Le changement d'enzymes qui catalysent carbon-carbon une double liaison d'un seul endroit à une autre dans la même molécule. CE 5.3.3.
Hydrocarbures insaturés du type Cn-H2n, indiqué par le suffixe -ene. (Grant & Hackh est Chemical Dictionary, 5ème Ed, p408)
Enzymes qui catalyser la transposition de sulfur-sulfur un lien. CE 5.3.4.
Enzymes qui catalysent l ’ interconversion ketose aldose et de composés.
La classe des enzymes qui catalyser géométrique ou des changements structurels dans une molécule pour former un seul produit. Les réactions n'impliquent pas un des taux de change autres que le substrat composés et le produit de la 28e Dorland. (Éditeur) CE 5.
Les réactions, changements de structure et composition, les propriétés des réactions de carbone, et la signature énergétique.
Enzymes qui catalyser le décolleté d'un lien carbon-carbon autrement que par hydrolyse ou oxydation. Cette sous-catégorie contient le Decarboxylases, le ALDEHYDE-LYASES, et le OXO-ACID-LYASES. CE 4.1.
Un élément métallique avec symbole C, numéro atomique 6, et poids atomique [12.0096 ; 12.0116]. Ça peut être due à différents allotropes incluant diamant ; CHARCOAL ; et du graphite incomplète de suie... et donc, de brûler du carburant.
Une enzyme qui catalyse le isomerization proline de résidus dans les protéines. CE 5.2.1.8.
Enzymes qui catalysent les centres chiralement epimerization racemization ou en acides aminés ou des dérivés. CE 5.1.1.
Un élément chimique ayant une masse atomique de 106.4, numéro atomique de 46 ans, et le symbole j'avais, c'est une suspension blanche, métal ductile ressemblant à platine, et le suivre en abondance et de l 'importance d ’ applications. Il est utilisé chez la dentisterie dans la forme d' or, argent et cuivre alliages.
L'emplacement des atomes, groupes ou ions relative à un autre dans une molécule, ainsi que le nombre, type et la zone de liaisons covalentes.
La facilitation d'une réaction chimique par le matér (catalyseur) qui n'est pas consumé par la réaction.
Le phénomène par lequel composés dont les molécules ont le même numéro, genre des atomes et le même arrangement, mais atomique différentes en des relations spatiales de McGraw-Hill. (Dictionnaire de termes scientifique et technique, 5ème e)
Les cétones sont des composés organiques acido-basiques, produits principalement dans le foie comme sous-produits du métabolisme des graisses, qui peuvent être utilisées comme source d'énergie alternative en l'absence de glucose adéquat, mais dont l'accumulation peut entraîner une acidose métabolique dans certaines conditions pathologiques telles que le diabète sucré non traité.
Changer une bague dans un faux d'hydrocarbure open-chain. (Dictionnaire de McGraw-Hill Terms scientifique et technique, 5ème e)
Enzymes qui catalyser la epimerization de centres chiraux au sein des hydrates de carbone ou leurs dérivés. CE 5.1.3.
Les méthodes utilisées pour la synthèse chimique des composés. Cette rubrique inclut les méthodes de laboratoire sont utilisés pour synthétiser une variété de produits chimiques et de la drogue.
Sulfur-sulfur Bond Isomerases qui catalysent disulfures obligations dans le réaménagement de protéines pendant pliage. Protéine spécifique disulfide-isomerase isoenzymes également survenir comme sous-unités de PROCOLLAGEN-PROLINE Dioxygenase.
Ou inorganique dérivés de composés organiques (phosphine PH3) par le remplacement de H atomes. (De Grant & Hackh est Chemical Dictionary, 5ème e)
Enzymes qui catalyser la transposition de double liaison (s) dans un stéroïde molécule. CE 5.3.3.
L'étude de la structure, préparation, propriétés, et réactions de carbone. (Dictionnaire de McGraw-Hill Terms scientifique et technique, 6e éditeur)
Ou inorganique composés organiques qui contiennent soufre comme partie intégrante de la molécule.
Une famille de peptidyl-prolyl cis-trans Isomérases qui se lient à CYCLOSPORINS et régule le système immunitaire CE 5.2.1.-.
Un élément trace avec le symbole B, numéro atomique 5, et poids atomique [10.806 ; 10.821]. Boron-10, un isotope de bore, est utilisé comme un absorbeur à neutrons suis Carpenter de bore repris la thérapie.
Acyclic ramifiés ou unbranched hydrocarbures avoir deux carbon-carbon double obligations.
Un double liaison carbon-carbon isomerase qui catalyse le mouvement de C3 à double liaison C2 d'un acyl-CoA insaturés. L ’ enzyme joue un rôle clé en permettant à des substrats acyl-CoA beta-oxidation à réintégrer le sentier.

Les isomérases à double liaison carbone-carbone sont un type spécifique d'enzymes qui catalysent la conversion d'une forme de double liaison carbone-carbone dans une molécule organique en une autre forme de double liaison. Ces enzymes jouent un rôle crucial dans les processus métaboliques, tels que la biosynthèse des lipides et des acides gras, où elles aident à réguler la configuration et la position des doubles liaisons dans les molécules organiques.

