Le intentionnel interruption de transmission au C'neuromusculaire par externes, généralement curares. Elle est définie de sang-froid ENSEMBLE dans lequel conduction nerveuse (conduction neural) est interrompu plutôt que la transmission neuromusculaire. Bloc neuromusculaire est couramment utilisé pour produire de détente en complément d ’ anesthésie pendant l'opération et autres procédures médicales. Il est également souvent utilisé comme une expérience manipulation dans la recherche fondamentale. C'est pas à proprement parler anesthésie mais est ici avec anesthésiant techniques. L'échec de la transmission neuromusculaire par suite des processus pathologiques n'est pas inclus ici.
Ça interrompre la transmission de la drogue des impulsions nerveuses à la jonction neuro-musculaire du squelette. Ils peuvent être de deux types, compétitif et stabilise bêtabloquants (FBI) ou noncompetitive nondepolarizing neuromusculaire, depolarizing depolarizing neuromusculaire (FBI). Les deux empêcher l ’ acétylcholine de déclencher la contraction musculaire et ils sont pris en anesthésie adjuvants Des relaxants musculaires durant les électrochocs, comme dans convulsive états, etc.
Cyclic GLUCANS composée de 8 (8) glucopyranose unités liés par 1,4-glycosidic obligations.
Monoquaternary Homolog de pancuronium. Un agent bloquant neuromusculaire non-depolarizing avec durée d ’ action plus courte de son manque de pancuronium. Significative des effets cardiovasculaires et manque de dépendance à la fonction rénale est bonne pour l'élimination et sa durée d ’ action courte et facile réversibilité fournir des avantages sur, ou des alternatives à, autre curares.
Un stéroïde bis-quaternary nicotinique c'est un antagoniste compétitif. Comme un agent bloquant neuromusculaire c'est plus puissant que curare mais moins d'effet sur le système circulatoire et de libération d ’ histamine.
Les médicaments qui interrompre la transmission au niveau des jonctions neuromusculaires squelettique sans causer dépolarisation du moteur fin assiette. Ils préviennent acétylcholine de déclencher une contraction musculaire et sont utilisées comme relaxants musculaires durant les traitements par électrochocs, dans des états, et convulsive comme anesthésiant adjuvants.
Androstanes androstane substitué et reste en position avec un ou plusieurs groupes hydroxyle.
Un inhibiteur de la cholinesterase utilisé dans le traitement de la myasthénie et inverser les effets des relaxants musculaires tels que gallamine et tubocurarine. La néostigmine, contrairement à la physostigmine, ne traverse pas la barrière hémato-encéphalique.
Rapide, inhibiteur de la cholinesterase d ’ action courte utilisée dans les troubles du rythme cardiaque et dans le diagnostic d ’ une myasthénie. Ceci a également été utilisé comme antidote aux principes du curare.
Un agent bloquant neuromusculaire non-depolarizing avec de courte durée. Son absence d'effets cardio-vasculaires graves et de son manque de dépendance à la fonction rénale est bonne pour l'élimination fournir avantages cliniques sur suppléant non-depolarizing curares.
La synapse entre un neurone et un muscle.
Un inhibiteur neuromusculaire et ingrédient actif de curare ; plante basé alcaloïde de Menispermaceae.
Un décontractant le muscle squelettique quaternaire utilisé habituellement sous forme de ses bromure iodure ou c'est un décontractant depolarizing, agissant dans 30 secondes et avec une durée de l ’ effet en moyenne trois à cinq minutes. Succinylcholine est utilisé en anesthésique chirurgical, et autres procédures dans lequel une brève période de relaxation musculaire s'impose.
Un gros nerf de l'extrémité supérieure. Chez les humains, les fibres du nerf ulnaire originate dans le bas et cervicale thoracique supérieure de la moelle épinière (habituellement C7 T1), voyagent grâce au cordon médiale du plexus brachial distribution et d ’ innervation sensoriels et moteurs à certaines parties de l'avant-bras.
Composés contenant le decamethylenebis (trimethyl) ammonium radical. Ces composés agissent comme des agents depolarizing neuromusculaire fréquemment.
Un piperazinyl androstane, qui constitue un agent bloquant neuromusculaire non-depolarizing nondepolarizing neuromusculaire (FBI). Il est utilisé comme un décontractant musculaire pendant l'anesthésie et les opérations chirurgicales.
La période d ’ émergence d'une anesthésie générale, où différents éléments de connaissance, retour à différentes vitesses.
L'oxyde d'azote (N2O). Un gaz inodore et incolore est utilisé en anesthésique et analgésique. Fortes concentrations provoquer un effet narcotique et pourra remplacer l'oxygène, entrainant la mort par asphyxie. Il est également utilisé le spray dans la préparation de fouetter la crème.
Anormalement lente de reprendre conscience après une anesthésie générale (anesthésie, général) étant généralement administrée pendant la chirurgie. Cette affection est caractérisée par une somnolence persistante.
Les médicaments qui interrompre la transmission au niveau des jonctions neuromusculaires en stimulant squelettiques dépolarisation prolongée du moteur fin assiette. Ces agents sont utilisé comme anesthésiant chirurgicale adjuvants dans pour causer un relâchement des muscles squelettiques.
Plante des extraits de plusieurs espèces, y compris genera strychnos et Chondodendron qui contiennent TETRAHYDROISOQUINOLINES qui produisent PARALYSIS du muscle squelettique. Ces extraits sont toxiques et doit être utilisé avec l ’ administration de la respiration artificielle.
Un terme général souvent utilisé pour décrire sévère ou une perte totale de la force musculaire due à une maladie système moteur depuis le niveau du cortex cérébral aux fibres musculaires peuvent aussi parfois. Ce terme se rapportent à une perte de fonctions sensorielles. (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, 6e Ed P45)
Anesthésie causée par la respiration d'anesthésiant gaz ou vapeurs ou par gaz anesthésiant insufflating ou vapeurs dans les voies respiratoires.
État caractérisé par une perte de sensibilité ou de sensation. Cette dépression de terminaisons nerveuses est suscitée... par action pharmacologique est déclenchée et performances afin d ’ opération chirurgicale ou autres douloureuses procédures.
Le premier chiffre sur le côté de la main qui radiale chez l'homme mensonges contraire les quatre autres.
L'enregistrement de les mouvements musculaires. L'appareil s'appelle un myograph, le disque ou décalquer, un myogram. (De Stedman, 25e éditeur)
Procédure dans laquelle les patients dans un état inconscient induites par le biais de divers médicaments pour que ne souffrent pas pendant l'opération.
Une inhalation anesthésique très stable qui permet d ’ ajuster rapide anesthésie profondeur avec petit changement de pouls et la fréquence respiratoire.
Les tissus qui bougent les muscles du larynx dans son ensemble ou ses parties, comme altérant tension des VOCAL CORDS ou la taille de la fente (Rima GLOTTIDIS).
Les vérifications sur l'état ou de condition d'un patient au cours d'une opération chirurgicale (par exemple, contrôle des signes vitaux).
Un groupe de produits à la structure de bague hétérocycliques benzo (c) une N-oxydation du noyau pyridine. La bague structure est caractéristique du groupe d'opium de seigle (tels que la papavérine. De Stedman, 25e éditeur)
Effets biologiques et des événements qui constituent les fonctions du système nerveux.
SESQUITERPENES cyclized dans deux salles cyclohexane sonne mais avec une configuration différente du ARTEMISININS.
Médicaments pouvant inhiber cholinesterases. Le neurotransmetteur acétylcholine est rapidement hydrolysé, et, partant, inactivé, par cholinesterases. Quand cholinesterases cellulaires sont inhibées, l'action du cuivre endogène libéré l'acétylcholine au cholinergiques synapses est potentialisé. La cholinesterase sont largement utilisé pour leur une potentialisation de cholinergiques intrants dans le tractus gastro-intestinal et de la vessie, les yeux, et les muscles squelettiques ; ils sont aussi utilisés pour leurs effets sur le cœ ur et le système nerveux central.
Le musculofibrous cloison qui sépare les thoraciques CAVITY du ABDOMINAL CAVITY. Contraction du diaphragme augmente le volume de la cavité thoracique aider INHALATION.
Le nerf moteur du diaphragme. Le nerf phrénique fibres viennent de la colonne cervicale C4) (principalement des et voyager dans le plexus cervicale au diaphragme.
Un inhibiteur de la cholinesterase avec une durée d ’ action plus longue que la néostigmine. Il est utilisé dans le traitement de la myasthénie et annuler les actions des relaxants musculaires.
Drogues administrées avant un anesthésiant pour diminuer un patient est anxiété et contrôler les effets de cette anesthésiant.
Une procédure impliquant la place du tube dans la trachée par la bouche ou le nez afin de fournir un patient avec l'oxygène et anesthésie.
L ’ utilisation de la stimulation des nerfs périphériques pour évaluer la transmission neuromusculaire, surtout au C'est dans la réponse aux anesthésiques, comme l'intensité neuromusculaire bloque neuromusculaire BLOCKADE par des agents.
Un anesthésique d'hydrocarbure nonflammable, les anesthésiques halogénés, qui fournit une induction relativement rapide avec peu ou aucune excitation. Analgésiques peuvent ne pas être appropriées. Protoxyde d'azote est souvent administré en association. Parce que halothane relaxation musculaire peut produit pas suffisamment, annexe curares peut être nécessaire. (De AMA Drug Évaluations Annual, 1994, p178)
Les cholinestérases sont des enzymes qui catalysent la dégradation du neurotransmetteur acétylcholine en choline et en acide acétique, jouant un rôle crucial dans la transmission neuromusculaire et cognitive dans le système nerveux.
Un puissant narcotique antalgique, abus de ce qui mène à accomodation ou addiction. C'est principalement un agoniste opioïde mu. Le fentanyl est également utilisé en complément d ’ anesthésie générale, et d'anesthésique induction et entretien. (De Martindale, supplémentaires 30 Pharmacopée ", Ed, p1078)
Un processus menant à et / ou de survenue de tension dans le tissu musculaire. Contraction musculaire survient par un filament coulissante mécanisme par lequel actine filaments se glissent inward parmi les myosine filaments.
La relation entre la dose d'un drogue administrée et la réponse de l'organisme au produit.
Une drogue bloquant nondepolarizing synthétique. Les actions de gallamine Gallamine sont similaires à celles de tubocurarine, mais cet agent bloque les vagus cardiaque et peut entraîner de tachycardie sinusale et parfois, hypertension et augmentation du débit cardiaque. Il doit être utilisé avec prudence chez les patients à risque d'augmentation du rythme cardiaque mais peut être à préférer chez les patients présentant une bradycardie. (De AMA Drug Évaluations Annual, 1992, p198)
Le 7e nerf cranien le nerf facial a deux parties, le plus gros moteur racine qui peut être appelé le nerf facial convenable, et les intermédiaires ou des sensations racine. Ensemble, elles fournissent efferent innervation des muscles d'expressions faciales et aux et glandes salivaires et lacrymales sensitifs et transmettre des informations pour goûter de l'antérieur deux tiers de la langue et pour toucher assistés de l'oreille.
Processus d'administrer un anesthésiant par injection directement dans le sang.
Un état perte due à l ’ excès de dioxyde de carbone du corps. (Dorland, 27 e)
Utilisation de potentiel électrique pour obtenir les réponses biologiques ou des courants.
Éléments de contribuer à intervalles de temps limitée, notamment des résultats ou situations.
Enregistrement de la variation entre potentiel électrique de muscle au moyen de surface ou aiguille électrodes.
Une étable, non-explosive d'inhalation anesthésique, relativement d'effets secondaires.
Un barbiturique c'est administré par voie intraveineuse pour l ’ induction d ’ une anesthésie générale ou pour la production de anesthésie complète de courte durée.
Interruption de la conduction neuronal dans des nerfs périphériques ou des malles par l'injection d'anesthésique local (x) agent (ex : Lidocaïne ; phénol ; Toxine toxines) à gérer ou traiter la douleur.
Un état de dépression de conscience durant laquelle les patients présentent une réponse... De vous ranger, seul ou accompagné par la lumière tactile stimulation. Non les interventions sont nécessaire pour maintenir la fonctionnalité des voies aériennes. (De : Association américaine des anesthésistes Practice Guidelines)
Protéines neurotoxiques du venin d'ou le bungare fascié Formosan (Bungarus multicinctus elapid), un serpent. Alpha-Bungarotoxin bloque les récepteurs nicotiniques à l'acétylcholine et sert à isoler et les étudier ; et sélectifs gamma-bungarotoxins acte presynaptically entraînant la libération d'acétylcholine et épuisées. Rayons alpha et bêta formes ont été décrites, l'alpha comparable au gros, long ou Type Ii neurotoxines autre elapid venin.
Un groupe de composés contenant le général formule R-OCH3.
Le nombre de fois le CŒUR ventricules contrat par unité de temps, habituellement par minute.
La mesure des processus physiologiques, la pression artérielle, la fréquence cardiaque, respiration, réflexes production rénale, etc., chez un patient ou des animaux expérimentaux ; inclut une surveillance pharmacologique, la mesure des administrés ou leurs métabolites dans le sang, des mouchoirs, ou dans l'urine.
Un mode de la respiration artificielle qui emploie mécanique ou non-mécanique signifie pour forcer l'air entre et sorte d'les poumons. La respiration artificielle ou ventilation est utilisé chez des individus qui ont arrêté de respirer ou insuffisance respiratoire pour augmenter leur consommation d ’ oxygène (O2) et l ’ excrétion du gaz carbonique (CO2).
Anesthésie intraveineuse agent qui a l'avantage d'un effet très rapide après la perfusion ou injection en bolus et une très courte période de récupération de quelques minutes. (De Smith et Reynard, Le manuel de pharmacologie, 1992, 1st Ed, p206). Le propofol a été utilisé comme ANTICONVULSIVANTS et antiémétiques.
Un type de bucco-pharyngée qui fournira une alternative à l'intubation trachéale et masque standard anesthésie chez certains patients. C'est introduit dans l'hypopharynx de façon étanche autour du larynx ou pression positive, permettant ainsi une ventilation spontanée sans pénétration du larynx ou son œsophage. Il est utilisé en place d'une grille dans la routine l'anesthésie. Les avantages par rapport au standard masque une anesthésie sont mieux contrôle respiratoire, une accumulation gaz anesthésiant des fuites, une voie respiratoire pendant un brancard à la salle de réveil, et minimal postopératoire problèmes.
La communication d'un neurone à une cible (neurone, muscle, ou de sécrétion sur un Synapse. Dans une transmission, le synaptique présynaptique neurone libère un neurotransmetteur céfuroxime traverse la creux synaptique spécifique et se lie aux récepteurs synaptique activé, active les récepteurs moduler des canaux ioniques spécifiques et / ou second-messenger systems in the Postsynaptic cellule. En électricité, des signaux électriques transmission synaptiques sont communiquées sous forme de flux ionique sur BOURDONNEMENT synapses.
L'action d'une drogue qui peuvent affecter le métabolisme ou l 'activité, la toxicité d ’ un autre médicament.
Pression du sang sur les principales et autres vaisseaux sanguins.
Contraction des tissus qui produit mouvement chez les animaux.
Le chat domestique, messieurs, de la famille domestique nommé carnivore Felidae, comprenant plus de 30 différentes races. Le chat domestique descend principalement des chats sauvages d'Afrique et Asie du sud-ouest extrême, mais probablement présente dans les villes en Palestine d'aussi longtemps que 7000 ans, de la domestication survenues en Egypte environ 4000 ans. (De Walker est Des mammifères du Monde, Ed, 6ème p801)
Médicaments utilisés pour induire une somnolence ou dormir ou de réduire l'excitation psychologique ou d'anxiété.
Ultrashort-acting anesthésiques qui sont utilisés pour l ’ induction. Perte de conscience est rapide et l ’ induction est plaisant, mais il n'y a pas de relaxation musculaire et réflexes est souvent pas été réduite de façon adéquate. L'administration réitérée entraîne une accumulation et prolonge le temps de guérison. Depuis ces agents ont peu si une activité antalgique, ils sont rarement utilisé seul, sauf en bref des procédures mineures. (De AMA Drug Évaluations Annual, 1994, p174)
Ces médicaments incluent les muscles du diaphragme et les muscles INTERCOSTAL.
La détermination de oxygen-hemoglobin de saturation de sang soit par de prélever un échantillon et passer à travers un oxymètre photoélectriques classique ou par des électrodes attachées à translucides partie du corps comme doigt, lobe, ou pli non invasif, l'oxygène suivi par une oxymétrie de pouls.
Corps anormalement basse température c'est intentionnellement induit chez les animaux à sang chaud par des moyens artificiels. Chez l'homme, hypothermie légère ou modérée a été utilisé pour réduire les dommages, en particulier après des tissus cardiaques ou la colonne vertébrale et pendant les opérations.
Une anesthésie locale et dépresseurs cardiaque utilisé comme agent antiarrhythmia. Ses actions sont plus sévères et ses effets plus prolongées que celles de procaïne mais sa durée d ’ action est plus courte que celle de bupivacaïne ou la prilocaïne.
Avancée et hautement spécialisé en médecine ou chirurgie, soins prodigués aux patients dont l ’ état menaçant le pronostic vital et nécessiter soin complet et une surveillance constante. C'est généralement administré dans équipée unités d 'un établissement de soin.
Gaz ou volatils liquides varient dans le rythme auquel ils provoquent anesthésie ; activité ; le degré de circulation, respiratoires ou dépression neuromusculaire ils produisent ; et effets analgésiques. L'anesthésie par inhalation a ses avantages sur des agents en intraveineuse que la profondeur de l'anesthésie peut être changé rapidement par le changement. À cause de leur concentration inhalé une élimination rapide, des postopératoire de dépression respiratoire est relativement courte durée. (De AMA Drug Évaluations Annual, 1994, p173)
L'acte de respirer avec les poumons, constitué de INHALATION, ou la prise dans les poumons de ce côté-ci du mur, et de soupir, ou le renvoyer de l'air modifié qui contient plus CARBON de titane que l'air recueilli (Blakiston est Gould Medical Dictionary, 4ème ed.). Sans compter la respiration (= tissu en oxygène CONSUMPTION) ou la respiration cellulaire (= cellule RESPIRATION).
Cette phase d'un doigt bougera pendant lequel un muscle revient à position de repos.
La physique ou action mécanique du diaphragme ; ; ; poumons côtes et poitrine mur pendant la respiration, l'ouragan, volume des poumons, réflexe neuronal et contrôle, mechanoreceptors, la respiration, etc.
Les protéines de surface cellulaire qui lient acétylcholine avec une forte affinité et détente changements intracellulaire influencer le comportement de cellules. Les récepteurs cholinergiques sont divisés en deux classes majeures, muscariniques et d ’ origine, basé sur l'attrait de nicotine et de la muscarine. Chaque groupe est divisé en se basant sur la pharmacologie, emplacement, mode d'action, et / ou la biologie moléculaire.
À long terme (heures) minutes à l ’ administration d ’ un liquide dans la veine par ponction veineuse, soit en laissant le les fluides par la gravité ou par pompe.
Préparations injectables fait dans une veine ou expérimental thérapeutiques.
Le mouvement et les forces impliqué dans le mouvement du sang à travers l'CARDIOVASCULAR système.
Processus pathologique qui affectent les patients après une opération chirurgicale. Ils peuvent faire ou ne pas être liée à la maladie pour laquelle il a été opéré, et ils peuvent ou non être direct résultat de l'opération.

