Syndrome De Meige
Spasme Hémifacial
Maladies De La Paupière
Dystonie
Clignement Palpébral
Muscles De La Face
Agents Neuromusculaires
Botulinum Toxins, Type A
Troubles Dystoniques
Spasme
Toxine Botulinique
Photophobie
Nerf Facial
Antidyskinésiques
Lésions Traumatiques De La Face
Muscles Oculomoteurs
Inconscience
Tics
Torticolis
Le blépharospasme est un trouble du mouvement caractérisé par une contraction involontaire et répétitive des muscles des paupières. Dans les cas légers, il peut causer une augmentation fréquente du clignement des yeux, mais dans les cas plus sévères, il peut entraîner une fermeture complète et prolongée des paupières, rendant la vision difficile ou impossible.
Les causes exactes du blépharospasme ne sont pas complètement comprises, mais on pense qu'il est lié à des anomalies dans le fonctionnement des neurones du cerveau qui contrôlent les mouvements musculaires. Il peut être associé à d'autres troubles neurologiques ou oculaires, ou il peut survenir sans cause sous-jacente apparente.
Le traitement du blépharospasme dépend de sa gravité et de ses causes sous-jacentes. Dans les cas légers, des lunettes teintées ou des lentilles de contact peuvent aider à réduire la sensibilité à la lumière qui peut aggraver les symptômes. Des médicaments tels que les anticholinergiques ou les relaxants musculaires peuvent également être utilisés pour soulager les spasmes des paupières.
Dans les cas plus sévères, une intervention chirurgicale peut être recommandée pour déconnecter les nerfs qui contrôlent les muscles des paupières ou pour affaiblir ces muscles. La thérapie botulique (toxine botulique de type A) est également souvent utilisée pour traiter le blépharospasme en injectant la substance dans les muscles des paupières pour les paralyser temporairement et réduire ainsi les spasmes.
Le syndrome de Ménière est un trouble de l'oreille interne qui provoque des épisodes récurrents de vertiges, de bourdonnements dans les oreilles (acouphènes), de perte auditive et d'une sensation de plénitude dans l'oreille affectée. Ces symptômes peuvent survenir séparément ou ensemble. Ils varient en durée et en gravité d'un épisode à l'autre, mais pour la plupart des gens, les symptômes s'aggravent progressivement au fil du temps.
Les causes exactes du syndrome de Ménière ne sont pas entièrement comprises, mais il semble que ce soit lié à une anomalie dans le volume ou la composition du liquide dans l'oreille interne. Certaines théories suggèrent qu'un excès de fluide peut accumuler dans l'oreille interne, provoquant des changements de pression et entraînant des symptômes. D'autres facteurs peuvent également contribuer au développement du syndrome de Ménière, notamment la génétique, les allergies, les infections virales, le stress et la consommation excessive de sel.
Le diagnostic est généralement posé sur la base des symptômes caractéristiques et après l'exclusion d'autres affections qui peuvent présenter des symptômes similaires. Des tests auditifs et des examens de l'équilibre peuvent être effectués pour confirmer le diagnostic.
Le traitement du syndrome de Ménière vise à contrôler les symptômes et à prévenir les épisodes. Les options de traitement comprennent des changements de mode de vie, tels qu'une réduction de la consommation de sel et de caféine, une thérapie de relaxation pour gérer le stress et l'évitement des déclencheurs connus. Des médicaments peuvent également être prescrits pour contrôler les vertiges, les nausées et les vomissements. Dans certains cas, des procédures chirurgicales peuvent être envisagées pour soulager les symptômes sévères ou persistants.
Un spasme hémifacial, également connu sous le nom d'hémispasme facial ou de syndrome de tics faciaux, est un trouble neurologique caractérisé par des contractions involontaires et répétitives d'un côté du visage. Ces spasmes affectent généralement les muscles du front, des paupières, des joues et de la bouche. Les symptômes peuvent inclure une fermeture ou clignement excessif des yeux, un soulèvement de la fronce des sourcils, un relâchement de la joue et un renversement de la lèvre. Ces spasmes peuvent être déclenchés par des émotions fortes, comme le stress ou l'anxiété, et s'intensifier progressivement avant de s'atténuer. Le spasme hémifacial est souvent confondu avec d'autres troubles, tels que les tics nerveux ou les convulsions, mais il est généralement causé par un dysfonctionnement du nerf facial. Les traitements peuvent inclure des médicaments antispasmodiques, la chirurgie et la thérapie comportementale.
