Un trouble alimentaire qui se manifeste par un cycle de surconsommation d ’ aliments (boulimie ou hyperphagies boulimiques) suivies d'actes inappropriés (purger) pour éviter une prise de poids. Purger méthodes comprennent souvent auto-infligé VOMITING, l ’ utilisation de laxatifs ou DIURETICS, un excès d'exercice, et FASTING.
Un ensemble de troubles caractérisé par des perturbations physiologiques et psychologiques appétit ou la prise alimentaire.
Une associée trois ou plusieurs des antécédents suivants : Sensation inconfortablement rempli, qui à manger des tonnes de nourriture quand faim ; manger pas physiquement bien plus vite que la normale ; manger seule résultant embarras ; sentiment de dégoût, une dépression ou culpabilité après la suralimentation. Critères inclut survenue en moyenne, au moins 2 jours par semaine pendant 6 mois. La surconsommation d ’ aliments n ’ est pas associé à la prise régulière de comportement inapproprié compensation (c 'est-à-dire purges, un excès d'exercice, etc.) et ne co-occur exclusivement avec boulimie ou l'anorexie mentale de diagnostiques du DSM-IV. (1994)
La notion de leur corps.
Les réponses du comportement associés à manger et séquences modes de gavage, y compris les modèles de rythmique de manger, et des intervalles de temps.
L'expulsion forcée du contenu de l'estomac dans la bouche.
L'ingestion d'un plus grand optimales quantité de nourriture.
Le manque ou perte de l'appétit accompagnée par une aversion pour la nourriture et de la difficulté à manger. C'est la caractéristique qui définit ce trouble anorexie nerveuse.
Classification des catégorique DISORDERS mentale en fonction des critères se couche avec signe particulier. Il est produit par l'Association Américaine de Psychiatrie. (Diagnostiques du DSM-IV, page xxii)
Livres destinée à donner des informations factuelles, les instructions.
Une forme de psychothérapie basé sur l'interprétation de situations (structure cognitif d'expériences) qui déterminent comment un individu ressent et se comporte. C'est fondé sur la prémisse que cognitifs, le processus d'acquérir des connaissances et formant croyances, est une primaire déterminant de humeur et le comportement. La thérapie comportementale utilise des techniques et verbales pour repérer et corriger pensées négatives qui est au cœur du comportement aberrant.
Le désir de nourriture générée par une sensation résultant du manque de nourriture dans l'estomac.
Pleine assouvissement d'un besoin ou le désir a suivi par un état de insensibilité relatif à ce besoin particulier ou le désir.
Réaction associée à la réalisation de satisfaction.
Ces formes de contrôle qui sont moins exerted in situations concrètes et tangible à Folkways, moeurs, conventions, et du sentiment public.
L'accompagnement feeling-tone représentation mentale d'une idée, c'est le plus court médium dérivé d'instinct et la voyante représentant des divers changements corporels grâce auxquels instinct se manifester.
Un acte effectués sans délai, réflexion, direction volontaire ou évidente contrôle en réponse à un stimulus.
Procédures standards utilisant échelles ou interview horaires du personnel de santé pour évaluer le degré de maladie mentale.
Liste, généralement à remplir par une personne sur lui-même, constitué de plusieurs déclarations concernant caractéristiques personnelles, le sujet des chèques.
Troubles qui affectent un ou les deux jumeaux, à tous les âges.
La consommation de substances comestible.
Une diminution du flux salivaire.
Prédéterminé séries de questions utilisé pour collecter des données - données cliniques, un statut social, Occupational groupe, etc. le terme est souvent self-completed sondage appliquées à un instrument.
Comportement dans lequel blessé ou se faire mal sans le motif de suicide ou de déviance sexuelle.
La sélection d'une nourriture plus un autre.
Discontinuance des soins reçus par patient (s) dues à des raisons autres que rétablissement complet de la maladie.
Un terme générique pour le traitement de maladie mentale ou de perturbations affectives principalement par verbale, ni communication non verbale.

La boulimie nerveuse est un trouble des conduites alimentaires caractérisé par des épisodes récurrents de crises boulimiques, suivies de comportements compensatoires inappropriés pour éviter une prise de poids. Une crise boulimique est définie comme l'ingestion d'une quantité excessive de nourriture en un temps limité, associée à une sensation de perte de contrôle pendant l'épisode. Les comportements compensatoires inappropriés peuvent inclure des vomissements provoqués, une utilisation excessive d'excitants, tels que la caféine ou le tabac, un jeûne excessif, une activité physique excessive ou l'utilisation de laxatifs, diurétiques ou autres médicaments.