Un bloc neuromusculaire est un terme médical qui décrit une condition dans laquelle la transmission de l'influx nerveux entre les nerfs moteurs et les muscles est interrompue ou affaiblie. Cela se produit lorsque un médicament bloquant la jonction neuromusculaire, tel que le curare ou la succinylcholine, est administré pendant une anesthésie générale pour provoquer une paralysie musculaire temporaire et faciliter l'intubation endotrachéale et la ventilation mécanique.

Le bloc neuromusculaire peut également se produire en raison d'une maladie neuromusculaire sous-jacente, telle que la myasthénie grave ou le botulisme, qui affectent la fonction des récepteurs de la jonction neuromusculaire.

Les symptômes du bloc neuromusculaire comprennent une faiblesse musculaire progressive, une paralysie et une insuffisance respiratoire. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments pour inverser les effets des agents bloquants neuromusculaires ou un soutien respiratoire pour aider à la ventilation.

Je suis désolé, "curarisants" ne semble pas être un terme médical reconnu. Il est possible que vous ayez voulu dire "curare" ou "curarisants", qui se réfèrent à des substances utilisées en médecine pour provoquer une paralysie musculaire temporaire. Les curares sont souvent utilisés pendant les anesthésies générales pour faciliter l'intubation et la ventilation mécanique. Ils agissent en bloquant la transmission de l'influx nerveux au niveau de la jonction neuromusculaire, entraînant une relaxation musculaire. Les curarisants peuvent être administrés par voie intraveineuse ou par inhalation.

Il est important de noter que les curares n'ont aucun effet sur la conscience ou la sensation de douleur, c'est pourquoi ils sont toujours utilisés en combinaison avec d'autres médicaments anesthésiques pour assurer une anesthésie complète et sûre.

Les cyclodextrines gamma sont un type spécifique de cyclodextrine, qui est un oligosaccharide cyclique composé de six à huit unités de D-glucopyranose. Les cyclodextrines sont connues pour leur structure en forme de donut, avec une cavité hydrophobe intérieure et un extérieur hydrophile.

Les cyclodextrines gamma sont les plus grandes des trois types courants de cyclodextrines (les deux autres étant les alpha et les beta), avec environ huit unités de glucose dans leur anneau. Cette structure plus grande confère à la cyclodextrine gamma une cavité plus grande, ce qui lui permet de former des complexes inclus avec une variété de molécules hydrophobes.

Les cyclodextrines gamma ont plusieurs applications potentielles dans le domaine médical, notamment en pharmacocinétique et en thérapeutique. Elles peuvent être utilisées pour améliorer la solubilité et la biodisponibilité de certains médicaments, ce qui peut faciliter leur administration et potentialiser leur effet thérapeutique. De plus, les cyclodextrines gamma peuvent également être utilisées pour protéger certaines molécules actives contre la dégradation ou l'inactivation dans le corps.

Cependant, il convient de noter que l'utilisation des cyclodextrines gamma en médecine est encore à l'étude et nécessite une évaluation approfondie de leur sécurité et de leur efficacité avant d'être largement adoptée dans les pratiques cliniques.

Le vécuronium est un curare non dépolarisant, souvent utilisé en anesthésiologie pour provoquer une paralysie musculaire squelettique et faciliter l'intubation endotrachéale ou la ventilation mécanique. Il appartient à la classe des stéroïdes dépolarisants et agit en se liant aux récepteurs de la jonction neuromusculaire, empêchant ainsi l'acétylcholine de se lier et d'induire une contraction musculaire.

Les effets du vécuronium commencent généralement dans les 2 à 5 minutes suivant l'administration intraveineuse et peuvent durer jusqu'à 30 à 40 minutes, bien que cela dépende de divers facteurs tels que la posologie, la clearance métabolique et l'état clinique du patient.

Le vécuronium est principalement métabolisé par le foie en plusieurs métabolites inactifs, qui sont ensuite excrétés dans les urines et les fèces. Il est considéré comme un relaxant musculaire intermédiaire avec une faible activité cardiovasculaire, ce qui en fait une option privilégiée pour les patients présentant des problèmes cardiovasculaires sous-jacents.

Cependant, il convient de noter que le vécuronium nécessite une surveillance étroite et un équipement de monitoring approprié, car il peut entraîner une dépression respiratoire sévère et prolongée si les muscles respiratoires sont paralysés. Par conséquent, il doit être administré sous la supervision directe d'un professionnel de santé qualifié dans un contexte clinique approprié.

Le pancuronium est un médicament utilisé en anesthésie pour provoquer une paralysie musculaire temporaire et faciliter l'intubation endotrachéale et la ventilation mécanique pendant les procédures chirurgicales. Il s'agit d'un curare non dépolarisant, un type de bloqueur neuromusculaire, qui agit en se liant aux récepteurs de l'acétylcholine au niveau de la jonction neuromusculaire, empêchant ainsi la transmission des impulsions nerveuses vers les muscles.

Le pancuronium a une durée d'action intermédiaire à longue et est généralement administré par voie intraveineuse. Il est souvent utilisé en association avec d'autres médicaments anesthésiques pour assurer une relaxation musculaire adéquate pendant les interventions chirurgicales.

Comme tous les bloqueurs neuromusculaires, le pancuronium doit être administré sous la surveillance étroite d'un professionnel de santé formé à son utilisation, car il peut entraîner une paralysie complète des muscles respiratoires si la dose n'est pas correctement ajustée en fonction du poids corporel et de l'état clinique du patient.

Les curarisants non dépolarisants sont un type de médicaments musculaires utilisés en anesthésie pour provoquer une paralysie temporaire et faciliter l'intubation endotrachéale et la ventilation mécanique pendant les procédures chirurgicales. Contrairement aux curarisants dépolarisants, tels que la succinylcholine, qui activent les récepteurs de l'acétylcholine et provoquent une contraction musculaire initiale suivie d'une paralysie, les curarisants non dépolarisants se lient de manière compétitive mais réversible aux récepteurs nicotiniques de l'acétylcholine au niveau de la jonction neuromusculaire sans activer ces récepteurs.

Cela entraîne une inhibition de la transmission neuromusculaire et une paralysie musculaire sans provoquer de fasciculations ou d'autres effets secondaires associés aux curarisants dépolarisants. Les exemples courants de curarisants non dépolarisants comprennent le pancuronium, le vecuronium, le rocuronium, l'atracurium et le cisatracurium.

Il est important de noter que les curarisants non dépolarisants n'ont aucun effet sur la conscience ou la sensation de douleur et doivent être utilisés en combinaison avec des agents anesthésiques pour assurer une anesthésie adéquate pendant les procédures chirurgicales.

Les androstanols sont des stéroïdes androgènes stérilisés qui sont produits par l'oxydation du groupe 3-méthyle d'androgènes, tels que la testostérone et la dihydrotestostérone. Ils sont principalement dérivés de la sécrétion de la glande surrénale et des testicules et peuvent être trouvés dans les urines et le sang.

Les androstanols comprennent un certain nombre de composés, dont l'androstérone et l'éthinylestradiol, qui ont des activités biologiques faibles à modérées. L'androstérone est un androgène doux qui peut être converti en œstrogènes dans les tissus cibles, tandis que l'éthinylestradiol est une forme synthétique d'œstrogène couramment utilisée dans les contraceptifs oraux.

Les androstanols sont également des marqueurs importants de l'exposition aux androgènes et peuvent être utilisés pour évaluer la fonction surrénalienne et testiculaire. Des niveaux anormalement élevés d'androstanols peuvent indiquer une production excessive d'androgènes, ce qui peut être observé dans certaines conditions médicales telles que le syndrome des ovaires polykystiques et les tumeurs surrénaliennes.

La néostigmine est un médicament qui agit comme un inhibiteur de la cholinestérase, ce qui signifie qu'il ralentit la dégradation de l'acétylcholine, un neurotransmetteur important dans le fonctionnement du système nerveux parasympathique.

Ce médicament est souvent utilisé pour traiter les conditions associées à une faible activité muscarinique, telles que la myasthénie grave, où il aide à améliorer la force musculaire en potentialisant l'action de l'acétylcholine aux jonctions neuromusculaires.

La néostigmine peut également être utilisée pour inverser les effets des agents bloquant les récepteurs de l'acétylcholine, tels que les muscle relaxants non dépolarisants, après une intervention chirurgicale.

Les effets secondaires courants de la néostigmine comprennent des nausées, des vomissements, des sueurs, des douleurs abdominales, des diarrhées et une salivation accrue. Dans de rares cas, il peut provoquer des crampes musculaires, une vision floue ou une augmentation de la pression artérielle.

Edrophonium, également connu sous le nom de Tensilon, est un médicament à courte durée d'action utilisé en médecine comme un agent cholinergique. Il agit en inhibant la cholinestérase, l'enzyme qui dégrade l'acétylcholine, un neurotransmetteur important dans le fonctionnement du système nerveux parasympathique.

Edrophonium est souvent utilisé dans le diagnostic de certaines conditions neuromusculaires, telles que la myasthénie grave. Il est administré par voie intraveineuse et son effet peut être observé en quelques minutes. Une augmentation de la force musculaire après l'administration d'edrophonium suggère fortement un diagnostic de myasthénie grave. Cependant, il est important de noter que l'utilisation d'edrophonium dans le diagnostic doit être effectuée dans un contexte clinique approprié et sous la supervision étroite d'un professionnel de la santé formé à son utilisation.

Les effets secondaires courants d'edrophonium comprennent des sueurs, des nausées, des vomissements, une salivation accrue, une bradycardie et une bronchoconstriction. Dans de rares cas, il peut provoquer une crise cardiaque ou un arrêt respiratoire, en particulier chez les personnes atteintes de maladies cardiovasculaires sous-jacentes. Par conséquent, son utilisation doit être évitée chez ces patients, sauf si le bénéfice potentiel l'emporte sur les risques.

L'atracurium est un médicament relaxant musculaire non dépolarisant utilisé pendant les anesthésies générales pour faciliter l'intubation endotrachéale et la ventilation mécanique. Il agit en bloquant les récepteurs de l'acétylcholine au niveau de la jonction neuromusculaire, entraînant une relaxation des muscles squelettiques.

L'atracurium est un ester benzilique qui se dégrade spontanément dans les conditions physiologiques grâce à l'hydrolyse chimiosmotique, ce qui lui confère un profil d'effets secondaires différent de celui des autres relaxants musculaires. Il n'a pas besoin d'être métabolisé par les enzymes hépatiques ou rénales pour être éliminé, ce qui le rend utile chez les patients présentant une insuffisance hépatique ou rénale.

Cependant, l'atracurium peut entraîner une histamine libération, ce qui peut provoquer des réactions anaphylactiques et une hypotension. Il doit donc être utilisé avec prudence chez les patients présentant une allergie connue aux curares ou à d'autres médicaments.

En général, l'atracurium est administré par voie intraveineuse et son effet dure environ 20 à 40 minutes. Il est souvent utilisé en association avec d'autres médicaments anesthésiques pour assurer une anesthésie adéquate pendant les interventions chirurgicales.

La jonction neuromusculaire est la région où l'extrémité d'un neurone, appelée axone, rencontre et se connecte à une fibre musculaire pour assurer la transmission des impulsions nerveuses vers le muscle. Cette jonction est également connue sous le nom de plaque motrice.

Lorsque l'influx nerveux atteint la terminaison de l'axone, il déclenche la libération d'un neurotransmetteur, principalement de l'acétylcholine, dans la fente synaptique située entre l'axone et la fibre musculaire. Le neurotransmetteur se lie ensuite aux récepteurs spécifiques sur la membrane de la fibre musculaire, ce qui entraîne une dépolarisation de cette dernière et déclenche la contraction musculaire.

La jonction neuromusculaire est un site crucial pour le fonctionnement normal du système nerveux périphérique et des muscles squelettiques. Des anomalies au niveau de ces jonctions peuvent entraîner diverses affections, telles que la myasthénie grave, une maladie auto-immune caractérisée par une faiblesse musculaire due à une déficience dans la transmission neuromusculaire.

La tubocurarine est un alcaloïde présent dans certaines plantes du genre Chondrodendron, utilisé en médecine comme curare à des fins relaxantes musculaires. Elle agit comme un bloqueur compétitif des récepteurs neuromusculaires nicotiniques, empêchant l'acétylcholine de se lier aux récepteurs et provoquant ainsi une relaxation musculaire.

La tubocurarine est souvent utilisée en anesthésiologie pour faciliter l'intubation endotrachéale et comme agent adjuvant pendant les interventions chirurgicales pour assurer l'immobilité musculaire. Cependant, elle peut également entraîner une dépression respiratoire en raison de la paralysie des muscles respiratoires, ce qui nécessite une ventilation mécanique et une surveillance étroites pendant son utilisation.

La tubocurarine a été largement remplacée par d'autres agents relaxants musculaires plus récents et plus sûrs, tels que le vecuronium et le rocuronium, qui ont des durées d'action plus prévisibles et moins d'effets secondaires cardiovasculaires.

La succinylcholine est un médicament relaxant musculaire à courte durée d'action, utilisé en anesthésie pour faciliter l'intubation endotrachéale et la ventilation mécanique. Il agit comme un curare dépolarisant, provoquant une paralysie temporaire des muscles striés squelettiques en interférant avec la transmission neuromusculaire au niveau de la jonction neuromusculaire.