Les « Maladies de la paupière » est un terme général utilisé en médecine pour décrire un large éventail de conditions qui affectent les structures des paupières, y compris la peau, les cils, les glandes sébacées, les glandes de Meibomius, les muscles, les tendons et les nerfs. Voici quelques exemples de maladies de la paupière :
1. Blepharite : inflammation des paupières, souvent causée par une infection bactérienne ou une dysfonction des glandes de Meibomius.
2. Dermatite séborrhéique : une affection cutanée qui provoque des rougeurs, des démangeaisons et des squames sur la peau des paupières.
3. Chalazion : un gonflement de la glande de Meibomius due à son obstruction, ce qui entraîne une inflammation et la formation d'un kyste sur la paupière.
4. Orgelet : une infection bactérienne de la glande lacrymale ou des follicules pileux des cils, qui se traduit par un petit bouton rouge et douloureux sur la paupière.
5. Ptéygion : une croissance anormale de la membrane conjonctive de la paupière vers la cornée.
6. Ectropion : une condition où la paupière inférieure se retourne vers l'extérieur, exposant la surface interne de la paupière et du globe oculaire.
7. Entropion : une condition où la paupière inférieure se tourne vers l'intérieur, ce qui entraîne le frottement des cils contre la cornée.
8. Blépharospasme : un spasme involontaire et incontrôlable des muscles des paupières, qui peut entraîner une fermeture prolongée ou répétitive des paupières.
9. Tumeurs bénignes ou malignes de la paupière : des excroissances anormales peuvent se former sur les paupières et peuvent être bénignes ou cancéreuses.
La dystonie est un trouble du mouvement caractérisé par des spasmes musculaires involontaires qui entraînent des contorsions ou des postures anormales. Ces spasmes peuvent affecter une seule partie du corps (focale), deux parties ou plus (segmentaire), plusieurs parties non reliées (multifocale) ou tout le corps (généralisée).
Les symptômes de la dystonie peuvent inclure des mouvements lents et répétitifs, une posture anormale, des tremblements et des douleurs. Dans certains cas, les symptômes peuvent être déclenchés ou aggravés par certaines activités ou positions.
La cause de la dystonie est inconnue dans la plupart des cas, mais elle peut être liée à une lésion cérébrale, à une maladie neurologique sous-jacente ou à un trouble génétique. Dans certains cas, la dystonie peut être traitée avec des médicaments, des injections de toxine botulique ou une intervention chirurgicale.
Il est important de noter que cette définition ne remplace pas l'avis médical et qu'il est recommandé de consulter un professionnel de santé pour tout problème de santé.
Un clignement palpébral est un mouvement rapide et réflexe des paupières qui se produit lorsque les yeux sont ouverts. Il s'agit d'un mécanisme de protection naturel qui permet de lubrifier la surface de l'œil en répartissant les larmes et en éliminant les corps étrangers ou les impuretés qui pourraient s'y être déposés.
Le clignement palpébral est déclenché par un signal nerveux envoyé depuis le nerf facial (VIIe nerf crânien) vers les muscles responsables de la fermeture des paupières, appelés muscle orbiculaire de l'œil. Ce réflexe peut être intentionnel ou involontaire et se produit en moyenne entre 15 et 20 fois par minute.
Des modifications du rythme ou de l'amplitude des clignements palpébraux peuvent être le signe d'affections oculaires, neurologiques ou psychiatriques sous-jacentes. Par exemple, une fréquence excessive de clignements peut indiquer un syndrome de sécheresse oculaire, un trouble de l'attention ou un trouble obsessionnel-compulsif, tandis qu'une diminution de la fréquence des clignements peut être associée à des maladies neurodégénératives telles que la maladie de Parkinson.
Les muscles de la face, également connus sous le nom de musculature faciale, sont un groupe complexe et hautement spécialisé de muscles squelettiques qui se trouvent dans la région faciale de l'être humain. Ils jouent un rôle crucial dans les expressions faciales, la mastication, la déglutition, la mimique, la communication non verbale et d'autres fonctions importantes.
Les muscles de la face peuvent être divisés en deux catégories principales : les muscles superficiels et les muscles profonds. Les muscles superficiels sont principalement responsables des expressions faciales et de la mobilité du visage, tandis que les muscles profonds sont plus impliqués dans les fonctions de mastication et de déglutition.
Les muscles de la face comprennent des muscles tels que le frontal, l'orbicularis oculi, le nasalis, le zygomaticus major et minor, le levator labii superioris alaeque nasi, le depressor septi nasi, le levator anguli oris, le risorius, le mentalis, le buccinator, le masseter, le temporalis, et le platysma.
Chaque muscle de la face a une fonction spécifique et travaille en synergie avec les autres muscles pour permettre une variété de mouvements et d'expressions faciales. Les lésions ou les dysfonctions des muscles de la face peuvent entraîner des difficultés à manger, à parler, à exprimer des émotions et à interagir socialement.
