Le type espèce du genre MICROVIRUS. Un prototype de la petite virulent ADN coliphages, il est composé d 'un brin d'ADN qui supercoiled circulaire sur infection, est convertie en replicative bicaténaire forme par une foule enzyme.
Bactériophage virulent et seule membre du genre Cystovirus qui infecte à Pseudomonas. Le virion a un génome segmentés constitué de trois morceaux de doubled-stranded ADN et aussi un unique lipid-containing enveloppe.
Virus dont les hôtes sont les cellules bactériennes.
Virus dont l'hôte est Escherichia coli.
L'acide désoxyribonucléique qui fait le matériel génétique des virus.
Virus dont les acides nucléiques est ADN.
Virus dont l'hôte est Bacillus. Fréquemment rencontré Bacillus bactériophages inclure bactériophage Phi 29 et bactériophage Phi 105.
Protéines associées au n'importe quelle espèce de virus.
Le phénomène par laquelle un phage tempérées se reflète dans l'ADN d'un hôte bactérienne établissant un genre de relation symbiotique entre PROPHAGE et la bactérie qui entraîne la perpétuation de la prophage dans tous les descendants de la bactérie. Sur d ’ induction (VIRUS ACTIVATION) par des agents divers, tels que rayonnement ultraviolet, le phage est libéré, qui sera lyses virulentes et les bactéries.
Une espèce de bêta-lactamases, Facultatively bactéries anaérobies, des bacilles (anaérobies à Gram-négatif) Facultatively tiges généralement trouvé dans la partie basse de l'intestin de les animaux à sang chaud. C'est habituellement nonpathogenic, mais certaines souches sont connues pour entraîner des infections pyogène. Pathogène DIARRHEA et souches (virotypes) sont classés par des mécanismes pathogène telles que Escherichia coli entérotoxinogène (toxines), etc.
Une seule chaîne de désoxyribonucléotides qui survient chez certaines bactéries et virus. Normalement, ça existe comme un cercle fermé de façon covalente.
Le processus par lequel une molécule d'ADN est copié.
Une famille de bacteriophages contenant un genre (Cystovirus) avec un membre (bactériophage Phi 6).
The functional héréditaire unités de virus.
Bactériophages dont le matériel génétique est ARN, qui est monobrin dans tous sauf le Pseudomonas phage phi 6 (bactériophage Phi 6), d'ARN bactériophages infecter leur hôte bactéries via l'hôte est surface Pili. Certains fréquemment rencontré ARN bactériophages sont : BF23, F2 R17, fr, PhiCb5, PhiCb12r, PhiCb8r, PhiCb23r, les sept, PP7, Q Beta phage, MS2 phage, et bactériophage Phi 6.
Bactériophage virulent et le type espèce du genre T4-like bactériophages, dans la famille MYOVIRIDAE. Il infecte E. coli et est le plus connu de l'T-even bactériophage. Son virion contient anti-ADN linéaire, super redondant et circularly permutés.
Le pliage d'un organisme est molécule d'ADN sur une si petite, ordonnée structure qui correspond à l'espace limité d'une cellule ou VIRUS PARTICLE.
Le processus de multiplication, virale intracellulaire composée de la synthèse des PROTEINS ; ACIDS nucléique, tantôt lipides, et leur assemblage dans une nouvelle particule infectieuses.
Aucun détectable et héréditaire changement dans le matériel génétique qui peut provoquer un changement dans le génotype et qui est transmis à cellules filles et pour les générations futures.
L'adhésion de gaz, les liquides, ou dissous les solides sur une surface. Il inclut adsorptive phénomènes de bactéries et virus surfaces aussi. Absorption dans la substance peut suivre mais pas forcément.
Et le type moderee phage inductible espèce du genre lambda-like des virus, dans la famille SIPHOVIRIDAE. Son hôte naturel est E. Coli K12. Son ADN bicaténaire FRAGMENTE contient linéaire avec monobrin 12-base 5 'extrémités circularizes. L'ADN sur l'infection.
La séquence des purines et PYRIMIDINES dans les acides nucléiques et polynucleotides. On l'appelle aussi séquence nucléotidique.
Extrachromosomal, généralement CIRCULAR des molécules d'ADN qui sont transférables autoréplication et d'un organisme à un autre. Ils sont présentés dans diverses Archéal bactériennes, fongiques, et des algues, espèces de plantes. Elles sont utilisées en ingénierie CLONING GENETIC comme des vecteurs.
Enzymes Restriction-Modification qui font partie des systèmes. Ils endonucleolytic enclencher le clivage des séquences d'ADN qui manque la méthylation propre modèle de la cellule hôte. L'ADN bicaténaire clivage spécifique des rendements aléatoire ou fragments avec terminal 5 '-phosphates. La fonction des enzymes de restriction est de détruire un autre ADN qui envahit les cellules. La plupart ont été étudiées chez bactérienne, mais quelques systèmes ont été trouvés dans les organismes eucaryotes. Ils sont aussi utilisés comme outils pour la dissection systématique et et cartographpie de chromosomes, base sur la détermination des séquences d'ADN, et ont permis de raccord et se recombiner gènes d'un organisme dans le génome d'une autre. CE 3.21.1.
L ’ un des molécules d'ADN fermé de façon covalente trouvé entre les bactéries, des virus, mitochondries, plastids, et à des plasmides. Petit, polydisperse ADN circulaire est ont également été observée chez plusieurs organismes eucaryotes et ai proposées homologie avec l'ADN chromosomique et la capacité de but, et extrait de l'ADN chromosomique, c'est un fragment d'ADN formé par un processus de mettre en boucle et radier, contenant une constante région du mu lourde chaîne et le 3 '-part le mu échanger l'ADN est une région. Circulaire produits normale de réarrangement parmi des gênes la variable d'encodage des régions en immunoglobuline la lumière et de lourdes chaînes, ainsi que les récepteurs des cellules T (Riger et al., Glossaire de Genetics, 5ème e & Segen, Dictionary of Modern Medicine, 1992)
Une espèce de les bactéries c'est un saprophyte du sol et de l'eau.
Bactériophage virulent et le type espèce du genre T7-like bactériophages, dans la famille PODOVIRIDAE... qui infecte E. coli. C'est un mélange de linéaire anti-ADN, super redondant, et non-permuted.
Une catégorie séquences d'acides nucléiques cette fonction en unités de l'hérédité et qui code à la base des instructions pour le développement, la reproduction et la conservation des organismes.
Séparation de particules selon un gradient de densité en recourant à diverses densités. Équilibre chaque particule s'installe dans la pente à un point égale à sa densité. (Dictionnaire de McGraw-Hill Terms scientifique et technique, 4e éditeur)
Une série de 7 virulent bactériophage qui infecter E. coli. La T2, T-even bactériophage T4 ; (bactériophage T4) et T6 et le phage 5e classe sont appelés "de manière autonome virulent" parce qu'ils provoquent l ’ arrêt du métabolisme de maladies bactériennes. Bactériophage T3 T1, ; (bactériophage T3) et T7 ; (bactériophage T7) sont appelés "dépendante" virulente parce qu'ils dépendent de la poursuite lytic métabolisme bactérienne pendant le cycle. Le T-even bactériophages contiennent 5-hydroxymethylcytosine à la place de ordinaire cytosine dans leur ADN.
Virus dont l'hôte est Staphylococcus.
Virus dont l'hôte est Pseudomonas. Un fréquemment rencontré Pseudomonas phage est bactériophage Phi 6.
Moderee coliphage, dans ce genre Mu-like virus, la famille MYOVIRIDAE, composée d'une molécule linéaire, deux brins d'ADN, qui est inséré lui-même au hasard n'importe où sur l'hôte chromosome. Ça provoque fréquemment une une mutation en interrompant la continuité de la bactérie Opéron au point d'insertion.
Microscopie en utilisant un électron poutre, au lieu de lumière, de visualiser l'échantillon, permettant ainsi plus grand grossissement. Les interactions des électrons passent avec les spécimens sont utilisés pour fournir des informations sur la fine structure de ce spécimen. Dans TRANSMISSION électron les réactions du microscope à électrons sont retransmis par le spécimen sont numérisée. Dans le microscope à électrons qu'arriver tombe à un angle sur le spécimen non-normal et l'image est extraite des indésirables survenant au-dessus de l'avion du spécimen.
La propriété d'objets qui détermine la direction de chaleur coulent quand elles sont placées dans contact thermique direct. La température est de l'énergie de motions microscopiques et invariances transitionnelles) (vibration des particules d'atomes.
Le capuchon extérieur de protéine coquille d'un virus qui protège l'acide nucléique viral.
ARN composée de deux filaments contrairement au plus répandues monobrin double-branche d'ARN, la plupart des segments sont formés par la transcription d ’ ADN par Intramolecular base-pairing inversé séquences complémentaires séparés par un monobrin boucle. Certains segments double-branche d'ARN sont normales dans tous les organismes.
Le développement de structures anatomiques pour créer la forme d'un organisme unique ou multi-cell. Morphogénèse fournit forme change de rôle, parties, ou l'organisme.
Les évolutions du taux de produit chimique ou systèmes physiques.
Un genre de bactéries aérobies à Gram négatif, des bacilles, largement distribuée dans la nature. Certaines espèces sont pathogène pour les humains, animaux et plantes.
La somme des poids de tous les atomes dans une molécule.
Rupture de cellules bactériennes en raison de force mécanique, chimique ou de la croissance des lytic BACTERIOPHAGES.
Acide aminé, spécifique des descriptions de glucides, ou les séquences nucléotides apparues dans la littérature et / ou se déposent dans et maintenu par bases de données tels que la banque de gènes GenBank, européen (EMBL laboratoire de biologie moléculaire), la Fondation de Recherche Biomedical (NBRF) ou une autre séquence référentiels.
L'acide ribonucléique qui fait le matériel génétique des virus.
Une espèce de tempéré bactériophage dans ce genre, famille MYOVIRIDAE P2-like virus qui infecte E. coli. C'est un mélange de linéaire anti-ADN avec 19-base extrémités.
Virus dont l'hôte est Streptococcus.
Bactériophage tempérées INOVIRUS sur le genre qui infecte les entérobactéries, surtout E. coli filamenteuse. C'est un phage ADN et est constituée de monobrin circularly permutés.
Le parfait complément génétique contenus dans une molécule d'ADN ou d'ARN dans un virus.
L'onde arrangement des atomes d'un acide nucléique ou polynucleotide qui aboutit à la forme en 3 dimensions.
Bactériophage dans ce genre T7-like bactériophages, de la famille PODOVIRIDAE, ce qui est très étroitement liée à bactériophage T7.
Pour la synthèse de moules Macromolecular macromolecules complémentaires, comme dans l'ADN REPLICATION ; GENETIC la transcription d'ADN et ARN GENETIC anglaise d'ARN dans polypeptides.
Enzymes ADN qui catalysent template-directed extension de la 3 '-Fin de l'ARN brin un nucléotide à la fois. Elles peuvent déclencher une chaîne de novo eukaryotes. Dans trois formes de l ’ enzyme, on peut distinguer sur la base d ’ hypersensibilité à alpha-amanitin, et le type d'ARN synthétique. (De Enzyme nomenclature, 1992).
Une technique de dactylographie bactérienne qui établit une distinction entre des bactéries ou des bactéries par leur sensibilité réduite à un ou plusieurs bacteriophages.
Une espèce de tempéré bactériophage dans ce genre, famille MYOVIRIDAE P1-like virus qui infecte E. coli. C'est le plus grand des COLIPHAGES et est constituée d ’ ADN bicaténaire, super redondant, et circularly permutés.
Microscope à électrons impliquant congélation rapide des échantillons. L'imagerie de frozen-hydrated molécules et organites permis la meilleure résolution près de l'état vivant, libre de produit chimique fixatives ou taches.
Le transfert de l ’ ADN bactérien par bactériophages d'une bactérie pour une autre bactérie. Ça évoque aussi le transfert de gènes dans les cellules eucaryotes par des virus. Ce processus naturel est régulièrement employée en tant que Gene VIREMENT technique.
Une famille de BACTERIOPHAGES et Archaeal les virus qui se caractérise par de longs, non-contractile pile.

