Electrophoresis appliquée à sang PROTEINS.
Protéines qui sont présents dans le sang sérum, y compris sérum de coagulation du sang ; ALBUMIN FACTEURS ; et beaucoup d'autres types de protéines.
Le tube étroit qui connecte les YOLK SAC avec l'intestin du EMBRYO ; en cas de persistance de tout ou partie en post-fetal vie entraîne des anomalies, dont les plus communs est diverticule Meckel.
Un groupe de maladies connexes caractérisée par un déséquilibré ou disproportionnées immunoglobulin-producing la prolifération des cellules, généralement d'un seul clone. Ces cellules fréquemment sécrètent un structurellement homogène d'immunoglobulines (M-component) and / or an abnormal immunoglobuline.
Immunoglobulines anormale synthétisée par les cellules du système des phagocytes mononucléés. Paraprotéines contenant seule lumière chaînes entraîner paraproteinemia Bence Jones, tandis que la présence de lourdes chaînes atypique seulement conduit à lourde chaîne maladie. La plupart des paraproteins se montrer comme un M-component (une gammapathie monoclonale) dans une électrophorèse. Diclonal et paraproteins polyclonal sont beaucoup moins fréquemment rencontrée.
Anomalies des protéines plasmatiques réfèrent à des variations quantitatives ou qualitatives dans la composition et les concentrations sériques des protéines plasmatiques, incluant l'albumine, les immunoglobulines, les protéines de phase aiguë et les protéines du complément, qui peuvent indiquer une variété de conditions pathologiques.
Electrophoresis dans lequel la cellulose d'acétate est à la diffusion médium.
Un phénomene électrochimique dans lequel macromolecules ou colloïdale particules avec un filet charge électrique migrer dans une solution sous l'influence d'un courant électrique.
Un major de protéines dans le sang. Il est important à maintenir cette pression osmotique colloïdale et le transport d 'importantes molécules organiques.
Un indicateur et réactif. Ça a été utilisé dans l ’ albumine sérique des arbitrages et comme un pH indicateur.
On sera installés un picomolar (dans la gamme, qui est 10 000 fois plus sensible que conventionnel Electrophoresis) et technique efficace qui permet la séparation des PROTEINS ; ACIDS nucléique ; et les glucides. (Segen, Dictionary of Modern Medicine, 1992)
Electrophoresis dans lequel la ou gel est utilisé comme la diffusion médium.
Conditions caractérisé par la présence de protéine M. (Monoclonal de protéine) dans le sérum ou les urines sans les signes cliniques de cellule de plasma dyscrasie.
Electrophoresis dans lequel un Polyacrylamide gel est utilisé comme la diffusion médium.
Les protéines produit d'erythrocytes. On les trouve à tous les vertébrés et de quelques invertébrés. Le nombre de Robert sous-unités dans l'hémoglobine structure quaternaire diffère entre espèces. Structures vont de protéines Monomériques à diverses multimeric arrangements.
Une technique qui combine Protein Electrophoresis et double immunodiffusion. Dans cette procédure protéines sont premier séparés par gel électrophorèse agarose (habituellement) puis rendue visible par immunodiffusion d'anticorps spécifiques. Un arc résultats precipitin elliptique distinctes pour chaque protéine antisera détectable par les.
Analyse basée sur le phénomène chimique, lumière, passant à travers un médium aux particules dispersés d'une autre de l'index de réfraction de celui de la discipline est atténuée par les disperse. Dans d ’ intensité Turbidimétrie, l'intensité de lumière transmis par l'intermédiaire, la lumière, se mesure unscattered. Dans nephelometry, l'intensité de la lumière est mesuré, mais pas nécessairement. À angle droit à l'incident rai de lumière.
Polypeptide chaînes, constitué de 211 à 217 acides aminés et ayant un poids moléculaire d'environ 22 kDa. Il y a deux principaux types de lumière chaînes, kappa, lambda. Deux Ig deux chaînes légères de lourdes chaînes lourdes immunoglobulines (Ig) ne pouvant faire une molécule d ’ immunoglobuline.
Un des types de chaine légère sous-unités des immunoglobulines avec un poids moléculaire d'environ 22 kDa.
Une tumeur maligne mûr plasma s'engager dans la production des anticorps monoclonaux immunoglobuline. C'est caractérisé par hyperglobulinemia, excès Bence-Jones (protéines libre monoclonal lumière immunoglobuline, serrurerie) dans les urines, squelettique destruction, des douleurs osseuses et fractures. D'autres caractéristiques sont : Anémie ; l ’ hypercalcémie ; et reins.
Electrophoresis dans lequel une seconde analyse électrophorétique perpendiculaire transport est réalisée sur les composants distincts résultant de la première Electrophoresis. Cette technique est généralement Polyacrylamide gels.
Ce sérum gamma globulines migré dans la région (le plus chargé positivement) sur une électrophorèse. À un moment, gamma-globulins est venu pour être utilisé comme synonyme de immunoglobulines comme les immunoglobulines sont gamma globulines gamma globulines et inversement, la plupart sont des immunoglobulines. Mais comme des immunoglobulines présentant un alpha ou beta mobilité analyse électrophorétique, ce terme est en déclin.
Une avec des caractéristiques thermosolubility anormaux de protéine présente dans les urines de patients avec MYELOME MULTIPLE.
Un des types de lumière chaînes des immunoglobulines avec un poids moléculaire d'environ 22 kDa.
Gel Electrophoresis dans lequel la direction du champ électrique est modifié périodiquement. Cette technique est similaire à celle des autres méthodes analyse électrophorétique normalement utilisées pour séparer des molécules d'ADN bicaténaire taille allant jusqu ’ à des dizaines de milliers de base-pairs. Cependant, en alternant le champ électrique direction un est capable de séparer des molécules d'ADN à plusieurs millions de base-pairs de longueur.
Protéines trouvé dans aucune des espèces de bactéries.
Facteur D'ribosomes composant du sous-unité 30 S serait touchée contenant 1600 nucléotides et 21 protéines. -16 ARNr est impliqué dans l ’ initiation du polypeptide synthèse.
Nature et des procédures pour identifier des bactéries. Le plus fréquemment utilisées à taper les systèmes sont bactériophage TYPING et SEROTYPING ainsi que bacteriocin dactylographie et biotyping.
Séquences d'ADN codant pour l ’ ARN ribosomal et les segments d'ADN décomposant le tout en l ’ ARN ribosomal gènes, dénommés espaceur ribosomal ADN.
L'acide désoxyribonucléique qui fait le matériel génétique des bactéries.
Technique largement utilisée qui exploite la capacité de séquences ADN complémentaires monobrin ou RNAS de paire avec l'autre pour former une double hélice. Hybridation peut avoir lieu entre deux séquences d'ADN complémentaires, entre un monobrin ADN et un ARN complémentaires, ou entre deux séquence d'ARN. La technique est utilisé pour détecter, mesurer et isoler certaines séquences homologie définir, ou autres caractéristiques d ’ un ou deux brins. (Kendrew, l'Encyclopédie de biologie moléculaire, 1994, p503)
La somme des poids de tous les atomes dans une molécule.
Une version miniature de Electrophoresis pratiquée dans un système microfluidique.
Electrophoresis dans lequel les discontinuités dans les deux le voltage et pH gradients sont introduites en utilisant des bourges de composition différente et pH dans les différentes parties du gel colonne. Le terme "disque" a été utilisé comme une abréviation d'discontinu de référence pour les émetteurs employé, et n'a rien à voir avec la forme des zones séparées.

