Déficit visuels temporaires ou le traitement visuel en série rapide survenant pendant une présentation visuelle tâche. Après une personne s'identifie la première de deux de cibles en visuel, la capacité de détecter d ’ altération de la seconde cible pour les prochains 100 millisecondes. Ce phénomène est appelé Attentional Blink.
Un intervalle de réponse retardées survenant quand deux stimuli sont présentés en étroite succession.
Brève fermeture des paupières par involontaire fermeture périodique normale, par précaution, ou par action volontaire.
Se concentrer sur certains aspects de expérience actuelle de l 'exclusion des autres. C'est l'acte d'avoir suivi ou remarqués ou concentration.
Apprendre à faire une série de réponses dans l'ordre exact.
Processus mental à visuellement percevoir un nombre suffisant de faits (le modèle), telles que des personnages, formes, apparences, ou dessins.
Le temps entre le début d'un stimulus jusqu'à une réponse est observée.
Technique communément utilisé au cours d'investigation ELECTROENCEPHALOGRAPHY dans lequel une série de lumière vive ces flashes ou des modèles visuels sont utilisés pour l ’ obtention d ’ activité cérébrale.
Signaux pour une action ; une partie d'un champ de perception ou un motif de stimuli auquel un sujet a appris à répondre.
La sélection et organiser de stimuli visuels sur la base est passé.
L'intervention d'un stimulus perceptive avec un autre entraînant une diminution ou décharger dans la perception de l ’ efficacité.
La science a affaire à la corrélation des caractéristiques physiques d'un stimulus, e. g., la fréquence ou intensité, avec la réponse aux stimuli, afin d 'évaluer la psychologique facteurs impliqués dans la relation.
L'acte de "compte tenu" d'un objet ou état de choses. Ça inclut pas, ni de l'attention sur les qualités ou de la nature de l'objet.
La position et l'hébergement d'yeux qui permet à l'image d'être mis en place sur la fossette Centrale de chaque oeil.
Chaque supérieures et inférieures plis de peau which cover the EYE quand fermé.
Souvenir d'informations pendant quelques secondes pour heures.
L'examen détaillé de l ’ activité observable ou un comportement associé à l 'exécution ou la fin de la fonction nécessaire ou unité de travail.
La coordination d'un sensoriel ideational (ou) processus cognitifs et une activité motrice.
Procédé mental de signaux (couleur vision chromatique) de l ’ œ il par le RIRE DES cortex où ils sont convertis en représentations symboliques. Perception des couleurs implique de nombreux neurones, et est influencé non seulement par la distribution de multiplié les vues objet, mais aussi par les couleur du fond et luminosité contraste à sa frontière.

L'« Attentional Blink » est un phénomène psychologique et neuroscientifique qui se réfère à une briève incapacité à détecter ou à identifier un deuxième stimulus visuel lorsqu'il est présenté dans une courte succession de temps après le premier stimulus, lorsque l'attention est concentrée. Ce phénomène se produit parce que le cerveau a besoin de temps pour traiter le premier stimulus avant de pouvoir passer à traiter le suivant. Il s'agit d'un domaine actif de recherche dans les neurosciences cognitives et la psychologie expérimentale, qui peut fournir des informations sur les processus attentionnels et les mécanismes de traitement de l'information visuelle.

Je suis désolé, mais la "période réfractaire psychologique" n'est pas un terme reconnu dans le domaine médical ou psychiatrique. La période réfractaire est un concept utilisé en physiologie et en neurologie pour décrire une propriété des cellules excitables, y compris les neurones, qui les empêche de répondre à un stimulus supplémentaire pendant une certaine durée après une activation préalable.

Cependant, le terme "réfractaire" est parfois utilisé en psychologie pour décrire un état dans lequel une personne ne réagit plus ou peu à certains stimuli, généralement en raison d'une surstimulation ou d'un épuisement. Mais il n'y a pas de "période" spécifiquement associée à cet état dans la littérature psychologique.

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Un clignement palpébral est un mouvement rapide et réflexe des paupières qui se produit lorsque les yeux sont ouverts. Il s'agit d'un mécanisme de protection naturel qui permet de lubrifier la surface de l'œil en répartissant les larmes et en éliminant les corps étrangers ou les impuretés qui pourraient s'y être déposés.

Le clignement palpébral est déclenché par un signal nerveux envoyé depuis le nerf facial (VIIe nerf crânien) vers les muscles responsables de la fermeture des paupières, appelés muscle orbiculaire de l'œil. Ce réflexe peut être intentionnel ou involontaire et se produit en moyenne entre 15 et 20 fois par minute.