La succinylcholine se lie aux récepteurs nicotiniques d'acétylcholine, entraînant une dépolarisation initiale suivie d'une phase de blocage postsynaptique prolongé et réversible. Cela aboutit à une paralysie musculaire complète pendant environ 5 à 10 minutes, ce qui permet au médecin d'effectuer des procédures invasives telles que l'intubation ou la chirurgie abdominale majeure.

Cependant, il convient de noter que l'utilisation de succinylcholine n'entraîne pas une analgésie ni une sédation, c'est pourquoi elle doit être associée à un agent anesthésique approprié pour assurer le confort et la sécurité du patient pendant la procédure.

Les effets secondaires courants de la succinylcholine comprennent l'hypertension artérielle, la tachycardie, la bradycardie, les augmentations transitoires des enzymes hépatiques et musculaires, ainsi qu'une hyperkaliémie potentiellement dangereuse chez certains patients présentant des antécédents de traumatismes récents, de brûlures graves, de neuropathies ou de myopathies. Par conséquent, il est important de procéder à une évaluation approfondie du patient avant d'administrer ce médicament et de surveiller étroitement les fonctions vitales pendant et après l'utilisation de la succinylcholine.

Le nerf ulnaire, également connu sous le nom de nerf cubital, est un important nerf périphérique dans le membre supérieur humain. Il fournit des sensations et des mouvements à certaines parties de la main, y compris le petit doigt et l'annulaire, ainsi que la moitié de l'auriculaire.

Le nerf ulnaire commence dans le cou en tant que continuation du tronc médian du plexus brachial. Il descend ensuite dans le bras, où il passe derrière le muscle biceps et à travers la gouttière cubitale (canal de Guyon). Dans cette région, le nerf ulnaire se divise en deux branches terminales : la branche superficielle et la branche profonde.

La branche superficielle fournit des fibres motrices aux muscles interosseux dorsaux et palmaires, ainsi qu'à l'abducteur du petit doigt. Elle fournit également des fibres sensorielles au dos de l'auriculaire et à la moitié latérale de l'annulaire.

La branche profonde innerve les muscles lumbricaux III et IV, ainsi que les interosseux palmaires. Elle fournit également des fibres sensorielles aux paumes des deux doigts mentionnés précédemment (l'annulaire et le petit doigt).

Le nerf ulnaire est sujet à diverses compressions et lésions, telles que la neuropathie cubitale ou le syndrome du canal de Guyon, qui peuvent entraîner des symptômes tels que des engourdissements, des picotements, des douleurs et une faiblesse musculaire dans les zones innervées par ce nerf.

Le décaméthonium est un curare non dépolarisant utilisé en anesthésiologie pour provoquer une relaxation musculaire. Il s'agit d'un composé quaternaire d'ammonium qui agit comme un agoniste des récepteurs de la jonction neuromusculaire, entraînant une paralysie des muscles striés.

Le décaméthonium est dérivé du succinylcholine et est composé de deux molécules de d-tubocurarine liées par un pont méthyldiéthanolamine. Il a une durée d'action plus longue que la succinylcholine, ce qui le rend utile dans les situations où une relaxation musculaire prolongée est nécessaire.

Cependant, il est moins couramment utilisé en raison de son potentiel à provoquer des effets secondaires tels qu'une bradycardie et une hypotension, ainsi que d'un risque accru de réactions anaphylactiques par rapport à d'autres agents de relaxation musculaire. De plus, le décaméthonium doit être administré par voie intraveineuse et nécessite une surveillance étroite des fonctions vitales pendant son utilisation.

Le pipecuronium est un curare non dépolarisant, qui est un type de médicament bloquant la jonction neuromusculaire. Il est utilisé en anesthésiologie comme relaxant musculaire pendant les interventions chirurgicales pour faciliter l'intubation endotrachéale et la ventilation mécanique. Le pipecuronium agit en se liant aux récepteurs de l'acétylcholine à la jonction neuromusculaire, empêchant ainsi l'activation des muscles squelettiques.

Les effets du pipecuronium peuvent être inversés par l'administration d'agents cholinesterasiques tels que la néostigmine ou l'edrophonium, qui rétablissent la transmission neuromusculaire en augmentant les niveaux d'acétylcholine disponibles.

Les effets indésirables courants du pipecuronium comprennent une faiblesse musculaire prolongée, des modifications de la fréquence cardiaque et de la pression artérielle, ainsi que des réactions allergiques. Comme avec tout médicament, le pipecuronium doit être utilisé avec prudence et sous surveillance médicale étroite pour minimiser les risques potentiels pour le patient.

La période de réveil de l'anesthésie, également connue sous le nom de récupération post-anesthesia, est la phase qui suit directement une anesthésie générale ou régionale et pendant laquelle le patient émerge graduellement de l'état d'inconscience et de relaxation musculaire induits par l'anesthésiant.

Cette période peut être divisée en trois stades :

1. Le stade I, également appelé le stade emergence, est caractérisé par une augmentation progressive de la conscience et de la réactivité verbale du patient. Cependant, les réflexes persistants et la respiration peuvent encore être altérés.
2. Le stade II, ou le stade d'excitation, est marqué par une augmentation de l'agitation et de l'anxiété, ainsi que des mouvements involontaires et des réponses cardiovasculaires instables. Ce stade peut être particulièrement dangereux en raison du risque accru de complications respiratoires et cardiovasculaires.
3. Le stade III, ou le stade de la récupération complète, est atteint lorsque le patient retrouve une conscience claire, des réflexes normaux et une stabilité cardiovasculaire et respiratoire.

La durée de la période de réveil de l'anesthésie peut varier considérablement en fonction de divers facteurs tels que l'âge du patient, la dose et le type d'anesthésiant utilisé, ainsi que les comorbidités préexistantes. Il est important de surveiller attentivement les patients pendant cette période pour détecter et traiter rapidement toute complication éventuelle.

Le protoxyde d'azote, également connu sous le nom de N2O, est un gaz inorganique composé d'une molécule d'azote et d'une molécule d'oxygène. Dans un contexte médical, il est souvent utilisé comme un analgésique et anesthésique doux, car il peut produire une analgésie rapide et réversible lorsqu'il est inhalé à des concentrations appropriées.

Le protoxyde d'azote agit en modifiant la transmission des impulsions nerveuses dans le cerveau, ce qui entraîne une diminution de la sensibilité à la douleur et un sentiment d'euphorie. Il est souvent utilisé en combinaison avec d'autres anesthésiques pour améliorer l'anesthésie et réduire les effets secondaires associés aux anesthésiques volatils ou intraveineux.

Bien que le protoxyde d'azote soit considéré comme sûr lorsqu'il est utilisé correctement, il peut entraîner des effets indésirables tels que des nausées, des vomissements, des étourdissements et une désaturation en oxygène si le patient ne reçoit pas suffisamment d'oxygène pendant l'administration. Par conséquent, il est important que le protoxyde d'azote soit administré par des professionnels de la santé formés et expérimentés dans son utilisation.

Le «retardé émergence d'anesthésie» est un terme médical qui décrit une situation où un patient prend plus de temps que prévu pour sortir de l'état d'inconscience et de non-réactivité après avoir subi une anesthésie générale. Normalement, les patients commencent à se réveiller et à retrouver une conscience claire dans les 10 à 15 minutes suivant la fin de l'intervention chirurgicale. Cependant, dans le cas d'une émergence retardée, ce processus peut prendre beaucoup plus de temps, allant de plusieurs heures à un jour entier.

Cette condition peut être causée par une variété de facteurs, notamment des complications liées à l'anesthésie elle-même, telles qu'une dose insuffisante ou excessive de médicaments anesthésiques, une mauvaise administration de ces médicaments, une interaction médicamenteuse indésirable, ou des facteurs liés au patient, tels que des problèmes de santé sous-jacents, des troubles métaboliques ou une faible réserve en oxygène.

Les symptômes du retardé émergence d'anesthésie peuvent inclure une respiration superficielle ou irrégulière, une pression artérielle basse, une température corporelle faible, une faible saturation en oxygène dans le sang et une conscience confuse ou altérée. Les professionnels de la santé doivent surveiller attentivement les patients qui présentent des signes d'émergence retardée et prendre des mesures pour traiter rapidement toute complication sous-jacente, assurer une ventilation adéquate et maintenir la stabilité hémodynamique.

Il est important de noter que le retardé émergence d'anesthésie peut être un événement grave qui nécessite des soins médicaux urgents. Les professionnels de la santé doivent donc prendre des précautions pour minimiser les risques de ce type d'événement et assurer une surveillance étroite des patients pendant et après l'anesthésie.

Les curarisants dépolarisants sont un type de médicaments neuromusculaires utilisés en anesthésiologie pour provoquer une paralysie temporaire et faciliter l'intubation endotrachéale et la ventilation mécanique pendant les procédures chirurgicales. Ils agissent en se liant à des récepteurs d'acétylcholine au niveau de la jonction neuromusculaire, entraînant une dépolarisation prolongée de la membrane musculaire et empêchant ainsi la transmission nerveuse normale.

Contrairement aux curarisants non dépolarisants, qui se lient à des récepteurs d'acétylcholine sans provoquer de dépolarisation, les curarisants dépolarisants induisent une contraction initiale suivie d'une paralysie flasque. Les exemples couramment utilisés de curarisants dépolarisants comprennent la succinylcholine et la décaméthonium.

Bien que les curarisants dépolarisants soient très efficaces pour provoquer une paralysie rapide et profonde, ils présentent également des risques potentiels, tels qu'une augmentation de la libération d'enzymes musculaires, une hyperkaliémie et une fibrillation ventriculaire chez certains patients. Par conséquent, leur utilisation doit être soigneusement surveillée et limitée aux indications appropriées.

Le curare est un terme général qui se réfère à différents extraits toxiques provenant de certaines plantes grimpantes sud-américaines, principalement des genres Strychnos et Chondrodendron. Traditionnellement, ces extraits ont été utilisés par les tribus indigènes d'Amazonie comme poison pour chasser en enduisant les pointes de leurs flèches.

Dans un contexte médical, le curare est souvent mentionné en référence à la tubocurarine et à d'autres alcaloïdes similaires qui ont été isolés à partir de ces extraits de plantes. Ces composés sont des relaxants musculaires non dépolarisants, ce qui signifie qu'ils agissent en bloquant la liaison de l'acétylcholine aux récepteurs nicotiniques des plaques motrices des jonctions neuromusculaires. Cela entraîne une relaxation musculaire et peut être utilisé dans certains contextes médicaux, comme lors d'interventions chirurgicales pour faciliter l'intubation endotrachéale et la ventilation mécanique.

Cependant, il est important de noter que le curare ne doit pas être confondu avec les paralysies succinylcholine ou descurarine, qui sont également des relaxants musculaires utilisés en anesthésie, mais qui ont des mécanismes d'action différents.

La paralysie est un terme médical qui décrit la perte complète ou partielle de la fonction musculaire dans une partie ou plusieurs parties du corps. Cela se produit généralement à la suite d'une lésion nerveuse, d'une maladie ou d'un trouble qui affecte le fonctionnement des nerfs responsables du contrôle des mouvements musculaires volontaires.

La paralysie peut affecter n'importe quelle partie du corps, y compris les membres supérieurs (bras, mains), les membres inférieurs (jambes, pieds), le visage, la gorge ou d'autres parties du corps. Elle peut être localisée, ne touchant qu'un seul muscle ou groupe de muscles, ou généralisée, affectant l'ensemble du corps.

Les causes les plus courantes de paralysie comprennent les accidents vasculaires cérébraux, les traumatismes de la moelle épinière, les maladies neurodégénératives telles que la sclérose en plaques et la maladie de Charcot, ainsi que certaines infections ou intoxications.

Le traitement de la paralysie dépend de sa cause sous-jacente. Dans certains cas, des thérapies physiques et occupationales peuvent aider à améliorer la fonction musculaire et à réduire les symptômes associés à la paralysie. Dans d'autres cas, des médicaments ou des interventions chirurgicales peuvent être nécessaires pour traiter la cause sous-jacente de la paralysie.

L'anesthesie par inhalation est une forme d'anesthésie générale où les agents anesthésiques sont administrés par des gaz ou des vapeurs, inhalés par le patient via un masque ou un tube endotrachéal. Les médicaments utilisés pour l'anesthesie par inhalation agissent en réduisant la sensibilité du cerveau et de la moelle épinière, ce qui entraîne une perte de conscience et une insensibilité à la douleur.

Les agents d'anesthésie volatils les plus couramment utilisés comprennent le sévoflurane, le désfluorane et l'isoflurane. Ces médicaments ont des propriétés pharmacocinétiques différentes qui influencent leur utilisation clinique. Par exemple, le sévoflurane a une faible solubilité dans le sang, ce qui permet un réveil plus rapide après l'arrêt de son administration.

L'anesthesie par inhalation est souvent utilisée en combinaison avec d'autres médicaments, tels que des analgésiques et des relaxants musculaires, pour assurer une anesthésie adéquate pendant les procédures chirurgicales. Les avantages de l'anesthésie par inhalation comprennent un réveil rapide, une titration facile de la profondeur d'anesthésie et une faible incidence d'effets secondaires respiratoires.

Cependant, il existe également des risques associés à l'anesthésie par inhalation, tels que des réactions allergiques aux agents anesthésiques, une irritation des voies respiratoires et une diminution de la pression artérielle. Les anesthésistes doivent donc être formés pour surveiller et gérer ces risques potentiels pendant l'anesthésie.

L'anesthesie est un processus médical qui consiste à induire une perte de sensation temporaire dans une partie ou dans tout le corps d'un patient, généralement pour des procédures médicales ou chirurgicales. Il existe plusieurs types d'anesthesies, y compris l'anesthésie générale (qui endort le patient), l'anesthésie régionale (qui engourdit une partie spécifique du corps) et l'analgésie procédurale (qui réduit la douleur pendant une procédure spécifique).

L'anesthésie est généralement administrée par un anesthésiste, qui est un médecin spécialement formé pour administrer et gérer l'anesthésie. Avant de recevoir l'anesthésie, le patient sera généralement évalué pour déterminer les risques potentiels associés à la procédure et pour déterminer le type d'anesthésie le plus approprié.

Pendant l'anesthésie, le patient est surveillé de près pour assurer sa sécurité et son confort. Les effets secondaires courants de l'anesthésie comprennent la nausée, les vomissements, la confusion et la douleur après la procédure. Dans de rares cas, des complications plus graves peuvent survenir, telles que des réactions allergiques à l'anesthésique ou des problèmes respiratoires.

Dans l'ensemble, l'anesthésie est un outil important et essentiel dans la médecine moderne qui permet aux patients de subir des procédures médicales et chirurgicales douloureuses ou invasives avec un minimum de douleur et de détresse.

Dans un contexte médical, un pouce est une unité de mesure informelle et obsolète qui était autrefois utilisée, en particulier dans les domaines de la chirurgie et de l'orthopédie, pour évaluer la taille ou la distance entre certaines structures anatomiques. Un pouce équivaut généralement à environ 2,54 centimètres ou 1 pouce anglais.

Cependant, il est important de noter que dans certains contextes médicaux, le terme "pouce" peut également faire référence au doigt le plus large de la main humaine, qui partage le même nom. Par exemple, une entorse au pouce fait référence à une blessure ou une ecchymose des tissus mous et des ligaments autour du pouce.

La myographie est une technique d'imagerie médicale qui mesure et enregistre l'activité électrique des muscles au repos et pendant le mouvement. Elle est souvent utilisée dans la recherche pour étudier la fonction musculaire et les troubles neuromusculaires. La myographie peut être réalisée à l'aide de différentes méthodes, telles que l'électromyographie (EMG) de surface ou invasive, qui enregistre l'activité électrique des muscles à l'aide d'électrodes posées sur la peau ou insérées directement dans le muscle. Les données obtenues peuvent aider les médecins et les chercheurs à diagnostiquer et à comprendre les troubles musculaires et neuromusculaires, ainsi qu'à évaluer l'efficacité des traitements.

L'anesthesie générale est un type d'anesthésie qui entraîne une perte totale de conscience et de sensibilité pendant une procédure médicale. Elle est généralement administrée par inhalation ou injection d'un mélange de médicaments anesthésiques, qui agissent sur le système nerveux central pour induire et maintenir l'état d'inconscience.