La proteinogramme sanguin par électrophorèse (BPE) est un examen de laboratoire qui sépare et mesure les différentes protéines dans le sang, en particulier les protéines sériques. Cet examen est utilisé pour diagnostiquer et surveiller une variété de conditions médicales, telles que les troubles du système immunitaire, les maladies inflammatoires, les troubles de la coagulation et les affections malignes comme les myélomes multiples.

Au cours de l'examen, un échantillon de sang est placé sur une plaque spéciale et une tension électrique est appliquée. Les protéines dans le sang migrent alors vers différents endroits sur la plaque en fonction de leur charge électrique et de leur taille moléculaire. Les protéines sont ensuite colorées et mesurées pour déterminer la quantité et le type de chaque protéine présente dans l'échantillon.

Les résultats de l'examen peuvent aider à identifier les anomalies des niveaux de protéines sériques, telles que des taux élevés ou diminués de certaines protéines, qui peuvent indiquer la présence d'une maladie sous-jacente. Par exemple, une augmentation des niveaux de certaines immunoglobulines (protéines produites par le système immunitaire) peut être un signe de myélome multiple ou d'autres troubles liés aux plasmocytes.

En résumé, la proteinogramme sanguin par électrophorèse est un examen important pour diagnostiquer et surveiller un large éventail de conditions médicales en mesurant et en analysant les différentes protéines dans le sang.

Dans le contexte médical, les protéines du sang se réfèrent à un large éventail de substances protéiques qui sont présentes dans le plasma sanguin. Ces protéines jouent divers rôles importants dans le corps humain, tels que le transport des nutriments et des hormones, la régulation de l'équilibre liquide-électrolytique, la coagulation du sang, la défense contre les infections et les maladies, et le maintien de la structure et de la fonction des cellules.

Les protéines sanguines peuvent être classées en plusieurs catégories en fonction de leur fonction et de leurs caractéristiques physico-chimiques. Les principales catégories comprennent:

1. Albumine: C'est la protéine la plus abondante dans le sang, représentant environ 60% des protéines totales du plasma sanguin. L'albumine est principalement responsable du maintien de la pression oncotique et de la distribution de l'eau entre les compartiments intravasculaire et extravasculaire.
2. Globulines: Ce sont des protéines plus grandes que l'albumine et comprennent plusieurs sous-catégories, telles que les alpha-1, alpha-2, bêta et gamma globulines. Les globulines comprennent des anticorps, qui jouent un rôle crucial dans la défense immunitaire de l'organisme contre les agents pathogènes.
3. Fibrinogène: C'est une protéine plasmatique soluble qui est convertie en fibrine insoluble pendant le processus de coagulation sanguine. Le fibrinogène joue un rôle essentiel dans la formation de caillots sanguins et la réparation des tissus.
4. Transferrine: C'est une protéine qui transporte du fer dans le sang, en se liant au fer ferreux (Fe2+) et en le transportant vers les sites de stockage et d'utilisation.
5. Protéines de la phase aiguë: Ce sont des protéines plasmatiques dont les niveaux augmentent ou diminuent en réponse à une inflammation aiguë ou à une infection. Les exemples incluent la C-réactive protéine (CRP), la procalcitonine et la ferritine.

Les anomalies des protéines plasmatiques peuvent indiquer divers états pathologiques, tels que les maladies inflammatoires, infectieuses, immunitaires et néoplasiques. Par conséquent, l'analyse des protéines plasmatiques est un outil important dans le diagnostic et la surveillance des maladies.

Le pédicule vitellin est un terme utilisé en embryologie pour décrire une structure composée de vaisseaux sanguins et de conduits qui relient le sac vitellin (une structure remplie de liquide dans l'embryon qui fournit des nutriments) à l'intestin primitif de l'embryon en développement.

Le pédicule vitellin est essentiel pour le transport des nutriments du sac vitellin vers l'embryon en croissance. Au fur et à mesure que le fœtus se développe, le pédicule vitellin se rétracte et disparaît généralement avant la naissance. Des anomalies dans le développement ou la résorption du pédicule vitellin peuvent entraîner des malformations congénitales.

Les paraprotéinémies sont des conditions médicales dans lesquelles il y a une production excessive d'une protéine anormale appelée chaîne légère d'immunoglobuline ou paraprotéine. Ces protéines sont produites par certaines cellules du système immunitaire, appelées plasmocytes, qui se trouvent principalement dans la moelle osseuse.

Les paraprotéinémies peuvent être associées à une variété de maladies, y compris les troubles sanguins et les cancers, tels que le myélome multiple, le macroglobulinémie de Waldenström, et certains types de lymphomes. Dans ces conditions, la production excessive de paraprotéines peut entraîner une gamme de symptômes, y compris la fatigue, des saignements, des infections fréquentes, des douleurs osseuses, et des dommages aux organes internes.

Il est important de noter que toutes les personnes atteintes de paraprotéinémies ne présenteront pas nécessairement de symptômes ou de maladies sous-jacentes associées. Dans certains cas, la découverte d'une paraprotéinémie peut être fortuite et ne nécessiter aucun traitement spécifique. Cependant, il est important de surveiller régulièrement les personnes atteintes de paraprotéinémies pour détecter tout signe de maladie sous-jacente ou de complications associées à la production excessive de paraprotéines.