Des modifications du rythme ou de l'amplitude des clignements palpébraux peuvent être le signe d'affections oculaires, neurologiques ou psychiatriques sous-jacentes. Par exemple, une fréquence excessive de clignements peut indiquer un syndrome de sécheresse oculaire, un trouble de l'attention ou un trouble obsessionnel-compulsif, tandis qu'une diminution de la fréquence des clignements peut être associée à des maladies neurodégénératives telles que la maladie de Parkinson.

D'un point de vue médical, l'attention est la capacité cognitive à sélectionner et à se concentrer sur des stimuli ou des tâches spécifiques tout en ignorant les distractions irrélevantes. Elle joue un rôle crucial dans le processus d'apprentissage, de mémorisation et de prise de décision. Les déficiences attentionnelles peuvent être associées à divers troubles neurologiques ou psychiatriques tels que le TDAH (Trouble Déficitaire de l'Attention avec ou sans Hyperactivité), la dépression, l'anxiété, les traumatismes crâniens et certaines maladies neurodégénératives. Des évaluations neuropsychologiques peuvent être effectuées pour mesurer le niveau d'attention et diagnostiquer ces conditions. Différentes techniques de remédiation, telles que l'entraînement cognitif, la thérapie comportementale ou la médication, peuvent être proposées pour améliorer l'attention.

L'apprentissage sériel est une forme d'apprentissage dans lequel des informations ou des éléments sont présentés et mémorisés dans une séquence spécifique. Cela peut inclure l'apprentissage de séquences de chiffres, de lettres, de mots ou d'autres types d'informations.

Dans le contexte médical, l'apprentissage sériel est souvent utilisé dans l'enseignement et l'apprentissage de procédures ou de protocoles complexes, tels que les étapes à suivre pour effectuer une intervention chirurgicale ou administrer un traitement médicamenteux. Les professionnels de la santé peuvent utiliser des techniques d'apprentissage sériel pour mémoriser et retenir des informations importantes, telles que les noms et les dosages de médicaments, les signes et les symptômes de certaines maladies ou les procédures de réanimation.

L'apprentissage sérial peut être efficace pour améliorer la mémorisation à court terme et la rétention des informations, mais il peut ne pas être aussi efficace pour l'application pratique des connaissances dans des situations réelles. Par conséquent, il est souvent recommandé de combiner l'apprentissage sériel avec d'autres stratégies d'apprentissage actif, telles que la pratique et le feedback, pour favoriser une compréhension plus profonde et une application plus efficace des connaissances.

La reconnaissance visuelle des formes (RVF) est un domaine de recherche en informatique médicale qui vise à développer des algorithmes et des systèmes capables d'analyser et d'interpréter des images médicales pour identifier, classer et décrire des structures anatomiques, des tissus ou des lésions spécifiques.

Dans un contexte médical, la RVF peut être utilisée pour aider au diagnostic de diverses maladies en analysant des images telles que des radiographies, des tomodensitométries (TDM), des imageries par résonance magnétique (IRM) ou des échographies. Les systèmes de RVF peuvent être entraînés à reconnaître des formes spécifiques telles que des tumeurs, des fractures osseuses, des calcifications ou des anomalies vasculaires.

La RVF utilise souvent des techniques d'apprentissage automatique et de traitement d'images avancées pour extraire des caractéristiques pertinentes à partir des images médicales. Ces caractéristiques sont ensuite utilisées pour classer ou détecter les structures anatomiques ou les lésions d'intérêt.

Il est important de noter que la RVF ne remplace pas le jugement clinique du médecin, mais peut plutôt être utilisée comme un outil complémentaire pour aider à l'interprétation des images médicales et améliorer l'exactitude et la fiabilité du diagnostic.

En médecine, le "temps de réaction" fait référence à la mesure du temps écoulé entre la présentation d'un stimulus donné et la réponse correspondante d'un individu. Il est fréquemment utilisé pour évaluer les fonctions cognitives et neurologiques dans divers contextes cliniques, tels que l'évaluation des patients atteints de troubles neurocognitifs ou de traumatismes crâniens. Le temps de réaction peut être mesuré en utilisant différents types de stimuli, comme visuels, auditifs ou tactiles, et les résultats sont généralement comparés à des normes établies pour déterminer toute anomalie ou déficience potentielle.

