN. La biosynthèse de l'ADN d'un modèle s'appelle LES ARN VIH-1 et VIH-2.
Un ubiquitously exprimés telomere-binding protéine qui est présent à télomères pendant toute la cellule moto. C'est un suppresseur de Telomere élongation et peuvent être impliqués dans la stabilisation Telomere déborde de structure est différente de TELOMERIC répète BINDING 2 qu'il contient des protéines en acides aminés acide résidus.
Une famille de facteurs de transcription retrouve essentiellement dans des plantes qui se lient à la séquence ADN G-box CACGTG ou à un consensus séquence CANNTG.

Les facteurs de transcription CBFB (Core-Binding Factor Beta) sont des protéines qui se lient à l'ADN et régulent l'expression des gènes. Ils forment un complexe hétérodimérique avec les protéines RUNX (Runt-related transcription factor), également appelé facteur de transcription AML1, pour former le complexe de liaison à l'ADN CBF (Core Binding Factor).

Le complexe CBFB-RUNX joue un rôle crucial dans la différenciation et la prolifération des cellules hématopoïétiques. Il se lie à des séquences spécifiques d'ADN appelées éléments de réponse aux facteurs de transcription, qui sont situés dans les régions promotrices ou enhancers des gènes cibles.

Les mutations du gène CBFB ont été associées à plusieurs types de leucémies aiguës myéloblastiques (LAM), notamment la LAM avec anomalie de translocation chromosomique t(8;21)(q22;q22) et la LAM promyélocytaire (LAP). Ces mutations peuvent entraîner une altération de l'activité transcriptionnelle du complexe CBFB-RUNX, ce qui peut conduire à une différenciation anormale des cellules myéloïdes et à la leucémogenèse.

Les sous-unités bêta du facteur CBF (facteur de coagulation sanguine, également connu sous le nom de facteur IX) sont des protéines essentielles à la coagulation sanguine. Le facteur CBF est une protéase sérique qui est activée lors de la cascade de coagulation sanguine pour convertir le facteur X en sa forme active, le facteur Xa. Les sous-unités bêta du facteur CBF sont des chaînes polypeptidiques plus courtes qui se combinent avec les sous-unités alpha et gamma pour former la protéine fonctionnelle mature du facteur IX.

Le facteur IX est synthétisé dans le foie comme une proprotéase inactive, qui est ensuite convertie en sa forme active par d'autres protéases de la cascade de coagulation sanguine. Les sous-unités bêta du facteur CBF sont codées par le gène F9 situé sur le chromosome X. Des mutations dans ce gène peuvent entraîner un déficit en facteur IX, une maladie héréditaire rare connue sous le nom d'hémophilie B.

Les sous-unités bêta du facteur CBF sont importantes pour la stabilité et l'activité de la protéine mature du facteur IX. Les modifications des sous-unités bêta peuvent entraîner une altération de l'activité enzymatique du facteur IX, ce qui peut avoir des conséquences sur la coagulation sanguine et entraîner un risque accru de saignement.

Les sous-unités alpha du facteur CBF (facteur régulateur de la calcémie) se réfèrent à des protéines spécifiques qui forment une partie essentielle du complexe du facteur CBF. Le facteur CBF, également connu sous le nom de facteur régulant l'expression des gènes 1 (GREB1), est une importante protéine nucléaire qui joue un rôle crucial dans la modulation de l'expression des gènes en réponse aux changements de calcium intracellulaire.

Le complexe du facteur CBF se compose de trois sous-unités : les sous-unités alpha (CBF-α), beta (CBF-β) et gamma (CBF-γ). Chaque sous-unité est codée par un gène différent, avec le gène CEBPA codant pour la sous-unité alpha. Les sous-unités alpha du facteur CBF existent en plusieurs isoformes, qui sont produites par l'utilisation alternative des promoteurs et des sites d'épissage au niveau de l'ARNm.

Les sous-unités alpha du facteur CBF forment un homodimère ou un hétérodimère avec les sous-unités beta et gamma, ce qui permet la reconnaissance et la liaison spécifiques à l'ADN des éléments de réponse aux facteurs de transcription (CRE) dans les régions promotrices des gènes cibles. Cette interaction entre le complexe du facteur CBF et l'ADN conduit à la modulation positive ou négative de l'expression des gènes, en fonction du contexte cellulaire et des signaux calciques intracellulaires.

Dans un contexte médical, les mutations dans le gène CEBPA codant pour les sous-unités alpha du facteur CBF ont été associées à certaines affections hématologiques malignes, telles que la leucémie aiguë myéloblastique (LAM). Ces mutations peuvent entraîner une altération de l'activité transcriptionnelle du complexe du facteur CBF, ce qui contribue à la dysrégulation des voies de signalisation cellulaire et à la transformation maligne des cellules hématopoïétiques. Par conséquent, une meilleure compréhension des mécanismes moléculaires régissant l'activité du complexe du facteur CBF pourrait fournir des informations précieuses sur les processus pathogéniques sous-jacents à ces affections et ouvrir de nouvelles perspectives thérapeutiques.

Je suis désolé, mais la requête que vous avez formulée est un peu technique et complexe. Permettez-moi d'essayer de la décomposer en morceaux plus faciles à comprendre.

