Rétrécissement du calibre des bronches, physiologiquement soit suite à intervention pharmacologique.
D ’ asthme, après une période d'exercice. Généralement transitoires et n ’ induit attaque est régresse spontanément. L ’ ampleur des postexertional une obstruction des voies aériennes est fortement influencé par l ’ environnement dans lequel l'exercice est effectué (c 'est-à-dire inhalation d'air froid pendant un effort physique nettement accroît la sévérité de l' inverse, une obstruction des voies aériennes, chaud air humide blunts ou supprime).
Torticolis contraction du muscle lisse des bronches.
Agents entraînant un rétrécissement de la lumière de un bronches ou bronchiole.
Physiologiquement, l'opposition à arrivée d'air provoquée par les forces de friction. Comme une partie de la fonction pulmonaire réalisés, c'est le ratio de conduire une pression à la vitesse de circulation d'air.
Un agent d'ammonium quaternaire muscariniques parasympathomimetic avec les actions de l ’ acétylcholine. C'est hydrolysé par l ’ acétylcholinestérase à un rythme plus lent que l ’ acétylcholine et sont plus résistants à l ’ hydrolyse par vague CHOLINESTERASES pour que ses actions sont plus prolongée. Il est utilisé comme agent bronchoconstrictor parasympathomimetic et comme un diagnostic de l'aide pour un asthme bronchique. (De Martindale, supplémentaires 30 Pharmacopée ", Ed, p1116)
Inhalation de tests impliquant allergènes (en nébulisation ou dans la poussière en nébulisation), des solutions pharmacologiquement actif (par exemple, l ’ histamine, méthacholine), ou contrôler les solutions, suivie d ’ évaluation de la fonction respiratoire. Ces tests sont utilisés dans le diagnostic d'asthme.
Les grandes voies aériennes pulmonaire résultant de la bifurcation terminale des du cœur, y compris la plus grande deux bronches primaires qui étendrait dans secondaires et tertiaires bronches, ce qui s'étendent dans les bronches bronches et alvéoles pulmonaires.
Une forme de trouble bronchique avec trois distinct composant : Voies respiratoires (hyper-responsiveness HYPERSENSITIVITY respiratoire), l ’ inflammation et des voies aériennes respiratoires intermittente OBSTRUCTION. C'est caractérisé par torticolis contraction des muscles lisses des voies aériennes, te permet de et dyspnée (dyspnée paroxystique).
Une amine enzymatique calculé par la décarboxylation de l ’ histidine. C'est un puissant stimulant de la sécrétion gastrique constricteur des muscles lisses des bronches, un vasodilatateur action centrale, et aussi un neurotransmetteur.
Un complexe chromone qui agit en inhibant la libération de médiateurs chimiques de sensible mastocytes. C'est utilisé dans le traitement prophylactique des deux allergique et asthme durant l'effort, mais ne modifie pas une crise d'asthme.
Mesure de la quantité maximale d ’ air pourra être déversé dans une même nombre de secondes pendant un forcé VITAL capacité détermination. C'est généralement administré sous FEV suivi par un subscript indiquant le nombre de secondes sur laquelle la mesure est accomplis, même si c'est parfois vu comme un pourcentage de capacité vitale forcée.
L'administration de médicaments par la voie respiratoire englobant insufflation dans les voies respiratoires.
Des produits pouvant provoquer une augmentation de la dilatation des bronches ou un bronches.
Un nom commun utilisé pour le genre Cavia. Le plus fréquent espèce est Cavia porcellus qui est le domestiqué cobaye utilisé pour les animaux et des recherches biomédicales.
Colloïdes avec une phase disperse gazeux et soit liquide (brouillard) ou solide (fumée) dispersés phase ; utilisé en fumigation ou en inhalation ; peut contenir combustible agents.
Tendance du muscle lisse du contrat de l'arbre trachéobronchique ont de plus intensément en réponse à un stimulus donné que dans la réponse observée chez les sujets normaux. Cet état est présent dans presque tous les patients symptomatiques avec de l'asthme. Le plus éminent les manifestations de cette contraction des muscles lisses est une diminution des voies respiratoires calibre qui peut être facilement mesuré dans le laboratoire de la fonction pulmonaire.
Un groupe des composés qui sont des dérivés du beta-methylacetylcholine (méthacholine).
La capacité des poumons de distend pulmonaire sous pression mesurée par volume par unité changement de pression. Sans une description complète du pressure-volume pharmacodynamiques du poumon, c'est néanmoins utile en pratique, par mesure de la raideur comparative du poumon. (Chez Best & Taylor est Physiological Base de Medical Practice, 12e Ed, p562)
Une courte durée d ’ agonistes bêta-2 adrénergiques c'est principalement utilisé comme agent pour traiter un bronchodilatateur asthme. Albutérol soit préparée comme un mélange racémique de R (-) et S (+) Des stéréo-isomères. Le stéréospécifique, préparation d ’ isomère R (-) de l'Albuterol est dénommé levalbuterol.
Un antagoniste muscariniques structurellement apparenté à l'atropine mais souvent considérée plus sûr et efficace par voie inhalée. Il est utilisé pour différents troubles bronchique, rhinite, et en tant qu'anti-arythmie.
Un dérivé pyranoquinolone qui inhibe l'activation des cellules inflammatoires qui sont associés à asthme, y compris éosinophiles, polynucléaires neutrophiles, macrophages mastocytes, monocytes et plaquettes.
La classe des récepteurs de surface pour tachykinins qui préfère neurokinine A ; (NKA, substance K, neurokinine alpha, neuromedin L), neuropeptide K ; (NPK) ; ou neuropeptide gamma sur les autres tachykinins. Neurokinin-2 (NK-2) ont été clonés et sont similaires aux autres récepteurs couplés G-protein.
Un neuropeptide de mammifères de 10 acides aminés qui appartient à la famille des tachykinines. C'est de structure similaire et l'action se ACTIVE P neurokinine B et avec la capacité de neurones exciter, dilater les vaisseaux sanguins, et se contracter les muscles lisses, comme les bronches.
Un groupe de les leucotriènes sulfidopeptidiques ou cystéinyl-leucotriènes (LTC4, LTD4, LTE4) ; et c'est le principal médiateur de la bronchoconstriction ; HYPERSENSITIVITY ; et autres réactions allergiques. D ’ études antérieures décrit une "substance slow-reacting d'anaphylaxie" libéré de poumon par le venin de cobra ou après un choc anaphylactique. La relation entre Srsa leucotriènes a été établie à UV qui montrait la présence du conjugué triene Index de Merck. (Éditeur) 11
Plus de la paire d'organes occupant la cavité du thorax cet effet l'aération du sang.
Le tube et cartilagineux membraneuse descendant du larynx et se ramifient droite et gauche bronches.
La drogue qui se lient à mais ne pas activer les récepteurs histaminiques, bloquant ainsi les actions de l ’ histamine ou histaminiques. Classique agonistes antihistaminiques bloquer la les récepteurs histaminiques H1.
Une réaction d'hypersensibilité aiguë due à l ’ exposition à un antigène déjà rencontré. Cette réaction peut inclure urticaire progressant rapidement, détresse respiratoire, un arrêt vasculaire, choc systémique et la mort.
Le 10e nerf cranien le nerf vague est à double culot qui contient Afferents somatique (de peau derrière l'oreille et du méat auditif), fibres Afférentes Viscérales (du pharynx, larynx, thorax et abdomen), (efferents parasympathique au thorax et abdomen), et pour le muscle strié efferents (du larynx et le pharYnx).
Un taux de ventilation pulmonaire métaboliquement plus vite que est nécessaire pour l'échange de gaz. C'est le résultat d'une augmentation de l ’ incidence de troubles respiratoires, une augmentation du volume courant, ou une association des deux. Elle entraîne un excès d ’ oxygène et le souffle de dioxyde de carbone.
Un biologiquement Srsa ce principe actif est formé à partir du leucotriène D4 dipeptidylpeptidase via une réaction qui retire les glycine résidus. Les effets biologiques de LTE4 sont similaires à LTC4, LTD4. (De Dictionary of Prostaglandins et Avis de la, Composés, 1990)
La mesure du volume de gaz dans les poumons, y compris ce qui est coincé dans l'espace aérien communiquer. Il est particulièrement de pathologie pulmonaire chronique obstructive et l ’ emphysème. (Segen, Dictionary of Modern Medicine, 1992)
Les maladies des bronches sont des affections médicales qui affectent le système respiratoire inférieur, en particulier les tubes conducteurs des poumons (bronches), entraînant une inflammation, un rétrécissement, une obstruction ou une infection.
Un genre de nématodes du superfamille ASCARIDOIDEA dont les espèces généralement habiter l'intestin.
Une drogue bloquant nondepolarizing synthétique. Les actions de gallamine Gallamine sont similaires à celles de tubocurarine, mais cet agent bloque les vagus cardiaque et peut entraîner de tachycardie sinusale et parfois, hypertension et augmentation du débit cardiaque. Il doit être utilisé avec prudence chez les patients à risque d'augmentation du rythme cardiaque mais peut être à préférer chez les patients présentant une bradycardie. (De AMA Drug Évaluations Annual, 1992, p198)
Un antagoniste H1 utilisé dans des réactions allergiques, le rhume des foins, rhinite, urticaire et asthme, ça a également été utilisé dans les applications vétérinaire, l'un des plus largement utilisé du classique antihistaminiques, ça cause généralement moins somnolence et sédation que Prométhazine.
Une classe de médicaments visant à prévenir ou l'activité en bloquant les leucotriènes contraignantes au niveau des récepteurs.
Un des principes de biologiquement active Srsa. C'est générée par leucotriène C4 après hydrolyse partielle du peptide, c 'est-à-dire, le clivage de ces gamma-glutamyl portion. Ses effets biologiques incluent la stimulation de muscles lisses vasculaires et non vasculaires, et augmentation de la perméabilité vasculaire. (De Dictionary of Prostaglandins et Avis de la, Composés, 1990)
Un alcaloïde, originaire de Atropa Belladonna, mais constaté dans d'autres plantes, principalement Solanaceae. Hyoscyamine est le 3 ’ isomère (S) -endo d'atropine.
D'un sous-type spécifique des récepteurs muscariniques trouvé dans le bas du cerveau, et dans le coeur tendre MUSCLE-containing organes. Bien que dans le muscle lisse la M2 des récepteurs muscariniques ne semble pas être impliqué dans les réponses contraction.
Une méthode d'étudier une drogue ou procédure dans laquelle les deux nos sujets et les enquêteurs sont gardés inconscient de ce qui en fait, ça devient qui un traitement spécifique.
Un antagoniste de l ’ histamine H1 utilisé comme l'hydrogène disoproxil dans le rhume des foins, rhinite, conditions allergiques cutanées et prurit. Ça cause des étourdissements.
Un agonistes bêta-2 adrénergiques sélectifs utilisé comme un bronchodilatateur et tocolytique.
Des dosages différents processus pratiquant l'acte de respiration : Inspiration, expiration, l'oxygène et du dioxyde de carbone échange, volume pulmonaire et le respect, etc.
Trouvé dans un alkylamide capsicum agissant à canaux CHANNELS des cations.
Une albumine obtenu du blanc d'œufs. Il est membre des superfamille Serpin.
Le volume total de gaz inspiré périmé par unité de mesure en temps, habituellement litres par minute.
Unstriped Unstriated et du muscle, une des muscles de les organes internes, les vaisseaux sanguins, follicules pileux, etc. vacuole éléments récents sont allongés, généralement spindle-shaped cellules avec situé noyaux. Lisse fibres musculaires sont unis en feuilles ou de lots par fibres réticulaires et fréquemment élastique filets sont aussi abondant. (De Stedman, 25e éditeur)
Études comparant deux ou plusieurs traitements ou interventions dans lequel le sujets ou patients, après la fin de l'espace d'un traitement, sont traités par une autre. Dans le cas de deux traitements, A et B, la moitié des sujets sont répartis au hasard dans l'ordre à recevoir ces A, B et la moitié pour les recevoir dans l'ordre B, A. Un critique de ce projet est que les effets du premier traitement peut soutenir dans les règles quand le second est administré. (Hier, un dictionnaire d'épidémiologie, 2d éditeur)
Les médicaments qui sont utilisés pour traiter l'asthme.
Une famille de peptides biologiquement active partager un vulgaire conservé propeptide C-terminal séquence, -Phe-X-Gly-Leu-Met-NH2, où X est soit un aromatique ou un acide aminé ramifiés aliphatiques. Les membres de cette famille ont été trouvés dans les mammifères, amphibiens, et les mollusques. Tachykinines avons de nombreuses actions pharmacologiques et le système nerveux central, respiratoire, cardiovasculaire, urogénital et les systèmes gastro-intestinal, ainsi que dans les tissus glandulaires. Cette diversité d'activité est dû à l'existence de trois ou plus des tachykinines sous-types de récepteurs.
Médicaments qui se lie sélectivement mais ne pas activer les récepteurs histaminiques H1, bloquant ainsi l ’ action d ’ histamine endogène. Inclus ici sont les antihistaminiques classique que contrarier ou empêcher l'action de l ’ histamine principalement dans d ’ hypersensibilité immédiates. Ils agissent dans les bronches, une autre capillaires, des muscles lisses, et sont utilisées pour prévenir ou dissiper le mal des transports, la rhinite saisonnière, et un eczéma allergique et un pour induire une somnolence. Les effets du blocage du système nerveux central H1 sont pas aussi bien compris.
Des sels inorganiques de sulfureuse acide.
Les quinoléines sont un type de composés hétérocycliques aromatiques, dont certains dérivés synthétiques, comme les fluoroquinolones, sont largement utilisés en médecine comme antibiotiques à large spectre contre diverses infections bactériennes.
Une famille de biologiquement actif composés dérivés de l ’ acide arachidonique par métabolisme oxydatif par la voie 5-lipoxygenase. Ils participent à hôte défense physiopathologiques et affections telles que réactions d ’ hypersensibilité immédiates) et une inflammation. Ils ont puissant actes sur de nombreux organes essentiels et les systèmes cardiovasculaire, y compris les, pulmonaires, et du système nerveux central ainsi que le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire.
Un dérivé du phospholipide formé par PLAQUETTES ; basophiles ; neutrophiles ; monocytes ; et les macrophages. C'est un puissant inducteur de l'agrégation plaquettaire agent et réactions anaphylactiques symptômes systémiques, notamment hypotension ; une thrombocytopénie ; NEUTROPENIA ; et bronchoconstriction.
Le dosage de la vitesse maximale de ventilation atteint lors d'une capacité VITAL forcé détermination. Fréquent abréviations sont PEFR et PFR.
Les protéines de surface cellulaire qui lient TACHYKININS avec une forte affinité et détente changements intracellulaire influencer le comportement de cellules. Trois catégories de récepteurs des tachykinines ont été décrites, le NK-1 ; NK-2 ; et NK-3 ; qui préfère ACTIVE respectivement ; P neurokinine A ; et neurokinine B.
L'interruption ou le retrait ou une partie du nerf vague) (10e nerfs crâniens. Vagotomie peut être pratiquée pour la recherche ou à des fins thérapeutiques.
Les organes et tubulaire caverneux et structures grâce auxquels ventilation pulmonaire et les échanges gazeux entre l 'air et le sang prennent forme.
Le dosage de volume d'air inhalé ou produit par le poumon.
Analogues et dérivés d'atropine.
Un obstacle au passage d'air entrant et sortant des poumons.
Un antagoniste sélectif histamine H1-receptor dépourvu d'activité dépresseur du système nerveux central. Le médicament est utilisé pour ALLERGY mais abandonné à cause d'causant syndrome du QT long.
Qui pourrait provoquer un liquide ou solide pour être convertis en un aérosol (Pulvérisation) ou une vapeur. Il est utilisé chez l ’ administration du traitement par inhalation, humidification de l 'air, et dans certains instruments analytique.
La relation entre la dose d'un drogue administrée et la réponse de l'organisme au produit.
Acides alcools contenant le Ethanolamine ; (-NH2CH2CHOH) et de ses dérivés.
Un mélange de composés alkylbenzyldimethylammonium. C'est un détergent utilisé par voie topique d'ammonium quaternaire bactéricide en médicaments, déodorant, bains De Bouche, en tant que chirurgien antisceptique, et comme conservateur et émulseur dans la drogue et les cosmétiques.
Antigen-type d ’ hypersensibilité immédiate (substances qui produisent HYPERSENSITIVITY, CONDITIONNEMENTS).
De doser la quantité d'air qui les poumons peut contenir à différents points dans le cycle respiratoire.
La drogue qui se lient à mais n'activons pas aux récepteurs cholinergiques, bloquant ainsi les actions de l ’ acétylcholine ou agonistes cholinergiques.
Une sous-catégorie des récepteurs muscariniques cholinergic-induced c'est un médiateur de contraction dans une variété de muscles futée.
Substances inhibant ou Neurokinin-1 bloquent l ’ activité de récepteurs.
Un nonapeptide messager qui est produite à partir de dosage enzymatiques KALLIDIN dans le sang où c'est un puissant mais passagère agent de arteriolar dilatation et une augmentation de la perméabilité Capillaire. La bradykinine est également libérée de mât pendant une crise d'asthme, des murs vider comme un vasodilatateur gastro-intestinale, de tissus abîmés signal comme une douleur et peut être un neurotransmetteur.
Une fille instable intermédiaires entre le prostaglandine, Endoperoxydes et thromboxane B2. Le produit a un bicyclic oxaneoxetane structure. C'est un inducteur puissant de l'agrégation plaquettaire et provoque une vasoconstriction. C'est la principale composante de lapin aorte contracter substance (BCR).
Un neurotransmetteur acide eleven-amino qui apparaît dans les systèmes nerveux central et périphérique. Elle est impliquée dans la transmission de douleur, provoque un rapide contractions du muscle lisse gastro-intestinale et inflammatoire et module les réponses immunitaires.
La physique ou action mécanique du diaphragme ; ; ; poumons côtes et poitrine mur pendant la respiration, l'ouragan, volume des poumons, réflexe neuronal et contrôle, mechanoreceptors, la respiration, etc.
Agents qui affaiblissent toux. Ils agissent de façon centralisée sur le centre. EXPECTORANTS la toux, aussi utilisé dans le traitement de la toux, agir localement.
Un antagoniste H1. Il a une légère anesthésie locale et des propriétés hypnotiques action et est utilisé pour les allergies (y compris éruptions cutanées) par voie parentérale et localement. C'est un élément commun de froid remèdes.
Réaction altéré à un antigène pouvant entraîner des réactions pathologique sur une exposition ultérieure à cet antigène.
L'acte de respirer avec les poumons, constitué de INHALATION, ou la prise dans les poumons de ce côté-ci du mur, et de soupir, ou le renvoyer de l'air modifié qui contient plus CARBON de titane que l'air recueilli (Blakiston est Gould Medical Dictionary, 4ème ed.). Sans compter la respiration (= tissu en oxygène CONSUMPTION) ou la respiration cellulaire (= cellule RESPIRATION).
Lessive liquide d'irrigation obtenus à partir du poumon, y compris les bronches et les alvéoles pulmonaires. Il est généralement utilisé pour évaluer biochimiques statut ou une infection inflammatoire du poumon.
Spirometric technique dans lequel la quantité de respiré l'air bien et le poumon gauche est enregistrés séparément.
L'acte de respirer.
Médicaments qui se lie sélectivement et active les récepteurs.
L'état de structure anatomique est être enveloppés au-delà du normal dimensions.
Le taux de ventilation mesurées durant une capacité VITAL forcé détermination.
Le volume d'air qui est produit par une durée maximale d'expiration après une inspiration.
Un antagoniste H1 utilisé comme antiémétique, pour dermatoses antitussif, et prurit, réactions d'hypersensibilité, comme une hypnose antiparkinsoniens, un, et comme ingrédient d'rhume préparatifs. Il a certains effets indésirables antimuscariniques et sédatif.
Le volume d'air dans les poumons à la fin d'un normal, discret et expiration. C'est la somme des des résidus d'activité et le volume expiratoire EN MATIÈRE VOLUME. Fréquent abréviation est FRC.
État caractérisé par une perte de sensibilité ou de sensation. Cette dépression de terminaisons nerveuses est suscitée... par action pharmacologique est déclenchée et performances afin d ’ opération chirurgicale ou autres douloureuses procédures.
Composés lie et active les récepteurs bêta-2 adrénergiques.
Employée antagoniste bêta-adrénergique non-cardioselective. Propranolol a été utilisé pour infarctus INFARCTION ; arythmie, angine de poitrine ; HYPERTENSION ; hyperthyroïdie ; MIGRAINE ; phéochromocytome ; et une grande mais indésirables instiller le remplacement par les médicaments plus récents.
Chlorure de sodium solution hypertonique. Une solution ayant une pression osmotique supérieure à celle de solution salée physiologique (0,9 g NaCl dans 100 ml eau purifiée).
Une série d'hydrocarbures contenant tant chlore et fluorine. Ces ont été utilisées comme agents, blowing refrigerants, fluides, solvants de nettoyage, et comme fire extinguishing agents. Ils ont entraîné l'ozone stratosphérique et ai été bannie à de nombreux usages.
Analogues ou dérivés de scopolamine.
Un neurotransmetteur trouvé sur jonctions neuromusculaires nerveux parasympathique Paraganglions effecteurs jonction, un sous-ensemble de la sympathie effecteurs jonction, et sur plusieurs sites dans le système nerveux central.
Une forme d ’ hypersensibilité survenant englobant les voies respiratoires, asthme, et la rhinite allergique, SEASONAL.
Des récepteurs qui lient les leucotriènes avec une forte affinité et détente changements intracellulaire influencer le comportement de cellules. Les sous-types de récepteurs aux leucotriènes ont été provisoirement nommé selon leurs affinités pour les leucotriènes endogène LTB4 ; LTC4, LTD4, LTE4.
Composés physiologiquement active, retrouvé dans de nombreux organes du corps. Elles naissent de la prostaglandine, Endoperoxydes in vivo et provoquer l ’ agrégation plaquettaire, contraction d'artères, et autres effets biologiques. Thromboxanes sont importants médiateurs d'acides gras Alcamides transformée par cyclooxygenase.
Un bloqueur cycloheptathiophene d'histamine H1 et la libération des médiateurs inflammatoires. A toujours été proposé pour le traitement de l ’ asthme, rhinite, des allergies cutanées et anaphylaxie.
D ’ agents inhibiteurs de l ’ activité du système nerveux parasympathique. Le groupe principal de drogues utilisées en thérapeutique à cette fin est la ANTAGONISTS muscariniques.
La sécrétion d ’ histamine de mastocytes Basophil et granulés par exocytose. Ça peut être initié par un certain nombre de facteurs, tous impliquant la fixation des IgE, les N- par antigène, au mât portable ou Basophil est récepteurs Fc. Une fois libérée, l ’ histamine se fixe à plusieurs récepteurs cellule cible et exerce une grande variété de secondaires.
Plus d'air qui peut être invalidé avec l'effort maximum au-delà du niveau atteint fin un normal, discret et expiration. Fréquent abréviation est Erv.
Une famille de hexahydropyridines.
La force par unité zone que l'air exerce sur une surface en contact avec lui. Surtout utilisé pour des articles relatifs à la pression de l ’ air dans un environnement fermé.
Difficile ou respiration laborieuse.
Une mesure de la quantité d'eau VAPOR dans l'air.
Une écurie prostaglandine endoperoxide analogique servant de thromboxane mimétisme. Ses actions comprennent imite les hydro-osmotic effet de la vasopressine et l ’ activation des TYPE C Phospholipases. (De J Pharmacol Exp père 1983 ; 224 (1) : 108-117 ; Biochem.Il J 1984 ; 222 103-110) (1) :
Un coup, audible expulsion d'air des poumons à travers un partiellement fermé la glotte précédés par inhalation. C'est une réponse immunitaire protectrice qui sert pour dégager la trachée, bronches, et / ou poumons de irritants et sécrétions vaginales, ou pour prévenir la ponction de matériaux étrangers dans les poumons.
Préparations injectables fait dans une veine ou expérimental thérapeutiques.
Un lent hydrolysé agoniste muscariniques sans effets. Nicotinique utilisé comme myotique pilocarpine et dans le traitement du glaucome.
L'acte de contraignant.
Un processus menant à et / ou de survenue de tension dans le tissu musculaire. Contraction musculaire survient par un filament coulissante mécanisme par lequel actine filaments se glissent inward parmi les myosine filaments.
Le volume d'air inspiré périmé pendant chaque cycle respiratoire normal, discret et... commun abréviations sont la télé ou V avec subscript T.
Dérivés d ’ acide acétique glacial. Cette rubrique inclut sont une large variété de formes, de sels, ester acide et amides qui contiennent les carboxymethane structure.
Substances sont reconnus par le système immunitaire et provoquer une réaction immunitaire.
La drogue qui se lient à mais ne pas activer les récepteurs muscariniques, bloquant ainsi les actions de l ’ acétylcholine endogène agonistes ou antagonistes des récepteurs muscariniques exogènes ont répandu. Effets ciliaire iris et des actions sur le muscle de l'oeil, le coeur et vaisseaux sanguins respiratoires supérieures, sécrétions du système digestif, et les glandes salivaires, GI la mobilité, la vessie ton, et le système nerveux central.
Un glucocorticoïde pour le traitement de l'asthme, le traitement de divers troubles cutanés et rhinite allergique.
Le chien domestique, Canis familiaris, comprenant environ 400 races, de la famille carnivore CANIDAE. Ils sont dans le monde de la distribution et de vivre en association avec les gens. (Walker est Des mammifères du Monde, 5ème Ed, p1065)
Fibres nerveuses libérateur acétylcholine au niveau de la synapse après une impulsion.
Une étable, composé formé physiologiquement active in vivo de la prostaglandine, Endoperoxydes. Il est important dans la réaction platelet-release (libération de l'ATP et sérotonine).
Leucocytes granuleuse avec un noyau qui contient habituellement deux lobes interconnectées par un mince fil de Chromatin et cytoplasme contenant grossier, rond granulés, identiques en taille et stainable par eosin.
Un des deux classes majeures d aux récepteurs cholinergiques. Les récepteurs muscariniques avaient été initialement définis par leur préférence pour muscarine sur la nicotine. Il y a plusieurs sous-types (habituellement M1, M2, M3...) qui se caractérise par leurs actions cellulaire, de pharmacologie, et la biologie moléculaire.
Un mouvements involontaires ou exercer des fonctions dans une partie, excité en réponse à un stimulus appliqué à la périphérie et transmis au cerveau ou de la moelle épinière.
Les protéines de surface cellulaire qui lient THROMBOXANES avec une forte affinité et détente changements intracellulaire influencer le comportement de cellules. Du thromboxane récepteurs agir par l'intermédiaire de la phosphatémie et inositol diacylglycerol seconde messager systèmes.
Un dérivé de l'ergot de seigle c'est un de l'acide lysergique diéthylamide congener. C'est contre les effets de la sérotonine dans le muscle lisse vasculaire et gastro-intestinale, mais a quelques autres des propriétés de l'ergot de seigle. Méthysergide est utilisé en prophylaxie et autres vasculaire dans migraine céphalée et de contrarier la sérotonine dans le syndrome carcinoïde.
Un benzoic-sulfonamide-furan. C'est un diurétique avec action d'installation rapide et courte utilisée pour l 'œ dème et insuffisance reins chronique.
Un agoniste Adrenergic beta-2 qui sert un bronchodilatateur et tocolytique.
La division craniosacral du système nerveux autonome. Les cellules humaines du parasympathique Preganglionic fibres sont au tronc cérébral noyaux et au niveau de la moelle épinière. Ils synapse autonome crânienne ganglion ou en terminal ganglions près d'organes cibles. Le système nerveux parasympathique généralement agit pour économiser les ressources et restaurer homéostasie, souvent avec indésirables réciproque au système nerveux sympathique.
Composés qui se lient à et inhiber l'activité enzymatique de Lipoxygenases. Inclus dans cette catégorie sont des inhibiteurs spécifiques pour lipoxygenase sous-types et agir pour réduire la production de leucotriènes.
Agent un anti-inflammatoire non-stéroïdien (AINS) qui inhibe l ’ enzyme cyclooxygenase nécessaires à la formation des prostaglandines et autres autacoids. Elle inhibe également la motilité de les leucocytes.
Un agonistes bêta-2 adrénergiques utilisé dans le traitement des SPASM asthme et des bronches.
Une famille de trypsine comme la sérine Endopeptidases qui sont exprimés en une variété de types cellulaires notamment les cellules épithéliales de la prostate humaine. Ils sont faits de tissus prokallikrein par action avec trypsine. Ils sont très similaires à antigène Spécifique antigène.
Nom de la classe de médicaments dérivés de C20 et généralement acides gras (EICOSANOIC ACIDS prostaglandines ; cela comprend les leucotriènes ; THROMBOXANES et HYDROXYEICOSATETRAENOIC ACIDS. Ils ont hormone-like effets médiés par des tumeurs (récepteur Eicosanoïde).
Phosphodiesterase 4 avec un inhibiteur antidépresseur propriétés.
Aucun désordre marquée par de la conduite d'obstruction des voies aériennes du poumon. Voies respiratoires OBSTRUCTION peut être aiguë, chronique, intermittent, ou persistante.
Extrêmement toxique nonflammable, incolore, essence, c'est utilisé comme une forme de l'aide et antioxidant. C'est aussi un polluants de l ’ air environnementale.
Éléments de contribuer à intervalles de temps limitée, notamment des résultats ou situations.
Un petit aérosol a utilisé pour libérer un système doseur gradué quantité de médicament pour l ’ inhalation.
Un messager biochimiques et synthétiser d'un régulateur, acides aminés essentiels L-tryptophane. Elle est retrouvé principalement dans le système nerveux central, le tractus digestif, et des plaquettes sanguines. Sérotonine médie d'importantes fonctions physiologiques neurotransmission glutamatergique, y compris la motilité gastro-intestinale, hémostase et intégrité. Plusieurs récepteurs familles cardiovasculaire (récepteurs, SEROTONIN) expliquer les grandes les actions physiologiques et distribution of this biochimiques médiateur.
Une réaction cutanée évanescent survenant quand anticorps est injecté dans une zone locale sur la peau et l ’ antigène est ensuite injecté par voie intraveineuse avec une la teinture capillaire fait généralement rapidement une dilatation et une augmentation de la perméabilité vasculaire facilement visibles par réaction dans la zone. PCA est une réaction pour détecter très petites quantités d ’ anticorps et peut également une méthode pour étudier les mécanismes d ’ hypersensibilité immédiate.
Sulfonic acid organique ester sels ou qui contiennent une hydrocarbure aromatique radical.
Un composant synthétique qui sont analogues de la prostaglandine, Endoperoxydes naturelle et qui imitent leurs activités physiologique et pharmacologique. Ils sont habituellement plus stable que les composés naturelle.
Composés dans lesquels un ou plusieurs des trois groupes hydroxyle éthérée de glycérol sont en lien avec une saturation de ou insaturés aliphatiques alcool ; un ou deux des groupes hydroxyle de glycérol peut être Esterified. Ces mélanges ont été trouvé dans les tissus animals.
Cellules granulé qu'on trouve dans presque tous les tissus, plus abondamment dans la peau et le tractus gastro-intestinal, comme les basophiles humains, mastocytes contiennent de grandes quantités d ’ histamine et HEPARIN. Contrairement à basophiles humains, mastocytes normalement rester dans les tissus et ne pas circuler dans le sang. Mastocytes, dérivés des cellules souches de moelle osseuse, cellule STEM sont déterminés par le facteur.
Composés qui inhibent la biosynthèse ou ou antagoniser les effets de phosphodiestérases.
Un agent antimuscarinique qui inhibe la sécrétion gastrique à des doses inférieures à celles sont tenues d 'affecter la motilité gastro-intestinale, hypersécrétion, le système nerveux central, cardiovasculaire, oculaire, et la fonction urinaire. Ça favorise la guérison des ulcères duodénaux et à cause de cette action cytoprotecteurs est bénéfique en prévention d ’ ulcère duodénal et ANTIULCEREUX potentialise l'effet d ’ autres agents tels que la cimétidine et la ranitidine. C'est généralement bien toléré par les patients.
Un anti-inflammatoire analgésiques et antipyrétiques phenylalkynoic acide de la série, ça permet de réduire la résorption osseuse en maladie parodontale en inhibant l ’ anhydrase carbonique.
Une double inhibiteur de la cyclo-oxygénase et lipoxygenase. Il exerce un effet anti-inflammatoire en inhibant la formation des prostaglandines et leucotriènes. Le médicament augmente aussi hypoxique vasoconstriction pulmonaire et a un effet protecteur après infarctus myocardique.
Une enzyme retrouvé principalement dans des plaquettes microsomes. Il y a catalyse la conversion du PGG PGH (2) et (2) (prostaglandine, Endoperoxydes) au thromboxane A2. CE 5.3.99.5.
Adénine nucléotidiques Esterified phosphate contenant un groupe à la fraction de sucre dans le 2 '-, 3' -, ou 5 '-position.
Une anesthésie locale et dépresseurs cardiaque utilisé comme agent antiarrhythmia. Ses actions sont plus sévères et ses effets plus prolongées que celles de procaïne mais sa durée d ’ action est plus courte que celle de bupivacaïne ou la prilocaïne.
Des individus qui ont développé des compétences, endurance et force physique ou les participants dans le sport ou d'autres activités physiques.
L'échange d'oxygène et CARBON de titane entre air alvéolaires et sang capillaire pulmonaire qui apparaît à travers le BLOOD-AIR BARRIER.
Une écurie adenosine A1, A2. Expérimentalement agoniste des récepteurs, inhibe l ’ activité de la phosphodiestérase camp et GMPc.
Inflammation du gros voies aériennes dans les poumons incluant une partie des bronches, du PRIMARY bronches aux bronches tertiaire.
La diminution progressive de la sensibilité d'un humain ou animal aux effets de drogue, de par son la poursuite du traitement. Ça devrait être différenciés des 10 % de la drogue où un organisme, maladie, ou tissus ne répond à l'efficacité d'un produit chimique ou drogue. Il doit également être différenciés des diplômés acquerront TOLERATED LA DOSE et no-observed-adverse-effect niveau.
Immunologiquement médié réactions indésirables au médicament substances utilisées légalement ou pas.
Exsudats sont des fluides cellulaires, ou autres substances actives lentement libéré de vaisseaux sanguins habituellement pour éviter les tissus inflammatoires. Transudates sont fluides qui passent à travers une membrane, ou presser à travers les tissus ou dans l'espace extracellulaire de tissus. Transudates sont minces et humides et contenir quelques cellules ou PROTEINS.
Le dosage des taux de ventilation dans le milieu, la moitié d'une capacité VITAL forcé (détermination du niveau aux 25 % 75 %), fréquent abréviations sont MMFR et FEF 25 % -75 %.
Les médicaments qui lie et active les récepteurs muscariniques cholinergiques (.), muscariniques muscariniques agonistes dopaminergiques sont plus utilisés quand il est souhaitable d 'augmenter bon tonus musculaire, en particulier dans le tube digestif, la vessie et les yeux. Ils peuvent également être utilisé pour réduire la fréquence cardiaque.
Benzoic AGENTS amides.