Les personnes atteintes de boulimie nerveuse ont souvent une préoccupation excessive pour leur poids et leur forme corporelle, ce qui peut entraîner des sentiments de détresse émotionnelle importante. Contrairement à l'anorexie mentale, les personnes atteintes de boulimie nerveuse maintiennent généralement un poids normal ou légèrement supérieur à la normale.

La boulimie nerveuse peut entraîner des complications physiques graves, telles que des déséquilibres électrolytiques, une déshydratation, des lésions dentaires, des problèmes cardiaques et des dommages à l'œsophage. Les personnes atteintes de ce trouble peuvent également souffrir de dépression, d'anxiété, de toxicomanie et d'autres troubles mentaux.

Le traitement de la boulimie nerveuse implique généralement une combinaison de thérapies psychologiques, telles que la thérapie cognitivo-comportementale (TCC), et des médicaments, tels que les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS). Dans certains cas, une hospitalisation ou un traitement résidentiel peut être nécessaire pour assurer une surveillance étroite et un traitement intensif.

Les troubles de l'alimentation sont des conditions médicales graves qui affectent la pensée, les émotions et le comportement en relation avec l'alimentation, souvent entraînant une altération significative des habitudes alimentaires et un poids corporel malsain. Ces troubles comprennent une gamme de conditions telles que l'anorexie nerveuse, la boulimie nerveuse, le trouble de l'alimentation compulsif (TCA), l'hyperphagie boulimique, l'évitement/restriction de l'ingestion de repas et les autres troubles de l'alimentation spécifiés ou non spécifiés.

Les symptômes peuvent inclure une restriction excessive des calories, une peur intense de prendre du poids, un comportement excessif d'exercice, des vomissements provoqués ou une utilisation excessive de laxatifs, diurétiques ou autres médicaments pour contrer les effets de l'ingestion de grandes quantités d'aliments. Les personnes atteintes de ces troubles peuvent également présenter une distorsion de l'image corporelle et un auto-jugement excessif basé sur le poids et la forme.

Les troubles de l'alimentation peuvent entraîner des complications physiques graves, notamment des problèmes cardiaques, des problèmes osseux, des problèmes dentaires, des problèmes menstruels, des problèmes immunitaires et dans les cas extrêmes, le décès. Ils sont également souvent associés à d'autres problèmes de santé mentale tels que la dépression, l'anxiété et les troubles obsessionnels compulsifs.

Le traitement des troubles de l'alimentation implique généralement une combinaison de thérapies psychologiques, telles que la thérapie cognitivo-comportementale (TCC), la nutritionniste et dans certains cas, des médicaments. L'intervention précoce est importante pour améliorer les résultats et prévenir les complications à long terme.

Le trouble de l'alimentation par ingestion compulsive, ou Binge Eating Disorder (BED) en anglais, est un trouble de l'alimentation grave et fréquent qui se caractérise par la consommation récurrente d'une quantité de nourriture significativement plus grande que la plupart des gens le feraient dans une période de temps similaire dans des circonstances similaires, associée à un sentiment de perte de contrôle pendant l'épisode de consommation.

Les épisodes d'ingestion compulsive sont généralement accompagnés de sentiments de détresse et sont souvent suivis de sentiments de culpabilité, de dégoût de soi et de honte. Contrairement au trouble de l'alimentation boulimique, les personnes atteintes de BED ne se purgeront pas régulièrement pour compenser ces épisodes d'ingestion compulsive.

Pour répondre aux critères du diagnostic de BED, ces épisodes doivent se produire au moins une fois par semaine pendant trois mois consécutifs et ne peuvent pas être expliqués par des facteurs physiques tels que la grossesse ou le diabète. Le trouble de l'alimentation par ingestion compulsive peut entraîner une variété de complications médicales, y compris l'obésité, les maladies cardiovasculaires et les problèmes gastro-intestinaux. Il est important de chercher un traitement pour ce trouble si vous pensez en souffrir.

En médecine, l'expression "image du corps" fait référence à la représentation mentale ou perception qu'une personne a de son propre corps. Cette image peut inclure des aspects physiques, comme la taille, le poids, la forme et les capacités fonctionnelles, ainsi que des aspects psychologiques et émotionnels liés au corps.

L'image du corps peut être influencée par de nombreux facteurs, tels que les expériences personnelles, les normes sociales, les médias, les commentaires des autres et les événements de vie. Elle peut également être affectée par des conditions médicales ou des traitements qui modifient l'apparence ou la fonction du corps, comme une maladie chronique, une intervention chirurgicale ou un handicap.