La stimulation lumineuse est une méthode thérapeutique qui consiste à exposer les yeux du patient à une source de lumière vive et contrôlée, dans le but de réguler certains troubles de l'humeur et du rythme circadien. Elle est souvent utilisée pour traiter le trouble affectif saisonnier (TAS), également connu sous le nom de dépression hivernale, ainsi que d'autres types de dépressions.

La stimulation lumineuse peut être administrée à l'aide de lampes spécialement conçues, appelées lampes de luminothérapie, qui émettent une lumière blanche d'intensité élevée, mais sans UV et infrarouges. Ces lampes sont généralement posées sur un bureau ou une table, et le patient s'assoit en face, en veillant à ce que la lumière atteigne ses yeux sans être filtrée par des lunettes teintées ou des écrans d'ordinateur.

Les séances de stimulation lumineuse durent généralement entre 20 et 60 minutes par jour, le matin étant le moment privilégié pour bénéficier de ses effets sur le rythme circadien. Les améliorations des symptômes peuvent être observées après quelques jours à quelques semaines de traitement.

Il est important de noter que la stimulation lumineuse doit être pratiquée sous la supervision d'un professionnel de santé mentale, car une utilisation inappropriée ou excessive peut entraîner des effets secondaires tels que maux de tête, irritabilité oculaire, sécheresse oculaire et insomnie.

Dans un contexte médical, les «signaux» peuvent faire référence à des indications ou des preuves observables qui fournissent des informations sur l'état physiologique ou pathologique d'un patient. Ces signaux peuvent être de nature diverse :

1. Signes vitaux : Ils comprennent la fréquence cardiaque, la pression artérielle, la température corporelle, la saturation en oxygène et la fréquence respiratoire. Ces signes fournissent des informations importantes sur l'état général du patient et peuvent indiquer la présence d'une maladie ou d'une complication.

2. Signaux physiques : Ce sont des observations faites par le médecin lors de l'examen physique du patient, telles que l'augmentation du volume abdominal, la rougeur cutanée, l'enflure ou la douleur à la palpation.

3. Signaux diagnostiques : Ils proviennent des tests de laboratoire et d'imagerie, tels que les analyses sanguines anormales, les images radiologiques suggestives d'une maladie particulière ou les résultats anormaux d'un électrocardiogramme (ECG).

4. Signaux de thérapie : Ils renvoient aux réponses observées après l'administration d'un traitement, comme une diminution de la douleur après la prise d'analgésiques ou une amélioration des symptômes après un traitement spécifique.

En bref, les signaux médicaux sont des preuves objectives qui aident au diagnostic, à la surveillance et au traitement des maladies et affections.

La perception visuelle est le processus par lequel le cerveau interprète les informations reçues des yeux pour créer une compréhension de l'environnement visuel. Il s'agit d'un processus complexe qui implique non seulement la réception et le traitement des stimuli visuels, mais aussi l'intégration de ces informations avec d'autres sens et avec les connaissances et expériences préalables pour former une perception complète de la scène observée.

La perception visuelle commence par la réception de la lumière par la rétine, où elle est convertie en signaux électriques qui sont transmis au cerveau via le nerf optique. Dans le cerveau, ces signaux sont traités dans plusieurs régions différentes, y compris le thalamus et le cortex visuel primaire, avant d'être intégrés avec d'autres informations pour former une perception complète.

La perception visuelle peut être influencée par de nombreux facteurs, tels que l'attention, les attentes et les expériences passées. Par exemple, si nous attendons de voir quelque chose en particulier, notre cerveau peut filtrer les informations entrantes pour mettre en évidence ces caractéristiques spécifiques, ce qui peut affecter notre perception globale de la scène.

Des problèmes de perception visuelle peuvent survenir en raison de diverses affections médicales, telles que les lésions cérébrales, les maladies neurologiques et les troubles psychiatriques. Par exemple, certaines personnes atteintes de schizophrénie peuvent avoir des difficultés à interpréter correctement les informations visuelles en raison d'anomalies dans le traitement cérébral de ces informations. De même, les personnes souffrant de migraines peuvent éprouver des troubles visuels temporaires tels que des éclairs lumineux ou des zigzags, connus sous le nom d'aura migraineuse.

Le terme « masquage perceptif » est utilisé en médecine et en particulier en ophtalmologie pour décrire un phénomène visuel dans lequel la perception d'un stimulus est affectée par la présence simultanée d'un autre stimulus. Plus spécifiquement, cela se produit lorsque les caractéristiques de deux stimuli visuels adjacents ou superposés rendent difficile la distinction ou l'identification claire de l'un des stimuli.