Le bactériophage Phi X 174 est un type spécifique de virus qui infecte exclusivement certaines souches de la bactérie E. coli. Il s'agit d'un petit virus à ADN monocaténaire, ce qui signifie qu'il contient une seule molécule d'ADN circulaire simple brin. Ce bactériophage est largement étudié en virologie et en biologie moléculaire en raison de sa petite taille, de sa structure relativement simple et de son génome bien caractérisé.

Le Phi X 174 a un diamètre d'environ 25 nanomètres et une capside icosaédrique, qui est la forme géométrique protectrice entourant le matériel génétique du virus. Sa petite taille et sa structure simple en ont fait un organisme modèle important pour étudier les interactions entre les virus et leurs hôtes bactériens, ainsi que pour comprendre les mécanismes fondamentaux de la réplication, de la transcription et de la traduction de l'ADN.

Le Phi X 174 est également connu pour sa capacité à empaqueter son génome sous forme d'une molécule d'ADN circulaire double brin dans la capside du virus, ce qui en fait un membre des Caudovirales, un ordre de virus à queue. Ce virus a été le premier dont le génome a été entièrement séquencé, ce qui s'est produit en 1977. Depuis lors, il continue d'être un organisme modèle important pour la recherche en virologie et en biologie moléculaire.

Le bactériophage Phi 6 est un type spécifique de virus qui infecte exclusivement certaines souches de bactéries. Dans ce cas, le bactériophage Phi 6 est connu pour infecter la bactérie Pseudomonas syringae pathovar phaseolicola. Ce phage est souvent étudié en raison de sa structure complexe et de son cycle de vie intéressant, qui comprend des étapes de réplication lytique et lysogénique.

Le bactériophage Phi 6 a une capside icosaédrique composée de trois types différents de protéines de capside. Il possède également une queue complexe avec des fibres terminales qui lui permettent de se lier spécifiquement à la surface de sa bactérie hôte. Une fois lié, le phage peut injecter son matériel génétique dans la cellule bactérienne et commencer le processus de réplication.

Le cycle de vie du bactériophage Phi 6 peut être lytique ou lysogénique, selon les conditions environnementales. Dans le cycle lytique, le phage prend le contrôle de la machinerie cellulaire de la bactérie et produit de nombreuses copies de lui-même avant que la cellule ne soit lysée (détruite) et que les nouveaux phages soient libérés dans l'environnement. Dans le cycle lysogénique, le matériel génétique du phage s'intègre dans le génome de la bactérie hôte et peut rester inactif pendant plusieurs générations avant d'être activé et de commencer à se répliquer.

Le bactériophage Phi 6 est souvent utilisé comme modèle pour étudier les interactions entre les virus et les bactéries, ainsi que pour comprendre les mécanismes moléculaires impliqués dans la réplication virale et l'évolution des phages.

Les bactériophages, également connus sous le nom de phages, sont des virus qui infectent et se répliquent dans les bactéries. Ils sont extrêmement spécifiques aux souches bactériennes hôtes et ne infectent pas les cellules humaines ou animales. Les bactériophages peuvent être trouvés dans une variété d'environnements, y compris l'eau, le sol, les plantes et les animaux.

Les bactériophages se lient à des récepteurs spécifiques sur la surface de la bactérie hôte et insèrent leur matériel génétique dans la cellule bactérienne. Ils peuvent ensuite suivre l'un des deux parcours de réplication : le chemin lytique ou le chemin lysogénique.

Dans le chemin lytique, les bactériophages prennent le contrôle du métabolisme de la cellule hôte et utilisent ses ressources pour se répliquer. Ils produisent de nombreuses copies d'eux-mêmes et finissent par lyser (rompre) la membrane cellulaire bactérienne, libérant de nouvelles particules virales dans l'environnement.

Dans le chemin lysogénique, les bactériophages s'intègrent dans le génome de la bactérie hôte et restent inactifs pendant plusieurs générations. Lorsque certaines conditions sont remplies, comme une quantité adéquate de dommages à l'ADN de la bactérie hôte, les bactériophages peuvent devenir actifs, se répliquer et libérer de nouvelles particules virales.

Les bactériophages ont été découverts en 1915 par Frederick Twort au Royaume-Uni et Félix d'Hérelle en France. Ils ont été largement étudiés comme agents thérapeutiques potentiels contre les infections bactériennes, connus sous le nom de phagothérapie. Cependant, l'avènement des antibiotiques a éclipsé cette approche dans la plupart des pays développés. Avec la montée des bactéries résistantes aux antibiotiques, les bactériophages sont à nouveau considérés comme une alternative prometteuse pour traiter ces infections.

Les coliphages sont des bacteriophages, ou virus qui infectent les bactéries, spécifiques aux souches de Escherichia coli (E. coli). Ils sont largement utilisés comme indicateurs de contamination fécale dans l'eau en raison de leur présence courante dans les déjections des animaux à sang chaud et des humains. Les coliphages peuvent survivre plus longtemps dans l'environnement que les bactéries pathogènes d'origine fécale, ce qui en fait un outil sensible pour la détection de la contamination potentielle par des agents pathogènes.

Les coliphages sont classés en deux groupes principaux : les coliphages F rares (ou narrow host range) et les coliphages M (ou broad host range). Les coliphages F rares infectent uniquement certaines souches d'E. coli qui portent le facteur de fructose (F), tandis que les coliphages M peuvent infecter un large éventail de souches d'E. coli et d'autres espèces bactériennes apparentées, telles que Shigella et Salmonella.