Les isomérases à double liaison carbone-carbone peuvent catalyser plusieurs types de réactions, y compris les rotations conformationnelles, les déplacements d'hydrogène et les migrations de doubles liaisons. Ces enzymes sont souvent spécifiques à une seule réaction ou à un petit sous-ensemble de réactions, ce qui signifie qu'elles ne peuvent catalyser qu'un nombre limité de transformations chimiques différentes.

Les isomérases à double liaison carbone-carbone sont importantes pour la fonction et la régulation des systèmes biologiques, y compris le métabolisme énergétique, la biosynthèse des lipides et des acides gras, et la signalisation cellulaire. Les mutations ou les dysfonctionnements de ces enzymes peuvent entraîner une variété de maladies, notamment des troubles du métabolisme lipidique et des désordres neurologiques.

En résumé, les isomérases à double liaison carbone-carbone sont un type important d'enzymes qui régulent la configuration et la position des doubles liaisons dans les molécules organiques, jouant ainsi un rôle crucial dans de nombreux processus métaboliques essentiels.

Alcènes sont une classe d'hydrocarbures insaturés qui contiennent au moins une double liaison carbone-carbone dans leur structure moléculaire. Ils sont également connus sous le nom d'oléfines. La formule générale d'un alcène est CnH2n, où n représente le nombre d'atomes de carbone dans la molécule.

Les alcènes sont aliphatiques, ce qui signifie qu'ils ne contiennent pas de cycles aromatiques dans leur structure. La double liaison dans les alcènes est responsable de leurs propriétés uniques et de leur réactivité chimique. En raison de la présence d'une double liaison, les alcènes ont deux fois plus de densité électronique dans l'espace entre les atomes de carbone qu'un alkane équivalent, ce qui rend la molécule plus polarisée et réactive.

Les alcènes peuvent être classés en fonction du nombre de doubles liaisons qu'ils contiennent. Les alcènes simples ne contiennent qu'une seule double liaison, tandis que les alcènes conjugués en contiennent deux ou plusieurs, séparées par une seule liaison simple.

Les alcènes sont largement utilisés dans l'industrie chimique pour la production de plastiques, de caoutchoucs synthétiques, de détergents et d'autres produits chimiques importants. Ils sont également utilisés comme matières premières dans la production d'essence et d'autres carburants.

Les alcènes peuvent être produits par diverses méthodes, notamment par distillation destructive de pétrole brut, par craquage thermique ou catalytique de fractions plus lourdes du pétrole brut, par déshydrogénation d'alcanes et par réaction d'alkynes avec de l'hydrogène.

La Sulfur-Sulfur Bond Isomerase est une enzyme qui catalyse la conversion entre deux formes isomères d'un composé organique soufré, appelé thiosulfinate. Cette enzyme facilite le transfert d'un atome de soufre d'un groupe sulfényle (-SH) vers un groupe sulfenate (-SOH), créant ainsi un pont disulfure (-S-S-) entre deux molécules ou entre différentes parties de la même molécule. Ce processus est important dans la régulation de divers processus biologiques, tels que le métabolisme et la signalisation cellulaire. La Sulfur-Sulfur Bond Isomerase joue donc un rôle crucial dans la maintenance de l'homéostasie cellulaire et la prévention du stress oxydatif. Elle est également impliquée dans la détoxification des composés soufrés réactifs qui peuvent endommager les protéines et l'ADN.

Les Aldose-Kétose Isomérases sont des enzymes qui catalysent la conversion réversible des aldoses en kétoses et vice versa. Ces enzymes jouent un rôle crucial dans le métabolisme du glucose et d'autres oses (sucres) dans les cellules vivantes.

Dans le détail, ces enzymes permettent de convertir une forme de sucre appelée aldose, qui contient un groupe aldéhyde (-CHO), en une forme de sucre appelée kétose, qui contient un groupe cétone (-CO). Cette conversion est importante car elle permet aux cellules d'utiliser les sucres comme source d'énergie et de construire d'autres molécules complexes.

Les Aldose-Kétose Isomérases sont donc des enzymes clés dans le métabolisme du glucose, qui est la principale source d'énergie pour la plupart des organismes vivants. Ces enzymes sont également importantes dans la régulation de la glycolyse et de la gluconéogenèse, deux processus métaboliques essentiels au fonctionnement normal des cellules.

En cas de déficience ou de dysfonctionnement de ces enzymes, cela peut entraîner des troubles métaboliques tels que l'intolérance au glucose et le diabète.

Les isomérases sont un type spécifique d'enzymes qui facilitent le processus chimique connu sous le nom d'isomérisation. L'isomérisation est la conversion d'une molécule, appelée isomère, dans une configuration ou structure différente, tout en conservant sa formule moléculaire initiale.

Les isomérases jouent un rôle crucial dans de nombreux processus métaboliques dans les cellules vivantes. Elles aident à catalyser des réactions qui changent la disposition des atomes dans une molécule, ce qui peut modifier sa fonction ou son activité dans l'organisme.