Une image du corps négative ou déformée peut entraîner des problèmes de santé mentale tels que la dépression, l'anxiété, les troubles de l'alimentation et la faible estime de soi. D'un autre côté, une image du corps positive et réaliste peut contribuer à une bonne santé mentale et physique globale.

Les professionnels de la santé peuvent travailler avec les patients pour évaluer et améliorer leur image du corps en utilisant des techniques telles que la thérapie cognitivo-comportementale, l'éducation sur la santé et la promotion d'une vision équilibrée et positive du corps.

En termes médicaux, le comportement alimentaire se réfère à la manière dont un individu interagit avec la nourriture, y compris la sélection, la préparation, la consommation et l'absorption des aliments. Cela inclut non seulement les aspects physiologiques de l'ingestion de nourriture, mais aussi les facteurs psychologiques et sociaux qui influencent ces habitudes.

Les comportements alimentaires peuvent être influencés par une variété de facteurs tels que la culture, l'environnement, les expériences personnelles, les états émotionnels et mentaux, ainsi que par des conditions médicales ou psychiatriques spécifiques. Des exemples de comportements alimentaires comprennent la quantité et la fréquence de manger, le choix des aliments, les préférences gustatives, les attitudes envers l'alimentation et le poids, ainsi que la présence ou l'absence de troubles de l'alimentation.

L'étude du comportement alimentaire est importante dans le domaine de la santé publique et clinique car elle peut aider à prévenir et à traiter divers problèmes de santé liés à l'alimentation, tels que l'obésité, les troubles de l'alimentation et certaines maladies chroniques.

Le vomissement, également connu sous le nom d'émèse, est un processus actif qui consiste en l'expulsion forcée du contenu gastrique (et parfois des parties supérieures de l'intestin grêle) à travers la bouche. Il est déclenché par un stimulus puissant qui provoque des contractions rythmiques et rapides des muscles abdominaux et du diaphragme, ce qui entraîne une augmentation de la pression intra-abdominale et l'ouverture du cardia (le sphincter entre l'œsophage et l'estomac), permettant ainsi au contenu gastrique de se vider dans l'œsophage puis hors de la bouche.

Les vomissements peuvent être causés par une variété de facteurs, notamment les infections, les intoxications alimentaires, les troubles gastro-intestinaux, les migraines, les mouvements brusques, le mal des transports, la grossesse (nausées matinales), certains médicaments ou traitements médicaux, et les tumeurs cérébrales ou abdominales. Dans certains cas, les vomissements peuvent être un symptôme d'une affection sous-jacente plus grave, comme une pancréatite, une occlusion intestinale, une méningite, une encéphalite, ou une hémorragie intracrânienne.

Les vomissements peuvent entraîner des complications telles que la déshydratation, l'érosion de l'œsophage et de la dentition, et dans certains cas rares, l'aspiration du contenu gastrique dans les poumons, ce qui peut provoquer une pneumonie d'aspiration ou un syndrome de Mendelson. Il est important de consulter un professionnel de la santé si vous ressentez des vomissements fréquents ou persistants, surtout s'ils sont accompagnés d'autres symptômes préoccupants, tels que douleurs abdominales sévères, fièvre, confusion, ou difficultés respiratoires.

L'hyperphagie est un trouble de l'alimentation caractérisé par des épisodes récurrents d'ingestion excessive de nourriture sur une courte période de temps, associée à un sentiment difficile à contrôler. Contrairement à la frénésie alimentaire, qui est souvent déclenchée par l'envie ou le désir de manger certains aliments et s'accompagne généralement d'un régime restrictif, l'hyperphagie n'est pas nécessairement liée à des envies spécifiques ni à un régime restrictif. Les personnes atteintes d'hyperphagie peuvent ressentir de la honte, de la détresse ou de la dépression après ces épisodes de consommation excessive. Ce trouble peut entraîner une prise de poids importante et est souvent associé à l'obésité.

Il convient de noter que pour poser un diagnostic d'hyperphagie, les critères diagnostiques spécifiques énoncés dans le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM) doivent être remplis. Ce manuel est utilisé par les professionnels de la santé mentale pour diagnostiquer et traiter les troubles mentaux.

L'anorexie est un trouble de l'alimentation caractérisé par une restriction alimentaire extrême et un refus persistant de maintenir un poids corporel sain. Les personnes atteintes d'anorexie ont souvent une peur intense de prendre du poids ou de devenir grosses, même si elles sont déjà sous-pondérées. Elles peuvent également avoir une perception déformée de leur propre corps et se voir plus grosses qu'elles ne le sont en réalité.