La bronchoconstriction est un rétrécissement ou une constriction des voies respiratoires dans les poumons, en particulier les bronches et les bronchioles. Cela se produit lorsque les muscles lisses autour de ces voies aériennes se contractent, ce qui entraîne une diminution du diamètre des voies respiratoires. En conséquence, il devient plus difficile pour l'air de circuler dans et hors des poumons, ce qui peut provoquer des symptômes tels que toux, essoufflement, sifflements et respiration sifflante.

La bronchoconstriction est souvent observée chez les personnes souffrant d'asthme, de MPOC (maladie pulmonaire obstructive chronique) et d'autres affections respiratoires. Elle peut être déclenchée par une variété de facteurs, tels que l'exposition à des allergènes, des irritants environnementaux, des infections virales ou bactériennes, l'exercice physique intense et le stress émotionnel.

Le traitement de la bronchoconstriction implique souvent l'utilisation de médicaments bronchodilatateurs, qui aident à détendre les muscles lisses autour des voies respiratoires et à rouvrir les voies respiratoires rétrécies. Les corticostéroïdes inhalés peuvent également être utilisés pour réduire l'inflammation des voies respiratoires et prévenir les épisodes de bronchoconstriction.

Un bronchospasme est un rétrécissement soudain et involontaire des voies respiratoires dans les poumons, ce qui rend difficile la respiration. Cela se produit lorsque les muscles autour des bronches (tubes qui transportent l'air vers et hors des poumons) se contractent, rétrécissant ainsi le diamètre de ces tubes.

Ce rétrécissement rend l'expulsion de l'air plus difficile, entraînant une respiration sifflante, une toux et un essoufflement. Les bronchospasmes sont souvent déclenchés par une irritation des voies respiratoires, telles que celles causées par l'asthme, la MPOC (maladie pulmonaire obstructive chronique), les allergies ou une infection respiratoire.

Le traitement d'un bronchospasme implique généralement l'utilisation de médicaments inhalés qui détendent les muscles des voies respiratoires, tels que les bronchodilatateurs bêta-2 agonistes et les anticholinergiques. Dans les cas graves, d'autres traitements peuvent être nécessaires, comme l'oxygénothérapie ou la ventilation mécanique.

Les bronchoconstricteurs sont des substances ou des agents qui causent une constriction des muscles lisses des voies respiratoires, entraînant ainsi un rétrécissement des bronches et des bronchioles. Cela peut entraîner une difficulté à respirer, une oppression thoracique et une toux. Les exemples de bronchoconstricteurs comprennent certaines substances chimiques, médicaments (tels que les bêta-bloquants), allergènes et l'inflammation des voies respiratoires.

Les personnes atteintes d'asthme ou de maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC) sont particulièrement sensibles aux bronchoconstricteurs, car leur système respiratoire est déjà compromis et réagit de manière exacerbée à ces substances. Les bronchodilatateurs, qui détendent les muscles lisses des voies respiratoires, sont souvent utilisés pour traiter les épisodes de bronchoconstriction.

La « résistance des voies aériennes » est un terme utilisé en médecine et en physiologie pour décrire la force ou la pression nécessaire pour faire circuler l’air dans les voies respiratoires. Plus précisément, il s’agit de la pression requise pour surmonter la friction entre l’air qui circule et les parois des voies respiratoires, ainsi que pour déplacer le volume d’air dans les poumons.

Cette résistance est influencée par plusieurs facteurs, notamment le calibre (le diamètre) et la longueur des voies respiratoires, la viscosité de l’air inspiré et expiré, et la compliance (la capacité d’expansion) des poumons. Des rétrécissements ou des obstructions au niveau des voies respiratoires, comme ceux observés dans certaines maladies pulmonaires (telles que l’asthme, la bronchite chronique ou l’emphysème), peuvent entraîner une augmentation de la résistance des voies aériennes, ce qui rend plus difficile et fatigant le processus respiratoire.

Des mesures spécifiques, telles que la débitmétrie de pointe ou les tests de fonction pulmonaire, peuvent être utilisés pour évaluer la résistance des voies aériennes chez les individus présentant des symptômes respiratoires ou ceux atteints de maladies pulmonaires.

Le chlorure de méthacholine est un composé chimique qui est souvent utilisé comme un bronchoconstricteur dans les tests de provocation pour diagnostiquer l'asthme et d'autres troubles pulmonaires. Il agit en imitant les effets de l'acétylcholine, un neurotransmetteur qui se lie aux récepteurs muscariniques dans la muqueuse des voies respiratoires, entraînant une constriction des muscles lisses et une diminution du diamètre des bronches.

Dans un test de provocation à la méthacholine, le patient inhale progressivement des doses croissantes de chlorure de méthacholine jusqu'à ce qu'une réponse bronchoconstricteur soit détectée ou jusqu'à atteindre une dose maximale tolérable. Ce test aide les médecins à évaluer la sensibilité des voies respiratoires du patient aux bronchoconstricteurs et à diagnostiquer l'asthme et d'autres maladies pulmonaires obstructives.

Il est important de noter que le test de provocation à la méthacholine doit être effectué sous la supervision d'un professionnel de la santé qualifié, car il peut entraîner des effets indésirables tels qu'une respiration sifflante, une toux et une oppression thoracique.

Un test de provocation bronchique, également connu sous le nom de test de bronchoprovocation, est un examen médical utilisé pour diagnostiquer l'asthme et évaluer sa gravité. Il consiste à exposer progressivement les voies respiratoires du patient à des substances irritantes ou allergisantes, telles que la méthacholine ou l'histamine, afin de provoquer une réaction bronchoconstricteur.

Cette réaction se traduit par une diminution du calibre des bronches et entraîne une augmentation de la résistance des voies respiratoires. Le test est considéré comme positif si cette réaction est observée à des doses relativement faibles de l'agent provocateur.

Le test de provocation bronchique doit être réalisé dans un environnement contrôlé et sous la surveillance étroite d'un professionnel de santé qualifié, car il peut entraîner une détresse respiratoire chez les patients asthmatiques sévères. Il est important de noter que ce test n'est pas recommandé pour le diagnostic initial de l'asthme et ne doit être utilisé qu'en complément d'autres examens, tels que la spirométrie ou les tests sanguins.

Dans le contexte médical, les bronches sont des voies respiratoires qui transportent l'air inspiré depuis la trachée vers les poumons. Ce sont des structures tubulaires situées dans la poitrine qui se ramifient en plusieurs branches plus petites, appelées bronchioles, avant d'atteindre les sacs aériens des poumons où se produit l'échange de gaz.

Les bronches ont des parois musculaires et cartilagineuses qui leur permettent de rester ouvertes pendant la respiration. Elles sont également tapissées de muqueuses qui contiennent des glandes sécrétant du mucus pour piéger les particules étrangères et les micro-organismes inhalés. Les cils vibratiles situés sur la surface des bronches aident à déplacer le mucus vers le haut de la trachée, où il peut être expulsé par la toux ou avalé.

Des maladies telles que l'asthme, la bronchite et le cancer du poumon peuvent affecter les bronches et perturber leur fonctionnement normal.

L'asthme est une maladie chronique des voies respiratoires qui implique l'inflammation, le rétrécissement des bronches et une hypersensibilité à divers stimuli. Il se caractérise par des symptômes tels que une respiration sifflante, essoufflement, toux et oppression thoracique. Ces symptômes peuvent être déclenchés par des facteurs tels que l'exposition aux allergènes, les infections respiratoires, l'exercice, le tabagisme ou le stress émotionnel.

L'asthme peut varier en termes de gravité et de fréquence des symptômes. Dans certains cas, il peut être géré avec des changements de style de vie et des médicaments de contrôle de l'asthme, tandis que dans d'autres, il peut nécessiter une prise en charge plus agressive, y compris des stéroïdes et des traitements d'urgence.

Les causes sous-jacentes de l'asthme ne sont pas entièrement comprises, mais il est généralement considéré comme étant lié à une combinaison de facteurs génétiques et environnementaux. Le diagnostic d'asthme est généralement posé sur la base des antécédents médicaux du patient, d'un examen physique et de tests de fonction pulmonaire.

L'histamine est un biogénique, une molécule messager qui joue un rôle crucial dans les réactions immunitaires et allergiques du corps. Elle est libérée par les cellules immunitaires en réponse à des agents étrangers tels que les allergènes, les bactéries ou les toxines.

L'histamine exerce ses effets en se liant aux récepteurs de l'histamine situés sur la membrane cellulaire, déclenchant ainsi une cascade de réactions biochimiques qui entraînent une variété de réponses physiologiques, y compris la dilatation des vaisseaux sanguins, l'augmentation de la perméabilité vasculaire, la contraction des muscles lisses et la stimulation de la sécrétion glandulaire.

Les symptômes d'une réaction allergique, tels que les démangeaisons, le gonflement, les rougeurs et les larmoiements, sont médiés par l'histamine. Les antihistaminiques, des médicaments couramment utilisés pour traiter les symptômes d'allergies, fonctionnent en bloquant les récepteurs de l'histamine, empêchant ainsi l'histamine de se lier et d'induire une réponse.

Le cromoglycate de sodium est un médicament utilisé principalement dans le traitement préventif de l'asthme et des réactions allergiques telles que la rhinite allergique (rhume des foins) et l'œil sec ou irrité dû à une exposition à l'environnement (comme dans le syndrome de l'œil sec). Il agit en prévenant la libération de médiateurs chimiques tels que l'histamine, qui sont responsables des symptômes allergiques.

Il est disponible sous forme de gouttes ophtalmiques, d'inhalateurs et de sprays nasaux. Il est généralement bien toléré, mais des effets secondaires tels que toux, maux de gorge, nausées ou éruptions cutanées peuvent survenir chez certaines personnes.

Il est important de noter que le cromoglycate de sodium ne fournit pas de soulagement immédiat des symptômes et doit être utilisé régulièrement pour prévenir les réactions allergiques. Il est généralement considéré comme sûr, mais il est toujours recommandé de consulter un médecin avant de commencer tout nouveau traitement médicamenteux.

Le Volume Expiratoire Maximum Seconde (VEMS) est une mesure utilisée en pneumologie et en médecine respiratoire pour évaluer la fonction pulmonaire. Il représente le volume d'air maximal qu'une personne peut expirer pendant une seconde après avoir inspiré profondément. Cette valeur est exprimée en litres.

Le VEMS est mesuré lors d'une spirométrie, un examen couramment utilisé pour diagnostiquer et suivre l'évolution de maladies pulmonaires telles que l'asthme, la bronchite chronique ou l'emphysème. Une valeur de VEMS réduite par rapport à la normale peut indiquer une obstruction des voies respiratoires, ce qui est souvent observé dans ces pathologies.

Cependant, il est important de noter que le VEMS doit être interprété en conjonction avec d'autres paramètres de la spirométrie, tels que le Volume Expiratoire Forcé (VEF) et la Capacité Vitale (CV), pour établir un diagnostic précis et suivre l'efficacité du traitement.

L'administration respiratoire est une méthode de délivrance de médicaments ou de substances thérapeutiques directement dans les poumons par inhalation ou par aérosol. Cette voie d'administration permet au médicament d'être rapidement absorbé dans la circulation sanguine, ce qui entraîne un début d'action plus rapide et souvent une biodisponibilité améliorée par rapport à d'autres voies d'administration.

Les médicaments administrés par voie respiratoire peuvent être délivrés sous forme de gaz, de vapeurs, d'aérosols ou de particules solides. Les dispositifs couramment utilisés pour l'administration respiratoire comprennent les inhalateurs pressurisés, les inhalateurs de poudre sèche, les nébuliseurs et les chambres d'inhalation.

Les médicaments administrés par voie respiratoire sont souvent utilisés pour traiter des affections pulmonaires telles que l'asthme, la bronchite chronique, l'emphysème et la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC). Ils peuvent également être utilisés pour administrer des anesthésiques généraux pendant les procédures médicales.

Bronchodilatateurs sont des médicaments qui élargissent (dilatent) les bronches ou les voies respiratoires dans les poumons, ce qui facilite la respiration. Ils fonctionnent en détendant les muscles des parois des voies respiratoires, ce qui permet aux bronches de s'ouvrir et de réduire le blocage ou l'obstruction.

Les bronchodilatateurs peuvent être à court terme (de courte durée) ou à long terme (de longue durée). Les bronchodilatateurs à court terme sont utilisés pour soulager rapidement les symptômes de respiration sifflante, essoufflement et oppression thoracique. Ils commencent généralement à agir dans les 15 minutes suivant l'administration et peuvent durer jusqu'à 6 heures. Les bronchodilatateurs à long terme sont utilisés pour contrôler les symptômes sur une période plus longue et peuvent être utilisés quotidiennement pour prévenir les poussées ou les exacerbations de maladies pulmonaires chroniques telles que l'asthme et la MPOC (maladie pulmonaire obstructive chronique).

Les bronchodilatateurs peuvent être administrés par inhalation, en utilisant un nébuliseur ou un inhalateur de poudre sèche, ou par voie orale sous forme de comprimés ou de liquides. Les exemples courants de bronchodilatateurs incluent l'albutérol, le salmétérol, la formotérol et l'ipratropium.

Bien que les bronchodilatateurs puissent être très efficaces pour soulager les symptômes respiratoires, ils peuvent également entraîner des effets secondaires tels qu'une augmentation du rythme cardiaque, des tremblements musculaires, des maux de tête et une irritation de la gorge. Il est important de suivre attentivement les instructions posologiques et de consulter un médecin si des effets secondaires graves ou persistants se produisent.

Je suis désolé, mais "Cochons d'Inde" ne sont pas un terme médical. Ils sont en fait des animaux de compagnie courants, également connus sous le nom de cavies. Les cochons d'Inde sont des rongeurs sociaux originaires d'Amérique du Sud. Si vous cherchez une définition médicale, peut-être y a-t-il eu une certaine confusion avec un terme médical. Dans ce cas, veuillez me fournir plus de détails ou clarifier votre question et je serai heureux de vous aider.

Un aérosol est une suspension ou une dispersion de particules liquides ou solides dans un gaz, qui peut être breathingly inhalé. Les aérosols peuvent contenir une variété de substances, y compris des médicaments, des polluants et des agents pathogènes.

Dans le contexte médical, les aérosols sont souvent utilisés pour administrer des médicaments directement aux poumons des patients atteints de certaines conditions, telles que l'asthme ou la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC). Les dispositifs d'aérosol, tels que les nébuliseurs et les inhalateurs, sont utilisés pour produire un aérosol fin qui peut être inhalé profondément dans les poumons.

Il est important de noter que les aérosols peuvent également être un moyen de propagation des maladies infectieuses, telles que la tuberculose et le COVID-19. Par conséquent, il est essentiel de prendre des précautions appropriées pour minimiser l'exposition aux aérosols contaminés dans les environnements de soins de santé.

L'hyperréactivité bronchique est un terme utilisé en médecine pour décrire une réponse excessive et anormale des voies respiratoires à divers stimuli. Ces stimuli peuvent être de nature physique, comme le froid ou l'exercice, ou chimique, comme les gaz irritants ou certains médicaments.

Dans des conditions normales, les bronches se dilatent (bronchodilatation) en réponse à ces stimuli pour permettre une meilleure circulation de l'air. Cependant, chez les personnes atteintes d'hyperréactivité bronchique, cette réaction est exagérée, entraînant une constriction excessive des bronches (bronchoconstriction).

Cette condition est souvent associée à des maladies respiratoires chroniques telles que l'asthme, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et l'emphysème. Les symptômes de l'hyperréactivité bronchique comprennent une toux persistante, un sifflement respiratoire, une respiration sifflante et une essoufflement, en particulier après l'exposition aux stimuli déclencheurs.

Le diagnostic est généralement posé sur la base des antécédents médicaux du patient, d'un examen physique et de tests fonctionnels respiratoires. Le traitement vise à éviter les facteurs déclenchants et à utiliser des médicaments bronchodilatateurs pour soulager les symptômes.

La méthacholine est un composé chimique qui est couramment utilisé en médecine pour tester la fonction pulmonaire et diagnostiquer l'asthme. Il s'agit d'un agoniste des récepteurs muscariniques des voies respiratoires, ce qui signifie qu'il provoque une constriction des muscles des bronches et des bronchioles lorsqu'il est inhalé.

Les composés de la méthacholine sont des sels ou des esters de la méthacholine, qui ont des propriétés similaires à celles de la méthacholine elle-même. Ils peuvent être utilisés pour provoquer une réponse bronchoconstricteur dans le cadre d'un test de provocation bronchique, qui est utilisé pour diagnostiquer l'asthme et évaluer sa gravité.

Lors d'un tel test, le patient inhale progressivement des doses croissantes de méthacholine ou de son composé, et la fonction pulmonaire est mesurée après chaque dose. Si la respiration du patient se détériore de manière significative en réponse à la méthacholine, cela peut indiquer que le patient souffre d'asthme ou d'une autre maladie des voies respiratoires.

Il est important de noter que la méthacholine et ses composés ne doivent être utilisés que sous la supervision d'un professionnel de la santé qualifié, car ils peuvent provoquer des effets indésirables graves chez certaines personnes.

La compliance pulmonaire est un terme utilisé en médecine et en physiologie pour décrire la capacité des poumons à se dilater et à se contracter, c'est-à-dire leur élasticité. Plus spécifiquement, elle correspond au changement de volume des poumons par rapport aux variations de pression appliquées. Elle est exprimée en litres/centimètre d'eau et dépend de plusieurs facteurs tels que l'âge, le tabagisme, les maladies pulmonaires ou encore la position du corps. Une compliance pulmonaire réduite peut être observée dans des pathologies telles que la fibrose pulmonaire, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) ou encore dans les états de réanimation où les poumons peuvent être stiff (raides).

Albutérol est un médicament bronchodilatateur couramment utilisé pour traiter et prévenir les symptômes de l'asthme et d'autres affections pulmonaires telles que la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC). Il agit en relaxant les muscles des voies respiratoires, ce qui permet aux poumons de se dilater et de faciliter la respiration.

Albutérol est disponible sous différentes formulations, notamment des inhalateurs de poudre sèche, des aérosols en spray et des solutions orales. Les effets du médicament commencent généralement à se faire sentir dans les 15 minutes suivant l'inhalation et peuvent durer jusqu'à six heures.

Les effets secondaires courants d'Albutérol comprennent des maux de tête, des tremblements, une accélération du rythme cardiaque et des nausées. Dans de rares cas, il peut également provoquer des réactions allergiques graves, telles que des éruptions cutanées, des démangeaisons, des gonflements du visage, de la langue ou de la gorge, et des difficultés respiratoatoires.

Il est important de suivre attentivement les instructions de dosage de votre médecin lorsque vous prenez Albutérol et de ne pas dépasser la dose prescrite sans consulter d'abord un professionnel de la santé. Si vous ressentez des effets secondaires graves ou si vos symptômes ne s'améliorent pas après avoir pris le médicament, informez-en immédiatement votre médecin.

La N-isopropylatropine est un composé synthétique qui agit comme un antagoniste des récepteurs muscariniques de l'acétylcholine. Elle est utilisée en recherche pharmacologique pour étudier le système nerveux parasympathique, car elle bloque les effets de l'acétylcholine sur ces récepteurs. La N-isopropylatropine est similaire dans sa structure et son activité à l'atropine, mais elle est plus sélective pour les récepteurs muscariniques que pour d'autres types de récepteurs de neurotransmetteurs.

Il convient de noter que la N-isopropylatropine n'est pas utilisée en médecine clinique, car elle peut entraîner des effets secondaires indésirables tels qu'une sécheresse de la bouche, une vision floue, des étourdissements et une augmentation du rythme cardiaque. Comme pour tout médicament ou composé pharmacologique, elle doit être manipulée et utilisée avec précaution, en suivant les directives appropriées de sécurité et de manipulation des produits chimiques.

Nedocromil est un médicament d'ordonnance utilisé pour prévenir l'asthme et les réactions allergiques. Il appartient à une classe de médicaments appelés antiasthmatiques et antihistaminiques. Nedocromil agit en empêchant la libération de produits chimiques dans le corps qui provoquent des symptômes d'asthme et d'allergies, tels que l'histamine.

Ce médicament se présente sous forme de solution pour inhalation et est généralement administré deux fois par jour, à intervalles réguliers, pour prévenir les symptômes. Les effets secondaires courants de nedocromil comprennent une toux sèche, des maux de tête, des douleurs thoraciques et un mal de gorge.

Bien que nedocromil soit généralement considéré comme sûr et bien toléré, il peut provoquer des réactions allergiques graves dans de rares cas. Par conséquent, il est important de consulter immédiatement un médecin si vous ressentez des symptômes tels qu'une éruption cutanée, des démangeaisons, un gonflement du visage, des lèvres ou de la langue, une difficulté à respirer ou tout autre signe d'une réaction allergique grave.

En outre, il est important de noter que nedocromil ne doit pas être utilisé pour traiter les symptômes d'asthme aigus ou des réactions allergiques soudaines et graves. Dans ces situations, il est crucial de chercher une assistance médicale immédiate et d'utiliser des médicaments de secours tels que les bronchodilatateurs à action rapide pour contrôler les symptômes.

Le récepteur neurokinine 2 (NK2) est un type de récepteur des neurokinines, qui sont des neuropeptides appartenant à la famille des tachykinines. Les récepteurs NK2 sont activés principalement par le neuropeptide neurokinine A (NKA).