Par exemple, certaines isomérases peuvent convertir des glucides alpha en glucides beta, ou vice versa. D'autres encore peuvent transformer des acides aminés d'une forme à une autre. Ces transformations sont importantes car elles permettent aux cellules de réguler leurs processus métaboliques et d'adapter leur fonctionnement en réponse à des changements internes ou externes.

Il existe plusieurs types d'isomérases, chacune spécialisée dans la catalyse d'un type spécifique de réaction isomérique. Ces enzymes sont classées selon la nature de la réaction qu'elles catalysent, telles que les rotamases, les épimérases, les cis-trans isomérases, etc.

La chimie organique est une branche importante de la chimie qui étudie la structure, les propriétés, les compositions, et les réactions des molécules contenant principalement du carbone et souvent l'hydrogène, mais aussi d'autres éléments comme l'oxygène, l'azote, le soufre, les halogènes. Les processus de chimie organique se réfèrent aux différentes transformations et réactions qui se produisent dans ces molécules.

Les processus de chimie organique peuvent être classés en plusieurs catégories, notamment :

1. Réactions d'addition : Dans ce type de réaction, une molécule est ajoutée à une autre molécule pour former un produit plus grand. Par exemple, l'ajout d'hydrogène à un alcène forme un alcane.

2. Réactions de substitution : Dans ces réactions, un atome ou un groupe d'atomes est remplacé par un autre atome ou un autre groupe d'atomes. Par exemple, la chloration d'un méthane forme du chlorométhane.

3. Réactions d'élimination : Dans ces réactions, deux groupes d'atomes sont retirés de la molécule pour former une nouvelle liaison entre les atomes restants et créer ainsi un produit plus petit. Par exemple, l'élimination d'un groupe hydroxyle et d'un hydrogène d'un alcool forme un aldéhyde ou une cétone.

4. Réactions de réarrangement : Dans ces réactions, la structure moléculaire est modifiée sans ajout ni suppression d'atomes. Par exemple, le réarrangement de Wagner-Meerwein dans les terpènes.

5. Réactions oxydoréduction : Ces réactions impliquent le transfert d'électrons entre molécules, entraînant un changement d'état d'oxydation des atomes concernés. Par exemple, l'oxydation du méthanol en formaldéhyde et eau.

Les réactions chimiques peuvent être catalysées par des substances appelées catalyseurs qui abaissent l'énergie d'activation de la réaction et accélèrent ainsi sa vitesse sans être consommés dans le processus. Les enzymes sont des biocatalyseurs spécifiques à certains types de réactions chimiques dans les organismes vivants.

Les réactions chimiques peuvent également être classées comme homogènes ou hétérogènes, selon que les réactifs et les produits se trouvent dans la même phase (gaz, liquide ou solide) ou non. Les réactions entre deux gaz sont des exemples de réactions homogènes, tandis que la corrosion d'un métal par un acide est une réaction hétérogène.

Les réactions chimiques peuvent être représentées par des équations chimiques qui montrent les formules moléculaires des réactifs et des produits, ainsi que le nombre de molécules impliquées dans la réaction. Les coefficients stœchiométriques indiquent le rapport entre les nombres de molécules de chaque espèce chimique. Par exemple, l'équation chimique pour la combustion du méthane est :

CH4 + 2O2 → CO2 + 2H2O

Cette équation montre que le méthane (CH4) réagit avec deux molécules d'oxygène (O2) pour former une molécule de dioxyde de carbone (CO2) et deux molécules d'eau (H2O). Les coefficients stœchiométriques sont 1 pour le méthane, 2 pour l'oxygène, 1 pour le dioxyde de carbone et 2 pour l'eau.

Les équations chimiques peuvent également être équilibrées en ajoutant des coefficients stœchiométriques aux formules moléculaires afin que les nombres d'atomes de chaque élément soient égaux de part et d'autre de l'équation. Par exemple, l'équation chimique pour la combustion du propane est :

C3H8 + 5O2 → 3CO2 + 4H2O

Cette équation montre que le propane (C3H8) réagit avec cinq molécules d'oxygène (O2) pour former trois molécules de dioxyde de carbone (CO2) et quatre molécules d'eau (H2O). Les coefficients stœchiométriques sont 1 pour le propane, 5 pour l'oxygène, 3 pour le dioxyde de carbone et 4 pour l'eau.

Les équations chimiques peuvent être utilisées pour prédire les produits d'une réaction chimique et pour déterminer la quantité de chaque espèce chimique qui sera consommée ou produite dans une réaction donnée. Les coefficients stœchiométriques indiquent le rapport entre les nombres de molécules de chaque espèce chimique, ce qui permet de calculer les quantités en termes de moles ou de masses. Par exemple, si on connaît la quantité de méthane (CH4) consommée dans une réaction avec l'oxygène (O2), on peut utiliser les coefficients stœchiométriques pour déterminer la quantité de dioxyde de carbone (CO2) et d'eau (H2O) produite :