L'anesthésie générale est souvent utilisée pendant les chirurgies majeures, car elle permet de bloquer la douleur et de provoquer une amnésie, ce qui signifie que le patient ne se souviendra pas de l'intervention. Elle peut également être utilisée pour des procédures diagnostiques ou thérapeutiques qui nécessitent une immobilité complète du patient, telles que les examens d'imagerie par résonance magnétique (IRM) ou les traitements de radiothérapie.

L'anesthésie générale comporte certains risques, tels que des réactions allergiques aux médicaments anesthésiques, des problèmes respiratoires ou cardiovasculaires, et des nausées ou vomissements après l'intervention. Cependant, ces complications sont rares et les anesthésistes prennent généralement des précautions pour minimiser les risques en évaluant soigneusement l'état de santé du patient avant la procédure et en surveillant étroitement ses signes vitaux pendant et après l'anesthésie.

L'enflurane est un agent anesthésique volatil utilisé en médecine pour induire et maintenir l'anesthésie générale. Il s'agit d'un liquide incolore avec une odeur caractéristique, qui se vaporise à température ambiante. L'enflurane est généralement administré par inhalation, et il agit en diminuant la sensibilité du cerveau aux stimulations nerveuses, ce qui entraîne une perte de conscience et un soulagement de la douleur.

L'enflurane a été largement utilisé dans les années 1970 et 1980, mais il est moins couramment utilisé aujourd'hui en raison de la disponibilité d'agents anesthésiques plus récents et considérés comme plus sûrs. Cependant, il peut encore être utilisé dans certaines situations où d'autres agents ne sont pas appropriés.

Les effets secondaires courants de l'enflurane comprennent des nausées, des vomissements, une augmentation de la salivation et une respiration superficielle. Dans de rares cas, il peut provoquer des réactions allergiques ou des convulsions. L'utilisation de l'enflurane doit être évitée chez les patients atteints de certaines maladies cardiaques ou pulmonaires, car il peut affecter la fonction cardiovasculaire et respiratoire.

Les muscles du larynx, également connus sous le nom de muscles intrinsèques du larynx, sont un groupe de petits muscles qui se trouvent dans la région supérieure du tractus respiratoire et jouent un rôle crucial dans la protection des voies respiratoires, la phonation (production de sons) et la déglutition (swallowing).

Il existe six paires de muscles du larynx :

1. Musculi cricoarytenoidei laterales (muscles cricoaryténoïdiens latéraux) : ils sont responsables de l'abduction et de l'adduction des cordes vocales, ce qui permet d'ouvrir ou de fermer les plis vocaux.
2. Musculi cricoarytenoidei posteriores (muscles cricoaryténoïdiens postérieurs) : ils sont responsables de la rotation et du basculement des cartilages aryténoïdes, ce qui permet d'ajuster la tension des cordes vocales.
3. Musculus thyroarytenoideus (muscle thyro-aryténoïde) : il est composé de deux parties, le muscle vocal et le muscle ventriculaire. Le muscle vocal est responsable de la vibration des cordes vocales pendant la phonation, tandis que le muscle ventriculaire aide à ajuster la tension des cordes vocales.
4. Musculus vocalis (muscle vocal) : c'est une partie du muscle thyro-aryténoïde qui est responsable de la fine régulation de la tension des cordes vocales pendant la phonation.
5. Musculi arytenoidei (muscles aryténoïdes) : ils sont situés dans le haut du larynx et sont responsables de la mobilité des cartilages aryténoïdes, ce qui permet d'ajuster la position et la tension des cordes vocales.
6. Musculus cricothyroideus (muscle crico-thyroïde) : il est responsable de la tension et de l'étirement des cordes vocales pendant la phonation, ainsi que de la modification de leur longueur et de leur largeur.

Le monitorage péropératoire fait référence à la surveillance continue et étroite des signes vitaux et de la fonction physiologique d'un patient pendant une intervention chirurgicale, depuis l'induction de l'anesthésie jusqu'à la récupération complète du patient après l'intervention. Cette surveillance permet de détecter rapidement toute complication ou tout changement dans l'état du patient et d'y répondre de manière appropriée pour assurer sa sécurité et son confort pendant et après l'opération.

Les paramètres couramment surveillés pendant le monitorage péropératoire comprennent la fréquence cardiaque, la pression artérielle, la saturation en oxygène, la respiration, la température corporelle et le niveau de conscience. Selon la nature de l'intervention chirurgicale et l'état du patient, d'autres paramètres peuvent également être surveillés, tels que la glycémie, le débit urinaire, les niveaux d'oxygène dans le sang artériel et la fonction cardiaque.

Le monitorage péropératoire est généralement assuré par une équipe de professionnels de santé qualifiés, comprenant un anesthésiste, des infirmiers(ères) spécialisés en anesthésie et d'autres membres de l'équipe médicale selon les besoins. Les technologies modernes de surveillance permettent une détection précoce et une évaluation précise des changements dans l'état du patient, ce qui contribue à améliorer la sécurité et la qualité des soins péropératoires.

Les isoquinoléines sont un type de composé organique hétérocyclique qui se compose d'un noyau benzène fusionné avec un pyridine. Ce groupe de composés est largement étudié en chimie médicinale et pharmacologique en raison de leurs propriétés biologiques intéressantes, y compris leur activité en tant qu'inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO), des inhibiteurs de la cholinestérase (IChE) et des agents antitumoraux. Certaines isoquinoléines naturelles ont également démontré une activité antimicrobienne, antivirale et anti-inflammatoire. Cependant, certaines isoquinoléines peuvent également avoir des propriétés toxiques et cancérigènes, il est donc important de les étudier soigneusement avant de les utiliser à des fins thérapeutiques.

Le système nerveux est un réseau complexe d' structures spécialisées qui coordonnent et contrôlent les activités vitales du corps, y compris la perception sensorielle, la pensée, l'émotion, le mouvement et la régulation des organes internes. Les processus physiologiques du système nerveux impliquent un ensemble de fonctions et de mécanismes qui travaillent en harmonie pour maintenir l'homéostasie et assurer la survie de l'organisme.

Voici quelques-uns des principaux processus physiologiques du système nerveux :

1. Transmission des signaux : Les neurones, qui sont les unités fonctionnelles du système nerveux, communiquent entre eux en transmettant des impulsions électriques appelées potentiels d'action. Ces signaux sont transmis via des synapses, où les neurotransmetteurs sont libérés et se lient à des récepteurs spécifiques sur la membrane postsynaptique du neurone suivant.

2. Intégration sensorielle : Le système nerveux reçoit, traite et intègre les informations sensorielles provenant de l'environnement externe et interne. Les neurones récepteurs détectent les stimuli physiques, chimiques ou mécaniques et les convertissent en signaux électriques qui sont transmis au cerveau pour être traités et interprétés.

3. Contrôle moteur : Le système nerveux est responsable du contrôle des mouvements musculaires volontaires et involontaires. Les neurones moteurs transmettent les signaux aux muscles squelettiques pour initier et coordonner les mouvements, tandis que les neurones autonomes régulent les fonctions automatiques telles que la fréquence cardiaque, la respiration et la digestion.

4. Modulation de l'humeur et du comportement : Le système nerveux est étroitement lié aux émotions, au comportement et à la cognition. Les neurotransmetteurs tels que la dopamine, la sérotonine et la noradrénaline jouent un rôle crucial dans la régulation de l'humeur, du sommeil, de l'appétit et de la motivation.

5. Apprentissage et mémoire : Le système nerveux est capable d'adapter et de modifier ses réponses en fonction des expériences passées grâce à des processus tels que la plasticité synaptique et l'apprentissage associatif. Ces mécanismes permettent au cerveau de stocker et de récupérer les informations sous forme de souvenirs à long terme.

En résumé, le système nerveux est un réseau complexe de cellules spécialisées qui travaillent ensemble pour détecter, intégrer, traiter et répondre aux stimuli internes et externes. Ses fonctions comprennent la perception sensorielle, le contrôle moteur, l'intégration des informations, l'apprentissage, la mémoire et la régulation de l'humeur et du comportement.

Les sesquiterpènes de type eudesmane sont une sous-classe de composés organiques naturels appartenant au groupe plus large des terpénoïdes. Les terpénoïdes sont dérivés de cinq unités de base isoprène, et les sesquiterpènes sont formés à partir de trois unités isoprène.

Les sesquiterpènes eudesmane sont caractérisés par leur squelette carboné particulier, qui est composé d'un cycle cyclohexane fusionné avec un cycle cyclopentane. Ce squelette ressemble à la forme d'une chaise et est souvent représenté comme une structure de base pour cette classe de composés.

Les sesquiterpènes eudesmane sont souvent trouvés dans les huiles essentielles de plantes et ont été étudiés pour leurs propriétés pharmacologiques potentielles, y compris leur activité anti-inflammatoire, antimicrobienne et cytotoxique. Certaines molécules de cette classe ont également montré une activité prometteuse contre le cancer en laboratoire.

Cependant, il est important de noter que la recherche sur les sesquiterpènes eudesmane est encore en cours, et davantage d'études sont nécessaires pour comprendre pleinement leurs propriétés pharmacologiques et leur potentiel thérapeutique.

Les anticholinestérasiques sont une classe de médicaments qui inhibent l'action de l'enzyme cholinestérase. Cette enzyme est responsable de la dégradation de l'acétylcholine, un neurotransmetteur important dans le cerveau et le système nerveux périphérique. En inhibant l'action de la cholinestérase, les anticholinestérasiques augmentent les niveaux d'acétylcholine dans le cerveau et le système nerveux, ce qui peut être bénéfique pour certaines conditions médicales.

Les anticholinestérasiques sont souvent utilisés pour traiter des conditions telles que la maladie d'Alzheimer, la démence, la myasthénie grave et la maladie de Parkinson. Ils peuvent également être utilisés pour traiter les troubles de la mémoire et de la pensée associés à la toxicomanie à la drogue K.

Cependant, l'utilisation d'anticholinestérasiques peut entraîner des effets secondaires tels que des nausées, des vomissements, des diarrhées, des crampes musculaires, une salivation excessive, des sueurs et des problèmes de vision. Dans certains cas, les anticholinestérasiques peuvent également interagir avec d'autres médicaments et entraîner des effets secondaires graves. Par conséquent, il est important que les patients informent leur médecin de tous les médicaments qu'ils prennent avant de commencer à prendre des anticholinestérasiques.

Le diaphragme est un muscle squelettique en forme de dôme qui sépare la cavité thoracique de la cavité abdominale. Il joue un rôle crucial dans la respiration, car il se contracte et s'allonge pour modifier le volume de la cavité thoracique et thus faciliter l'inhalation et l'expiration.

Au cours d'une inspiration normale, lorsque le diaphragme se contracte, il s'aplatit et descend, augmentant ainsi le volume de la cavité thoracique. Cela entraîne une diminution de la pression dans la cavité thoracique, ce qui permet à l'air de pénétrer dans les poumons. Pendant l'expiration au repos, le diaphragme se relâche et revient à sa forme dômée, réduisant ainsi le volume de la cavité thoracique et augmentant la pression, ce qui entraîne l'expulsion de l'air des poumons.

Le diaphragme est innervé par le nerf phrénique, dont les racines motrices proviennent des segments cervicaux C3-C5 de la moelle épinière. Des problèmes avec le diaphragme ou l'innervation du diaphragme peuvent entraîner une variété de problèmes respiratoires, tels que la dyspnée (essoufflement) et la douleur thoracique.

Le nerf phrénique est un nerf crânien (le 4ème paire) qui émerge directement du bulbe rachidien dans le tronc cérébral. Il innerve principalement le muscle diaphragme, qui sépare la cavité thoracique de l'abdomen et joue un rôle crucial dans la respiration.

Le nerf phrénique a deux racines : une racine crânienne et une racine cervicale (C3-C5). La majorité des fibres proviennent de la racine cervicale. Après avoir émergé du bulbe rachidien, le nerf phrénique traverse le cou, passant entre les scalènes antérieur et moyen, avant de descendre dans la cavité thoracique via l'ouverture supérieure du thorax (ouverture prétrachéale).

Dans la cavité thoracique, il se divise en deux branches : la branche phrénique droite et la branche phrénique gauche. Chaque branche innerve un hémisphère du diaphragme correspondant. Le nerf phrénique est responsable de l'innervation motrice du diaphragme, ce qui signifie qu'il permet au muscle de se contracter et de se relâcher pour assurer la respiration. Il transmet également des informations sensorielles provenant du diaphragme vers le cerveau.

Le bromure de pyridostigmine est un médicament cholinergique qui agit en inhibant la dégradation de l'acétylcholine, un neurotransmetteur important dans le système nerveux parasympathique. Il est utilisé pour traiter la myasthénie grave, une maladie neuromusculaire caractérisée par une faiblesse musculaire et une fatigue excessive.

Le bromure de pyridostigmine fonctionne en augmentant les niveaux d'acétylcholine dans la synapse neuro-musculaire, ce qui permet de renforcer la transmission du signal nerveux aux muscles et d'améliorer leur force et leur endurance.

Les effets secondaires courants du bromure de pyridostigmine comprennent des nausées, des vomissements, des diarrhées, des crampes abdominales, des sueurs, une salivation accrue, des larmoiements et une augmentation de la fréquence urinaire. Dans de rares cas, il peut provoquer des réactions allergiques graves telles que des éruptions cutanées, des démangeaisons, des gonflements du visage, de la langue ou de la gorge, et des difficultés respiratoires.

Il est important de suivre les instructions posologiques de votre médecin lorsque vous prenez du bromure de pyridostigmine, car une dose trop élevée peut entraîner des effets secondaires graves tels que des convulsions, une perte de conscience ou une insuffisance respiratoire.

La prémédication anesthésique est un terme médical qui se réfère à l'administration anticipée de médicaments avant une procédure ou une intervention chirurgicale pour aider à préparer le patient à l'anesthésie et à la chirurgie. Les médicaments utilisés peuvent inclure des analgésiques, des sédatifs, des anticholinergiques et des antiémétiques.

L'objectif principal de la prémédication anesthésique est de minimiser l'anxiété et le stress préopératoires, de sécher les sécrétions bronchiques pour réduire le risque de régurgitation et d'inhalation de liquides gastriques pendant l'intubation, et de réduire la salivation pour améliorer les conditions de travail du chirurgien.

La prémédication anesthésique peut également aider à atténuer la douleur postopératoire en fournissant une analgésie préventive, ce qui peut entraîner une réduction de la dose d'anesthésiques généraux nécessaires pendant la chirurgie.

Les médicaments utilisés pour la prémédication anesthésique sont sélectionnés en fonction de l'âge, du poids, de l'état de santé général et des antécédents médicaux du patient. Les effets secondaires possibles de ces médicaments doivent être pris en compte et discutés avec le patient avant la procédure.

L'intubation trachéale est un processus médical dans lequel un tube endotrachéal est inséré dans la trachée d'un patient pour établir et maintenir une voie respiratoire artificielle. Ce tube, généralement en plastique flexible, permet au médecin de fournir du dioxygène et d'évacuer le dioxyde de carbone pendant et après une intervention chirurgicale, une anesthésie générale, une urgence respiratoire ou d'autres situations critiques où le patient ne peut maintenir seul une respiration adéquate.

L'intubation trachéale est effectuée sous anesthésie locale ou générale et nécessite des compétences et des connaissances spécialisées pour assurer la sécurité et le confort du patient. Le médecin insère délicatement le tube dans la bouche ou le nez du patient, le faisant glisser dans la trachée en évitant les structures voisines telles que les cordes vocales. Une fois le tube correctement positionné, il est fixé en place pour prévenir tout mouvement indésirable.

Les complications potentielles de l'intubation trachéale comprennent des dommages aux dents, à la muqueuse buccale, aux cordes vocales et aux structures voisines, ainsi que des infections, une hypoxie et une hypertension pulmonaire. Cependant, lorsqu'elle est effectuée correctement par un professionnel qualifié, l'intubation trachéale est considérée comme une procédure sûre et essentielle dans de nombreux contextes médicaux et chirurgicaux.

La surveillance neuro-musculaire est une méthode d'évaluation de l'activité musculaire et de la réponse nerveuse pendant les procédures anesthésiques ou les soins intensifs. Elle implique généralement l'utilisation d'un stimulateur nerveux pour envoyer des impulsions électriques aux nerfs périphériques, ce qui provoque une contraction musculaire. Les capteurs sont ensuite utilisés pour détecter et mesurer les réponses musculaires.