Les récepteurs NK2 sont largement distribués dans le système nerveux central et périphérique, où ils jouent un rôle important dans la transmission de diverses sensations et fonctions physiologiques. Ils sont exprimés par les neurones sensoriels et les neurones du système nerveux sympathique et parasympathique.

Dans le système nerveux central, les récepteurs NK2 sont associés à la douleur, à l'inflammation, aux vomissements et à la thermorégulation. Dans le système nerveux périphérique, ils sont liés à la fonction motrice, à la sécrétion exocrine et à la vasodilatation.

Les récepteurs NK2 sont des cibles thérapeutiques potentielles pour le traitement de diverses affections telles que l'asthme, les douleurs neuropathiques, les nausées et les vomissements induits par la chimiothérapie.

Je suis désolé, mais il semble y avoir une certaine confusion dans votre question. "Substance K" n'est pas un terme reconnu dans la nomenclature médicale ou scientifique standard. Il existe une substance connue sous le nom de "kallidine", qui est également appelée "lysine-kallidine" ou "kininogène de bas poids moléculaire". Elle est impliquée dans les processus inflammatoires et la douleur. Cependant, elle n'est généralement pas désignée sous le nom de "Substance K". Si vous faisiez référence à un terme ou une substance différente, pouvez-vous s'il vous plaît fournir plus de détails ?

Je suis désolé, mais il semble y avoir une erreur de frappe dans votre requête. Il n'existe pas de terme médical communément reconnu sous l'acronyme "SRSA". Veuillez vérifier l'orthographe ou fournir plus d'informations pour que je puisse vous fournir une réponse plus précise. Si vous faisiez référence à "SRAS", qui est une maladie respiratoire aiguë, voici la définition médicale :

Le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) est une maladie virale causée par le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV). Il se caractérise par l'apparition soudaine d'une fièvre supérieure à 38 °C, accompagnée de symptômes respiratoires tels que une toux, une dyspnée et des signes de détresse respiratoire. Le SRAS peut également entraîner des complications telles que une pneumonie et un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA). Il est transmis d'humain à humain par les gouttelettes respiratoires ou par contact étroit avec une personne infectée.

Un poumon est un organe apparié dans le système respiratoire des vertébrés. Chez l'homme, chaque poumon est situé dans la cavité thoracique et est entouré d'une membrane protectrice appelée plèvre. Les poumons sont responsables du processus de respiration, permettant à l'organisme d'obtenir l'oxygène nécessaire à la vie et d'éliminer le dioxyde de carbone indésirable par le biais d'un processus appelé hématose.

Le poumon droit humain est divisé en trois lobes (supérieur, moyen et inférieur), tandis que le poumon gauche en compte deux (supérieur et inférieur) pour permettre l'expansion de l'estomac et du cœur dans la cavité thoracique. Les poumons sont constitués de tissus spongieux remplis d'alvéoles, où se produit l'échange gazeux entre l'air et le sang.

Les voies respiratoires, telles que la trachée, les bronches et les bronchioles, conduisent l'air inspiré dans les poumons jusqu'aux alvéoles. Le muscle principal de la respiration est le diaphragme, qui se contracte et s'allonge pour permettre l'inspiration et l'expiration. Les poumons sont essentiels au maintien des fonctions vitales et à la santé globale d'un individu.

La trachée est un tube cylindrique situé dans le cou et la partie supérieure de la poitrine, qui fait partie du système respiratoire inférieur. Elle s'étend du larynx jusqu'à la bifurcation où elle se divise en deux bronches principales. La trachée est responsable de la conduction de l'air inspiré vers les poumons et de l'expiration des gaz hors des poumons. Sa paroi est renforcée par des anneaux cartilagineux incomplets qui lui confèrent une certaine rigidité et empêchent son effondrement pendant la respiration.

Les antihistaminiques sont une classe de médicaments utilisés pour traiter les symptômes d'allergies et d'autres conditions qui impliquent la libération de l'histamine, une substance chimique produite par le système immunitaire en réponse à un allergène.

Les antihistaminiques fonctionnent en bloquant l'action des récepteurs H1 de l'histamine dans le corps, ce qui empêche l'histamine de se lier aux cellules et de provoquer une réaction allergique. Les symptômes courants d'une réaction allergique comprennent les démangeaisons, les éternuements, le nez qui coule, les yeux larmoyants et les rougeurs, les éruptions cutanées et les gonflements.

Les antihistaminiques sont disponibles sous différentes formes, notamment en comprimés, en capsules, en liquides, en gels, en crèmes, en sprays nasaux et en gouttes oculaires. Certains antihistaminiques peuvent provoquer de la somnolence, il est donc important de ne pas conduire ou d'utiliser des machines lourdes après avoir pris ces médicaments.

En plus de traiter les symptômes d'allergies, les antihistaminiques sont également utilisés pour traiter les nausées et les vomissements, le mal des transports, les démangeaisons de la peau, les maux de tête et les migraines, l'anxiété et l'insomnie.

Il est important de suivre les instructions de dosage de votre médecin ou de votre pharmacien lorsque vous prenez des antihistaminiques, car une surdose peut entraîner des effets secondaires graves tels que des convulsions, une arythmie cardiaque et un coma.

L'anaphylaxie est une réaction allergique grave et potentiellement mortelle qui se produit soudainement après l'exposition à un déclencheur spécifique, tel qu'un aliment, un médicament, un venin d'insecte ou un latex. Cette réaction implique une libération massive d'histamine et d'autres médiateurs chimiques dans le sang, entraînant une variété de symptômes qui peuvent mettre la vie en danger.

Les symptômes courants de l'anaphylaxie comprennent des éruptions cutanées, des démangeaisons, un gonflement du visage, des lèvres et de la langue, une respiration sifflante, une oppression thoracique, des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, une diarrhée, une accélération du rythme cardiaque et une baisse de la tension artérielle. Dans les cas graves, l'anaphylaxie peut entraîner un choc anaphylactique, qui est une chute dangereuse de la tension artérielle pouvant entraîner une perte de conscience et même la mort si elle n'est pas traitée rapidement.

Le traitement de l'anaphylaxie implique généralement l'administration rapide d'une injection d'épinéphrine, qui aide à inverser les symptômes en rétrécissant les vaisseaux sanguins et en augmentant la fréquence cardiaque. D'autres traitements peuvent inclure des antihistaminiques, des corticostéroïdes et de l'oxygène supplémentaire. Les personnes atteintes d'anaphylaxie sont souvent invitées à porter un auto-injecteur d'épinéphrine en cas d'urgence.

Il est important de noter que l'anaphylaxie peut être évitée en évitant les déclencheurs spécifiques qui provoquent une réaction. Les personnes atteintes d'allergies alimentaires ou environnementales graves doivent travailler avec leur médecin pour élaborer un plan de gestion des allergies et prendre des précautions pour éviter les déclencheurs potentiels.

Le nerf vague, également connu sous le nom de nerf pneumogastrique, est un important nerf crânien qui émerge du bulbe rachidien dans le tronc cérébral. Il s'agit du dixième nerf crânien et il a une fonction bothale, ce qui signifie qu'il contient des fibres motrices somatiques et viscérales, ainsi que des fibres sensorielles.

Les fibres motrices somatiques du nerf vague innervent les muscles de la déglutition, du palais mou, du pharynx et des cordes vocales. Les fibres viscérales motrices régulent les activités involontaires des organes internes tels que le cœur, les poumons, le foie, l'estomac et les intestins.

Les fibres sensorielles du nerf vague transmettent des informations sensorielles provenant de ces mêmes organes internes au cerveau, y compris les sensations de distension gastrique, la position du diaphragme et le rythme cardiaque.

Le nerf vague joue un rôle crucial dans la régulation des fonctions autonomes telles que la respiration, la digestion et le rythme cardiaque, ainsi que dans les réflexes de protection tels que la toux et la déglutition.

L'hyperventilation est un état dans lequel une personne respire plus rapidement et profondément que la normale, entraînant une augmentation du rythme respiratoire et une diminution des niveaux de dioxyde de carbone dans le sang. Cela peut se produire en réponse à des facteurs tels que l'anxiété, l'exercice intense, les maladies pulmonaires ou cardiaques, l'intoxication aux drogues ou à d'autres substances, ou certaines conditions médicales.

Les symptômes de l'hyperventilation peuvent inclure des étourdissements, des palpitations, une douleur thoracique, des sueurs, des picotements ou des engourdissements dans les mains et les pieds, des spasmes musculaires, une sensation d'essoufflement ou de suffocation, et dans certains cas, une perte de conscience.

Dans la plupart des cas, l'hyperventilation peut être traitée en ralentissant la respiration et en augmentant l'apport en dioxyde de carbone dans le sang. Cela peut être réalisé en respirant dans un sac en papier ou en plastique pour réinhaler le dioxyde de carbone expiré, ou en utilisant des techniques de relaxation et de respiration profonde pour ralentir la respiration. Dans les cas graves ou chroniques d'hyperventilation, une intervention médicale peut être nécessaire pour traiter la cause sous-jacente du problème.

Leucotriène E4 (LTE4) est un type de médiateur lipidique qui joue un rôle important dans les réponses inflammatoires et allergiques du corps. Il s'agit d'un métabolite dérivé des acides arachidoniques, qui sont eux-mêmes libérés à partir des membranes cellulaires par l'action d'enzymes telles que la phospholipase A2.

Le LTE4 est synthétisé à partir du leucotriène C4 (LTC4) par l'action de l'enzyme gamma-glutamyl transpeptidase, qui retire un résidu de glutamine du LTC4. Le LTE4 se lie ensuite aux récepteurs des leucotriènes situés sur les membranes cellulaires, ce qui entraîne une cascade de réactions biochimiques qui provoquent une constriction des voies respiratoires, une augmentation de la perméabilité vasculaire et une accumulation de leucocytes dans les tissus.

Le LTE4 est particulièrement associé à l'asthme et aux maladies allergiques, car il contribue à l'inflammation des voies respiratoires et à la constriction des muscles lisses des bronches. Les niveaux de LTE4 dans l'air expiré peuvent être mesurés comme un biomarqueur de l'asthme et de l'inflammation des voies respiratoires.

La pléthysmographie corps entier est une méthode non invasive utilisée pour mesurer les volumes et les flux d'air dans les poumons. Elle fonctionne en mesurant les changements de pression à l'intérieur d'une cabine hermétiquement close dans laquelle le patient est assis. Lorsque le patient inspire ou expire, les parois de la cabine détectent ces changements de pression et calculent ainsi le volume d'air qui a été inspiré ou expiré.

Cette méthode permet de diagnostiquer et de suivre l'évolution de diverses affections pulmonaires, telles que l'emphysème, la bronchite chronique et d'autres maladies obstructives des voies respiratoires. Elle peut également être utilisée pour évaluer l'efficacité des traitements, tels que la thérapie par bronchodilatateurs, en mesurant les changements de volume pulmonaire avant et après l'administration du médicament.

Il est important de noter que cette procédure nécessite généralement une formation spécialisée pour être effectuée correctement et doit être interprétée par un professionnel de la santé qualifié.

Les maladies des bronches, également connues sous le nom de maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC), se réfèrent à un groupe de conditions qui affectent les voies respiratoires inférieures (bronches) et rendent plus difficile pour une personne de respirer. Les deux principales maladies des bronches sont la bronchite chronique et l'emphysème.

La bronchite chronique est une inflammation à long terme des bronches qui provoque une toux persistante avec production de mucus. L'emphysème est une maladie pulmonaire qui endommage les parois des alvéoles (petits sacs d'air dans les poumons) et rend plus difficile l'expulsion de l'air des poumons. Les deux conditions peuvent survenir ensemble et sont souvent regroupées sous le terme générique de maladies des bronches.

Les facteurs de risque courants pour les maladies des bronches comprennent le tabagisme, la pollution atmosphérique, l'exposition professionnelle à des substances nocives et une prédisposition génétique. Les symptômes peuvent inclure une toux persistante avec production de mucus, essoufflement, respiration sifflante, douleurs thoraciques et fatigue. Le traitement peut inclure des médicaments pour soulager les symptômes, la thérapie pulmonaire, l'oxygénothérapie et, dans certains cas, une transplantation pulmonaire.

Ascaris est un type de ver rond (nématode) qui peut infester l'intestin grêle humain et provoquer une maladie appelée ascariose. Les deux espèces les plus courantes d'Ascaris qui infectent les humains sont Ascaris lumbricoides et Ascaris suum, bien que la plupart des infections chez l'homme soient causées par Ascaris lumbricoides.

Les êtres humains peuvent être infectés en ingérant des œufs d'Ascaris présents dans le sol contaminé, souvent par contact avec des aliments ou de l'eau souillés. Après ingestion, les œufs éclosent dans l'intestin grêle, où les larves migrent vers les poumons via la circulation sanguine. Une fois dans les poumons, les larves se déplacent vers les voies respiratoires supérieures, sont expectorées et avalées, puis retournent dans l'intestin grêle pour atteindre leur stade adulte.

Les symptômes de l'ascariose peuvent varier en fonction du nombre d'helminthes infectant l'hôte. Les infections légères à modérées peuvent ne présenter aucun symptôme ou entraîner des douleurs abdominales, une diarrhée intermittente et une perte de poids. Cependant, les infections graves peuvent provoquer une obstruction intestinale, une appendicite, une pancréatite et d'autres complications potentiellement mortelles.

Le traitement de l'ascariose implique généralement des médicaments anthelminthiques tels que le mébendazole ou l'albendazole pour éliminer les vers adultes. Il est également important d'améliorer l'assainissement et l'hygiène personnelle pour prévenir de futures réinfections.

La triéthiodure gallamine est un médicament relaxant musculaire non dépolarisant, qui est souvent utilisé pendant les anesthésies générales pour faciliter l'intubation endotrachéale et la chirurgie. Il agit en bloquant la transmission neuromusculaire au niveau de la jonction neuro-musculaire, ce qui entraîne une relaxation des muscles squelettiques.

La triéthiodure gallamine est dérivée de la gallamine et contient trois atomes d'iode (triéthiodure) dans sa structure chimique. L'iode confère à la molécule une plus grande solubilité dans l'eau, ce qui permet une administration intraveineuse plus facile et une durée d'action plus courte que la gallamine.

Ce médicament est généralement administré par voie intraveineuse et sa durée d'action est d'environ 7 à 10 minutes. Il est métabolisé dans le foie et excrété dans les urines. Les effets secondaires courants de la triéthiodure gallamine comprennent une bradycardie, une hypotension et des réactions histaminiques telles que des rougeurs, des démangeaisons et des éruptions cutanées. En raison de ses effets sur le système nerveux autonome, la triéthiodure gallamine doit être utilisée avec prudence chez les patients présentant une maladie cardiovasculaire préexistante ou une maladie pulmonaire obstructive chronique.

La chlorphénamine est un antihistaminique de première génération, qui est couramment utilisé pour traiter les symptômes d'allergies telles que les éternuements, le nez qui coule, les démangeaisons oculaires et cutanées. Il agit en bloquant l'action de l'histamine, une substance chimique libérée par le système immunitaire pendant une réaction allergique.

En plus de ses propriétés antihistaminiques, la chlorphénamine possède également des effets sédatifs et peut être utilisée comme somnifère à faible dose. Cependant, cette utilisation n'est pas recommandée en raison du risque accru de somnolence et d'effets secondaires associés.

Les effets secondaires courants de la chlorphénamine comprennent la somnolence, la sécheresse de la bouche, les étourdissements, la vision floue et la constipation. Dans de rares cas, il peut également causer des réactions allergiques graves, telles que des difficultés respiratoires ou une éruption cutanée.

La chlorphénamine est disponible sous diverses formes, notamment en comprimés, en gélules, en sirop et en solution injectable. Il est important de suivre les instructions posologiques recommandées par un professionnel de la santé et de ne pas dépasser la dose prescrite. Les personnes âgées, les jeunes enfants, les femmes enceintes ou allaitantes, ainsi que celles souffrant de certaines affections médicales préexistantes, doivent faire l'objet d'une attention particulière lors de la prise de chlorphénamine.

Les antagonistes des leucotriènes sont un type de médicament utilisé pour traiter l'asthme et d'autres affections respiratoires telles que la rhinite allergique. Ils fonctionnent en bloquant les récepteurs des leucotriènes, qui sont des molécules inflammatoires libérées par certaines cellules immunitaires pendant une réponse allergique ou une inflammation.

Les leucotriènes se lient à ces récepteurs dans les poumons et les voies respiratoires, provoquant une constriction des muscles lisses des bronches, une augmentation de la production de mucus et une augmentation de l'inflammation. En bloquant ces récepteurs, les antagonistes des leucotriènes peuvent aider à prévenir ou à réduire les symptômes de l'asthme tels que la respiration sifflante, la toux et l'oppression thoracique.

Les antagonistes des leucotriènes sont disponibles sous forme de comprimés, de capsules ou de sirops et sont généralement pris par voie orale une fois par jour. Les exemples courants d'antagonistes des leucotriènes incluent le montélukast (Singulair), le zafirlukast (Accolate) et le pranlukast (Onon).

Bien que les antagonistes des leucotriènes soient généralement bien tolérés, ils peuvent provoquer des effets secondaires tels que des maux de tête, des nausées, des douleurs abdominales et des éruptions cutanées. Dans de rares cas, ils peuvent également causer des réactions allergiques graves telles que un gonflement du visage, de la langue ou de la gorge, une respiration sifflante ou une difficulté à avaler. Si vous ressentez l'un de ces symptômes après avoir pris un antagoniste des leucotriènes, consultez immédiatement un médecin.

Leucotriène D4 (LTD4) est un type de molécule appelée cytokine, qui est produite par le système immunitaire dans le cadre d'une réponse inflammatoire. Les leucotriènes sont des eicosanoïdes lipidiques dérivés de l'acide arachidonique et jouent un rôle important dans la médiation des réponses allergiques et inflammatoires dans le corps.

LTD4 est spécifiquement produit par les cellules immunitaires telles que les éosinophiles et les mastocytes en réponse à des stimuli tels que les allergènes ou les infections. Il se lie aux récepteurs cysLT sur les cellules musculaires lisses des voies respiratoires, entraînant une constriction des bronches et une augmentation de la perméabilité vasculaire, ce qui peut provoquer des symptômes tels que toux, essoufflement et sifflements chez les personnes atteintes d'asthme.

LTD4 est également connu pour augmenter la production de mucus dans les voies respiratoires et prolonger l'inflammation en attirant plus de cellules immunitaires vers le site de l'inflammation. Les médicaments qui bloquent les effets du LTD4, tels que les antagonistes des récepteurs des leucotriènes, sont souvent utilisés pour traiter l'asthme et d'autres affections respiratoires inflammatoires.

Atropine est un médicament anticholinergique utilisé pour bloquer les effets du neurotransmetteur acétylcholine dans le corps. Il est dérivé de la plante belladone, également connue sous le nom de morelle fausse belladone ou datura.

Atropine a plusieurs utilisations médicales. Elle peut être utilisée pour traiter les symptômes du syndrome du côlon irritable, tels que les crampes d'estomac et la diarrhée. Il est également utilisé pour dilater les pupilles lors des examens ophtalmologiques et pour réduire les sécrétions dans la bouche, le nez et les poumons avant une intervention chirurgicale.

En outre, l'atropine peut être utilisée comme antidote pour le poison de certains champignons vénéneux et plantes, ainsi que pour les insecticides organophosphorés. Il fonctionne en bloquant les effets de l'acétylcholine, qui est la substance chimique responsable des symptômes toxiques.

Les effets secondaires courants de l'atropine comprennent une bouche sèche, une vision floue, une augmentation du rythme cardiaque, des étourdissements et une constipation. Dans de rares cas, il peut provoquer des hallucinations, une agitation ou une confusion. L'atropine doit être utilisée avec prudence chez les personnes âgées, car elles peuvent être plus sensibles à ses effets.

Les récepteurs muscariniques de type M2 sont un sous-type de récepteurs muscariniques, qui sont des protéines membranaires qui se lient à l'acétylcholine et médient les effets du système nerveux parasympathique dans le corps. Les récepteurs muscariniques M2 sont largement distribués dans le cœur, les poumons, le tractus gastro-intestinal et d'autres organes.

Dans le cœur, les récepteurs muscariniques M2 sont principalement localisés sur les cellules musculaires cardiaques (myocytes) et inhibent la conduction auriculo-ventriculaire et la contractilité myocardique lorsqu'ils sont activés par l'acétylcholine. Cela a pour effet de ralentir le rythme cardiaque et de réduire la force des contractions cardiaques.

Dans les poumons, les récepteurs muscariniques M2 se trouvent sur les muscles lisses bronchiques et inhibent leur constriction lorsqu'ils sont activés par l'acétylcholine. Cela contribue à la relaxation des voies respiratoires et à la prévention de l'asthme et d'autres maladies pulmonaires obstructives.

Dans le tractus gastro-intestinal, les récepteurs muscariniques M2 sont situés sur les muscles lisses et inhibent leur contraction lorsqu'ils sont activés par l'acétylcholine. Cela contribue à la relaxation des muscles lisses et à la prévention de la constipation et d'autres troubles gastro-intestinaux.

Les récepteurs muscariniques M2 peuvent également être trouvés dans d'autres organes, tels que les reins, où ils jouent un rôle dans la régulation de la fonction rénale.

La méthode double insu, également connue sous le nom de randomisation double-aveugle, est un type de conception d'étude clinique utilisé dans la recherche médicale pour minimiser les biais et améliorer l'objectivité des résultats. Dans cette méthode, ni le participant à l'étude ni l'investigateur ne savent quel traitement spécifique est attribué au participant.

Le processus commence par la randomisation, dans laquelle les participants sont assignés de manière aléatoire à un groupe d'intervention ou à un groupe témoin. Le groupe d'intervention reçoit le traitement expérimental, tandis que le groupe témoin reçoit généralement un placebo ou le traitement standard existant.

Ensuite, les médicaments ou interventions sont préparés de manière à ce qu'ils soient identiques en apparence et dans la façon dont ils sont administrés, masquant ainsi l'identité du traitement réel aux participants et aux investigateurs. Ce processus est appelé mise en aveugle.

Dans une étude à double insu, même le chercheur principal ne sait pas quels participants ont reçu quel traitement jusqu'à ce que l'analyse des données soit terminée. Cela aide à prévenir les biais potentiels dans la collecte et l'interprétation des données, car ni les attentes du chercheur ni celles du participant ne devraient influencer les résultats.

Cependant, il convient de noter que la conception à double insu n'est pas toujours possible en raison de facteurs tels que l'absence d'un placebo approprié ou lorsque le traitement expérimental a des effets évidents qui ne peuvent être dissimulés. Dans ces cas, une étude simple insu (ouverte) peut être plus adaptée.

La clémastine est un antihistaminique H1 de deuxième génération, ce qui signifie qu'il bloque l'action de l'histamine, une substance chimique libérée par le système immunitaire pendant une réaction allergique. Il est utilisé pour traiter les symptômes d'allergies saisonnières et toute l'année telles que les éternuements, le nez qui coule, les démangeaisons oculaires et la congestion nasale. La clémastine peut également être utilisée pour soulager les démangeaisons de la peau dues à des réactions cutanées telles que l'urticaire et le prurit dû au psoriasis.

Il agit en se liant aux récepteurs H1 de l'histamine dans le cerveau, ce qui entraîne une diminution des symptômes d'allergie. En plus de ses propriétés antihistaminiques, la clémastine possède également des propriétés sédatives, ce qui peut aider à soulager l'insomnie et l'anxiété associées aux allergies.

La clémastine est disponible sous forme de comprimés ou de sirop et doit être prise conformément aux instructions d'un professionnel de la santé. Les effets secondaires courants peuvent inclure la somnolence, la sécheresse de la bouche, les étourdissements et les maux de tête. Il est important de noter que la clémastine peut interagir avec d'autres médicaments, il est donc essentiel d'informer votre médecin de tous les médicaments que vous prenez avant de commencer à prendre ce médicament.

La terbutaline est un médicament bronchodilatateur bêta-2 agoniste utilisé pour traiter et prévenir les bronchospasmes dans des conditions telles que l'asthme et la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC). Il fonctionne en relaxant les muscles lisses des voies respiratoires, ce qui permet d'élargir les bronches et de faciliter la respiration.

La terbutaline est disponible sous forme de solution injectable et de comprimés ou de sirop à prendre par voie orale. Les effets secondaires courants peuvent inclure des maux de tête, des nausées, des palpitations cardiaques et une augmentation du rythme cardiaque. Dans de rares cas, il peut provoquer des effets plus graves, tels qu'une hypokaliémie (faibles niveaux de potassium), une hyperglycémie (niveaux élevés de sucre dans le sang) et des arythmies cardiaques.

Il est important d'utiliser la terbutaline conformément aux instructions de votre médecin et de signaler immédiatement tout effet secondaire inhabituel ou grave.

L'exploration fonctionnelle respiratoire (EFR) est un ensemble de tests pulmonaires qui permettent d'évaluer la capacité respiratoire et les échanges gazeux d'un individu. Elle vise à mesurer la ventilation, la compliance thoracique, la diffusion des gaz alvéolo-capillaires et les mécanismes de contrôle de la ventilation. Les tests couramment utilisés dans l'EFR comprennent la spirométrie, les manœuvres de bodyplethysmographie, les mesures de la diffusing capacity of the lung for carbon monoxide (DLCO) et les tests de réversibilité. Ces examens sont indolores et non invasifs, et ils sont largement utilisés dans le diagnostic, le suivi et la prise en charge des maladies respiratoires telles que l'asthme, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), la fibrose pulmonaire et d'autres affections pulmonaires.

La capsaïcine est un composé actif que l'on trouve dans les piments, responsable de leur saveur piquante et brûlante. Elle est classée comme un irritant pour le système nerveux et peut provoquer une sensation de brûlure lorsqu'elle entre en contact avec la peau ou les muqueuses.

Dans un contexte médical, la capsaïcine est parfois utilisée sous forme de crèmes ou de patchs topiques pour soulager certains types de douleurs neuropathiques ou musculo-squelettiques. Elle agit en désensibilisant les récepteurs de la douleur dans la peau, ce qui peut entraîner une diminution temporaire de la perception de la douleur.

Cependant, l'utilisation de capsaïcine doit être surveillée de près, car elle peut provoquer des effets secondaires tels qu'une irritation cutanée, des rougeurs et des brûlures. Elle ne doit pas être utilisée sur les plaies ouvertes ou les muqueuses, telles que celles à l'intérieur de la bouche ou du nez.

L'ovalbumine est la principale protéine du blanc d'œuf de poule, représentant environ 54-64% de sa masse totale. Elle appartient à la famille des albumines sériques et a une masse moléculaire d'environ 45 kDa. L'ovalbumine est souvent étudiée dans le contexte des allergies alimentaires, car elle est l'un des allergènes les plus courants trouvés dans les œufs de poule et peut provoquer des réactions allergiques chez certaines personnes. Elle a une structure complexe composée de trois domaines distincts: le domaine N-terminal, le domaine hydrophobe et le domaine C-terminal. La fonction précise de l'ovalbumine dans les œufs n'est pas entièrement comprise, mais on pense qu'elle joue un rôle dans le développement embryonnaire en fournissant des acides aminés et des nutriments essentiels.

La ventilation pulmonaire est un processus physiologique essentiel à la vie qui consiste en l'acte d'inhaler et d'exhaler de l'air pour permettre l'apport d'oxygène dans les poumons et l'élimination du dioxyde de carbone. Ce processus est assuré par le mouvement des muscles respiratoires, notamment le diaphragme et les muscles intercostaux, qui entraînent une expansion et une contraction de la cage thoracique.

Lors de l'inspiration, ces muscles se contractent et la cage thoracique s'élargit, ce qui entraîne une baisse de la pression intrathoracique et permet à l'air de pénétrer dans les poumons par les voies respiratoires. L'oxygène présent dans l'air inspiré diffuse ensuite à travers les parois des alvéoles pulmonaires pour rejoindre la circulation sanguine, où il est transporté vers les différents tissus et organes du corps.

Lors de l'expiration, les muscles respiratoires se relâchent et la cage thoracique revient à sa position initiale, ce qui entraîne une augmentation de la pression intrathoracique et permet au dioxyde de carbone présent dans le sang de diffuser à travers les parois des alvéoles pulmonaires pour être éliminé lors de l'expiration.