CH4 + 2O2 → CO2 + 2H2O

Un mole de méthane réagit avec deux moles d'oxygène pour former un mole de dioxyde de carbone et deux moles d'eau. Si on connaît la quantité de méthane en moles, on peut utiliser les coefficients stœchiométriques pour calculer la quantité de dioxyde de carbone et d'eau produite en moles :

n(CO2) = n(CH4) × (1 mol CO2 / 1 mol CH4) = n(CH4)
n(H2O) = n(CH4) × (2 mol H2O / 1 mol CH4) = 2 × n(CH4)

On peut aussi utiliser les coefficients stœchiométriques pour déterminer la quantité de réactifs consommée ou de produits formée en fonction de la quantité d'un autre réactif ou produit. Par exemple, si on connaît la quantité de dioxyde de carbone (CO2) produite dans une réaction avec le méthane (CH4), on peut utiliser les coefficients stœchiométriques pour déterminer la quantité de méthane consommée :

CH4 + 2O2 → CO2 + 2H2O

Un mole de méthane réagit avec un mole de dioxyde de carbone pour former deux moles d'eau. Si on connaît la quantité de dioxyde de carbone en moles, on peut utiliser les coefficients stœchiométriques pour calculer la quantité de méthane consommée en moles :

n(CH4) = n(CO2) × (1 mol CH4 / 1 mol CO2) = n(CO2)

Les coefficients stœchiométriques peuvent aussi être utilisés pour déterminer la composition d'un mélange gazeux ou la quantité de réactifs nécessaire pour une réaction donnée. Par exemple, si on connaît la quantité de méthane (CH4) et de dioxygène (O2) dans un mélange gazeux, on peut utiliser les coefficients stœchiométriques pour déterminer la quantité de dioxyde de carbone (CO2) et d'eau (H2O) formée lors de la combustion du méthane :

CH4 + 2O2 → CO2 + 2H2O

Un mole de méthane réagit avec deux moles de dioxygène pour former une mole de dioxyde de carbone et deux moles d'eau. Si on connaît la quantité de méthane en moles, on peut utiliser les coefficients stœchiométriques pour calculer la quantité de dioxygène consommée et de dioxyde de carbone et d'eau formées en moles :

n(O2) = n(CH4) × (2 mol O2 / 1 mol CH4) = 2 n(CH4)
n(CO2) = n(CH4) × (1 mol CO2 /

Les carbon-carbon lyases sont des enzymes qui catalysent la rupture d'une liaison carbone-carbone dans un substrat organique, généralement avec l'élimination d'un petit groupe moléculaire tel qu'un atome d'hydrogène ou un groupe hydroxyle. Ce processus est souvent associé à la création d'une double liaison carbone-carbone ou d'un cycle dans le produit de réaction.

Les carbon-carbon lyases jouent un rôle important dans diverses voies métaboliques, telles que la biosynthèse des acides aminés et des lipides, ainsi que dans la dégradation des glucides et des nucléotides. Elles peuvent également être impliquées dans la réponse de l'organisme aux stress oxydatifs et à d'autres facteurs environnementaux.

Les carbon-carbon lyases sont classées en fonction du type de réaction qu'elles catalysent, telles que les aldolases, les décarboxylases, les lyases thiamine-dépendantes, et ainsi de suite. Chacune de ces sous-catégories d'enzymes a des caractéristiques structurales et fonctionnelles uniques qui permettent de réaliser des réactions spécifiques dans le métabolisme cellulaire.

Il est important de noter que les carbon-carbon lyases peuvent être inhibées par certains médicaments ou composés chimiques, ce qui peut avoir des implications pour la régulation du métabolisme et la thérapie des maladies. Par conséquent, une compréhension détaillée de ces enzymes et de leur rôle dans les processus cellulaires est essentielle pour l'avancement de la recherche médicale et biologique.

Le carbone est un élément chimique non métallique qui se trouve naturellement dans la terre, l'air, l'eau et les déchets vivants. Il a le symbole chimique "C" et le numéro atomique 6. Le carbone est l'élément de base de tous les composés organiques et peut exister sous diverses formes allotropiques, telles que le graphite, le diamant et le fullerène.

Dans le corps humain, le carbone est un élément essentiel qui fait partie des molécules organiques importantes, telles que les glucides, les lipides, les protéines et l'acide nucléique. Il est également présent dans l'atmosphère sous forme de dioxyde de carbone (CO2), qui est un produit de déchet du métabolisme énergétique et joue un rôle important dans le maintien de l'équilibre acido-basique de l'organisme.

Les désordres liés au carbone peuvent inclure des troubles métaboliques, tels que l'acidose et l'alcalose, qui sont causées par des perturbations dans le métabolisme du carbone et des composés organiques associés. Les intoxications au monoxyde de carbone (CO), un gaz incolore, inodore et toxique, peuvent également survenir en cas d'exposition à des niveaux élevés de ce gaz, qui se forme lorsque les combustibles fossiles sont brûlés incomplètement.

Peptidylprolyl isomerase (PPI) est une enzyme qui facilite le réarrangement conformationnel des liaisons peptidiques impliquant une proline. Cette enzyme joue un rôle crucial dans la régulation de la structure et de la fonction des protéines, en particulier dans le processus d'assemblage des protéines et leur pliement correct. Il existe plusieurs isoformes de PPI, dont certaines sont associées à des maladies telles que la sclérose systémique et le cancer. L'inhibition de l'activité de ces enzymes est considérée comme une stratégie thérapeutique potentielle pour traiter ces maladies.