Tout d'abord, le facteur CBF fait référence au facteur von Willebrand, qui est une protéine importante dans la coagulation sanguine. Il aide les plaquettes sanguines à s'agréger et à former des caillots pour arrêter les saignements.

La sous-unité alpha 2 du facteur CBF, également appelée multimère de poids moléculaire élevé (HMW), est une partie spécifique de la protéine von Willebrand qui joue un rôle crucial dans l'adhésion des plaquettes aux parois des vaisseaux sanguins endommagés. Cette sous-unité est particulièrement importante pour prévenir les saignements excessifs, en particulier au niveau des petits vaisseaux sanguins.

Par conséquent, une définition médicale de la "sous-unité alpha 2 du facteur CBF" serait :

La sous-unité alpha 2 du facteur von Willebrand (FvW) est une partie spécifique et fonctionnellement active de cette protéine plasmatique qui joue un rôle crucial dans la régulation de l'hémostase primaire en facilitant l'adhésion des plaquettes aux parois endothéliales lésées. Cette sous-unité est également essentielle pour la stabilisation et le transport du facteur VIII, une protéine vitale dans la cascade de coagulation sanguine.

Je suis désolé, mais la requête que vous avez formulée est un peu confuse. "Sous-unité alpha 1 du facteur CBF" ne semble pas être une terminologie médicalement reconnue ou établie. Il se peut que vous ayez voulu dire "sous-unité alpha 1 du facteur von Willebrand (vWF)" ou quelque chose de similaire, qui est un concept médical reconnu.

La protéine von Willebrand est une glycoprotéine multimérique complexe qui joue un rôle crucial dans l'hémostase primaire en facilitant l'adhésion des plaquettes aux sites de lésions vasculaires et en servant de pont entre le collagène exposé et les plaquettes. La protéine von Willebrand est constituée de plusieurs sous-unités, dont la sous-unité alpha 1 est une partie essentielle.

La sous-unité alpha 1 du facteur von Willebrand est responsable de l'interaction entre le vWF et les récepteurs des plaquettes, appelés glycoprotéines Ib et IIb/IIIa. Des mutations ou des anomalies dans cette sous-unité peuvent entraîner des troubles de la coagulation, tels que le syndrome de von Willebrand, une maladie hémorragique héréditaire caractérisée par une augmentation du saignement en raison d'une fonction plaquettaire et d'une agrégation anormales.

Si vous aviez l'intention de demander quelque chose de différent, pouvez-vous s'il vous plaît me fournir plus d'informations ou clarifier votre question ? Je suis heureux de vous aider davantage.

Le facteur de transcription AP-2 est un membre d'une famille de protéines de facteurs de transcription qui se lient à des séquences spécifiques d'ADN et régulent l'expression des gènes. Le nom "AP-2" signifie "activateur de la prolifération cellulaire 2". Ces facteurs de transcription jouent un rôle crucial dans le développement embryonnaire, la différenciation cellulaire et la prolifération cellulaire.

Le facteur de transcription AP-2 se lie à une séquence consensus d'ADN palindromique avec le motif 5'-GCCNNNGGC-3'. Il existe plusieurs isoformes du facteur de transcription AP-2, chacune codée par un gène différent. Les isoformes comprennent AP-2α, AP-2β, AP-2γ, AP-2δ et AP-2ε.

Les mutations dans les gènes qui codent pour le facteur de transcription AP-2 ont été associées à plusieurs troubles congénitaux, tels que des anomalies craniofaciales, des malformations cardiovasculaires et des défauts du tube neural. De plus, des études récentes ont suggéré que le facteur de transcription AP-2 pourrait également jouer un rôle dans la carcinogenèse en régulant l'expression de gènes impliqués dans la prolifération cellulaire et la différenciation.

Les myosines musculaires lisses sont une sous-famille de la famille des protéines myosine qui sont responsables de la motilité dans les cellules musculaires lisses. Les muscles lisses, contrairement aux muscles squelettiques et cardiaques, ne se contractent pas de manière volontaire et sont plutôt régulés par le système nerveux autonome.

Les myosines musculaires lisses sont des moteurs moléculaires qui se lient à l'actine, une autre protéine filamenteuse du cytosquelette, et utilisent l'énergie libérée par l'hydrolyse de l'ATP pour se déplacer le long des filaments d'actine. Ce mouvement permet la contraction des cellules musculaires lisses, ce qui entraîne une modification de la forme et de la fonction des organes dans lesquels elles se trouvent, tels que les vaisseaux sanguins, le tube digestif et les voies respiratoires.

Les myosines musculaires lisses sont également importantes pour d'autres processus cellulaires, tels que la division cellulaire, la régulation du trafic intracellulaire et la réparation des dommages cellulaires. Les mutations dans les gènes codant pour les myosines musculaires lisses peuvent entraîner des maladies génétiques graves, telles que l'hypertension artérielle pulmonaire, la dysplasie ventriculaire droite arythmogène et certaines formes de cardiomyopathies.