Les symptômes physiques de l'anorexie comprennent une perte de poids significative, des menstruations irrégulières ou absentes chez les femmes, une intolérance au froid, une fatigue extrême, une constipation, une peau sèche et jaunâtre, une croissance excessive des cheveux sur le corps (lanugo) et des problèmes cardiaques.

Les symptômes psychologiques peuvent inclure une dépression, de l'anxiété, une humeur instable, une irritabilité, un isolement social, une perte d'intérêt pour le sexe et des pensées suicidaires.

L'anorexie est généralement traitée avec une combinaison de thérapie, de médicaments et de changements alimentaires et de style de vie. La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) est souvent utilisée pour aider les personnes atteintes d'anorexie à modifier leurs schémas de pensée négatifs et leurs comportements liés à l'alimentation. Les médicaments peuvent être prescrits pour traiter les symptômes dépressifs ou anxieux associés à l'anorexie.

Il est important de noter que l'anorexie est une maladie grave qui peut entraîner des complications graves, voire mortelles, si elle n'est pas traitée. Si vous ou quelqu'un que vous connaissez présentez des symptômes d'anorexie, il est important de consulter un médecin ou un professionnel de la santé mentale dès que possible.

Le DSM-IV (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, Fourth Edition) est un manuel publié par l'Association Américaine de Psychiatrie (American Psychiatric Association). Il fournit des critères diagnostiques pour les troubles mentaux et comportementaux reconnus par la profession médicale. Les catégories diagnostiques du DSM-IV sont basées sur des recherches cliniques, psychologiques, neuroscientifiques et épidémiologiques. Il est largement utilisé en psychiatrie, en psychologie et dans d'autres domaines de la santé mentale pour aider à diagnostiquer et à traiter les troubles mentaux.

Le DSM-IV est organisé en plusieurs chapitres qui regroupent des troubles similaires sur le plan clinique ou théorique. Chaque trouble est décrit par une série de critères diagnostiques spécifiques, comprenant des symptômes et des caractéristiques cliniques nécessaires pour poser un diagnostic. Le manuel comprend également des informations sur les troubles associés, les facteurs de risque, le cours évolutif, la prévalence, la famille et l'histoire culturelle, ainsi que des directives pour le diagnostic différentiel.

Le DSM-IV a été publié en 1994 et a été largement utilisé pendant plus d'une décennie avant d'être remplacé par le DSM-5 en 2013. Il est important de noter que les classifications et les critères diagnostiques du DSM sont révisés régulièrement pour refléter les avancées dans la recherche sur les troubles mentaux.

"Manuals as Topic" est un sujet médical qui fait référence à des manuels ou des guides écrits qui fournissent des informations et des instructions sur divers aspects de la médecine, de la santé et du fonctionnement des établissements de soins de santé. Ces manuels peuvent être utilisés par les professionnels de la santé pour comprendre les meilleures pratiques en matière de soins aux patients, ainsi que par les patients eux-mêmes pour obtenir des informations sur leur état de santé et leurs options de traitement.

Les manuels peuvent couvrir une variété de sujets, tels que les protocoles de traitement, les directives cliniques, les procédures chirurgicales, l'utilisation des équipements médicaux, la gestion des dossiers médicaux et les politiques et procédures des établissements de soins de santé. Ils peuvent être publiés par des organisations médicales professionnelles, des hôpitaux, des fabricants d'équipements médicaux ou des éditeurs spécialisés dans la littérature médicale.

Les manuels sont souvent utilisés comme références pour aider à garantir que les soins prodigués aux patients sont de haute qualité, sûrs et conformes aux normes et réglementations établies. Ils peuvent également être utiles pour la formation et l'éducation des professionnels de la santé en début de carrière, ainsi que pour fournir des mises à jour continues sur les dernières recherches et développements dans le domaine médical.

La thérapie cognitive (TCC) est une forme de psychothérapie basée sur la compréhension et la modification des processus cognitifs, c'est-à-dire les pensées, les croyances et les attitudes d'un individu. Elle a été développée dans les années 1960 par le psychiatre Aaron T. Beck. La TCC est fondée sur l'hypothèse selon laquelle les émotions et les comportements négatifs sont souvent le résultat de pensées erronées ou dysfonctionnelles.

Le but de la thérapie cognitive est d'identifier ces schémas de pensée négative, de les mettre en question et de les remplacer par des pensées plus réalistes et adaptatives. Cela se fait généralement au cours d'une série de séances hebdomadaires avec un thérapeute formé à cette approche.

La TCC est utilisée pour traiter une large gamme de problèmes de santé mentale, y compris la dépression, l'anxiété, les troubles de stress post-traumatique, les troubles de l'alimentation et les dépendances. Elle peut être utilisée seule ou en combinaison avec d'autres formes de traitement, telles que les médicaments.