Les paraprotéines sont des chaînes légères d'immunoglobuline (Ig) ou des fragments d'Ig produits en excès par un clone unique de plasmocytes ou de cellules B matures dans diverses affections, telles que les gammapathies monoclonales bénignes ou malignes. Les paraprotéines peuvent se déposer dans divers tissus et provoquer des dommages, entraînant ainsi une gamme de manifestations cliniques. Elles sont également appelées protéines M, car elles migrent vers la région des protéines monoclonales lors de l'électrophorèse des protéines sériques sur gel d'agarose. Les taux sériques de paraprotéines peuvent être utiles pour le diagnostic, la surveillance et l'évaluation de la réponse au traitement dans diverses affections liées aux plasmocytes ou aux cellules B.

Les anomalies des protéines plasmatiques se réfèrent à des variations détectées dans la composition ou la concentration des protéines présentes dans le plasma sanguin. Le plasma est la partie liquide du sang qui contient un large éventail de protéines, y compris les albumines, les immunoglobulines, les protéines de la coagulation et d'autres protéines spécialisées.

Les anomalies des protéines plasmatiques peuvent être quantitatives (concernant la concentration) ou qualitatives (concernant la composition). Elles peuvent résulter de divers processus pathologiques, tels que les maladies inflammatoires, les maladies du foie, les troubles rénaux, les désordres immunitaires et certains cancers.

Les méthodes de laboratoire couramment utilisées pour évaluer les protéines plasmatiques comprennent l'électrophorèse des protéines sériques et l'immunofixation, qui permettent de séparer et d'identifier les différents types de protéines.

Les anomalies détectées peuvent fournir des indices importants pour aider au diagnostic, à la surveillance et à la gestion de diverses affections médicales.

La electrophorèse sur cellulose acétate est une méthode d'électrophorèse utilisée pour séparer des molécules chargées telles que les protéines ou les acides nucléiques en fonction de leur taille et de leur charge. Dans cette technique, la matrice de séparation est constituée de cellulose acétate, un polymère synthétique qui est préalablement imprégné d'un tampon approprié pour assurer la conductivité électrique.

Les échantillons à analyser sont appliqués sur la bande de cellulose acétate et soumis à une différence de potentiel électrique. Les molécules chargées migrent alors vers l'anode ou la cathode en fonction de leur charge et de leur taille : les molécules plus petites et/ou moins chargées migrent plus rapidement que les molécules plus grandes et/ou plus chargées.

Après la migration, les bandes de protéines ou d'acides nucléiques sont visualisées par coloration spécifique, ce qui permet de déterminer leur taille relative et leur comportement électrophorétique. Cette technique est largement utilisée en biologie moléculaire et en biochimie pour l'analyse des protéines et des acides nucléiques, ainsi que pour la purification de ces molécules.

L'électrophorèse est une méthode d'analyse et de séparation des particules chargées, telles que les protéines, les acides nucléiques et autres molécules biologiques, en fonction de leurs propriétés électrochimiques. Ce processus est basé sur le principe selon lequel lorsqu'un champ électrique est appliqué à un mélange de particules chargées dans un milieu fluide, chaque type de particule se déplace à une vitesse et une distance différentes en raison de leurs différences de charge, de taille et de forme.

Dans la pratique médicale et de laboratoire, l'électrophorèse est souvent utilisée pour analyser des échantillons biologiques tels que le sérum, l'urine ou les liquides cérébrospinales. Les protéines sériques, par exemple, peuvent être séparées en différents types en fonction de leur mobilité électrophorétique, ce qui peut aider au diagnostic et à la surveillance de diverses conditions médicales telles que les maladies inflammatoires, les troubles hématologiques et les cancers.

Il existe plusieurs types d'électrophorèse, y compris l'électrophorèse sur gel (GE), qui utilise un gel comme milieu de séparation pour fournir une meilleure résolution des bandes protéiques, et l'électrophorèse capillaire (CE), qui utilise de minuscules tubes capillaires pour séparer les particules.

En général, l'électrophorèse est considérée comme une méthode fiable et sensible pour l'analyse des échantillons biologiques, bien qu'elle nécessite une certaine expertise technique et un équipement spécialisé pour être menée avec succès.

L'albumine sérique, également simplement appelée albumine, est une protéine synthétisée par le foie et présente dans le sérum sanguin. C'est la protéine sérique la plus abondante, représentant environ 60 % des protéines totales du sérum. L'albumine a plusieurs fonctions importantes, notamment :

1. Maintenir la pression oncotique : L'albumine, en raison de sa concentration élevée et de sa taille relativement grande, contribue de manière significative à la pression oncotique, ce qui aide à maintenir les fluides dans les vaisseaux sanguins et prévient l'accumulation de liquide dans les tissus (dème).

2. Transporteur : L'albumine lie et transporte plusieurs molécules telles que les hormones stéroïdes, la bilirubine, les acides gras, les ions calcium et cuivre dans le sang.

3. pH tampon : L'albumine a une capacité tampon modérée qui contribue au maintien du pH sanguin stable en se liant aux ions hydrogène (H+) lorsque le pH sanguin devient acide.

4. Régulation de la distribution des fluides : En raison de sa grande concentration dans le plasma par rapport à l'espace extravasculaire, l'albumine aide à réguler la distribution des fluides entre ces deux compartiments corporels.

La détermination du taux sérique d'albumine est un test diagnostique courant utilisé pour évaluer la fonction hépatique et la dénutrition protéino-énergétique, car une diminution des niveaux peut indiquer une maladie hépatique ou une mauvaise nutrition.

Le vert de bromocrésol est un indicateur coloré communément utilisé en laboratoire, mais il ne fait pas partie des termes médicaux standard. Il s'agit d'un mélange de deux colorants, le bleu de bromothymol et le rouge de bromocrésol, qui forment une solution verte à pH neutre. Dans des conditions acides, il devient jaune, et dans des conditions alcalines, il devient violet. Bien qu'il ne soit pas directement lié à la médecine ou au diagnostic médical, il peut être utilisé en chimie clinique pour tester le pH des urines ou d'autres fluides corporels.

La electrophorèse en gélose capillaire (CE) est une méthode d'électrophorèse qui utilise des tubes capillaires très minces comme support pour la séparation et l'analyse des ions chargés, tels que les protéines et les acides nucléiques.

Dans cette technique, une petite quantité d'échantillon est introduite dans un tube capillaire rempli d'un tampon électrolytique. Un champ électrique est ensuite appliqué à travers le tampon, ce qui entraîne la migration des ions chargés vers l'anode ou la cathode en fonction de leur charge et de leur taille moléculaire.