Ce phénomène peut être causé par plusieurs facteurs, tels que la similarité des couleurs, des formes ou des contrastes entre les deux stimuli. Il peut également résulter d'une dominance spatiale ou temporelle de l'un des stimuli sur l'autre.

Le masquage perceptif est souvent utilisé en recherche visuelle pour étudier les mécanismes de la perception et du traitement de l'information visuelle dans le cerveau. Il peut également être un facteur important à prendre en compte dans certaines situations cliniques, telles que la conception de tests de vision ou l'évaluation de lésions cérébrales affectant la vision.

Il est important de noter qu'il existe différents types de masquage perceptif, tels que le masquage complet (lorsque la perception du stimulus masqué est complètement supprimée) et le masquage partiel (lorsque la perception du stimulus masqué est simplement réduite). De plus, il existe des différences subtiles entre le masquage avant et le masquage arrière, en fonction de l'ordre d'apparition des stimuli.

La psychophysique est un domaine d'étude à l'intersection de la psychologie et de la physique qui traite des relations quantitatives entre stimuli physiques et les expériences subjectives correspondantes, telles que la perception sensorielle, la sensation douloureuse ou les états émotionnels. Elle vise à comprendre comment les processus mentaux sont affectés par les propriétés objectives des stimuli et comment ces expériences subjectives peuvent être mesurées et quantifiées de manière fiable et valide.

Les méthodes couramment utilisées en psychophysique comprennent la méthode des limites, dans laquelle un seuil de détection est déterminé pour un stimulus donné, et la méthode des niveaux de juste-noticeable, dans laquelle l'intensité d'un stimulus est ajustée jusqu'à ce qu'il soit perçu comme différent d'un autre stimulus de référence. Ces méthodes permettent de déterminer les fonctions psychophysiques qui décrivent la relation entre l'intensité physique du stimulus et l'intensité subjective de la perception.

La psychophysique a des applications dans divers domaines, tels que la perception visuelle et auditive, la douleur, les émotions, le goût et l'odorat, ainsi que dans l'ingénierie et le design de produits et d'environnements. Elle fournit également une base pour la compréhension des processus perceptifs et cognitifs plus complexes, tels que l'attention, la mémoire et le raisonnement.

La prise de conscience, dans le contexte médical et particulièrement en neurologie, fait référence à la capacité d'une personne à percevoir et à comprendre son environnement immédiat et sa propre condition. Elle implique plusieurs aspects dont :

1. La conscience de soi : C'est la connaissance qu'a une personne de son propre état, y compris ses pensées, ses sentiments, ses souvenirs et ses sensations corporelles.

2. La conscience cognitive : C'est la capacité à comprendre, à raisonner, à juger et à prendre des décisions.

3. La conscience sensorielle : C'est la capacité à percevoir et à répondre aux stimuli provenant de l'environnement, tels que les sons, les images visuelles, les odeurs, etc.

Une perturbation de la prise de conscience peut être observée dans diverses conditions neurologiques, comme le coma, le delirium, ou l'état végétatif. La récupération de la prise de conscience est souvent un objectif majeur des soins et de la réadaptation pour ces patients.

La fixation oculaire, dans le contexte médical et ophtalmologique, se réfère à la capacité de maintenir la direction du regard sur un objet ou une cible spécifique de manière stable et sans effort. Il s'agit d'une fonction essentielle de la vision qui permet de concentrer notre attention visuelle sur des objets individuels dans notre champ visuel, en particulier lors de la lecture, de la conduite ou d'autres tâches qui exigent une focalisation visuelle précise.

La fixation oculaire est rendue possible par un ensemble complexe de muscles oculomoteurs et de mécanismes neurologiques qui travaillent en synergie pour aligner et maintenir les yeux dans une position appropriée. Les mouvements oculaires rapides, appelés saccades, permettent aux yeux de se déplacer rapidement d'un objet à l'autre, tandis que la poursuite lisse permet de suivre des objets en mouvement. Une fois que les yeux sont correctement alignés sur un objet, les muscles oculomoteurs travaillent ensemble pour maintenir cette position, ce qu'on appelle la fixation oculaire.

Des problèmes de fixation oculaire peuvent survenir en raison de diverses affections neurologiques ou musculaires sous-jacentes, telles que des lésions cérébrales, des troubles neuromusculaires ou des affections oculaires telles que la strabisme ou le nystagmus. Ces problèmes peuvent entraîner une vision floue, une fatigue visuelle, des maux de tête et d'autres symptômes qui affectent la qualité de vie et les capacités fonctionnelles d'une personne. Par conséquent, une évaluation et un traitement appropriés de tout problème de fixation oculaire sont essentiels pour préserver et améliorer la fonction visuelle et le bien-être général d'un individu.