Ce type de surveillance est couramment utilisé pendant les interventions chirurgicales où des agents paralysants sont administrés, car il permet au médecin d'évaluer l'efficacité du médicament et de prévenir une potentielle paralysie résiduelle. Il est également utilisé dans le suivi de certaines maladies neuromusculaires et dans l'ajustement des réglages de ventilation mécanique chez les patients en soins intensifs.

La surveillance neuro-musculaire fournit des informations importantes sur l'état fonctionnel du système nerveux périphérique et peut aider à améliorer la sécurité et l'efficacité des soins médicaux.

Le halothane est un agent anesthésique général volatil utilisé en médecine pour induire et maintenir l'anesthésie générale. Il s'agit d'un liquide incolore avec un délicat arôme de fruits qui se vaporise facilement à des températures normales. Le halothane est généralement administré par inhalation via un appareil d'anesthésie pour provoquer une perte de conscience et un soulagement de la douleur pendant les interventions chirurgicales.

Cet anesthésique est considéré comme sûr et efficace, bien qu'il ait été associé à un risque accru de certaines complications, telles que des réactions d'hypersensibilité et une augmentation du risque de troubles hépatiques rares mais graves. En raison de ces préoccupations, le halothane est moins souvent utilisé aujourd'hui qu'il ne l'était dans le passé, les anesthésiques plus récents ayant été développés pour offrir des profils d'innocuité améliorés.

Il convient de noter que l'utilisation du halothane et d'autres anesthésiques généraux doit être strictement supervisée par un professionnel de la santé formé et expérimenté, tel qu'un anesthésiste, pour minimiser les risques associés à leur utilisation.

Les cholinestérases sont des enzymes qui catalysent la dégradation de l'acétylcholine, un neurotransmetteur important dans le système nerveux central et périphérique. Il existe deux types principaux de cholinestérases : l'acétylcholinestérase (AChE) et la butyrylcholinestérase (BChE).

L'acétylcholinestérase est largement distribuée dans le cerveau, les muscles squelettiques, les glandes et les membranes des neurones. Elle joue un rôle crucial dans la transmission neuromusculaire en régulant la concentration d'acétylcholine dans la fente synaptique entre les neurones présynaptiques et postsynaptiques.

La butyrylcholinestérase est principalement trouvée dans le foie, le plasma sanguin et d'autres tissus extra-neuronaux. Bien qu'elle ait une affinité plus faible pour l'acétylcholine que l'AChE, elle peut également dégrader ce neurotransmetteur en cas de besoin.

Les inhibiteurs des cholinestérases sont souvent utilisés dans le traitement des maladies neurologiques telles que la maladie d'Alzheimer et la myasthénie grave, car ils augmentent les niveaux d'acétylcholine disponibles pour la transmission synaptique. Cependant, un excès d'inhibition de ces enzymes peut entraîner une surstimulation cholinergique et des effets indésirables tels que des nausées, des vomissements, des diarrhées, une bradycardie et des convulsions.

Le fentanyl est un analgésique opioïde synthétique puissant, environ 50 à 100 fois plus fort que la morphine. Il est couramment utilisé pour traiter les douleurs intenses et aiguës, telles que celles associées au cancer avancé ou aux interventions chirurgicales. Le fentanyl agit en se liant aux récepteurs opioïdes dans le cerveau, modifiant la perception de la douleur et les réponses émotionnelles à celle-ci. Il peut être administré par voie intraveineuse, transdermique (par patch cutané), sous forme de comprimés sublinguaux ou de spray nasal. L'utilisation non médicale et la mauvaise utilisation du fentanyl peuvent entraîner une dépression respiratoire sévère, voire mortelle, ainsi que d'autres effets indésirables graves, tels qu'une somnolence extrême, des nausées, des vomissements, des étourdissements, de la confusion et une faiblesse musculaire.

La contraction musculaire est un processus physiologique où les fibres musculaires raccourcissent, s'épaississent et génèrent de la force. Cela se produit lorsque l'activité électrique stimule le muscle pour contracter, ce qui entraîne le mouvement des os ou d'autres structures corporelles. Les contractions musculaires peuvent être volontaires, comme soulever un objet, ou involontaires, comme le battement de cœur. Elles sont essentielles au fonctionnement normal du corps humain, permettant la mobilité, la circulation sanguine, la respiration et d'autres fonctions vitales.

La relation dose-effet des médicaments est un principe fondamental en pharmacologie qui décrit la corrélation entre la dose d'un médicament donnée et l'intensité de sa réponse biologique ou clinique. Cette relation peut être monotone, croissante ou décroissante, selon que l'effet du médicament s'accroît, se maintient ou diminue avec l'augmentation de la dose.

Dans une relation dose-effet typique, l'ampleur de l'effet du médicament s'accroît à mesure que la dose administrée s'élève, jusqu'à atteindre un plateau où des augmentations supplémentaires de la dose ne produisent plus d'augmentation de l'effet. Cependant, dans certains cas, une augmentation de la dose peut entraîner une diminution de l'efficacité du médicament, ce qui est connu sous le nom d'effet de biphasique ou en forme de U inversé.

La relation dose-effet est un concept crucial pour déterminer la posologie optimale des médicaments, c'est-à-dire la dose minimale efficace qui produit l'effet thérapeutique souhaité avec un risque d'effets indésirables minimal. Une compréhension approfondie de cette relation permet aux professionnels de la santé de personnaliser les traitements médicamenteux en fonction des caractéristiques individuelles des patients, telles que leur poids corporel, leur âge, leurs comorbidités et leur fonction hépatique ou rénale.

Il est important de noter que la relation dose-effet peut varier considérablement d'un médicament à l'autre et même entre les individus pour un même médicament. Par conséquent, il est essentiel de tenir compte des facteurs susceptibles d'influencer cette relation lors de la prescription et de l'administration des médicaments.

La triéthiodure gallamine est un médicament relaxant musculaire non dépolarisant, qui est souvent utilisé pendant les anesthésies générales pour faciliter l'intubation endotrachéale et la chirurgie. Il agit en bloquant la transmission neuromusculaire au niveau de la jonction neuro-musculaire, ce qui entraîne une relaxation des muscles squelettiques.

La triéthiodure gallamine est dérivée de la gallamine et contient trois atomes d'iode (triéthiodure) dans sa structure chimique. L'iode confère à la molécule une plus grande solubilité dans l'eau, ce qui permet une administration intraveineuse plus facile et une durée d'action plus courte que la gallamine.

Ce médicament est généralement administré par voie intraveineuse et sa durée d'action est d'environ 7 à 10 minutes. Il est métabolisé dans le foie et excrété dans les urines. Les effets secondaires courants de la triéthiodure gallamine comprennent une bradycardie, une hypotension et des réactions histaminiques telles que des rougeurs, des démangeaisons et des éruptions cutanées. En raison de ses effets sur le système nerveux autonome, la triéthiodure gallamine doit être utilisée avec prudence chez les patients présentant une maladie cardiovasculaire préexistante ou une maladie pulmonaire obstructive chronique.

Le nerf facial, officiellement connu sous le nom de nerf crânien VII, est un nerf mixte dans le système nerveux périphérique humain. Il a deux parties principales : une partie motrice qui contrôle les muscles du visage, y compris ceux impliqués dans la mastication, la mimique faciale et la fermeture des paupières ; et une partie sensitive qui fournit la sensibilité au goût pour la partie antérieure de la langue. Le nerf facial émerge du tronc cérébral et passe à travers le crâne via le foramen stylomastoïde, avant de se diviser en plusieurs branches pour innerver différentes structures du visage et de la tête. Des problèmes avec ce nerf peuvent entraîner une paralysie faciale, une perte de goût ou d'autres symptômes neurologiques.

L'anesthésie par voie intraveineuse (VI) est une forme d'anesthésie générale dans laquelle des médicaments anesthésiques sont administrés directement dans la veine d'un patient. Ce type d'anesthésie est souvent utilisé pour les procédures chirurgicales mineures et les interventions diagnostiques, telles que les endoscopies et les colonoscopies.

Le processus implique généralement l'insertion d'une aiguille fine dans une veine, souvent au niveau du pli du coude ou de la main. Un cathéter est ensuite inséré à travers l'aiguille pour permettre l'administration continue de médicaments anesthésiques.

Les avantages de cette méthode d'anesthésie comprennent un début d'action rapide, un contrôle précis de la profondeur de l'anesthésie et une récupération plus rapide par rapport à certaines autres formes d'anesthésie générale. Cependant, il existe également des risques associés à cette procédure, tels que des réactions allergiques aux médicaments anesthésiques, des lésions nerveuses et des infections au site d'insertion du cathéter.

Il est important que les patients discutent de tous les risques et avantages potentiels avec leur médecin avant de subir une anesthésie par voie intraveineuse.

L'alcalose respiratoire est un déséquilibre électrolytique dans le corps qui entraîne une augmentation du pH sanguin due à une hyperventilation excessive et prolongée. Cela se produit lorsque les poumons expirent trop de dioxyde de carbone (CO2), ce qui entraîne une diminution des niveaux de acide carbonique dans le sang, conduisant finalement à une augmentation du pH sanguin. Les symptômes peuvent inclure des étourdissements, des nausées, des vomissements, des crampes musculaires et une respiration rapide et superficielle. Dans les cas graves, cela peut entraîner des convulsions, une insuffisance cardiaque et même la mort. L'alcalose respiratoire peut être causée par une variété de facteurs, notamment les lésions pulmonaires, les maladies neurologiques, certains médicaments et les troubles psychiatriques qui entraînent une hyperventilation. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des changements dans la respiration, l'administration d'oxygène, l'hydratation et la correction du pH sanguin à l'aide de bicarbonate de sodium.

Je suis désolé, "facteur temps" n'a pas de définition spécifique dans le domaine médical. Le terme "facteur temps" est plutôt utilisé en général pour décrire la durée pendant laquelle quelque chose se produit ou évolue, ou il peut également faire référence à l'importance de considérer le moment et la planification dans un contexte médical. Par exemple, l'administration d'un médicament à un moment précis ("facteur temps critique") ou la progression d'une maladie au fil du temps ("évolution temporelle de la maladie") peuvent être décrites en utilisant le terme "facteur temps". Cependant, il n'y a pas de définition médicale universellement acceptée pour ce terme.

L'électromyographie (EMG) est un examen diagnostique qui enregistre l'activité électrique des muscles au repos et pendant la contraction. Il utilise des aiguilles ou des électrodes de surface pour détecter ces impulsions électriques, known as action potentials, qui sont générées par les cellules musculaires lorsqu'elles sont stimulées.

L'EMG est utilisé pour diagnostiquer diverses affections neuromusculaires, telles que les maladies des nerfs moteurs, les lésions nerveuses, les troubles de la jonction neuromusculaire, les maladies musculaires et les conditions liées à la douleur ou à la faiblesse musculaire. Les résultats de l'EMG peuvent aider à déterminer la cause sous-jacente des symptômes du patient, à guider le plan de traitement et à évaluer la gravité et la progression de la maladie.

L'examen comporte deux parties : l'enregistrement au repos et l'enregistrement pendant la contraction volontaire. L'enregistrement au repos vise à détecter toute activité spontanée anormale, telle que des fasciculations ou des potentiels de fibrillation, qui peuvent indiquer une neuropathie ou une myopathie. L'enregistrement pendant la contraction volontaire évalue l'intégrité du nerf moteur et de la fonction musculaire en examinant la forme, l'amplitude et la durée des potentiels d'action générés par les muscles lorsqu'ils se contractent.

L'EMG est généralement considéré comme sûr et bien toléré, bien que certains patients puissent ressentir un certain degré d'inconfort ou de douleur pendant l'insertion des aiguilles. Les risques associés à l'examen sont minimes et comprennent généralement des ecchymoses, une infection ou une blessure nerveuse rare.

L'isoflurane est un agent anesthésique volatil utilisé en médecine et en chirurgie pour produire une anesthésie générale. Il s'agit d'un liquide incolore à odeur légèrement sucrée, qui se vaporise facilement à des températures normales.

L'isoflurane agit en modulant l'activité des récepteurs GABA (acide gamma-aminobutyrique) et des récepteurs NMDA (N-méthyl-D-aspartate) du cerveau, ce qui entraîne une diminution de la conscience, de la douleur et du tonus musculaire. Il est souvent utilisé en combinaison avec d'autres médicaments pour faciliter l'induction et le maintien de l'anesthésie générale.

L'isoflurane a plusieurs avantages par rapport à d'autres agents anesthésiques volatils, tels qu'une faible solubilité dans les tissus corporels, ce qui permet une induction et une récupération plus rapides de l'anesthésie. Il offre également un contrôle précis de la profondeur de l'anesthésie et une certaine protection contre les ischémies cérébrales.

Cependant, l'isoflurane peut entraîner des effets secondaires tels que des baisses de pression artérielle, une augmentation du rythme cardiaque et une dépression respiratoire. Il doit donc être utilisé avec prudence chez les patients présentant des problèmes cardiovasculaires ou respiratoires préexistants.

Le thiopental est un barbiturique à action rapide, utilisé en anesthésiologie pour induire et maintenir l'anesthésie générale. Il agit en potentialisant les effets inhibiteurs du neurotransmetteur GABA (acide gamma-aminobutyrique) sur le système nerveux central, ce qui entraîne une dépression de la fonction cérébrale et une diminution de la sensibilité à la douleur. Le thiopental a également des propriétés anticonvulsivantes et amnésiantes. Il est généralement administré par voie intraveineuse et sa durée d'action est courte, ce qui en fait un choix approprié pour l'induction de l'anesthésie générale. Cependant, il peut entraîner une dépression respiratoire et cardiovasculaire, nécessitant une surveillance étroite pendant son utilisation. En outre, le thiopental est classé comme substance contrôlée en raison de son potentiel d'abus et de dépendance.

Un bloc nerveux est une procédure médicale dans laquelle un anesthésique local ou un autre médicament est injecté à proximité d'un nerf spécifique pour engourdir la région et bloquer la transmission des sensations douloureuses le long du nerf vers le cerveau. Il existe différents types de blocs nerveux, tels que les blocs nerveux périphériques, les blocs nerveux sympathiques et les blocs nerveux rachidiens, qui sont utilisés pour diverses procédures médicales et pour le traitement de la douleur chronique.

Les anesthésiques locaux utilisés dans les blocs nerveux peuvent être à court ou à longue durée d'action, en fonction du type de procédure et de la durée souhaitée de l'engourdissement. Les effets secondaires courants des blocs nerveux comprennent une faiblesse musculaire temporaire, une sensation de picotement ou de brûlure, et une douleur légère au site d'injection. Dans de rares cas, des complications telles que des lésions nerveuses permanentes, des infections ou des réactions allergiques peuvent survenir.

Les blocs nerveux sont généralement effectués par des anesthésistes, des médecins de la douleur ou des chirurgiens spécialement formés dans cette procédure. Avant de procéder à un bloc nerveux, le médecin discutera des risques et des avantages de la procédure avec le patient et obtiendra son consentement éclairé.

L'anesthésie locale potentialisée, également connue sous le nom d'ALP, est une technique anesthésique qui combine l'utilisation d'un anesthésique local avec un agent potentialisant. L'agent potentialisant augmente la puissance et la durée de l'anesthésie locale en facilitant la pénétration et l'action de l'anesthésique local dans les tissus nerveux.

Cette technique est souvent utilisée en chirurgie ambulatoire, en dentisterie et en médecine esthétique pour fournir une anesthésie adéquate avec un minimum d'inconfort et de risques pour le patient. L'ALP permet également de réduire les doses d'anesthésiques locaux, ce qui peut diminuer les effets secondaires tels que les paresthésies ou les lésions nerveuses.

Le choix de l'agent anesthésique local et potentialisant dépend de plusieurs facteurs, tels que la durée et l'étendue de l'intervention, la sensibilité du patient aux anesthésiques locaux et les contre-indications éventuelles. Les agents potentialisants couramment utilisés comprennent l'épinéphrine, la lidocaïne et la prilocaïne.

En résumé, l'anesthésie locale potentialisée est une technique anesthésique qui combine l'utilisation d'un anesthésique local avec un agent potentialisant pour fournir une anesthésie adéquate avec un minimum de risques et d'inconfort pour le patient.

La bungarotoxine est une neurotoxine puissante qui est sécrétée par certains serpents venimeux du genre Bungarus, également connus sous le nom de kraits. Cette toxine agit en se liant de manière irréversible aux récepteurs nicotiniques de l'acétylcholine (nAChR) situés dans la membrane postsynaptique des jonctions neuromusculaires, empêchant ainsi la transmission nerveuse et entraînant une paralysie musculaire.