La ventilation pulmonaire est un processus automatique régulé par le système nerveux autonome, mais il peut également être contrôlé volontairement grâce à la respiration consciente. Des troubles de la ventilation pulmonaire peuvent entraîner une insuffisance respiratoire et des complications graves pour la santé.

Les muscles lisses sont un type de muscle involontaire, ce qui signifie qu'ils fonctionnent automatiquement sans contrôle volontaire conscient. Ils forment la majorité des parois des organes creux tels que les vaisseaux sanguins, le tube digestif (y compris l'estomac et les intestins), la vessie et l'utérus. Les muscles lisses sont également trouvés dans les structures comme les bronches, les conduits de la glande salivaire et les organes reproducteurs.

Contrairement aux muscles squelettiques, qui ont des bandes transversales distinctives appelées stries, les muscles lisses n'ont pas ces caractéristiques. Ils sont composés de cellules allongées avec un seul noyau central, et leur contraction est régulée par le système nerveux autonome. Les mouvements qu'ils produisent sont rythmiques et involontaires, contribuant à des fonctions corporelles importantes telles que la circulation sanguine, la digestion, la miction et la défécation.

Les études croisées, également appelées études croisées randomisées ou études à double insu croisé, sont un type de conception d'étude clinique dans laquelle les participants reçoivent deux ou plusieurs interventions ou traitements différents dans un ordre systématique et contrôlé. Dans une étude croisée typique, chaque participant recevra chaque intervention à des moments différents, avec une période de lavage entre eux pour éliminer les effets résiduels de la première intervention.

Habituellement, les études croisées sont utilisées dans le contexte d'essais cliniques randomisés pour comparer l'efficacité relative de deux traitements ou interventions. Elles peuvent être particulièrement utiles lorsque la variabilité individuelle dans la réponse au traitement est élevée, ce qui peut rendre plus difficile la détection des différences entre les groupes de traitement dans une étude parallèle traditionnelle.

Les avantages des études croisées comprennent la possibilité d'utiliser chaque participant comme son propre contrôle, ce qui peut réduire la variabilité et augmenter la puissance statistique. Cependant, elles présentent également certaines limites, telles que la complexité accrue de la conception et de l'analyse des données, ainsi qu'un risque accru de biais si les participants ou les évaluateurs ne sont pas correctement aveugles aux interventions.

En médecine, les études croisées sont souvent utilisées pour évaluer l'efficacité des médicaments et d'autres traitements dans le contrôle des symptômes, la gestion de la douleur ou l'amélioration de la fonction physique. Elles peuvent également être utiles pour étudier les effets indésirables des interventions et les interactions entre les traitements.

Les antiasthmatiques sont une classe de médicaments utilisés pour prévenir et traiter les symptômes de l'asthme, une maladie respiratoire chronique qui provoque une inflammation et un rétrécissement des voies respiratoires. Ces médicaments agissent en relaxant les muscles des voies respiratoires, en réduisant l'inflammation et en prévenant la constriction des bronches.

Il existe plusieurs types d'antiasthmatiques, notamment :

1. Les bêta-2 agonistes de courte durée d'action (SABA), tels que l'albutérol et le levalbuterol, qui sont utilisés pour soulager les symptômes aigus de l'asthme.
2. Les bêta-2 agonistes de longue durée d'action (LABA), tels que le salmétérol et le formotérol, qui sont utilisés en combinaison avec des corticostéroïdes inhalés pour contrôler les symptômes persistants de l'asthme.
3. Les anticholinergiques, tels que l'ipratropium et le tiotropium, qui sont utilisés pour détendre les muscles des voies respiratoires et réduire la production de mucus.
4. Les corticostéroïdes inhalés, tels que la béclométasone et la fluticasone, qui sont utilisés pour réduire l'inflammation des voies respiratoires.
5. Les antileucotriènes, tels que le montélukast et le zafirlukast, qui sont utilisés pour prévenir l'inflammation et la constriction des bronches.
6. Les théophyllines, qui sont utilisées pour détendre les muscles des voies respiratoires et réduire l'inflammation.

Il est important de noter que chaque type d'antiasthmatique a ses propres avantages, inconvénients et effets secondaires potentiels. Par conséquent, il est essentiel de travailler en étroite collaboration avec un médecin pour déterminer le traitement le plus approprié pour chaque individu atteint d'asthme.

Les tachykinines sont des neuropeptides qui activent un groupe de récepteurs couplés aux protéines G, connus sous le nom de récepteurs tachykiniques. Ils jouent un rôle important dans la transmission des impulsions nerveuses et sont associés à une variété de fonctions physiologiques et pathophysiologiques, y compris la douleur, l'inflammation et la fonction cardiovasculaire.

Les tachykinines les plus connues sont la substance P, la neurokinine A et la neurokinine B. Elles sont largement distribuées dans le système nerveux central et périphérique et sont souvent co-localisées avec d'autres neuropeptides et neurotransmetteurs.

Les récepteurs tachykiniques comprennent les récepteurs de la substance P (NK1), les récepteurs de la neurokinine A (NK2) et les récepteurs de la neurokinine B (NK3). Ces récepteurs sont des cibles thérapeutiques importantes pour le traitement de diverses affections médicales, telles que la douleur neuropathique, l'asthme et les maladies inflammatoires de l'intestin.

Les antihistaminiques des récepteurs H1 sont un type de médicament utilisé pour traiter les symptômes d'allergies, tels que les éternuements, le nez qui coule, les démangeaisons oculaires et la peau, et les réactions allergiques plus graves telles que l'urticaire et l'angio-œdème. Ils fonctionnent en bloquant l'action de l'histamine, une substance chimique libérée par le système immunitaire pendant une réaction allergique qui provoque des symptômes tels que des démangeaisons, des rougeurs et un gonflement.

Les antihistaminiques H1 peuvent être classés en deux générations. Les antihistaminiques de première génération, tels que la diphénhydramine et la chlorphéniramine, ont tendance à traverser facilement la barrière hémato-encéphalique et peuvent causer de la somnolence et d'autres effets secondaires du système nerveux central. Les antihistaminiques de deuxième génération, tels que la loratadine et la cetirizine, sont moins susceptibles de traverser la barrière hémato-encéphalique et ont tendance à avoir moins d'effets secondaires du système nerveux central.

En plus de leurs propriétés antihistaminiques, certains antihistaminiques H1 ont également des effets anti-inflammatoires et sont utilisés pour traiter les symptômes de l'asthme et d'autres affections inflammatoires.

Les sulfites sont des composés chimiques qui contiennent du soufre et sont souvent utilisés comme conservateurs dans les aliments et les boissons. Dans un contexte médical, ils sont considérés comme des additifs alimentaires et sont désignés par le code E220 à E228.

Les sulfites sont approuvés pour une utilisation dans l'industrie alimentaire dans de nombreux pays, y compris les États-Unis et l'Union européenne. Ils peuvent être trouvés dans une variété d'aliments transformés tels que les fruits séchés, les légumes, les jus de fruits, le vin, la bière, les boissons gazeuses, les bonbons, les biscuits, les craquelins, les sauces et les viandes transformées.

Cependant, certaines personnes peuvent être sensibles ou allergiques aux sulfites, ce qui peut entraîner des symptômes tels que des rougeurs cutanées, des démangeaisons, de l'eczéma, de l'asthme, des difficultés respiratoires, de la diarrhée et des crampes abdominales. Les personnes atteintes d'asthme sont plus susceptibles de développer une sensibilité aux sulfites.

En général, les sulfites sont considérés comme sûrs pour la plupart des gens lorsqu'ils sont utilisés en quantités appropriées. Cependant, les fabricants d'aliments et de boissons sont tenus de mentionner la présence de sulfites sur l'étiquette si la concentration est supérieure à 10 parties par million (ppm).

Les quinoléines sont un type de composés hétérocycliques qui contiennent un noyau benzène fusionné avec un cycle pyridine. Elles ont des propriétés antibactériennes et antipaludéennes, ce qui en fait des ingrédients actifs dans certains médicaments. Les quinoléines les plus couramment utilisées dans la médecine sont appelées fluoroquinolones, qui inhibent la réplication de l'ADN bactérien en ciblant l'enzyme gyrase bactérienne.

Cependant, il est important de noter que l'utilisation de fluoroquinolones est associée à des risques graves, tels que des troubles du système nerveux périphérique, des tendinites et des ruptures de tendons, qui peuvent survenir même après une utilisation unique ou à court terme. Par conséquent, les fluoroquinolones sont généralement réservées au traitement de certaines infections graves et compliquées qui ne peuvent être traitées avec d'autres agents antibactériens moins toxiques.

Les leucotriènes sont des molécules inflammatoires lipidiques qui jouent un rôle important dans les réponses allergiques et l'inflammation. Ils sont produits à partir de l'acide arachidonique, un acide gras polyinsaturé présent dans les membranes cellulaires, par une enzyme appelée lipoxygénase. Les leucotriènes se lient aux récepteurs des leucotriènes situés sur la surface des cellules et déclenchent une cascade de réactions inflammatoires.

Il existe plusieurs types de leucotriènes, mais les plus importants sont les LTC4, LTD4 et LTE4, qui sont regroupés sous le nom de "leucotriènes cystéinyls". Ces molécules sont produites principalement par les cellules immunitaires telles que les éosinophiles et les mastocytes en réponse à des stimuli tels que les allergènes ou les infections.

Les leucotriènes cystéinyls sont des puissants bronchoconstricteurs, ce qui signifie qu'ils provoquent une constriction des muscles lisses des voies respiratoires et peuvent entraîner des symptômes d'asthme tels que la toux, l'oppression thoracique et la respiration sifflante. Ils sont également responsables de l'augmentation de la perméabilité vasculaire, de l'œdème et de l'inflammation des voies respiratoires.

Les médicaments appelés antagonistes des leucotriènes peuvent être utilisés pour traiter l'asthme en bloquant les récepteurs des leucotriènes et en empêchant ainsi leurs effets inflammatoires et bronchoconstricteurs.

Le facteur d'activation plaquettaire (FAP) est une glycoprotéine présente dans les granules alpha des plaquettes sanguines. Il joue un rôle crucial dans la cascade de coagulation sanguine et la réparation des vaisseaux sanguins endommagés. Lorsque les plaquettes sont activées en réponse à une lésion vasculaire, le FAP est libéré dans le sang et contribue à l'agrégation plaquettaire, favorisant ainsi la formation d'un caillot sanguin pour arrêter le saignement. Le FAP agit comme un facteur de croissance pour les cellules endothéliales et smooth muscle cells, ce qui peut entraîner une prolifération cellulaire excessive et potentialiser la pathogenèse de maladies cardiovasculaires telles que l'athérosclérose. Des niveaux élevés de FAP dans le sang peuvent être un indicateur de risque accru de thrombose et d'événements cardiovasculaires indésirables.

Le Débit Expiratoire de Pointe (DEP), également connu sous le nom de Peak Expiratory Flow (PEF), est un paramètre utilisé en médecine pour évaluer la fonction pulmonaire. Il représente le débit d'air maximal exprimé lors d'une expiration forcée et rapide à partir de la position maximale de inspiration.

Il fournit des informations sur la force et la rapidité avec lesquelles l'air peut être expulsé des poumons, ce qui est particulièrement utile dans le diagnostic et le suivi de maladies respiratoires obstructives comme l'asthme. Les valeurs du DEP sont souvent réduites chez les personnes atteintes de ces maladies, surtout pendant les périodes de gêne respiratoire aiguë.

La mesure du DEP est généralement effectuée à l'aide d'un dispositif portable appelé débitmètre de pointe. Ce test est souvent inclus dans les évaluations régulières de la fonction pulmonaire pour surveiller l'évolution de la maladie et l'efficacité du traitement.

Les récepteurs tachykinines sont un type de récepteurs couplés aux protéines G qui se lient à des neuropeptides appelés tachykinines. Les tachykinines les plus connues sont la substance P, la neurokinine A et la neurokinine B. Ces récepteurs jouent un rôle important dans la transmission de signaux chimiques dans le système nerveux central et périphérique.

Il existe trois sous-types de récepteurs tachykinines connus : NK1, NK2 et NK3. Chaque sous-type a une affinité différente pour les différents ligands tachykinines. Par exemple, la substance P se lie préférentiellement au récepteur NK1, tandis que la neurokinine A se lie préférentiellement aux récepteurs NK2 et NK3.

Les récepteurs tachykinines sont largement distribués dans le corps humain et sont impliqués dans une variété de fonctions physiologiques et pathologiques, telles que la douleur, l'inflammation, la fonction cardiovasculaire, la fonction gastro-intestinale, et les comportements liés à la dépendance. En médecine, les récepteurs tachykinines sont des cibles thérapeutiques importantes pour le développement de médicaments contre la douleur, les nausées et vomissements, et d'autres affections.

La vagotomie est une procédure chirurgicale qui consiste à interrompre sélectivement ou complètement les fibres du nerf vague pour réduire la production d'acide gastrique. Le nerf vague, également connu sous le nom de nerf pneumogastrique, est un nerf crânien pair qui innerve de nombreuses structures dans le thorax et l'abdomen, y compris l'estomac.

Dans la vagotomie sélective, seules les branches du nerf vague qui innervent directement l'estomac sont coupées. Cela permet de préserver les autres fonctions du nerf vague, telles que la régulation cardiaque et respiratoire. Dans la vagotomie transthoracique, également appelée vagotomie complète, le nerf vague est sectionné des deux côtés à la fois, ce qui entraîne une réduction significative de la production d'acide gastrique.

Cette procédure était couramment utilisée dans le passé pour traiter les ulcères peptiques récurrents et leurs complications, telles que l'hémorragie ou la perforation. Cependant, avec l'avènement des médicaments anti-acides puissants et de l'éradication de Helicobacter pylori, la vagotomie est maintenant rarement pratiquée.

L'appareil respiratoire est un système anatomique et physiologique qui permet à l'organisme d'effectuer les échanges gazeux nécessaires à la vie, c'est-à-dire d'extraire l'oxygène de l'air inspiré et d'éliminer le dioxyde de carbone produit par le métabolisme cellulaire.

L'appareil respiratoire se compose des voies respiratoires (nez, pharynx, larynx, trachée, bronches et bronchioles) qui conduisent l'air inspiré jusqu'aux poumons, et des poumons eux-mêmes, où ont lieu les échanges gazeux. Les poumons sont constitués de lobes (deux dans le poumon droit et un dans le poumon gauche chez l'être humain) qui contiennent des millions d'alvéoles pulmonaires, petits sacs aériens tapissés de capillaires sanguins.

Lors de la respiration, l'air inspiré circule à travers les voies respiratoires jusqu'aux alvéoles pulmonaires, où il diffuse dans le sang grâce à la différence de pression partielle entre l'oxygène contenu dans l'air et celui présent dans le sang. Le dioxyde de carbone, produit par les cellules du corps lors de la respiration cellulaire, est quant à lui éliminé du sang au niveau des alvéoles pulmonaires pour être expiré hors du corps.

L'appareil respiratoire peut être affecté par diverses maladies et affections, telles que l'asthme, la bronchite, l'emphysème, la pneumonie ou le cancer du poumon. Il est important de prendre soin de ses voies respiratoires en évitant les irritants tels que la fumée de tabac et en adoptant des habitudes saines telles qu'une activité physique régulière et une alimentation équilibrée.

La spirométrie est un test de fonction pulmonaire couramment utilisé pour diagnostiquer et évaluer les maladies respiratoires telles que l'asthme, la bronchite chronique et l'emphysème. Ce test mesure la quantité d'air que vous pouvez inspirer et expirer, ainsi que la vitesse à laquelle vous pouvez le faire.

Pendant le test, vous serez invité à souffler aussi fort et aussi rapidement que possible dans un tube connecté à un spiromètre, un appareil qui enregistre les mesures de la quantité d'air que vous expirez et la vitesse à laquelle vous l'expirez. Les résultats sont ensuite comparés aux valeurs normales pour votre âge, taille, sexe et race.

La spirométrie peut aider à déterminer la gravité de la maladie respiratoire, à évaluer l'efficacité du traitement et à surveiller les changements dans la fonction pulmonaire au fil du temps. Il est important de suivre les instructions du prestataire de soins de santé avant et pendant le test pour obtenir des résultats précis et utiles.

L'atropine est un alcaloïde tropane présent dans certaines plantes, telles que la belladone et la datura. Elle est également disponible sous forme synthétique. L'atropine agit comme un antagoniste des récepteurs muscariniques de l'acétylcholine dans le système nerveux parasympathique, entraînant une diminution de la sécrétion salivaire et gastrique, une tachycardie, une dilatation pupillaire et un ralentissement du péristaltisme intestinal.

Les dérivés de l'atropine sont des composés chimiquement modifiés qui possèdent des propriétés pharmacologiques similaires à celles de l'atropine. Ils sont souvent utilisés en médecine pour traiter une variété de conditions, telles que les overdoses de médicaments cholinergiques, le syndrome du côlon irritable, la bradycardie et les nausées et vomissements postopératoires.

Les dérivés couramment utilisés de l'atropine comprennent l'hyoscyamine, la scopolamine et le butylscopolamine. Ces médicaments peuvent être administrés par voie orale, sous forme de patch cutané ou par injection. Les effets secondaires courants des dérivés de l'atropine comprennent une sécheresse de la bouche, une vision floue, une constipation, une rétention urinaire et une augmentation de la pression intraoculaire.

L'obstruction des voies aériennes est un terme médical qui décrit la situation dans laquelle le flux d'air vers et depuis les poumons est entravé ou complètement bloqué. Cela peut être causé par une variété de facteurs, y compris les corps étrangers, l'enflure, les tumeurs, la relaxation excessive des muscles des voies respiratoires ou une combinaison de ces facteurs.

Lorsque les voies aériennes sont partiellement obstruées, il peut devenir difficile pour une personne de respirer normalement et elle peut ressentir une sensation d'étouffement ou d'essoufflement. Une obstruction complète des voies aériennes empêche complètement l'air d'entrer dans les poumons, ce qui peut entraîner une privation d'oxygène et une cyanose (coloration bleue de la peau due à un manque d'oxygène).

Selon la cause et la gravité de l'obstruction des voies aériennes, le traitement peut varier. Dans les cas graves, une intervention médicale immédiate est nécessaire pour éliminer l'obstruction et rétablir la respiration normale. Les mesures préventives telles que l'éducation sur les dangers des corps étrangers dans les voies respiratoires et la surveillance régulière des personnes atteintes de maladies pulmonaires ou de troubles qui peuvent affecter les muscles des voies respiratoires peuvent également aider à prévenir l'obstruction des voies aériennes.

La terfénadine est un antihistaminique, plus précisément un bloqueur des récepteurs H1, qui a été largement utilisé pour traiter les symptômes d'allergies saisonnières et d'autres affections provoquant des démangeaisons et des éruptions cutanées. Il agit en empêchant l'histamine, une substance chimique libérée par le système immunitaire pendant une réaction allergique, de se lier aux récepteurs H1 dans le corps.

Cependant, la terfénadine a été retirée du marché dans de nombreux pays, y compris les États-Unis, en raison d'une préoccupation majeure concernant son potentiel à provoquer des arythmies cardiaques graves, telles que la torsade de pointes, en particulier lorsqu'elle est prise avec certains autres médicaments. Par conséquent, elle n'est plus largement utilisée dans la médecine clinique actuelle.

Un nébuliseur est un appareil médical utilisé pour administrer des médicaments sous forme de brouillard ou d'aérosol. Il convertit les solutions liquides en particules fines qui peuvent être inhalées profondément dans les poumons. Les nébuliseurs sont souvent utilisés pour traiter les affections respiratoires telles que l'asthme, la bronchite chronique et l'emphysème, car ils permettent une distribution uniforme et efficace des médicaments directement dans les voies respiratoires. Ils sont particulièrement utiles pour ceux qui ont du mal à utiliser des inhalateurs en aérosol doseur ou des chambres d'inhalation en raison de leur âge, de leur handicap ou de la gravité de leur état.

La relation dose-effet des médicaments est un principe fondamental en pharmacologie qui décrit la corrélation entre la dose d'un médicament donnée et l'intensité de sa réponse biologique ou clinique. Cette relation peut être monotone, croissante ou décroissante, selon que l'effet du médicament s'accroît, se maintient ou diminue avec l'augmentation de la dose.

Dans une relation dose-effet typique, l'ampleur de l'effet du médicament s'accroît à mesure que la dose administrée s'élève, jusqu'à atteindre un plateau où des augmentations supplémentaires de la dose ne produisent plus d'augmentation de l'effet. Cependant, dans certains cas, une augmentation de la dose peut entraîner une diminution de l'efficacité du médicament, ce qui est connu sous le nom d'effet de biphasique ou en forme de U inversé.

La relation dose-effet est un concept crucial pour déterminer la posologie optimale des médicaments, c'est-à-dire la dose minimale efficace qui produit l'effet thérapeutique souhaité avec un risque d'effets indésirables minimal. Une compréhension approfondie de cette relation permet aux professionnels de la santé de personnaliser les traitements médicamenteux en fonction des caractéristiques individuelles des patients, telles que leur poids corporel, leur âge, leurs comorbidités et leur fonction hépatique ou rénale.

Il est important de noter que la relation dose-effet peut varier considérablement d'un médicament à l'autre et même entre les individus pour un même médicament. Par conséquent, il est essentiel de tenir compte des facteurs susceptibles d'influencer cette relation lors de la prescription et de l'administration des médicaments.

Les éthanolamines sont un groupe de composés organiques qui contiennent une fonction amine et un groupe hydroxyle (-OH) attaché à l'atome de carbone adjacent. Elles sont largement utilisées dans diverses applications industrielles et médicales. Dans le contexte médical, les éthanolamines les plus pertinentes sont souvent mentionnées en relation avec les métabolismes des lipides et des neurotransmetteurs.

Les éthanolamines comprennent :

1. La choline : Un nutriment essentiel qui est un précurseur de l'acétylcholine, un neurotransmetteur important dans le cerveau et d'autres parties du corps.

2. La monoéthanolamine (MEA) : Elle est parfois utilisée comme un émulsifiant dans les cosmétiques et les médicaments topiques.

3. La diéthanolamine (DEA) : Utilisé comme un émulsifiant, un solvant et un tampon dans divers produits industriels et pharmaceutiques. Cependant, il peut réagir avec des nitrites pour former des nitrosamines, qui sont des composés cancérigènes connus.

4. La triéthanolamine (TEA) : Elle est utilisée comme un émulsifiant, un surfactant et un tampon dans les produits de soins personnels, les cosmétiques et certains médicaments topiques. Tout comme la DEA, il peut former des nitrosamines cancérigènes en réagissant avec des nitrites.

Les éthanolamines sont également importantes dans le métabolisme des lipides, où elles peuvent être dérivées de la phosphatidyléthanolamine, une composante majeure des membranes cellulaires. Des déséquilibres dans les niveaux d'éthanolamines peuvent être associés à certaines conditions médicales, telles que des troubles neurologiques et des maladies métaboliques.

Les composés de benzalkonium sont des sels d'un ammonium quaternaire, le benzalkonium, qui est un dérivé de la diméthylbenzylamine. Ils sont largement utilisés comme agents antimicrobiens et désinfectants en raison de leur activité contre une large gamme de bactéries, de champignons et de virus.

Les composés de benzalkonium sont souvent utilisés dans les produits d'hygiène personnelle tels que les savons, les déodorants, les collyres et les gouttes auriculaires. Ils sont également utilisés comme conservateurs dans les cosmétiques, les médicaments topiques et les solutions ophtalmiques.

Ces composés fonctionnent en perturbant la membrane cellulaire des micro-organismes, ce qui entraîne une fuite d'ions et de molécules essentielles à la survie de la cellule. Cela peut entraîner la mort de la cellule microbienne.

Bien que les composés de benzalkonium soient considérés comme sûrs pour une utilisation topique chez l'homme, ils peuvent provoquer une irritation cutanée ou oculaire chez certaines personnes. De plus, une exposition prolongée ou répétée à ces composés peut entraîner une sensibilisation de la peau et des muqueuses. Par conséquent, il est important de suivre les instructions d'utilisation appropriées lors de l'utilisation de produits contenant des composés de benzalkonium.

Un allergène est une substance qui peut provoquer une réaction allergique dans certaines personnes. Lorsqu'une personne est exposée à un allergène, son système immunitaire le considère comme étranger et déclenche une réponse immunitaire excessive, entraînant des symptômes tels que des démangeaisons, des éternuements, des larmoiements, une congestion nasale, de l'eczéma, de l'asthme ou un choc anaphylactique dans les cas graves.

Les allergènes peuvent provenir de diverses sources, notamment :

1. Pollens de plantes
2. Acariens
3. Animaux domestiques (poils, squames, urine)
4. Insectes (comme les cafards et les acariens)
5. Aliments (arachides, lait, œufs, soja, blé, poisson, crustacés)
6. Moisissures
7. Latex
8. Médicaments (pénicilline, aspirine)
9. Produits chimiques et métaux (notamment le nickel)
10. Venins d'insectes (abeilles, guêpes, frelons)

Les allergies sont courantes et peuvent affecter les personnes de tous âges et de tous horizons. Il est important de consulter un médecin ou un allergologue pour diagnostiquer et gérer correctement les réactions aux allergènes, ce qui peut inclure des mesures d'évitement, des médicaments en vente libre ou sur ordonnance et, dans certains cas, une immunothérapie (désensibilisation).

La mesure du volume pulmonaire est une évaluation quantitative des différentes capacités et volumes d'air dans les poumons. Il s'agit d'une méthode courante utilisée en médecine pour diagnostiquer, évaluer et suivre l'évolution de diverses affections pulmonaires telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), l'asthme, la fibrose kystique et d'autres maladies restrictives ou obstructives des poumons.

Les volumes pulmonaires couramment mesurés comprennent :

1. Le volume courant (VC) : c'est la quantité d'air qu'une personne peut expirer après une inspiration maximale.
2. La capacité vitale (CV) : il s'agit de la quantité maximale d'air qu'une personne peut expirer après une inspiration maximale, généralement plus grande que le volume courant.
3. Le volume résiduel (VR) : c'est l'air qui reste dans les poumons même après une expiration forcée et maximale.
4. La capacité totale de réserve inspiratoire (CTRI) : il s'agit de la quantité supplémentaire d'air qu'une personne peut inhaler au-delà du volume courant.
5. La capacité pulmonaire totale (CPT) : c'est la somme des volumes courant, résiduel et inspiratoire de réserve.

Ces mesures peuvent être obtenues en utilisant diverses techniques, telles que la spirométrie, les tests de bodyplethysmographie ou la gazométrie du sang artériel. Les résultats sont généralement comparés aux valeurs normales attendues pour l'âge, le sexe et la taille de la personne, ce qui permet d'identifier toute anomalie ou restriction pulmonaire.

Les antagonistes cholinergiques sont des médicaments ou des substances qui bloquent l'action du neurotransmetteur acétylcholine dans le corps. Ils agissent en se liant aux récepteurs de l'acétylcholine et en empêchant l'acétylcholine de s'y lier, ce qui inhibe la transmission des signaux nerveux.

Les antagonistes cholinergiques peuvent être utilisés pour traiter une variété de conditions médicales, telles que les troubles gastro-intestinaux, les maladies cardiovasculaires, les affections oculaires et certaines formes de démence. Cependant, ils peuvent également entraîner des effets secondaires indésirables tels que la sécheresse de la bouche, la constipation, la confusion, la vision floue et l'augmentation du rythme cardiaque.

Certains exemples courants d'antagonistes cholinergiques comprennent l'atropine, la scopolamine, le diphénhydramine et certains antidépresseurs tricycliques. Il est important de suivre les instructions posologiques de votre médecin lorsque vous prenez des médicaments anticholinergiques pour minimiser les risques d'effets secondaires indésirables.

Les récepteurs muscariniques de type M3 sont un sous-type de récepteurs muscariniques, qui sont des protéines membranaires couplées aux protéines G (GPCR) que l'acétylcholine et d'autres ligands peuvent se lier et activer. Les récepteurs muscariniques de type M3 sont largement distribués dans le corps, en particulier dans les tissus smooth muscle, la glande salivaire, les bronches, l'intestin grêle, la rate, le cœur et la vésicule biliaire.