Les agents neuromusculaires sont des substances, y compris les médicaments et toxines, qui peuvent affecter le fonctionnement du système neuromusculaire. Le système neuromusculaire est la connection entre les nerfs et les muscles qui permet la communication nerveuse pour contrôler les mouvements musculaires.
Les agents neuromusculaires peuvent être classés en deux grandes catégories: les curarelike et les non-curarelike. Les agents curarelike, tels que la tubocurarine et le pancuronium, sont des relaxants musculaires qui agissent en bloquant la transmission neuromusculaire au niveau de la jonction neuromusculaire, ce qui entraîne une paralysie musculaire. Ces agents sont souvent utilisés pendant les anesthésies pour faciliter l'intubation et la ventilation mécanique.
Les agents non-curarelike peuvent affecter le système neuromusculaire de différentes manières. Certains, comme la botuline, une toxine produite par la bactérie Clostridium botulinum, peuvent également bloquer la transmission neuromusculaire et provoquer une paralysie musculaire. D'autres, tels que les stéroïdes et l'alcool, peuvent affaiblir les muscles en affectant leur fonctionnement ou leur structure.
Les agents neuromusculaires peuvent avoir des effets indésirables graves, notamment une faiblesse musculaire, une paralysie et des difficultés respiratoires. Par conséquent, il est important que ces agents soient utilisés avec précaution et sous surveillance médicale étroite.
La toxine botulique de type A est une neurotoxine produite par la bactérie Clostridium botulinum. Elle agit en bloquant la libération d'acétylcholine dans la jonction neuromusculaire, ce qui entraîne une paralysie musculaire temporaire.
Cette toxine est utilisée dans le traitement médical pour réduire l'activité musculaire excessive dans diverses conditions, telles que les spasmes musculaires douloureux, les mouvements involontaires anormaux, et les rides faciales excessives. Les préparations de toxine botulique de type A approuvées par la FDA comprennent le Botox, le Dysport et le Xeomin.
L'utilisation de la toxine botulique de type A nécessite une administration précise et contrôlée pour minimiser les risques d'effets indésirables graves, tels que la difficulté à avaler, la paralysie des muscles respiratoires et la propagation de la toxine au-delà du site d'injection.
Les troubles dystoniques sont un groupe de mouvements anormaux et de postures causés par des dysfonctionnements dans le système nerveux qui contrôle les muscles. Dans ces troubles, les muscles se contractent involontairement, entraînant des répétitions de mouvements involontaires, des postures tordues ou des contorsions. Ces mouvements peuvent être douloureux et affecter un seul muscle ou un groupe de muscles. Les troubles dystoniques peuvent affecter n'importe quelle partie du corps, y compris le visage, la langue, le cou, les bras, les mains, les jambes et les pieds.
Les exemples courants de troubles dystoniques comprennent la dystonie cervicale (torticolis spasmodique), dans laquelle les muscles du cou se contractent involontairement, entraînant une tête penchée ou tournée; la dystonie focale, qui affecte un muscle ou un groupe de muscles spécifiques; et la dystonie généralisée, qui affecte tout le corps.
Les causes des troubles dystoniques peuvent être génétiques, liées à une lésion cérébrale ou à une maladie neurologique sous-jacente, ou être d'origine inconnue. Le traitement peut inclure des médicaments, la physiothérapie, la thérapie occupationnelle, les injections de toxine botulique et, dans certains cas, la chirurgie.
Un spasme est un terme médical décrivant une contraction soudaine, involontaire et souvent douloureuse d'un muscle ou d'un groupe de muscles. Cela peut survenir en réponse à un étirement, une fatigue, une irritation, une maladie ou une lésion des nerfs qui contrôlent ces muscles. Les spasmes peuvent également être un effet secondaire de certains médicaments. Dans certains contextes, le terme "spasme" peut aussi se référer à une constriction soudaine et involontaire d'un vaisseau sanguin ou d'une autre structure anatomique.
La toxine botulique est une neurotoxine produite par la bactérie Clostridium botulinum. Il existe sept sérotypes différents de cette toxine, notés A à G. La toxine botulinique agit en bloquant la libération d'acétylcholine dans la jonction neuromusculaire, ce qui entraîne une paralysie musculaire temporaire.
Dans un contexte médical, la toxine botulique est utilisée comme traitement thérapeutique pour une variété de conditions, y compris les spasmes musculaires dystoniques, le strabisme, les troubles de la sudation excessive (hyperhidrose), et les migraines chroniques. Le type de toxine botulique le plus couramment utilisé à des fins médicales est la toxine botulinique de type A.