Les protéines et les acides nucléiques ont des charges et des tailles différentes, ils se séparent donc à des vitesses différentes pendant qu'ils migrent dans le tube capillaire. Les composants séparés peuvent ensuite être détectés en ligne avec un détecteur, tel qu'un détecteur de fluorescence ou d'UV-Vis, et analysés à l'aide de logiciels spécialisés pour fournir des informations sur leur taille, leur charge et leur concentration.

La CE est largement utilisée dans la recherche et le diagnostic médicaux pour l'analyse des protéines et des acides nucléiques, y compris l'identification des mutations génétiques, la détection de biomarqueurs tumoraux et l'analyse des isoformes protéiques. Elle est appréciée pour sa haute résolution, sa sensibilité élevée, sa rapidité et sa capacité à analyser de petits volumes d'échantillons.

La electrophorèse sur gel d'agarose est un type de méthode d'électrophorèse utilisée dans la séparation et l'analyse des macromolécules, en particulier l'ADN, l'ARN et les protéines. Dans cette technique, une solution d'agarose est préparée et versée dans un moule pour former un gel. Une fois le gel solidifié, il est placé dans un réservoir rempli d'une solution tampon et des échantillons contenant les macromolécules à séparer sont appliqués sur le gel.

Lorsque le courant électrique est appliqué, les molécules chargées migrent vers l'anode ou la cathode en fonction de leur charge et de leur poids moléculaire. Les molécules plus petites et/ou moins chargées se déplacent plus rapidement que les molécules plus grandes et/ou plus chargées, ce qui entraîne une séparation des macromolécules en fonction de leur taille et de leur charge.

La electrophorèse sur gel d'agarose est souvent utilisée dans la recherche en biologie moléculaire pour analyser la taille et la pureté des fragments d'ADN ou d'ARN, tels que ceux obtenus par PCR ou digestion enzymatique. Les gels peuvent être colorés avec des colorants tels que le bleu de bromophénol ou l'éthidium bromure pour faciliter la visualisation et l'analyse des bandes de macromolécules séparées.

En résumé, la electrophorèse sur gel d'agarose est une technique couramment utilisée en biologie moléculaire pour séparer et analyser les macromolécules telles que l'ADN, l'ARN et les protéines en fonction de leur taille et de leur charge.

La gammapathie monoclonale de signification indéterminée (MGUS) est un trouble précurseur d'un certain nombre de maladies malignes du système hématopoïétique, telles que le myélome multiple, les amyloses AL et certains lymphomes. Dans la MGUS, on observe une prolifération clonale de cellules B plasmocytaires dans la moelle osseuse, entraînant la production d'une immunoglobuline monoclonale détectable dans le sérum ou les urines.

Cependant, contrairement aux maladies malignes associées, la MGUS ne présente pas de dommages aux organes, de cytopénies (diminution des cellules sanguines) ni d'autres signes et symptômes cliniquement significatifs. La prévalence de la MGUS augmente avec l'âge, affectant environ 3 % des personnes de plus de 50 ans et jusqu'à 7 % des personnes de plus de 70 ans.

Le diagnostic de MGUS repose sur la détection d'une immunoglobuline monoclonale à une concentration inférieure à 3 g/dL dans le sérum et moins de 500 mg par 24 heures dans les urines, l'absence de plasmacytomose (tumeur maligne composée de cellules plasmatiques) ou d'autres signes de malignité à la biopsie de moelle osseuse, et l'absence de dommages aux organes associés à une gammapathie maligne.

Bien que la MGUS soit généralement asymptomatique, elle nécessite une surveillance régulière en raison du risque accru de progression vers des affections malignes telles que le myélome multiple ou l'amylose AL. Les taux de progression sont estimés à environ 1 % par an. Des facteurs de risque supplémentaires pour la progression comprennent une immunoglobuline monoclonale de chaîne légère (IgM) et un rapport sérique d'immunoglobulines M/G élevé.

L'électrophorèse sur gel de polyacrylamide (PAGE) est une technique de laboratoire couramment utilisée dans le domaine du testing et de la recherche médico-légales, ainsi que dans les sciences biologiques, y compris la génétique et la biologie moléculaire. Elle permet la séparation et l'analyse des macromolécules, telles que les protéines et l'ADN, en fonction de leur taille et de leur charge.

Le processus implique la création d'un gel de polyacrylamide, qui est un réseau tridimensionnel de polymères synthétiques. Ce gel sert de matrice pour la séparation des macromolécules. Les échantillons contenant les molécules à séparer sont placés dans des puits creusés dans le gel. Un courant électrique est ensuite appliqué, ce qui entraîne le mouvement des molécules vers la cathode (pôle négatif) ou l'anode (pôle positif), selon leur charge. Les molécules plus petites se déplacent généralement plus rapidement à travers le gel que les molécules plus grandes, ce qui permet de les séparer en fonction de leur taille.

La PAGE est souvent utilisée dans des applications telles que l'analyse des protéines et l'étude de la structure et de la fonction des protéines, ainsi que dans le séquençage de l'ADN et l'analyse de fragments d'ADN. Elle peut également être utilisée pour détecter et identifier des modifications post-traductionnelles des protéines, telles que les phosphorylations et les glycosylations.

Dans le contexte médical, la PAGE est souvent utilisée dans le diagnostic et la recherche de maladies génétiques et infectieuses. Par exemple, elle peut être utilisée pour identifier des mutations spécifiques dans l'ADN qui sont associées à certaines maladies héréditaires. Elle peut également être utilisée pour détecter et identifier des agents pathogènes tels que les virus et les bactéries en analysant des échantillons de tissus ou de fluides corporels.

L'hémoglobine (Hb ou Hgb) est une protéine complexe présente dans les globules rouges des vertébrés. Elle joue un rôle crucial dans le transport de l'oxygène et du dioxyde de carbone dans le sang.

Chaque molécule d'hémoglobine est composée de quatre chaînes polypeptidiques, deux chaînes alpha et deux chaînes beta, qui sont liées ensemble. Chacune de ces chaînes contient un groupe héminique, qui est une prothème contenant du fer. C'est cette partie de l'hémoglobine qui peut se lier réversiblement à l'oxygène et au dioxyde de carbone.