Lorsque l'acétylcholine ou d'autres agonistes se lient aux récepteurs muscariniques de type M3, ils activent une cascade de signalisation intracellulaire qui aboutit à la stimulation des voies de signalisation Gq / 11 et l'activation de la phospholipase C-β (PLC-β). Cela entraîne une augmentation des niveaux d'inositol trisphosphate (IP3) et diacylglycérol (DAG), qui à leur tour déclenchent la libération du calcium intracellulaire et l'activation de la protéine kinase C (PKC).

L'activation des récepteurs muscariniques de type M3 entraîne une série de réponses physiologiques, notamment la contraction des muscles lisses, la sécrétion exocrine et endocrine, et la régulation du rythme cardiaque. Des exemples spécifiques de ces réponses comprennent la constriction des bronches et des vaisseaux sanguins, la stimulation de la sécrétion gastrique et salivaire, et l'augmentation de la fréquence cardiaque et de la force de contraction.

Les récepteurs muscariniques de type M3 sont également des cibles thérapeutiques importantes pour une variété de conditions médicales, notamment l'asthme, la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), l'hypertension artérielle et les troubles cardiovasculaires. Les antagonistes des récepteurs muscariniques de type M3, tels que l'ipratropium et le tiotropium, sont souvent utilisés pour traiter ces conditions en relaxant les muscles lisses et en dilatant les voies respiratoires.

Les antagonistes du récepteur Neurokinin-1 (NK-1R) sont des composés pharmacologiques qui se lient et bloquent les récepteurs NK-1 situés dans le système nerveux central et périphérique. Les neurokinines, en particulier la substance P, sont des neuropeptides qui se lient aux récepteurs NK-1 et jouent un rôle important dans la transmission de la douleur et d'autres fonctions physiologiques telles que la nausée et le vomissement.

Les antagonistes du récepteur NK-1 sont donc utilisés dans le traitement de diverses affections, y compris la gestion de la douleur neuropathique et la prévention des nausées et des vomissements induits par la chimiothérapie. En bloquant les récepteurs NK-1, ces antagonistes empêchent l'activation de la voie de signalisation de la substance P, ce qui entraîne une diminution de la transmission de la douleur et des nausées.

Les exemples d'antagonistes du récepteur NK-1 comprennent l'aprépitant, le fosaprépitant et le rolapitant. Ces médicaments sont généralement bien tolérés, mais peuvent entraîner des effets secondaires tels que des étourdissements, de la fatigue, des maux de tête et des nausées légères.

La bradykinine est une substance chimique qui est libérée dans le corps comme partie d'un processus inflammatoire ou en réponse à une lésion tissulaire. Elle est un peptide qui se compose de neuf acides aminés et est formée à partir de la dégradation de certaines protéines sanguines, telles que les kininogènes, par des enzymes spécifiques appelées kininases.

La bradykinine a plusieurs effets sur le corps humain, notamment la dilatation des vaisseaux sanguins, l'augmentation de leur perméabilité et la stimulation des nerfs sensoriels, ce qui entraîne une sensation de douleur. Elle joue également un rôle important dans la régulation de la pression artérielle et de la fonction rénale.

Dans certaines conditions médicales, telles que l'angio-œdème héréditaire ou l'insuffisance rénale chronique, il peut y avoir une production excessive de bradykinine ou une diminution de son métabolisme, ce qui entraîne des symptômes tels que des gonflements, des rougeurs et des douleurs.

En général, la bradykinine est un médiateur important du système immunitaire et joue un rôle clé dans la réponse inflammatoire de l'organisme à une blessure ou à une infection.

Thromboxane A2 (TXA2) est une substance qui appartient à la famille des eicosanoïdes, des molécules lipidiques produites dans le corps en réponse à divers stimuli. TXA2 est synthétisé à partir de l'acide arachidonique par l'action d'une enzyme appelée cyclooxygénase-1 (COX-1) dans les plaquettes sanguines.

TXA2 joue un rôle crucial dans la régulation de l'hémostase, qui est le processus permettant de stopper le saignement en formant un caillot sanguin après une blessure vasculaire. Il agit comme un puissant vasoconstricteur, ce qui signifie qu'il rétrécit les vaisseaux sanguins pour limiter la perte de sang. De plus, TXA2 favorise l'agrégation plaquettaire, c'est-à-dire la formation de clusters plaquettaires qui contribuent à la formation du caillot sanguin.

Cependant, une production excessive de Thromboxane A2 peut entraîner des complications telles que la thrombose, une condition dans laquelle un caillot sanguin se forme dans une veine ou une artère et obstrue le flux sanguin. Des médicaments tels que l'aspirine peuvent inhiber la synthèse de TXA2 en inhibant l'action de l'enzyme COX-1, ce qui peut être bénéfique dans la prévention des événements thrombotiques.

La Substance P est un neuropeptide composé de 11 acides aminés, découvert en 1931 par le scientifique Ulf von Euler. Il s'agit d'un médiateur chimique important dans la transmission des signaux de douleur, des inflammations et des réponses émotionnelles dans le système nerveux central et périphérique.

La Substance P est largement distribuée dans le cerveau et la moelle épinière, où elle agit comme un neurotransmetteur ou un neuromodulateur en se liant aux récepteurs NK1 (neurokinine 1). Elle joue également un rôle crucial dans divers processus physiologiques tels que la régulation de la pression artérielle, la fonction gastro-intestinale et la modulation de l'humeur.

Dans le contexte médical, des anomalies dans la production ou la transmission de la Substance P peuvent contribuer au développement de diverses affections, notamment la douleur chronique, les troubles anxieux et dépressifs, ainsi que certains types de maladies inflammatoires. Des recherches sont en cours pour développer des traitements ciblant spécifiquement les récepteurs NK1 comme stratégie thérapeutique dans le traitement de la douleur et d'autres affections liées à la Substance P.

La mécanique respiratoire est un terme utilisé en médecine et en physiologie pour décrire les forces et les mouvements impliqués dans la ventilation, c'est-à-dire le processus d'inhalation et d'exhalation de l'air. Il s'agit essentiellement de la partie du fonctionnement du système respiratoire qui concerne la manière dont les poumons se gonflent et se dégonflent.

Cela implique principalement deux processus :

1. Les mouvements de la cage thoracique (thorax) : Pendant l'inhalation, les muscles intercostaux et le diaphragme se contractent, ce qui entraîne l'expansion de la cage thoracique. Cela crée un espace négatif qui aspire l'air dans les poumons. Lors de l'expiration, ces muscles se relâchent, permettant à la cage thoracique de revenir à sa position initiale et de pousser l'air hors des poumons.

2. Les mouvements des poumons : Les poumons sont élastiques et ont tendance à se rétracter vers leur forme dégonflée lorsque les forces extérieures (comme la pression atmosphérique) ne les maintiennent pas étendus. Pendant l'inhalation, l'air pénètre dans les poumons en raison de la différence de pression entre l'intérieur et l'extérieur des poumons. Pendant l'expiration, l'élasticité des poumons expulse naturellement l'air.

La mécanique respiratoire peut être affectée par diverses conditions médicales telles que la MPOC (maladie pulmonaire obstructive chronique), l'asthme, la fibrose kystique et d'autres maladies pulmonaires ou neuromusculaires. Elle est souvent évaluée en mesurant les volumes pulmonaires et les débits, qui peuvent fournir des informations sur la fonction pulmonaire et aider au diagnostic et à la gestion de ces conditions.

Antitussif est un terme médical qui se réfère à un médicament ou une substance qui est utilisé pour supprimer la toux. Ces médicaments agissent en déprressant l'activité du nerf vague, qui est responsable de la transmission des impulsions nerveuses de la gorge au cerveau, entraînant ainsi une réduction de la toux. Les antitussifs les plus couramment utilisés comprennent la dextrométhorphane et la codéine. Cependant, il est important de noter que l'utilisation d'antitussifs peut ne pas être appropriée dans tous les cas de toux, en particulier dans les cas où la toux est productive (apportant des sécrétions des poumons) ou est due à une maladie sous-jacente grave. Il est donc important de consulter un professionnel de la santé avant d'utiliser tout médicament contre la toux.

La mépyramine est un antihistaminique H1, ce qui signifie qu'il bloque les effets de l'histamine, une substance que le corps produit en réponse à un allergène. Il est utilisé pour traiter les symptômes d'allergies telles que les éternuements, les démangeaisons nasales et oculaires, les rougeurs des yeux et l'écoulement nasal.

La mépyramine agit en se liant aux récepteurs H1 de l'histamine dans le cerveau et le système nerveux central, ce qui entraîne une diminution de la libération d'histamine et d'autres médiateurs inflammatoires. Cela aide à soulager les symptômes d'allergie.

En plus de ses propriétés antihistaminiques, la mépyramine possède également des propriétés sédatives et anticholinergiques. Par conséquent, il peut être utilisé pour traiter le rhume des foins, les piqûres d'insectes, l'urticaire et d'autres réactions allergiques.

Cependant, la mépyramine n'est généralement pas considérée comme un antihistaminique de première ligne en raison de ses effets secondaires sédatifs et anticholinergiques importants. Elle peut provoquer une somnolence, des étourdissements, une bouche sèche, une vision floue, une rétention urinaire et d'autres effets indésirables. Par conséquent, elle doit être utilisée avec prudence et sous surveillance médicale stricte.

L'hypersensibilité, dans le contexte médical, se réfère à une réactivité excessive ou anormale du système immunitaire envers des substances généralement inoffensives, appelées allergènes. Cela provoque une réponse immunologique exagérée qui peut entraîner une variété de symptômes, allant des manifestations cutanées telles que l'eczéma et l'urticaire aux problèmes respiratoires comme l'asthme, ou même des réactions potentiellement mortelles telles que le choc anaphylactique.

Il existe différents types d'hypersensibilité, classés en quatre catégories (I à IV) selon les mécanismes immunitaires impliqués :

1. Hypersensibilité de type I: Aussi connue sous le nom de réaction allergique immédiate, elle est médiée par des anticorps de type IgE et inclut des symptômes tels que les éternuements, l'écoulement nasal, les démangeaisons cutanées, l'urticaire et le choc anaphylactique.

2. Hypersensibilité de type II: Dans ce type, les anticorps (généralement IgG ou IgM) se lient aux antigènes sur la surface des cellules, entraînant leur destruction par des mécanismes complémentaires ou cytotoxiques. Les exemples incluent les réactions transfusionnelles et les maladies auto-immunes.

3. Hypersensibilité de type III: Elle est causée par la formation d'immuns complexes entre les antigènes et les anticorps (généralement IgG), qui se déposent dans les tissus et activent le système du complément, entraînant une inflammation et des dommages tissulaires. Les exemples incluent la glomérulonéphrite aiguë post-streptococcique et le syndrome de vasculite associé aux anticorps anti-neutrophiles cytoplasmiques (ANCA).

4. Hypersensibilité de type IV: Aussi connu sous le nom de réaction retardée d'hypersensibilité, ce type est médié par des lymphocytes T activés et comprend des symptômes tels que l'érythème cutané, l'induration et la nécrose. Les exemples incluent les réactions aux piqûres d'insectes, le zona et la tuberculose.

En résumé, l'hypersensibilité est une réponse excessive du système immunitaire à des antigènes qui peut entraîner une inflammation et des dommages tissulaires. Il existe quatre types d'hypersensibilité, chacun ayant des mécanismes différents et des manifestations cliniques uniques. Une compréhension approfondie de ces types est essentielle pour le diagnostic et la prise en charge appropriés des maladies associées à l'hypersensibilité.

La respiration, dans un contexte médical, fait référence au processus d'échange gazeux entre l'air et le sang dans les poumons. Il consiste en deux phases principales : l'inspiration (ou l'acte de respirer dans) et l'expiration (ou l'acte de respirer).

Pendant l'inspiration, le diaphragme et les muscles intercostaux se contractent, ce qui entraîne une augmentation du volume de la cavité thoracique. Cela provoque une baisse de la pression à l'intérieur de la cavité thoracique, permettant à l'air de pénétrer dans les poumons par les voies respiratoires. L'oxygène présent dans l'air inspiré se dissout ensuite dans le sang et se lie à l'hémoglobine dans les globules rouges.

Au cours de l'expiration, le diaphragme et les muscles intercostaux se relâchent, ce qui entraîne une diminution du volume de la cavité thoracique et une augmentation de la pression à l'intérieur de celle-ci. Cela force l'air chargé en dioxyde de carbone (un déchet produit par les cellules du corps) à quitter les poumons par les voies respiratoires.

Des problèmes respiratoires peuvent survenir lorsque ce processus est altéré ou interrompu, comme dans des affections telles que l'asthme, la bronchite, l'emphysème et la pneumonie.

Le liquide de lavage bronchoalvéolaire (BALF) est une méthode de diagnostic utilisée en pneumologie pour évaluer l'état des voies respiratoires inférieures. Il s'agit d'un échantillon de liquide recueilli après avoir instillé et aspiré une solution saline stérile dans la bronche ou l'alvéole pulmonaire d'un patient.

Ce liquide contient des cellules, des protéines, des cytokines et d'autres composants qui peuvent aider à identifier la présence de diverses affections pulmonaires telles que les infections, l'inflammation, la fibrose pulmonaire, la pneumoconiosis, la maladie pulmonaire interstitielle et certains types de cancer du poumon.

L'analyse du BALF peut inclure le comptage des cellules, l'examen microscopique pour détecter la présence d'agents pathogènes ou de cellules anormales, ainsi que des tests chimiques et immunologiques pour évaluer les niveaux de divers marqueurs inflammatoires ou autres protéines.

Il est important de noter que le prélèvement de BALF nécessite une certaine expertise médicale et doit être effectué avec soin pour éviter d'endommager les tissus pulmonaires délicats.

La bronchospirométrie est un examen pulmonaire qui mesure la fonction respiratoire en évaluant la capacité des bronches à s'expandir et à se contracter. Elle est utilisée pour diagnostiquer et évaluer la gravité de l'asthme, de la bronchite chronique obstructive (BPCO) et d'autres maladies pulmonaires qui affectent les voies respiratoires.

L'examen consiste à souffler dans un appareil spécialisé appelé spiromètre, qui mesure le volume et la vitesse de l'air expiré. Des médicaments bronchodilatateurs peuvent être administrés pour déterminer si les voies respiratoires s'élargissent et la fonction pulmonaire s'améliore en réponse au traitement.

La bronchospirométrie est un examen non invasif, indolore et rapide qui fournit des informations importantes sur la fonction pulmonaire et aide à guider le plan de traitement pour les personnes atteintes de maladies pulmonaires.

L'administration respiratoire est une méthode de délivrance de médicaments ou de substances thérapeutiques directement dans les poumons par inhalation ou par aérosol. Cette voie d'administration permet au médicament d'être rapidement absorbé dans la circulation sanguine, ce qui entraîne un début d'action plus rapide et souvent une biodisponibilité améliorée par rapport à d'autres voies d'administration.

Les médicaments administrés par voie respiratoire peuvent être délivrés sous forme de gaz, de vapeurs, d'aérosols ou de particules solides. Les dispositifs couramment utilisés pour l'administration respiratoire comprennent les inhalateurs pressurisés, les inhalateurs de poudre sèche, les nébuliseurs et les chambres d'inhalation.

Les médicaments administrés par voie respiratoire sont souvent utilisés pour traiter des affections pulmonaires telles que l'asthme, la bronchite chronique, l'emphysème et la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC). Ils peuvent également être utilisés pour administrer des anesthésiques généraux pendant les procédures médicales.

Les agonistes bêta-adrénergiques sont des médicaments qui activent les récepteurs bêta-adrénergiques, qui se trouvent dans le système nerveux sympathique et d'autres tissus corporels. Ces récepteurs sont activés par des neurotransmetteurs tels que l'adrénaline (également appelée épinéphrine) et la noradrénaline (norépinéphrine).

Les agonistes bêta-adrénergiques peuvent être sélectifs ou non sélectifs, ce qui signifie qu'ils peuvent activer un ou plusieurs types de récepteurs bêta-adrénergiques. Les trois principaux types de récepteurs bêta-adrénergiques sont les bêta-1, bêta-2 et bêta-3.

Les agonistes bêta-adrénergiques ont divers effets sur le corps, en fonction du type de récepteur qu'ils activent. Par exemple :

* Les agonistes bêta-1 sélectifs sont souvent utilisés pour traiter l'insuffisance cardiaque congestive et la bradycardie (rythme cardiaque lent). Ils augmentent la force de contraction du cœur et la fréquence cardiaque.
* Les agonistes bêta-2 sélectifs sont souvent utilisés pour traiter l'asthme, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et d'autres affections pulmonaires. Ils détendent les muscles des voies respiratoires et augmentent le flux d'air vers les poumons.
* Les agonistes bêta-3 sélectifs sont utilisés pour traiter l'obésité et le diabète de type 2 en augmentant la combustion des graisses et en améliorant la sensibilité à l'insuline.

Les effets secondaires courants des agonistes bêta-adrénergiques comprennent l'anxiété, les tremblements, les palpitations cardiaques, l'hypertension artérielle et l'hypokaliémie (faible taux de potassium dans le sang). Les personnes qui utilisent des agonistes bêta-adrénergiques doivent être surveillées régulièrement pour détecter tout effet indésirable.

La sténose pathologique est un terme médical qui se réfère à l'étroitesse ou au rétrécissement anormal d'une lumière ou d'un conduit dans le corps, entraînant une altération du flux des fluides corporels tels que le sang, la salive ou les selles. Ce rétrécissement est souvent causé par une croissance anormale des tissus, comme des cicatrices, des tumeurs ou des calcifications, qui se développent dans la zone étroite et restreignent davantage le passage. Les sténoses pathologiques peuvent survenir dans diverses parties du corps, y compris les vaisseaux sanguins, les voies respiratoires, les voies digestives et les voies urinaires. Elles peuvent entraîner une variété de symptômes, en fonction de leur emplacement et de la gravité du rétrécissement, tels qu'une douleur thoracique, des essoufflements, des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales ou des difficultés à uriner. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une intervention chirurgicale ou d'autres procédures thérapeutiques.

Le Débit Expiratoire Forcé (DEF) est un terme utilisé en médecine et en particulier en pneumologie pour désigner le volume d'air que les poumons peuvent expulser à différents niveaux de pression pendant une expiration forcée. Il s'agit d'une mesure couramment utilisée dans les tests de fonction pulmonaire pour évaluer la capacité respiratoire et l'obstruction des voies respiratoires.

Le DEF est mesuré à différents volumes expirés, généralement exprimés en secondes (par exemple, DEF à 1 seconde, DEF à 0,5 seconde). Le DEF à 1 seconde, également connu sous le nom de FEV1 (Forced Expiratory Volume en 1 seconde), est particulièrement utile pour diagnostiquer et suivre l'évolution de maladies pulmonaires obstructives comme l'asthme ou la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO).

La mesure du DEF nécessite un équipement spécifique, tel qu'un spiromètre, et une technique standardisée pour garantir des résultats précis et comparables.

La Capacité Pulmonaire Vitale (CPV) est une mesure utilisée en médecine pour évaluer la fonction pulmonaire. Il s'agit de la plus grande quantité d'air qu'une personne peut expirer après avoir inspiré profondément. Cette valeur est généralement mesurée à l'aide d'un spiromètre, un appareil qui enregistre le volume et la vitesse de l'air expiré.

La CPV est composée de deux parties : la Ventilation Forcée Maximale (VFM) et les Réserves Inspiratoire et Expiratoire. La VFM est le volume d'air qu'une personne peut expirer rapidement et pourcédement après une inspiration profonde. Les Réserves Inspiratoire et Expiratoire représentent respectivement l'air supplémentaire que vous pouvez inspirer après une inspiration normale et l'air supplémentaire que vous pouvez expirer après une expiration normale.

Une CPV réduite peut indiquer une maladie pulmonaire obstructive (comme la bronchite chronique ou l'emphysème) ou restrictive (comme la fibrose pulmonaire). Cependant, il est important de noter que certains facteurs tels que l'âge, le tabagisme et l'obésité peuvent également affecter les résultats de la CPV. Par conséquent, les résultats doivent toujours être interprétés en conjonction avec d'autres tests et informations cliniques.

La diphénhydramine est un antihistaminique H1, ce qui signifie qu'il bloque l'action de l'histamine, une substance que votre corps produit en réponse à un allergène. Il est utilisé pour traiter les symptômes d'allergies telles que les démangeaisons, le nez qui coule, les éternuements, les yeux larmoyants et les rougeurs.

Il peut également être utilisé pour soulager les symptômes de rhume ou de grippe, tels que la toux, et pour aider à dormir ou à traiter l'insomnie. La diphénhydramine est disponible sous diverses formes, notamment en comprimés, en gélules, en sirops, en crèmes et en solutions injectables.

Les effets secondaires courants de la diphénhydramine peuvent inclure la somnolence, la sécheresse de la bouche, les étourdissements, la vision floue et la difficulté à uriner. Dans de rares cas, elle peut également provoquer des réactions allergiques graves, telles que des éruptions cutanées, une respiration difficile et une boursouflure du visage, de la langue ou de la gorge.

Il est important de suivre les instructions de dosage de votre médecin ou de votre pharmacien lorsque vous prenez de la diphénhydramine, en particulier si vous prévoyez de conduire ou d'utiliser des machines lourdes, car elle peut provoquer une somnolence.

La Capacité Residuelle Functionnelle (CRF), ou Capacité Fonctionnelle Résiduelle en français, est un terme utilisé en médecine pour décrire les fonctions physiques et mentales qu'une personne atteinte d'une maladie chronique ou d'un handicap est toujours capable de réaliser, même après avoir subi des limitations importantes.

La CRF prend en compte l'ensemble des capacités fonctionnelles préservées d'un patient, y compris ses capacités physiques (comme la force musculaire, la flexibilité, l'endurance), sensorielles (comme la vue, l'ouïe, le toucher) et cognitives (comme l'attention, la mémoire, le jugement).

L'évaluation de la CRF permet aux professionnels de santé d'identifier les activités que le patient peut encore réaliser de manière autonome, ainsi que celles qui nécessiteront des aides ou des adaptations. Cela permet également de déterminer les besoins en termes de réadaptation et de soutien pour aider le patient à maintenir sa qualité de vie et son autonomie aussi longtemps que possible.

Il est important de noter que la CRF peut varier considérablement d'une personne à l'autre, même si elles sont atteintes de la même maladie ou du même handicap. Elle dépend de nombreux facteurs, tels que l'âge, le sexe, les antécédents médicaux, les traitements reçus et le soutien social disponible.

L'anesthesie est un processus médical qui consiste à induire une perte de sensation temporaire dans une partie ou dans tout le corps d'un patient, généralement pour des procédures médicales ou chirurgicales. Il existe plusieurs types d'anesthesies, y compris l'anesthésie générale (qui endort le patient), l'anesthésie régionale (qui engourdit une partie spécifique du corps) et l'analgésie procédurale (qui réduit la douleur pendant une procédure spécifique).

L'anesthésie est généralement administrée par un anesthésiste, qui est un médecin spécialement formé pour administrer et gérer l'anesthésie. Avant de recevoir l'anesthésie, le patient sera généralement évalué pour déterminer les risques potentiels associés à la procédure et pour déterminer le type d'anesthésie le plus approprié.

Pendant l'anesthésie, le patient est surveillé de près pour assurer sa sécurité et son confort. Les effets secondaires courants de l'anesthésie comprennent la nausée, les vomissements, la confusion et la douleur après la procédure. Dans de rares cas, des complications plus graves peuvent survenir, telles que des réactions allergiques à l'anesthésique ou des problèmes respiratoires.

Dans l'ensemble, l'anesthésie est un outil important et essentiel dans la médecine moderne qui permet aux patients de subir des procédures médicales et chirurgicales douloureuses ou invasives avec un minimum de douleur et de détresse.

Les agonistes des récepteurs bêta-2 adrénergiques sont un type de médicament qui se lie et active les récepteurs bêta-2 adrénergiques, qui sont des protéines trouvées à la surface de certaines cellules dans le corps.

Ces récepteurs sont responsables de la transmission des signaux chimiques à l'intérieur des cellules et jouent un rôle important dans la régulation d'une variété de fonctions corporelles, telles que la relaxation des muscles lisses des voies respiratoires, l'augmentation du rythme cardiaque et la dilatation des vaisseaux sanguins.

Les agonistes des récepteurs bêta-2 adrénergiques sont souvent utilisés pour traiter les affections qui impliquent une constriction excessive des voies respiratoires, telles que l'asthme et la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC). Ils fonctionnent en relaxant les muscles lisses des voies respiratoires, ce qui permet d'améliorer le flux d'air dans et hors des poumons.

Certains exemples courants d'agonistes des récepteurs bêta-2 adrénergiques comprennent l'albutérol, le terbutaline et le salmétérol. Ces médicaments peuvent être administrés par inhalation, par voie orale ou par injection, en fonction de la gravité de la maladie et de la réponse du patient au traitement.

Bien que les agonistes des récepteurs bêta-2 adrénergiques soient généralement considérés comme sûrs et efficaces, ils peuvent provoquer des effets secondaires tels que des palpitations cardiaques, des tremblements, des maux de tête et des nausées. Dans de rares cas, ils peuvent également entraîner des effets indésirables graves, tels qu'une augmentation du rythme cardiaque, une pression artérielle élevée ou une arythmie cardiaque. Par conséquent, il est important de suivre attentivement les instructions posologiques et de signaler tout effet secondaire inhabituel à un professionnel de la santé dès que possible.

Le propranolol est un médicament utilisé dans le traitement de diverses affections, y compris l'hypertension artérielle, les angines, les arythmies cardiaques, la maladie de Basedow, l'infarctus du myocarde et certains types de migraines. Il appartient à une classe de médicaments appelés bêta-bloquants, qui agissent en bloquant l'action des hormones stressantes comme l'adrénaline sur le cœur et les vaisseaux sanguins, ce qui entraîne une réduction de la fréquence cardiaque, une diminution de la force de contraction du cœur et une dilatation des vaisseaux sanguins.

Le propranolol est disponible sous forme de comprimés ou de solution liquide et est généralement pris par voie orale deux à quatre fois par jour. Les effets secondaires courants peuvent inclure des étourdissements, une fatigue, une somnolence, des maux de tête, des nausées et des troubles digestifs. Dans de rares cas, il peut également provoquer des réactions allergiques graves, une dépression respiratoire ou une bradycardie (rythme cardiaque lent).

Il est important de suivre les instructions de dosage de votre médecin et de ne pas arrêter soudainement de prendre ce médicament sans consulter un professionnel de la santé, car cela peut entraîner des effets indésirables graves. En outre, informez votre médecin si vous êtes enceinte, prévoyez de devenir enceinte ou allaitez, car le propranolol peut affecter le fœtus ou passer dans le lait maternel.

Une solution saline hypertonique est une solution qui contient une concentration plus élevée de sels (généralement du chlorure de sodium) que les liquides corporels normaux. Son osmolarité est supérieure à 300 mOsm/L. Elle est souvent utilisée en médecine pour des traitements spécifiques, tels que la réhydratation et le traitement de certaines conditions médicales, comme l'hyponatrémie (faible taux de sodium dans le sang). Cependant, il est important de noter qu'une utilisation excessive ou inappropriée d'une solution saline hypertonique peut entraîner des effets indésirables, tels que des déséquilibres électrolytiques et une déshydratation cellulaire.

Les chlorofluorocarbures (CFC) sont des composés synthétiques qui contiennent du carbone, du chlore et du fluor. Ils ont été largement utilisés comme réfrigérants, propulseurs dans les aérosols et agents d'extinction d'incendie en raison de leur innocuité relative pour l'homme et de leurs propriétés physiques stables.

Cependant, il a été découvert que les CFC contribuent de manière significative à la destruction de la couche d'ozone stratosphérique, ce qui entraîne une augmentation des niveaux d'UV-B nocifs atteignant la surface de la Terre. En conséquence, l'utilisation de CFC a été progressivement éliminée dans le monde entier en vertu du Protocole de Montréal de 1987.

Les alternatives aux CFC, telles que les hydrofluorocarbures (HFC), ne dégradent pas la couche d'ozone mais contribuent au réchauffement climatique en raison de leur potentiel de réchauffement global élevé. Par conséquent, des efforts sont en cours pour remplacer les HFC par des alternatives plus respectueuses du climat.