L'utilisation de la toxine botulique en médecine esthétique pour réduire les rides du visage, telles que les rides du lion et les pattes d'oie, est également devenue très populaire. Cependant, il convient de noter que l'utilisation non médicale de la toxine botulique peut comporter des risques et devrait être effectuée sous la supervision d'un professionnel de la santé qualifié.
Les paupières sont des structures mobiles qui recouvrent et protègent les yeux. Elles sont composées de plusieurs couches, y compris la peau, le tissu conjonctif, le muscle et la muqueuse. Les paupières servent à humidifier les yeux en répartissant les larmes, à protéger les yeux des corps étrangers, des rayons lumineux excessifs et des agents infectieux, et à faciliter la vision en clignant pour nettoyer et humidifier la surface de l'œil. Elles peuvent également réagir au sommeil, à la fatigue ou à d'autres stimuli émotionnels en se fermant partiellement ou complètement.
La photophobie est un terme utilisé en ophtalmologie pour décrire une sensibilité accrue et inconfortable à la lumière vive. Elle n'est pas une maladie en soi, mais plutôt un symptôme qui peut être associé à plusieurs conditions oculaires ou non oculaires.
Dans des situations normales, nos pupilles se contractent (deviennent plus petites) lorsqu'elles sont exposées à une lumière vive pour réguler la quantité de lumière entrant dans l'œil et protéger la rétine. Cependant, chez les personnes atteintes de photophobie, cette réaction est exagérée et peut causer de l'inconfort, voire de la douleur, même sous une lumière normale ou faible.
Les causes courantes de la photophobie incluent les affections oculaires telles que l'inflammation des yeux (conjonctivite), la kératite (inflammation de la cornée), l'uvéite (inflammation de l'uvée, la partie intermédiaire de l'œil entre la sclère et la rétine) et les migraines ophtalmiques. Elle peut également être observée dans certaines maladies neurologiques comme la méningite ou après une lésion cérébrale.
Le traitement de la photophobie dépend de sa cause sous-jacente. Des lunettes teintées peuvent aider à atténuer les symptômes en réduisant l'exposition à la lumière vive. Dans certains cas, le traitement de la condition sous-jacente peut soulager ou éliminer complètement la photophobie.
Le nerf facial, officiellement connu sous le nom de nerf crânien VII, est un nerf mixte dans le système nerveux périphérique humain. Il a deux parties principales : une partie motrice qui contrôle les muscles du visage, y compris ceux impliqués dans la mastication, la mimique faciale et la fermeture des paupières ; et une partie sensitive qui fournit la sensibilité au goût pour la partie antérieure de la langue. Le nerf facial émerge du tronc cérébral et passe à travers le crâne via le foramen stylomastoïde, avant de se diviser en plusieurs branches pour innerver différentes structures du visage et de la tête. Des problèmes avec ce nerf peuvent entraîner une paralysie faciale, une perte de goût ou d'autres symptômes neurologiques.
Les antidys kinésiques sont une classe de médicaments utilisés pour traiter les mouvements involontaires anormaux du corps, tels que ceux observés dans des conditions telles que la maladie de Parkinson et la chorée de Huntington. Ces médicaments fonctionnent en bloquant ou en modulant l'activité des récepteurs dopaminergiques et d'autres récepteurs du système nerveux central.
Les antidys kinésiques les plus couramment utilisés comprennent:
1. Les anticholinergiques, tels que la benztropine et le trihexyphénidyle, qui fonctionnent en bloquant l'activité des récepteurs cholinergiques dans le cerveau pour aider à contrôler les tremblements et les rigidités.
2. Les agonistes dopaminergiques, tels que la bromocriptine, la pramipexole et la ropinirole, qui imitent l'action de la dopamine dans le cerveau pour aider à contrôler les mouvements anormaux.
3. Les antagonistes dopaminergiques, tels que la tétrabénazine, qui fonctionnent en réduisant la quantité de dopamine disponible dans le cerveau pour aider à contrôler les mouvements involontaires excessifs.
4. Les benzodiazépines, telles que le clonazépam, qui peuvent être utilisées pour traiter certains types de mouvements anormaux en agissant sur les récepteurs GABAergiques dans le cerveau.
Il est important de noter que les antidys kinésiques peuvent avoir des effets secondaires significatifs, tels que la somnolence, les hallucinations, les nausées et les vertiges. Par conséquent, ils doivent être prescrits et surveillés par un professionnel de la santé qualifié pour minimiser les risques et maximiser les avantages thérapeutiques.