La TCC repose sur une relation thérapeutique collaborative entre le thérapeute et le client. Le thérapeute aide le client à comprendre ses schémas de pensée négatifs et à développer des stratégies pour les modifier. Ces stratégies peuvent inclure la restructuration cognitive, qui consiste à identifier et à contester les pensées automatiques et les croyances dysfonctionnelles ; l'exposition, qui consiste à affronter progressivement les situations ou les stimuli qui déclenchent la peur ou l'anxiété ; et les compétences d'adaptation, qui consistent à apprendre des techniques pour gérer le stress et les émotions difficiles.

La TCC est un traitement fondé sur des preuves, ce qui signifie qu'il a été démontré qu'il est efficace dans de nombreuses études scientifiques. Elle est considérée comme une forme de psychothérapie brève, ce qui signifie qu'elle peut être complétée en un nombre relativement faible de séances. Cependant, la durée du traitement dépend des besoins et des objectifs spécifiques du client.

La faim est un besoin physiologique essentiel déclenché par la baisse des taux d'hormones comme la ghréline et l'augmentation des hormones comme la leptine, qui signalent au cerveau qu'il est temps de manger pour approvisionner le corps en énergie. Ce processus implique principalement deux parties du cerveau : l'hypothalamus et le cortex cérébral.

Lorsque les réserves d'énergie du corps (glucose sanguin et graisses) sont basses, des neurones spécifiques dans l'hypothalamus détectent ce manque et déclenchent la sensation de faim. Cela stimule le désir de manger et incite à la recherche et à la consommation d'aliments.

La faim peut également être influencée par des facteurs psychologiques, environnementaux, sociaux et émotionnels. Par exemple, le stress, l'anxiété, les souvenirs agréables associés à certains aliments, l'heure de la journée ou même la vue d'aliments appétissants peuvent déclencher des sentiments de faim et inciter une personne à manger, même si elle n'a pas réellement besoin d'énergie supplémentaire.

Il est important de noter que la faim et la faim émotionnelle sont différentes. La vraie faim est un signal physiologique régulé par le corps pour maintenir l'équilibre nutritionnel, tandis que la faim émotionnelle est souvent une réponse aux facteurs psychologiques ou environnementaux et peut conduire à une consommation excessive d'aliments, en particulier ceux qui sont riches en graisses et en sucres.

La satiété est un terme utilisé en médecine et en nutrition pour décrire l'état d'être rassasié ou ayant suffisamment mangé. C'est un processus complexe qui implique plusieurs facteurs, y compris les signaux hormonaux du corps et la conscience de la prise alimentaire. La satiété joue un rôle important dans le contrôle de l'appétit et de l'ingestion alimentaire, et est donc essentielle pour une alimentation équilibrée et la gestion du poids. Une diminution de la sensation de satiété peut contribuer à une suralimentation et à l'obésité, tandis qu'une augmentation de la satiété peut aider à contrôler l'apport énergétique et à favoriser une perte de poids saine.

La sensation de satiété est un signal physiologique qui indique que la prise alimentaire est terminée et que l'on se sent rassasié. C'est un état subjectif où une personne ressent une diminution de la faim et un sentiment de plénitude après avoir mangé. Ce processus complexe implique plusieurs facteurs, notamment le volume et la composition nutritionnelle des aliments consommés, ainsi que les signaux hormonaux et nerveux envoyés par l'estomac et l'intestin au cerveau. La sensation de satiété joue un rôle important dans la régulation de l'apport alimentaire et du poids corporel, car elle aide à prévenir une consommation excessive de nourriture et à maintenir un équilibre énergétique adéquat.

Je suis désolé, mais la phrase "contrôle social informel" ne correspond pas à une définition médicale établie. Le contrôle social fait référence aux mécanismes par lesquels les membres d'une société assurent le respect des normes et règles sociales, mais il n'y a pas de connotation médicale spécifique associée à cette expression. Le terme "informel" indique généralement que quelque chose n'est pas formel ou structuré, mais plutôt spontané ou improvisé. Cependant, dans un contexte médical, ces mots peuvent être utilisés pour décrire divers aspects des relations sociales et de la santé mentale. Si vous pouviez fournir plus de contexte ou clarifier votre question, je serais heureux de vous aider davantage.