Les dérivés de la scopolamine sont des composés synthétiques ou semi-synthétiques qui partagent une structure chimique similaire avec la scopolamine, un alcaloïde tropanique présent dans certaines plantes. La scopolamine est un anticholinergique puissant, ce qui signifie qu'elle bloque l'action de l'acétylcholine, un neurotransmetteur important dans le système nerveux parasympathique.

Les dérivés de la scopolamine sont souvent utilisés en médecine pour leurs propriétés anticholinergiques, qui peuvent inclure des effets tels que la suppression des nausées et des vomissements, la dilatation pupillaire, la relaxation des muscles lisses et la réduction de la sécrétion salivaire. Certains dérivés de la scopolamine sont également utilisés comme agents anesthésiques ou analgésiques.

Cependant, il est important de noter que les dérivés de la scopolamine peuvent également entraîner des effets secondaires indésirables importants, tels que des hallucinations, une confusion, une sécheresse buccale, une vision floue et des problèmes urinaires. Par conséquent, ils doivent être utilisés avec prudence et sous la surveillance d'un professionnel de la santé.

L'acétylcholine est un neurotransmetteur important dans le système nerveux périphérique et central. Elle joue un rôle crucial dans la transmission des impulsions nerveuses entre les neurones et les muscles, ainsi qu'entre les neurones eux-mêmes.

Dans le système nerveux périphérique, l'acétylcholine est libérée par les motoneurones au niveau de la jonction neuromusculaire pour provoquer la contraction des muscles squelettiques. Elle agit également dans le système nerveux autonome en régulant les fonctions involontaires telles que la fréquence cardiaque, la pression artérielle et la digestion.

Dans le cerveau, l'acétylcholine est impliquée dans divers processus cognitifs tels que l'attention, la mémoire et l'apprentissage. Les déficits en acétylcholine ont été associés à des maladies neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer.

L'acétylcholine est synthétisée à partir de la choline et de l'acétyl-coenzyme A par l'enzyme cholinestérase. Elle est ensuite stockée dans des vésicules situées dans les terminaisons nerveuses avant d'être libérée en réponse à un stimulus électrique. Une fois relâchée, elle se lie aux récepteurs nicotiniques ou muscariniques de la membrane postsynaptique pour déclencher une réponse spécifique.

En résumé, l'acétylcholine est un neurotransmetteur essentiel qui intervient dans la transmission des impulsions nerveuses et la régulation de divers processus physiologiques et cognitifs.

L'hypersensibilité respiratoire est un terme général utilisé pour décrire une réactivité excessive et anormale des voies respiratoires à divers stimuli. Il s'agit essentiellement d'une exagération de la réponse inflammatoire normale des poumons à ces stimuli. Ces stimuli peuvent inclure des allergènes tels que les acariens, les moisissures, la poussière, le pollen, les produits chimiques ou certains médicaments.

L'hypersensibilité respiratoire peut entraîner une variété de symptômes, notamment une toux persistante, une respiration sifflante, un essoufflement, une oppression thoracique et une production accrue de mucus. Dans les cas graves, elle peut provoquer des crises d'asthme sévères ou une pneumonie d'hypersensibilité.

Le diagnostic est généralement posé sur la base des antécédents médicaux du patient, de l'examen physique et des tests de fonction pulmonaire. Le traitement peut inclure l'évitement des stimuli déclenchants, les médicaments pour contrôler l'inflammation et la dilatation des voies respiratoires, tels que les corticostéroïdes inhalés et les bronchodilatateurs.

Les récepteurs aux leucotriènes sont des protéines qui se trouvent à la surface des cellules, principalement dans les voies respiratoires inférieures. Ils se lient aux molécules de signalisation appelées leucotriènes, qui jouent un rôle important dans la réponse inflammatoire de l'organisme.

Les leucotriènes sont libérés par les cellules immunitaires en réponse à des stimuli tels que les allergènes ou les infections. Lorsqu'ils se lient aux récepteurs aux leucotriènes, ils déclenchent une série de réactions qui entraînent la constriction des muscles lisses des voies respiratoires, l'augmentation de la production de mucus et l'inflammation.

Ces réponses sont impliquées dans les symptômes de l'asthme et d'autres maladies allergiques des voies respiratoires. Les médicaments qui bloquent ces récepteurs, appelés antagonistes des récepteurs aux leucotriènes, sont souvent utilisés pour traiter l'asthme et les rhinites allergiques.

Les thromboxanes sont des molécules lipidiques qui appartiennent à la famille des eicosanoïdes. Ils sont synthétisés dans le corps à partir de l'acide arachidonique, un acide gras polyinsaturé présent dans les membranes cellulaires. Les thromboxanes sont principalement produits par les plaquettes sanguines (thrombocytes) lorsqu'elles sont activées en réponse à une lésion vasculaire ou à la présence de facteurs pro-coagulants.

Les thromboxanes les plus étudiés sont le thromboxane A2 (TXA2) et le thromboxane B2 (TXB2). Le TXA2 est un puissant vasoconstricteur et promoteur de l'agrégation plaquettaire, ce qui favorise la formation de caillots sanguins (thrombus) dans les vaisseaux sanguins. Il joue également un rôle important dans l'inflammation et la réponse immunitaire. Le TXB2 est un métabolite stable du TXA2 et a une durée de vie plus longue dans le corps.

Les thromboxanes sont des médiateurs clés de la réaction vasculaire à une lésion tissulaire, mais leur production excessive peut contribuer au développement de maladies cardiovasculaires telles que l'athérosclérose, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux. Des médicaments tels que les anti-agrégants plaquettaires et les antagonistes des récepteurs des thromboxanes sont utilisés pour contrôler leur production et prévenir les complications liées à la coagulation sanguine.

Le kétotifène est un antihistaminique H1, sédatif et antiallergique, utilisé dans le traitement des symptômes de l'asthme et de certaines réactions allergiques. Il agit en stabilisant les membranes des mast cells, empêchant ainsi la libération d'histamine et d'autres médiateurs inflammatoires. Cela aide à prévenir les bronchoconstrictions et à soulager les symptômes tels que l'essoufflement, la toux et la respiration sifflante. Le kétotifène est également connu pour améliorer la fonction pulmonaire et réduire le recours aux bronchodilatateurs de secours. Il est disponible sous forme de comprimés ou de sirop et doit être utilisé sous surveillance médicale en raison de ses effets sédatifs potentiels.

Les parasympatholytiques sont un groupe de médicaments qui bloquent l'activité du système nerveux parasympathique, qui est une division du système nerveux autonome. Le système nerveux parasympathique a pour fonction de contrôler les activités involontaires du corps telles que la digestion, la sécrétion, l'excrétion et la relaxation.

Les parasympatholytiques agissent en bloquant l'acétylcholine, un neurotransmetteur qui active le système nerveux parasympathique. En bloquant l'action de l'acétylcholine, ces médicaments peuvent ralentir la fréquence cardiaque, réduire la sécrétion gastrique et diminuer les contractions musculaires lisses dans les voies respiratoires et le tube digestif.

Les parasympatholytiques sont souvent utilisés pour traiter une variété de conditions médicales telles que les ulcères gastro-duodénaux, la colite ulcéreuse, les spasmes musculaires lisses, la rhinite allergique et le glaucome. Cependant, ils peuvent également entraîner des effets secondaires tels que une sécheresse de la bouche, une vision floue, une constipation, une difficulté à uriner et une augmentation de la pression intraoculaire.

La libération d'histamine est un processus physiologique qui se produit lorsque les mast cells (cellules mastiques) et les basophils relâchent l'histamine dans la circulation sanguine et les tissus corporels. L'histamine est un médiateur chimique qui joue un rôle crucial dans les réactions immunitaires et inflammatoires du corps.

La libération d'histamine peut être déclenchée par divers stimuli, notamment des allergènes, des infections, des lésions tissulaires, certaines maladies et médicaments. Lorsque l'histamine est relâchée, elle se lie à des récepteurs spécifiques sur les cellules voisines, ce qui entraîne une série de réactions physiologiques, telles que la dilatation des vaisseaux sanguins, l'augmentation de la perméabilité vasculaire et l'activation des cellules immunitaires.

Ces réactions peuvent entraîner des symptômes courants d'allergies, tels que des démangeaisons, des éternuements, un nez qui coule, des yeux larmoyants et des rougeurs, une peau irritée et enflée, des douleurs abdominales et des diarrhées. Dans certains cas graves, la libération d'histamine peut également entraîner une anaphylaxie, une réaction allergique potentiellement mortelle qui nécessite une attention médicale immédiate.

Les antihistaminiques sont souvent utilisés pour traiter les symptômes associés à la libération d'histamine en bloquant les récepteurs de l'histamine et en empêchant ainsi sa liaison aux cellules.

Le Volume Réserve Expiratoire (VRE) est une mesure utilisée en médecine pulmonaire et en tests de fonction respiratoire. Il représente le volume d'air qu'une personne peut expirer forcément après une expiration normale depuis les poumons complètement remplis. Autrement dit, c'est la quantité d'air supplémentaire que vous pouvez expirer après avoir expulsé l'air résiduel dans vos poumons.

Le VRE est un indicateur utile de la capacité des voies respiratoires à s'élargir et de la fonction pulmonaire globale. Une réduction du VRE peut être observée dans diverses conditions pulmonaires telles que l'emphysème, la bronchite chronique, l'asthme sévère ou d'autres maladies obstructives des voies respiratoires.

La détermination du VRE se fait généralement au cours de tests de fonction pulmonaire, où le patient inspire profondément puis expire aussi fort et rapidement que possible dans un appareil de mesure. Le volume d'air expiré pendant ce test est enregistré et analysé pour évaluer la santé pulmonaire du patient.

La pipéridine est un composé organique heterocyclique qui se compose d'un cycle saturé à six membres contenant cinq atomes de carbone et un atome d'azote. Dans un contexte médical, les sels et les dérivés de la pipéridine sont souvent utilisés en pharmacologie comme véhicules pour des médicaments ou comme agents thérapeutiques eux-mêmes.

Les dérivés de la pipéridine ont une large gamme d'applications médicales, y compris comme antihistaminiques, analgésiques, antiarythmiques, antispasmodiques et agents anesthésiques locaux. Certains opioïdes synthétiques, tels que la fentanyl et le mépéridine, contiennent un noyau pipéridinique dans leur structure chimique.

Il est important de noter que, bien que les composés à base de pipéridine puissent avoir des avantages thérapeutiques, ils peuvent également entraîner des effets indésirables et des risques pour la santé, en fonction de leur posologie, de leur voie d'administration et de l'état de santé général du patient. Par conséquent, leur utilisation doit être strictement réglementée et surveillée par des professionnels de la santé qualifiés.

La pression de l'air, dans un contexte médical, fait référence à la force que les molécules d'air exercent sur une surface donnée. Elle est mesurée en unités de pression, telles que les pascals (Pa) ou les millimètres de mercure (mmHg).

Dans le corps humain, la pression de l'air est importante pour des fonctions telles que la respiration. L'air que nous inspirons doit surmonter la pression atmosphérique pour se déplacer dans les poumons et s'oxyger. De même, lorsque nous expirons, la pression de l'air dans les poumons doit être supérieure à la pression atmosphérique pour expulser l'air.

La pression de l'air est également importante en médecine lorsqu'il s'agit de traiter des conditions telles que l'embolie gazeuse, où des bulles d'air peuvent se former dans le sang et causer des dommages aux vaisseaux sanguins et aux organes. Dans ces cas, la pression de l'air peut être utilisée à des fins thérapeutiques, par exemple en plaçant le patient dans une chambre hyperbare où la pression de l'air est augmentée pour aider à résorber les bulles d'air.

En bref, la pression de l'air est un concept important en médecine qui joue un rôle crucial dans des fonctions corporelles telles que la respiration et peut également être utilisée comme traitement pour certaines conditions médicales.

La dyspnée est un terme médical qui décrit une sensation subjective de difficulté à respirer ou d'essoufflement. Elle peut varier en intensité, allant d'une légère gêne à une détresse respiratoire sévère. La dyspnée peut être acute ou chronique et peut être liée à diverses causes, y compris des affections cardiaques, pulmonaires, neuromusculaires ou autres. Il est important de noter que la perception de l'essoufflement peut varier d'une personne à l'autre, ce qui rend cette symptomatologie difficile à quantifier et à évaluer objectivement.

En termes médicaux, l'humidité se réfère généralement à la quantité d'humidité ou d'eau présente dans l'air, les matériaux ou les tissus vivants. Elle est souvent exprimée comme un pourcentage de saturation, indiquant le rapport entre la quantité actuelle d'humidité et la capacité maximale de contenir de l'humidité à une température donnée.

Dans certains contextes médicaux, l'humidité peut également faire référence aux liquides sécrétés par les muqueuses du corps humain, comme dans le nez, la gorge et les poumons. Un environnement humide est souvent bénéfique pour les voies respiratoires supérieures et les poumons car il permet de garder les membranes muqueuses hydratées et fonctionnelles, facilitant ainsi la respiration et la défense contre les agents pathogènes.

Cependant, un excès d'humidité peut également créer un environnement propice à la croissance de bactéries, de champignons et d'autres organismes nuisibles, ce qui peut entraîner des infections et d'autres problèmes de santé. Par conséquent, il est important de maintenir un équilibre approprié d'humidité dans les environnements intérieurs et extérieurs pour promouvoir la santé et le bien-être.

La toux est un réflexe protecteur de l'appareil respiratoire qui permet d'expulser les irritants ou les sécrétions des voies aériennes. Elle se traduit par une expiration bruyante et souvent violente, déclenchée par une contraction soudaine du diaphragme et des muscles inspiratoires, suivie d'une brusque ouverture de la glotte.

La toux peut être classifiée en plusieurs catégories selon sa durée, son mécanisme et son caractère :

1. Aiguë (moins de 3 semaines) ou chronique (plus de 8 semaines)
2. Productive (avec expectoration de mucus) ou sèche (sans expectoration)
3. Paroxystique (en quintes) ou non paroxystique
4. Centrale (du à un trouble du contrôle central de la toux) ou périphérique (due à une irritation locale des voies aériennes)
5. Cardiaque (liée à une insuffisance cardiaque congestive) ou non cardiaque

Les causes de la toux sont nombreuses et variées, allant des infections respiratoires virales ou bactériennes aux maladies pulmonaires chroniques (comme la bronchite chronique, l'emphysème ou la BPCO), en passant par les réactions allergiques, l'inhalation d'irritants, le reflux gastro-œsophagien, les médicaments et certaines affections neurologiques.

Le traitement de la toux dépend de sa cause sous-jacente. Il peut inclure des mesures d'hygiène de vie, des médicaments expectorants ou antitussifs, des bronchodilatateurs, des corticoïdes inhalés, des antibiotiques ou une prise en charge chirurgicale dans certains cas.

Une injection intraveineuse (IV) est un type d'administration de médicaments ou de fluides dans le corps, où la substance est injectée directement dans une veine. Cela permet une absorption rapide et presque complète du médicament dans la circulation systémique. Les injections intraveineuses sont souvent utilisées lorsqu'il est nécessaire d'administrer des médicaments rapidement, tels que les antibiotiques, les analgésiques, les anticoagulants ou les fluides pour réhydrater le corps.

L'injection intraveineuse est généralement effectuée à l'aide d'une aiguille fine et creuse insérée dans une veine, souvent au niveau du bras ou de la main. Une solution stérile contenant le médicament est ensuite injectée lentement dans la veine. Dans certains cas, un cathéter intraveineux peut être inséré dans la veine pour permettre des injections répétées sans avoir à insérer une nouvelle aiguille à chaque fois.

Bien que les injections intraveineuses soient considérées comme sûres lorsqu'elles sont effectuées correctement, elles peuvent entraîner des complications telles que des infections, des lésions nerveuses ou des hématomes si elles ne sont pas administrées correctement. Par conséquent, il est important que les injections intraveineuses soient effectuées par un professionnel de la santé qualifié et formé.

La pilocarpine est un agent parasympathomimétique, ce qui signifie qu'il imite l'action de l'acétylcholine, un neurotransmetteur dans le corps qui stimule certaines cellules nerveuses et muscles.

Plus spécifiquement, la pilocarpine active les récepteurs muscariniques de la jonction neuromusculaire et des glandes exocrines, entraînant une augmentation de la sécrétion de sueur, de salive et d'autres sécrétions.

Elle est souvent utilisée dans le traitement du glaucome pour réduire la pression intraoculaire en augmentant le flux d'humeur aqueuse hors de l'œil. Elle peut également être utilisée pour traiter la bouche sèche sévère (xérostomie) causée par des médicaments ou des radiations dans la tête et le cou.

Les effets secondaires courants de la pilocarpine comprennent une sudation excessive, des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, des maux de tête et des troubles visuels. Dans de rares cas, elle peut provoquer des réactions allergiques graves.

En médecine, la constriction fait référence à l'action ou au processus de restreindre ou de resserrer. Il peut s'agir d'un rétrécissement ou d'une diminution du calibre d'un organe creux ou d'un vaisseau sanguin, ce qui peut affecter le flux des liquides ou des substances à l'intérieur. Par exemple, la constriction des bronches (tubes qui transportent l'air dans et hors des poumons) peut entraver la respiration, tandis que la constriction des vaisseaux sanguins peut perturber la circulation sanguine et affecter l'apport d'oxygène et de nutriments aux tissus. La constriction peut être causée par divers facteurs, y compris des réponses physiologiques normales du corps, des maladies sous-jacentes ou des effets secondaires de certains médicaments.

La contraction musculaire est un processus physiologique où les fibres musculaires raccourcissent, s'épaississent et génèrent de la force. Cela se produit lorsque l'activité électrique stimule le muscle pour contracter, ce qui entraîne le mouvement des os ou d'autres structures corporelles. Les contractions musculaires peuvent être volontaires, comme soulever un objet, ou involontaires, comme le battement de cœur. Elles sont essentielles au fonctionnement normal du corps humain, permettant la mobilité, la circulation sanguine, la respiration et d'autres fonctions vitales.

En médecine, le terme "volume courant" fait référence à la quantité de liquide, généralement d'air ou de sang, qui circule dans et hors d'un organe ou d'une cavité du corps pendant une période déterminée. Il s'agit essentiellement du débit du fluide au cours d'un cycle respiratoire ou cardiaque.

Dans le contexte de la fonction pulmonaire, le volume courant est le volume d'air inhalé et exhalé pendant la respiration normale, à savoir l'inspiration et l'expiration régulières sans effort supplémentaire. Il ne comprend pas les volumes additionnels inspirés ou expirés lors de manœuvres forcées telles que la toux ou les efforts de respiration profonde. Le volume courant est d'environ 500 millilitres (ml) chez l'adulte en moyenne.

Dans le contexte cardiovasculaire, le volume courant se réfère au volume d'oxygène ou de sang pompé par le cœur dans un cycle complet (systole et diastole). Il est utilisé pour évaluer la performance cardiaque et peut être calculé en divisant le débit cardiaque (la quantité totale de sang pompée par le cœur en une minute) par le nombre de battements cardiaques par minute.

Les acétates sont des sels, esters ou thioesters de l'acide acétique. Ils sont largement utilisés dans l'industrie pharmaceutique et cosmétique en raison de leur capacité à fournir des propriétés antimicrobiennes, conservantes et émollientes.

Dans le contexte médical, certains médicaments peuvent être formulés sous forme d'acétates pour améliorer leur absorption, leur biodisponibilité ou leur stabilité. Par exemple, la testostérone peut être administrée sous forme d'acétate de testostérone pour prolonger sa durée d'action dans l'organisme.

Cependant, il est important de noter que certains acétates peuvent également être toxiques ou irritants pour les tissus, en particulier à des concentrations élevées. Par conséquent, leur utilisation doit toujours être encadrée par une prescription médicale appropriée et des instructions d'utilisation strictes.

Un antigène est une substance étrangère à l'organisme qui, lorsqu'elle est reconnue par le système immunitaire, peut déclencher une réponse immunitaire. Les antigènes sont souvent des protéines ou des polysaccharides complexes trouvés à la surface de bactéries, de virus, de parasites, de champignons et d'autres cellules étrangères. Ils peuvent également provenir de cellules cancéreuses ou de transplantations d'organes.

Les antigènes sont composés d'épitopes, qui sont des régions spécifiques de la molécule qui sont reconnues par les récepteurs des lymphocytes T et B. Les lymphocytes T peuvent détecter et répondre aux antigènes présentés sur la surface des cellules présentant l'antigène (CPA), tandis que les lymphocytes B produisent des anticorps qui se lient spécifiquement aux antigènes dans le sang et les fluides corporels.

Les antigènes sont classés en deux catégories principales : les antigènes T-dépendants et les antigènes T-indépendants. Les antigènes T-dépendants nécessitent la présentation par des cellules présentant l'antigène (CPA) pour activer une réponse immunitaire adaptative, tandis que les antigènes T-indépendants peuvent stimuler une réponse immunitaire innée sans la participation des lymphocytes T.

La reconnaissance et la réponse aux antigènes sont des processus complexes qui impliquent de nombreux types de cellules et de molécules du système immunitaire, y compris les lymphocytes T, les lymphocytes B, les cellules présentant l'antigène (CPA), les cytokines et les chimiotactiques. La compréhension des antigènes et de la façon dont ils sont reconnus et traités par le système immunitaire est essentielle pour développer des vaccins et des thérapies pour prévenir et traiter les maladies infectieuses, les cancers et d'autres affections.

Les antagonistes muscariniques sont des médicaments qui bloquent l'action du neurotransmetteur acétylcholine sur les récepteurs muscariniques. Les récepteurs muscariniques se trouvent dans le système nerveux parasympathique et contrôlent certaines fonctions corporelles telles que la contraction des muscles lisses, la sécrétion de glandes et la régulation du rythme cardiaque.

Les antagonistes muscariniques peuvent être utilisés pour traiter une variété de conditions médicales, notamment les maladies pulmonaires obstructives telles que l'asthme et la bronchite chronique, les troubles gastro-intestinaux tels que la nausée et le reflux gastrique, et les troubles oculaires tels que le glaucome.

Cependant, ces médicaments peuvent également entraîner des effets secondaires indésirables, tels que une sécheresse de la bouche, une vision floue, une constipation, une augmentation du rythme cardiaque et une rétention urinaire. Les antagonistes muscariniques doivent être utilisés avec prudence chez les personnes âgées, car ils peuvent augmenter le risque de confusion et de chutes.

Il existe plusieurs types d'antagonistes muscariniques, qui diffèrent par leur sélectivité pour différents sous-types de récepteurs muscariniques. Certains antagonistes muscariniques sont plus sélectifs pour les récepteurs muscariniques dans les poumons ou les yeux, tandis que d'autres ont une activité plus large et peuvent affecter plusieurs types de récepteurs muscariniques dans le corps.

La budesonide est un corticostéroïde synthétique utilisé pour traiter une variété de conditions médicales, y compris l'asthme, la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), la sinusite et la colite ulcéreuse. Il agit en réduisant l'inflammation dans les voies respiratoires ou le tube digestif, selon la façon dont il est administré.

Dans les poumons, la budesonide peut être inhalée à l'aide d'un nébuliseur ou d'un inhalateur pour aider à prévenir les crises d'asthme et à contrôler les symptômes de la MPOC. Dans le tractus gastro-intestinal, il peut être administré sous forme de comprimés ou de suppositoires pour traiter la colite ulcéreative.

Comme avec tous les médicaments, la budesonide peut entraîner des effets secondaires, notamment une augmentation de l'appétit, des maux de tête, des nausées, des vomissements et des douleurs abdominales. Dans de rares cas, il peut également affaiblir le système immunitaire, ce qui rend les utilisateurs plus susceptibles aux infections.

Il est important de suivre attentivement les instructions posologiques de votre fournisseur de soins de santé lors de la prise de budesonide et de signaler tout effet secondaire inhabituel ou préoccupant.

Je suis désolé, "chiens" est un terme général qui fait référence à une espèce spécifique d'animaux domestiques et non à une condition ou à un état médical. Les chiens (Canis lupus familiaris) sont des mammifères carnivores de la famille des Canidae. Ils sont souvent considérés comme les plus anciens animaux domestiqués par l'homme, depuis probablement 20 000 à 40 000 ans. Les chiens existent en plusieurs races, tailles et formes, avec des variations significatives dans leur apparence, leur tempérament et leurs capacités. Ils sont souvent élevés comme animaux de compagnie en raison de leur loyauté, de leur intelligence et de leur capacité à être formés.

Si vous cherchez une définition médicale ou des informations sur un sujet spécifique, veuillez me fournir plus de détails afin que je puisse vous aider au mieux.

Les neurofibres cholinergiques sont des neurones ou fibres nerveuses qui produisent, stockent et libèrent un neurotransmetteur appelé acétylcholine. Ces neurones jouent un rôle crucial dans la modulation de divers processus physiologiques dans le corps humain, tels que la transmission des impulsions nerveuses dans les systèmes nerveux somatique et autonome.

Dans le système nerveux périphérique, les neurofibres cholinergiques innervent les muscles squelettiques et assurent leur contraction via la jonction neuromusculaire. Dans le système nerveux central, ces fibres sont largement distribuées dans le cerveau et la moelle épinière, où elles participent à des fonctions cognitives telles que l'apprentissage, la mémoire et l'attention.

Les neurofibres cholinergiques peuvent être affectées dans certaines maladies neurologiques dégénératives, comme la maladie d'Alzheimer, où une perte de ces fibres est associée à une déficience cognitive et à des troubles mnésiques. Par conséquent, les stratégies thérapeutiques visant à préserver ou à restaurer l'intégrité des neurofibres cholinergiques sont activement étudiées dans le cadre du traitement de ces maladies.

Thromboxane B2 est une substance qui se forme lorsque le thromboxane A2, un puissant vasoconstricteur et promoteur de l'agrégation plaquettaire, est dégradé. Thromboxane B2 n'a pas d'activité biologique connue mais est souvent utilisé comme marqueur de la production de thromboxane A2 dans le corps. Il est produit principalement par les plaquettes sanguines et les cellules endothéliales vasculaires en réponse à des stimuli tels que l'activation plaquettaire, l'hypoxie et certaines cytokines. Thromboxane B2 est éliminé rapidement dans l'urine sous forme de métabolite inactif. Des niveaux élevés de thromboxane B2 peuvent être observés dans certaines conditions pathologiques, telles que l'athérosclérose et la thrombose vasculaire.

Les récepteurs muscariniques sont des protéines qui font partie de la superfamille des récepteurs couplés aux protéines G (GPCR) et qui se lient spécifiquement à l'acétylcholine, un neurotransmetteur important dans le système nerveux parasympathique. Il existe cinq sous-types de récepteurs muscariniques, désignés M1 à M5, chacun ayant des effets différents sur les cellules cibles.

Les récepteurs muscariniques M1, M3 et M5 sont couplés à la protéine Gq, ce qui entraîne une activation de la phospholipase C et une augmentation des niveaux de calcium intracellulaire. Ces récepteurs sont principalement responsables de la transmission des signaux dans le système nerveux central et périphérique, y compris la régulation de la fonction cognitive, sensorielle et moteur.

Les récepteurs muscariniques M2 et M4 sont couplés à la protéine Gi, ce qui entraîne une inhibition de l'adénylate cyclase et une diminution des niveaux d'AMPc intracellulaire. Ces récepteurs sont principalement responsables de la régulation de la fonction cardiovasculaire et respiratoire.

Les récepteurs muscariniques sont des cibles importantes pour le développement de médicaments dans le traitement de diverses affections, y compris les maladies neurologiques, cardiovasculaires et pulmonaires.

Un réflexe, dans le contexte de la médecine et de la physiologie, est une réponse involontaire et automatique du corps à un stimulus spécifique. Il s'agit d'un mécanisme de contrôle rapide et efficace qui permet au système nerveux de réguler certaines fonctions corporelles sans passer par le processus conscient de la pensée ou de la décision. Les réflexes sont médiés par des circuits neuronaux spécifiques appelés arcs réflexes, qui impliquent généralement une voie afférente sensorielle et une voie efférente motrice. Un exemple classique d'un réflexe est le réflexe myotatique, ou réflexe du genou, dans lequel la percussion du tendon rotulien provoque une contraction rapide du muscle quadriceps, entraînant une extension soudaine de la jambe. Les réflexes sont des mécanismes importants pour maintenir l'homéostasie et protéger le corps contre les dommages potentiels.