Les facteurs de transcription sont des protéines qui régulent l'expression des gènes en se liant aux séquences d'ADN spécifiques, appelées éléments de réponse, dans les régions promotrices ou enhancers des gènes. Ces facteurs peuvent activer ou réprimer la transcription des gènes en recrutant ou en éloignant d'autres protéines impliquées dans le processus de transcription, y compris l'ARN polymérase II, qui synthétise l'ARN messager (ARNm). Les facteurs de transcription peuvent être régulés au niveau de leur activation, de leur localisation cellulaire et de leur dégradation, ce qui permet une régulation complexe et dynamique de l'expression des gènes en réponse à différents signaux et stimuli cellulaires. Les dysfonctionnements des facteurs de transcription ont été associés à diverses maladies, y compris le cancer et les maladies neurodégénératives.

Les chromosomes humains de la paire 16, également connus sous le nom de chromosomes 16, sont une partie importante du matériel génétique d'un être humain. Chaque personne a deux chromosomes 16, une copie héritée de chaque parent. Les chromosomes 16 sont des structures en forme de bâtonnet qui se trouvent dans le noyau de chaque cellule du corps et contiennent des milliers de gènes responsables de la détermination de nombreuses caractéristiques physiques et fonctionnelles d'un individu.

Les chromosomes 16 sont l'une des 23 paires de chromosomes humains, ce qui signifie qu'il y a en tout 46 chromosomes dans chaque cellule du corps humain (à l'exception des spermatozoïdes et des ovules, qui n'en contiennent que 23). Les chromosomes 16 sont relativement grands et se situent au milieu de la gamme de taille des chromosomes humains.

Les gènes contenus dans les chromosomes 16 jouent un rôle important dans divers processus biologiques, notamment le développement du cerveau, le métabolisme des lipides et des glucides, la réponse immunitaire et la régulation de l'expression génétique. Les mutations dans ces gènes peuvent entraîner un certain nombre de maladies génétiques rares, telles que la neurofibromatose de type 1, le syndrome de Prader-Willi et le syndrome d'Angelman.

En résumé, les chromosomes humains de la paire 16 sont des structures en forme de bâtonnet qui se trouvent dans le noyau de chaque cellule du corps humain et contiennent des milliers de gènes responsables de nombreuses caractéristiques physiques et fonctionnelles d'un individu. Les mutations dans ces gènes peuvent entraîner un certain nombre de maladies génétiques rares.

Une chromosome inversion est un réarrangement chromosomique dans lequel une section du chromosome se casse, tourne à 180 degrés et se réinsère dans la même région du chromosome. Il existe deux types d'inversions chromosomiques : les inversions péricentriques et les inversions paracentriques.

Dans une inversion péricentrique, le point de rupture et d'insertion se trouvent des deux côtés du centromère (la région centrale du chromosome où se trouvent les bras courts et longs). Dans une inversion paracentrique, le point de rupture et d'insertion se trouvent sur le même bras du chromosome.

Les inversions chromosomiques peuvent être héritées ou acquises en raison de mutations spontanées. La plupart des inversions n'ont pas d'effet sur la santé, mais certaines peuvent entraîner des problèmes de fertilité ou augmenter le risque de maladies génétiques chez les enfants nés de personnes atteintes d'inversions.

Les inversions chromosomiques peuvent être détectées par analyse cytogénétique, telle qu'un caryotype, qui permet de visualiser l'apparence et la structure des chromosomes sous un microscope.

Les protéines fixant l'ADN, également connues sous le nom de protéines liant l'ADN ou protéines nucléaires, sont des protéines qui se lient spécifiquement à l'acide désoxyribonucléique (ADN). Elles jouent un rôle crucial dans la régulation de la transcription et de la réplication de l'ADN, ainsi que dans la maintenance de l'intégrité du génome.

Les protéines fixant l'ADN se lient à des séquences d'ADN spécifiques grâce à des domaines de liaison à l'ADN qui reconnaissent et se lient à des motifs particuliers dans la structure de l'ADN. Ces protéines peuvent agir comme facteurs de transcription, aidant à activer ou à réprimer la transcription des gènes en régulant l'accès des polymérases à l'ADN. Elles peuvent également jouer un rôle dans la réparation de l'ADN, en facilitant la reconnaissance et la réparation des dommages à l'ADN.

Les protéines fixant l'ADN sont souvent régulées elles-mêmes par des mécanismes post-traductionnels tels que la phosphorylation, la méthylation ou l'acétylation, ce qui permet de moduler leur activité en fonction des besoins cellulaires. Des anomalies dans les protéines fixant l'ADN peuvent entraîner diverses maladies génétiques et sont souvent associées au cancer.

La leucémie myéloïde aiguë (LMA) est un type agressif et rapide de cancer des cellules souches dans la moelle osseuse. Les cellules souches sont des cellules primitives qui peuvent se différencier en divers types de cellules sanguines telles que les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes. Dans la LMA, il y a une prolifération anormale et incontrôlée de cellules myéloïdes immatures (myéloblastes) dans la moelle osseuse. Ces cellules cancéreuses ne parviennent pas à se différencier correctement en globules blancs matures, entraînant ainsi une accumulation de ces cellules anormales dans la moelle osseuse et le sang périphérique.

La LMA est caractérisée par un nombre élevé de blastes myéloïdes dans la moelle osseuse (généralement >20%), ainsi que par des anomalies chromosomiques récurrentes, telles que la translocation t(9;22) qui conduit à la fusion du gène BCR-ABL. Les symptômes de la LMA peuvent inclure fatigue, essoufflement, pâleur, saignements faciles, infections fréquentes et sensation de plénitude ou de douleur dans les os. Le diagnostic est établi par une biopsie de la moelle osseuse et un examen cytogénétique.