Les amino-acide isomérases sont des enzymes qui catalysent la conversion d'un résidu d'acide aminé spécifique d'une configuration stéréochimique à une autre dans une protéine ou un peptide. Ces enzymes jouent un rôle important dans la régulation de divers processus cellulaires, tels que le repliement des protéines et la dégradation des protéines.

Les amino-acide isomérases peuvent être classées en fonction du type d'isomérisation qu'elles catalysent. Par exemple, les racémases sont des amino-acide isomérases qui catalysent la conversion d'un acide aminé L (la forme naturellement présente dans les protéines) en sa forme D (une forme non naturelle mais qui peut être présente dans certaines bactéries et dans les parois cellulaires).

Les épimérases sont des amino-acide isomérases qui catalysent la conversion d'un acide aminé à un autre en modifiant le groupe hydroxyle (-OH) sur le carbone asymétrique adjacent au groupe carboxyle (-COOH).

Les amino-acide isomérases sont importantes pour maintenir l'homéostasie cellulaire et peuvent être ciblées dans le développement de thérapies pour traiter diverses maladies, telles que les maladies neurodégénératives et les infections bactériennes.

Je suis désolé, mais il y a une certaine confusion dans votre question. Le terme "Palladium" est un élément chimique (avec le symbole Pd et le numéro atomique 46) utilisé dans divers domaines, y compris la joaillerie et l'industrie électronique. Il n'y a pas de définition médicale associée à l'élément Palladium. S'il s'agit d'une erreur et que vous souhaitez connaître une définition médicale, pourriez-vous svp préciser le terme ou clarifier votre question ? Je suis prêt à vous fournir l'information dont vous avez besoin.

En termes médicaux, la structure moléculaire fait référence à l'arrangement spécifique et organisé des atomes au sein d'une molécule. Cette structure est déterminée par les types de atomes présents, le nombre d'atomes de chaque type, et les liaisons chimiques qui maintiennent ces atomes ensemble. La structure moléculaire joue un rôle crucial dans la compréhension des propriétés chimiques et physiques d'une molécule, y compris sa réactivité, sa forme et sa fonction dans le contexte biologique. Des techniques telles que la spectroscopie, la diffraction des rayons X et la modélisation informatique sont souvent utilisées pour déterminer et visualiser la structure moléculaire.

En termes médicaux, la catalyse fait référence à l'accélération d'une réaction chimique spécifique dans un milieu biologique, grâce à la présence d'une substance appelée catalyseur. Dans le contexte du métabolisme cellulaire, ces catalyseurs sont généralement des enzymes protéiques qui abaissent l'énergie d'activation nécessaire pour initier et maintenir ces réactions chimiques vitales à une vitesse appropriée.

Les catalyseurs fonctionnent en augmentant la vitesse à laquelle les molécules réactives entrent en contact les unes avec les autres, ce qui facilite la formation de liaisons chimiques et la décomposition des composés. Il est important de noter que les catalyseurs ne sont pas eux-mêmes consommés dans le processus; ils peuvent être réutilisés pour accélérer plusieurs cycles de réactions identiques.

Dans certains cas, des molécules non protéiques peuvent également servir de catalyseurs dans les systèmes biologiques, comme les ions métalliques ou les cofacteurs organiques qui aident certaines enzymes à fonctionner efficacement. Ces cofacteurs sont souvent essentiels pour maintenir la structure tridimensionnelle des protéines et faciliter l'orientation correcte des substrats pour une réaction catalytique optimale.

En résumé, la catalyse est un processus crucial dans le métabolisme cellulaire, permettant aux organismes vivants de réguler et d'accélérer diverses réactions chimiques indispensables à leur survie et à leur fonctionnement normal.

En chimie et en pharmacologie, un stéréoisomère est un type particulier d'isomère structural où les molécules ont la même formule atomique et la même séquence d'atomes connectés (c'est-à-dire le même empilement), mais diffèrent dans la façon dont ces atomes sont spatialement disposés.

Les stéréoisomères peuvent être divisés en deux grands groupes : les énantiomères et les diastéréoisomères. Les énantiomères sont des paires de molécules qui sont images miroir l'une de l'autre, analogues aux deux mains humaines. Ils ont la même formule chimique et la même séquence d'atomes, mais diffèrent dans la configuration spatiale des atomes ou groupes d'atomes autour d'un ou plusieurs carbones asymétriques (appelés centres stéréogènes). Les énantiomères peuvent avoir des propriétés physiques différentes, telles que l'activité optique, mais présentent généralement des différences plus prononcées dans leurs interactions avec d'autres molécules chirales, telles que les enzymes et les récepteurs biologiques.

Les diastéréoisomères sont des stéréoisomères qui ne sont pas des énantiomères l'un de l'autre. Ils peuvent différer dans la configuration spatiale autour de plusieurs centres stéréogènes et présenter souvent des propriétés physiques et chimiques différentes, y compris des activités biologiques distinctes.