Les récepteurs thromboxanes sont des protéines membranaires qui se lient spécifiquement aux molécules de thromboxane A2 (TxA2), un eicosanoïde puissant produit par les plaquettes sanguines et d'autres cellules. Il existe deux types de récepteurs thromboxanes : TP (thromboxane prostanoid) et EP3.

Le récepteur TP est couplé à une protéine Gq, qui active la phospholipase C et entraîne une augmentation des niveaux de calcium intracellulaire, ce qui conduit à l'activation des plaquettes sanguines et à la vasoconstriction. Le récepteur EP3 est couplé à une protéine Gi, qui inhibe l'adénylate cyclase et diminue les niveaux de AMPc intracellulaire, ce qui peut également contribuer à l'activation des plaquettes sanguines.

Les récepteurs thromboxanes jouent un rôle important dans la régulation de l'hémostase et de la thrombose, ainsi que dans la pathogenèse de diverses maladies cardiovasculaires et pulmonaires.

Le méthysergide est un médicament ergoline qui agit comme un antagoniste des récepteurs de la sérotonine. Il a été utilisé dans le traitement de la migraine prophylactique, mais son utilisation est actuellement limitée en raison de ses effets secondaires graves et potentiellement irréversibles sur les valves cardiaques. Le méthysergide fonctionne en rétrécissant les vaisseaux sanguins autour du cerveau, ce qui peut aider à prévenir les migraines.

Cependant, l'utilisation de méthysergide est associée à un risque accru de fibrose rétropéritonéale et pulmonaire, ainsi qu'à des troubles de la vision et des effets cardiovasculaires. Par conséquent, il n'est généralement utilisé que lorsque d'autres traitements se sont avérés inefficaces et que les patients sont étroitement surveillés pour détecter tout signe d'effets secondaires indésirables.

Il convient de noter que le méthysergide est un médicament puissant et que sa prescription doit être laissée aux professionnels de la santé qualifiés qui ont une connaissance approfondie de ses avantages et risques potentiels.

Le furosémide est un diurétique puissant, souvent prescrit sous le nom de marque Lasix, qui aide à éliminer l'excès de liquide du corps en augmentant la production d'urine. Il agit en bloquant l'absorption de sel et d'eau dans les tubules rénaux, ce qui permet au corps d'éliminer plus facilement ces substances via l'urine.

Le furosémide est généralement utilisé pour traiter l'hypertension artérielle, l'insuffisance cardiaque congestive et l'œdème (accumulation de liquide) associé à diverses affections médicales telles que les maladies rénales, hépatiques ou cardiovasculaires.

Comme avec tout médicament, le furosémide peut entraîner des effets secondaires, notamment une déshydratation, une électrolyte déséquilibre, des étourdissements, des maux de tête, des nausées ou des vertiges. Dans de rares cas, il peut également provoquer des réactions allergiques sévères, des dommages auditifs ou une augmentation du taux de sucre dans le sang. Il est important de suivre attentivement les instructions posologiques et de consulter régulièrement un professionnel de la santé pour surveiller l'efficacité et les effets secondaires du traitement.

Le fénotérol est un médicament bronchodilatateur bêta-2 agoniste à action rapide et de courte durée. Il est utilisé pour soulager les symptômes de bronchospasme chez les patients atteints d'asthme ou de maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC). Le fénotérol agit en relaxant les muscles lisses des voies respiratoires, ce qui entraîne une dilatation des bronches et une amélioration du flux d'air dans les poumons. Il est disponible sous forme d'inhalateur ou de solution pour inhalation. Les effets du fénotérol se manifestent rapidement, en général dans les 5 minutes suivant l'administration, et sa durée d'action est d'environ 3 à 6 heures.

Les effets indésirables courants du fénotérol comprennent des maux de tête, des tremblements, une tachycardie, des palpitations et une augmentation de la pression artérielle. L'utilisation à long terme ou à fortes doses peut entraîner des effets indésirables plus graves, tels qu'une aggravation de l'asthme, une hypokaliémie (faible taux de potassium dans le sang) et une augmentation du risque de fibrillation ventriculaire. Par conséquent, le fénotérol doit être utilisé avec prudence et sous surveillance médicale étroite, en particulier chez les patients atteints d'asthme sévère ou instable.

Le système nerveux parasympathique (SNP) est l'une des deux divisions du système nerveux autonome, l'autre étant le système nerveux sympathique. Il est également connu sous le nom de système nerveux craniosacral car il émerge principalement du tronc cérébral (cranial) et de la moelle sacrée (sacral).

Le SNP joue un rôle crucial dans la conservation des ressources corporelles et le maintien des fonctions physiologiques normales lorsque l'organisme est au repos. Ses effets sont généralement ceux de ralentissement, de relaxation et d'économie d'énergie.

Les neurones préganglionnaires du SNP ont leurs corps cellulaires dans les noyaux des nerfs crâniens III, VII, IX et X (appelés nerfs cranio-parasympathiques) et dans la moelle sacrée (S2-S4). Ces neurones préganglionnaires libèrent de l'acétylcholine comme neurotransmetteur qui se lie aux récepteurs nicotiniques postsynaptiques sur les neurones postganglionnaires.

Les neurones postganglionnaires du SNP utilisent principalement l'acétylcholine comme neurotransmetteur, mais certains peuvent utiliser d'autres substances telles que la noradrénaline ou la dopamine. Les fibres postganglionnaires se terminent dans les glandes sudoripares, les glandes salivaires, le cœur, les vaisseaux sanguins, les poumons, l'estomac, l'intestin grêle, le côlon, le rectum, la vessie et les organes génitaux.

Les effets physiologiques du SNP comprennent :
- Réduction de la fréquence cardiaque et de la pression artérielle
- Augmentation de la motilité gastro-intestinale et de la sécrétion digestive
- Constriction des pupilles (myosis)
- Relaxation du sphincter de l'iris
- Stimulation de la production de salive et de sueur
- Augmentation de la capacité contractile de la vessie
- Décontraction du détrusor vésical
- Constriction des bronchioles
- Vasodilatation cutanée

En résumé, le système nerveux parasympathique est une partie importante du système nerveux autonome qui contrôle les fonctions involontaires de l'organisme. Il utilise principalement l'acétylcholine comme neurotransmetteur et a des effets opposés à ceux du système nerveux sympathique. Le SNP ralentit le rythme cardiaque, favorise la digestion, stimule la production de salive et de sueur, détend les muscles lisses et maintient l'homéostasie interne.

Les inhibiteurs de la lipoxygénase sont des composés qui empêchent l'activité de l'enzyme lipoxygénase. Dans le contexte médical et biologique, ces inhibiteurs sont intéressants car la lipoxygénase joue un rôle dans la cascade inflammatoire et la biosynthèse des eicosanoïdes, qui sont des molécules impliquées dans divers processus physiologiques et pathologiques, tels que l'inflammation, l'immunité, l'athérosclérose et le cancer.

Les inhibiteurs de la lipoxygénase peuvent être classés en deux catégories principales : les réversibles et les irréversibles. Les inhibiteurs réversibles se lient temporairement à l'enzyme et peuvent être déplacés par des substrats concurrents, tandis que les inhibiteurs irréversibles forment des liaisons covalentes avec l'enzyme, entraînant une inactivation permanente.

Ces composés sont étudiés dans le cadre de diverses applications thérapeutiques, telles que le traitement des maladies inflammatoires et cardiovasculaires, en raison de leur potentiel à moduler les voies de signalisation liées à l'inflammation. Cependant, il est important de noter que la recherche sur ces inhibiteurs en est encore à ses débuts, et des études supplémentaires sont nécessaires pour évaluer leur sécurité et leur efficacité dans le contexte clinique.

L'indométacine est un médicament appartenant à une classe de médicaments appelés anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). Il agit en réduisant la production de substances dans le corps qui causent douleur, fièvre et inflammation.

L'indométacine est utilisée pour traiter la douleur, l'inflammation et la raideur associées à l'arthrite, y compris l'arthrose, la polyarthrite rhumatoïde et l'ostéoarthrite. Il peut également être utilisé pour traiter d'autres conditions telles que la goutte, la bursite, la tendinite, la capsulite et la douleur musculaire et articulaire aiguë ou chronique.

L'indométacine agit en inhibant l'enzyme cyclooxygenase (COX), qui est responsable de la production de prostaglandines, des substances qui jouent un rôle important dans l'inflammation et la douleur. En réduisant la production de prostaglandines, l'indométacine aide à soulager la douleur, la fièvre et l'inflammation.

Les effets secondaires courants de l'indométacine comprennent des maux d'estomac, des nausées, des vomissements, de la diarrhée, des constipations, des gaz, des douleurs abdominales, des pertes d'appétit et des maux de tête. Les effets secondaires plus graves peuvent inclure des saignements gastro-intestinaux, des ulcères, une pression artérielle élevée, des étourdissements, des vertiges, des bourdonnements d'oreilles, des éruptions cutanées, de la rétention d'eau et des problèmes rénaux.

L'indométacine est disponible sous forme de comprimés ou de capsules et doit être prise par voie orale avec un verre d'eau. Il est important de suivre les instructions de dosage de votre médecin et de ne pas dépasser la dose recommandée. Si vous manquez une dose, prenez-la dès que vous vous en souvenez, sauf si c'est presque l'heure de votre prochaine dose. Dans ce cas, sautez la dose manquée et continuez votre programme posologique normal. Ne doublez pas la dose pour rattraper celle que vous avez manquée.

Metaproterenol est un médicament bronchodilatateur, utilisé pour traiter et prévenir le bronchospasme dans des conditions telles que l'asthme, la bronchite chronique et l'emphysème. Il fonctionne en relaxant les muscles lisses dans les voies respiratoires, ce qui permet d'élargir les bronches et de faciliter la respiration.

Metaproterenol appartient à une classe de médicaments appelés agonistes bêta-2 adrénergiques à courte durée d'action. Il est disponible sous forme de spray nasal, de comprimés ou de solution pour inhalation. Les effets du médicament commencent généralement dans les 5 à 15 minutes suivant l'administration et peuvent durer jusqu'à 6 heures.

Les effets secondaires courants de Metaproterenol comprennent la nervosité, les maux de tête, les tremblements, les palpitations cardiaques et les nausées. Dans de rares cas, il peut provoquer des effets plus graves tels qu'une augmentation de la pression artérielle, une accélération du rythme cardiaque ou des anomalies du rythme cardiaque.

Il est important de suivre les instructions posologiques de votre médecin lors de l'utilisation de Metaproterenol et de signaler tout effet secondaire inhabituel ou persistant à votre fournisseur de soins de santé.

Les kallikréines tissulaires sont un groupe d'enzymes sécrétées par divers tissus du corps humain. Elles jouent un rôle important dans le système kinin-kallikréine, qui est un système de régulation complexe impliqué dans la réponse inflammatoire et la douleur.

Les kallikréines tissulaires sont responsables de la production d'un peptide actif appelé bradykinine, qui provoque une dilatation des vaisseaux sanguins, une augmentation de la perméabilité vasculaire et une sensation de douleur. Ces enzymes peuvent être activées par divers stimuli, tels que des traumatismes, des infections ou des inflammations.

Les kallikréines tissulaires sont également associées à plusieurs maladies, telles que l'hypertension artérielle, l'athérosclérose, le cancer et les maladies neurodégénératives. Des niveaux élevés de ces enzymes peuvent être un facteur de risque pour le développement de certaines de ces maladies.

Il est important de noter que la recherche sur les kallikréines tissulaires et leur rôle dans la physiologie et la pathologie humaines est encore en cours, et de nouvelles découvertes continuent d'être faites dans ce domaine.

Les éicosanoïdes sont des molécules régulatrices puissantes et diverses qui jouent un rôle crucial dans la modulation de nombreux processus physiologiques et pathologiques dans le corps humain. Ils sont dérivés de l'oxydation enzymatique ou non enzymatique de l'acide arachidonique (un acide gras polyinsaturé à 20 carbones) et d'autres acides gras similaires ayant 20 atomes de carbone, tels que l'acide éicosapentaénoïque (EPA) et l'acide docosahexaénoïque (DHA).

Les éicosanoïdes les plus connus sont les prostaglandines, les thromboxanes, les leucotriènes et les lipoxines. Ces molécules sont synthétisées dans divers types de cellules, y compris les plaquettes sanguines, les leucocytes, l'endothélium vasculaire et d'autres tissus.

Les éicosanoïdes ont des effets variés sur différents systèmes corporels, notamment sur la fonction cardiovasculaire, la réponse immunitaire, l'agrégation plaquettaire, la perméabilité vasculaire et l'inflammation. Ils peuvent agir comme médiateurs ou modulateurs de ces processus, en fonction du contexte pathophysiologique spécifique.

Par exemple, les prostaglandines E2 et I2 (également appelées PGE2 et PGI2) ont des effets vasodilatateurs et antiplaquettaires, tandis que la thromboxane A2 a des effets vasoconstricteurs et pro-agrégants plaquettaires. Les leucotriènes sont associés à l'inflammation et à l'asthme, tandis que les lipoxines ont des propriétés anti-inflammatoires.

Compte tenu de leur importance dans la régulation de divers processus physiologiques et pathologiques, les éicosanoïdes sont considérés comme des cibles thérapeutiques potentielles pour le traitement de diverses maladies, telles que l'hypertension artérielle, l'athérosclérose, l'asthme et d'autres affections inflammatoires.

Rolipram est un médicament qui appartient à une classe de composés appelés inhibiteurs de la phosphodiestérase-4 (PDE4). Ces médicaments fonctionnent en bloquant l'action d'une enzyme appelée PDE4, ce qui entraîne une augmentation des niveaux d'un messager chimique appelé AMP cyclique (cAMP) dans les cellules.

Rolipram a été étudié comme un possible traitement pour diverses affections médicales, notamment la dépression, l'asthme et la maladie d'Alzheimer. Cependant, il n'a pas été approuvé par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis ou d'autres organismes de réglementation pour une utilisation clinique en raison de préoccupations concernant son efficacité et sa sécurité.

Les recherches se poursuivent sur les inhibiteurs de la PDE4, y compris le rolipram, dans l'espoir de développer des traitements plus sûrs et plus efficaces pour un large éventail de maladies.

Les bronchopneumopathies obstructives sont un groupe de maladies pulmonaires qui se caractérisent par une obstruction des voies respiratoires. Cette obstruction peut être causée par une inflammation, une constriction des muscles lisses des bronches ou une accumulation de mucus dans les voies respiratoires. Les maladies courantes qui sont classées comme des bronchopneumopathies obstructives comprennent la bronchite chronique, l'emphysème et l'asthme.

La bronchite chronique est une inflammation à long terme des voies respiratoires qui provoque une toux persistante et une production de mucus. L'emphysème est une maladie pulmonaire caractérisée par la destruction des parois des alvéoles pulmonaires, ce qui entraîne une diminution de la surface d'échange gazeux dans les poumons. L'asthme est une maladie chronique des voies respiratoires qui se caractérise par une inflammation et une constriction des muscles lisses des bronches, ce qui entraîne une obstruction des voies respiratoires.

Les symptômes courants de ces maladies comprennent la toux, l'essoufflement, la production de mucus, la respiration sifflante et une capacité réduite à exercer une activité physique. Le traitement dépend de la maladie sous-jacente et peut inclure des médicaments pour dilater les voies respiratoires, réduire l'inflammation et éliminer le mucus. Dans certains cas, une oxygénothérapie ou une intervention chirurgicale peuvent être nécessaires.

Le dioxyde de soufre (SO2) est un gaz inorganique couramment utilisé en médecine comme un conservateur dans les solutions injectables et les préparations topiques. Cependant, il est surtout connu pour ses effets néfastes sur la santé, en particulier sur le système respiratoire.

Dans un contexte médical, l'exposition au dioxyde de soufre peut provoquer une irritation des yeux, du nez et de la gorge, et à des niveaux plus élevés, il peut déclencher des crises d'asthme et d'autres problèmes respiratoires. Il est considéré comme un polluant atmosphérique nocif et est souvent associé aux pluies acides, qui peuvent endommager les forêts, les lacs et les bâtiments.

En termes de toxicologie, le dioxyde de soufre est classé comme un gaz irritant pour les voies respiratoires. Les effets toxiques aigus dépendent principalement de la concentration du gaz et de la durée d'exposition. Des expositions répétées à des niveaux élevés peuvent entraîner des effets cumulatifs sur la santé.

Je suis désolé, "facteur temps" n'a pas de définition spécifique dans le domaine médical. Le terme "facteur temps" est plutôt utilisé en général pour décrire la durée pendant laquelle quelque chose se produit ou évolue, ou il peut également faire référence à l'importance de considérer le moment et la planification dans un contexte médical. Par exemple, l'administration d'un médicament à un moment précis ("facteur temps critique") ou la progression d'une maladie au fil du temps ("évolution temporelle de la maladie") peuvent être décrites en utilisant le terme "facteur temps". Cependant, il n'y a pas de définition médicale universellement acceptée pour ce terme.

Un inhalateur doseur, également connu sous le nom d'inhalateur de poudre sèche ou d'aérosol-doseur, est un dispositif médical utilisé pour administrer des médicaments sous forme de poudre ou de solution liquide sous pression directement dans les voies respiratoires. Il est souvent prescrit pour le traitement de maladies respiratoires telles que l'asthme, la bronchite chronique et l'emphysème.

Les inhalateurs doseurs contiennent généralement une cartouche métallique ou un récipient en plastique rempli du médicament en poudre ou en solution. Lorsque vous actionnez l'inhalateur, une dose mesurée du médicament est libérée sous forme d'aérosol, que vous pouvez inhaler profondément dans vos poumons.

Les inhalateurs doseurs sont souvent préférés aux autres formes de médication pour les maladies respiratoires car ils permettent une administration directe du médicament dans les voies respiratoires, ce qui peut entraîner une concentration plus élevée du médicament dans les poumons et une réduction des effets secondaires systémiques.

Il est important de suivre attentivement les instructions d'utilisation de l'inhalateur doseur pour vous assurer que vous recevez la dose appropriée de médicament et pour minimiser les risques d'effets indésirables. Si vous avez des questions ou des préoccupations concernant l'utilisation de votre inhalateur doseur, consultez un professionnel de la santé qualifié.

La sérotonine est un neurotransmetteur important dans le cerveau humain, qui joue un rôle crucial dans la régulation de l'humeur, du sommeil, de l'appétit, de la douleur et des fonctions cognitives. Il est dérivé de l'acide aminé tryptophane et est sécrété par les neurones sérotoninergiques dans le cerveau et le système nerveux périphérique. Dans le cerveau, la sérotonine agit en se liant à des récepteurs spécifiques sur d'autres neurones, influençant ainsi leur activité électrique et la libération de neurotransmetteurs supplémentaires. Les déséquilibres de la sérotonine ont été associés à divers troubles mentaux, tels que la dépression, l'anxiété et les troubles obsessionnels compulsifs. De plus, la sérotonine est également connue pour jouer un rôle dans la régulation des fonctions physiologiques, telles que la coagulation sanguine et la fonction cardiovasculaire.

L'anaphylaxie cutanée passive est une réaction allergique systemique qui se produit lorsque des anticorps (immunoglobuline E ou IgE) sensibilisés à un allergène sont transférés d'une personne à une autre par voie sanguine. Cela peut se produire, par exemple, lorsqu'un individu recevant une transfusion sanguine a des anticorps préformés contre un allergène présent dans le sang du donneur. Les symptômes peuvent inclure des éruptions cutanées, des démangeaisons, de l'urticaire, un gonflement des voies respiratoires et une chute de la pression artérielle. Cette réaction est considérée comme une forme d'anaphylaxie car elle implique une libération massive de médiateurs chimiques qui provoquent une réponse immunitaire exagérée. Cependant, contrairement à l'anaphylaxie classique, il n'y a pas de contact direct avec l'allergène par la personne affectée.

Les aryl sulfonates sont des composés organiques qui contiennent un groupe fonctionnel sulfonate (-SO3H) lié à un ou plusieurs noyaux aromatiques. Ils sont utilisés dans diverses applications industrielles et de recherche, y compris comme intermédiaires dans la synthèse de médicaments et de colorants.

Dans le contexte médical, les aryl sulfonates ne sont pas directement utilisés comme médicaments ou traitements. Cependant, certains composés d'aryl sulfonate ont été étudiés pour leurs propriétés pharmacologiques et certains peuvent avoir des applications potentielles dans le domaine médical.

Par exemple, certaines molécules d'aryl sulfonate ont montré une activité antimicrobienne et peuvent être développées comme agents antibiotiques ou antifongiques. D'autres composés d'aryl sulfonate ont été étudiés pour leur potentiel à inhiber certaines enzymes impliquées dans des maladies telles que le cancer et les maladies cardiovasculaires.

Cependant, il convient de noter que la recherche sur ces composés est encore en cours et qu'aucun aryl sulfonate n'a été approuvé pour une utilisation clinique à ce jour.

La prostaglandine endoperoxyde synthase (PGHS), également connue sous le nom de cyclooxygénase (COX), est un ensemble d'enzymes qui catalysent la conversion des acides gras essentiels oméga-6, tels que l'acide arachidonique, en prostaglandines et autres eicosanoïdes. Ces molécules sont des messagers bioactifs impliqués dans une variété de processus physiologiques et pathologiques, notamment l'inflammation, la douleur, la fièvre, l'agrégation plaquettaire et la protection de l'estomac.

Il existe deux isoformes principales de PGHS : PGHS-1 (COX-1) et PGHS-2 (COX-2). PGHS-1 est constitutivement exprimé dans divers tissus et joue un rôle essentiel dans la maintenance des fonctions physiologiques normales. En revanche, l'expression de PGHS-2 est généralement induite en réponse à des stimuli pathogènes ou stressants, ce qui entraîne une production accrue de prostaglandines et d'autres eicosanoïdes impliqués dans la réponse inflammatoire.

Le processus catalytique de PGHS implique deux étapes clés : l'oxygénation et la peroxygenation. Tout d'abord, l'acide arachidonique est oxydé en un intermédiaire réactif, le PGG2 (prostaglandine G2). Ensuite, ce composé est converti en PGH2 (prostaglandine H2), qui sert de précurseur à la synthèse d'une variété de prostaglandines et de thromboxanes.

Les inhibiteurs de PGHS sont largement utilisés dans le traitement des maladies inflammatoires, de la douleur et de la fièvre. Ces médicaments comprennent les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) tels que l'ibuprofène, le naproxène et l'aspirine, ainsi que des agents plus sélectifs comme le célécoxib et le rofécoxib. Cependant, il convient de noter que ces médicaments peuvent entraîner des effets indésirables graves, tels qu'une augmentation du risque d'événements cardiovasculaires et gastro-intestinaux, en particulier lorsqu'ils sont utilisés à long terme ou à fortes doses.

Les éthers glycéryliques sont des composés organiques où un ou plusieurs groupes hydroxyles (-OH) du glycérol sont remplacés par des groupes alkyles. Ils sont également connus sous le nom de "glycosides d'alkyle" ou "éthers d'alcool gras". Ces composés sont utilisés dans une variété d'applications, y compris en médecine, en tant qu'excipients et agents tensioactifs.

Dans un contexte médical, les éthers glycéryliques peuvent être trouvés dans certains types de médicaments, tels que les solutions pour inhalation et les formulations injectables. Ils sont utilisés pour améliorer la solubilité des médicaments dans l'eau, prolonger la durée d'action du médicament dans le corps et potentialiser l'absorption du médicament dans les tissus.

Cependant, il est important de noter que certains éthers glycéryliques peuvent avoir des effets toxiques sur le foie et les reins s'ils sont utilisés à fortes doses ou pendant une période prolongée. Par conséquent, leur utilisation doit être soigneusement surveillée et évaluée en fonction des avantages potentiels pour le patient par rapport aux risques possibles.

Les mastocytes sont des granulocytes (un type de globules blancs) qui jouent un rôle crucial dans la réponse immunitaire et inflammatoire de l'organisme. Ils sont remplis de granules contenant des médiateurs chimiques, tels que l'histamine, la sérotonine, les leucotriènes et les prostaglandines. Lorsqu'ils sont stimulés, ces médiateurs sont libérés dans le tissu environnant, provoquant une variété de réactions physiologiques telles que l'expansion des vaisseaux sanguins, l'augmentation de la perméabilité vasculaire, et l'attraction d'autres cellules immunitaires vers le site. Les mastocytes sont particulièrement abondants dans les tissus conjonctifs, en particulier près des vaisseaux sanguins et nerveux, ainsi que dans la muqueuse des voies respiratoires et digestives. Ils sont impliqués dans des processus physiologiques normaux, comme la défense contre les parasites, mais aussi dans des pathologies telles que l'asthme, les réactions allergiques (y compris l'anaphylaxie), et certaines maladies inflammatoires chroniques.

Les inhibiteurs de la phosphodiestérase (PDE) sont une classe de médicaments qui bloquent l'action d'une enzyme appelée phosphodiestérase. Cette enzyme dégrade les molécules de monophosphate de guanosine cyclique (cGMP) et de monophosphate de adénosine cyclique (cAMP), qui sont des seconds messagers importants dans la transduction du signal cellulaire.

En inhibant l'action de la phosphodiestérase, les niveaux de cGMP et de cAMP dans les cellules augmentent, ce qui entraîne une série d'effets physiologiques. Les inhibiteurs de la PDE sont utilisés dans le traitement de diverses affections médicales, telles que l'hypertension artérielle pulmonaire, l'insuffisance cardiaque congestive, l'érection prolongée du pénis (dysfonction érectile), la maladie de Raynaud et certaines affections oculaires, telles que le glaucome.

Il existe plusieurs sous-types d'inhibiteurs de la PDE qui ciblent différents isoenzymes de la phosphodiestérase, tels que PDE-3, PDE-4, PDE-5 et ainsi de suite. Chaque sous-type a des effets spécifiques sur les cellules et les tissus, ce qui permet de cibler des affections médicales particulières. Par exemple, l'inhibiteur de la PDE-5, le sildénafil (Viagra), est utilisé pour traiter la dysfonction érectile en augmentant les niveaux de cGMP dans le tissu musculaire lisse du pénis.

La pirenzépine est un médicament anticholinergique qui est utilisé pour traiter les symptômes de l'hyperactivité vésicale, tels que les envies fréquentes d'uriner et les fuites urinaires involontaires. Il fonctionne en bloquant les récepteurs muscariniques dans la vessie, ce qui réduit les contractions musculaires involontaires de la vessie et augmente sa capacité.

La pirenzépine est disponible sous forme de comprimés et est généralement prise une fois par jour. Les effets secondaires courants peuvent inclure une bouche sèche, des étourdissements, une somnolence, des maux de tête, des troubles visuels et des problèmes gastro-intestinaux tels que la constipation ou la diarrhée.

Il est important de noter que la pirenzépine peut interagir avec d'autres médicaments, y compris certains antidépresseurs, antihistaminiques et médicaments contre les troubles cardiovasculaires. Il est donc essentiel de consulter un médecin avant de commencer à prendre ce médicament pour s'assurer qu'il est sans danger pour vous.

Le flurbiprofène est un médicament appartenant à une classe de médicaments appelés anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). Il agit en réduisant les douleurs, fièvres et inflammations dans le corps. Le flurbiprofène agit en inhibant la production d'hormones responsables de l'inflammation et de la sensation de douleur.

Ce médicament est souvent utilisé pour traiter les symptômes de l'arthrite, des douleurs menstruelles, des maux de tête et des fièvres. Il peut également être utilisé pour soulager la douleur associée à des blessures musculaires et articulaires.

Comme tous les médicaments, le flurbiprofène peut entraîner des effets secondaires indésirables. Les effets secondaires courants peuvent inclure des maux d'estomac, des nausées, des vomissements, de la constipation, des diarrhées, des gaz et des maux de tête. Certains effets secondaires plus graves peuvent inclure des saignements gastro-intestinaux, une pression artérielle élevée, des réactions allergiques et des problèmes rénaux ou hépatiques.

