Plante des extraits de plusieurs espèces, y compris genera strychnos et Chondodendron qui contiennent TETRAHYDROISOQUINOLINES qui produisent PARALYSIS du muscle squelettique. Ces extraits sont toxiques et doit être utilisé avec l ’ administration de la respiration artificielle.
Un inhibiteur neuromusculaire et ingrédient actif de curare ; plante basé alcaloïde de Menispermaceae.
Un curare alcaloïde qui est un puissant antagoniste nicotinique compétitif à la jonction neuromusculaire.
Des collections de différenciés tels que muscles tissu conjonctif épithélium ; ; ; et votre sang-froid. Tissus sont Coopérativement fait pour former des organes avec spécialisé comme RESPIRATION ; digestion ; reproduction ; CIRCULATION ; et les autres.
La synapse entre un neurone et un muscle.
Protéines neurotoxiques du venin d'ou le bungare fascié Formosan (Bungarus multicinctus elapid), un serpent. Alpha-Bungarotoxin bloque les récepteurs nicotiniques à l'acétylcholine et sert à isoler et les étudier ; et sélectifs gamma-bungarotoxins acte presynaptically entraînant la libération d'acétylcholine et épuisées. Rayons alpha et bêta formes ont été décrites, l'alpha comparable au gros, long ou Type Ii neurotoxines autre elapid venin.
Contraction des tissus qui produit mouvement chez les animaux.
Hérité myotonic maladies avec l ’ enfance tôt myotonie. Hypertrophie musculaire est commune et myotonie peut perturber marche et autres mouvements, c'est classé comme Thomsen (autosomale dominante) ou Becker () généralisé autosomale récessif myotonie principalement basé sur l'héritage modèle. Becker type est aussi cliniquement plus sévères. Dominante autosomique plus légère variante avec les symptômes et plus tard son effet est connu sous le nom de myotonie levior. Mutations dans le muscle squelettique voltage-dependent canaux chlorure sont associés à des troubles.
Un décontractant le muscle squelettique quaternaire utilisé habituellement sous forme de ses bromure iodure ou c'est un décontractant depolarizing, agissant dans 30 secondes et avec une durée de l ’ effet en moyenne trois à cinq minutes. Succinylcholine est utilisé en anesthésique chirurgical, et autres procédures dans lequel une brève période de relaxation musculaire s'impose.
Les protéines de surface cellulaire qui lient acétylcholine avec une forte affinité et détente changements intracellulaire influencer le comportement de cellules. Les récepteurs cholinergiques sont divisés en deux classes majeures, muscariniques et d ’ origine, basé sur l'attrait de nicotine et de la muscarine. Chaque groupe est divisé en se basant sur la pharmacologie, emplacement, mode d'action, et / ou la biologie moléculaire.
La région de postsynaptique spécialisé une cellule musculaire plaques basales. Le moteur est immédiatement dans le creux synaptique du terminal présynaptique axone. Parmi ses plis nodal specializations anatomiques sont le port de sa haute densité aux récepteurs cholinergiques.
Un inhibiteur de la cholinesterase utilisé dans le traitement de la myasthénie et inverser les effets des relaxants musculaires tels que gallamine et tubocurarine. La néostigmine, contrairement à la physostigmine, ne traverse pas la barrière hémato-encéphalique.
Un neurotransmetteur trouvé sur jonctions neuromusculaires nerveux parasympathique Paraganglions effecteurs jonction, un sous-ensemble de la sympathie effecteurs jonction, et sur plusieurs sites dans le système nerveux central.
Un ordre de la classe amphibia, ce qui concerne plusieurs familles de crapauds et grenouilles. Se caractérisent par des pattes arrières adapté pour sauter, fusionné tête et le coffre et des pieds palmés. Le terme "crapaud" est ambigu et est correctement appliqué seulement à la famille Bufonidae.

Le curare est un terme général qui se réfère à différents extraits toxiques provenant de certaines plantes grimpantes sud-américaines, principalement des genres Strychnos et Chondrodendron. Traditionnellement, ces extraits ont été utilisés par les tribus indigènes d'Amazonie comme poison pour chasser en enduisant les pointes de leurs flèches.