Les lésions traumatiques de la face sont des dommages ou des blessures qui surviennent à la suite d'un traumatisme ou d'une force externe affectant le visage. Ces lésions peuvent varier en gravité, allant de ecchymoses et coupures mineures à des fractures osseuses complexes, des déformations faciales et des dommages aux structures sensorielles telles que les yeux, les oreilles et le nez.
Les causes courantes de ces lésions comprennent les accidents de voiture, les chutes, les agressions physiques, les sports de contact et d'autres activités qui impliquent un risque élevé de collision ou de impact. Les symptômes peuvent inclure des douleurs, des gonflements, des ecchymoses, des déformations faciales, des saignements, des difficultés à mâcher ou à avaler, et des modifications de la vision, de l'ouïe ou de l'odorat.
Le traitement dépendra de la gravité et de la nature de la blessure. Dans les cas mineurs, il peut inclure des soins de base tels que le nettoyage et la désinfection des plaies, le refroidissement des ecchymoses et l'utilisation de médicaments en vente libre pour soulager la douleur. Dans les cas plus graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour réparer les fractures osseuses, restaurer la fonction des structures faciales endommagées et rétablir l'apparence normale du visage.
Les muscles oculomoteurs sont un groupe de six muscles qui contrôlent les mouvements des yeux. Ils sont responsables de la rotation et de l'orientation des globes oculaires, permettant ainsi la focalisation visuelle et le suivi des objets. Ces muscles comprennent:
1. Le muscle droit supérieur : il est responsable de la rotation de l'œil vers le haut et vers l'extérieur.
2. Le muscle droit inférieur : il permet la rotation de l'œil vers le bas et vers l'intérieur.
3. Le muscle droit médial (interne) : il fait pivoter l'œil vers l'intérieur, dans la direction nasale.
4. Le muscle droit latéral (externe) : il permet à l'œil de se déplacer vers l'extérieur, loin du nez.
5. Le muscle oblique supérieur : il est responsable de la rotation de l'œil vers le bas et vers l'intérieur.
6. Le muscle oblique inférieur : il permet la rotation de l'œil vers le haut et vers l'extérieur.
Les muscles oculomoteurs travaillent en synergie pour coordonner les mouvements des deux yeux, assurant ainsi une vision binoculaire et une perception de la profondeur adéquates. Les problèmes avec ces muscles peuvent entraîner des troubles de la vision tels que la strabisme (yeux croisés) ou des limitations dans les mouvements oculaires, ce qui peut affecter la capacité à focaliser et suivre les objets correctement.
L'inconscience est un état caractérisé par une absence de réactivité ou de conscience de soi et de son environnement. Dans le contexte médical, cela signifie qu'une personne ne répond pas aux stimuli verbaux, visuels ou tactiles et n'a pas de souvenirs ou d'expériences conscientes.
L'inconscience peut être causée par une variété de facteurs, notamment des lésions cérébrales traumatiques, un manque d'oxygène au cerveau, des infections cérébrales, des tumeurs cérébrales, des convulsions, des overdoses de médicaments ou d'alcool, et d'autres conditions médicales aiguës ou chroniques.
Le niveau de conscience d'une personne peut être évalué en utilisant des échelles telles que l'Échelle de Coma de Glasgow (ECG), qui mesure la réactivité verbale, motrice et oculaire. Les professionnels de la santé peuvent également utiliser des tests de réflexes et d'autres examens pour déterminer la cause sous-jacente de l'inconscience et élaborer un plan de traitement approprié.
Il est important de noter que l'inconscience n'est pas la même chose qu'un état végétatif, qui est un état où une personne peut avoir des réflexes automatiques mais ne présente aucune conscience ni interaction volontaire avec son environnement.
Un tic est un mouvement involontaire, soudain et répétitif qui peut affecter les muscles du visage, des épaules ou d'autres parties du corps. Les tics moteurs sont des types de tics qui impliquent des mouvements physiques. Ils peuvent inclure des clignements rapides et répétés des yeux, des secousses de la tête, des haussements d'épaules ou des grimaçantes faciales.
Les tics vocaux sont un autre type de tic qui implique des sons ou des mots involontaires. Ils peuvent inclure des reniflements répétitifs, des éternuements, des grognements ou des cris soudains. Dans certains cas, les tics vocaux peuvent inclure la répétition de mots ou de phrases entendues auparavant (appelée coprolalie).
Les tics sont souvent exacerbés par le stress, l'anxiété ou l'excitation et peuvent être temporairement supprimés par la personne atteinte. Cependant, cette suppression peut entraîner une augmentation de la tension musculaire et une décharge ultérieure du tic sous forme d'explosion soudaine et incontrôlable.