Les coliphages sont couramment détectés en utilisant des méthodes culturales, où des milieux nutritifs spécifiques sont inoculés avec des échantillons d'eau suspects et des bactéries indicatrices sensibles aux coliphages. Après incubation, la présence de plaques de lyse (zones claires entourant les colonies de bactéries lysées) indique la présence de coliphages infectieux dans l'échantillon.

En plus d'être utilisés comme indicateurs de contamination fécale, les coliphages sont également étudiés pour leur potentiel en thérapie phagique, une approche alternative aux antibiotiques pour traiter les infections bactériennes.

L'ADN viral fait référence à l'acide désoxyribonucléique (ADN) qui est présent dans le génome des virus. Le génome d'un virus peut être composé d'ADN ou d'ARN (acide ribonucléique). Les virus à ADN ont leur matériel génétique sous forme d'ADN, soit en double brin (dsDNA), soit en simple brin (ssDNA).

Les virus à ADN peuvent infecter les cellules humaines et utiliser le mécanisme de réplication de la cellule hôte pour se multiplier. Certains virus à ADN peuvent s'intégrer dans le génome de la cellule hôte et devenir partie intégrante du matériel génétique de la cellule. Cela peut entraîner des changements permanents dans les cellules infectées et peut contribuer au développement de certaines maladies, telles que le cancer.

Il est important de noter que la présence d'ADN viral dans l'organisme ne signifie pas nécessairement qu'une personne est malade ou présentera des symptômes. Cependant, dans certains cas, l'ADN viral peut entraîner une infection active et provoquer des maladies.

Les "Phages de Bacillus" se réfèrent à des bacteriophages, qui sont des virus qui infectent et se répliquent dans des bactéries, spécifiquement celles de l'espèce Bacillus. Les bacteriophages sont des prédateurs naturels des bactéries et peuvent être utilisés comme un agent de contrôle des bactéries dans les applications médicales et industrielles. Les phages de Bacillus ont démontré un potentiel particulier dans le traitement des infections causées par des souches résistantes aux antibiotiques de Bacillus, telles que Bacillus anthracis (anthrax) et Bacillus cereus (intoxications alimentaires). Cependant, il est important de noter que l'utilisation de phages thérapeutiques est encore en cours d'étude et n'est pas largement approuvée dans de nombreux pays.

Les protéines virales sont des molécules protéiques essentielles à la structure et à la fonction des virus. Elles jouent un rôle crucial dans presque tous les aspects du cycle de vie d'un virus, y compris l'attachement et l'entrée dans une cellule hôte, la réplication du génome viral, l'assemblage de nouvelles particules virales et la libération de ces particules pour infecter d'autres cellules.

Les protéines virales peuvent être classées en plusieurs catégories fonctionnelles :

1. Protéines de capside : Ces protéines forment la structure protectrice qui entoure le matériel génétique du virus. Elles sont souvent organisées en une structure géométrique complexe et stable.

2. Protéines d'enveloppe : Certaines espèces de virus possèdent une membrane lipidique externe, ou enveloppe virale, qui est dérivée de la membrane cellulaire de l'hôte infecté. Les protéines virales intégrées dans cette enveloppe jouent un rôle important dans le processus d'infection, comme l'attachement aux récepteurs de la cellule hôte et la fusion avec la membrane cellulaire.

3. Protéines de matrice : Ces protéines se trouvent sous la membrane lipidique externe des virus enveloppés et sont responsables de l'organisation et de la stabilité de cette membrane. Elles peuvent également participer à d'autres étapes du cycle viral, comme la réplication et l'assemblage.

4. Protéines non structurées : Ces protéines n'ont pas de rôle direct dans la structure du virus mais sont importantes pour les fonctions régulatrices et enzymatiques pendant le cycle de vie du virus. Par exemple, certaines protéines virales peuvent agir comme des polymerases, des protéases ou des ligases, catalysant des réactions chimiques essentielles à la réplication et à l'assemblage du génome viral.

5. Protéines d'évasion immunitaire : Certains virus produisent des protéines qui aident à échapper aux défenses de l'hôte, comme les interférons, qui sont des molécules clés du système immunitaire inné. Ces protéines peuvent inhiber la production ou l'activation des interférons, permettant au virus de se répliquer plus efficacement et d'éviter la détection par le système immunitaire.

En résumé, les protéines virales jouent un rôle crucial dans tous les aspects du cycle de vie des virus, y compris l'attachement aux cellules hôtes, la pénétration dans ces cellules, la réplication et l'assemblage du génome viral, et l'évasion des défenses immunitaires de l'hôte. Comprendre la structure et la fonction de ces protéines est essentiel pour développer des stratégies thérapeutiques et préventives contre les maladies infectieuses causées par les virus.

La lysogénie est un processus dans lequel un bacteriophage, un type de virus qui infecte les bactéries, s'intègre dans le génome de la bactérie hôte au lieu de suivre son cycle de réplication et de lyse normaux. Dans ce processus, l'ADN du bacteriophage est inséré dans l'ADN de la bactérie hôte sous forme de prophage. Le bacteriophage reste alors inactif, souvent pendant plusieurs générations, sans perturber les fonctions normales de la bactérie hôte.

Cependant, des conditions spécifiques peuvent activer le prophage, ce qui entraîne la transcription et la traduction des gènes du bacteriophage. Cela conduit à la production de nouveaux virus et finalement à la lyse de la bactérie hôte, libérant ainsi de nombreux nouveaux bacteriophages dans l'environnement pour infecter d'autres bactéries.

La lysogénie est un exemple important de relation symbiotique entre les virus et leurs hôtes, avec des implications significatives pour la génétique, la biologie évolutive et la pathogenèse bactérienne.

Escherichia coli (E. coli) est une bactérie gram-negative, anaérobie facultative, en forme de bâtonnet, appartenant à la famille des Enterobacteriaceae. Elle est souvent trouvée dans le tractus gastro-intestinal inférieur des humains et des animaux warms blooded. La plupart des souches d'E. coli sont inoffensives et font partie de la flore intestinale normale, mais certaines souches peuvent causer des maladies graves telles que des infections urinaires, des méningites, des septicémies et des gastro-entérites. La souche la plus courante responsable d'infections diarrhéiques est E. coli entérotoxigénique (ETEC). Une autre souche préoccupante est E. coli producteur de shigatoxines (STEC), y compris la souche hautement virulente O157:H7, qui peut provoquer des colites hémorragiques et le syndrome hémolytique et urémique. Les infections à E. coli sont généralement traitées avec des antibiotiques, mais certaines souches sont résistantes aux médicaments couramment utilisés.

L'ADN monocaténaire est une forme d'acide désoxyribonucléique qui ne contient qu'une seule chaîne ou brin de nucléotides. Dans la plupart des cellules, l'ADN existe sous forme de double hélice, composée de deux brins complémentaires qui s'enroulent ensemble. Cependant, dans certaines circonstances, comme lors du processus de réplication ou de réparation de l'ADN, il peut être temporairement présenté sous forme monocaténaire.

L'ADN monocaténaire est également observé dans certains virus à ADN, tels que les parvovirus, qui ont un génome d'ADN simple brin. Dans ces virus, l'ADN monocaténaire est la forme infectieuse et doit être converti en double brin pour permettre la réplication et la transcription de son génome.

Il convient de noter que l'ADN monocaténaire est plus fragile et sujet à la dégradation par les nucléases, qui sont des enzymes qui coupent l'ADN, que l'ADN double brin. Par conséquent, il doit être stabilisé et protégé pour maintenir son intégrité structurelle et fonctionnelle.

La réplication de l'ADN est un processus biologique essentiel à la vie qui consiste à dupliquer ou à copier l'information génétique contenue dans l'acide désoxyribonucléique (ADN) avant que la cellule ne se divise. Ce processus permet de transmettre fidèlement les informations génétiques des parents aux nouvelles cellules filles lors de la division cellulaire.

La réplication de l'ADN est initiée au niveau d'une région spécifique de l'ADN appelée origine de réplication, où une enzyme clé, l'hélicase, se lie et commence à dérouler la double hélice d'ADN pour exposer les brins complémentaires. Une autre enzyme, la primase, synthétise ensuite des courtes séquences de ARN messager (ARNm) qui servent de point de départ à l'élongation de nouveaux brins d'ADN.

Deux autres enzymes, les polymerases, se lient alors aux brins d'ADN exposés et commencent à synthétiser des copies complémentaires en utilisant les bases nucléiques libres correspondantes (A avec T, C avec G) pour former de nouvelles liaisons hydrogène. Ce processus se poursuit jusqu'à ce que les deux nouveaux brins d'ADN soient complètement synthétisés et que la fourche de réplication se referme.

La réplication de l'ADN est un processus très précis qui permet de minimiser les erreurs de copie grâce à des mécanismes de correction d'erreur intégrés. Cependant, certaines mutations peuvent quand même survenir et être transmises aux générations suivantes, ce qui peut entraîner des variations dans les caractéristiques héréditaires.