Lorsque l'hémoglobine capte l'oxygène dans les poumons, elle se lie de manière flexible à celui-ci, ce qui entraîne un changement de forme de la molécule d'hémoglobine, lui permettant de relâcher plus facilement l'oxygène dans les tissus où le taux d'oxygène est faible. De même, lorsque l'hémoglobine libère du dioxyde de carbone dans les poumons, elle se lie au dioxyde de carbone et le transporte vers les poumons pour l'expiration.

La quantité d'hémoglobine dans le sang est un indicateur important de la santé globale d'un individu. Une faible teneur en hémoglobine peut indiquer une anémie, ce qui signifie que l'organisme ne reçoit pas suffisamment d'oxygène pour fonctionner correctement. D'un autre côté, une teneur élevée en hémoglobine peut être le signe d'une maladie cardiovasculaire ou pulmonaire sous-jacente.

L'immunoélectrophorèse est une technique de laboratoire utilisée en médecine clinique et en recherche biomédicale pour l'analyse qualitative et quantitative des protéines. Elle combine deux processus, l'électrophorèse et l'immunodiffusion, pour détecter et identifier les protéines spécifiques dans un échantillon, telles que les anticorps ou les antigènes.

Dans la première étape, l'électrophorèse, l'échantillon de protéines est séparé en fonction de sa charge électrique et de sa taille moléculaire lorsqu'il est soumis à un champ électrique. Les protéines migrent vers l'anode (pôle positif) ou la cathode (pôle négatif) en fonction de leur charge.

Dans la deuxième étape, l'immunodiffusion, des anticorps spécifiques sont ajoutés à l'échantillon électrophorétique. Ces anticorps se lient aux antigènes correspondants pour former des précipités visibles. La position et la forme de ces précipités peuvent être utilisées pour identifier et quantifier les protéines spécifiques dans l'échantillon.

L'immunoélectrophorèse est une méthode sensible et spécifique qui peut être utilisée pour diagnostiquer un large éventail de maladies, y compris les troubles immunitaires, les infections et les maladies inflammatoires. Elle peut également être utilisée pour surveiller la réponse du patient au traitement et détecter d'éventuelles rechutes.

La néphélométrie et la turbidimétrie sont des méthodes de mesure de la quantité de particules présentes dans une solution. Bien que ces deux termes soient souvent utilisés de manière interchangeable, ils ont des différences subtiles dans leur technique de mesure.

La néphélométrie est une méthode qui mesure la lumière diffusée à un angle droit par rapport à la lumière incidente. Cette méthode est particulièrement sensible aux particules de taille uniforme et est couramment utilisée pour mesurer la concentration de protéines dans le sang ou l'urine, telles que la protéine C-réactive (CRP).

D'autre part, la turbidimétrie est une méthode qui mesure la réduction de l'intensité lumineuse totale à travers une solution contenant des particules. Cette méthode est moins sensible aux petites variations de taille des particules et est souvent utilisée pour mesurer la turbidité globale d'une solution, telle que l'eau ou les échantillons de sol.

Dans l'ensemble, ces deux techniques sont importantes dans le domaine médical pour diagnostiquer et surveiller diverses conditions pathologiques, y compris les maladies infectieuses, les maladies inflammatoires et les troubles rénaux.

Les chaînes légères des immunoglobulines sont des protéines structurelles importantes qui composent les anticorps, également connus sous le nom d'immunoglobulines. Il existe deux types de chaînes légères : kappa (κ) et lambda (λ). Chaque anticorps est constitué de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, qui sont reliées entre elles par des ponts disulfure pour former la structure tridimensionnelle de l'anticorps.

Les chaînes légères sont synthétisées sur les ribosomes libres du réticulum endoplasmique et contiennent deux domaines constants (C) et un domaine variable (V). Le domaine variable est responsable de la reconnaissance et de la liaison aux antigènes, tandis que les domaines constants sont responsables de la fonction effectrice de l'anticorps.

Les chaînes légères kappa et lambda sont codées par des gènes différents situés sur des chromosomes différents. Chez un individu sain, il y a une distribution équilibrée des chaînes légères kappa et lambda dans le sang et la moelle osseuse. Cependant, certaines affections médicales peuvent entraîner une production anormale de chaînes légères, telles que les gammapathies monoclonales, qui sont des conditions caractérisées par la production excessive d'une seule chaîne légère. Ces conditions peuvent être bénignes ou malignes et nécessitent une évaluation médicale appropriée.

Les chaînes légères lambda des immunoglobulines sont des protéines structurelles importantes qui composent les anticorps, également connus sous le nom d'immunoglobulines. Les anticorps sont des molécules clés du système immunitaire qui aident à identifier et à neutraliser les agents pathogènes étrangers tels que les bactéries et les virus.

Chaque anticorps est composé de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, qui sont reliées entre elles par des ponts disulfures pour former une structure en Y. Les chaînes légères peuvent être divisées en deux types différents : kappa et lambda. Environ 60% des anticorps humains contiennent des chaînes légères lambda, tandis que les 40% restants contiennent des chaînes légères kappa.

Les chaînes légères lambda sont codées par un gène situé sur le chromosome 22. Les mutations ou les réarrangements anormaux de ce gène peuvent entraîner la production d'un nombre anormal de chaînes légères lambda, ce qui peut contribuer au développement de certaines maladies du sang telles que le myélome multiple et le trouble du gène WM (Waldenström macroglobulinémie).

En résumé, les chaînes légères lambda des immunoglobulines sont des protéines structurelles importantes qui composent les anticorps et aident à identifier et à neutraliser les agents pathogènes étrangers. Les anomalies dans la production de ces chaînes peuvent contribuer au développement de certaines maladies du sang.

Le myélome multiple, également connu sous le nom de plasmocytome malin multiple ou encore cancer des plasmocytes, est un type de cancer qui se forme dans les cellules plasmatiques du système immunitaire. Ces cellules sont normalement responsables de la production d'anticorps pour aider à combattre les infections.

Dans le myélome multiple, les cellules cancéreuses s'accumulent dans la moelle osseuse, où elles peuvent affaiblir et fragiliser les os, entraînant des douleurs osseuses, des fractures et une augmentation du risque de développer des infections. Les cellules cancéreuses peuvent également s'accumuler dans d'autres parties du corps, telles que le rein, ce qui peut entraîner une insuffisance rénale.

Les symptômes courants du myélome multiple comprennent la fatigue, des douleurs osseuses, des infections fréquentes, une anémie, une perte de poids et une augmentation de la calcémie (taux élevé de calcium dans le sang). Le diagnostic est généralement posé à l'aide d'une biopsie de la moelle osseuse et d'analyses de sang pour déterminer la présence de protéines anormales produites par les cellules cancéreuses.