Les tics peuvent apparaître à tout âge mais sont plus fréquents chez les enfants et les adolescents. Dans la plupart des cas, ils disparaissent spontanément au fil du temps. Cependant, certains individus peuvent continuer à éprouver des tics sévères et persistants qui peuvent affecter leur fonctionnement social et professionnel.
Le trouble des tics est une condition médicale caractérisée par la présence de tics multiples ou complexes pendant plus d'un an. Ce trouble peut être traité avec des médicaments, des thérapies comportementales et des modifications du mode de vie.
Le torticolis est un terme médical qui décrit une contracture ou une raideur musculaire dans le muscle sternocléidomastoïdien du cou, entraînant une rotation et/ou inclinaison anormale de la tête. Il peut être congénital (présent dès la naissance) ou acquis (résultant d'une blessure, d'une mauvaise posture ou d'une maladie sous-jacente). Le torticolis limite la mobilité de la tête et du cou, provoquant une gêne ou une douleur considérable. Dans les cas graves et/ou chroniques, il peut entraîner des complications telles que des maux de tête, des douleurs à l'épaule et une altération de la posture. Le traitement du torticolis dépend de sa cause sous-jacente et peut inclure des étirements, des massages, des médicaments contre la douleur et/ou l'inflammation, ainsi que des thérapies physiques ou occupationnelles. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour corriger le problème.
Une injection est, dans le domaine médical, une méthode d'administration de médicaments ou de vaccins en les introduisant directement dans le corps, généralement sous la peau, dans un muscle ou dans une veine, à l'aide d'une seringue et d'une aiguille. Ce mode d'administration permet de délivrer le principe actif directement au niveau de son site d'action, ce qui peut se révéler plus efficace qu'une administration orale par exemple, où le médicament doit traverser différentes barrières (comme l'estomac et l'intestin) avant d'être distribué dans l'organisme. Il existe plusieurs types d'injections, dont les intradermiques (sous la peau), les sous-cutanées (dans le tissu conjonctif sous-cutané) et les intramusculaires (dans un muscle). Les injections peuvent être pratiquées par un professionnel de santé à l'hôpital ou en clinique, mais certaines sont également possibles en automédication, après une formation adéquate.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
Blépharospasme
Dystonie oromandibulaire
Syndrome de Meige
Syndrome d'Oppenheim
Blépharite
Xeroderma pigmentosum
Henry Meige
Toxine botulique
Contraction musculaire
Munition au phosphore blanc
Ipsen
Syndrome neurologique paranéoplasique
Épillet
Lewisite
Kératite
Dystonie (trouble moteur)
Xavier Arnozan
Aripiprazole
Méthyldichlorarsine
Liste de codes CIM-9
Dystonie (maladie)
Photinos Panas
Blépharospasme - Wikipedia
Blépharospasme
COMPRENDRE LE BLÉPHAROSPASME (TICS NERVEUX DES PAUPIÈRES)
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Spasmodique2
- Les formes les plus courantes de la maladie sont la crampe de l'écrivain, le torticolis spasmodique et le blépharospasme. (maladiesraresinfo.org)
- Il faut préciser que la toxine botulique peut aussi être utilisée pour traiter des maladies comme la dystonie ou encore le torticolis spasmodique et le blépharospasme . (tendance-parisienne.com)
Oculaires5
- Si le blépharospasme persiste et est grave, il peut provoquer des fermetures oculaires prolongées qui créent des problèmes de vision temporaires. (lesplantesafricaines.com)
- Les causes du blépharospasme sont nombreuses et variées, du stress aux autres maladies oculaires et, dans de rares cas, des problèmes cérébraux ou neurologiques. (lesplantesafricaines.com)
- Les injections de Botox se sont également avérées très efficaces pour traiter les troubles des muscles oculaires tels que le clignement incontrôlé (blépharospasme essentiel bénin) et les spasmes des paupières qui conduisent au strabisme, entre autres conditions. (celmade.com)
- Il a travaillé avec le Dr Schantz et, après des tests rigoureux, a reçu l'approbation de la FDA en 1989 pour traiter le strabisme, le blépharospasme (clignotement incontrôlé), et d'autres troubles des muscles oculaires sous le nom de marque Oculinum. (cliniquecurelabelle.ca)
- En pratiquant les injections de toxine botulinique au niveau des muscles oculaires chez les patients atteints de blépharospasme, deux médecins Jean et Alastair Carruthers constatent un effet sur l'effacement des rides de leurs patients et effectuent leur première publication en 1989. (medecine-esthetique-poleconstance.com)