Dans un contexte médical, le curare est souvent mentionné en référence à la tubocurarine et à d'autres alcaloïdes similaires qui ont été isolés à partir de ces extraits de plantes. Ces composés sont des relaxants musculaires non dépolarisants, ce qui signifie qu'ils agissent en bloquant la liaison de l'acétylcholine aux récepteurs nicotiniques des plaques motrices des jonctions neuromusculaires. Cela entraîne une relaxation musculaire et peut être utilisé dans certains contextes médicaux, comme lors d'interventions chirurgicales pour faciliter l'intubation endotrachéale et la ventilation mécanique.

Cependant, il est important de noter que le curare ne doit pas être confondu avec les paralysies succinylcholine ou descurarine, qui sont également des relaxants musculaires utilisés en anesthésie, mais qui ont des mécanismes d'action différents.

La tubocurarine est un alcaloïde présent dans certaines plantes du genre Chondrodendron, utilisé en médecine comme curare à des fins relaxantes musculaires. Elle agit comme un bloqueur compétitif des récepteurs neuromusculaires nicotiniques, empêchant l'acétylcholine de se lier aux récepteurs et provoquant ainsi une relaxation musculaire.

La tubocurarine est souvent utilisée en anesthésiologie pour faciliter l'intubation endotrachéale et comme agent adjuvant pendant les interventions chirurgicales pour assurer l'immobilité musculaire. Cependant, elle peut également entraîner une dépression respiratoire en raison de la paralysie des muscles respiratoires, ce qui nécessite une ventilation mécanique et une surveillance étroites pendant son utilisation.

La tubocurarine a été largement remplacée par d'autres agents relaxants musculaires plus récents et plus sûrs, tels que le vecuronium et le rocuronium, qui ont des durées d'action plus prévisibles et moins d'effets secondaires cardiovasculaires.

Je suis désolé, mais il n'y a pas de terme médical appelé "toxiférine". Il est possible que vous ayez fait une erreur d'orthographe ou que le terme que vous recherchez n'existe pas dans la littérature médicale. Pouvez-vous vérifier l'orthographe et me fournir plus de détails sur le contexte dans lequel vous avez rencontré ce terme, afin que je puisse vous aider au mieux ?

En médecine et en biologie, un tissu est une composition organisée de cellules et de matériel extracellulaire qui remplissent une fonction spécifique. Les tissus sont les unités structurelles fondamentales des êtres vivants, regroupant des cellules similaires qui travaillent ensemble pour accomplir une tâche particulière. Il existe quatre types de tissus de base dans le corps humain : épithélial, conjonctif, musculaire et nerveux.

1. Le tissu épithélial recouvre les surfaces extérieures du corps et tapisse les cavités internes. Il est impliqué dans la protection, l'absorption, la sécrétion et l'excrétion.
2. Le tissu conjonctif soutient et connecte d'autres tissus, fournit une matrice pour les cellules et stocke des nutriments. Il existe plusieurs sous-types de tissu conjonctif, tels que le tissu conjonctif lâche, le tissu conjonctif dense, la graisse et le cartilage.
3. Le tissu musculaire est responsable de la contraction et du mouvement. Il existe trois types de tissus musculaires : squelettique (volontaire), lisse (involontaire) et cardiaque.
4. Le tissu nerveux transmet, reçoit et traite les informations sous forme d'impulsions électriques appelées potentiels d'action. Il est responsable de la coordination et du contrôle des activités du corps.

Les tissus peuvent être affectés par diverses maladies, telles que l'inflammation, les infections, les tumeurs bénignes et malignes, qui peuvent entraîner une altération de leur structure et/ou de leur fonction.

La jonction neuromusculaire est la région où l'extrémité d'un neurone, appelée axone, rencontre et se connecte à une fibre musculaire pour assurer la transmission des impulsions nerveuses vers le muscle. Cette jonction est également connue sous le nom de plaque motrice.

Lorsque l'influx nerveux atteint la terminaison de l'axone, il déclenche la libération d'un neurotransmetteur, principalement de l'acétylcholine, dans la fente synaptique située entre l'axone et la fibre musculaire. Le neurotransmetteur se lie ensuite aux récepteurs spécifiques sur la membrane de la fibre musculaire, ce qui entraîne une dépolarisation de cette dernière et déclenche la contraction musculaire.