Le traitement du myélome multiple peut inclure une combinaison de chimiothérapie, de radiothérapie, de thérapies ciblées, d'immunothérapie et de greffe de moelle osseuse. Le pronostic dépend du stade de la maladie au moment du diagnostic, de l'âge du patient et de sa réponse au traitement.

La deux dimensional (2D) gel electrophoresis est une méthode d'analyse proteomique qui combine deux étapes d'électrophorèse pour séparer et analyser des protéines complexes en fonction de leur charge et de leur masse moléculaire.

Dans la première dimension, l'isoélectrofocusing (IEF) est utilisé pour séparer les protéines selon leurs charges en les faisant migrer dans un gradient de pH à travers un gel de polyacrylamide. Chaque protéine se déplace jusqu'à atteindre le point isoélectrique (pI), où sa charge est neutre, et s'arrête de migrer.

Dans la deuxième dimension, l'électrophorèse en gel de polyacrylamide par taille (SDS-PAGE) est utilisée pour séparer les protéines selon leur masse moléculaire. Les protéines sont dénaturées et chargées négativement grâce au SDS, un détergent anionique, puis elles migrent dans un gel de polyacrylamide avec une concentration croissante en pourcentage vers le bas du gel.

Les protéines sont ainsi séparées selon deux dimensions et forment des taches sur le gel qui peuvent être visualisées par coloration ou fluorescence. Cette méthode permet de détecter et d'identifier les modifications post-traductionnelles des protéines, telles que la phosphorylation ou l'ubiquitination, ainsi que les différences quantitatives entre les échantillons.

La 2D gel electrophoresis est largement utilisée dans la recherche en biologie et en médecine pour étudier les protéines impliquées dans divers processus biologiques, tels que le développement de maladies ou les réponses à des traitements thérapeutiques.

Les gammaglobulines, également connues sous le nom d'immunoglobulines G (IgG), sont un type d'anticorps qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire humain. Elles sont produites par les plasmocytes, qui sont des cellules dérivées des lymphocytes B.

Les gammaglobulines sont la plus grande classe d'immunoglobulines et représentent environ 75 à 80% de toutes les immunoglobulines dans le sérum humain. Elles sont présentes dans le sang, la lymphe et les tissus conjonctifs de l'organisme.

Les gammaglobulines ont plusieurs fonctions importantes, notamment :

1. La neutralisation des toxines et des virus en se liant à eux et en empêchant leur interaction avec les cellules humaines.
2. L'activation du complément, ce qui permet de détruire les bactéries et les cellules infectées.
3. La facilitation de la phagocytose, où les gammaglobulines se lient aux antigènes à la surface des bactéries, ce qui permet aux globules blancs de les détecter et de les détruire plus facilement.
4. La protection contre les infections en fournissant une immunité passive aux nourrissons via le placenta et aux personnes qui ont reçu des injections d'immunoglobulines.

Les gammaglobulines sont souvent utilisées dans le traitement de diverses affections, telles que les déficits immunitaires primaires et secondaires, les infections bactériennes et virales récurrentes, les maladies auto-immunes et les troubles neurologiques.

La protéine Bence Jones est un type spécifique de chaîne légère d'immunoglobuline monoclonale trouvée dans l'urine ou parfois dans le sérum sanguin. Elle est nommée d'après le médecin britannique Henry Bence Jones qui l'a décrite pour la première fois en 1847. Ces chaînes légères sont produites en excès par certaines cellules tumorales, principalement dans les myélomes multiples et les maladies des chaînes légères (une forme de gammapathie monoclonale).

Les protéines Bence Jones peuvent être détectées par des tests d'urine ou de sang. Lorsqu'elles sont chauffées puis refroidies, elles forment des précipités, ce qui est utilisé comme méthode de détection en laboratoire. L'accumulation de ces protéines peut entraîner des dommages aux reins et d'autres complications liées à la maladie sous-jacente.

Les chaînes légères kappa des immunoglobulines sont une protéine présente dans le sang et les autres fluides corporels. Elles sont produites par un type de globules blancs appelés plasmocytes, qui sont une partie importante du système immunitaire. Les chaînes légères kappa sont des composants essentiels des anticorps (immunoglobulines), qui aident à combattre les infections et les maladies en se liant aux agents étrangers tels que les bactéries, les virus et les toxines.

Les chaînes légères kappa sont appelées "légères" car elles ont une masse moléculaire relativement faible par rapport à d'autres protéines sanguines. Elles sont produites en grande quantité dans le corps, ce qui signifie qu'elles peuvent être facilement détectées et mesurées dans le sang.

Les chaînes légères kappa sont un type spécifique de chaîne légère, l'autre étant les chaînes légères lambda. Les deux types de chaînes légères sont produites en quantités égales dans le corps sain et sont utilisées pour former des anticorps fonctionnels. Cependant, dans certaines maladies du sang telles que les gammapathies monoclonales, une seule chaîne légère est produite de manière excessive, ce qui peut entraîner des déséquilibres et des problèmes de santé.

Dans l'ensemble, les chaînes légères kappa sont un élément important du système immunitaire et jouent un rôle crucial dans la défense de l'organisme contre les agents pathogènes et les maladies.

La electrophoresis, gel, pulsed-field (électrophorèse en gels à champ pulsé) est une technique de séparation et d'analyse des macromolécules, telles que l'ADN, l'ARN et les protéines, en fonction de leur taille et de leur forme. Cette méthode utilise un gel de polyacrylamide ou d'agarose comme matrice de séparation et des champs électriques alternatifs à des angles multiples pour fractionner les macromolécules en fonction de leur mobilité différentielle dans le gel.

Dans cette technique, l'échantillon contenant les molécules d'intérêt est appliqué sur une extrémité du gel et un courant électrique est appliqué. Les macromolécules migrent à des vitesses différentes en fonction de leur taille et de leur charge, ce qui entraîne leur séparation dans le gel. Après une certaine période de temps, le champ électrique est inversé ou modifié à un angle différent, provoquant ainsi la réorientation des macromolécules et un nouveau cycle de séparation. Ce processus est répété plusieurs fois, ce qui permet d'obtenir une séparation plus efficace et précise des molécules en fonction de leur taille et de leur forme.