Comprendre les relations stéréochimiques entre les molécules est crucial en médecine et en pharmacologie, car de nombreux médicaments et substances bioactives présentent une activité biologique spécifique qui dépend fortement de leur configuration spatiale. Par exemple, un énantiomère d'un médicament peut être actif et l'autre inactif ou même toxique. Par conséquent, il est essentiel de caractériser et de synthétiser des formes stéréochimiquement pures de ces composés pour garantir leur efficacité et leur sécurité thérapeutiques.

Les cétones sont des composés organiques produits par l'organisme lorsqu'il dégrade les graisses pour obtenir de l'énergie, principalement dans des conditions où il y a un manque de glucose disponible. Les trois types principaux de cétones sont l'acétone, l'acide acétoacétique et l'acide bêta-hydroxybutyrique.

Dans des circonstances normales, le taux de cétones dans le sang est très faible, car les glucides sont la principale source d'énergie pour la plupart des cellules du corps. Cependant, lorsque l'apport en glucides est limité, par exemple pendant un jeûne prolongé ou un régime cétogène, le foie commence à décomposer les graisses en molécules de glycérol et d'acides gras. Les acides gras sont ensuite convertis en cétones dans le foie, qui peuvent être utilisées comme source d'énergie alternative par le cerveau et d'autres tissus.

Un excès de cétones dans le sang peut entraîner une acidose métabolique, une condition caractérisée par une accumulation excessive d'acides dans le sang. Cela peut se produire chez les personnes atteintes de diabète sucré non traité ou insuffisamment contrôlé, en particulier pendant une hyperglycémie prolongée, où l'insuline est déficiente et ne peut pas réguler correctement le métabolisme des glucides et des graisses.

L'acidose métabolique due aux cétones peut entraîner des symptômes tels que nausées, vomissements, douleurs abdominales, fatigue, confusion, respiration rapide et profonde (respiration de Kussmaul), et dans les cas graves, coma et décès. Le traitement de l'acidose métabolique due aux cétones implique généralement une hospitalisation pour recevoir des fluides intraveineux, des électrolytes et de l'insuline pour rétablir l'équilibre acido-basique du sang.

En chimie médicale, la cyclisation est un processus au cours duquel un composé organique linéaire ou ouvert réagit pour former un cycle ou un système annelé. Dans ce contexte, les molécules sont réorganisées pour former un anneau de chaînes carbonées, souvent dans le but de créer des structures aromatiques ou hétérocycliques qui peuvent avoir une activité biologique intéressante. Ces composés cycliques peuvent être utiles comme médicaments ou précurseurs de médicaments, car ils peuvent interagir sélectivement avec des sites spécifiques sur les protéines cibles, ce qui peut entraîner une variété d'effets pharmacologiques. La cyclisation est souvent catalysée par des acides ou des bases et peut impliquer des réactions telles que l'alkylation, la condensation ou l'addition électrophile/nucléophile.

Les carbohydrate epimerases sont un type d'enzymes qui catalysent la conversion d'un épimère d'un sucre en un autre épimère du même sucre. Les épimères sont des oses (sucres) qui ne diffèrent que par la configuration de l'un de leurs groupements hydroxyles (-OH).

Les carbohydrate epimerases jouent un rôle important dans la biosynthèse de divers oligosaccharides et polysaccharides, tels que les glycoprotéines et les glycolipides. Ces enzymes peuvent modifier la configuration des groupements hydroxyles sur le carbohydrate, ce qui peut affecter la fonction et l'activité de la molécule.

Les carbohydrate epimerases sont classées en fonction du type de sucre qu'elles agissent, comme les épimerases de glucose, les épimerases de galactose, et ainsi de suite. Elles peuvent également être classées en fonction du mécanisme d'action, comme les épimerases à transfert de groupe ou les épimerases réductives.

Les carbohydrate epimerases sont importantes dans divers processus biologiques, tels que la reconnaissance cellulaire, l'inflammation et l'immunité, et ont été étudiées comme cibles thérapeutiques potentielles pour le traitement de certaines maladies.

La définition médicale de "Chemistry Techniques, Synthetic" fait référence aux méthodes et procédures utilisées en chimie synthétique pour créer des composés chimiques ou des molécules organiques et inorganiques à partir de matières premières et de réactifs spécifiques.

La chimie synthétique est une branche importante de la chimie qui se concentre sur la conception et la synthèse de nouveaux composés chimiques, y compris des médicaments, des matériaux avancés et des colorants. Les techniques de chimie synthétique impliquent généralement une série d'étapes réactionnelles contrôlées pour construire des molécules complexes à partir de précurseurs plus simples.

Les méthodes de synthèse peuvent inclure des réactions telles que les réactions d'addition, de substitution, de condensation et d'élimination, ainsi que des techniques avancées telles que la catalyse hétérogène et homogène, la chimie organométallique et la synthèse asymétrique.

Les techniques de chimie synthétique sont largement utilisées dans l'industrie pharmaceutique pour produire des médicaments et des candidats-médicaments, ainsi que dans d'autres domaines tels que les matériaux avancés, la nanotechnologie et la science des polymères.