Je suis désolé, mais il semble y avoir une confusion dans votre question. "Cystoviridae" n'est pas une définition médicale ou un terme médical reconnu. Cependant, c'est le nom d'une famille de virus qui comprend le phage φ6 et des virus apparentés. Ces virus infectent les bactéries et possèdent un génome segmenté à ARN double brin. Si vous cherchiez une définition ou une information sur ce sujet, je serais heureux de vous aider avec plaisir.

Les gènes viraux se réfèrent aux segments d'ADN ou d'ARN qui composent le génome des virus et codent pour les protéines virales essentielles à leur réplication, infection et propagation. Ces gènes peuvent inclure ceux responsables de la production de capside (protéines structurelles formant l'enveloppe du virus), des enzymes de réplication et de transcription, ainsi que des protéines régulatrices impliquées dans le contrôle du cycle de vie viral.

Dans certains cas, les gènes viraux peuvent également coder pour des facteurs de pathogénicité, tels que des protéines qui suppriment la réponse immunitaire de l'hôte ou favorisent la libération et la transmission du virus. L'étude des gènes viraux est cruciale pour comprendre les mécanismes d'infection et de pathogenèse des virus, ce qui permet le développement de stratégies thérapeutiques et préventives ciblées contre ces agents infectieux.

Un bactériophage T4, également connu sous le nom de phage T4, est un type spécifique de virus qui infecte exclusivement certaines souches de la bactérie Escherichia coli (E. coli). Il s'agit d'un grand virus avec une structure complexe constituée d'une capside icosaédrique et d'une queue longue et contractile.

Le bactériophage T4 se lie à des récepteurs spécifiques situés sur la surface de la bactérie hôte, ce qui permet au virus d'injecter son matériel génétique dans la cellule bactérienne. Une fois à l'intérieur de la bactérie, le matériel génétique du phage T4 prend le contrôle du métabolisme de la cellule hôte et force la bactérie à produire de nouvelles particules virales.

Au cours de ce processus, le phage T4 modifie également la paroi cellulaire de l'hôte pour faciliter la libération des nouveaux virus formés. En fin de compte, cela entraîne la lyse (rupture) de la bactérie hôte et la libération de centaines de nouvelles particules virales dans l'environnement, où elles peuvent infecter d'autres cellules bactériennes sensibles.

Le bactériophage T4 est largement étudié en raison de sa structure complexe et de son cycle de vie bien compris. Il sert de modèle pour l'étude des interactions entre les virus et leurs hôtes, ainsi que pour la compréhension des mécanismes moléculaires impliqués dans la réplication virale et l'assemblage des particules virales.

L'encapsidation de l'ADN est un processus dans lequel l'acide désoxyribonucléique (ADN) d'un virus est empaqueté dans une protéine appelée capside pour former une particule virale infectieuse. La capside protège l'ADN du virus contre les enzymes et autres défenses de l'hôte, permettant ainsi au virus de survivre à l'extérieur d'une cellule hôte et de se répliquer une fois qu'il a infecté une nouvelle cellule.

Le processus d'encapsidation est spécifique à chaque type de virus et peut être déclenché par des signaux moléculaires spécifiques. Dans certains cas, l'ADN du virus doit être coupé ou modifié avant qu'il ne puisse être encapsidé. Une fois que l'ADN est empaqueté dans la capside, il peut être recouvert d'une enveloppe lipidique supplémentaire pour former un virion mature.

L'encapsidation de l'ADN est une étape clé du cycle de réplication des virus et est donc un domaine important de recherche dans le développement de thérapies antivirales.

La réplication virale est le processus par lequel un virus produit plusieurs copies de lui-même dans une cellule hôte. Cela se produit lorsqu'un virus infecte une cellule et utilise les mécanismes cellulaires pour créer de nouvelles particules virales, qui peuvent ensuite infecter d'autres cellules et continuer le cycle de réplication.

Le processus de réplication virale peut être divisé en plusieurs étapes :

1. Attachement et pénétration : Le virus s'attache à la surface de la cellule hôte et insère son matériel génétique dans la cellule.
2. Décapsidation : Le matériel génétique du virus est libéré dans le cytoplasme de la cellule hôte.
3. Réplication du génome viral : Selon le type de virus, son génome sera soit transcrit en ARNm, soit répliqué directement.
4. Traduction : Les ARNm produits sont traduits en protéines virales par les ribosomes de la cellule hôte.
5. Assemblage et libération : Les nouveaux génomes viraux et les protéines virales s'assemblent pour former de nouvelles particules virales, qui sont ensuite libérées de la cellule hôte pour infecter d'autres cellules.

La réplication virale est un processus complexe qui dépend fortement des mécanismes cellulaires de l'hôte. Les virus ont évolué pour exploiter ces mécanismes à leur avantage, ce qui rend difficile le développement de traitements efficaces contre les infections virales.

En génétique, une mutation est une modification permanente et héréditaire de la séquence nucléotidique d'un gène ou d'une région chromosomique. Elle peut entraîner des changements dans la structure et la fonction des protéines codées par ce gène, conduisant ainsi à une variété de phénotypes, allant de neutres (sans effet apparent) à délétères (causant des maladies génétiques). Les mutations peuvent être causées par des erreurs spontanées lors de la réplication de l'ADN, l'exposition à des agents mutagènes tels que les radiations ou certains produits chimiques, ou encore par des mécanismes de recombinaison génétique.

Il existe différents types de mutations, telles que les substitutions (remplacement d'un nucléotide par un autre), les délétions (suppression d'une ou plusieurs paires de bases) et les insertions (ajout d'une ou plusieurs paires de bases). Les conséquences des mutations sur la santé humaine peuvent être très variables, allant de maladies rares à des affections courantes telles que le cancer.

L'adsorption est un processus dans lequel des atomes, des ions ou des molécules se fixent à la surface d'un matériau adsorbant. Dans un contexte médical, l'adsorption est importante dans plusieurs domaines, tels que la pharmacologie et la toxicologie.

Dans la pharmacologie, l'adsorption fait référence à la fixation des médicaments sur les surfaces des matériaux avec lesquels ils entrent en contact après l'administration. Ce processus affecte la biodisponibilité et la vitesse d'action du médicament. Par exemple, lorsque vous prenez un médicament par voie orale, il doit d'abord être adsorbé dans le tractus gastro-intestinal avant de pénétrer dans la circulation sanguine et d'atteindre ses sites cibles dans le corps.

Dans la toxicologie, l'adsorption est un mécanisme important de détoxification. Les toxines peuvent être adsorbées par des charbons activés ou d'autres matériaux absorbants, ce qui empêche leur absorption dans le corps et favorise leur élimination.

En résumé, l'adsorption est un processus crucial dans la médecine car il affecte la façon dont les médicaments sont distribués et éliminés dans le corps, ainsi que la manière dont les toxines sont neutralisées et éliminées.

Un bactériophage lambda, souvent simplement appelé phage lambda, est un virus qui infecte exclusivement certaines souches de la bactérie E. coli. Il s'agit d'un virus très étudié en biologie moléculaire en raison de sa structure relativement simple et de son cycle de vie intéressant.

Le phage lambda a un génome constitué d'ADN double brin et est encapsulé dans une capside protectrice. Lorsqu'il infecte une bactérie E. coli, il peut suivre l'un des deux chemins possibles : le chemin lytique ou le chemin lysogénique.

Dans le chemin lytique, le phage lambda prend le contrôle de la machinerie cellulaire de la bactérie et utilise ses ressources pour se répliquer et produire de nouvelles particules virales. Ce processus entraîne finalement la lyse (la rupture) de la bactérie, libérant ainsi de nombreuses nouvelles particules virales dans l'environnement pour infecter d'autres bactéries.

Dans le chemin lysogénique, le phage lambda insère son génome dans celui de la bactérie hôte sous forme de prophage. Le prophage est répliqué avec la bactérie et transmis à sa descendance. Dans des conditions spécifiques, le prophage peut être induit pour suivre le chemin lytique et produire de nouvelles particules virales.

Le bactériophage lambda est un outil important en biologie moléculaire, utilisé notamment dans la génie génétique pour la construction de bibliothèques génomiques et pour l'ingénierie du génome.

Une séquence nucléotidique est l'ordre spécifique et linéaire d'une série de nucléotides dans une molécule d'acide nucléique, comme l'ADN ou l'ARN. Chaque nucléotide se compose d'un sucre (désoxyribose dans le cas de l'ADN et ribose dans le cas de l'ARN), d'un groupe phosphate et d'une base azotée. Les bases azotées peuvent être adénine (A), guanine (G), cytosine (C) et thymine (T) dans l'ADN, tandis que dans l'ARN, la thymine est remplacée par l'uracile (U).