La jonction neuromusculaire est un site crucial pour le fonctionnement normal du système nerveux périphérique et des muscles squelettiques. Des anomalies au niveau de ces jonctions peuvent entraîner diverses affections, telles que la myasthénie grave, une maladie auto-immune caractérisée par une faiblesse musculaire due à une déficience dans la transmission neuromusculaire.

La bungarotoxine est une neurotoxine puissante qui est sécrétée par certains serpents venimeux du genre Bungarus, également connus sous le nom de kraits. Cette toxine agit en se liant de manière irréversible aux récepteurs nicotiniques de l'acétylcholine (nAChR) situés dans la membrane postsynaptique des jonctions neuromusculaires, empêchant ainsi la transmission nerveuse et entraînant une paralysie musculaire.

Il existe deux types principaux de bungarotoxines : la bungarotoxine α et la bungarotoxine κ. La bungarotoxine α est la plus étudiée et se lie sélectivement aux sous-unités α7 des récepteurs nAChR, entraînant une paralysie flasque et souvent fatale chez les victimes de morsures de krait. La bungarotoxine κ, quant à elle, se lie aux sous-unités α3β2 des récepteurs nAChR et provoque une paralysie spastique.

La bungarotoxine est un outil important en recherche biomédicale pour étudier la structure et la fonction des récepteurs nicotiniques de l'acétylcholine, ainsi que pour le développement de traitements contre les maladies neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer et la maladie de Parkinson.

Les muscles sont des organes contractiles qui forment une grande partie du tissu corporel. Ils sont responsables de la mobilité volontaire et involontaire dans le corps humain. Les muscles se contractent pour permettre le mouvement des os, aider à maintenir la posture et contribuer à diverses fonctions corporelles telles que la respiration, la digestion et la circulation sanguine.

Il existe trois types principaux de muscles dans le corps humain :

1. Les muscles squelettiques ou striés : Ils sont attachés aux os par des tendons et leur contraction permet les mouvements volontaires du corps. Ces muscles ont une apparence striée sous un microscope, d'où leur nom.

2. Les muscles lisses : Ce sont des muscles trouvés dans les parois des vaisseaux sanguins, des bronches, de l'utérus et du tube digestif. Ils fonctionnent involontairement, contrôlés par le système nerveux autonome, et participent à des fonctions telles que la circulation, la respiration et la digestion.

3. Le muscle cardiaque : C'est un type spécial de muscle strié qui forme la majeure partie du cœur. Il fonctionne automatiquement sans aucun contrôle volontaire, pompant le sang dans tout le corps.

La capacité des muscles à se contracter et à se détendre provient de leurs propriétés physiques uniques et de la présence de protéines spécialisées telles que l'actine et la myosine, qui glissent les unes contre les autres lorsque le muscle se contracte.

La myotonie congénitale, également connue sous le nom de maladie de Thomsen ou de myopathie de Becker, est un trouble musculaire héréditaire caractérisé par une raideur musculaire (myotonie) et une faiblesse musculaire. Dans cette affection, les muscles ont tendance à se contracter et à rester contractés après l'utilisation, ce qui rend difficile pour les personnes affectées de relâcher rapidement ou de détendre leurs muscles après avoir bougé ou touché un objet.

Il existe deux types principaux de myotonie congénitale : le type 1 et le type 2. Le type 1, également appelé myotonie congénitale de Thomsen, est généralement moins sévère et peut être présent à la naissance ou se développer pendant l'enfance. Les personnes atteintes de cette forme de la maladie peuvent avoir des difficultés à relâcher leur prise sur les objets, à monter et descendre les escaliers, ou à lever les bras au-dessus de leur tête.

Le type 2, également appelé myotonie congénitale de Becker, est généralement plus sévère et peut ne se manifester que pendant l'enfance ou l'adolescence. Les personnes atteintes de cette forme de la maladie peuvent avoir des difficultés à marcher, à avaler et à respirer en raison de la faiblesse musculaire sévère.