Spasmes1
- Le syndrome de Meige (ou syndrome de Brueghel) qui est caractérisé par la présence de spasmes au niveau du muscle orbiculaire (blépharospasme), au niveau de la mandibule et des muscles du cou. (wikipedia.org)
Dystonies3
- Dans le cas d'une dystonie avérée acquise, accompagnée d'une dystonie du larynx/pharynx provoquée par un syndrome parkinsonien, une rééquilibrage en dopamine sera nécessaire pour en diminuer la gravité, comme dans la maladie de Parkinson ou le Syndrome d'Ehlers-Danlos type hypermobile, avec des patients atteints de nombreuses dystonies, le blépharospasme pouvant être une dystonie parmi d'autres. (wikipedia.org)
- Dystonies focales : Le blépharospasme apparaît habituellement entre 50 et 60 ans. (amadys.fr)
- Injectée à des doses minimes, la toxine botulique permet de traiter efficacement les dystonies (ici, un blépharospasme). (medipedia.be)
D'autres1
- ML41 est un filtre de couleur rose qui a été utilisé avec succès chez les patients souffrant de migraines, de blépharospasme et d'autres problèmes sensibles à la lumière. (ergra-engelen.be)
Involontaire2
- Le blépharospasme est le nom donné à la contraction involontaire des paupières. (lecturel.com)
- La forme aiguë se traduit par une douleur intense, des larmoiements, des yeux rouges, une baisse de vision, une photophobie (forte sensibilté à la lumière), et un blépharospasme (contraction répétée et involontaire des paupières). (guide-vue.fr)
Oculaire1
- Touchant particulièrement les yeux clairs, qui ont moins de pigments protecteurs que les yeux sombres, elle est souvent liée à un problème oculaire (inflammation de la conjonctive, sécheresse oculaire, blépharospasme) ou à une migraine. (medisite.fr)
Clignement2
- Les symptômes du blépharospasme sont un clignement et une fermeture non contrôlés de l'œil. (msdmanuals.com)
- Si les tremblements deviennent chroniques, il se peut que vous ayez ce qu'on appelle le « blépharospasme bénin essentiel « , qui est le nom du clignement ou du clignement des yeux chronique et incontrôlable. (dontmiss.fr)
D'une1
- il s'agit d'une condition différente appelée blépharospasme. (dontmiss.fr)
Essentiel3
- Habituellement, ce n'est pas un problème grave, mais dans ses formes les plus graves, il peut entraver les activités de la vie quotidienne: un blépharospasme essentiel bénin peut en fait provoquer la fermeture des yeux, même pendant de longues périodes. (lesplantesafricaines.com)
- Les femmes sont deux fois plus susceptibles que les hommes de souffrir d'un blépharospasme essentiel bénin. (lesplantesafricaines.com)
- Étant une affection plutôt rare, il n'est pas facile pour les médecins de diagnostiquer un blépharospasme essentiel bénin. (lesplantesafricaines.com)
L'œil1
- Le blépharospasme est un spasme des muscles se trouvant autour de l'œil. (msdmanuals.com)
Torticolis1
- La toxine botulique Botox® est injectée depuis plus de trente ans à travers le monde pour traiter et soulager des milliers de patients, enfants et adultes, atteints de troubles neuromusculaires dans de nombreux domaines thérapeutiques tels que l'ophtalmologie (blépharospasme, strabisme…) , la neurologie (paralysie faciale, torticolis spasmodiques, spasticité…) , l'urologie (incontinence urinaire). (docteurvertuciolino.com)
Photophobie1
- Au début le patient commence par ressentir une sensation de brûlure et d'irritation, suivie de photophobie de plus en plus intense, de blépharospasme. (homeopathie-dentaire.net)
Inconnue1
- La cause du blépharospasme est souvent inconnue. (msdmanuals.com)
Traitement2
- Il est également utilisé à des fins non esthétiques pour le traitement de l'hyperhidrose ou transpiration excessive au niveau des aisselles, de la paume des mains et des pieds, et pour la correction du blépharospasme, entre autres. (lausannesummerinstitute.com)
- Un couple d'ophtalmologues, Carruthers A et Carruthers JDA (voir l'article The Treatment of Glabellar Frown lines with C Botulinum-A Exotoxin ), a utilisé pour la première fois une toxine très diluée dans le traitement du blépharospasme infantile, avec un grand succès, mais a suscité au départ incompréhension et même indignation de la part du corps médical stupéfait. (chirurgie-esthetique-75006.com)
Fermeture1
- Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide) Le blépharospasme (du grec ancien βλέφαρον / blépharon, paupière et σπασμός / spasmos, spasme) est un symptôme qui se manifeste par des contractions répétées et involontaires des muscles des paupières ce qui entraîne la fermeture des paupières de façon répétitive et incontrôlée. (wikipedia.org)