Dans le domaine de la médecine et de la psychologie, l'affect fait référence à l'expérience émotionnelle ou au ressenti d'un individu en réponse à une situation, un stimulus ou une pensée particulière. Il s'agit d'une composante fondamentale de la vie mentale et des processus émotionnels qui implique généralement trois éléments clés :

1. La composante cognitive : il s'agit de l'interprétation ou de l'évaluation consciente ou inconsciente d'une situation, d'un stimulus ou d'une pensée particulière.
2. La composante physiologique : elle implique des changements dans le corps, tels qu'une accélération du rythme cardiaque, une respiration rapide, une transpiration ou des bouffées de chaleur, en réponse à l'expérience émotionnelle.
3. La composante comportementale : elle se manifeste par des expressions faciales, des gestes, des postures et d'autres formes de communication non verbale qui reflètent l'état affectif de l'individu.

Les affects peuvent être classés en deux catégories principales : positifs (par exemple, la joie, le contentement, l'amour) et négatifs (par exemple, la tristesse, la peur, la colère). Les affects sont considérés comme des processus dynamiques qui peuvent varier en intensité et en durée. Ils jouent un rôle crucial dans la régulation de la pensée, du comportement et de l'expérience subjective d'un individu.

Il est important de noter que le terme "affect" est souvent utilisé de manière interchangeable avec les termes "émotion" et "sentiment". Cependant, certains théoriciens font une distinction entre ces concepts, en considérant l'affect comme un état pré-réflexif ou non conceptuel qui précède l'émergence d'une émotion spécifique.

Le comportement impulsif est un terme utilisé en psychiatrie et en psychologie pour décrire un style de réaction immédiate à des stimuli ou situations, sans réflexion préalable ni égard aux conséquences. Il s'agit d'une difficulté à résister aux envies ou désirs, ce qui peut entraîner des actes précipités et souvent inappropriés.

Ce type de comportement est considéré comme un trait de personnalité dans certains contextes, mais il peut aussi être une caractéristique de divers troubles mentaux, tels que les troubles déficitaires de l'attention avec hyperactivité (TDAH), les troubles de la personnalité borderline, les troubles bipolaires, certaines formes de démence et la toxicomanie.

Les actes impulsifs peuvent inclure des choses comme parler sans réfléchir, agir sans planifier, manger excessivement, dépenser trop d'argent, avoir des relations sexuelles risquées ou même commettre des actes de violence. Dans les cas graves, ces comportements peuvent causer des problèmes importants dans la vie personnelle, professionnelle et sociale d'une personne.

Les Psychiatric Status Rating Scales (Échelles d'évaluation du statut psychiatrique) sont des outils structurés et standardisés utilisés par les professionnels de la santé mentale pour évaluer et mesurer la gravité, la sévérité et l'évolution des symptômes psychopathologiques chez les patients atteints de troubles mentaux. Ces échelles fournissent une estimation fiable et valide de la condition clinique actuelle du patient, ce qui permet une communication plus efficace entre les prestataires de soins de santé mentale et facilite la prise de décision concernant le plan de traitement, l'adaptation des interventions thérapeutiques et le suivi des progrès.

Les échelles d'évaluation du statut psychiatrique peuvent couvrir une variété de domaines cliniques, tels que les symptômes psychotiques, affectifs, cognitifs, comportementaux et fonctionnels. Les exemples courants incluent la Global Assessment of Functioning (GAF) Scale, la Brief Psychiatric Rating Scale (BPRS), la Positive and Negative Syndrome Scale (PANSS) pour la schizophrénie, le Hamilton Anxiety Rating Scale (HAM-A) et le Montgomery-Åsberg Depression Rating Scale (MADRS). Chaque échelle a ses propres critères d'évaluation et scores normalisés, ce qui permet de comparer les résultats au fil du temps et entre différents groupes de patients.

L'utilisation régulière des Psychiatric Status Rating Scales dans la pratique clinique peut améliorer la qualité des soins en assurant une évaluation systématique et complète des patients, en facilitant la documentation des progrès thérapeutiques et en soutenant la recherche de l'efficacité des interventions.

L'inventaire de personnalité est un outil d'évaluation psychologique standardisé utilisé pour mesurer différents aspects de la personnalité d'un individu. Il s'agit généralement d'un questionnaire rempli par le sujet, comprenant une série de déclarations auxquelles il doit répondre en fonction de son accord ou de son désaccord. Les réponses sont ensuite codées et analysées pour produire un profil de la personnalité du sujet.

Il existe différents types d'inventaires de personnalité, mais l'un des plus couramment utilisés est le Minnesota Multiphasic Personality Inventory (MMPI), qui mesure une variété de traits de personnalité et de problèmes émotionnels et comportementaux. Les résultats de ces inventaires peuvent aider les professionnels de la santé mentale à diagnostiquer et à traiter divers troubles mentaux, ainsi qu'à comprendre le fonctionnement psychologique d'un individu dans des contextes thérapeutiques ou cliniques.