La séquence nucléotidique d'une molécule d'ADN ou d'ARN contient des informations génétiques cruciales qui déterminent les caractéristiques et les fonctions de tous les organismes vivants. La décodage de ces séquences, appelée génomique, est essentiel pour comprendre la biologie moléculaire, la médecine et la recherche biologique en général.

Les plasmides sont des molécules d'ADN extrachromosomiques double brin, circulaires et autonomes qui se répliquent indépendamment du chromosome dans les bactéries. Ils peuvent également être trouvés dans certains archées et organismes eucaryotes. Les plasmides sont souvent associés à des fonctions particulières telles que la résistance aux antibiotiques, la dégradation des molécules organiques ou la production de toxines. Ils peuvent être transférés entre bactéries par conjugaison, transformation ou transduction, ce qui en fait des vecteurs importants pour l'échange de gènes et la propagation de caractères phénotypiques dans les populations bactériennes. Les plasmides ont une grande importance en biotechnologie et en génie génétique en raison de leur utilité en tant que vecteurs clonage et d'expression des gènes.

Les enzymes de restriction de l'ADN sont des endonucléases qui coupent l'ADN (acide désoxyribonucléique) à des sites spécifiques déterminés par la séquence nucléotidique. Elles sont largement utilisées dans les techniques de biologie moléculaire, telles que le clonage et l'analyse de l'ADN.

Les enzymes de restriction sont produites principalement par des bactéries et des archées comme mécanisme de défense contre les virus (bactériophages). Elles coupent l'ADN viral, empêchant ainsi la réplication du virus dans la cellule hôte.

Chaque enzyme de restriction reconnaît une séquence nucléotidique spécifique dans l'ADN, appelée site de restriction. La plupart des enzymes de restriction coupent les deux brins de l'ADN au milieu du site de restriction, générant des extrémités cohésives ou collantes. Certaines enzymes de restriction coupent chaque brin à des distances différentes du site de restriction, produisant des extrémités décalées ou émoussées.

Les enzymes de restriction sont classées en fonction de la manière dont elles coupent l'ADN. Les deux principaux types sont les endonucléases de type II et les endonucléases de type I et III. Les endonucléases de type II sont les plus couramment utilisées dans les applications de recherche en biologie moléculaire en raison de leur spécificité élevée pour des séquences d'ADN particulières et de leurs propriétés d'endonucléase.

Les enzymes de restriction sont un outil essentiel dans les techniques de génie génétique, notamment le clonage moléculaire, l'analyse des gènes et la cartographie de l'ADN. Ils permettent aux scientifiques de manipuler et d'étudier l'ADN avec une grande précision et flexibilité.

L'ADN circulaire est une forme d'ADN (acide désoxyribonucléique) qui forme une boucle fermée sur elle-même, contrairement à l'ADN linéaire qui possède des extrémités libres. Cette structure se retrouve dans certains virus, plasmides bactériens et mitochondries.

Les plasmides bactériens sont des petits cercles d'ADN qui peuvent se répliquer indépendamment du chromosome bactérien et sont souvent responsables de la résistance aux antibiotiques chez les bactéries. Les mitochondries, organites présents dans les cellules eucaryotes, possèdent également leur propre ADN circulaire qui code pour certaines de leurs propres protéines.

L'ADN circulaire peut aussi être le résultat d'une réparation de l'ADN endommagé ou d'un processus de recombinaison génétique. Dans certains cas, des fragments d'ADN linéaire peuvent se rejoindre pour former une boucle fermée, créant ainsi une molécule d'ADN circulaire.

Les avantages de l'ADN circulaire comprennent sa stabilité structurelle et sa capacité à se répliquer indépendamment du chromosome hôte. Cependant, elle peut également présenter des inconvénients, tels que la susceptibilité à l'accumulation de mutations et la difficulté à réguler l'expression génétique.

Bacillus subtilis est une bactérie gram-positive, en forme de bâtonnet, facultativement anaérobie et sporulante. Elle est largement répandue dans l'environnement, notamment dans le sol, l'eau et les végétaux. Cette bactérie est souvent utilisée comme modèle dans la recherche en biologie moléculaire et est également étudiée pour ses propriétés industrielles, telles que sa production d'enzymes et de métabolites utiles.

Bien que Bacillus subtilis ne soit pas considérée comme une bactérie pathogène pour les humains, elle peut causer des infections opportunistes chez les personnes dont le système immunitaire est affaibli. Cependant, ces infections sont rares et généralement traitées avec succès avec des antibiotiques appropriés.

En plus de ses applications en recherche et en industrie, Bacillus subtilis est également utilisée dans l'alimentation humaine et animale comme probiotique, car elle peut aider à prévenir la croissance de bactéries nocives dans l'intestin et stimuler le système immunitaire.

Un bactériophage T7 est un type spécifique de virus qui infecte exclusivement certaines souches de la bactérie Escherichia coli (E. coli). Il s'attache et se lie aux récepteurs sur la surface de la bactérie, puis insère son matériel génétique dans le génome bactérien. Après la réplication, les nouveaux virus se forment et finissent par éclater hors de la cellule hôte, entraînant souvent sa mort.

Le bactériophage T7 est largement étudié en virologie et en biologie moléculaire en raison de sa petite taille, de son cycle de vie court et de son génome simple composé d'ADN à double brin. Il a été utilisé comme modèle pour comprendre les mécanismes fondamentaux de la réplication virale, de la transcription et de l'assemblage.

Le bactériophage T7 est également étudié dans le contexte de la thérapie phagique, une stratégie visant à utiliser des virus pour traiter les infections bactériennes. Cette approche pourrait offrir une alternative ou un complément aux antibiotiques traditionnels, en particulier face à l'augmentation de la résistance antimicrobienne.

En termes simples, un gène est une séquence d'acide désoxyribonucléique (ADN) qui contient les instructions pour la production de molécules appelées protéines. Les protéines sont des composants fondamentaux des cellules et remplissent une multitude de fonctions vitales, telles que la structure, la régulation, la signalisation et les catalyseurs des réactions chimiques dans le corps.

Les gènes représentent environ 1 à 5 % du génome humain complet. Chaque gène est une unité discrète d'hérédité qui code généralement pour une protéine spécifique, bien que certains gènes fournissent des instructions pour produire des ARN non codants, qui ont divers rôles dans la régulation de l'expression génétique et d'autres processus cellulaires.

Les mutations ou variations dans les séquences d'ADN des gènes peuvent entraîner des changements dans les protéines qu'ils codent, ce qui peut conduire à des maladies génétiques ou prédisposer une personne à certaines conditions médicales. Par conséquent, la compréhension des gènes et de leur fonction est essentielle pour la recherche biomédicale et les applications cliniques telles que le diagnostic, le traitement et la médecine personnalisée.

La centrifugation en gradient de densité est une technique de séparation utilisée dans le domaine de la biologie et de la médecine. Elle consiste à utiliser une force centrifuge pour séparer des particules ou des molécules en fonction de leur masse et de leur taille, mais aussi de leur densité.

Cette technique utilise un milieu de densité contrôlée, constitué d'une solution de saccharose ou de percoll par exemple, dans laquelle on dispose l'échantillon à séparer. Lors de la centrifugation, les particules ou molécules se déplacent à travers le gradient de densité et s'arrêtent à un niveau correspondant à leur propre densité.

Cette méthode est couramment utilisée pour séparer des fractions cellulaires hétérogènes telles que les sous-populations de cellules sanguines ou les différents organites présents dans une cellule. Elle permet également de purifier des virus, des exosomes ou des ARN messagers.

Il est important de noter que la centrifugation en gradient de densité nécessite un matériel spécifique et doit être réalisée avec soin pour éviter toute contamination ou dommage aux échantillons.

Les bacteriophages, souvent simplement appelés phages, sont des virus qui infectent et se répliquent dans les bactéries. Les phages thérapeutiques (Phages T) font référence à l'utilisation de ces virus pour traiter les infections bactériennes.

Chaque type de phage est spécifique à une certaine souche ou espèce de bactérie, ce qui signifie qu'ils ne tuent que les bactéries ciblées sans affecter les cellules humaines ou d'autres micro-organismes. Cela en fait un outil potentiellement précieux dans le traitement des infections bactériennes résistantes aux antibiotiques.

Les phages thérapeutiques peuvent être administrés par voie topique, orale ou intraveineuse, selon l'emplacement et la gravité de l'infection. Bien que cette forme de thérapie ait été utilisée dans le passé, en particulier en Europe de l'Est, avant l'ère des antibiotiques, elle n'est pas largement acceptée ou approuvée par les organismes de réglementation médicale aux États-Unis et dans d'autres pays développés. Cependant, face à la crise croissante de la résistance aux antimicrobiens, il y a un regain d'intérêt pour explorer le potentiel des phages thérapeutiques comme alternative ou complément aux antibiotiques traditionnels.