En médecine, les techniques de chimie synthétique sont utilisées pour produire des molécules thérapeutiques telles que des médicaments antiviraux, des agents chimiothérapeutiques et des inhibiteurs enzymatiques. Ces molécules peuvent être conçues pour interagir spécifiquement avec des cibles biologiques telles que des protéines ou des acides nucléiques, ce qui permet de moduler leur activité et de traiter les maladies.

Dans l'ensemble, les techniques de chimie synthétique sont un outil essentiel pour la découverte et le développement de nouveaux médicaments et matériaux, ainsi que pour la compréhension des mécanismes biologiques sous-jacents aux maladies.

Les protéines disulfure-isomérases (PDI) sont une famille d'enzymes qui se trouvent principalement dans le réticulum endoplasmique des cellules eucaryotes. Elles jouent un rôle crucial dans la maturation et la qualité control des protéines en catalysant les réarrangements des liaisons disulfure entre les résidus de cystéine dans les chaînes polypeptiques. Ce processus permet aux protéines de se plier correctement et d'acquérir leur structure tridimensionnelle fonctionnelle.

Les PDI sont également connues pour aider à l'assemblage des complexes multimériques de protéines, au transport des protéines à travers la membrane du réticulum endoplasmique et à la dégradation des protéines mal foldées. Elles peuvent aussi agir comme chaperons moléculaires en aidant les protéines à se plier correctement et à éviter l'agrégation.

Les PDI sont composées de plusieurs domaines protéiques, dont certains contiennent des sites actifs contenant du zinc qui catalysent les réactions d'isomérisation des liaisons disulfure. Les membres de la famille PDI ont une grande diversité de fonctions et peuvent être impliqués dans divers processus cellulaires, tels que le stress oxydatif, l'apoptose et la réponse immunitaire.

Les phosphines sont un type d'organophosphates où un atome de phosphore a trois groupes organiques et un atome d'hydrogène attachés. Dans le contexte de la chimie médicale, les phosphines peuvent être utilisées comme ligands dans la thérapie du cancer par métaux de transition, où elles se lient à des métaux de transition pour former des complexes qui peuvent interférer avec la signalisation cellulaire et donc inhiber la croissance tumorale. Cependant, les phosphines sont également toxiques et doivent être utilisées avec prudence.

Les isomérases stéroïdes sont des enzymes qui catalysent la conversion d'un stéroïde en un autre en réarrangeant les atomes d'une molécule sans ajouter ou soustraire aucun atome. Ces enzymes jouent un rôle crucial dans la biosynthèse et la dégradation des stéroïdes, tels que les hormones stéroïdiennes et les vitamines D.

Les isomérases stéroïdes peuvent agir en interconvertissant différents isomères de stéroïdes, tels que les isomères géométriques ou positionnels des groupes fonctionnels. Par exemple, l'isomérase 3-bêta-hydroxystéroïde est une enzyme qui catalyse la conversion de la déhydroépiandrostérone (DHEA) en androstènedione, un précurseur important des hormones stéroïdiennes sexuelles.

Ces enzymes sont essentielles pour maintenir l'homéostasie des stéroïdes dans l'organisme et sont donc étroitement régulées au niveau de l'expression génique et de l'activité enzymatique. Les anomalies dans les isomérases stéroïdiennes peuvent entraîner diverses maladies, telles que des troubles du développement sexuel et des désordres métaboliques.

La chimie bio-minérale est une branche spécialisée de la science qui étudie les processus chimiques et biologiques impliqués dans la formation, la croissance, et l'interaction des structures minérales dans les organismes vivants. Elle se concentre sur la manière dont les êtres vivants utilisent et régulent les minéraux pour assurer leur survie et leur développement.

Les processus bio-minéraux sont essentiels à de nombreuses fonctions vitales, telles que la construction des os et des dents, le maintien de l'équilibre électrolytique, la régulation du pH sanguin, et la transmission des impulsions nerveuses. Les minéraux les plus couramment étudiés dans ce contexte comprennent le calcium, le phosphore, le magnésium, le sodium, le potassium, et le fluorure.

La chimie bio-minérale est une discipline interdisciplinaire qui combine des concepts et des techniques provenant de la chimie, de la physique, de la biologie, et de la médecine pour comprendre les processus complexes qui sous-tendent la vie. Elle a des applications importantes dans divers domaines, tels que la médecine, la dentisterie, l'ingénierie tissulaire, et la nanotechnologie.

En résumé, la chimie bio-minérale est une discipline scientifique qui étudie les processus chimiques et biologiques impliqués dans la formation, la croissance, et l'interaction des structures minérales dans les organismes vivants, avec des applications importantes dans divers domaines de la médecine et de la biologie.

Les composés du soufre sont des substances chimiques qui contiennent l'élément soufre (Symbole S, numéro atomique 16) dans leur structure moléculaire. Le soufre est un non-métal qui se produit naturellement et est présent dans de nombreuses protéines et acides aminés dans les organismes vivants.