Le traitement de la LMA dépend du stade et du sous-type de la maladie, de l'âge et de l'état général du patient. Les options thérapeutiques comprennent la chimiothérapie, la radiothérapie, les greffes de cellules souches et les thérapies ciblées telles que l'imatinib (Gleevec) qui inhibent l'activité de la protéine BCR-ABL.

Les chromosomes humains de la paire 21, également connus sous le nom de chromosomes 21, sont une partie essentielle du matériel génétique d'un être humain. Ils font partie des 23 paires de chromosomes contenues dans le noyau de chaque cellule somatique du corps humain. Chaque personne hérite d'une copie de chaque chromosome de la paire 21 de chacun de ses parents, ce qui donne un total de 4 chromosomes 21 au total.

Les chromosomes 21 sont les plus petits des autosomes (les chromosomes non sexuels) et contiennent environ 200 à 250 gènes différents. Les mutations dans ces gènes peuvent entraîner diverses maladies génétiques, la plus courante étant la trisomie 21 ou syndrome de Down, qui se produit lorsqu'un individu hérite de trois chromosomes 21 au lieu des deux habituels.

Les chromosomes humains de la paire 21 sont souvent étudiés dans le cadre de recherches sur les maladies génétiques, ainsi que pour comprendre les mécanismes fondamentaux de la régulation génique et du développement humain. Les techniques modernes d'analyse moléculaire, telles que la microarray et la séquençage de nouvelle génération, ont permis des progrès significatifs dans notre compréhension des chromosomes 21 et de leur rôle dans la santé humaine.

Les protéines tumorales, également connues sous le nom de marqueurs tumoraux, sont des substances (généralement des protéines) que l'on peut trouver en quantités anormalement élevées dans le sang, l'urine ou d'autres tissus du corps lorsqu'une personne a un cancer. Il est important de noter que ces protéines peuvent également être présentes en petites quantités chez les personnes sans cancer.

Il existe différents types de protéines tumorales, chacune étant associée à un type spécifique de cancer ou à certains stades de développement du cancer. Par exemple, la protéine tumorale PSA (antigène prostatique spécifique) est souvent liée au cancer de la prostate, tandis que l'ACE (antigène carcinoembryonnaire) peut être associé au cancer colorectal.

L'utilisation des protéines tumorales dans le diagnostic et le suivi du cancer est un domaine en évolution constante de la recherche médicale. Elles peuvent aider au dépistage précoce, à l'établissement d'un diagnostic, à la planification du traitement, à la surveillance de la réponse au traitement et à la détection des récidives. Cependant, leur utilisation doit être soigneusement évaluée en raison de leur faible spécificité et sensibilité, ce qui signifie qu'elles peuvent parfois donner des résultats faussement positifs ou négatifs. Par conséquent, les protéines tumorales sont généralement utilisées en combinaison avec d'autres tests diagnostiques et cliniques pour obtenir une image plus complète de la santé du patient.

Les données de séquence moléculaire se réfèrent aux informations génétiques ou protéomiques qui décrivent l'ordre des unités constitutives d'une molécule biologique spécifique. Dans le contexte de la génétique, cela peut inclure les séquences d'ADN ou d'ARN, qui sont composées d'une série de nucléotides (adénine, thymine, guanine et cytosine pour l'ADN; adénine, uracile, guanine et cytosine pour l'ARN). Dans le contexte de la protéomique, cela peut inclure la séquence d'acides aminés qui composent une protéine.

Ces données sont cruciales dans divers domaines de la recherche biologique et médicale, y compris la génétique, la biologie moléculaire, la médecine personnalisée, la pharmacologie et la pathologie. Elles peuvent aider à identifier des mutations ou des variations spécifiques qui peuvent être associées à des maladies particulières, à prédire la structure et la fonction des protéines, à développer de nouveaux médicaments ciblés, et à comprendre l'évolution et la diversité biologique.

Les technologies modernes telles que le séquençage de nouvelle génération (NGS) ont rendu possible l'acquisition rapide et économique de vastes quantités de données de séquence moléculaire, ce qui a révolutionné ces domaines de recherche. Cependant, l'interprétation et l'analyse de ces données restent un défi important, nécessitant des méthodes bioinformatiques sophistiquées et une expertise spécialisée.

Les ostéoblastes sont des cellules situées dans le tissu osseux qui sont responsables de la synthèse et de la minéralisation du matériel osseux. Ils produisent et sécrètent les composants majeurs de la matrice extracellulaire osseuse, tels que le collagène de type I, et régulent activement le processus de minéralisation en déposant des cristaux d'hydroxyapatite dans la matrice. Les ostéoblastes sont également capables de se différencier en cellules ostéocytaires, qui sont des cellules matures présentes à l'intérieur des lacunes osseuses et jouent un rôle important dans la maintenance et la réparation du tissu osseux. Les ostéoblastes sont dérivés de précurseurs mésenchymateux et sont essentiels à la croissance, au remodelage et à la réparation des os.