Cependant, il est important de noter que les inventaires de personnalité ne sont pas infaillibles et doivent être utilisés avec prudence. Les résultats doivent être interprétés en conjonction avec d'autres informations sur le sujet, telles que son histoire médicale et psychologique, ses antécédents sociaux et culturels, et les observations du clinicien.

La définition médicale des « Maladies Chez Les Jumeaux » fait référence à l'étude et à la comparaison des maladies ou des conditions de santé qui surviennent chez les jumeaux. Cette discipline scientifique examine les similitudes et les différences dans l'apparition, la gravité et l'évolution des maladies entre les paires de jumeaux monozygotes (identiques) et dizygotes (fraternels).

Les recherches sur les Maladies Chez Les Jumeaux peuvent fournir des informations cruciales sur la contribution relative des facteurs génétiques et environnementaux dans le développement de diverses affections médicales. Par exemple, en comparant les taux de prévalence et d'incidence de certaines maladies entre les jumeaux monozygotes et dizygotes, les chercheurs peuvent estimer la part de l'héritabilité, c'est-à-dire la proportion de risque attribuable aux facteurs génétiques.

Les Maladies Chez Les Jumeaux sont souvent étudiées dans le cadre de recherches épidémiologiques et génétiques, en particulier pour les maladies complexes telles que les troubles psychiatriques, cardiovasculaires, métaboliques et oncologiques. Ces études peuvent contribuer au développement de stratégies de prévention, de diagnostic et de traitement plus ciblées et personnalisées pour ces affections.

Il est important de noter que les jumeaux monozygotes partagent le même patrimoine génétique, tandis que les jumeaux dizygotes partagent environ 50% de leurs gènes, tout comme des frères et sœurs non-jumeaux. Ainsi, l'environnement partagé par les jumeaux monozygotes, y compris leur exposition prénatale commune, peut également jouer un rôle dans la concordance des maladies entre eux. L'analyse de ces facteurs permet d'approfondir notre compréhension des interactions complexes entre les gènes et l'environnement dans le développement des maladies.

En médecine, « manger » est l'acte de prendre des aliments dans la bouche, de les mâcher et de les avaler pour qu'ils soient digérés et assimilés par l'organisme. Ce processus permet à l'organisme d'obtenir les nutriments nécessaires à son fonctionnement et à sa croissance. Il est important de noter que manger correctement, c'est-à-dire adopter une alimentation équilibrée et saine, contribue au maintien d'une bonne santé générale et peut aider à prévenir certaines maladies. En revanche, une alimentation inadéquate ou déséquilibrée peut entraîner des problèmes de santé tels que l'obésité, le diabète, les maladies cardiovasculaires et certains cancers.

La xérostomie est un terme médical qui décrit une condition où la bouche devient sèche en raison d'un manque de production de salive adéquate. Elle peut être causée par divers facteurs, tels que les effets secondaires de certains médicaments, des radiations dans la tête et le cou, certaines maladies chroniques (comme le diabète ou le syndrome de Sjögren), une déshydratation ou le processus de vieillissement. Les symptômes courants incluent la difficulté à mâcher, avaler ou parler, un goût amer dans la bouche, des plaies buccales et une augmentation de la carie dentaire. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des changements de style de vie, l'utilisation de substituts salivaires ou des médicaments pour stimuler la production de salive.

Un questionnaire en médecine est un outil d'évaluation utilisé pour recueillir des informations standardisées auprès des patients, des professionnels de la santé ou d'autres sources. Il se compose généralement d'un ensemble de questions écrites qui sont conçues pour être objectives, cohérentes et facilement comparables. Les questionnaires peuvent être utilisés pour diverses raisons, telles que l'anamnèse, l'évaluation des symptômes, la détermination de la qualité de vie, le dépistage des maladies ou le suivi de l'état de santé d'un patient. Ils peuvent être administrés par écrit, en ligne, par téléphone ou en personne et sont souvent utilisés en combinaison avec des examens physiques et d'autres tests diagnostiques pour obtenir une image complète de la santé d'une personne.

Le comportement d'auto-agression est un terme utilisé en psychiatrie et en psychologie pour décrire un ensemble de comportements qui causent intentionnellement des dommages à soi-même. Cela peut inclure des actes tels que se gratter, se frapper, se brûler, se poignarder ou s'empoisonner volontairement.