Dans le contexte médical, certains composés du soufre ont des propriétés thérapeutiques et sont utilisés comme médicaments. Par exemple, l'acétylsalicylate de diméthyle, qui contient deux groupes méthyle liés à un atome de soufre, est utilisé comme anti-inflammatoire et analgésique. L'acide thioctique, également connu sous le nom d'acide alpha-lipoïque, est un antioxydant qui contient du soufre et est utilisé pour traiter les neuropathies diabétiques.

Cependant, certains composés du soufre peuvent également être toxiques ou avoir des effets indésirables sur la santé. Par exemple, l'hydrogène sulfuré (H2S) est un gaz toxique qui peut causer des dommages aux poumons et au cerveau à fortes concentrations. Le dioxyde de soufre (SO2) est également nocif pour la santé et peut irriter les yeux, le nez et la gorge, ainsi que causer des problèmes respiratoires.

En général, les composés du soufre ont une grande variété d'applications dans le domaine médical, allant de l'utilisation comme médicaments à la toxicité potentielle en fonction de leur forme et de leur concentration.

Les cyclophilines sont des protéines qui possèdent une activité peptidyl-prolyl cis-trans isomérase (PPIase). Cette activité enzymatique leur permet d'accélérer le repliement et l'assemblage des protéines en catalysant la conversion des liaisons peptidiques proline-iminées de la configuration trans à la configuration cis. Les cyclophilines sont largement distribuées dans les tissus vivants et jouent un rôle important dans la régulation de divers processus cellulaires, y compris la réponse immunitaire, l'apoptose et le stress oxydatif.

L'une des cyclophilines les plus étudiées est la cyclophiline A (CyPA), qui se lie spécifiquement au médicament immunosuppresseur cyclosporine A (CsA). Ce complexe inhibe la phosphatase calcineurine, ce qui empêche la déphosphorylation et l'activation de la protéine nucléaire NF-AT, entraînant ainsi une suppression de la réponse immune. Les cyclophilines sont donc des cibles thérapeutiques importantes dans le traitement de diverses maladies, telles que les maladies auto-immunes et les greffes d'organes.

Le bore est un élément chimique qui a le symbole "B" et le numéro atomique 5 sur la table périodique. Il ne se trouve pas naturellement dans sa forme pure, mais comme un composant d'autres minéraux. Le bore est souvent utilisé dans l'industrie pour fabriquer des matériaux tels que le verre de borosilicate et des détergents à lessive.

Dans le contexte médical, le bore peut être mentionné en relation avec certains types d'implants médicaux, tels que les implants mammaires en silicone. Certains implants mammaires peuvent contenir du borosilicate de lithium, qui est un composé du bore utilisé dans la fabrication des implants en raison de sa résistance et de sa stabilité.

Cependant, il convient de noter que l'exposition à des niveaux élevés de bore peut être toxique pour le corps humain. Des études ont suggéré qu'une exposition excessive au bore pourrait avoir des effets néfastes sur la santé, tels que des dommages aux reins et au système nerveux central. Cependant, l'exposition alimentaire normale au bore est considérée comme sûre et bénéfique pour la santé humaine à des niveaux modérés.

Je suis désolé, mais la terme "alcadiène" ne semble pas être un terme médical reconnu. Il est possible qu'il s'agisse d'une erreur de frappe ou d'un terme mal orthographié. Veuillez vérifier l'orthographe et me fournir plus de détails si vous faites référence à un concept ou à une substance spécifique dans le domaine médical. Je suis là pour vous aider !

La dodecenoyl-CoA isomérase est une enzyme (EC 5.3.3.12) qui catalyse la réaction chimique suivante :

dodec-2-enoyl-CoA => dodec-3-enoyl-CoA

Cette enzyme participe au métabolisme des acides gras et est responsable de l'isomérisation des liaisons doubles dans les acides gras à longue chaîne. Plus précisément, elle catalyse la conversion d'un intermédiaire de β,ω-oxydation, le dodec-2-enoyl-CoA, en dodec-3-enoyl-CoA. Cette réaction est importante pour permettre à l'organisme de continuer à dégrader les acides gras à longue chaîne par β-oxydation.

La dodecenoyl-CoA isomérase est une protéine membranaire intégrale qui se trouve dans la membrane mitochondriale interne. Elle est codée par le gène ECH1 chez l'homme et est exprimée de manière ubiquitaire dans les tissus, bien qu'elle soit particulièrement importante dans les tissus à forte demande énergétique, comme le cœur et le muscle squelettique.

Les mutations du gène ECH1 peuvent entraîner des maladies métaboliques héréditaires, telles que la dystrophie musculaire liée à l'acide gras saturé (SCHAD) et la déficience en 2,4-dienoyl-CoA réductase. Ces maladies sont caractérisées par une accumulation de produits intermédiaires toxiques dans les mitochondries, ce qui peut entraîner des dommages cellulaires et des symptômes cliniques tels que la faiblesse musculaire, l'hypotonie, le retard de développement et l'insuffisance cardiaque.

Carbon-carbon double bond isomerases [D08.811.399.475.400] Carbon-carbon double bond isomerases ... The enzyme is stereospecific with regards to how cis and trans double bonds are metabolized. It is complemented by PEROXISOMAL ...

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