Une séquence nucléotidique est l'ordre spécifique et linéaire d'une série de nucléotides dans une molécule d'acide nucléique, comme l'ADN ou l'ARN. Chaque nucléotide se compose d'un sucre (désoxyribose dans le cas de l'ADN et ribose dans le cas de l'ARN), d'un groupe phosphate et d'une base azotée. Les bases azotées peuvent être adénine (A), guanine (G), cytosine (C) et thymine (T) dans l'ADN, tandis que dans l'ARN, la thymine est remplacée par l'uracile (U).

La séquence nucléotidique d'une molécule d'ADN ou d'ARN contient des informations génétiques cruciales qui déterminent les caractéristiques et les fonctions de tous les organismes vivants. La décodage de ces séquences, appelée génomique, est essentiel pour comprendre la biologie moléculaire, la médecine et la recherche biologique en général.

Les éléments amplificateurs génétiques sont des séquences d'ADN qui augmentent l'expression des gènes environnants en interagissant avec les facteurs de transcription et en boostant la transcription des gènes. Ces éléments régulateurs peuvent être situés à distance du gène qu'ils contrôlent, parfois séparés par des milliers de paires de bases. Les éléments amplificateurs jouent un rôle crucial dans la spécification des modèles d'expression des gènes au cours du développement et dans les cellules matures, en contribuant à la diversité et à la complexité du phénotype. Des variations dans ces éléments peuvent entraîner des différences individuelles dans la susceptibilité aux maladies et aux réponses au traitement.

La translocation génétique est un type d'anomalie chromosomique où des segments entiers de deux chromosomes différents changent de place. Il existe deux types principaux de translocations génétiques : les translocations réciproques et les translocations Robertsoniennes.

Les translocations réciproques se produisent lorsque des segments de deux chromosomes différents sont échangés l'un avec l'autre. Ces translocations peuvent être équilibrées, ce qui signifie qu'aucun matériel génétique n'est ni gagné ni perdu dans le processus, ou déséquilibrée, ce qui entraîne une perte ou un gain de matériel génétique.

Les translocations Robertsoniennes, quant à elles, se produisent lorsque la partie distale (la partie la plus éloignée du centromère) de deux chromosomes acrocentriques (qui comprennent les chromosomes 13, 14, 15, 21 et 22) est interchangée, entraînant la fusion des deux chromosomes à leur centromère commun. Cela entraîne la formation d'un seul chromosome avec deux bras courts (p) et aucun bras long (q). Les translocations Robertsoniennes sont le plus souvent équilibrées, mais lorsqu'elles ne le sont pas, elles peuvent entraîner des anomalies génétiques et des troubles du développement.

Les translocations génétiques peuvent être héritées ou spontanées (de novo). Lorsqu'elles sont héritées, elles peuvent être asymptomatiques ou causer des problèmes de santé dépendamment de la façon dont les gènes affectés sont exprimés. Cependant, lorsqu'elles sont spontanées, elles peuvent entraîner des anomalies chromosomiques telles que le syndrome de Down (translocation entre les chromosomes 21 et un autre chromosome) ou le syndrome de Patau (translocation entre les chromosomes 13 et un autre chromosome).

En résumé, les translocations génétiques sont des réarrangements chromosomiques qui peuvent entraîner des problèmes de santé et des anomalies du développement. Elles peuvent être héritées ou spontanées et peuvent affecter n'importe quel chromosome. Les translocations Robertsoniennes sont un type spécifique de translocation qui implique la fusion de deux chromosomes à leur centromère commun, entraînant la formation d'un seul chromosome avec deux bras courts et aucun bras long.

Dans le contexte médical, un "site de fixation" fait référence à l'endroit spécifique où un organisme étranger, comme une bactérie ou un virus, s'attache et se multiplie dans le corps. Cela peut également faire référence au point d'ancrage d'une prothèse ou d'un dispositif médical à l'intérieur du corps.

Par exemple, dans le cas d'une infection, les bactéries peuvent se fixer sur un site spécifique dans le corps, comme la muqueuse des voies respiratoires ou le tractus gastro-intestinal, et s'y multiplier, entraînant une infection.

Dans le cas d'une prothèse articulaire, le site de fixation fait référence à l'endroit où la prothèse est attachée à l'os ou au tissu environnant pour assurer sa stabilité et sa fonction.

Il est important de noter que le site de fixation peut être un facteur critique dans le développement d'infections ou de complications liées aux dispositifs médicaux, car il peut fournir un point d'entrée pour les bactéries ou autres agents pathogènes.

L'ostéogenèse est un processus biologique complexe qui implique la formation et la croissance des os dans le corps. Il s'agit d'une forme spécifique d'ossification, qui est le processus de formation du tissu osseux. L'ostéogenèse se produit à la fois pendant le développement fœtal et tout au long de la vie pour maintenir la solidité et l'intégrité structurelle des os.

Au cours du développement fœtal, l'ostéogenèse commence par la condensation d'un tissu conjonctif spécialisé appelé mésonyme, qui forme une matrice extracellulaire riche en collagène. Les cellules de cette matrice, appelées ostéoblastes, sont responsables de la production et de la sécrétion d'une substance cristalline appelée hydroxyapatite, qui se dépose dans la matrice extracellulaire pour former des structures osseuses précoces.