Les phages de Staphylococcus, également connus sous le nom de bacteriophages de Staphylococcus aureus, sont des virus qui infectent et se répliquent dans les bactéries du genre Staphylococcus, en particulier Staphylococcus aureus. Ces phages sont spécialisés et ne peuvent infecter que certaines souches de staphylocoques. Ils jouent un rôle important dans la régulation des populations bactériennes dans les environnements naturels.

Les phages de Staphylococcus peuvent être utilisés comme agents thérapeutiques potentiels pour traiter les infections à staphylocoques, en particulier celles qui sont résistantes aux antibiotiques. Cette approche, appelée phagothérapie, consiste à utiliser des phages spécifiques pour cibler et éliminer les bactéries pathogènes sans affecter les bactéries bénéfiques. Cependant, l'utilisation de la phagothérapie est encore expérimentale et nécessite davantage de recherches et de preuves pour établir son efficacité et sa sécurité dans le traitement des infections bactériennes.

Les phages de Pseudomonas sont des types spécifiques de bacteriophages, qui sont des virus qui infectent et se répliquent dans les bactéries. Plus précisément, ils infectent la bactérie Pseudomonas aeruginosa, une bactérie gram-négative courante qui peut causer des infections opportunistes chez l'homme.

Les phages de Pseudomonas sont étudiés pour leur potentiel thérapeutique dans le traitement des infections à Pseudomonas aeruginosa, en particulier chez les patients atteints de fibrose kystique et d'autres maladies chroniques qui peuvent développer une résistance aux antibiotiques. Les phages de Pseudomonas se lient spécifiquement à des récepteurs situés sur la surface de Pseudomonas aeruginosa, ce qui leur permet de s'y fixer et d'injecter leur matériel génétique dans la bactérie.

Une fois que le phage a infecté la bactérie, il utilise les mécanismes cellulaires de la bactérie pour se répliquer et produire de nouvelles particules virales. Ce processus peut entraîner la lyse de la bactérie, ce qui signifie qu'elle éclate et meurt, libérant ainsi de nouvelles particules virales dans l'environnement pour infecter d'autres bactéries Pseudomonas aeruginosa.

Les phages de Pseudomonas sont un domaine de recherche actif en raison de leur potentiel à fournir une alternative aux antibiotiques pour traiter les infections résistantes, ainsi que pour leur capacité à cibler spécifiquement certaines souches de bactéries sans affecter les autres micro-organismes bénéfiques.

Un bactériophage Mu, également connu sous le nom de bacteriophage φX174, est un type de virus qui infecte exclusivement les bactéries. Plus précisément, il s'attaque à la bactérie Escherichia coli (E. coli). Le bactériophage Mu est un virus à ADN non enveloppé, ce qui signifie qu'il n'a pas de membrane lipidique entourant son matériel génétique.

Ce type de bactériophage est connu pour sa capacité à s'intégrer dans le génome de la bactérie hôte, ou autrement dit, il peut insérer son propre matériel génétique dans l'ADN de la bactérie. Cela permet au virus de se répliquer avec la bactérie et de se propager plus efficacement. Lorsque la bactérie hôte se divise, le bactériophage Mu est également dupliqué, ce qui entraîne la production de nouvelles particules virales.

Le bactériophage Mu est un sujet d'étude important en virologie et en biologie moléculaire en raison de sa capacité à se réarranger génétiquement et à évoluer rapidement, ce qui le rend particulièrement intéressant pour les recherches sur l'évolution des virus et la manipulation génétique.

En termes médicaux, la température fait référence à la mesure de la chaleur produite par le métabolisme d'un organisme et maintenue dans des limites relativement étroites grâce à un équilibre entre la production de chaleur et sa perte. La température corporelle normale humaine est généralement considérée comme comprise entre 36,5 et 37,5 degrés Celsius (97,7 à 99,5 degrés Fahrenheit).

Des écarts par rapport à cette plage peuvent indiquer une variété de conditions allant d'un simple rhume à des infections plus graves. Une température corporelle élevée, également appelée fièvre, est souvent un signe que l'organisme combat une infection. D'autre part, une température basse, ou hypothermie, peut être le résultat d'une exposition prolongée au froid.

Il existe plusieurs sites sur le corps où la température peut être mesurée, y compris sous l'aisselle (axillaire), dans l'anus (rectale) ou dans la bouche (orale). Chacun de ces sites peut donner des lectures légèrement différentes, il est donc important d'être cohérent sur le site de mesure utilisé pour suivre les changements de température au fil du temps.

Un capside est une structure protectrice constituée de protéines qui entoure le génome d'un virus. Il s'agit d'une couche extérieure rigide ou semi-rigide qui protège l'acide nucléique du virus contre les enzymes et autres agents dégradants présents dans l'environnement extracellulaire. Le capside est généralement constitué de plusieurs copies d'une ou quelques protéines différentes, qui s'assemblent pour former une structure géométrique symétrique.

Le capside joue un rôle important dans la reconnaissance et l'entrée du virus dans la cellule hôte. Il contient souvent des sites de liaison spécifiques aux récepteurs qui permettent au virus d'interagir avec les molécules situées à la surface de la cellule hôte, déclenchant ainsi le processus d'infection.

Le capside est l'une des deux principales structures constituant un virus, l'autre étant l'enveloppe virale, une membrane lipidique qui peut être présente chez certains virus et absente chez d'autres. Les virus dont le génome est entouré par un capside mais pas par une enveloppe sont appelés virus nus ou non enveloppés.

ARN bicaténaire, ou ARN double brin, est un type d'acide ribonucléique qui a une structure secondaire avec deux brins complémentaires s'appariant l'un à l'autre, créant ainsi une configuration en forme de double hélice similaire à celle de l'ADN. Cependant, contrairement à l'ADN, les deux brins d'ARN bicaténaire sont constitués d'unités ribonucléotidiques, qui contiennent du ribose au lieu de déoxyribose et peuvent contenir des bases modifiées.

Les ARN bicaténaires jouent un rôle important dans divers processus cellulaires, notamment la régulation génétique et l'interférence ARN. Ils sont également associés à certaines maladies humaines, telles que les infections virales et certains troubles neurologiques.

Les ARN bicaténaires peuvent être produits de manière endogène par la cellule elle-même ou peuvent provenir d'agents infectieux tels que des virus. Les ARN bicaténaires viraux sont souvent une cible pour les défenses immunitaires de l'hôte, car ils peuvent être reconnus et dégradés par des enzymes telles que la DICER, qui est responsable de la production de petits ARN interférents (siARN) à partir d'ARN bicaténaires.

En résumé, l'ARN bicaténaire est un type important d'acide ribonucléique qui joue un rôle clé dans la régulation génétique et la défense contre les agents infectieux. Sa structure en double brin le distingue de l'ARN monocaténaire plus courant, qui ne contient qu'un seul brin d'acide nucléique.

La morphogénèse est un terme utilisé en biologie du développement pour décrire le processus par lequel l'organisation spatiale et la forme des cellules, des tissus et des organes émergent et se différencient dans un embryon en croissance. Ce processus est orchestré par une combinaison complexe de facteurs, y compris des interactions cellulaires, des changements chimiques et physiques, et l'expression génétique spatio-temporelle précise.

Au cours de la morphogénèse, les cellules peuvent se déplacer, se diviser, s'allonger, se différencier ou mourir, ce qui entraîne des changements dans la forme et la fonction des tissus. Ces processus sont régis par des morphogènes, qui sont des molécules signalant spécifiques qui diffusent à travers les tissus pour fournir des informations positionnelles aux cellules environnantes.

La morphogénèse est un domaine important de l'étude du développement car il joue un rôle crucial dans la détermination de la forme et de la fonction des organismes. Les anomalies dans les processus de morphogénèse peuvent entraîner des malformations congénitales et d'autres problèmes de santé.

En médecine et en pharmacologie, la cinétique fait référence à l'étude des changements quantitatifs dans la concentration d'une substance (comme un médicament) dans le corps au fil du temps. Cela inclut les processus d'absorption, de distribution, de métabolisme et d'excrétion de cette substance.

1. Absorption: Il s'agit du processus par lequel une substance est prise par l'organisme, généralement à travers la muqueuse gastro-intestinale après ingestion orale.

2. Distribution: C'est le processus par lequel une substance se déplace dans différents tissus et fluides corporels.

3. Métabolisme: Il s'agit du processus par lequel l'organisme décompose ou modifie la substance, souvent pour la rendre plus facile à éliminer. Ce processus peut également activer ou désactiver certains médicaments.

4. Excrétion: C'est le processus d'élimination de la substance du corps, généralement par les reins dans l'urine, mais aussi par les poumons, la peau et les intestins.

La cinétique est utilisée pour prédire comment une dose unique ou répétée d'un médicament affectera le patient, ce qui aide à déterminer la posologie appropriée et le schéma posologique.