Il est important de suivre les instructions posologiques de votre médecin lorsque vous prenez du flurbiprofène et de ne pas dépasser la dose recommandée. Les personnes âgées, les personnes atteintes de maladies cardiovasculaires, rénales ou hépatiques préexistantes peuvent être plus sensibles aux effets secondaires du flurbiprofène et doivent faire l'objet d'une surveillance médicale étroite.

La thromboxane-A synthase est une enzyme qui catalyse la biosynthèse du thromboxane A2 à partir de l'acide arachidonique. Le thromboxane A2 est un puissant vasoconstricteur et promoteur de l'agrégation plaquettaire, jouant ainsi un rôle crucial dans la cascade de coagulation sanguine et la réponse inflammatoire. Il existe deux isoformes de cette enzyme : la thromboxane-A synthase 1, qui est exprimée principalement dans les plaquettes sanguines, et la thromboxane-A synthase 2, qui est exprimée dans divers tissus, y compris les vaisseaux sanguins, le cœur et les reins. Des inhibiteurs de cette enzyme sont utilisés dans le traitement de certaines maladies cardiovasculaires pour prévenir la thrombose et l'athérosclérose.

"AMP" est l'abréviation de "adénosine monophosphate," qui est un nucléotide important dans les cellules vivantes. Il s'agit d'un ester de l'acide phosphorique avec l'adénosine, un nucléoside constitué de ribose et d'adénine.

L'AMP joue un rôle crucial dans le métabolisme de l'énergie au sein des cellules. Il est impliqué dans la production d'ATP (adénosine triphosphate), qui est la principale source d'énergie pour les réactions chimiques dans les cellules. Lorsque l'organisme a besoin d'énergie, des molécules d'ATP sont décomposées en ADP (adénosine diphosphate) et en libérant une molécule d'AMP.

L'AMP peut également agir comme un messager intracellulaire et jouer un rôle dans la régulation de divers processus cellulaires, tels que la transduction de signaux et l'expression des gènes.

Dans certains contextes médicaux, "AMP" peut également faire référence à une solution d'adrénaline (épinéphrine) et de lidocaïne, qui est utilisée pour infiltrer les tissus avant une intervention chirurgicale ou pour soulager la douleur. Cependant, cette utilisation est moins courante que la référence à l'adénosine monophosphate.

La lidocaïne est un médicament d'anesthésie locale couramment utilisé dans le domaine médical et dentaire. Il s'agit d'un agent anesthésique local amide, qui agit en bloquant les canaux sodiques volatils dans les membranes des neurones, empêchant ainsi l'influx nerveux de se propager et provoquant une perte temporaire de sensation dans la zone traitée.

La lidocaïne est disponible sous diverses formulations, notamment en solution injectable, en gel, en crème ou en spray, et elle est utilisée pour induire l'analgésie avant les procédures invasives telles que les injections, les interventions chirurgicales mineures, les extractions dentaires et l'électroconvulsivothérapie.

Les effets secondaires courants de la lidocaïne peuvent inclure des picotements ou une sensation de brûlure au site d'injection, une légère augmentation du rythme cardiaque et une diminution de la tension artérielle. Dans de rares cas, une dose excessive peut entraîner des réactions graves telles qu'une arythmie cardiaque, une crise convulsive ou un arrêt cardiaque. Par conséquent, il est essentiel que la lidocaïne soit administrée avec prudence et sous surveillance médicale stricte.

Le terme « athletes » ne fait pas référence à une condition ou une maladie spécifique en médecine. Il décrit plutôt un groupe de personnes qui sont actives dans la pratique d'un sport ou d'une activité physique compétitive ou récréative. Les athlètes peuvent être amateurs ou professionnels et participer à une grande variété de sports, y compris les sports d'équipe tels que le football et le basketball, ainsi que les sports individuels tels que la course à pied et la natation.

Les athlètes sont souvent en bonne santé et ont un mode de vie actif, mais ils peuvent également être sujets à des blessures liées au sport et à d'autres problèmes de santé spécifiques aux athlètes. Les médecins qui travaillent avec des athlètes peuvent se spécialiser dans la médecine du sport, qui implique la prévention, le diagnostic et le traitement des blessures et des maladies liées au sport.

Il est important pour les athlètes de prendre soin de leur santé en maintenant une bonne forme physique, en suivant un régime alimentaire équilibré, en évitant les comportements à risque et en subissant des examens médicaux réguliers pour détecter tout problème de santé potentiel.

La "pulmonary gas exchange" (échange gazeux pulmonaire) est un processus physiologique qui se produit dans les poumons et qui consiste en l'élimination du dioxyde de carbone (CO2) des poumons et l'absorption de l'oxygène (O2) par le sang.

Ce processus se déroule au niveau des alvéoles pulmonaires, où l'air riche en oxygène inspiré entre en contact étroit avec le sang circulant dans les capillaires sanguins. L'oxygène diffuse passivement à travers la membrane alvéolo-capillaire pour se lier à l'hémoglobine dans les globules rouges, ce qui permet au sang de transporter l'oxygène vers les tissus corporels.

Dans le même temps, le dioxyde de carbone produit par les cellules corporelles est transporté vers les poumons via le sang veineux. Le CO2 diffuse passivement à travers la membrane alvéolo-capillaire pour être expiré hors des poumons lors de l'expiration.

L'efficacité de l'échange gazeux pulmonaire peut être affectée par divers facteurs, tels que les maladies pulmonaires, les changements de pression partielle d'oxygène et de dioxyde de carbone dans le sang, et les modifications du débit sanguin pulmonaire.

La bronchite est une inflammation des bronches, qui sont les tubes transportant l'air dans et hors des poumons. Il existe deux principaux types de bronchite : aiguë et chronique.

1. Bronchite aiguë : C'est généralement causé par un virus respiratoire. Les symptômes comprennent une toux productive (avec crachats de mucus), essoufflement, douleurs thoraciques, fatigue et fièvre. Dans la plupart des cas, elle disparaît en une à deux semaines.

2. Bronchite chronique : Elle est souvent liée au tabagisme ou à l'exposition à long terme à la fumée secondaire, à la poussière et aux produits chimiques nocifs. Les symptômes incluent une toux persistante avec crachats de mucus pendant au moins trois mois durant deux années consécutives. La bronchite chronique peut évoluer vers une maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC).

Le traitement dépend du type de bronchite. Pour la bronchite aiguë, il est recommandé de se reposer, rester hydraté et peut-être utiliser des médicaments en vente libre pour soulager les symptômes. Pour la bronchite chronique, le traitement implique généralement l'arrêt du tabac, des vaccinations contre la grippe et le pneumocoque, des bronchodilatateurs, des corticostéroïdes inhalés et eventuellement de l'oxygénothérapie.

La tolérance aux médicaments, également connue sous le nom de tolerance pharmacologique, est un phénomène dans lequel le corps d'un individu devient moins réactif à l'administration répétée d'un médicament donné. Cela se produit lorsque la réponse physiologique ou pharmacologique à une dose constante du médicament diminue avec le temps, nécessitant ainsi des doses plus élevées pour obtenir l'effet souhaité. Ce processus peut être dû à divers mécanismes, tels que la diminution de la sensibilité des récepteurs, l'augmentation du métabolisme du médicament ou une augmentation de son élimination. Il est important de noter que la tolérance ne doit pas être confondue avec la dépendance aux médicaments, qui implique un besoin compulsif de prendre des drogues pour éviter les symptômes de sevrage.

L'hypersensibilité médicamenteuse, également connue sous le nom de réaction allergique aux médicaments, est une réponse anormale et exagérée du système immunitaire à un médicament. Cela se produit lorsque le système immunitaire identifie incorrectement un médicament comme étant nocif pour l'organisme et déclenche une réaction allergique pour s'en débarrasser.

Les symptômes de l'hypersensibilité médicamenteuse peuvent varier considérablement, allant de légers à graves. Ils peuvent inclure des éruptions cutanées, des démangeaisons, des gonflements, des difficultés respiratoires, une baisse de la pression artérielle, des nausées, des vomissements et dans les cas les plus graves, un choc anaphylactique.

Les réactions d'hypersensibilité médicamenteuse peuvent survenir après une seule dose ou après plusieurs expositions à un médicament. Certaines personnes sont plus susceptibles de développer des réactions d'hypersensibilité médicamenteuse en raison de facteurs génétiques ou de troubles sous-jacents du système immunitaire.

Il est important de noter que l'hypersensibilité médicamenteuse doit être distinguée d'autres réactions indésirables aux médicaments qui ne sont pas liées au système immunitaire, telles que les effets secondaires ou les interactions médicamenteuses.

Les exsudats et transsudats sont deux types de liquides qui peuvent s'accumuler dans les espaces situés entre les tissus corporels ou dans les cavités du corps. Ils sont généralement classés en fonction de leur origine, de leur composition et des processus pathologiques sous-jacents qui les causent.

1. Exsudats: Les exsudats sont des liquides qui s'écoulent d'un vaisseau sanguin endommagé ou d'une inflammation locale. Ils contiennent une grande quantité de protéines, de cellules sanguines (comme les globules blancs) et de divers composants cellulaires. Les exsudats sont souvent le résultat d'une infection, d'une inflammation, d'une lésion tissulaire ou d'une réaction immunitaire. Des exemples courants d'exsudats comprennent l'épanchement pleural dans la pneumonie, l'épanchement articulaire dans l'arthrite et les écoulements cutanés dans les plaies infectées.

2. Transsudats: Les transsudats sont des liquides qui s'accumulent en raison d'une augmentation de la pression hydrostatique ou d'une diminution de la pression oncotique à l'intérieur des vaisseaux sanguins. Ils contiennent généralement une faible concentration de protéines et de cellules sanguines. Les transsudats sont souvent le résultat d'une maladie cardiovasculaire, hépatique ou rénale sous-jacente. Des exemples courants de transsudats comprennent l'épanchement pleural dans l'insuffisance cardiaque congestive, l'ascite dans la cirrhose du foie et les épanchements péricardiques dans l'insuffisance cardiaque.

Il est important de noter que la distinction entre exsudats et transsudats peut parfois être difficile, car certains épanchements peuvent présenter des caractéristiques des deux. Dans ces cas, une analyse chimique et cellulaire du liquide d'épanchement peut aider à établir un diagnostic plus précis.

Le Débit Maximum Expiratoire 25-75 (DEM25-75) est un paramètre utilisé dans les tests de la fonction pulmonaire pour évaluer la sévérité de certaines maladies respiratoires, telles que l'asthme ou la bronchite chronique. Il s'agit du débit d'air expiré pendant la phase moyenne de la manœuvre forcée expiratoire, qui est mesurée après avoir pris une inspiration profonde et expiré aussi rapidement et vigoureusement que possible.

Le DEM25-75 est exprimé en litres par seconde (L/s) ou en pourcentage du débit de pointe expiratoire (DEP). Il représente la moyenne des trois valeurs les plus basses obtenues lors des manœuvres forcées expiratoires répétées. Un DEM25-75 diminué indique une obstruction bronchique, ce qui signifie que l'air a du mal à s'écouler des petites voies respiratoires. Plus le DEM25-75 est faible, plus la sévérité de l'obstruction est grande.

Il est important de noter que le DEM25-75 doit être interprété en conjonction avec d'autres paramètres de la fonction pulmonaire pour poser un diagnostic précis et évaluer la réponse au traitement.

Les agonistes muscariniques sont des composés pharmacologiques qui se lient et activent les récepteurs muscariniques, qui sont un type de récepteur des neurotransmetteurs situés dans le système nerveux parasympathique. Ces récepteurs sont activés par l'acétylcholine, un neurotransmetteur important pour la régulation de divers processus physiologiques tels que la contraction musculaire lisse, la sécrétion glandulaire, et la fonction cognitive.

Les agonistes muscariniques peuvent être utilisés dans le traitement de diverses affections médicales telles que les maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC), la maladie d'Alzheimer, et certains troubles oculaires. Cependant, ils peuvent également entraîner des effets secondaires indésirables tels que des nausées, des vomissements, des diarrhées, des sueurs, des mictions fréquentes, et une augmentation de la salivation et des sécrétions bronchiques.

Il existe plusieurs types d'agonistes muscariniques, qui se lient préférentiellement à différents sous-types de récepteurs muscariniques (M1 à M5). Certains agonistes muscariniques sont sélectifs pour un sous-type particulier de récepteur, tandis que d'autres ont une affinité plus large pour plusieurs sous-types. La sélectivité des agonistes muscariniques peut influencer leur efficacité thérapeutique et leur profil d'effets secondaires.

Les benzamides sont une classe de composés organiques qui contiennent un groupe fonctionnel benzamide, qui est dérivé de l'acide benzoïque en remplaçant le groupe hydroxyle (-OH) par un groupe amide (-CONH2).

Dans un contexte médical, certaines benzamides ont des propriétés pharmacologiques intéressantes et sont utilisées dans le traitement de diverses affections. Par exemple, le diphénylbutylpiperidine benzamide (comme le sulpiride et le sultopride) est un antipsychotique atypique utilisé pour traiter la schizophrénie et d'autres troubles psychotiques.

D'autres benzamides, comme l'amlodipine besylate, sont des médicaments anti-hypertenseurs qui fonctionnent en relaxant les muscles lisses des vaisseaux sanguins, ce qui entraîne une dilatation des vaisseaux et une baisse de la pression artérielle.

Il est important de noter que chaque médicament benzamide a ses propres indications, contre-indications, effets secondaires et interactions médicamenteuses uniques, il est donc crucial de consulter un professionnel de la santé avant de prendre tout médicament.

La bronchoconstriction est le rétrécissement du calibre des bronches à cause d'une contraction des muscles bronchiques. La ... Les principaux signes de bronchoconstriction sont les sibilances à l'auscultation. On peut en objectiver l'importance par la ... bronchoconstriction est due à la fixation de l'acétylcholine[réf. nécessaire] sur les récepteurs induisant une contraction des ...
La bronchoconstriction induite par l'effort est appelée à tort « asthme induit par l'effort », mais ce terme est abandonné car ... La bronchoconstriction induite par l'effort est une forme distincte d'hyperréactivité des voies aériennes. C'est un ... On peut dès lors parler de « bronchoconstriction induite par l'effort avec ou sans asthme ». La BIE peut survenir chez l'adulte ... Netgen, « Bronchoconstriction induite par l'effort : épidémiologie, physiopathologie et prise en charge », sur Revue Médicale ...
... bronchoconstriction ; contraction des cellules musculaires lisses ; crampes abdominales ; augmentation des sécrétions : ...
Et ce, d'autant plus que la bronchoconstriction induite par l'effort peut être ou pas associée à un asthme. Ici on présente les ... Le mucus produit en réaction à l'inflammation et la bronchoconstriction viennent réduire encore le diamètre des bronches, ... On lui préfère le terme « bronchoconstriction induite par l'effort », car l'ancienne terminologie suggère à tort que l'exercice ... une bronchoconstriction par bronchospasmes ; une hyperréactivité bronchique (chronique ou non) se manifestant par une sécrétion ...
Enfin, s'installe une bronchoconstriction qui serait liée au thromboxane B2. Les exsudats et débris cellulaires forment des ... œdème et bronchoconstriction. En outre, ces perturbations exposent à une infection trachéobronchique. La cicatrisation des ...
Le but du traitement est d'éliminer l'inflammation pulmonaire et la bronchoconstriction. Les protocoles thérapeutiques varient ...
Elle évolue par crises et associe trois phénomènes physiopathologiques : bronchoconstriction menant à un bronchospasme ; ...
... la stimulation du SNP entraîne une bronchoconstriction et augmente les sécrétions bronchiques. au niveau des glandes salivaires ...
... l'allergie et la bronchoconstriction. La propriété anti-PAF des ginkgolides en liaison avec la capacité à piéger les radicaux ...
Les TRPV1 seraient également impliqués dans l'asthme d'effort, et plus précisément dans le phénomène de bronchoconstriction. ...
Publications originales 1945 : « Épreuve de bronchoconstriction et de bronchodilatation par aérosols », Bulletin de l'Académie ...
Dans les poumons, ce mécanisme sous le contrôle du système parasympathique provoque une bronchoconstriction qui peut être à ...
... pour lutter contre la bronchoconstriction. En cas de réactions œdémateuses associées, on utilise les corticoïdes. Plusieurs ...
L'asthme est une maladie chronique inflammatoire des voies respiratoires qui se caractérise par de la bronchoconstriction, de ...
Le blocage des récepteurs β2 est lui indésirable dans la grande majorité des cas car il cause une bronchoconstriction pouvant ... ainsi qu'une bronchoconstriction ce qui peut être problématique dans le cadre de patients asthmatiques ou souffrant de ... éventuel phénomène de bronchoconstriction (et donc le risque de bronchospasme chez les individus prédisposés à l'asthme). Les ...
... cela réduit la contractilité du muscle lisse pulmonaire ainsi que la bronchoconstriction et la sécrétion de mucus. Il ne se ...
... augmentation du péristaltisme gastrique et intestinal bronchoconstriction contraction des cellules musculaires lisses augmente ...
Un bronchodilatateur est un médicament destiné à traiter ou à prévenir la bronchoconstriction ou bronchospasme, dans des ...
Grâce à ce test, le médicament provoque la bronchoconstriction, et les personnes atteintes de l'hyperréactivité des voies ...
... bronchoconstriction) et la nécessité de coadministrer des vagolytiques comme l'atropine. Un autre avantage est la possibilité ...
L'histamine entraîne en particulier vasodilatation (dilatation des veines et des artères), bronchoconstriction (rétrécissement ...
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... à prévenir la bronchoconstriction ou bronchospasme un dilatateur nasal ou écarteur nasal, un pansement adhésif aidant à ...
... du débit cardiaque baisse de la sécrétion de la rénine blocage présynaptique de la libération du médiateur Bronchoconstriction ... troubles de la conductibilité cardiaque défaillance cardiaque asthénie transitoire troubles digestifs bronchoconstriction ...
... la bronchoconstriction, l'hypotension, la bradycardie et potentiellement les convulsions, cependant les organophosphorés sont ...
... la bronchoconstriction, etc. Grâce à ses propriétés agonistes muscariniques et nicotiniques, l'arécoline a amélioré les ...
LTD4 et LTE4 qui ont un rôle dans la broncho-constriction en réponse entre autres à des allergènes (asthme) : ils provoquent la ...
Les conséquences de l'allergie sont la vasodilatation (causant des œdèmes), la bronchoconstriction et la production de mucus, ...
... syndrome de détresse respiratoire aiguë caractérisé par une apnée et bronchoconstriction/œdème conduisant à la mort en quelques ...
La bronchoconstriction est le rétrécissement du calibre des bronches à cause dune contraction des muscles bronchiques. La ... Les principaux signes de bronchoconstriction sont les sibilances à lauscultation. On peut en objectiver limportance par la ... bronchoconstriction est due à la fixation de lacétylcholine[réf. nécessaire] sur les récepteurs induisant une contraction des ...
Bronchoconstriction paradoxale. *Bronchospasme. *Laryngospasme. *Oedème pharyngé. *Sécheresse de la gorge. *Sécheresse de la ...
Aucune bronchoconstriction na toutefois été observée chez des patients présentant un asthme modéré après linstillation du ... Ladministration intraveineuse de latanoprost chez le singe a été associée à une bronchoconstriction transitoire. ...
Etude de la fonction ventilatoire de modèles de bronchoconstriction murins en IRM-Hélium dynamique Jury : ...
Dans une étude contrôlée de 90 jours menée chez des patients présentant une bronchoconstriction associée à une ... Si des doses supérieures aux posologies recommandées sont nécessaires pour contrôler les symptômes de bronchoconstriction (ou ...
... sont les médicaments de choix pour réduire la bronchoconstriction aiguë et prévenir la bronchoconstriction induite par leffort ... Lasthme est une inflammation diffuse des voies respiratoires provoquée par divers stimuli induisant une bronchoconstriction ... Lasthme est une inflammation diffuse des voies respiratoires provoquée par divers stimuli induisant une bronchoconstriction ...
Dans les poumons, elle agit en provoquant une bronchoconstriction. Phase de sensibilisation en 7 étapes. La réaction allergique ...
Pour une prise en charge adéquate, le traitement instauré doit pouvoir agir sur linflammation et la bronchoconstriction. ... la broncho constriction). Les bronches sont enflammées, la muqueuse - lintérieur des bronches - est épaisse et fabrique plus ...
... de la bronchoconstriction, la douleur, mais aussi la glycémie chez les patients atteints de diabète de type 2. Pris ensemble ...
La plupart des patients peuvent compenser en hyperventilant, mais dans les cas sévères, la bronchoconstriction diffuse entraîne ... Lasthme est une inflammation diffuse des voies respiratoires provoquée par divers stimuli induisant une bronchoconstriction ... sont utilisés pour déclencher une bronchoconstriction; ils sont indiqués si on suspecte un asthme et que les résultats de la ... mais en cas de bronchoconstriction sévère le wheezing peut être inaudible en raison de la limitation du flux dair. ...
Bronchoconstriction M3 Tube digestif Ralentissement du péristaltisme α2 - β2 Augmentation du péristaltisme M3 ...
... des tests de bronchoconstriction et une supervision plus détaillée des manœuvres. ...
Bronchoconstriction M3 Tube digestif Ralentissement du péristaltisme α2 - β2 Augmentation du péristaltisme M3 ...
La broncho-constriction. *Les hémorragies internes.. *Lanémie.. Comment traiter le reflux gastro-oesophagien de manière ...
Ce sont des Broncho-constrictions induites par leffort et on a environ largement 50% des coureurs qui ont une broncho- ... Cordiam : Pour ce qui est de la bronchoconstriction à leffort, ils sont amenés à prendre des corticoïdes inhalés ?. Jacky ...
Les chercheurs vont exploiter cette nouvelle cible thérapeutique pour réduire la bronchoconstriction et linflammation ... Targeting of Rac1 prevents bronchoconstriction and airway hyperresponsiveness. Gwennan André-Grégoire1∗, Florian Dilasser1∗, ...
Bronchoconstriction, production de mucus, rhinite, congestion nasale, éternuements. Peau. Flush, démangeaisons, urticaire. ...
Bétahistine : du fait dun risque de bronchoconstriction, précaution demploi chez les patients asthmatiques. ...
Cest cette bronchoconstriction passagère qui est appelée « asthme deffort » ou « asthme post exercice ». Il est observé chez ... Tagged with: asthmatique • asthme deffort • bronchoconstriction • crise dasthme • essoufflement • hyperréactivité bronchique ... Lasthme est une maladie inflammatoire chronique des bronches avec bronchoconstriction et inflammation des bronches. Cette ...
Lusage de ce médicament empêche la bronchoconstriction responsable des problèmes de respiration, dianabol paypal. Click here & ...
... la bronchoconstriction et un bouchon de mucus affectant les bronchioles. Cette pathologie est réversible et entraîne différents ...
... elle réduit la bronchoconstriction, lépuration mucociliaire, la sécrétion gastrique, la motilité gastro-intestinale et du ...
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En effet, ils inhibent la production des leucotriènes, réduisant ainsi la bronchoconstriction à lorigine de la difficulté ...
Linvention concerne des procédés Colcrys en Suisse augmenter la dilatation etu la bronchoconstriction liée des voies aériennes ...
Caractérisation du mécanisme impliqué dans la bronchoconstriction à ladénosine potentialisée par une provocation allergique ... Caractérisation du mécanisme impliqué dans la bronchoconstriction à ladénosine potentialisée par une provocation allergique ...
Dans la majorité des cas, les diagnostiques et thérapeutiques de cette bronchoconstriction, arrive quelques fois dattraper une ...
... responsables de la broncho-constriction . ...
... bronchoconstriction, élévation de la température corporelle, augmentation de lémission dexcréments et durines, salivation, ...
  • l'albutérol), 2 bouffées toutes les 4 heures selon les besoins, sont les médicaments de choix pour réduire la bronchoconstriction aiguë et prévenir la bronchoconstriction induite par l'effort. (merckmanuals.com)
  • La bronchoconstriction induite par la Substance P chez le porc : validation d'un modèle expérimental, identification des récepteurs et des mécanismes impliqués, interactions avec la toux. (gregoirevincke.be)
  • Pr valence de la bronchoconstriction induite par l exercice (BIE) et de l obstruction laryng e induite par l exercice (OLIE) dans une population g n rale d adolescents. (medespace.fr)
  • Les chercheurs vont exploiter cette nouvelle cible thérapeutique pour réduire la bronchoconstriction et l'inflammation pulmonaire chez les malades. (theragora.fr)
  • Les cytokines pro-inflammatoires et autres médiateurs sécrétés par les mastocytes affectent la fonction des muscles lisses des voies respiratoires, la bronchoconstriction, l'inflammation et le remodelage des voies respiratoires. (ab-science.com)
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  • Asthme L'asthme est une inflammation diffuse des voies respiratoires provoquée par divers stimuli induisant une bronchoconstriction partiellement ou complètement réversible. (merckmanuals.com)
  • L'invention concerne des procédés Colcrys en Suisse augmenter la dilatation etu la bronchoconstriction liée des voies aériennes, p, elle restera avec ses enfants sans état-civil dans le territoire indéterminé où elle les a mis bas, quels sont les recours contre les entrepreneurs fautifs. (afrilam.org)
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  • La bronchoconstriction est le rétrécissement du calibre des bronches à cause d'une contraction des muscles bronchiques. (wikipedia.org)
  • L'asthme est une maladie inflammatoire chronique des bronches avec bronchoconstriction et inflammation des bronches. (pharmaciedelepoulle.com)
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  • On peut également l'utiliser pour traiter les symptômes asthmatiques causés par l'exercice ( bronchoconstriction induite par l'exercice ). (santecheznous.com)
  • Pour l'instant, les fans n'ont eu droit pourrait être plus bénéfique quun antioxydant unique hédonisme non égocentrée Le Plaisir est un bronchoconstriction induite par l'exercice. (thuocthuysannamthanh.com)
  • L'asthme est une inflammation diffuse des voies respiratoires provoquée par divers stimuli induisant une bronchoconstriction partiellement ou complètement réversible. (msdmanuals.com)
  • Tous les efforts ont générique tadalafil bronchoconstriction, l'hyperréactivité des voies respiratoires cialis et la section grossesse ci-dessus. (uts.sport)
  • Pour évaluer l'efficacité du REGN1908-1909 pour réduire la bronchoconstriction aigue, ou la réponse asthmatique immédiate, les chercheurs ont mesuré le FEV1 au départ, puis aux jours 8,29, 57 et 85 dans les deux groupes. (medscape.com)
  • La bronchoconstriction est le rétrécissement du calibre des bronches à cause d'une contraction des muscles bronchiques. (wikipedia.org)
  • Présentés lors du congrès annuel de l' American Academy of Allergy, Asthma & Immunology , le 27 février dernier (abstract 504), ils indiquent qu'une dose d'un nouveau médicament, le REGN1908-1909, permet une réduction rapide et durable de la bronchoconstriction induite par un allergène du chat chez les individus atteints d'une allergie au chat non sévère. (medscape.com)
  • Une condition de bronchoconstriction résultant d'une hypersensibilité réaction à inhalé poussière pendant le processus initial pour Cotton, lin, ou chanvre industriel du textile. (lookformedical.com)
  • Ce qui est inhabituel, c'est que les personnes qui ont des allergies au pollen, même s'il ne s'agit que d'une rhinite allergique saisonnière et sans n'avoir jamais fait de crises d'asthme au préalable, peuvent souffrir de bronchoconstriction sévère (asthme latent) à cette occasion. (medscape.com)
  • Médicament utilisé pour traiter ou prévenir la bronchoconstriction, c'est-à-dire la contraction anormale des muscles des bronches, il agit en dilatant les bronches pour améliorer la respiration (utilisé en cas d'asthme par exemple). (encyclopollens.fr)
  • Béta-bloqueurs : potentialisation de la bronchoconstriction et de la bradycardie. (urgences-serveur.fr)
  • Pour les personnes souffrant de bronchoconstriction induite par l'effort (BIE) ou d'asthme induit par l'effort (AIE). (antidotesmagazine.com)
  • Nous avons montré qu'il réduit rapidement et durablement la bronchoconstriction aigue chez les personnes allergiques au chat » a indiqué l'investigateur principal, le Pr Frédéric de Blay (pneumo-allergologue, CHU Strasbourg). (medscape.com)