Il existe deux types principaux de bungarotoxines : la bungarotoxine α et la bungarotoxine κ. La bungarotoxine α est la plus étudiée et se lie sélectivement aux sous-unités α7 des récepteurs nAChR, entraînant une paralysie flasque et souvent fatale chez les victimes de morsures de krait. La bungarotoxine κ, quant à elle, se lie aux sous-unités α3β2 des récepteurs nAChR et provoque une paralysie spastique.

La bungarotoxine est un outil important en recherche biomédicale pour étudier la structure et la fonction des récepteurs nicotiniques de l'acétylcholine, ainsi que pour le développement de traitements contre les maladies neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer et la maladie de Parkinson.

Les méthoxydes, également connus sous le nom de méthyl ethers, sont des composés organiques qui résultent de la substitution d'un atome d'hydrogène dans un alcool par un groupe méthyle (-CH3). Cette réaction est généralement catalysée par une acidité forte et est réversible. Les méthoxydes peuvent être trouvés naturellement dans certains aliments, tels que les huiles essentielles, et sont également utilisés dans l'industrie comme solvants et agents alkylants.

Dans un contexte médical, les méthoxydes peuvent être rencontrés en tant que métabolites de certains médicaments ou toxines, ou comme produits de dégradation de certains matériaux médicaux tels que les plastiques et les résines. Certains méthoxydes sont également utilisés dans la recherche médicale comme traceurs isotopiques pour étudier les processus métaboliques.

Cependant, il est important de noter que certains méthoxydes peuvent être toxiques ou cancérigènes, en particulier ceux qui sont alkylants, ce qui signifie qu'ils peuvent réagir avec l'ADN et d'autres biomolécules importantes dans le corps. Par conséquent, leur utilisation doit être soigneusement contrôlée et surveillée pour minimiser les risques pour la santé.

Le rythme cardiaque est la fréquence à laquelle le cœur d'un individu bat, généralement mesurée en battements par minute (bpm). Un rythme cardiaque normal au repos pour un adulte se situe généralement entre 60 et 100 bpm. Cependant, certains facteurs peuvent influencer ce taux, comme l'âge, la condition physique, les émotions, les maladies sous-jacentes et la prise de médicaments.

Le rythme cardiaque est contrôlé par un système électrique dans le cœur qui régule les contractions musculaires pour pomper le sang efficacement. Les médecins peuvent évaluer le rythme cardiaque en prenant le pouls, qui peut être ressenti à divers endroits du corps, tels que le poignet, le cou ou la cheville. Des variations du rythme cardiaque, telles qu'une fréquence cardiaque au repos inférieure à 60 bpm (bradycardie) ou supérieure à 100 bpm (tachycardie), peuvent indiquer des problèmes de santé sous-jacents et doivent être évalués par un professionnel de la santé.

Le monitorage physiologique est un processus continu et dérivé électroniquement de la surveillance des signes vitaux et d'autres fonctions corporelles importantes, telles que la fréquence cardiaque, la pression artérielle, la saturation en oxygène, la température corporelle, le rythme respiratoire et l'électrocardiogramme (ECG). Il est couramment utilisé dans les milieux médicaux et chirurgicaux pour détecter rapidement les changements de l'état clinique d'un patient, permettant ainsi une intervention précoce et améliorant ainsi la sécurité et la qualité des soins.

Le monitorage physiologique peut être utilisé dans divers contextes, notamment pendant les procédures diagnostiques et thérapeutiques, pendant le rétablissement postopératoire et dans l'unité de soins intensifs pour les patients gravement malades. Les données recueillies grâce au monitorage physiologique sont souvent affichées sur des écrans visibles par les professionnels de la santé, ce qui permet une surveillance constante et une détection rapide des anomalies.

En plus d'améliorer la sécurité des patients, le monitorage physiologique peut également fournir des informations importantes sur l'efficacité des traitements et aider à guider les décisions cliniques. Il est considéré comme une pratique standard de soins dans de nombreux domaines de la médecine et de la chirurgie.

La ventilation artificielle est une intervention médicale qui consiste à assister ou à remplacer la fonction respiratoire d'une personne en utilisant des équipements mécaniques. Elle est souvent utilisée lorsqu'une personne ne peut maintenir seule une respiration adéquate, comme dans le cas d'une insuffisance respiratoire aiguë ou d'une défaillance cardiaque.

Il existe deux types de ventilation artificielle : la ventilation invasive et la ventilation non invasive. La ventilation invasive implique l'utilisation d'un tube endotrachéal inséré dans la trachée pour fournir de l'air ou du dioxyde de carbone à et à partir des poumons. La ventilation non invasive, en revanche, utilise une interface masque faciale ou nasale pour délivrer l'air sous pression sans introduire de tube dans la trachée.

L'objectif principal de la ventilation artificielle est de maintenir des niveaux adéquats d'oxygénation et de dioxyde de carbone élimination, tout en permettant au patient de se reposer et de guérir des conditions sous-jacentes qui ont conduit à l'échec respiratoire.

Le propofol est un hypnotique intraveineux, largement utilisé dans l'anesthésie pour induire et maintenir l'anesthésie générale. Il agit en potentialisant les effets du GABA (acide gamma-aminobutyrique), qui est le principal neurotransmetteur inhibiteur dans le cerveau. Le propofol provoque une dépression rapide et dose-dépendante de la fonction corticale, entraînant une sédation, une amnésie et un sommeil induits.

En plus de ses propriétés hypnotiques, le propofol possède également des effets antiémétiques et antioxydants. Il est administré par voie intraveineuse et sa durée d'action est courte, ce qui permet un réveil rapide après l'arrêt de l'administration. Cependant, le propofol peut entraîner une hypotension et une apnée, en particulier lorsqu'il est administré rapidement ou à fortes doses.

Le propofol est également utilisé pour la sédation des patients dans les unités de soins intensifs et pour des procédures médicales telles que l'endoscopie et la radiologie interventionnelle. Cependant, il nécessite une surveillance étroite en raison de son potentiel à provoquer une dépression respiratoire et cardiovasculaire.

Un masque laryngé est un dispositif médical utilisé pour établir et maintenir la perméabilité des voies respiratoires supérieures. Il est inséré dans la bouche du patient, recouvrant le nez et la bouche, et avancé jusqu'à ce que son extrémité soit positionnée au-dessus du larynx.

Le masque laryngé est équipé d'une tubulure flexible qui se connecte à un ballon gonflable à son extrémité distale. Une fois le masque correctement positionné, le ballon est gonflé pour créer une étanchéité autour du larynx, empêchant ainsi l'air de s'échapper par les voies respiratoires supérieures et forçant l'inhalation et l'exhalation à travers la tubulure.

Ce dispositif est souvent utilisé lors des procédures médicales ou chirurgicales qui nécessitent une intubation difficile ou impossible, permettant ainsi d'assurer la ventilation du patient de manière sûre et efficace. Cependant, il convient de noter que le masque laryngé peut entraîner un certain niveau d'inconfort pour le patient et doit être manipulé avec soin pour éviter les dommages aux tissus environnants.

La transmission nerveuse est le processus par lequel un neurone (cellule nerveuse) transmet un signal, ou impulsion électrique, à d'autres neurones ou à des muscles et des glandes. Ce processus permet la communication entre différentes parties du système nerveux et assure la coordination des fonctions corporelles.

La transmission nerveuse se produit dans les synapses, qui sont les espaces étroits entre les neurones ou entre un neurone et une autre cellule cible. Lorsqu'un neurone est stimulé, il génère un potentiel d'action, qui est une impulsion électrique qui se propage le long de sa membrane cellulaire. Ce potentiel d'action atteint finalement la terminaison du neurone, où il déclenche la libération de neurotransmetteurs dans la fente synaptique.

Les neurotransmetteurs sont des molécules chimiques qui traversent la fente synaptique et se lient aux récepteurs situés sur la membrane cellulaire de la cellule cible. Cette liaison déclenche une réponse dans la cellule cible, telle que la génération d'un nouveau potentiel d'action ou la sécrétion d'une hormone.

La transmission nerveuse peut être modulée par divers facteurs, tels que les neurotransmetteurs supplémentaires, les neuromodulateurs et les facteurs environnementaux. Ces facteurs peuvent influencer la force et la durée de la transmission nerveuse, ce qui permet une régulation fine des fonctions corporelles.

Des anomalies dans la transmission nerveuse peuvent entraîner divers troubles neurologiques, tels que les maladies neurodégénératives, les troubles du mouvement et les douleurs neuropathiques. La compréhension de la transmission nerveuse est donc essentielle pour le diagnostic et le traitement de ces conditions.

Les interactions médicamenteuses se réfèrent à la façon dont deux ou plusieurs médicaments, ou un médicament et une substance alimentaire, peuvent interagir entre eux en modifiant l'absorption, le métabolisme, la distribution ou l'excrétion d'un des composants. Cela peut entraîner des effets thérapeutiques accrus ou réduits, ou provoquer des effets indésirables imprévus.

Les interactions médicamenteuses peuvent être pharmacodynamiques, ce qui signifie que la réponse de l'organisme à un médicament est modifiée par la présence d'un autre médicament ; ou pharmacocinétiques, ce qui signifie que la façon dont le corps traite un médicament est affectée par l'interaction.

Ces interactions peuvent se produire lorsqu'un patient prend simultanément plusieurs médicaments prescrits par différents médecins, combine des médicaments sur ordonnance avec des suppléments en vente libre ou des aliments, ou utilise des médicaments de manière incorrecte. Il est donc crucial pour les professionnels de la santé d'être conscients et de surveiller activement ces interactions potentielles pour garantir la sécurité et l'efficacité du traitement.

La pression sanguine, également appelée tension artérielle, est la force exercée par le sang sur les parois des artères lorsqu'il est pompé par le cœur. Elle est mesurée en millimètres de mercure (mmHg) et s'exprime généralement sous la forme de deux chiffres : la pression systolique (le chiffre supérieur) et la pression diastolique (le chiffre inférieur).

La pression systolique représente la pression dans les artères lorsque le cœur se contracte et pompe le sang dans le corps. La pression diastolique, quant à elle, correspond à la pression dans les artères entre deux contractions cardiaques, lorsque le cœur est en phase de relaxation et se remplit de sang.

Une pression sanguine normale se situe généralement autour de 120/80 mmHg. Des valeurs supérieures à 130/80 mmHg peuvent être considérées comme étant en pré-hypertension, tandis que des valeurs supérieures à 140/90 mmHg sont généralement associées à une hypertension artérielle. Une pression sanguine élevée peut entraîner divers problèmes de santé, tels que des maladies cardiovasculaires, des accidents vasculaires cérébraux et des lésions rénales.

Les muscles sont des organes contractiles qui forment une grande partie du tissu corporel. Ils sont responsables de la mobilité volontaire et involontaire dans le corps humain. Les muscles se contractent pour permettre le mouvement des os, aider à maintenir la posture et contribuer à diverses fonctions corporelles telles que la respiration, la digestion et la circulation sanguine.

Il existe trois types principaux de muscles dans le corps humain :

1. Les muscles squelettiques ou striés : Ils sont attachés aux os par des tendons et leur contraction permet les mouvements volontaires du corps. Ces muscles ont une apparence striée sous un microscope, d'où leur nom.

2. Les muscles lisses : Ce sont des muscles trouvés dans les parois des vaisseaux sanguins, des bronches, de l'utérus et du tube digestif. Ils fonctionnent involontairement, contrôlés par le système nerveux autonome, et participent à des fonctions telles que la circulation, la respiration et la digestion.

3. Le muscle cardiaque : C'est un type spécial de muscle strié qui forme la majeure partie du cœur. Il fonctionne automatiquement sans aucun contrôle volontaire, pompant le sang dans tout le corps.

La capacité des muscles à se contracter et à se détendre provient de leurs propriétés physiques uniques et de la présence de protéines spécialisées telles que l'actine et la myosine, qui glissent les unes contre les autres lorsque le muscle se contracte.

Je suis désolé, "chats" est un terme trop large et couramment utilisé pour désigner un groupe d'espèces de mammifères carnivores domestiqués. Il n'existe pas de définition médicale spécifique pour "chats". Cependant, en médecine vétérinaire, les chats peuvent être affectueusement appelés "patients à fourrure" et ils peuvent souffrir de diverses maladies et affections, tout comme les humains.

Quelques exemples de problèmes de santé courants chez les chats comprennent les infections des voies urinaires, les parasites internes (comme les vers intestinaux), l'obésité, le diabète sucré, les maladies dentaires et les troubles gastro-intestinaux. Il est important de noter que les chats doivent recevoir des soins médicaux réguliers, y compris des examens vétérinaires annuels et des vaccinations, pour maintenir leur santé et prévenir les maladies.

Les hypnotiques et sédatifs sont des médicaments qui ont un effet calmant, relaxant et soporifique sur le système nerveux central. Ils sont souvent prescrits pour traiter l'insomnie et l'anxiété, ainsi que pour induire le sommeil avant une intervention chirurgicale.

Les hypnotiques sont une classe de médicaments qui provoquent le sommeil ou augmentent la profondeur du sommeil. Ils agissent en déprimant les centres du cerveau qui régulent l'éveil et le sommeil, ce qui entraîne une diminution de l'activité cérébrale et une relaxation musculaire. Les exemples courants d'hypnotiques comprennent les benzodiazépines (telles que le diazépam et le lorazépam) et les non-benzodiazépines (telles que le zolpidem et le zopiclone).

Les sédatifs sont une classe plus large de médicaments qui ont un effet calmant et relaxant sur le système nerveux central. Ils peuvent être prescrits pour traiter l'anxiété, l'agitation ou les spasmes musculaires. Les sédatifs comprennent les barbituriques, les benzodiazépines et certains antihistaminiques.

Les hypnotiques et sédatifs peuvent avoir des effets secondaires tels que la somnolence diurne, la confusion, l'amnésie, la dépression respiratoire et une dépendance physique et psychologique. Par conséquent, ils doivent être utilisés avec prudence et sous la surveillance d'un professionnel de la santé qualifié.

Les anesthésiques intraveineux sont des médicaments utilisés en médecine pour produire une perte de sensation et de conscience, généralement dans le cadre d'une intervention chirurgicale ou d'un autre type de procédure médicale invasive. Contrairement aux anesthésiques généraux, qui sont administrés sous forme de gaz inhalé, les anesthésiques intraveineux sont injectés directement dans la circulation sanguine par le biais d'une veine.

Les anesthésiques intraveineux agissent en bloquant les signaux nerveux qui transmettent la douleur et d'autres sensations au cerveau. Ils peuvent être utilisés pour produire une anesthésie générale, dans laquelle le patient est complètement inconscient et insensible à la douleur, ou pour produire une anesthésie locale ou régionale, dans laquelle seule une partie spécifique du corps est engourdie.

Les anesthésiques intraveineux les plus couramment utilisés comprennent le propofol, l'étomidate, le kétamine et le midazolam. Chacun de ces médicaments a des propriétés uniques qui les rendent adaptés à différents types de procédures et à différents patients. Par exemple, le propofol est souvent utilisé pour l'induction et le maintien de l'anesthésie générale en raison de ses effets sédatifs rapides et de sa courte durée d'action. L'étomidate, quant à lui, est souvent utilisé chez les patients présentant des problèmes cardiovasculaires car il a un faible impact sur la pression artérielle et le rythme cardiaque.

Comme avec tous les médicaments utilisés en anesthésie, les anesthésiques intraveineux peuvent avoir des effets secondaires indésirables, tels que des réactions allergiques, une baisse de la pression artérielle et une fréquence cardiaque lente. Les professionnels de la santé doivent donc évaluer attentivement les risques et les avantages de chaque médicament avant de prendre une décision quant à son utilisation.

Les muscles respiratoires sont ceux qui jouent un rôle actif dans le processus de la respiration, permettant l'inspiration et l'expiration. Les principaux muscles inspiratoires comprennent les diaphragme, les scalènes, les sternocléidomastoïdiens et les muscles intercostaux externes. Pendant l'inspiration, ces muscles se contractent pour augmenter le volume de la cavité thoracique, ce qui entraîne une diminution de la pression intrathoracique et permet à l'air de pénétrer dans les poumons.

Les muscles expiratoires comprennent principalement les muscles intercostaux internes, le muscle abdominal transverse, les obliques externes et internes de l'abdomen. Pendant l'expiration, ces muscles se relâchent ou se contractent légèrement pour diminuer le volume de la cavité thoracique, ce qui entraîne une augmentation de la pression intrathoracique et permet à l'air de sortir des poumons.