L'électrophorèse en gels à champ pulsé est particulièrement utile pour la séparation et l'analyse d'ADN de grande taille, tels que les chromosomes ou les fragments d'ADN génomique entiers, qui sont difficiles à séparer par des méthodes conventionnelles d'électrophorèse en gels. Cette technique est largement utilisée dans la recherche en génétique et en biologie moléculaire pour l'analyse de mutations, la cartographie génomique, l'assemblage de séquences d'ADN et l'identification de pathogènes.

Les protéines bactériennes se réfèrent aux différentes protéines produites et présentes dans les bactéries. Elles jouent un rôle crucial dans divers processus métaboliques, structurels et fonctionnels des bactéries. Les protéines bactériennes peuvent être classées en plusieurs catégories, notamment :

1. Protéines structurales : Ces protéines sont impliquées dans la formation de la paroi cellulaire, du cytosquelette et d'autres structures cellulaires importantes.

2. Protéines enzymatiques : Ces protéines agissent comme des catalyseurs pour accélérer les réactions chimiques nécessaires au métabolisme bactérien.

3. Protéines de transport : Elles facilitent le mouvement des nutriments, des ions et des molécules à travers la membrane cellulaire.

4. Protéines de régulation : Ces protéines contrôlent l'expression génétique et la transduction du signal dans les bactéries.

5. Protéines de virulence : Certaines protéines bactériennes contribuent à la pathogénicité des bactéries, en facilitant l'adhésion aux surfaces cellulaires, l'invasion tissulaire et l'évasion du système immunitaire de l'hôte.

L'étude des protéines bactériennes est importante dans la compréhension de la physiologie bactérienne, le développement de vaccins et de thérapies antimicrobiennes, ainsi que dans l'élucidation des mécanismes moléculaires de maladies infectieuses.

L'ARN ribosomique 16S est une molécule d'acide ribonucléique (ARN) qui fait partie du petit ribosome dans les cellules vivantes. Les ribosomes sont des complexes protéiques et ARN qui jouent un rôle central dans la synthèse des protéines.

L'ARN ribosomique 16S est spécifiquement utilisé en biologie moléculaire pour identifier et classer les bactéries. Il s'agit d'un ARN conservé qui contient des séquences régionales variables qui peuvent être utilisées pour distinguer différentes espèces bactériennes.

En particulier, la région hypervariable de l'ARN ribosomique 16S est souvent ciblée pour l'amplification par PCR et la séquençage dans les études de microbiologie moléculaire. Ces techniques permettent aux chercheurs d'identifier et de caractériser rapidement et précisément les espèces bactériennes présentes dans un échantillon, ce qui est particulièrement utile dans des domaines tels que la médecine, l'agriculture et l'environnement.

Les techniques de typage bactérien sont des méthodes utilisées en microbiologie pour identifier et clasifier les bactéries au-delà du niveau de genre et d'espèce. Elles permettent de distinguer des souches bactériennes similaires mais pas identiques, ce qui est crucial dans la surveillance des maladies infectieuses, l'épidémiologie, le contrôle de la contamination et la recherche.

Plusieurs techniques sont couramment utilisées pour le typage bactérien, y compris :

1. **Sérotypage** : Cette méthode consiste à classer les bactéries en fonction des antigènes présents à leur surface. Les antigènes sont des molécules reconnues par le système immunitaire et qui peuvent déclencher une réponse immune spécifique. Dans le cadre du sérotypage, on utilise des sérums contenant des anticorps spécifiques pour identifier les différents types d'antigènes présents à la surface des bactéries.

2. **Phagotypage** : Cette technique est semblable au sérotypage, mais elle utilise des phages (des virus qui infectent les bactéries) au lieu d'anticorps pour identifier les souches bactériennes. Les phages se lient aux récepteurs spécifiques situés à la surface des bactéries, ce qui permet de distinguer différents types de bactéries.

3. **Bactériophagage** : Cette méthode consiste à utiliser des bactériophages pour infecter et tuer des bactéries spécifiques. Elle est souvent utilisée dans le contrôle de la contamination, en particulier dans l'industrie alimentaire.

4. **Profilage biochimique** : Cette technique consiste à analyser les profils métaboliques des bactéries pour les distinguer. Les bactéries sont incubées dans des milieux contenant différents nutriments et substrats, et on observe leur capacité à dégrader ou à utiliser ces substances pour produire de l'énergie.

5. **Analyse génétique** : Cette méthode consiste à analyser l'ADN des bactéries pour identifier les différences entre les souches. Les techniques d'analyse génétique comprennent la PCR (réaction en chaîne par polymérase), le séquençage de l'ADN et l'hybridation de l'ADN.

6. **Protéomique** : Cette technique consiste à analyser les protéines produites par les bactéries pour identifier les différences entre les souches. Les techniques de protéomique comprennent la spectrométrie de masse et l'analyse des profils d'expression des gènes.

En combinant ces différentes méthodes, il est possible de distinguer et d'identifier avec précision les différents types de bactéries, ce qui est important pour la recherche médicale, la sécurité alimentaire et la lutte contre les maladies infectieuses.

L'ADN ribosomal (rDNA) est un type spécifique d'acide désoxyribonucléique qui code pour les ARN ribosomaux, qui sont des composants structurels et fonctionnels essentiels des ribosomes. Les ribosomes sont des complexes macromoléculaires trouvés dans les cellules de tous les organismes vivants et jouent un rôle crucial dans la synthèse des protéines en facilitant le processus de traduction de l'ARN messager (ARNm) en chaînes polypeptidiques.

Les gènes rDNA sont généralement organisés en plusieurs centaines à quelques milliers de copies dans le génome d'un organisme donné, ce qui permet une expression abondante et régulée des ARN ribosomaux nécessaires pour soutenir la synthèse constante des protéines. Les séquences rDNA sont souvent utilisées comme marqueurs dans l'étude de l'évolution moléculaire, de la systématique et de la biodiversité en raison de leur conservation relative entre les espèces et de leur variabilité au sein des populations.

Les ARN ribosomaux sont classés en deux catégories principales : les ARN ribosomaux 18S, 5,8S et 28S (eucaryotes) ou 16S et 23S (procaryotes), qui composent le noyau des ribosomes et sont directement impliqués dans la catalyse de la formation des liaisons peptidiques pendant la traduction, et les ARN ribosomaux 5S, qui sont associés aux sous-unités ribosomales mineures.