Les personnes qui présentent des comportements d'auto-agression peuvent le faire pour diverses raisons, y compris pour faire face au stress, à l'anxiété ou à la dépression, pour exprimer des émotions intenses, pour tenter de se libérer de sentiments de dissociation ou pour punir soi-même. Dans certains cas, ces comportements peuvent être liés à des troubles mentaux sous-jacents, tels que la schizophrénie, le trouble de stress post-traumatique, les troubles de l'humeur ou les troubles de la personnalité.

Le traitement du comportement d'auto-agression dépend de sa cause sous-jacente et peut inclure une thérapie individuelle ou de groupe, des médicaments, des groupes de soutien et des interventions de crise pour aider à gérer les épisodes aigus. Il est important de noter que le comportement d'auto-agression peut être très dangereux et doit être pris au sérieux. Si vous ou quelqu'un que vous connaissez présentez des comportements d'auto-agression, il est important de chercher une aide professionnelle immédiatement.

En termes médicaux, les préférences alimentaires se réfèrent généralement aux choix volontaires et subjectifs qu'une personne fait en ce qui concerne les types d'aliments et de boissons qu'elle consomme. Ces préférences peuvent être influencées par une variété de facteurs, y compris le goût, l'odeur, la texture, l'apparence, les souvenirs associés, la culture, les croyances personnelles et même certains aspects physiologiques ou pathologiques.

Par exemple, certaines personnes peuvent préférer les aliments épicés en raison de leur goût préféré, tandis que d'autres peuvent éviter ces aliments en raison de problèmes gastriques ou autres conditions médicales. De même, certaines personnes peuvent devenir végétariennes ou végétaliennes par choix personnel, alors que d'autres peuvent suivre un tel régime pour des raisons de santé.

Il est important de noter que les préférences alimentaires ne doivent pas être confondues avec les besoins nutritionnels, qui sont déterminés par des facteurs objectifs tels que l'âge, le sexe, le poids, l'activité physique et l'état de santé général d'une personne. Cependant, dans certains cas, comme avec certaines restrictions alimentaires liées à des maladies chroniques telles que le diabète ou les maladies rénales, il peut être nécessaire de concilier les préférences alimentaires avec les besoins nutritionnels pour assurer une alimentation saine et équilibrée.

L'abandon de traitement, également connu sous le nom de non-conformité au traitement ou d'observance thérapeutique faible, se produit lorsqu'un patient cesse de suivre les recommandations médicales pour son traitement. Cela peut inclure l'arrêt complet du traitement, la prise irrégulière de médicaments, le non-respect des rendez-vous médicaux ou des modifications apportées au plan de traitement sans consultation préalable d'un professionnel de santé.

Les raisons pour lesquelles un patient peut abandonner un traitement peuvent être multiples : effets secondaires indésirables, coûts élevés, manque de compréhension des instructions, difficultés à suivre le régime posologique ou simplement une mauvaise observance.

L'abandon de traitement peut entraîner des conséquences négatives sur la santé du patient, telles qu'une aggravation des symptômes, une progression de la maladie, l'apparition de complications ou une diminution de l'espérance de vie. Il est donc important que les professionnels de santé travaillent en étroite collaboration avec les patients pour identifier et surmonter les obstacles à un traitement réussi.

Des interventions telles qu'une éducation renforcée, une communication claire et ouverte, des rappels de rendez-vous et de prise de médicaments, ainsi que la personnalisation du plan de traitement peuvent contribuer à améliorer l'observance thérapeutique et à réduire le risque d'abandon de traitement.

La psychothérapie est une forme de traitement des problèmes mentaux, émotionnels et comportementaux qui se concentre sur la relation entre un thérapeute qualifié et le patient. Elle vise à aider les patients à comprendre leurs sentiments, pensées et comportements, et comment ils peuvent contribuer à leur détresse et à des problèmes dans leur vie.

La psychothérapie peut être utilisée pour traiter une variété de problèmes de santé mentale, y compris l'anxiété, la dépression, les traumatismes, les troubles de l'humeur, les troubles de la personnalité, les troubles de stress post-traumatique et les dépendances. Elle peut également être utilisée pour aider les gens à faire face aux défis de la vie, tels que la gestion du stress, l'amélioration des compétences en communication et la résolution des conflits.

Il existe différents types de psychothérapie, chacun ayant ses propres techniques et approches. Certains des types les plus courants incluent la thérapie cognitivo-comportementale (TCC), la thérapie interpersonnelle (TIP), la thérapie psychanalytique et la thérapie humaniste.

La psychothérapie peut être fournie individuellement, en groupe ou en famille, selon les besoins du patient. Elle peut être dispensée en personne, par téléphone ou en ligne. La durée du traitement varie en fonction de la gravité et de la complexité des problèmes du patient.

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