Dans les situations où une ventilation plus forte est nécessaire, comme lors d'activités physiques intenses ou en cas de maladies pulmonaires obstructives, d'autres muscles peuvent être recrutés pour aider à la respiration, tels que les muscles du cou (le sternohyoïde, le sternothyroïde, l'omohyoïde et le thyrohyoïde) et les muscles du dos (le grand dentelé postérieur, le grand dorsal et le petit dentelé).

Il est important de noter que la fonction des muscles respiratoires peut être altérée par diverses affections, telles que les maladies neuromusculaires, les lésions de la moelle épinière, les affections pulmonaires et les troubles de la posture, ce qui peut entraîner une diminution de la capacité respiratoire et des difficultés à respirer.

L'oxymétrie est une méthode non invasive et continue de surveillance des niveaux d'oxygénation des tissus, en particulier ceux du sang. Elle est couramment utilisée dans les milieux médicaux et cliniques pour surveiller l'état d'un patient.

Le terme "oxymétrie" vient de deux mots grecs : "oxy" qui signifie "acide" ou "pur", et "meter" qui signifie "mesurer". Ainsi, l'oxymétrie signifie littéralement "la mesure de l'oxygène".

Habituellement, cette méthode est réalisée en utilisant un dispositif médical appelé oxymètre de pouls. Cet appareil se fixe généralement sur le doigt ou parfois sur le lobe de l'oreille, et il utilise la lumière pour déterminer la saturation en oxygène du sang (SpO2).

L'oxymètre de pouls émet deux types de lumière à travers le tissu corporel : la lumière rouge et la lumière infrarouge. La lumière traverse l'artère capillaire sous le site de mesure, où elle est absorbée par l'hémoglobine dans les globules rouges. L'hémoglobine oxygénée absorbe plus de lumière infrarouge que la lumière rouge, tandis que l'hémoglobine désaturée (désoxygénée) absorbe plus de lumière rouge que la lumière infrarouge.

En mesurant la quantité relative de ces deux types de lumière après leur passage à travers le tissu, l'oxymètre de pouls peut calculer la proportion relative d'hémoglobine oxygénée par rapport à l'hémoglobine désaturée. Cette information est ensuite affichée comme une valeur de pourcentage appelée saturation en oxygène pulsatile (SpO2).

Les oxymètres de pouls sont largement utilisés dans les milieux cliniques et non cliniques pour surveiller rapidement et non invasivement la saturation en oxygène des patients. Ils sont souvent utilisés pendant l'anesthésie, la chirurgie, le transport des patients et dans les unités de soins intensifs, ainsi que par les professionnels de la santé à domicile pour surveiller les personnes atteintes de maladies pulmonaires ou cardiovasculaires chroniques.

L'hypothermie provoquée est une procédure médicale dans laquelle le corps d'un patient est intentionnellement refroidi à des températures corporelles centrales inférieures à 35 degrés Celsius (95 degrés Fahrenheit). Cette technique est souvent utilisée pendant les opérations cardiaques complexes, telles que les pontages coronariens et les réparations de valvules cardiaques.

Le refroidissement du corps ralentit le métabolisme, ce qui réduit la consommation d'oxygène et de nutriments par les tissus. Cela peut offrir une certaine protection contre les dommages causés par une privation d'oxygène pendant la chirurgie cardiaque. De plus, l'hypothermie provoquée peut également réduire le besoin de sang supplémentaire pendant la chirurgie et peut aider à prévenir les lésions cérébrales en cas d'arrêt cardiaque.

Après la chirurgie, le corps est progressivement réchauffé à une température normale. Cette procédure doit être effectuée avec soin pour éviter des complications telles que des rythmes cardiaques anormaux, une faible pression artérielle et une coagulation sanguine anormale.

La lidocaïne est un médicament d'anesthésie locale couramment utilisé dans le domaine médical et dentaire. Il s'agit d'un agent anesthésique local amide, qui agit en bloquant les canaux sodiques volatils dans les membranes des neurones, empêchant ainsi l'influx nerveux de se propager et provoquant une perte temporaire de sensation dans la zone traitée.

La lidocaïne est disponible sous diverses formulations, notamment en solution injectable, en gel, en crème ou en spray, et elle est utilisée pour induire l'analgésie avant les procédures invasives telles que les injections, les interventions chirurgicales mineures, les extractions dentaires et l'électroconvulsivothérapie.

Les effets secondaires courants de la lidocaïne peuvent inclure des picotements ou une sensation de brûlure au site d'injection, une légère augmentation du rythme cardiaque et une diminution de la tension artérielle. Dans de rares cas, une dose excessive peut entraîner des réactions graves telles qu'une arythmie cardiaque, une crise convulsive ou un arrêt cardiaque. Par conséquent, il est essentiel que la lidocaïne soit administrée avec prudence et sous surveillance médicale stricte.

Les soins intensifs, souvent abrégés en « USI » (unité de soins intensifs) ou « Réanimation », représentent une unité spécifique d'un hôpital où sont regroupés les patients présentant des défaillances vitales aiguës et nécessitant une surveillance rapprochée ainsi qu'une prise en charge médicale et technique continue. Ces unités sont équipées de matériel spécialisé et dotées d'un personnel hautement qualifié, capable d'assurer des soins complexes et intensifs 24 heures sur 24.

Les patients admis en soins intensifs peuvent souffrir de diverses affections graves telles que des insuffisances respiratoires, cardiaques, rénales ou hépatiques, des défaillances multi-viscérales, des états de choc sévères, des traumatismes importants, des infections graves ou des complications post-opératoires.

L'objectif principal des soins intensifs est de stabiliser rapidement l'état du patient, d'assurer la fonction des organes vitaux et de prévenir les complications afin de permettre une récupération optimale. Cela peut inclure des procédures telles que la ventilation mécanique, la dialyse rénale, le monitorage cardiovasculaire avancé, l'administration de médicaments vasoactifs et d'autres thérapies de support vital.

Les équipes soignantes en USI travaillent en étroite collaboration avec les médecins spécialistes concernés pour élaborer un plan de traitement individualisé et adapté aux besoins spécifiques de chaque patient. Les progrès réalisés par le patient sont fréquemment réévalués, et les soins sont ajustés en conséquence pour favoriser la guérison et faciliter, si possible, un transfert vers une unité de soins moins spécialisée lorsque l'état du patient s'améliore.

Les anesthésiques par inhalation sont des agents utilisés en anesthésiologie pour provoquer une perte de conscience et un soulagement de la douleur chez les patients pendant les procédures médicales et chirurgicales. Ils sont administrés sous forme de gaz ou de vapeurs, qui sont inhalés par le patient via un masque ou un tube endotrachéal.

Les anesthésiques par inhalation agissent en modifiant l'activité électrique des neurones du cerveau et du système nerveux central. Ils peuvent être classés en deux catégories principales : les agents volatils et les gaz halogénés.

Les agents volatils comprennent le sévoflurane, le désfluorane et l'isoflurane. Ces substances sont liquides à température ambiante et sont vaporisées avant d'être administrées au patient. Ils ont une faible solubilité dans le sang, ce qui permet une induction et une récupération rapides de l'anesthésie.

Les gaz halogénés comprennent l'halothane, l'enflurane et le méthoxyflurane. Ces substances sont des gaz à température ambiante et sont administrées directement au patient. Ils ont une solubilité plus élevée dans le sang, ce qui peut entraîner une induction et une récupération plus lentes de l'anesthésie.

Les anesthésiques par inhalation peuvent être utilisés seuls ou en combinaison avec d'autres agents anesthésiques pour fournir une anesthésie équilibrée et personnalisée pour chaque patient. Les anesthésistes doivent surveiller attentivement les patients pendant l'administration de ces agents pour assurer la sécurité et le confort du patient.

La respiration, dans un contexte médical, fait référence au processus d'échange gazeux entre l'air et le sang dans les poumons. Il consiste en deux phases principales : l'inspiration (ou l'acte de respirer dans) et l'expiration (ou l'acte de respirer).

Pendant l'inspiration, le diaphragme et les muscles intercostaux se contractent, ce qui entraîne une augmentation du volume de la cavité thoracique. Cela provoque une baisse de la pression à l'intérieur de la cavité thoracique, permettant à l'air de pénétrer dans les poumons par les voies respiratoires. L'oxygène présent dans l'air inspiré se dissout ensuite dans le sang et se lie à l'hémoglobine dans les globules rouges.

Au cours de l'expiration, le diaphragme et les muscles intercostaux se relâchent, ce qui entraîne une diminution du volume de la cavité thoracique et une augmentation de la pression à l'intérieur de celle-ci. Cela force l'air chargé en dioxyde de carbone (un déchet produit par les cellules du corps) à quitter les poumons par les voies respiratoires.

Des problèmes respiratoires peuvent survenir lorsque ce processus est altéré ou interrompu, comme dans des affections telles que l'asthme, la bronchite, l'emphysème et la pneumonie.

Le relâchement musculaire, également connu sous le nom de «hypotonie» dans un contexte médical, se réfère à une diminution du tonus musculaire. Le tonus musculaire est la tension légère et constante que nous ressentons dans nos muscles lorsqu'ils sont au repos. Cela nous aide à maintenir une posture stable et facilite le mouvement volontaire.

Lorsque quelqu'un souffre d'un relâchement musculaire, ses muscles peuvent être incapables de se contracter normalement, ce qui peut entraîner une faiblesse musculaire, une coordination altérée et des mouvements anormaux. Ce relâchement peut affecter un muscle ou un groupe de muscles spécifiques, ou il peut être généralisé à l'ensemble du corps.

Le relâchement musculaire peut être temporaire ou permanent et peut résulter d'une variété de causes, y compris des conditions neurologiques sous-jacentes, des blessures, certaines maladies chroniques, le vieillissement normal, ou même certains médicaments et drogues. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente du relâchement musculaire.

La mécanique respiratoire est un terme utilisé en médecine et en physiologie pour décrire les forces et les mouvements impliqués dans la ventilation, c'est-à-dire le processus d'inhalation et d'exhalation de l'air. Il s'agit essentiellement de la partie du fonctionnement du système respiratoire qui concerne la manière dont les poumons se gonflent et se dégonflent.

Cela implique principalement deux processus :

1. Les mouvements de la cage thoracique (thorax) : Pendant l'inhalation, les muscles intercostaux et le diaphragme se contractent, ce qui entraîne l'expansion de la cage thoracique. Cela crée un espace négatif qui aspire l'air dans les poumons. Lors de l'expiration, ces muscles se relâchent, permettant à la cage thoracique de revenir à sa position initiale et de pousser l'air hors des poumons.

2. Les mouvements des poumons : Les poumons sont élastiques et ont tendance à se rétracter vers leur forme dégonflée lorsque les forces extérieures (comme la pression atmosphérique) ne les maintiennent pas étendus. Pendant l'inhalation, l'air pénètre dans les poumons en raison de la différence de pression entre l'intérieur et l'extérieur des poumons. Pendant l'expiration, l'élasticité des poumons expulse naturellement l'air.

La mécanique respiratoire peut être affectée par diverses conditions médicales telles que la MPOC (maladie pulmonaire obstructive chronique), l'asthme, la fibrose kystique et d'autres maladies pulmonaires ou neuromusculaires. Elle est souvent évaluée en mesurant les volumes pulmonaires et les débits, qui peuvent fournir des informations sur la fonction pulmonaire et aider au diagnostic et à la gestion de ces conditions.

Les récepteurs cholinergiques sont des protéines membranaires qui se lient à l'acétylcholine, un neurotransmetteur important dans le système nerveux central et périphérique. Il existe deux types principaux de récepteurs cholinergiques : les récepteurs nicotiniques et les récepteurs muscariniques.

Les récepteurs nicotiniques, également appelés récepteurs de la jonction neuromusculaire, sont activés par la nicotine ainsi que par l'acétylcholine. Ils sont localisés principalement au niveau des plaques motrices des muscles squelettiques et assurent la transmission rapide de l'influx nerveux entre le nerf moteur et le muscle.

Les récepteurs muscariniques, en revanche, sont activés exclusivement par l'acétylcholine. Ils sont distribués dans tout le corps, notamment dans le cerveau, les glandes exocrines, le cœur et le système nerveux autonome. Les récepteurs muscariniques sont classiquement divisés en cinq sous-types (M1 à M5), qui ont des fonctions variées telles que la modulation de la sécrétion glandulaire, la régulation du rythme cardiaque et la transmission neuronale dans le système nerveux central.

En résumé, les récepteurs cholinergiques sont des protéines membranaires qui se lient à l'acétylcholine et jouent un rôle crucial dans la transmission de signaux nerveux et dans la régulation de diverses fonctions corporelles.

Une perfusion intraveineuse, également connue sous le nom de drip IV, est un processus médical où une solution liquide est introduite directement dans la circulation sanguine à l'aide d'une aiguille insérée dans une veine. Ce procédé est couramment utilisé pour administrer des fluides, des médicaments, des nutriments ou du sang à un patient de manière rapide et efficace.

Le processus implique généralement l'insertion d'un cathéter dans une veine, souvent au niveau du bras ou de la main. La solution souhaitée est ensuite connectée au cathéter via un tube en plastique flexible. La solution peut être administrée soit sous forme de gouttes régulières, soit par gravité, soit à l'aide d'une pompe à perfusion pour contrôler le débit et la vitesse de l'administration.

Les perfusions intraveineuses sont utilisées dans une variété de contextes cliniques, y compris en soins intensifs, en salle d'opération, en oncologie et en médecine d'urgence. Elles permettent aux professionnels de la santé de fournir des traitements vitaux de manière précise et contrôlée, ce qui en fait une procédure essentielle dans les soins de santé modernes.

Une injection intraveineuse (IV) est un type d'administration de médicaments ou de fluides dans le corps, où la substance est injectée directement dans une veine. Cela permet une absorption rapide et presque complète du médicament dans la circulation systémique. Les injections intraveineuses sont souvent utilisées lorsqu'il est nécessaire d'administrer des médicaments rapidement, tels que les antibiotiques, les analgésiques, les anticoagulants ou les fluides pour réhydrater le corps.

L'injection intraveineuse est généralement effectuée à l'aide d'une aiguille fine et creuse insérée dans une veine, souvent au niveau du bras ou de la main. Une solution stérile contenant le médicament est ensuite injectée lentement dans la veine. Dans certains cas, un cathéter intraveineux peut être inséré dans la veine pour permettre des injections répétées sans avoir à insérer une nouvelle aiguille à chaque fois.

Bien que les injections intraveineuses soient considérées comme sûres lorsqu'elles sont effectuées correctement, elles peuvent entraîner des complications telles que des infections, des lésions nerveuses ou des hématomes si elles ne sont pas administrées correctement. Par conséquent, il est important que les injections intraveineuses soient effectuées par un professionnel de la santé qualifié et formé.

La hemodynamique est une branche de la physiologie qui étudie la circulation du sang dans le système cardiovasculaire, en se concentrant sur les principes physiques qui régissent le flux sanguin, tels que la pression artérielle, la résistance vasculaire, la précharge et la postcharge, le débit cardiaque et l'oxygénation du sang. Elle examine également les réponses du corps à des changements aigus ou chroniques dans ces paramètres, tels que l'exercice, l'émotion, les maladies cardiovasculaires et pulmonaires, ainsi que les effets de divers médicaments sur le système cardiovasculaire. Les professionnels de la santé utilisent souvent des mesures hémodynamiques pour évaluer l'état cardiovasculaire d'un patient et guider le traitement clinique.

Les complications postopératoires sont des événements indésirables qui surviennent après une intervention chirurgicale. Elles peuvent être liées à l'anesthésie, au processus opératoire ou à la récupération post-opératoire. Les complications peuvent être mineures, comme des nausées ou des ecchymoses, ou graves, comme une infection, une hémorragie, un infarctus du myocarde, une embolie pulmonaire ou même le décès.

Les facteurs de risque de complications postopératoires comprennent l'âge avancé, l'obésité, le tabagisme, la maladie cardiovasculaire, le diabète, l'insuffisance rénale ou hépatique, et certaines conditions médicales préexistantes. Les complications postopératoires peuvent entraîner une prolongation de la durée d'hospitalisation, des coûts de santé plus élevés, une morbidité accrue et une mortalité plus élevée.