Au fur et à mesure que le processus d'ostéogenèse progresse, les ostéoblastes continuent de produire et de sécréter de l'hydroxyapatite, ce qui entraîne la croissance et la minéralisation des structures osseuses. Les ostéoblastes peuvent également se différencier en cellules plus matures appelées ostéocytes, qui sont responsables du maintien et de la réparation des os à mesure qu'ils mûrissent.

Dans l'ostéogenèse adulte, le processus est déclenché par des dommages ou des fractures aux os existants. Les ostéoblastes sont recrutés sur les sites de la fracture, où ils produisent et sécrètent de l'hydroxyapatite pour former un cal osseux qui comble la fracture. Au fur et à mesure que le cal osseux se développe, il est remodelé par des processus d'absorption et de formation osseuse continues, ce qui entraîne une guérison complète de la fracture.

Dans certains cas, l'ostéogenèse peut être altérée ou compromise, entraînant des maladies telles que l'ostéoporose et les fractures osseuses pathologiques. Ces conditions peuvent être traitées par divers médicaments et thérapies qui visent à stimuler la croissance et la réparation osseuse.

L'ostéocalcine est une protéine non collagène trouvée dans la matrice osseuse. Elle est produite par les ostéoblastes, qui sont des cellules responsables de la formation et de la minéralisation du tissu osseux. L'ostéocalcine contient des résidus d'acide glutamique carboxylés et non carboxylés, ainsi que des sites de glycosylation. Environ 10 à 20 % de l'ostéocalcine sont libérés dans le sang pendant la minéralisation osseuse.

L'ostéocalcine est souvent utilisée comme marqueur de l'activité des ostéoblastes et de la formation osseuse. Les taux sériques d'ostéocalcine peuvent être mesurés pour évaluer les changements dans la masse osseuse et la qualité osseuse, ce qui est utile dans le diagnostic et le suivi des maladies osseuses telles que l'ostéoporose. De plus, l'ostéocalcine peut également jouer un rôle dans la régulation du métabolisme énergétique et de la sensibilité à l'insuline.

Les protéines des proto-oncogènes sont des protéines qui jouent un rôle crucial dans la régulation normale de la croissance, du développement et de la différenciation cellulaires. Elles sont codées par les gènes proto-oncogènes, qui sont présents de manière naturelle dans toutes les cellules saines. Ces protéines sont souvent associées à des processus tels que la transcription des gènes, la traduction des protéines, la réparation de l'ADN et la signalisation cellulaire.

Cependant, lorsque ces proto-oncogènes subissent des mutations ou sont surexprimés, ils peuvent se transformer en oncogènes, ce qui peut entraîner une division cellulaire incontrôlée et la formation de tumeurs malignes. Les protéines des proto-oncogènes peuvent donc être considérées comme des interrupteurs moléculaires qui régulent la transition entre la croissance cellulaire normale et la transformation maligne.

Il est important de noter que les protéines des proto-oncogènes ne sont pas nécessairement nocives en soi, mais plutôt leur activation ou leur expression anormale peut entraîner des conséquences néfastes pour la cellule et l'organisme dans son ensemble. La compréhension des mécanismes moléculaires qui régulent ces protéines est donc essentielle pour le développement de stratégies thérapeutiques visant à prévenir ou à traiter les maladies associées à leur dysfonctionnement, telles que le cancer.

La phosphatase alcaline (ALP) est une enzyme présente dans tous les tissus du corps, mais principalement dans le foie, les os, l'intestin et la placenta. Elle joue un rôle important dans le métabolisme des os et du tissu hépatique. Dans le sang, le niveau de phosphatase alcaline peut être mesuré comme un marqueur pour évaluer la santé de ces organes.

Les niveaux normaux de phosphatase alcaline peuvent varier selon l'âge et le sexe de la personne. Des taux élevés de cette enzyme dans le sang peuvent indiquer une maladie ou un dysfonctionnement de ces organes. Par exemple, des niveaux élevés peuvent être observés dans certaines affections hépatiques comme l'hépatite ou la cirrhose, dans des maladies osseuses telles que la ostéogenèse imparfaite ou le cancer des os, ainsi que dans des troubles du métabolisme comme l'hyperparathyroïdie.

Il est important de noter que certains facteurs peuvent temporairement affecter les taux de phosphatase alcaline, tels qu'une activité physique intense, la grossesse ou la prise de médicaments spécifiques. Par conséquent, les résultats doivent toujours être interprétés en conjonction avec d'autres tests et informations cliniques.

Les régions promotrices génétiques sont des séquences d'ADN situées en amont du gène, qui servent à initier et à réguler la transcription de l'ARN messager (ARNm) à partir de l'ADN. Ces régions contiennent généralement des séquences spécifiques appelées "sites d'initiation de la transcription" où se lie l'ARN polymérase, l'enzyme responsable de la synthèse de l'ARNm.

Les régions promotrices peuvent être courtes ou longues et peuvent contenir des éléments de régulation supplémentaires tels que des sites d'activation ou de répression de la transcription, qui sont reconnus par des facteurs de transcription spécifiques. Ces facteurs de transcription peuvent activer ou réprimer la transcription du gène en fonction des signaux cellulaires et des conditions environnementales.