"Pseudomonas" est un genre de bactéries à gram négatif, en forme de bâtonnet, largement répandues dans l'environnement. Elles peuvent être trouvées dans des sources d'eau douce et salée, dans le sol, sur les plantes et dans les systèmes de distribution d'eau. Certaines espèces de Pseudomonas sont opportunistes et peuvent causer des infections chez l'homme, en particulier chez les personnes dont le système immunitaire est affaibli. L'espèce la plus courante responsable d'infections humaines est Pseudomonas aeruginosa. Ces infections peuvent affecter divers sites du corps, y compris la peau, les poumons, le sang et les voies urinaires. Les infections à Pseudomonas sont souvent difficiles à traiter en raison de la résistance de ces bactéries aux antibiotiques couramment utilisés.

La masse moléculaire est un concept utilisé en chimie et en biochimie qui représente la masse d'une molécule. Elle est généralement exprimée en unités de masse atomique unifiée (u), également appelées dalton (Da).

La masse moléculaire d'une molécule est déterminée en additionnant les masses molaires des atomes qui la composent. La masse molaire d'un atome est elle-même définie comme la masse d'un atome en grammes divisée par sa quantité de substance, exprimée en moles.

Par exemple, l'eau est composée de deux atomes d'hydrogène et un atome d'oxygène. La masse molaire de l'hydrogène est d'environ 1 u et celle de l'oxygène est d'environ 16 u. Ainsi, la masse moléculaire de l'eau est d'environ 18 u (2 x 1 u pour l'hydrogène + 16 u pour l'oxygène).

La détermination de la masse moléculaire est importante en médecine et en biochimie, par exemple dans l'identification et la caractérisation des protéines et des autres biomolécules.

Bactériolyse est le processus par lequel certaines bactéries sont détruites ou digérées par des enzymes produites par d'autres micro-organismes, des phagocytes ou des cellules immunitaires. Ce terme est souvent utilisé dans le contexte de la recherche médicale et microbiologique pour décrire l'action de certaines bactériophages (virus qui infectent et se multiplient dans les bactéries) ou de certains composés antibactériens qui peuvent provoquer la lyse, ou la destruction, des parois cellulaires bactériennes. La bactériolyse est un mécanisme important de défense de l'organisme contre les infections bactériennes et joue également un rôle dans le contrôle de la croissance des populations bactériennes dans les milieux naturels.

Les données de séquence moléculaire se réfèrent aux informations génétiques ou protéomiques qui décrivent l'ordre des unités constitutives d'une molécule biologique spécifique. Dans le contexte de la génétique, cela peut inclure les séquences d'ADN ou d'ARN, qui sont composées d'une série de nucléotides (adénine, thymine, guanine et cytosine pour l'ADN; adénine, uracile, guanine et cytosine pour l'ARN). Dans le contexte de la protéomique, cela peut inclure la séquence d'acides aminés qui composent une protéine.

Ces données sont cruciales dans divers domaines de la recherche biologique et médicale, y compris la génétique, la biologie moléculaire, la médecine personnalisée, la pharmacologie et la pathologie. Elles peuvent aider à identifier des mutations ou des variations spécifiques qui peuvent être associées à des maladies particulières, à prédire la structure et la fonction des protéines, à développer de nouveaux médicaments ciblés, et à comprendre l'évolution et la diversité biologique.

Les technologies modernes telles que le séquençage de nouvelle génération (NGS) ont rendu possible l'acquisition rapide et économique de vastes quantités de données de séquence moléculaire, ce qui a révolutionné ces domaines de recherche. Cependant, l'interprétation et l'analyse de ces données restent un défi important, nécessitant des méthodes bioinformatiques sophistiquées et une expertise spécialisée.

L'ARN viral (acide ribonucléique viral) est le matériel génétique présent dans les virus qui utilisent l'ARN comme matériel génétique, à la place de l'ADN. L'ARN viral peut être de simple brin ou double brin et peut avoir différentes structures en fonction du type de virus.

Les virus à ARN peuvent être classés en plusieurs groupes en fonction de leur structure et de leur cycle de réplication, notamment:

1. Les virus à ARN monocaténaire (ARNmc) positif : l'ARN viral peut servir directement de matrice pour la synthèse des protéines après avoir été traduit en acides aminés par les ribosomes de la cellule hôte.
2. Les virus à ARN monocaténaire (ARNmc) négatif : l'ARN viral ne peut pas être directement utilisé pour la synthèse des protéines et doit d'abord être transcrit en ARNmc positif par une ARN polymérase spécifique du virus.
3. Les virus à ARN bicaténaire (ARNbc) : ils possèdent deux brins complémentaires d'ARN qui peuvent être soit segmentés (comme dans le cas de la grippe) ou non segmentés.

Les virus à ARN sont responsables de nombreuses maladies humaines, animales et végétales importantes sur le plan épidémiologique et socio-économique, telles que la grippe, le rhume, l'hépatite C, la poliomyélite, la rougeole, la rubéole, la sida, etc.

Un bactériophage P2 est un type spécifique de virus qui infecte exclusivement certaines souches de bactéries, en particulier E. coli. Les bactériophages sont des virus qui infectent et se répliquent dans les bactéries, ce qui peut entraîner la mort ou l'inactivation de ces dernières.

Le bactériophage P2 est un virus à double brin à ADN, ce qui signifie qu'il contient deux molécules d'ADN complémentaires qui forment une structure en forme de double hélice. Il a un génome relativement petit et code pour environ 20 protéines différentes.

Le bactériophage P2 se lie à la surface des bactéries cibles en reconnaissant des récepteurs spécifiques sur leur surface. Une fois lié, il injecte son ADN dans la bactérie et prend le contrôle de son métabolisme pour produire de nouvelles particules virales. Après avoir assemblé de nombreuses copies de lui-même, le bactériophage P2 déclenche la lyse de la bactérie, ce qui libère les nouveaux virus dans l'environnement et permet ainsi leur propagation.

Le bactériophage P2 est un outil important en biologie moléculaire car il peut être utilisé pour introduire des gènes étrangers dans des bactéries hôtes, ce qui permet de produire des protéines recombinantes à grande échelle. Il est également étudié comme agent thérapeutique potentiel contre les infections bactériennes, en particulier celles résistantes aux antibiotiques.

Les phages de Streptococcus, également connus sous le nom de bacteriophages streptococciques, sont des virus qui infectent et se répliquent dans les bactéries du genre Streptococcus. Ces bactéries comprennent diverses espèces pathogènes pour l'homme, telles que Streptococcus pyogenes (streptocoque bêta-hémolytique du groupe A), Streptococcus pneumoniae (pneumocoque) et Streptococcus agalactiae (streptocoque du groupe B).

Les phages de Streptococcus sont étudiés dans le cadre de la recherche sur les thérapies antimicrobiennes, en particulier pour lutter contre les infections résistantes aux antibiotiques. Les phages peuvent être spécifiques à une souche bactérienne donnée, ce qui permet une thérapie ciblée et évite de perturber la microflore normale. Cependant, il est important de noter que l'utilisation de phages comme traitement médical fait toujours l'objet de recherches et n'est pas largement adoptée dans la pratique clinique actuelle.

Un bactériophage M13 est un type spécifique de virus qui infecte exclusivement certaines souches de la bactérie E. coli. Il est classé comme un filamenteux, ou « filamenteux », car il a une forme allongée et fine qui ressemble à une tige. Le bactériophage M1

Le génome viral se réfère à l'ensemble complet de gènes ou matériel génétique qu'un virus contient. Il peut être composé d'ADN (acide désoxyribonucléique) ou d'ARN (acide ribonucléique), et peut être soit à double brin, soit à simple brin. La taille du génome viral varie considérablement selon les différents types de virus, allant de quelques kilobases à plusieurs centaines de kilobases. Le génome viral contient toutes les informations nécessaires à la réplication et à la propagation du virus dans l'hôte infecté.

La conformation d'acide nucléique fait référence à la structure tridimensionnelle que prend une molécule d'acide nucléique, comme l'ADN ou l'ARN, en fonction de la manière dont ses sucres et ses bases sont liés les uns aux autres. La conformation la plus courante de l'ADN est la double hélice de B-DNA, dans laquelle deux brins antiparallèles d'acide nucléique s'enroulent l'un autour de l'autre en formant des paires de bases complémentaires. Cependant, l'ADN et l'ARN peuvent adopter une variété de conformations différentes, y compris l'A-DNA, le Z-DNA, l'ADN triplex et les structures d'ARN à boucle en puits. Ces différentes conformations peuvent influencer la fonction des acides nucléiques dans des processus tels que la réplication, la transcription et la traduction de l'ADN.

Un bactériophage T3 est un type spécifique de virus qui infecte exclusivement certaines souches de la bactérie Escherichia coli (E. coli). Il s'attache et s'injecte dans la bactérie, où il utilise le matériel génétique de la cellule hôte pour se répliquer et produire de nouvelles particules virales. Après avoir terminé ce processus, le bactériophage T3 déclenche la lyse (explosion) de la bactérie, libérant ainsi de nombreuses copies du virus dans l'environnement pour infecter d'autres cellules hôtes.