La myotonie congénitale est héréditaire et est causée par des mutations dans les gènes CLCN1 ou SCN4A. Ces gènes sont responsables de la production de protéines qui aident à réguler la perméabilité des canaux sodiques et calciques dans les membranes musculaires. Les mutations de ces gènes entraînent une altération de la fonction des canaux sodiques et calciques, ce qui entraîne une raideur musculaire et une faiblesse.

Il n'existe actuellement aucun traitement curatif pour la myotonie congénitale, mais les symptômes peuvent être gérés grâce à des médicaments tels que les anticonvulsivants, les relaxants musculaires et les anesthésiques locaux. La kinésithérapie et l'ergothérapie peuvent également aider à améliorer la fonction musculaire et à réduire la raideur.

La succinylcholine est un médicament relaxant musculaire à courte durée d'action, utilisé en anesthésie pour faciliter l'intubation endotrachéale et la ventilation mécanique. Il agit comme un curare dépolarisant, provoquant une paralysie temporaire des muscles striés squelettiques en interférant avec la transmission neuromusculaire au niveau de la jonction neuromusculaire.

La succinylcholine se lie aux récepteurs nicotiniques d'acétylcholine, entraînant une dépolarisation initiale suivie d'une phase de blocage postsynaptique prolongé et réversible. Cela aboutit à une paralysie musculaire complète pendant environ 5 à 10 minutes, ce qui permet au médecin d'effectuer des procédures invasives telles que l'intubation ou la chirurgie abdominale majeure.

Cependant, il convient de noter que l'utilisation de succinylcholine n'entraîne pas une analgésie ni une sédation, c'est pourquoi elle doit être associée à un agent anesthésique approprié pour assurer le confort et la sécurité du patient pendant la procédure.

Les effets secondaires courants de la succinylcholine comprennent l'hypertension artérielle, la tachycardie, la bradycardie, les augmentations transitoires des enzymes hépatiques et musculaires, ainsi qu'une hyperkaliémie potentiellement dangereuse chez certains patients présentant des antécédents de traumatismes récents, de brûlures graves, de neuropathies ou de myopathies. Par conséquent, il est important de procéder à une évaluation approfondie du patient avant d'administrer ce médicament et de surveiller étroitement les fonctions vitales pendant et après l'utilisation de la succinylcholine.

Les récepteurs cholinergiques sont des protéines membranaires qui se lient à l'acétylcholine, un neurotransmetteur important dans le système nerveux central et périphérique. Il existe deux types principaux de récepteurs cholinergiques : les récepteurs nicotiniques et les récepteurs muscariniques.

Les récepteurs nicotiniques, également appelés récepteurs de la jonction neuromusculaire, sont activés par la nicotine ainsi que par l'acétylcholine. Ils sont localisés principalement au niveau des plaques motrices des muscles squelettiques et assurent la transmission rapide de l'influx nerveux entre le nerf moteur et le muscle.

Les récepteurs muscariniques, en revanche, sont activés exclusivement par l'acétylcholine. Ils sont distribués dans tout le corps, notamment dans le cerveau, les glandes exocrines, le cœur et le système nerveux autonome. Les récepteurs muscariniques sont classiquement divisés en cinq sous-types (M1 à M5), qui ont des fonctions variées telles que la modulation de la sécrétion glandulaire, la régulation du rythme cardiaque et la transmission neuronale dans le système nerveux central.

En résumé, les récepteurs cholinergiques sont des protéines membranaires qui se lient à l'acétylcholine et jouent un rôle crucial dans la transmission de signaux nerveux et dans la régulation de diverses fonctions corporelles.

La plaque terminale motrice est un terme utilisé en anatomie et en neurologie pour décrire la zone spécialisée à l'extrémité d'un neurone moteur, où les axones (fibres nerveuses) transmettent les impulsions nerveuses aux muscles squelettiques. C'est le site de connexion entre le système nerveux central et le muscle, et c'est là que l'influx nerveux est converti en une contraction musculaire.

La plaque terminale motrice contient des vésicules contenant des neurotransmetteurs, qui sont libérés dans l'espace synaptique (l'espace entre la plaque terminale et le muscle) lorsqu'un potentiel d'action atteint la plaque. Les neurotransmetteurs se lient ensuite à des récepteurs spécifiques sur la membrane du muscle, ce qui entraîne une dépolarisation de la membrane musculaire et déclenche une contraction.