Les mutations dans les régions promotrices peuvent entraîner une altération de l'expression génique, ce qui peut conduire à des maladies génétiques ou à une susceptibilité accrue aux maladies complexes telles que le cancer. Par conséquent, la compréhension des mécanismes régissant les régions promotrices est essentielle pour comprendre la régulation de l'expression génique et son rôle dans la santé et la maladie.

La différenciation cellulaire est un processus biologique dans lequel une cellule somatique immature ou moins spécialisée, appelée cellule souche ou cellule progénitrice, se développe et se spécialise pour former un type de cellule plus mature et fonctionnellement distinct. Ce processus implique des changements complexes dans la structure cellulaire, la fonction et la métabolisme, qui sont médiés par l'expression génétique différenciée et la régulation épigénétique.

Au cours de la différenciation cellulaire, les gènes qui codent pour les protéines spécifiques à un type cellulaire particulier sont activés, tandis que d'autres gènes sont réprimés. Cela entraîne des modifications dans la morphologie cellulaire, y compris la forme et la taille de la cellule, ainsi que la cytosquelette et les organites intracellulaires. Les cellules différenciées présentent également des caractéristiques fonctionnelles uniques, telles que la capacité à produire des enzymes spécifiques ou à participer à des processus métaboliques particuliers.

La différenciation cellulaire est un processus crucial dans le développement embryonnaire et fœtal, ainsi que dans la maintenance et la réparation des tissus adultes. Des anomalies dans ce processus peuvent entraîner des maladies congénitales ou acquises, telles que les cancers et les troubles du développement.

En génétique, une mutation est une modification permanente et héréditaire de la séquence nucléotidique d'un gène ou d'une région chromosomique. Elle peut entraîner des changements dans la structure et la fonction des protéines codées par ce gène, conduisant ainsi à une variété de phénotypes, allant de neutres (sans effet apparent) à délétères (causant des maladies génétiques). Les mutations peuvent être causées par des erreurs spontanées lors de la réplication de l'ADN, l'exposition à des agents mutagènes tels que les radiations ou certains produits chimiques, ou encore par des mécanismes de recombinaison génétique.

Il existe différents types de mutations, telles que les substitutions (remplacement d'un nucléotide par un autre), les délétions (suppression d'une ou plusieurs paires de bases) et les insertions (ajout d'une ou plusieurs paires de bases). Les conséquences des mutations sur la santé humaine peuvent être très variables, allant de maladies rares à des affections courantes telles que le cancer.

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Le facteur CB (ou facteur de von Willebrand) est une protéine plasmatique multimérique qui joue un rôle crucial dans l'hémostase primaire, c'est-à-dire la première étape de la coagulation sanguine. Le facteur CB est codé par le gène VWF situé sur le chromosome 12.

La sous-unité alpha 3 du facteur CB (CBFα3) est l'une des trois sous-unités qui composent la protéine du facteur CB. Plus précisément, il s'agit d'une chaîne polypeptidique de 741 acides aminés qui se lie à deux autres sous-unités identiques pour former une structure tridimensionnelle complexe.

La sous-unité alpha 3 du facteur CB contient plusieurs domaines fonctionnels importants, notamment des sites de liaison aux ions calcium et aux molécules de glycosaminoglycanes, qui sont essentiels pour la stabilisation des multimères du facteur CB dans la circulation sanguine. De plus, cette sous-unité contient également des sites de clivage enzymatique qui régulent l'activité biologique du facteur CB.

Des mutations dans le gène VWF peuvent entraîner des troubles de la coagulation sanguine tels que l'hémophilie acquise ou héréditaire, ainsi que d'autres affections telles que la maladie de von Willebrand. Des études ont montré que certaines mutations spécifiques dans le domaine de la sous-unité alpha 3 du facteur CB peuvent être associées à des phénotypes cliniques particuliers, tels qu'une augmentation du risque de thrombose ou une diminution de l'activité hémostatique.

En résumé, la sous-unité alpha 3 du facteur CB est un composant essentiel de cette protéine multimérique complexe qui joue un rôle crucial dans le processus de coagulation sanguine. Des mutations dans ce domaine peuvent entraîner des troubles de la coagulation et d'autres affections, soulignant l'importance de comprendre la structure et la fonction de cette sous-unité pour élucider les mécanismes moléculaires sous-jacents à ces maladies.

Une lignée cellulaire est un groupe homogène de cellules dérivées d'un seul type de cellule d'origine, qui se divisent et se reproduisent de manière continue dans des conditions de culture en laboratoire. Ces cellules sont capables de maintenir certaines caractéristiques spécifiques à leur type cellulaire d'origine, telles que la forme, les fonctions et les marqueurs moléculaires, même après plusieurs générations.

Les lignées cellulaires sont largement utilisées dans la recherche biomédicale pour étudier divers processus cellulaires et moléculaires, tester de nouveaux médicaments, développer des thérapies et comprendre les mécanismes sous-jacents aux maladies humaines. Il est important de noter que certaines lignées cellulaires peuvent présenter des anomalies chromosomiques ou génétiques dues à leur manipulation en laboratoire, ce qui peut limiter leur utilisation dans certains contextes expérimentaux ou cliniques.