Le bactériophage T3 est un virus à ADN non enveloppé, ce qui signifie qu'il ne possède pas d'enveloppe lipidique externe. Son génome est constitué d'une molécule d'ADN linéaire double brin d'environ 40 kilobases de paires de bases. Le bactériophage T3 se lie et infecte les souches d'E. coli qui expriment le récepteur de la lysozyme E, ce qui lui permet de reconnaître et d'infecter spécifiquement ces cellules hôtes.

Le bactériophage T3 est un virus très bien étudié et a été utilisé comme modèle pour comprendre les mécanismes moléculaires de la réplication, de l'assemblage et du cycle de vie des bactériophages. Il sert également de vecteur clonage dans la recherche génétique et moléculaire en raison de sa capacité à transporter et à exprimer des fragments d'ADN étrangers dans les cellules hôtes E. coli.

Dans le domaine de la biologie moléculaire, les "DNA-directed RNA polymerases" sont des enzymes clés responsables de la transcription de l'information génétique contenue dans l'ADN en ARN. Plus précisément, ces enzymes synthétisent une molécule d'ARN complémentaire à une séquence spécifique d'ADN en utilisant le brin matrice comme modèle. Ce processus est essentiel pour la production de protéines fonctionnelles dans les cellules vivantes, car l'ARN messager (ARNm) produit par ces polymerases sert de support intermédiaire entre l'ADN et les ribosomes, où se déroule la traduction en une chaîne polypeptidique.

Les "DNA-directed RNA polymerases" sont classées en plusieurs types selon leur localisation cellulaire et leurs propriétés catalytiques spécifiques. Par exemple, dans les bactéries, on trouve principalement l'enzyme appelée RNA polymerase de type VII, qui est composée de plusieurs sous-unités protéiques différentes. Dans les eucaryotes, il existe plusieurs types d'ARN polymérases, chacune étant responsable de la transcription d'un type spécifique d'ARN : ARNm, ARNr, ARNt et divers petits ARNs non codants.

En résumé, les "DNA-directed RNA polymerases" sont des enzymes qui catalysent la synthèse d'ARN à partir d'une matrice ADN, jouant un rôle central dans l'expression génétique et la régulation de l'activité cellulaire.

Le typage bactériophage est un processus utilisé en microbiologie pour classer et identifier différents types (ou souches) de bactériophages, qui sont des virus qui infectent et se répliquent dans des bactéries. Ce processus consiste généralement à examiner les propriétés morphologiques et physiologiques des bactériophages, telles que leur forme, leur taille, leur structure, leur mode de réplication et leur hôte préféré.

Le typage bactériophage peut être effectué en utilisant une variété de techniques, y compris la microscopie électronique, l'analyse de séquences génomiques, l'hôte-gamme et les tests d'inactivation. Les résultats de ces tests peuvent être utilisés pour classer les bactériophages en différents types ou groupes, ce qui peut aider à prédire leur comportement dans des environnements spécifiques et à déterminer leur potentiel d'utilisation en thérapie phagique, une forme de thérapie antimicrobienne qui utilise des bactériophages pour traiter les infections bactériennes.

Il est important de noter que le typage bactériophage est un domaine en évolution rapide, car de nouvelles techniques et méthodes sont constamment développées pour améliorer la précision et la sensibilité du processus de classification.

Un bactériophage P1 est un type spécifique de virus qui infecte exclusivement les bactéries, en particulier Escherichia coli (E. coli). Il s'agit d'un virus à double brin à ADN, appartenant à la famille des Myoviridae.

Le bactériophage P1 est connu pour sa capacité à se répliquer de manière lytique et lysogénique dans les hôtes bactériens. Dans le mode de réplication lytique, il s'attache à la surface de la bactérie, injecte son ADN dans le cytoplasme et utilise le métabolisme de la cellule hôte pour se répliquer et produire de nouvelles particules virales. Ce processus entraîne finalement la lyse (éclatement) de la bactérie, libérant ainsi les nouveaux virus dans l'environnement.

Dans le mode de réplication lysogénique, le bactériophage P1 s'intègre dans le génome de l'hôte bactérien sous forme de prophage et se réplique passivement avec la cellule hôte sans provoquer de lyse. Le virus peut rester latent pendant plusieurs générations avant d'être déclenché pour passer en mode de réplication lytique.

Le bactériophage P1 est également connu pour son utilisation dans les techniques de clonage et d'ingénierie génétique, car il peut transporter des fragments d'ADN étrangers importants dans sa capside lorsqu'il infecte une nouvelle cellule hôte. Cela en fait un outil précieux pour la manipulation et le transfert de gènes entre différentes souches bactériennes ou même entre les bactéries et d'autres organismes.

La cryo-microscopie électronique (Cryo-ME) est une technique de microscopie avancée qui permet d'observer des structures biologiques à l'état naturel, sans coloration ni fixation chimique. Cette méthode consiste à plonger rapidement un échantillon dans de l'azote liquide pour le vitrifier, c'est-à-dire le refroidir brutalement afin qu'il conserve sa structure native et éviter ainsi les dommages causés par la cristallisation de l'eau.

L'échantillon vitrifié est ensuite observé sous un microscope électronique à transmission (TEM) fonctionnant à des températures extrêmement basses, généralement autour de -170°C. Les électrons interagissent avec la matière de l'échantillon et créent des contrastes qui peuvent être enregistrés par un détecteur de type caméra. Les images obtenues sont ensuite traitées numériquement pour améliorer leur qualité et permettre une analyse détaillée des structures observées.

La cryo-microscopie électronique est particulièrement utile pour l'étude des macromolécules biologiques telles que les protéines, les ARN et les complexes supramoléculaires. Elle a récemment connu un essor considérable grâce au développement de détecteurs directs d'électrons (DDE) qui ont permis d'obtenir des résolutions atomiques sur certains échantillons, ouvrant ainsi la voie à une meilleure compréhension des mécanismes moléculaires impliqués dans divers processus biologiques.

En 2017, Jacques Dubochet, Joachim Frank et Richard Henderson ont reçu le prix Nobel de chimie pour leurs travaux sur le développement et l'application de la cryo-microscopie électronique en biologie structurale.

Siphoviridae est une famille de virus appartenant à l'ordre des Caudovirales, qui sont des virus à double brin à ADN. Les membres de cette famille sont caractérisés par leur queue longue et flexible, qui est non contractile. La longueur de la queue peut varier considérablement d'un membre à l'autre.

Les virions (particules virales) des Siphoviridae ont une tête icosaédrique régulière avec un diamètre d'environ 60 nanomètres. La queue est attachée à l'une des faces de la tête et se compose d'une base plate et d'une longue tige flexible qui se termine par six fibres terminales.

Les Siphoviridae infectent une grande variété d'hôtes, y compris les bactéries, les archées et les levures. Ils sont largement répandus dans l'environnement et jouent un rôle important dans la régulation des populations microbiennes. Les membres de cette famille comprennent des phages bien connus tels que le phage lambda, qui infecte Escherichia coli, et le phage T4, qui infecte les bactéries du genre Bacillus.

Les Siphoviridae sont également étudiés pour leur potentiel en thérapie génique et en biocontrôle, car ils peuvent être utilisés pour délivrer des gènes dans des cellules cibles ou pour lutter contre les bactéries pathogènes.

Sanger et son équipe de scientifiques ont créé une banque du bactériophage phi X 174 pour une utilisation dans le séquençage de ... 37, no 5,‎ novembre 2012, p. 829-41 (PMID 23107919, DOI 10.1007/s12038-012-9253-z) « Nucleotide sequence of bacteriophage phi ... Les vecteurs du bactériophage P1 peuvent contenir des inserts de 70 à 100 kb. Ce sont au départ des molécules dADN linéaires ... Les cosmides sont des plasmides qui contiennent une petite région dADN du bactériophage λ appelée séquence cos. Cette séquence ...
Bactériophage phi X-174 Descripteur en anglais: Bacteriophage phi X 174 Descripteur en espagnol: Bacteriófago phi X 174 ... fago phi X 174 fago phi X 174 de enterobacterias Note dapplication:. Especie tipo del género MICROVIRUS. Prototipo de los ... Phage phi X-174. Phage phi X-174 des entérobactéries. Code(s) darborescence:. B04.123.205.320. B04.123.470.500.320. B04.280. ... Coliphage phi X-174 Phage phi X-174 Phage phi X-174 des entérobactéries ...
Phi_1, pourrait être efficace dans le traitement du choléra, sans niveaux de résistance détectables[16,17]. Des données qui ... Bactériophages : résultats du premier essai clinique chez des grands brûlés *. Lyme : des nouvelles recommandations mais pas la ... à plus de 174 000 décès par surdosage des opioïdes, dominés principalement par le détournement du fentanyl », souligne-t-il. ...
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