Les anomalies de la plaque terminale motrice peuvent entraîner des maladies neuromusculaires, telles que la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou la myasthénie grave.

La néostigmine est un médicament qui agit comme un inhibiteur de la cholinestérase, ce qui signifie qu'il ralentit la dégradation de l'acétylcholine, un neurotransmetteur important dans le fonctionnement du système nerveux parasympathique.

Ce médicament est souvent utilisé pour traiter les conditions associées à une faible activité muscarinique, telles que la myasthénie grave, où il aide à améliorer la force musculaire en potentialisant l'action de l'acétylcholine aux jonctions neuromusculaires.

La néostigmine peut également être utilisée pour inverser les effets des agents bloquant les récepteurs de l'acétylcholine, tels que les muscle relaxants non dépolarisants, après une intervention chirurgicale.

Les effets secondaires courants de la néostigmine comprennent des nausées, des vomissements, des sueurs, des douleurs abdominales, des diarrhées et une salivation accrue. Dans de rares cas, il peut provoquer des crampes musculaires, une vision floue ou une augmentation de la pression artérielle.

L'acétylcholine est un neurotransmetteur important dans le système nerveux périphérique et central. Elle joue un rôle crucial dans la transmission des impulsions nerveuses entre les neurones et les muscles, ainsi qu'entre les neurones eux-mêmes.

Dans le système nerveux périphérique, l'acétylcholine est libérée par les motoneurones au niveau de la jonction neuromusculaire pour provoquer la contraction des muscles squelettiques. Elle agit également dans le système nerveux autonome en régulant les fonctions involontaires telles que la fréquence cardiaque, la pression artérielle et la digestion.

Dans le cerveau, l'acétylcholine est impliquée dans divers processus cognitifs tels que l'attention, la mémoire et l'apprentissage. Les déficits en acétylcholine ont été associés à des maladies neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer.

L'acétylcholine est synthétisée à partir de la choline et de l'acétyl-coenzyme A par l'enzyme cholinestérase. Elle est ensuite stockée dans des vésicules situées dans les terminaisons nerveuses avant d'être libérée en réponse à un stimulus électrique. Une fois relâchée, elle se lie aux récepteurs nicotiniques ou muscariniques de la membrane postsynaptique pour déclencher une réponse spécifique.

En résumé, l'acétylcholine est un neurotransmetteur essentiel qui intervient dans la transmission des impulsions nerveuses et la régulation de divers processus physiologiques et cognitifs.

Anura est un terme médical et scientifique qui se réfère à un ordre de la classe des amphibiens, comprenant les grenouilles et les crapauds. Les caractéristiques distinctives des anoures incluent :

1. Pas de queue : Contrairement aux autres amphibiens comme les salamandres et les tritons, les anoures n'ont pas de queue à l'âge adulte.
2. Pattes postérieures adaptées au saut : Les pattes postérieures des anoures sont longues et puissantes, avec des articulations renforcées pour permettre des mouvements rapides et puissants, ce qui facilite le saut comme mode de locomotion principal.
3. Peau humide et perméable : Les anoures ont une peau fine, humide et perméable, ce qui leur permet d'absorber l'eau et les gaz par voie cutanée. Cependant, cela rend également ces animaux sensibles à la déshydratation et aux changements de température.
4. Développement direct : La plupart des anoures ont un développement direct, ce qui signifie qu'ils éclosent de leurs œufs sous forme de petites grenouilles ou de crapauds complètement formés, sans passer par une phase larvaire aquatique comme les têtards.
5. Reproduction avec des œufs sans coquille : Les anoures se reproduisent en pondant des grappes d'œufs non couvés dans l'eau ou sur terre, selon l'espèce. Ces œufs éclosent directement en petites grenouilles ou crapauds.
6. Sensibilité aux toxines : De nombreuses espèces d'anoures ont la capacité de sécréter des substances toxiques par leur peau pour se protéger contre les prédateurs.
7. Distribution mondiale : Les anoures sont largement répandus dans le monde, avec une grande diversité d'espèces trouvées sur tous les continents, sauf l'Antarctique.

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