La transcription génétique est un processus biologique essentiel à la biologie cellulaire, impliqué dans la production d'une copie d'un brin d'ARN (acide ribonucléique) à partir d'un brin complémentaire d'ADN (acide désoxyribonucléique). Ce processus est catalysé par une enzyme appelée ARN polymérase, qui lit la séquence de nucléotides sur l'ADN et synthétise un brin complémentaire d'ARN en utilisant des nucléotides libres dans le cytoplasme.

L'ARN produit pendant ce processus est appelé ARN pré-messager (pré-mRNA), qui subit ensuite plusieurs étapes de traitement, y compris l'épissage des introns et la polyadénylation, pour former un ARN messager mature (mRNA). Ce mRNA sert ensuite de modèle pour la traduction en une protéine spécifique dans le processus de biosynthèse des protéines.

La transcription génétique est donc un processus crucial qui permet aux informations génétiques codées dans l'ADN de s'exprimer sous forme de protéines fonctionnelles, nécessaires au maintien de la structure et de la fonction cellulaires, ainsi qu'à la régulation des processus métaboliques et de développement.

TRF1 (télomère répétition binding factor 1) est une protéine qui se lie spécifiquement aux séquences répétitives des extrémités des télomères, qui sont les structures en forme de cap protectrices situées à l'extrémité des chromosomes. Les télomères protègent les chromosomes contre la dégradation et la fusion avec d'autres chromosomes. TRF1 est un composant important du complexe de protéines des télomères qui régule la longueur des télomères et maintient leur intégrité structurelle.

TRF1 est une protéine nucléaire qui se lie aux séquences TTAGGG répétitives des télomères en formant des structures d'hétérodimères avec la protéine TRF2. Ces deux protéines sont essentielles pour maintenir la stabilité des télomères et empêcher l'activation du processus de détection des dommages à l'ADN qui peut conduire à la sénescence cellulaire ou à l'apoptose.

Les mutations dans le gène TRF1 ont été associées à certaines maladies génétiques, telles que les dyskinésies ciliaires primaires et la dyskératose congénitale, qui sont caractérisées par des anomalies dans la structure et la fonction des télomères. De plus, TRF1 a été impliqué dans le processus de vieillissement cellulaire et a été identifié comme un facteur important dans la régulation de la longueur des télomères pendant la division cellulaire.

Les facteurs de transcription GBF (ou facteurs de transcription activés par le G protein) sont une famille de protéines qui jouent un rôle crucial dans la régulation de l'expression des gènes. Ils agissent comme des intermédiaires entre les voies de signalisation cellulaire et la machinerie de transcription des gènes dans le noyau cellulaire.

Les facteurs de transcription GBF sont activés par des protéines G hétérotrimériques, qui sont elles-mêmes activées par des signaux extracellulaires tels que les hormones, les neurotransmetteurs et les facteurs de croissance. Lorsqu'ils sont activés, les facteurs de transcription GBF se lient à des séquences spécifiques d'ADN appelées éléments de réponse aux protéines G (GRE), qui sont situés dans les régions promotrices des gènes cibles. Cette liaison permet la recrutement d'autres facteurs de transcription et de coactivateurs, ce qui entraîne la transcription des gènes cibles en ARN messager (ARNm).

Les facteurs de transcription GBF sont donc essentiels pour la régulation de nombreux processus cellulaires, tels que la croissance et la différenciation cellulaire, le métabolisme, l'apoptose et la réponse immunitaire. Des anomalies dans les voies de signalisation des facteurs de transcription GBF ont été associées à diverses maladies, notamment le cancer, les maladies cardiovasculaires et neurodégénératives.

... à la famille de facteurs de transcription à domaine Runt (RUNX), aussi appelés core binding factor-α (CBFα). Les protéines RUNX ... La protéine RUNX1 est un facteur de transcription codé chez lhomme par le gène RUNX1. Les mutations du gène (constitutionnel ... Le consensus de liaison de CBF a été identifié comme une séquence de 7 paires de bases PyGPyGGTPy (où Py = pyrimidine, G = ... ETS1 Famille CBF RUNX2 RUNX3 Protéine de fusion RUNX1-RUNX1T1 (ancienne nomenclature: AML1-ETO; nouvelle nomenclature: RUNX1:: ...
2] Vogels CBF et al. (2020) Analytical sensitivity and efficiency comparisons of SARS-COV-2 qRT-PCR assays. medRxiv 20048108. ... études ont démontré que lexactitude varie en fonction de plusieurs facteurs : le stade de la maladie (ce qui affecte le nombre ... Plusieurs essais sur différents gènes cibles basés sur le principe de transcription inverse couplée à lamplification en chaîne ... ceci dépend de plusieurs facteurs dont leurs symptômes and la prévalence de la maladie. ...
Facteurs de transcription CBF Synonymes. Core binding factors Core-binding Factor Facteur de transcription PEBP2 Facteurs CBF ... Facteur de transcription PEBP2. Facteurs CBF. Polyomavirus enhancer binding protein 2. Code(s) darborescence:. D12.776.930.155 ... Facteurs de transcription à motif basique hélice-boucle-hélice [D12.776.930.125] Facteurs de transcription à motif basique ... Facteurs de transcription CBF - Concept préféré Concept UI. M0211900. Terme préféré. ...

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