En résumé, l'ADN ribosomal est un type d'acide désoxyribonucléique qui code pour les ARN ribosomaux essentiels à la synthèse des protéines dans les cellules de tous les organismes vivants. Les gènes rDNA sont souvent utilisés comme marqueurs dans l'étude de l'évolution moléculaire, de la systématique et de la biodiversité en raison de leur conservation relative entre les espèces et de leur variabilité au sein des populations.

L'ADN bactérien fait référence à l'acide désoxyribonucléique présent dans les bactéries. Il s'agit du matériel génétique héréditaire des bactéries, qui contient toutes les informations nécessaires à leur croissance, leur développement et leur fonctionnement.

Contrairement à l'ADN des cellules humaines, qui est organisé en chromosomes situés dans le noyau de la cellule, l'ADN bactérien se présente sous forme d'une unique molécule circulaire située dans le cytoplasme de la cellule. Cette molécule d'ADN bactérien est également appelée chromosome bactérien.

L'ADN bactérien peut contenir des gènes codant pour des protéines, des ARN non codants et des éléments régulateurs qui contrôlent l'expression des gènes. Les bactéries peuvent également posséder de l'ADN extrachromosomique sous forme de plasmides, qui sont des petites molécules d'ADN circulaires contenant un ou plusieurs gènes.

L'étude de l'ADN bactérien est importante pour comprendre la physiologie et le métabolisme des bactéries, ainsi que pour développer des stratégies de lutte contre les infections bactériennes. Elle permet également d'identifier des marqueurs spécifiques qui peuvent être utilisés pour caractériser et classer différentes espèces bactériennes.

L'hybridation d'acides nucléiques est un processus dans lequel deux molécules d'acides nucléiques, généralement une molécule d'ADN et une molécule d'ARN ou deux molécules d'ADN complémentaires, s'apparient de manière spécifique par des interactions hydrogène entre leurs bases nucléotidiques correspondantes. Ce processus est largement utilisé en biologie moléculaire et en génétique pour identifier, localiser et manipuler des séquences d'ADN ou d'ARN spécifiques.

L'hybridation a lieu lorsque les deux brins d'acides nucléiques sont mélangés et portés à des températures et des concentrations de sel optimales pour permettre la formation de paires de bases complémentaires. Les conditions d'hybridation doivent être soigneusement contrôlées pour assurer la spécificité et la stabilité de l'appariement des bases.

L'hybridation d'acides nucléiques est une technique sensible et fiable qui peut être utilisée pour détecter la présence de séquences d'ADN ou d'ARN spécifiques dans un échantillon, pour mesurer l'abondance relative de ces séquences, et pour analyser les relations évolutives entre différentes espèces ou populations. Elle est largement utilisée dans la recherche en génétique, en médecine, en biologie moléculaire, en agriculture et dans d'autres domaines où l'identification et l'analyse de séquences d'acides nucléiques sont importantes.

La masse moléculaire est un concept utilisé en chimie et en biochimie qui représente la masse d'une molécule. Elle est généralement exprimée en unités de masse atomique unifiée (u), également appelées dalton (Da).

La masse moléculaire d'une molécule est déterminée en additionnant les masses molaires des atomes qui la composent. La masse molaire d'un atome est elle-même définie comme la masse d'un atome en grammes divisée par sa quantité de substance, exprimée en moles.

Par exemple, l'eau est composée de deux atomes d'hydrogène et un atome d'oxygène. La masse molaire de l'hydrogène est d'environ 1 u et celle de l'oxygène est d'environ 16 u. Ainsi, la masse moléculaire de l'eau est d'environ 18 u (2 x 1 u pour l'hydrogène + 16 u pour l'oxygène).

La détermination de la masse moléculaire est importante en médecine et en biochimie, par exemple dans l'identification et la caractérisation des protéines et des autres biomolécules.

L'électrophorèse sur puce (ou "microélectrophorèse") est une méthode d'analyse miniaturisée qui permet la séparation et l'identification des macromolécules, telles que les protéines ou l'ADN, en utilisant des forces électriques. Contrairement à l'électrophorèse traditionnelle réalisée sur des gels, cette technique utilise des supports solides en verre ou en silicium, sur lesquels sont fabriqués de minuscules canaux (appelés "microfluidiques") où circulent les échantillons.

Ces microcanaux ont généralement des dimensions de l'ordre du micromètre à quelques dizaines de micromètres, ce qui permet d'obtenir des déplacements et des séparations très rapides (en quelques secondes à minutes) grâce aux champs électriques appliqués. Les protéines ou les acides nucléiques sont marquées avec des fluorophores, ce qui permet leur détection et leur quantification par fluorescence après séparation.

L'électrophorèse sur puce présente plusieurs avantages :

1. Rapidité d'exécution et faible consommation de réactifs ;
2. Possibilité de multiplexage, c'est-à-dire la possibilité d'analyser simultanément plusieurs échantillons ou plusieurs molécules dans le même échantillon ;
3. Intégration possible avec d'autres techniques de manipulation et détection de fluides à l'échelle microfluidique, offrant des perspectives pour le développement de systèmes de diagnostic lab-on-a-chip (LOAC).

La discélectrophorèse est un type spécifique d'électrophorèse qui sépare et analyse les protéines en fonction de leur charge, de leur taille et de leur forme. Ce terme est principalement utilisé dans le contexte de l'analyse des protéines du liquide céphalorachidien (LCR) ou du sérum.

Dans cette méthode, les échantillons sont soumis à un champ électrique, ce qui entraîne le déplacement des particules chargées. Les protéines migrent vers l'anode (pôle positif) ou la cathode (pole négatif), selon leur charge. La séparation supplémentaire est assurée par la forme et la taille des molécules de protéines, qui se déplacent à des vitesses différentes dans le milieu de support, généralement un gel de polyacrylamide.

Le terme "disc" fait référence au motif en disque ou en barre observé après la séparation et la coloration des protéines, ce qui permet une visualisation et une analyse ultérieures. Chaque bande représente un type spécifique de protéine ou une fraction protéique. Les variations dans l'intensité relative des bandes peuvent indiquer des changements quantitatifs dans les niveaux de protéines, tandis que les modifications de la migration des bandes peuvent refléter des altérations qualitatives, telles que des modifications post-traductionnelles ou des mutations des protéines.

La discélectrophorèse est une technique d'analyse cruciale dans le domaine de la médecine de laboratoire et de la recherche biomédicale, en particulier pour le diagnostic et le suivi des maladies neurologiques, telles que les maladies neurodégénératives et inflammatoires du système nerveux central.

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