Il est important de prévenir les complications postopératoires en optimisant l'état de santé du patient avant la chirurgie, en utilisant des techniques chirurgicales appropriées, en surveillant étroitement le patient pendant la période postopératoire et en fournissant des soins de qualité.

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Paralysie neuromusculaire (analogue à celle de la curarisation) - Hypoventilation avec acidose respiratoire - Hypotension ( ... Bloc auriculo-ventriculaire - Asystolie (Magnésémie > 5-7 mmol/L). Signes de gravité ... La toxicité à haute dose principalement cardiaque et neuro-musculaire met en jeu le pronostic vital.. Lintoxication est grave ...
Linduction dun bloc neuromusculaire profond (TOF,1, PTC≥1) permet daméliorer les conditions dintubation trachéale et ... Il est donc recommandé de mesurer quantitativement le niveau de bloc neuromusculaire pour adapter sa profondeur au cours de ... Infirmière en chef du bloc opératoire et coordinatrice bloc opératoire, hôpital de jour et stérilisation Clinique St-Luc, 5004 ... La Clinique Saint-Luc de Bouge recherche un (f/h/x) infirmier de bloc opératoire La Clinique Saint-Luc de Bouge recherche un (f ...
Le bloc neuromusculaire peut tre prolong par des doses dentretien de cisatracurium. Une dose de 0,03 mg/kg de poids corporel, ... Le bloc neuromusculaire peut tre prolong par des doses dentretien de cisatracurium. Chez lenfant g de 2 12 ans, une dose de 0 ... Lentretien du bloc neuromusculaire peut tre obtenu par perfusion continue de CISATRACURIUM KALCEKS. Un d bit initial de ... Lorsque la r cup ration spontan e du bloc neuromusculaire est commenc e, sa vitesse est ind pendante de la dose de ...
... blocs V et W). Certains critères dadmissibilité sont exigés. Le baccalauréat en kinésiologie offre une formation ... en cheminement Honor : 66 crédits obligatoires (Blocs 70A, 70B et 70D), 9 crédits à option (bloc 70C), 3 crédits à option (bloc ... En 1re année, létudiant sinscrit aux cours du bloc 70 A. En 2e année, il sinscrit aux cours du bloc 70 B; en plus de suivre ... en 2e année ou en 3e année à loccasion des cours pratiques du bloc 70 B et des stages du bloc 70 C ...
Fréquence indéterminée : douleur musculaire ou articulaire, bloc auriculoventriculaire, insuffisance cardiaque, gonflement des ... de maladie neuromusculaire (myasthénie grave par exemple) et chez la personne âgée. ...
Blocs libres. Sur une initiative commune de la Commission européenne et des Etats membres, 24 Réseaux Européens de Référence ... EURO-NMD - Centre de référence des maladies neuromusculaires. *EpiCARE - Centre de référence pour les épilepsies rares ...
infirmier(e) de bloc opératoire,. infirmier(e) anesthésiste,. infirmier(e) puéricultrice,. infirmier(e) en pratiques avancées, ... DU prise en charge et traitement des maladies neuromusculaires. Spécialisations. Le diplôme détat infirmier(e) permet ...
Par un apport de magnésium et une diminution du risque de troubles neuromusculaires. ...
Le muscle est un organe de contrôle neuromusculaire et pas seulement un organe de force », a indiqué le Pr Yves Henrotin ( ... Quant aux médecines alternatives, le Pr Chevalier a estimé : « Les médecines alternatives ne sont pas à rejeter en bloc car ... université de Liège, Belgique). Le renforcement permet un meilleur contrôle proprioceptif et neuro-musculaire et protège ...
Troubles de la conduction (bloc auriculo- ventriculaire) Affections vasculaires Fréquent Hypotension (avec risque de collapsus ... Aggravation des manifestations neuromusculaires du syndrome de Kearns-Sayre Troubles généraux et maladies du site ... Troubles du rythme et de la conduction (cest-à-dire blocs auriculo-ventriculaires du second et du troisième degré, bradycardie ...
Le surdosage peut provoquer un bloc de dépolarisation cardiaque avec des troubles respiratoires (crise myasthénique aiguë). ... quantité dacétylcholine au niveau de la synapse neuromusculaire.. Les médicaments utilisés sont : la néostigmine ou ...
3 blocs de 10′ de 30/30 récup entre les blocs de 3′ en i.2. ... Séances développant la vélocité (travail neuro-musculaire) * ... 5 x 3′ en allure i.4 récupération entre les deux blocs 4′.. Intéressant à placer dans un cycle de pré-compétiton. ... 4 x 4′ en allure i.4 récupération entre les deux blocs 4′.. Intéressant à placer dans un cycle de pré-compétion. ... 5 à 6 x 5′ en allure i.4 récupération entre les deux blocs 2′. ...
traction du bloc supérieur derrière le dos - 10 à 15 fois.. À la fin de chaque entraînement, vous devez absolument faire un « ... à développer des connexions neuromusculaires profondes et à augmenter votre force abdominale, quel que soit votre niveau ... Effectuez des craquements sur le bloc, à genoux et en fixant vos jambes, de sorte que la partie supérieure du muscle droit de ... à un manque de stimulation neuromusculaire. Cependant, les « voies » neuronales créées pendant lexercice restent. Lorsque ...
gérer la sédation et le blocage neuromusculaire. - informer les personnels de santé, les patients et les proches des soins ... j. Anesthésie pour explorations en dehors du bloc opératoire : Anesthésie pour endoscopies digestives, radiologie ... blocs périphériques ; gestion des complications.. E. - Gérer la douleur pendant et dans les suites dune opération : ... les blocs du tronc et du rachis.. ...
Même si on démarre à bloc, ce qui est de toute façon proscrit si on veut finir la séance. ... Lobjectif de lentraînement nest alors plus cardio-vasculaire mais neuromusculaire. Du coup, il est possible dimaginer que ...
Anesthésie CUR/bloc des urgences.. Les stages danesthésie au CHU comportent une part variable dactivité de consultations et ... 1 en maladies osseuses constitutionnelles et neuromusculaires. *1 en déficience intellectuelle et troubles du spectre de ... 2ème étage : blocs opératoires et réanimation cardiothoracique. Un des plus gros service de chirurgie cardiaque en terme de ... Formation possible aux toxines sous échographie, aux blocs moteurs, Laboratoire danalyse de la marche, aux bilans ...
Déprogrammation neuro-musculaire, levée de tension musculaire et automassage Alexandra Labbé2023-05-03T15:25:11-04:00 ...
Pour ceux qui en doutent, Maggie De Block a fait son boulot concernant les différents médicaments existants pour cette maladie ... contacté par des parents denfants malades et par lAssociation Belge contre les Maladies neuroMusculaire, a avertir la presse ... un projet permettant de détecter de nombreuses maladies neuromusculaires sur les nourrissons. Projet auquel la Flandre na pas ...
Elle se situe au niveau du pavillon pour les gestes simples, et sur le plateau de radiologie et du bloc opératoire selon les ... Neuromusculaire. Lundi, mardi, mercredi et vendredi. 8h30 à 12h30. 0262 35 91 75. ...
Puis, le Centre se transforme avec un secteur enfants, un nouveau bloc opératoire, une balnéothérapie, un atelier ... neuro musculaire, du jeune enfant à la personne âgée. ...
  • Le Centre de Référence des Maladies Neuromusculaires assure plusieurs missions. (chu-angers.fr)
  • Les maladies neuromusculaires sont des pathologies du muscle ou de sa commande nerveuse. (chu-angers.fr)
  • Depuis 2017 il fait partie du Centre de Référence des Maladies Neuromusculaires Atlantique Occitanie Caraïbe (coordinateur: Dr Guilhem Solé). (chu-angers.fr)
  • Cas associés à un Syndrome de Kearns-Sayre (KSS, une maladie neuromusculaire induite par des délétions de l'ADN mitochondrial : de 1,3 à 8 kilobases, souvent 5 kb). (wikipedia.org)
  • l'identification de la maladie neuromusculaire repose sur une enquête clinique méticuleuse et des investigations (les plus usuels sont : dosages sanguins, imagerie musculaire, électrophysiologie , prélèvement de muscle, analyses génétiques). (chu-angers.fr)
  • Des précautions sont nécessaires en cas d' insuffisance hépatique , d' altération du fonctionnement des reins, de maladie neuromusculaire ( myasthénie grave par exemple) et chez la personne âgée. (vidal.fr)
  • Parmi elles : faciliter le diagnostic et définir une offre de prise en charge globale et cohérente des personnes atteintes d'une maladie rare du nerf, du muscle ou de la jonction neuromusculaire. (chu-angers.fr)
  • C'est le médiateur chimique de la transmission de l'influx nerveux au niveau des ganglions du système nerveux autonome (récepteurs nicotiniques, inhibés par les ganglioplégiques), des fibres post-ganglionnaires du système parasympathique (récepteurs muscariniques, inhibés par l'atropine), de la jonction neuromusculaire (récepteurs nicotiniques) et du système nerveux central. (efurgences.net)
  • La présence des clowns les vendredis matins sur l'hôpital de jour pédiatrique, c'est un énorme plus dans l'accompagnement des enfants avec des pathologies neuromusculaires. (revesdeclown.org)
  • Par conséquent, les patients ayant une importante faiblesse musculaire tels que les patients atteints de pathologies neuromusculaires ne peuvent pas utiliser le Simeox de façon efficace. (physioassist.fr)
  • Leur incidence peut être particulièrement élevée chez les patients présentant une maladie du sinus ou d'autres anomalies de la conduction supra-ventriculaire telles qu'un bloc sino-auriculaire ou auriculo-ventriculaire. (asafar.net)
  • Le spécialiste et professeur Laurent Servais a été le premier, contacté par des parents d'enfants malades et par l'Association Belge contre les Maladies neuroMusculaire, a avertir la presse de la chance minime de guérir la petite fille. (hospichild.be)
  • Il fournit les nutriments nécessaires pour un contrôle complet des systèmes nerveux et neuromusculaire en tant qu'agent calmant / relaxant, contribuant ainsi à un meilleur apport, augmentant ainsi son taux de conversion. (nutriblock.com)
  • Puis, le Centre se transforme avec un secteur enfants, un nouveau bloc opératoire, une balnéothérapie, un atelier d'appareillage et un hôpital de jour. (croix-rouge.fr)
  • Habillés de leurs tenues colorées, leurs accessoires désinfectés, ils arrivent en Chirurgie pédiatrique, ambulatoire, ORL ou traumatologie, pour accompagner les enfants au bloc opératoire… La présence du clown, apaise l'angoisse de l'enfant et des parents lorsqu'il part au bloc. (revesdeclown.org)
  • Lors de l'examen de ces patients la possibilité de bloc cardiaque ou de pauses sinusales prolongées doit être envisagée. (asafar.net)
  • infirmier(e) de bloc opératoire, infirmier(e) anesthésiste , infirmier(e) puéricultrice, infirmier(e) en pratiques avancées, cadre de santé (manager ou formateur). (ghtyvelinesnord.fr)
  • A présent, imaginez qu'un bloc de papier et un crayon se trouvent à côté de vous . (espace-sophro17.fr)
  • Le traitement médical repose principalement sur les médicaments anticholinestérasiques qui inhibent l'enzyme de dégradation de l'acétylcholine (l'acétylcholinestérase) augmentant ainsi la quantité d'acétylcholine au niveau de la synapse neuromusculaire. (over-blog.com)
  • Elle se situe au niveau du pavillon pour les gestes simples, et sur le plateau de radiologie et du bloc opératoire selon les risques associés, les besoins en matériel ou l'anesthésie générale si elle est demandée. (chu-reunion.fr)
  • C'est la façon la plus simple et la plus employée d'estimer le degré de curarisation, à la suite d'une stimulation nerveuse, au bloc opératoire ou en salle de réveil. (alsevia.com)
  • Le plus souvent néanmoins une petite intervention en consultation ou une chirurgie au bloc opératoire seront nécessaires afin de traiter le problème. (docteur-bela.ch)
  • Le premier "gros" bloc en Mars y est clairement visible, avec l'enchaînement d'une grosse semaine de "vacances" à Lanzarote et de 2 semaines tout aussi chargées. (toutain.name)
  • Dans cette dernière étude, le taux constaté de 3,4% de paralysie en pleine conscience aux Urgences est bien supérieur à l'incidence rapportée chez les patients de bloc opératoire (0,1%) . (esanum.fr)
  • It is distinguished from NERVE BLOCK in which nerve conduction (NEURAL CONDUCTION) is interrupted rather than neuromuscular transmission. (bvsalud.org)
  • Un bloc auriculo-ventriculaire (BAV) est une altération transitoire ou permanente de la conduction normale au niveau auriculo-ventriculaire (AV) de sévérité variable. (wikimedi.ca)
  • Les blocs du premier et du deuxième degrés sont des altérations incomplètes et/ou intermittentes de la conduction auriculo-ventriculaire. (wikimedi.ca)
  • Les blocs de conduction peuvent survenir à plusieurs endroits au niveau du tissus spécialisé cardiaque soit aux niveaux nodal, intra-Hissien ou infra-Hissien. (wikimedi.ca)
  • Les blocs nodaux peuvent voir leur conduction varier avec l'influx sympathique et parasympathique. (wikimedi.ca)
  • L'aspect du complexe QRS dans un bloc supra-Hissien comparé à infranodal est souvent mince car la conduction électrique se fait via le système de conduction cardiaque spécialisés en non par le biais de cellules non-spécialisées. (wikimedi.ca)
  • Dans une majorité de cas, des manifestations « électriques » sont présentes avant l'apparition d'une dysfonction systolique, notamment des troubles du rythme supraventriculaires et des anomalies de la conduction principalement auriculoventriculaires pouvant évoluer vers des blocs complets. (cardiologie-pratique.com)
  • Des anomalies de l'ECG (blocs de conduction, extrasystoles, tachycardie…) sont détectées. (therassay.com)
  • Il agit comme cofacteur pour plus de 300 enzymes, régulant des fonctions fondamentales telles que la contraction musculaire, la conduction neuromusculaire, le contrôle de la glycémie, les contractions du cœur et la pression artérielle 1 . (medicatrix.be)
  • Si plus de 400 maladies neuromusculaires sont identifiées, le muscle est par ailleurs, affecté dans les principales pathologies chroniques et peut constituer un marqueur pronostique. (senioractu.com)
  • Pour les patients sous VNI (avec ou sans oxygène), la prescription initiale de télésurveillance peut être réalisée par le pneumologue, le réanimateur, le neurologue ou le médecin spécialisé en médecine physique ou de réadaptation exerçant dans un centre de référence ou un centre de compétences des maladies neuromusculaires. (lequotidiendumedecin.fr)
  • Les CMC correspondent aux grands types de prise en charge des services de soins de suite et de réadaptation (cardiovasculaire et respiratoire, neuromusculaire, post-traumatique, soins palliatifs, etc. (gouv.fr)
  • Dans la pratique cardiologique courante, il est plutôt difficile de différencier le bloc Hissien d'un bloc infra-Hissien, alors on utilise plutôt la nomenclature nodal ou infranodal (comprenant intra et infra-Hissien). (wikimedi.ca)
  • En savoir plus sur l'incapacité neuromusculaire (INM) et view samps'affiche sur l'écran d'information central avancé (CID). (manuals.plus)
  • Que ce soit en service d'urgence, de réanimation, de soins intensifs, en salle d'accouchement ou au bloc pour surveiller un patient sous anesthésie, il est un moyen de surveillance multi-tâches de plus en plus perfectionné. (realme.fr)
  • Cas associés à un Syndrome de Kearns-Sayre (KSS, une maladie neuromusculaire induite par des délétions de l'ADN mitochondrial : de 1,3 à 8 kilobases, souvent 5 kb). (wikipedia.org)
  • Altération de la fonction neuromusculaire, comme dans le cas du diabète sucré (bien que ce dernier se manifeste plus fréquemment par un dysfonctionnement érectile). (lepenis.fr)
  • Nous intervenons dans les secteurs du sanitaire, du médico-social, du bloc, de la rééducation, de la santé au travail, de la pharmacie, de la santé mentale, du libéral, de la petite enfance, de l'handicap et du social. (emploimedecin.com)
  • Ce projet a été porté par Aurélie Bloc, ergothérapeute et responsable du service Prévention au sein d'Amaelles à. (senioractu.com)
  • Cela fait donc au total des blocs de 3′ qu'il faudra répéter un certain nombre de fois. (wts.fr)