Visuelle1
- Guide-Vue.fr est le site indépendant leader de la filière visuelle en parts de voix sur Google France par référencement naturel. (guide-vue.fr)
S'agit1
- Il s'agit de la Toxine botulinique fabriqué par les laboratoires ALLERGAN et utilisée depuis près de 40 ans par les ophtalmologistes (blépharospasme,stabisme). (centre-laser-luberon.com)
Involontaires1
- L'application esthétique de la toxine botulique a été découverte par hasard dans les années 1980 par un ophtalmologiste traitant une patiente pour blépharospasme (symptôme qui se manifeste par des contractions répétées et involontaires des muscles des paupières), qui a constaté une atténuation des rides . (haddad-medecine-esthetique.com)
Parfois1
- Des lésions cérébrales ou certains problèmes neurologiques comme la sclérose en plaques peuvent parfois causer le blépharospasme. (lecturel.com)
Toxine1
- que la toxine qu'elle utilise pour soigner un blépharospasme, réduit aussi l'apparence des rides . (docteurclaude.fr)
Femmes1
- Le blépharospasme bénin est plus fréquent chez les femmes que chez les hommes. (dontmiss.fr)
Strabisme4
- La FDA fait remarquer que « à la posologie recommandée, l'administration de Botox® dans le traitement de la migraine chronique, de l'hyperhidrose axillaire sévère, du blépharospasme ou du strabisme n'a donné lieu à aucun cas grave et confirmé d'effets liés à une diffusion de la toxine, pas plus que l'administration à la posologie recommandée de Botox® Cosmetic dans le but d'améliorer l'aspect de certaines rides. (medscape.com)
- Le Botox MD a d'abord été développé et commercialisé au début des années 1990 pour traiter des muscles qui bougent involontairement: blépharospasme (mouvement involontaire des paupières), strabisme, trouble du nerf facial, dystonie cervicale (mouvement involontaire de la tête), paralysie cérébrale, spasticité invalidante, dysphonie spasmodique (perte de la voix) et transpiration excessive des mains, des pieds et des aisselles. (lebelage.ca)
- Cela comprend l'hyperactivité vésicale, la dystonie cervicale, le strabisme, le blépharospasme, la migraine chronique et la spasticité des membres supérieurs. (drhenry.org)
- Le Botox est un dérivé de la toxine botulique de type A utilisé pour le traitement des pathologies comme la dystonie cervicale, le blépharospasme associé à la dystonie, le strabisme, le pied bot équin. (esthetique-saint-mande.com)
Personnes atteintes2
- Certaines personnes atteintes de blépharospasme expriment leur désarroi quant à la lenteur de la pose du diagnostic. (wikipedia.org)
- Environ 20 à 30 pour cent des personnes atteintes de blépharospasme ont des antécédents familiaux de la maladie. (whattalking.com)
Traiter1
- Cela permet de traiter des pathologies telles que le blépharospasme, l'hemispasme facial et l'hyper-lacrymation. (chirurgie-paupiere.fr)
Contractions2
- Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide) Le blépharospasme (du grec ancien βλέφαρον / blépharon, paupière et σπασμός / spasmos, spasme) est un symptôme qui se manifeste par des contractions répétées et involontaires des muscles des paupières ce qui entraîne la fermeture des paupières de façon répétitive et incontrôlée. (wikipedia.org)
- En termes de tolérance, les investigateurs rapportent plus d'effets secondaires (pression, douleurs locales, contractions des mâchoires, blépharospasme) pendant la TMSr mais aucun effet secondaire grave n'a été rapport dans les deux groupes. (medscape.com)
D'un1
- la somme de 3.359€ a été versée au Dr Casse (Ophtalmologiste, Limoges) pour la participation à l' achat d'un matériel vidéo et d'un logiciel spécifique pour l'étude du blépharospasme menée par le Professeur Adenis et le Docteur Casse. (amadys.fr)
Secondaire1
- Rarement, un blépharospasme peut également être secondaire à des troubles oculaires, dont ceux qui provoquent une irritation oculaire (p. ex. (msdmanuals.com)
Rares cas1
- Les causes du blépharospasme sont nombreuses et variées, du stress aux autres maladies oculaires et, dans de rares cas, des problèmes cérébraux ou neurologiques. (lesplantesafricaines.com)
Troubles1
- Les causes du blépharospasme sont multiples, il semble que les troubles du sommeil pourraient être l'une des principales origines du symptôme. (wikipedia.org)
Hommes1
- Le blépharospasme bénin est plus fréquent chez les femmes que chez les hommes. (dontmiss.fr)