Les paupières sont des structures mobiles qui recouvrent et protègent les yeux. Elles sont composées de plusieurs couches, y compris la peau, le tissu conjonctif, le muscle et la muqueuse. Les paupières servent à humidifier les yeux en répartissant les larmes, à protéger les yeux des corps étrangers, des rayons lumineux excessifs et des agents infectieux, et à faciliter la vision en clignant pour nettoyer et humidifier la surface de l'œil. Elles peuvent également réagir au sommeil, à la fatigue ou à d'autres stimuli émotionnels en se fermant partiellement ou complètement.

Je ne suis pas capable de fournir une définition médicale spécifique pour "analyse et exécution des tâches", car c'est un terme général qui peut être utilisé dans divers contextes, y compris non médicaux.

Cependant, en ce qui concerne les systèmes informatiques et de santé numérique, l'expression "analyse et exécution des tâches" peut se référer à la capacité d'un système à analyser les données médicales et à effectuer des actions ou des processus en conséquence. Par exemple, un système pourrait analyser les résultats de laboratoire d'un patient et, s'il détecte une valeur anormale, déclencher une alerte ou une notification pour le prestataire de soins de santé.

Dans le contexte plus large des soins de santé, l'analyse et l'exécution des tâches peuvent impliquer la capacité d'un système à aider les professionnels de la santé dans l'analyse des données des patients, telles que les antécédents médicaux, les résultats de tests de laboratoire et les images radiologiques, pour prendre des décisions cliniques éclairées. Le système peut également être en mesure d'exécuter des tâches automatisées, telles que l'envoi de rappels de rendez-vous ou la planification de médicaments, sur la base de l'analyse des données.

Il est important de noter que l'utilisation de systèmes d'analyse et d'exécution des tâches doit être soigneusement évaluée en termes de précision, de sécurité et de confidentialité pour garantir la qualité des soins aux patients.

La performance psychomotrice se réfère à la capacité d'une personne à exécuter des tâches qui nécessitent une coordination précise et rapide des mouvements physiques avec les processus cognitifs, tels que la perception, l'attention, la mémoire et la résolution de problèmes. Il s'agit d'une fonction complexe qui reflète à la fois les capacités physiques et mentales d'un individu.

Les exemples de performances psychomotrices comprennent des activités telles que conduire une voiture, jouer d'un instrument de musique, pratiquer un sport, effectuer des tâches manuelles délicates ou utiliser un ordinateur. Une bonne performance psychomotrice implique non seulement la capacité de bouger le corps de manière précise et rapide, mais aussi la capacité de traiter les informations sensorielles, de prendre des décisions et d'exécuter des mouvements en fonction de ces décisions.

Des facteurs tels que l'âge, la santé mentale et physique, les compétences acquises, l'expérience et l'entraînement peuvent influencer la performance psychomotrice d'un individu. Les troubles neurologiques, les lésions cérébrales, les maladies mentales et certaines conditions médicales peuvent affecter négativement la performance psychomotrice.

La perception des couleurs est la capacité d'un individu à identifier, distinguer et comprendre les différentes teintes, tons et nuances chromatiques dans l'environnement visuel. C'est un processus complexe qui implique non seulement la fonction physiologique normale des yeux (y compris la structure saine de la rétine, en particulier des cellules coniques sensibles à la lumière), mais aussi une fonction cognitive et neurologique normale du cerveau.

Les cellules coniques dans la rétine sont responsables de la vision des couleurs. Il existe trois types différents de cellules coniques, chacune étant sensible à une longueur d'onde spécifique de lumière : courte (bleue), moyenne (verte) et longue (rouge). La combinaison de l'activité de ces trois types de cellules coniques permet la perception des millions de couleurs possibles.

Toutefois, si l'un ou plusieurs types de cellules coniques sont absents ou fonctionnent mal, cela peut entraîner une déficience ou une absence totale de perception des couleurs, appelée daltonisme. Les personnes atteintes de daltonisme peuvent avoir des difficultés à distinguer certaines couleurs, en particulier le rouge et le vert.

Dans certains cas, la perception des couleurs peut être influencée par des facteurs environnementaux tels que l'éclairage, les ombres ou la fatigue visuelle, ce qui peut affecter la capacité d'une personne à percevoir et à identifier correctement les couleurs.

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