• Le cœur ne subit pas passivement les effets du syndrome métabolique : les facteurs natriurétiques agissent aussi sur les récepteurs des adipocytes. (medscape.com)
  • Ces facteurs proviennent en fait du clivage, dans les cellules corticotropes, d'une glycoprotéine, la pro-opio-mélanocortine (POMC), qui est le précurseur commun de l'ACTH et des LPH ainsi que des b endorphines et des hormones mélanotropes. (mgfloorsupply.com)
  • Chez les humains, les auteurs ont également mis en évidence, en prélevant deux lignées de cellules, le même type d'effet des facteurs natriurétiques: augmentation de la transcription des gènes associés aux adipocytes bruns, véritable support énergétique favorisant l'élimination et non le stockage des calories, à l'opposé de la graisse blanche. (medscape.com)